Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Hôtel ElemHunt

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PoV Yunaka :

En moins de temps qu’il n’en faut pour dire ouf, me voilà désormais assoupie, comme plongée malgré moi dans un sommeil prenant en profondeur. Ainsi, il me sera d’une bien grande difficulté de parfaitement retranscrire ce qu’il se passe autour de moi pendant que je suis plongée dans mes songes, n’étant pas vraiment consciente.

Je crois sentir quelques mouvements, quelques frottements, quelque chose me touche clairement mais le contact est trop léger pour pouvoir me réveiller, d’autant plus que je ne sais pas à quel point mon sommeil est profond. Ça bouge sur moi, puis ça s’arrête. Je crois sentir quelques effleurements sur mes queues mais rien de bien sûr en ces circonstances. Un nouveau contact né, un contact un peu plus fort qui me donne quelques frissons et me fait possiblement un peu gémir dans mon sommeil. Mais tout cela reste encore très doux et ne me réveille pas. Ma respiration se fait, néanmoins, peut-être un peu plus rapide dans son rythme mais rien de plus ne semble démontrer un soupçon de conscience chez moi. Puis, plus rien, la tranquillité et le calme d’un sommeil réparateur.

Je ne saurais dire combien de temps j’ai bien pu restée ainsi endormie et donc combien de temps j’ai malencontreusement perdu dans mon projet initial mais une chose est sûre, ça ne se compte en plusieurs dizaines de minutes. Je me réveille finalement et me frotte un peu les yeux. Je ne remarque pas directement ce qui a changé en mon absence, étant encore à moitié prise de torpeur. Je reste allongée quelques minutes de plus, me sentant à l’aise contre le petit coin d’herbe où je me trouve, avant de tout de même me redresser. Je m’assieds, m’étirant un peu et c’est là que je remarque un changement. Mes… vêtements, ils semblent avoir totalement disparus ?! Je suis recouverte d’une couche de végétaux. C’est donc ça ce que j’ai pu ressentir dans mon sommeil ? Une chose est sûre, je ne panique pas. Être prise de panique pourrait s’avérer dangereux, qui sait ce que ces vrilles pourraient faire en réaction. Mais je m’interroge tout de même sur ce qu’il s’est passé.

- Bonjour petite plante, qu’est-ce que tu fais là ?!

Je peux avoir l’air idiote à parler à un végétal, ou plusieurs d’ailleurs, mais on ne sait jamais. Il existe quelques espèces qui réagissent au son et d’autres encore peuvent communiquer. C’est d’ailleurs pour montrer que je n’ai pas la moindre animosité aussi que je parle d’un ton très calme. Je fais quelques tests en gros. Soudain, je sens comme une chaleur me prendre. À moins qu’elle ne soit là depuis le début mais que je n’y prêtais pas plus d’attention que cela. Une chose est sûre, mon corps prend en température. Mais ce n’est pas le genre de chaleur comme lors d’une fièvre mais plutôt comme un soupçon d’excitation, une sorte de désir naissant. Je ne comprends vraiment pas tout mais ce n’est pas désagréable ou insoutenable, c’est juste… là.

- M’aurais-tu fais quelque chose ?

Je me dis que cette chaleur ne vient pas de nulle part, j’ai un bon contrôle de mes hormones en général. Je tente aussi toujours un contact mais si je n’ai aucune réponse et bien soit. Je me demande tout de même si je peux me mouvoir ou me lever comme je le veux. Il faudra que je test aussi cela. Pour le moment, j’attends encore un peu, au cas où il se passerait quelque chose.

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PoV Celica :

Contrairement à moi, Kana connaît sa génitrice du coup. Elle m’explique que les filles du Nyora’s Club l’ont aidé à la retrouver et me montre même quelques photos de sa mère. Et s’il y a bien une chose qu’on puisse dire…

- Damn ! Elle est canon ! Être aussi belle et séduisante, c’est de famille visiblement ! Je lève ensuite mon regard sur Kana. Je suis sûre que tu serais irrésistible toi aussi en bunny girl.

Je lui tire la langue et reprend une gorgée de boisson. Elle m’explique ensuite comment se passe la vie au club et je ris à l’énoncé des cris de joie incessants. D’un côté, c’est sûrement mieux que d’entendre quelqu’un crier son malheur à tout bout de champ je pense. Je hoche de la tête. En gros, si on retire le sexe ambiant, ça n’a rien de bien particulier de vivre dans ce club ! J’allais poursuivre la conversation mais son téléphone se met à sonner soudainement et je connais bien là une alarme ou réveil pour se souvenir de quelque chose.

Kana m’annonce qu’elle doit se rendre à une salle de sport et si, en général, c’est à ce moment là qu’on se sépare et propose à la limite de se recontacter, ma nouvelle amie ne fait rien comme les autres puisqu’elle me propose plutôt de venir avec elle. Genre moi, dans une salle de sport quoi ?! Mais elle trouve très vite comment me motiver avec son lapsus d’une subtilité à en faire pâlir de jalousie le tact inexistant de Lucina. Je pose un regard plein de malice et visiblement plus intéressé sur elle tandis qu’elle me demande mon numéro.

