Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Okio

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Centre-ville de Seikusu / Re : Rencontre professionelle [PV Yûko]
« le: mardi 01 août 2017, 22:43:25 »
   Ce triangle était intense et jouissif, les trois personnages se donnant à cœur dans l'ouvrage. Les paroles de Yuko furent étrange aux oreilles des deux autres, jusqu'à ce que Oki lâche un petite crie de surprise purement féminin, quand Yuko entreprit de lui offrir un cunnilingus des plus agréables. Elle lécha et pénétra de langue la rondelle, inondant de bave les lieux, dévorant l'arrière train du femboy, qui mordilla sa lèvre inférieur, ses jambes de par et d'autre de la tête de la vrai fille, ses mains s'occupant de la poitrine opulante de sa partenaire, pinçant doucement ses tétons, les fessant rouler entre ses doigts ou malaxant directement le sein. De vrai lesbiennes, si Okio n'avait pas le service trois pièce, permettant de bien confirmer son sexe.

   Ce dernier était tendue à l’extrême, du pré-sperme s’écoulant lentement, stimulé par le seule plaisir que ressentait Okio. C'était assez dérangeant, mais tout aussi agréable. Okio refusait de se soulager, se laissant frusté, prenant plus son pieds par les stimulations que lui procurer la langue de sa partenaire contre sa rondelle et ses parois internes, gémissant à chaque coup de langue. Mais après quelque minutes, une fois sa rondelle dégoulinant de bave, la belle Yuko enfonça deux doigts, commençant un petit fistage, fessant de rapides allers et venues. Okio ne manqua pas de lâcher un petit crie de surprise, avant de gémir continue, soufflant profondément parfois, murmurant tant tôt un « oh oui » ou « Putain c'est bon » discrètement, tête légèrement relever, yeux mi-clos.

   De l'autre côté, l'homme du jour, s'activer pour faire plaisir à cette délicieuse salope, mais après quelque minute, il due s'avouer vaincu, car il pensait la faire jouir avant lui, mais elle était tenace, s'imaginant très bien pourquoi elle tenait autant. Ou bien il était mauvais, mais cela ne lui vint pas à l'esprit. En réalité, après quelque minute, ce fut autre chose qui lui vint à l'esprit. Il donna quelque coup, avant de s’arrêter, loupant de peu de lâcher la sauce.

-Mes petites salopes, j'ai une idée qui vas vous plaire ! Annonça t-il. Okio retire toi et toi Yuko à quatre patte !

   Il attendit qu'elles s'exécutent, se masturbant pour entretenir la machine, avant de placer Okio devant la croupe de Yuko. Sans prévenir, il enfonça d'un coup son chibre dans le cul de Okio, lui arrachant un crie de plaisir et de surprise, avant de le pousser, guidant sa trique vers la rondelle de Yuko, et donna un violant coup de bassin. Par ricochet Okio s'enfonça assez brutalement dans beau cul de Yuko. Un sandwich curieux. Il coucha le femboy sur la fille et entreprit de culbuté Okio avec vigueur, qui bougeait son bassin au même rythme, sodomisant tout aussi violemment Yuko, offrant une jolie réaction en chaîne.

   Tandis que l'homme tenait Okio par le cul, ce dernier avait une main sur la poitrine de Yuko, l'autre sur son intimité, la masturbant énergétiquement, pinçant et roulant entre ses doigts le clitoris, en plus de lui mordiller affectueusement l'oreille.

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One Shot / Re : Le chantage [PV Okio]
« le: vendredi 28 juillet 2017, 00:43:51 »
   Ce fut une fois qu'il commença à détailler de l’œil les environs. Ce qui le choqua, fut le bureau, loin de l'idée qu'il s'en fessait, fessant plus penser à une loge d'artiste ouverte au public pour montré les coulisses d'un spectacle. Il ne fut pas déçu, seulement surprit, s'attendant à quelque chose de pus strict et sérieux, de même que de la fameuse chef, pensant trouver une femme plutôt sérieuse et autoritaire, habiller en vêtement de majordome ou quelque chose s'en rapprochant. C'était une femme bronzée, peau chocolat, chose rare pour une japonaise et habiller en sous-vêtement cassant net l'image qu'il avait des boites de luxe. Et ce n'était pas pour le déplaire, la chef semblait sympathique et comme lui à ses yeux.

