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« le: lundi 17 juillet 2017, 20:46:53 »
*Merdemerdemerdemerdemerde*
En effet, on ne pouvait choisir meilleur mots pour la situation merdique dans la qu'elle Okio venait de tomber contre son gré. Marchant à pas rapide, pour ne pas dire courir comme un dérater, essayer de mettre le plus de distance possible, mais la nervosité fessait claquer ses talons contre le sol, résonnant dans les ruelles, en sueur et des sueurs glacés coulant dans son dos. Ils n'allaient pas le laisser passer tranquillement, il ne pouvait pas s'en sortir avec une simple promesse.
*Putain j'veux pas crever*
Accaparer par ses lamentations, sa course et le bruits de ses talons, il ne put entendre, ni voir l'homme, ou plutôt, la créature qui lui tomba dessus, le plaquant violemment contre le murs, cognant sa tête, lui assurant un bonne bosse, et de lui tordre le bras dans son dos, arrachant un crie de douleur à Okio, sa joue gauche contre la pierre, commençant à pleurer. Plaquer, impuissant et à la limite de se faire dessus, bien qu'ayant déjà évacuer chez son ami.
« Alors, comme ça, on espionne les grandes personnes, ma belle ? J'dois t'avouer que j'suis vraiment, mais vraiment pas d'humeur en ce moment... Dis-moi ce que tu as entendu. Maintenant. »
Apeuré, Okio ne put répondre, sans parler du fait qu'il blêmit et devenant pale brusquement, des sons s'échappant de ses lèvres, mais assurément rien d'une langue connue. Paralysée, il ne pouvait que contempler la créature qui se dressait derrière lui. Une créature fantasy, issus de folklore et support d'imagination divers. Grand, menaçant, dangereux et réelle, Okio réaliser à grande peine le danger de la situation, croyant devenir fou et qu'il fut drogué ou en plein cauchemard mais c'était la réalité.
Cette chose, Okio ne pouvait penser autrement, semblait s'attarder sur son corps, le détaillant. Il pensait qu'il allait finir dévorer, ses larmes coulant et comme pour lui donner raison, la bête se pencha, plaçant ses crocs sur son frêles cou, frottant sa peau, l'entaillant légèrement. Un immense et horrible frisson parcourue Okio qui en trembla.
Ce fut peut être l’élément qui permit à la bête de sortie Okio de sa léthargie, car Okio finit par pleurer, et remercia le ciel dans sa tête de s'être vider avant, pleurant et gesticulant bêtement, avant que la prise ne se renforce et que la pression ce fasse plus forte. Okio cessa de gigoter, mais commença à se lamenter et à supplier.
-Pitié, j'veux pas mourir ! J'suis trop jeune ! J'ai pas fais exprès, me suis perdue bouhouhou ! Annonça pitoyablement Okio. J'ai rien vue, j'vous jure... je snirfle... enfin... Bredouilla Okio, entre reniflement et quelque sanglot.
Okio éclata en sanglot, autant à cause de la bête, qui n'avait rien pour arranger la situation que de la situation. Il fallut un moment avant qu'il puisse reprendre la parole.
-J'ai juste entendue marché noir et objet illicite et dangereux... j'ai comprit que ça... me manger pas... Continua Okio, avant de pleuré et de reprendre la parole. Je dirais rien, j'le jure, je sais même pas que c'est de la drogue ou des armes... .
Mais ce n'était pas pour arranger ses affaires, et il le savait bien. Dans l'action, ses sens en émois et son esprit pervertie et vicieux, commença à lui donner des bouffé de chaleur, comme cherchant à le calmer. Cette position, la proximité de la bête et son souffle chaud, commencer à excité Okio, la peur semblant s'en mêler, se découvrant une nouvelle source d'excitation, cette positon de dominance, parfaite pour se faire culbuté avec force, et des images venaient perturber sa conscience, la bête s'étalant et s'écrasant contre lui. Sa queue se raidit lentement et Okio se découvrit une solution pour s'en sortir, mais plus guider par la peur et l'envie de vivre, tombant en désespoir de cause, dans ce qu'il fessait de mieux : vendre son corps. Mais ce n'était pas pour le déplaire, en dépit de la situation.
Fébrilement, de sa main libre il chercha et finit par mettre sa main sur le paquet de la créature, tâtant, palpant et caressant au mieux l'autre bête, cherchant à faire une tête qui puisse montré au mieux ses intentions. Mais ça montré surtout qu'il n'avait plus que ça en dernier recours et qu'il était quelque peu désespérer.
-On... on peut s'arranger hein ? Ahah... Je... je fais ce que vous voulez... la sodomie, la pipe ou une de vos positions préférer et vous... vous me laissez en vie ?? Annonça fébrilement Okio. Me manger pas et... et je m'occupe comme une pros de vous ! C'est... qu'un malentendus ! J'voulais pas.... pitié violé moi, mais laisser moi en vie ! Continua Okio, des larmes recommençant à couler.
*J'veux pas mourir... putain il a un sacré paqu... pense pas à ça ! Merde tu peux crever comme un chien ici ! Faut que j'm'en sorte... oh merde j'ai envie de le sentir en moi...CONCENTRÉ ! RESTE CONCENTRÉ ! Je veux juste qu'il me culb... non qu'il m'épargne... je raaah.*
Partagé entre la peur et ses pulsions, Okio fessait un compromit, s'offrant en pâture à la bête, avec la chance de s'en sortir et de rester en vie ! Mais ses envies dévorantes devenaient plus forte et la peur et la situation contribuer à son excitation.