- Donne-moi ça ! Je me saisis de son téléphone sans demander son accord et commence déjà à pianoter dessus, écrivant mon numéro dans la page de répertoire ouverte tout en parlant. En général, j’esquive plutôt les salles de sport. Il y a une fille chez nous qui essaie de me pousser à y aller avec elle ahah… Mais pour toi, je peux bien faire un effort !

Je termine d’entrer mon numéro et m’ajoute avec le pseudo Celichemwa, en gros un truc tout aussi subtil qu’elle, et lui rend son téléphone avant de terminer mon verre et me lever pour la suivre.

- Je me sens bien chaude pour baiser… Je fais semblant de m’être plantée, me mettant la main devant la bouche. Enfin je veux dire… faire du sport à deux ! On y va belle gosse ?

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PoV Lucina :

J’ai rapidement le droit à un petit compliment qui me fait sourire fièrement. Héhé, j’ai des années d’expérience ma belle ! Ses mains se baladent sur mon corps et je l’aide même à bien tout sentir en m’appuyant un peu plus contre elle, histoire d’exercer une pression qui lui fera sûrement plaisir. Elle se retrouve rapidement à me masser le cul, chose plutôt agréable, tout en m’autorisant à la remplir avec autre chose que ma langue. Et elle ne tourne pas autour du pot en me laissant clairement comprendre que ce qu’elle aimerait, c’est une queue entre mes cuisses. Je ris à ses propos. Sérieux, quelle cochonne… Mais rien d’étonnant après tout. Il serait même un peu tard pour se la jouer fille sage.

- Mer(c)i pour cette honneur. Mais au risque (d)e vous décevoir, je n’ai ma(l)heureu(s)ement pas ce genre de capacité…

Ma langue se remet peu à peu. Et j’ai totalement menti mais je veux voir sa réaction face à cette révélation décevante. Mais la révélation du mensonge se fait rapidement car elle pourra sentir quelque chose de dur et long apparaître soudainement entre nous. Je me redresse, jouant la surprise.

- Oh mais… qu’est-ce ça fait là ça ?!

Enfin la surprise…. Une fausse surprise très facile à saisir. Je relève ensuite les yeux vers ma déesse, me penchant de nouveau sur elle en frottant déjà un peu ce nouvel ajout contre elle. Puis, dans un murmure sensuel, j’ajoute :

- Je vais prendre ma récompen(s)e dans ce cas… Et dans tous les (s)ens du terme…

Puis, ne me faisant pas prier ou inutilement attendre, je me saisis de ma verge déjà bien gonflée et prête à l’emploi qui se veut potentiellement un chouïa de taille supérieure à la moyenne sans pour autant être un énorme monstre. Juste de quoi expérimenter un petit quelque chose puisqu’après tout, elle m’a autorisé à en avoir rien à faire de la taille. Alors autant sortir le grand jeu si vous voyez ce que je veux dire ! Puis, je frotte le gland à ses lèvres intimes, lubrifiant un peu au passage, avant de finalement m’enfoncer petit à petit, la pénétrant de toute ma longueur. Une vague de chaleur m’envahit instantanément et je peux déjà sentir que je vais me plaire à l’intérieur.

- Han… Je sens que je vais adorer ce temple…

Commence ensuite quelques coups de hanche, débutant un coït plutôt doux mais je sens étrangement qu’elle va vouloir quelque chose de plus bestial.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Sex, Money, Feelings, Die [Feat.Laëlia]
« le: lundi 25 mars 2024, 18:59:53 »
PoV Ishtar :

Savoir que je ne rencontre pas bien souvent des voyageurs dimensionnels semblent dans un premier temps la surprendre avant qu’elle ne se rende compte d’elle-même que ce n’est pas si étonnant que cela. Je lui réponds d’un simple sourire avant qu’elle ne me demande finalement mon nom.

- Par simple curiosité hein… ?! Je la jauge du regard, mon ton sous-entendant qu’elle puisse être motivée par un peu plus que de la curiosité. Et bien ce n’est pas un secret. Vous m’avez l’air sympathique alors je peux bien vous le donner. Vous pouvez m’appeler Ishtar.

Bien que je me montre amical dans mon attitude, je garde un pied dans le professionnalisme, ne m’attardant pas sur le fait de faire connaissance. Je lui demande même où elle souhaiterait aller maintenant que nous sommes sûres d’être raccords et elle m’avoue ne pas savoir spécialement où se rendre en réalité. Elle souhaite juste pouvoir s’amuser et passer du bon temps. C’est étrange de vouloir voyager juste pour quelque chose de déjà largement faisable dans le coin mais soit ! On ne va pas louper l’occasion de se faire un peu d’argent voyons !