- Alors c'est toi le petit jeune auquel le patron as mis le grappin dessus. Il n'avait pas tord en disant que tu était mignon.
-Mer...

   Okio s’apprêtait à la remercier du compliment, mais s’arrêta dans sa lancer, son regard se verrouillant sur l'entre jambes de la femme, quand celle-ci se déplaça pour le voir. Son esprit se vida pour faire ressurgir ses fantasmes, le plaisir naissant, son propre attirail commençant à se durcir. Une shemale ! Et bien fournit en plus ! Il n'avait même pas commencer son boulot qu'il l'aimait déjà ! Il bouillait lentement sur place, résistant à l'envie pour rester professionnel. Mais la tentatrice ne l'aider pas, commença déjà à l'inspecter, pouvant voir que Okio commençait à avoir une respiration plus rapide, gagnant en rougeur et une bosse se formant au niveau de son entrejambe, prenant la forme de sa pine, alors qu'il essayait malgré tout de rester sérieux. Il commençait même à saliver, se léchant les lèvres, son regard pervers suivant le balancement de la trique, ne laissant aucune place au doute quand à ses envies. Il soupira d'aise, en sentant la délicieuse trans le palper, caressant furtivement ses cuisses mis en évidence, loupant le vit.

- Dit moi mon garçon. Le patron m'as dit que tu aimer beaucoup être baiser par des garçon qu'en est il des transexuelle. Trouve tu ma queue à son gout vu comment tu la lorgne ?

   Pour toute réponse et sans aucune gêne, Okio attrapa la verge à pleine mains, commençant un douce masturbation, sourire et regard enjôleur, plaçant son autre sur les fesses de la chef. Montrant son manque de pudeur, son cynisme et son audace, Okio n'avait peur de rien, même si c'était sa chef.

-Homme ou femme, trans ou non, tant que ça peut me culbuter ou que je peux les sucer, je les adore. Susurra Okio, la respiration lourde, montrant son excitation. J'ai qu'une envie, c'est de vous sucer longuement, mais vous êtes ma supérieur, j'peux pas me conduire comme ça pour me premier jour.

   On pouvait voir qu'il lui en fallait peu pour le faire et que la chef avait allumer les flammes de la passion et ses fantasmes. Okio n'avait qu'une envie, s'était de baiser avec sa chef, se faire prendre par elle pendant des heures. Il commençait à avoir des sueurs, sa bite au sommet de sa forme et l'envie irrésistible de la sucer. Mais il fessait preuve d'un contrôle admirable, ne se laissant pas totalement envahir par ses pulsions, démontrant sa maîtrise de lui-même. Mais ça ne l’empêcher pas de masturbé tranquillement sa chef, comme si c'était normale.

-J'ignore ce qui m'attend, mais j'ai hâte de les découvrir avec vous. Annonça Okio.

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- J'vais t'avouer que j'ai été pas mal surprise quand ça m'est arrivé, je savais pas quoi faire. Et puis si j'avais voulue faire ça pour me faire passer pour une fille, j'aurais au moins conservée mon membre, pour prétendre être une Futanari. Moi qui avait toujours rêvée pénétrer une belle petite chatte humide, ça n'arrivera plus jamais maintenant. Toutefois, jamais je n'aurais pensée que le plaisir féminin pouvait être aussi... incroyable...

   Okio ne sut quoi dire, se sentant désoler pour son ami, et aussi perplexe, car visiblement il n'était pas devenue une fille de son plein grès et n'avait rien fait pour. C'était impossible à concevoir. C'était bien Takerue devant lui ou bien... ou bien c'était vraiment sa sœur jumelle qui se foutait de lui. C'était logique et la seule possibilité, mais Okio sentait bien qu'il lui disait la vérité, ou plutôt elle maintenant. Une histoire à s'en arracher les cheveux. Mais la suite des paroles mirent Okio un peu mal à l'aise, car c'était étrange d'entendre ça de la bouche d'une pe

- Humm... Je sais que je ressemble plus trop à un garçon maintenant, mais trouver une Futa risque d'être compliquer, surtout si je ne tombe que sur des filles. Pas que les bites m'attirent vraiment, mais la curiosité, tout ça...

   Okio arqua un sourcil, comprenant rapidement de quoi il parlait, mais n'arrivant pas à le réaliser pleinement, bloquant sur ces paroles.