- Oh je vois… Permettez-moi de vérifier un instant…

Je pianote sur l’ordinateur, faisant quelques recherches sur notre base de données pour trouver une destination convenable à la demoiselle. Un établissement branché, ce n’est pas vraiment ce qui court les rues sur Terra. Notre auberge ElemHunt est sûrement l’un des endroits les plus luxueux du coin. Mais je ne vais pas lui proposer un voyage chez nous quand même. Alors cherchons plutôt un petit festival, ça ne manque pas. Sur Terra, presque tout est sujet à une fête. Je souris après avoir quelques résultats :

- Il y a bien une fête du saucisson dans un petit village ce soir. Ça ne devrait pas manquer d’amusement. Si vous souhaitez plutôt quelque chose de musical, une troupe ambulante fait le tour de Terra en ce moment. Je peux aussi vous proposer les Grands Jeux qui se déroule non loin de la capitale. Ou bien la Grande Fête du feu, ce qui se rapproche certainement le plus d’un festival. Comme vous pouvez le constater, les gens savent s’amuser en Terra. Il ne vous reste plus qu’à… choisir votre poison comme on dit !

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Les contrées du Chaos / Re : Voyage imprévu [Marguerite, Shamir & Daraen]
« le: dimanche 24 mars 2024, 19:56:21 »
PoV Daraen :

Mon boxer crée la surprise chez Marguerite, ce qui est normal. C’est un habit qui se veut bien trop contemporain ou moderne pour les mœurs de Terra. Cela peut être considérer comme une erreur de m’être vêtu ainsi mais, pour être franc, je n’avais pas prévu de mettre les pieds ici aujourd’hui et encore moins de me trouver dans une situation visant à me mettre nu pour copuler avec une demoiselle. Il faudrait que je me montre plus prudent à l’avenir, on ne sait jamais ce que l’avenir nous réserve apparemment. Je souris, soufflant même un peu du nez, me montrant moqueur de ma propre personne.

- Libre à vous de vous offrir le plaisir de cette découverte.

Les doigts de la belle demoiselle ne se font pas prier pour toucher mais aussi expérimenter l’élasticité du sous-vêtement avant de finalement réaliser l’action de révéler l’objet de sa convoitise actuelle avec une délicatesse mesurée et nettement perceptible. Le sourire qui se dessine sur le visage de Marguerite ne laisse point de doute sur la joie ressentie sur ce que nous pourrions appeler, en un sens métaphorique, cette rencontre. Il ne tarde aucunement à ce que la douce poigne de cette ange ne vienne se saisir humblement de ce qu’elle voulait amplement découvrir sur mon corps.

Son visage approche de nouveau de mon corps, déposant quelques baisers sur mon torse, me faisant frémir d’envie avant de se coller un peu plus à moi. Dans un geste totalement naturel et presque par réflexe, je viens l’enlacer, caressant son dos avec une affection particulière. Je profite de cette étreinte, m’imprégnant de ce contact qui me fait, je dois l’admettre, beaucoup de bien. L’espace d’un instant, je me sens comme coupé du monde avec elle et aimerais que cette démonstration de tendresse dure pendant un moment proche de l’éternité. Puis sa voix se fait entendre, demandant une autorisation à laquelle je n’ai pas l’habitude de faire face, ce qui peut se remarquer par le frisson qui parcourt mon être, qu’elle aura peut-être senti. Ma voix tremble faiblement et je réponds, quelque peu hésitant :

- Oh… Euh je… Ainsi sont les quelques mots, si on peut appeler ça ainsi, qui arrive à sortir de ma bouche. Je ris, amusé. Je dois vous avouer que je ne m’attendais aucunement à ce type de question. Vous avez su perturber mon assurance.

Ma main droite passe sur son visage, en dessinant les contours, avant de se poser sous son menton sur lequel j’exerce une pression pour pouvoir lui faire lever la tête et voler un nouveau baiser tendre, reprenant tout en ne la quittant plus du regard :

- Comme je vous l’ai dit, mon corps vous appartient. Bien que cela puisse paraître étrange de le dire ainsi, goûtez-moi autant que vous le désirez. Je marque une petite pause. Il ne fera sûrement aucun doute que ces lèvres que je ne peux m’empêcher d’embrasser puissent se montrer des plus plaisantes…

Je ponctue mes mots avec un sourire doux et sincère, signe de la totale confiance que j’ai en elle.

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PoV Celica :

Faire connaissance autour d’un petit verre. C’est quelque chose d’assez basique et simple mais si ça se fait encore malgré les années, c’est que ça fonctionne très bien ! Et ce petit rencard improvisé avec Kana ne fait clairement pas exception. Entre deux taquineries visant à la perturber, ce qui marche très bien aussi, et car je la trouve craquante à être aussi facilement gênée, surtout pour une Nyora, on en apprend plus l’une sur l’autre. Elle semble d’ailleurs un peu buguer sur le coup lorsque je lui fais comprendre de la façon la plus claire possible que je sais qui elle est.

Elle me répond de façon un peu bizarre, comme si elle se libérait d’un poids en lâchant tout ce qu’elle a en tête, ce qui me fait doucement rire. Donc on est bien toutes les deux des Nyora hybride. En quelques sortes, ça fait d’elle quelqu’un de ma famille ? Genre une sorte de cousine ou quelque chose comme ça ? Bouarf, peu importe, si ça se trouve, on n’est même pas vraiment liées !

- Demi-Nyoras et canons, on était limite faîte pour se rencontrer ! Bon cela dit, je gère sûrement mieux la séduction que toi.

Je lui tire la langue, prenant une gorgée de ma boisson en la savourant longuement en bouche avant d’avaler tandis que de son côté, elle se stop dans sa phrase dans un premier temps avant de finalement capter.

- Ding ! Ding ! Bravo, je travaille bien au ElemHunt héhé ! On est voisines en gros !

Mais elle me pose aussi une question que je ne m’étais jamais posée. De quelle Nyora puis-je être l’enfant ? Est-ce une du club ? Ou alors une d’un autre monde ? D’une autre dimension ? Est-ce qu’il y a des Nyoras un peu partout dans l’univers ? J’avoue que j’en sais foutrement rien. Mais c’est vrai que maintenant qu’elle en parle, ma génitrice est aussi potentiellement ma voisine, ce serait une coïncidence amusante.

- Nop, pas la moindre idée. Il faut dire que je n’ai jamais cherché à savoir, je m’en fiche pas mal en gros. Et toi, tu le sais ?

Peut-être qu’elle vit là-bas avec celle qui lui a donné la vie. De toute façon, de ce que j’en sais, le concept de famille n’a pas grand-chose à faire dans notre espèce. Nous existons juste et c’est la seule chose qui compte. Je fais ensuite ma petite curieuse, lui demandant :

- Mais du coup, c’est comment la vie au Nyora’s ? Enfin, je veux dire hors cadre professionnel, ça j’en sais déjà pas mal sur la question.

22
PoV Ishtar :

Bien investies dans notre mission d’aider Souta à se libérer, ou plutôt à se vider, Yor et moi-même nous montrons particulièrement coquines et fortement aguicheuses. Je profite de longs baisers langoureux avec celle qui m’accompagne, laissant à monsieur le soin de finir ses affaires avec ma poitrine dont il doit pouvoir parfaitement connaître le moelleux et la pression maintenant. Et c’est justement ce qui arrive bien vide avec la vilaine faciale qui me surprend quand même un peu, bien que je m’y attendais en sentant le membre de notre compagnon gonfler entre mes seins. Je me trouve bien rapidement souillée de tout ce liquide blanchâtre sur ma personne, renforçant le côté torride de la situation.

Ce qui est surprenant dans un premier temps, c’est la quantité assez forte de ce qui sort de cette bite, j’en ai rarement vu de tel. Et dans un second temps, c’est que, voyez-vous, dans la vie, à trop se montrer provocatrice, il faut savoir en assumer les conséquences. Et c’est exactement ce que Souta va rapidement chercher à me faire comprendre, enfin si ce n’était pas exactement ce que je recherchais. En effet, il faut croire que lui avoir dit avec certitude que je pourrais sûrement encaisser son éjaculation a titillé son ego puisqu’il m’enfourne rapidement sa queue dans la bouche, la remplissant bien rapidement de toute cette charge dont ses couilles se débarrasse avec grand plaisir. Mes joues gonflent, n’ayant pas vraiment eu le temps de me préparer à recevoir. Mais à peine ai-je eu le temps de reprendre le contrôle que cet idiot décide de littéralement me baiser la bouche. Si en général, je n’ai rien contre, là, je dois bien reconnaître qu’il ne m’arrange pas des masses.

Mais de l’ego, j’en ai moi aussi et, bien que sous la surprise, il est possible qu’un peu de semence se soit échappé, bien qu’en infime quantité comparée à ce que je dois encaissée, j’utilise potentiellement un peu de mes capacités de morphing pour élargir le fond de ma gorge, me permettant d’avaler en plus grande quantité. Mais, comme je le disais, j’encaisse sans trop de souci quand j’ai pu avoir le temps de me préparer. Il me laisse finalement tranquille pour s’attaquer un peu plus à Yor qui me léchait le visage. Il continue ainsi encore quelques secondes avant de s’écrouler sur la banquette, sûrement HS pendant un petit moment avec ce qu’il vient de décharger. Ce n’est pas un problème, qu’il se repose un peu pendant que je profite un peu plus de ma nouvelle copine ! Et puis, nul doute que nous voir jouer va très vite faire remonter l’excitation chez lui.

Je ris aux mots de Yor qui me demande de partager avant qu’elle ne se jette sur moi et m’embrasse, venant chercher ma langue avec la sienne de nouveau, sûrement à la recherche de ce que j’ai avalé. Malheureusement pour elle, il ne reste que quelques traces de ce qui trouvait ici plus tôt. Le baiser dure encore un peu avant que j’y mettes fin, répondant :

- Désolée Yor ! J’avais bien dit que je suis une gourmande !