- Au moins pour savoir ce qu'elles ressentent... savoir ce qu'une fille aurait pu ressentir si j'avais pu avoir la chance d'en baiser une... je pourrais demander à un mec quelconque, mais ça m'attire pas. Heureusement, toi tu ressemble assez à une fille pour faire l'affaire.


   Okio cligna des yeux. C'était aussi dure qu'impensable d'y croire, venant de son camarade pervers, qui ne jurait que par les filles, les boobs et ses envies de coucher avec. N'étant pas habituer à le faire avec des filles, Okio, malgré sa dépravation, était assez réticent à l'idée, surtout venant d'une personne comme Takerue qui ne rêvait que de culbuter une fille et qui était hétéro, enfin lesbienne désormais, jusqu'à la moelle. Bon il avait parler de futa et que Okio s'en rapprocher grandement, mais dans la forme, dans le fond Takero demander à un garçon de le baiser et Okio se sentait un peu mal, car Takero lui avait bien fait comprendre que les hommes c'étaient non. Mais il devait reconnaître, qu'il était bien tenté au fond de lui même, malgré sa réticence.

-Bon... euh je crois cette histoire t'es monté à la tête... on vas y aller plus doucement parce que... parce que c'est trop chelou comme histoire et tu m'a pas l'air vraiment clean. Donc on... on ce revoit ce soir dans ma piaule ? Ça sera plus simple, parce que là c'est un peu trop pour moi. Se hasarda Okio. Calme un peu t'es hormones jusque là.


   Cette situation était vraiment bizarre et Okio avait du mal à réaliser les changements de son amie, tant physiquement que mentalement visiblement. Il lui fallait digérer un peu l'information, c'était irréaliste et pourtant bien réel, son ami était devenue une fille... comme ça, sans raison ou justification. Néanmoins, Okio posa une question légitime, alors qu'il s'engageait vers la sortie, bien qu'il ne doutait étrangement pas de son amie, cherchant à trouver une raison.

-T'es pas aller en Thaïlande pour changer de sexe par hasard ?

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   Sa délicieuse fellation semblait mettre à bas la futa, qui due se maintenir à la porte pour ne pas glisser, enchaînant les gémissements et couinement. Okio s'appliquait pour sa gourmandise favorite, fessant gémir sa « maman », lui offrant tout son savoir faire, cherchant à la faire jouir et se gaver de son foutre. Il le fessait si bien, que sa « maman », finit par craquer, retirant de son sexe de la bouche de Okio et plaquant ses mains sur sa tête. Okio ouvrit la bouche, de façon à accueillir le braquemart dans un fourreau baveux et moue. Elle le fit pivoter, de façon à venir le plaquer contre la porte des toilette, avant d'enfoncer son dard, sans même chercher à faire durer le moment, enchaînant les allées et venues, limant la gorge de Okio, le réduisant à l'état de poupée.

   Ce dernier, ne pouvait que révulser les yeux pour regarder cette délicieuse créature qui combler ses fantasmes, plaçant ses mains sur les fesses de la femme, pétrissant au mieux ses fesses, tout en donnant le mieux possible des coups de langues, restant dans sa positon de départ, accroupie. Sa gorge se déformer à chaque coup, l'étouffant à moitié, produisant de la bave en quantité, provoquant des bruits humides et des hoquets étouffés, sa trique dur, lui fessant mal. Le bassin claquer contre ses lèvres, à un rythme soutenue, voir même infernal, fessant couler des larmes à Okio, par pur réflexe de son corps, devenant lentement rouge sous le manque d'air, alors que Okio était dans l'extase, du pré-sperme s'écoulant de son vit.

   Et au rythme des coups, Okio pouvait sentir le pré-sperme qui tapissait parfois sa langue, en quantité assez importantes, avalant au mieux, bien que remuer par les mouvements de la queue, glissant parfois de ses lèvres. La futa n'était pas loin de jouir, Okio en était sur, changeant la pression de sa mâchoire sur le vit, rendant l'endroit plus ou moins serré.

Raaaah ! Raaah ! Voici... ton.. ton lait... RAAAAAAAAAAh !