Je décide quand même de montrer que je n’ai pas fini de me montrer toujours plus lubrique. Mon visage ayant encore du sperme de notre cher ami que je viens chercher de mes doigts. Puis, j’en étale sur mes seins, plus précisément autour de mes tétons durcis par toute cette excitation. Mais je ne m’arrête aucunement là, ce serait encore bien trop sage. En effet, j’en reprends encore un peu, relevant un peu plus ma robe, descendant ma main entre mes cuisses et écartant ma culotte, pour en étaler un peu sur mes lèvres intimes et déjà bien mouillées. Puis, un sourire bien coquin au visage, je reprends :

- Mais il me reste encore des échantillons à consommer. Libre à toi de décider comment procéder à la dégustation…

23
PoV Daraen :

Lorsque ma main descend le long de son corps pour rejoindre son intimité, je découvre avec une certaine surprise qu’elle ne porte aucun sous-vêtement, me laissant alors un plein accès à cet endroit. J’ai quelques rougeurs en m’imaginant que nous avions passés tout ce temps en bas en ayant cette jeune femme aussi dénudée sous ce kimono et aussi… quelque peu honteux de ne pas l’avoir remarqué plus tôt. Cependant, présentement, cette situation est plus proche d’une bénédiction que d’une malédiction. J’entames quelques caresses intimes, toujours guidé par la recherche de son plaisir et motivé par ses multiples expressions de ce dernier. Sa voix se fait irrésistiblement sensuelle tant dans ses vocalises que dans sa façon de s’adresser à moi, se trouvant des plus envoûtantes et quémandant que je la laisse me faire profiter de ses attentions avec un véritable regard de braise. Je souris, déposant un baiser sur ses lèvres, un peu plus intime et sensuel à mon tour, avant de me redresser.

- Comment pourrais-je vous interdire cela ? Mon corps vous appartient Marguerite…

Je prends appui sur mes genoux et ses mains viennent tâter mon pantalon, pour finalement s’arrêter au niveau de ma taille, faisant son possible pour me retirer mes habits, retirant ceinture et autres possibles obstacles entre elle et la bosse dissimulée sous mes différentes couches de tissu. Il ne me faut dans un premier temps que peu de temps pour me retrouver uniquement en boxer, la preuve de mon désir des plus ardents se faisant de plus en plus visible à mesure de cet effeuillage. Mais ce n’est point suffisant, bien entendu. La jeune femme tire encore sur cette ultime épreuve, qui finit elle aussi à accompagner le restant de mes habits, au bas de mes cuisses.

Il n’y a désormais plus rien entre elle et mon érection qui se trouve sous son regard fiévreux. Mon membre se montre dressé, totalement aux aguets, face à la demoiselle qui pourra en attester avec aisance de sa fermeté. Je suis de ce qu’on pourrait dire bien bâti sans que cela ne soit dans la démesure de nombreux clichés se trouvant dans nombre de légendes. De nouvelles rougeurs parviennent à se montrer en vue de la situation, me trouvant sur ce lit avec une femme qui me fait décidément énormément d’effet, en pleine érection quelque peu dominante, ne me faisant pas de cinéma inutile sur la suite des événements. Je lui laisse le libre droit de caresser, de toucher, ou de faire nombre de choses pouvant lui passer par la tête, m'offrant définitivement totalement à celle que je désire. Plus le temps passe, plus l’instant de notre union s’approche inéluctablement.

24
Prélude / Re : Femme au foyer Lubrique - TENSHI KAZAMA - (100%)
« le: jeudi 21 mars 2024, 15:25:10 »
Welcome par minou

25
Vous nous quittez déjà ? / Re : Absence marmelade
« le: mercredi 20 mars 2024, 11:07:44 »
Bon courage Marme ! Yunaka t'attendra avec un énorme câlin à ton retour !

26
PoV Daraen :

Je continue de la traiter avec une attention particulière, souhaitant la faire sentir le plus spécial possible, la traitant comme la reine d’une soirée. Si je m’efforce de conserver une certaine forme de pudeur dans mes actions, Marguerite se fait plus initiatrice, ses mains ne perdant pas de temps à devenir baladeuses en venant directement se loger vers une zone bien précise de mon corps, zone où elle peut sentir mon érection naissante au travers de mes habits, preuve, s’il en fallait une, du désir ardent qui m’habite et qui est ressenti uniquement pour elle.

Ses mots m’inspirent et il arrive le moment où, ne cherchant plus à aller pas plusieurs chemins, elle m’annonce le plus clairement et directement possible son envie irrépressible de nous voir et surtout sentir nous unir. Je souris tandis que, de son côté, elle se fait toujours plus aguicheuse, offrant à mes yeux le spectacle de son corps sous des angles appelant à nul autre que la perversion. Aussi gentilhomme puis-je être, il me sera bien difficile de ne pas ressentir une forte volonté de la faire mienne. Mes émotions et envies les plus primaires ne font que prendre de l’ampleur dans le déferlement que je peux ressentir en cet instant précis. Je la veux, de tout mon être.

La silhouette de son corps mettant naturellement en valeur ses courbes dont on pourrait se damner, la beauté de sa personne qui contraste totalement à l’allure de plus en plus coquine qu’elle démontre depuis maintenant quelques minutes, ses provocations qui, peu à peu, ont raison de moi et de mon discernement, me faisant abandonner toute forme de professionnalisme pour m’enfoncer dans les abysses de la luxure avec celle qui est la cause et le fruit de tout ceci, tout est motivation à culminer vers un point précis. Et ses yeux… J’accorde énormément d’importance au regard et aux jeux pouvant en découler et nul doute qu’elle semble déjà les maîtriser à la perfection, me rendant toute chose. Tantôt séduisant, tantôt provocateur, je ne pourrais aucunement y résister et quand bien même le pourrais-je, je n’en ai pas la moindre envie. La seule envie que j’aie, c’est d’elle.