   Okio répondit par des hoquets étouffer et humide, alors qu'elle ralentit considérablement, jusqu'à finir par maintenir les lèvres de Okio contre la garde de sa verge se mettant à jouir, se vidant directement dans l’œsophage, empêchant Okio d'en savourer la texture et le goût. Il força, afin de contenir la trique dans sa bouge, à la limite de l'entré de sa gorge, afin d'avaler de forcer le foutre, jusqu'à pouvoir garder en bouche les quelques dernières giclés, avant de ravaler la bite, délivrant l'ultime jets de foutre. Elle se retira lentement, Okio provoquant un ultime bruit succion, bien sonore, raclant le foutre et la bave, laissant tout de même une petite pellicule des deux.

-Pffoouuaa... aaah.... aaah...


   Okio, bouche ouverte, laissant voir sa bouche tapisser de foutre, haletant fortement, les yeux river sur la futa, complètement envahit par le plaisir et la luxure, en redemandant par son seul regard, ses bras lâchant les fesses de la délicieuse futa, pour se placer sur le sol, alors qu'il tombe à genoux. Il ferma la bouche et déglutit, avalant le précieux nectar, sans cesser de regarder la futa.

Qu'attend tu pour te mettre nue ? Je vais te démontée au point où les clients t'entendront
-Oh oui ! Souffla Okio.

   Opinant du chef, il entreprit de se défaire de ses bottes, les jetant plus loin, suivit de son pantalon, dévoilant l'absence de sous vêtement et un sexe ériger, dur et couvert de sperme, bien qu'il remit sa ceinture et garda le reste. Il attrapa le haut de la porte, et fessant preuve de souplesse et de force, car malgré son apparence, il est plutôt bon gymnaste, et entreprit de ceinturer la taille de la futa avec ses jambes, soufflant et tremblant un peu sous l'effort.

-J'ai... toujours rêver de faire ça avec une futa comme toi.
Susurra Okio, le regard enjôleur et plein d'extase.

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« T'as l'air habitué à te faire péter le cul hein, ma belle ? »
-Guurgg... p... pas... comme ça... parvint à émettre Okio, malgré la douleur et ses gémissements.

   Aucun de ceux qui l'avait sodomiser, n'avait eu d'aussi grosse queue et ne lui avait fait autant mal d'une simple pénétration, même avec ça toute première fois avec son ravisseur durant son enfance. C'était un monstre, il aurait due en déduire que son appareil le serait tout autant, mais sa vie était en jeu, il n'avait pas le temps d'avoir de t-elle considération. Et puis ça ne l’empêcher pas d'avoir une gaule d'enfer et d'avoir sa prostate écrasé par la présence massive de la queue, la douleur se mêlant au plaisir, curieux contraste qui commençait à se mélange, Okio bien trop vicieux et dépravé pour que la douleur durent longtemps et qu'il ne ressente que le plaisir, son corps s'adaptant lentement. En même temps, de sa grosse paluche, la bête saisit à travers de ce qu'il restait de son pantalon, le petit calibre de Okio, palpant avec rudesse, constatant la dureté du sexe et donc le plaisir de son jouet.

« C'est que ça t'excites d'être violé, p'tite chienne ?  C'est... »

-Je...MMPPHHRRRGG.. . Ne put qu'émettre Okio, alors que le bestiau retira et enfonça à nouveau son monstre dans les entrailles de son jouet, sans réel douceur.
« Ça que tu veux, petite pute ? »
-Guuuuu....

   Il ne pouvait même pas en placer une, la créature folklorique ne lui laissant pas le temps, comme si elle se moquait de ce pouvait dire, lui infligeant des douleurs importantes, mais qui ce muer peu à peu en plaisir, les pénétrations gagnant en sensation plus agréable et moins douloureuse. La bête claqua ses fesses, lui arrachant un nouveau gémissement, cette dernière violente et douloureuse. Puis les choses sérieuse commencèrent, annoncé par un rire sadique et glacial, les vas et viens commençant à s’enchaîner. Des coups lourds et rapides, des coups bestiaux, animés par des pulsions sauvage et animal, raclant, limant et pilonnant le pauvre Okio, qui n'était pas habituer à de telle coups, mais qui prenait de plus en plus son pieds, ses gémissements et ses cries de douleurs laissant petit à petit place à ceux du plaisir.