- Je vous désire bien plus que vous ne pourriez l’imaginer…

Et même pour le beau parleur que je puisse être, il est temps de passer à l’action. Assez bavasser. Je me penche un peu plus sur elle, ne tardant plus et caresse désormais bien plus directement l’un de ses globes que je trouvais déjà d’une rare beauté alors qu’ils m’étaient quelque peu dissimulés, lui offrant l’effort de ma tendresse tout en ayant une nuance de fermeté nouvelle, le malaxant dans un massage plaisant, tandis que le second mont se fait attaquer de façon plus directe, ma bouche suçotant bien rapidement le petit bout durci qui orne son sommet. Et je joue avec ces deux seins, ne leur laissant que peu de répit alors que le second téton se fait bien vite titiller à son tour, parfois caressé, parfois pincé, sans me montrer pour autant trop agressif. Je ne recherche que le plaisir de ma partenaire, aucunement sa douleur.

C’est dans cette volonté juvénile de me lancer dans quelques préliminaires que j’évite de trop m’attarder sur sa poitrine, ne souhaitant point lui faire ressentir une forme d’ennui ou de lassitude. Ainsi, la main qui se trouvait sur son sein descend le long de son corps, dans une lente caresse visant à lui faire comprendre où elle compte se rendre tout en créant une pointe d’excitation plus forte en elle, dans l’espoir de me sentir offrir mes attentions à une autre partie de son corps. Puis enfin, elle a ce qu’elle souhaite sûrement bien plus ardemment que moi. Ne m’arrêtant aucunement de sucer ou mordiller son téton dans ma bouche, mes doigts viennent bientôt se trouver dans un état trempé, puisqu’ils se trouvent désormais dans son sous-vêtement, caressant ses lèvres plus intimes ainsi qu’un petit bouton bien plus sensible.

27
Centre-ville de Seikusu / Re : S'essayer à autre chose (Pv. ElemHunt)
« le: lundi 18 mars 2024, 23:01:36 »
PoV Shamir :

Je me fais de plus en plus coquine, plus vicieuse, pour le plus grand plaisir de cette inconnue qui ne recherchait que cela après tout. La Shamir totalement effacée que j’arbore en général se trouve ironiquement effacée de ma personnalité, dévoilant une personne bien plus entreprenante qu’il n’y paraît aux premiers abords. Cette femme que je n’ai fait que dévorer depuis maintenant quelques minutes m’affirme être très satisfaite par cette seconde facette de ma personne, me précisant par ailleurs qu’elle aimerait surtout me voir sous emprise totale du plaisir. Je lui offre un doux sourire timide comme réponse, me donnant un petit côté adorable.

C’est maintenant à elle de se montrer plus tactile avec mon corps. Une de ses mains se loge sur mon fessier pendant que l’autre stimule ma zone hautement érogène dont elle pourra bien vite attester qu’elle est pleinement mouillée, trahissant mon excitation après l’avoir tant léché. Je frissonne et gémis lorsque ses doigts me pénètrent, m’offrant ce que j’attendais. Il ne fait d’ailleurs plus aucun doute sur nos activités à l’intérieur de cette cabine, les différents mouvements et bruits qui en proviennent nous trahissant complètement. Mais nous en avons toutes deux que faire, je suis même persuadée qu’elle n’aurait rien contre le fait de se montrer en spectacle devant toutes personnes se trouvant dans la boutique.

Et pourtant, elle ne s’arrête pas à si peu, m’offrant l’occasion de lui offrir toujours plus de plaisir. Maintenant que nous savons toutes deux nos capacités, il était évident que nous envisagions de les utiliser pour notre petit coït improvisé. Je ris à sa petite remarque, répondant au passage à sa question non pas par des mots mais en la laissant attester du fait qu’un membre masculin me pousse entre les cuisses, de taille tout à fait convenable, ni trop grand, ni trop petit et d’une épaisseur correcte. Je n’ai jamais vraiment ressenti le besoin d’aller dans la démesure, d’autant plus qu’elle n’apporte pas bien souvent du plaisir.

- Il serait dommage de ne pas en profiter après avoir autant préparé le terrain, vous avez raison.

Et bien rapidement, j’attrape sa jambe, la soulevant et soutenant avec mon bras, m’offrant un meilleur angle d’approche sur son corps, tout en me masturbant pour atteindre une pleine érection. Une fois prête, je ne me fais plus attendre et m’enfonce délicatement en elle, poussant un long soupir de plaisir en sentant sa chaleur. Elle est tellement mouillée que ça rentre comme un couteau dans du beurre mou. Puis, sans plus attendre, je poursuis avec des coups de reins, faisant certainement encore plus bouger la cabine au passage. Mon regard s’ancre dans celui de cette divine beauté avec laquelle nous nous arrêterons que lorsque nous aurions atteint l’ultime extase.

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Royaume Terranide / Re : Oups, I did it again [Feat. Winnifred]
« le: lundi 18 mars 2024, 18:05:49 »
PoV Celica :

Je suis une vraie crème ? Tiens donc. Je pourrais bien rétorquer mais je pense bien que ma compagnie lui est bien plus agréable que celle d’une bonne majorité d’abrutis qu’elle a dû rencontrer dans sa vie. En tout cas, j’adore cette complicité qui se créer entre nous. Elle est genre… revigorante. Une petite taquinerie par-ci, une autre par-là, et me voilà à proposer à Winnie, comme elle le dit si bien elle-même, d’être son cobaye. Ahah, c’est une façon de voir les choses !

Elle accepte après quelques secondes de réflexion et nous nous éloignons de la ville pour nous approcher un peu plus des bois. Chercherait-elle à rendre notre petite soirée plus intime ? Si c’est le cas, je suis totalement partante ! J’approche, me rapprochant de Winnie, et cette dernière se retourne soudainement en changeant totalement de comportement. Je comprends bien vite que notre petit jeu a commencé. Je l’écoute donc, l’analyse, ne la quitte plus des yeux, attendant de voir comment elle va s’y prendre pour serrer le gros poisson que je suis censé être.

Elle adopte un air totalement adorable pouvant faire chavirer les cœurs des plus fragiles, contrastant totalement avec ce côté bien plus aguicheur qu’elle arbore en m’offrant une très belle vue plongeante sur sa superbe poitrine. Ce n’est pas car nous sommes en pleine simulation que je vais me gêner de reluquer en tout cas. Si c’est gratuit, c’est bien dommage de ne pas en profiter ! Quoique, gratuit, pas tant que ça, puisqu’elle me propose aussitôt de lui payer un verre. Globalement, son approche est très sympathique mais elle me prouve encore une fois qu’elle est bien plus habituée à traquer des hommes simples à charmer plutôt que des grosses pointures.

- Bonsoir Mademoiselle, c’est une offre bien généreuse que vous me faîtes en offrant votre compagnie ce soir, d’autant plus que je n’attends personne.

Si Winnie a pu s’habituer à ma voix, elle remarquera bien rapidement que le ton a changé. Ma voix est désormais bien plus masculine, dans un mélange de virilité et sensualité, ce qui dénote totalement avec mon apparence de jeune femme et qui devrait quand même troubler ma chasseuse sur le coup. Je souris déjà fièrement en imaginant sa réaction. Mais je reprends bien vite mon rôle qui, rappelons-le, n’est pas celui d’un simple idiot facile à charmer mais celui d’une personne étant sûrement bien plus habituée aux tentatives de moultes gourgandines de profiter d’elle. Alors, il faut bien que je fasse comprendre à cette chère Winnie que ça ne sera pas si facile !

- Cependant, il commence à se faire tard et je suis malheureusement bien trop occupé pour pouvoir m’assurer le plaisir de votre compagnie.

Un petit refus en demi-teinte, de quoi lui laisser une possible ouverture si elle arrive à bien s’y faufiler. En attendant, je m’attendais quand même à un peu mieux. Aller Winnie, surprends-moi !

29
PoV Yunaka :

Aujourd’hui, c’est l’inventaire de mon jardin. Cela peut paraître bien étrange de faire un inventaire pour cela car on ne parle aucunement de vérifier des stocks ou ce genre de choses et pourtant, ça n’en demeure pas moins vital. Se contenter de songer à l’inventaire dans le sens économique de la chose, c’est louper l’essentiel de la chose. Il faut plutôt voir ça comme une sorte de recensement. La vie n’est pas quelque chose d’immuable, elle continue et évolue sans s’arrêter et demeure incontrôlable, c’est ce qui en fait sa beauté. Ainsi, il arrive parfois que des croisements se font entre espèces de végétaux ou des apparitions non prévues se font. Après tout, il y a aussi quelques insectes et animaux dans mon jardin, créant une véritable biodiversité.

Je fais donc le tour, vérifiant avec un certain sérieux toutes les espèces qui peuplent ce temple dédié à mon amour pour la Nature. Cela me permet aussi de constater si les quelques tests que j’ai effectués se sont arrivés fructueux. Ma culture et ma connaissance sont certes volumineuses, je n’en suis pas pour autant ce qu’on pourrait dire omnisciente et je fais encore des découvertes, surtout depuis que nous sommes arrivés dans cette dimension. Ainsi, il est nécessaire de faire une récolte de données afin de pouvoir m’assurer d’offrir une vie la plus seine possible pour ces végétaux peuplant mon jardin. Et jusque maintenant, il n’y a rien de particulier à notifier. Tout se passe bien et une bonne moitié de cet immense endroit est passé sous mon radar. Je suis plutôt surprise, j’ai pour habitude de découvrir de nouvelles choses à chaque fois mais cette fois-ci, tout est calme. Cet inventaire pourrait bien finir plus vite que prévu.

Je prends tout de même une pause, le temps de boire une bonne tasse de thé, puisque je suis en avance, et reprend mon travail. Avec un peu de chance, je pourrais bien finir ça en une journée pour une fois. Mon service continue là où il s’est arrêté, dans un petit coin aux reflets un peu plus boisés avec quelques arbres. Certains sont d’ailleurs fruitiers, ainsi ai-je la chance d’avoir un pommier par exemple dans mon petit jardin, permettant de vendre les fruits de notre récolte au travers du ElemHunt. Je check un peu de tout, du moindre pistil au moindre tronc, en passant par les racines, jusqu’à ce que je tombe finalement sur une donnée totalement inconnue à mon petit équilibre.

En effet, j’ai face à moi, dissimulée entre un buisson et un tronc d’arbre, une fleur qui ne devrait rien avoir à faire là. Je l’examine un peu plus, me posant quelques questions sur comment a-t-elle pu finir ici. En tout cas, elle est très belle et, audacieuse, je me baisse légèrement pour en sentir le parfum. Mais, comme si la fleur était dotée d’un système de défense, la voilà qui me crache un peu de pollen ou quelque chose de ce genre, me faisant un peu éternuer sur le coup. Je ris, ne m’y attendant pas. Mais ce petit rire ne se trouve être que de courte durée car je me trouve soudainement prise d’une fatigue intense, insoutenable, à un point qu’il ne me faut que quelques secondes pour finir allongée sur le sol, mes queues me servant de coussin pour amortir ma chute, et m’endormir sans avoir réellement eu le temps de comprendre ce qu’il se passe.

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Les contrées du Chaos / Re : Voyage imprévu [Marguerite, Shamir & Daraen]
« le: dimanche 17 mars 2024, 17:33:59 »
PoV Daraen :

Plus les minutes passent, plus je laisse le désir prendre possession de mon être, n’étant motivé peu à peu plus que par mon envie de découvrir et goûter le corps de Marguerite. Cela faisait bien longtemps que je m’étais autant laissé aller. Je n’ai pas pour habitude d’accepter les avances de la première demoiselle venue mais celle qui se trouve sous mon toucher a su pénétrer mes défenses et faire un peu plus ressortir l’homme qui est en moi. Je reste une personne appréciant les plaisirs de la vie bien que je fasse en sorte de ne point en abuser.

Lorsque mes doigts passent sur sa peau, je peux sentir les frissons qui la parcourent à mesure que je m’implique davantage dans cet acte de sensualité. Je continue d’attaquer cette zone sur laquelle mes lèvres continuent de passer, marquant chaque parcelle de peau de mes baisers. Sa voix continue de me motiver toujours plus dans mes actions charnelles. Je me sens comme ensorcelé par cette demoiselle et je ne cherche aucunement à résister à ce charme qui faire effet en et sur moi. Je m’arrête un instant et crois comprendre qu’elle s’offre un peu plus à moi, son oreille me faisant face. Serait-elle sensible à cet endroit ? C’est dans la continuité de vouloir en apprendre toujours plus sur elle que j’en fais ma nouvelle victime, le lobe de son oreille finissant bien rapidement entre mes lèvres, léchant et suçotant, testant ses réactions suite à cet acte.

Mes mains continuent de la parcourir de part en part et quelques mots s’échappent de ses lèvres, me faisant arrêter tout ce que je faisais. Je me doute bien que ce ne sont que des mots prononcés avec une lucidité effacée mais cela a quand même réussi à me laisser comme stupéfait. Si cela me laisse ainsi pantois, c’est à cause du fait que mon esprit travaille et je me trouve plongé dans une réflexion minime qui me coupe tout de même dans l’action. Pensé ou pas, serait-ce envisageable ? Au-delà de ma simple personne, je me le demande pour elle. L’ElemHunt ne manquerait pas de place pour une personne supplémentaire en tout cas. Néanmoins, je pense que le moment n’est pas à ce genre de discussion ou réflexion. Mais je me permets quand même une porte ouverte, répondant dans un même murmure :

- Alors ne partez pas et restez ici…

Nous laissons ensuite de nouveau nos corps s’exprimer, Marguerite souhaitant elle aussi pouvoir me toucher à travers mes habits. Je la laisse retirer les boutons de ma tenue et l’aide même dans son geste, me retrouvant torse nu en un instant, déposant mes affaires au pied du lit. Puis, je me laisse entraîner lorsqu’elle bascule, me retrouvant au-dessus d’elle. Je perds mon regard dans le sien, le désir devant désormais se lire dans mes yeux avec aisance. Je me penche, lui adressant un énième baiser, plus différent des précédents, cherchant à venir rencontrer sa langue avec la mienne pour le rendre plus langoureux. Mon cœur s’emballe et mes pommettes doivent prendre une teinte un peu plus prononcée au travers de ma peau ambré.

Je tire ensuite un peu sur son habit, dénudant désormais ses épaules, ainsi que la partie supérieure de sa poitrine, me révélant une majorité de son buste. Je l’effeuille avec douceur et patience, souhaitant pouvoir profiter de son corps dans son intégralité en prenant mon temps. Quelques nouveaux baisers rejoignent cette pensée, se déposant sur cette nouvelle partie de peau s’offrant à moi. Puis je me redresse encore, n’ayant de cesse de me satisfaire de ces multiples contacts visuels que nous avons. Je profite encore de ces quelques minutes où la lucidité demeure avant de finir par succomber aux vices qui veillent sûrement déjà sur nous depuis bien longtemps.

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