   Il ne fallut que quelque minute pour que ses cries ne soient désormais, que des cries de plaisir, résonnant dans les ruelles, hurlant son bonheur à la lune, alors qu'une femme normale ressentirait encore de la douleur. La bête vint attraper la tête de Okio, cette dernière toujours plaquer contre le mur, offrant de côté un magnifique tableau, son visage exprimant que de la joie et du plaisir, ses yeux presque révulser, fixant au mieux la créature, sourire enjôleur, de la bave coulant un peu. Il l'écarta du mur, l'obligeant à regarder le ciel étoilé, la lune visible, bien que des nuages la masquer un peu. Okio ce laissait faire, ce laissant dominer et manipuler, non plus dictés par la peur, mais par le plaisir, son corps tremblant sous les coups, ne touchant presque plus de le sol. La torride créature vint l'embrasser, lui masquant la vue, enfonçant son épaisse langue dans la bouche de Okio, manquant même de l'étouffer, cette dernière déformant le haut de sa gorge.

   Okio répondit au baisser avec ardeur, suçotant et léchant la langue de son amant, enroulant ses bras autours de son cou, fessant jouer son bassin sur la queue épaisse et longue qui limer ses parois rectales, contractant parfois ses fesses, serrant ses muscles pour renforcer l'étau sur la queue, les pénétrations encore plus intense ainsi, se rendant plus étroit. La bête ne pouvait que constater que sa proie ne jouer pas les victimes, se donnant pleinement à elle et cherchant à lui faire plaisir au mieux, prenant un plaisir monstre à se faire prendre avec ardeur.

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Vous nous quittez déjà ? / Parce que des soucis !
« le: dimanche 23 juillet 2017, 20:37:57 »
Bonsoir à tous ! Désolé de mon absence  (pas grand chose sans doute) mais j'ai fais face à diver soucis et tracas, aussi bien dans ma routine qu'avec l'ordinateur ! Maintenant tout semble s'arranger, mais c'est pas tout de suite que je reprend mes rps ! Du moins jusqu'à demain ! (Sauf si je trouve un chtit moment pour ce soir)

Bonne soirée !

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Prélude / Re : Zabusa Hikiko.[ValiHTMLisé]
« le: jeudi 20 juillet 2017, 23:13:51 »
*Y repond avec plaisir, le serrant dans ses bras et frottant son bassin contre le sien*

23
Prélude / Re : Zabusa Hikiko.[ValiHTMLisé]
« le: jeudi 20 juillet 2017, 22:31:18 »
OUAH ! Un camarade ! Bienvenue parmi nous ! Au plaisir de faire ta connaissance !

24
One Shot / Re : Le chantage [PV Okio]
« le: mercredi 19 juillet 2017, 23:07:50 »
   Malgré l'attendre, Okio ne fut ni impatient, énerver ou frustré, sachant très bien qu'il serait un jour rappeler. D'ailleurs ce fut en plein travail d'un devoir maison, qu'il fut appeler par son patron, ayant faillit raté l'appel.

-Oui bonsoir patron ! Répondit assez précipitamment Okio en décrochant.

   La discussion fut peu enclin au familiarité, Zéro ne parla que travail, ce qui était normale, Okio peu chamboulé, ayant déjà passer des appels pour des boulots à mi-temps et quelque entretien. Le lieu et la date furent donner, ainsi quelque détail, comme sa tenue pour éviter de nouveau problème, surtout au vue de l'endroit. Ce fut l'endroit dont Okio se souvint d'avoir apparemment volé quelque client sans trop le savoir. Puis vint les dernières explication, à savoir qu'il était pas obliger d'obéir et qu'il y avait tout sur place, ce qui pouvait l'épargner, si il voulait, d'amener ses propres tenues ou affaire. Ainsi que le fait qu'il ne puise venir le voir, mais que tout était préparer pour son intégration et le guider dans son travail et le fait qu'il doit ne pas être en retard.

-Vous pouvez me faire confiance, je serait à l'heure. Rassura Okio. Au-revoir et bonne soirée patron !

   Bonne nouvelle pour cet journée morne et sans péripétie. Il fit une pause dans son devoir, préparant déjà ses affaires pour le boulot, afin de gagner du temps. Ça lui prit la moitié de la soirée, loupant son repas, et remettant son boulot à plus tard. Il avait choisit une chemise blanche, assez ample pour lui, un jean bleu classique et des converses, cela dit il avait mit une sorte de bikini. Il partait sur quelque chose de simple pour le premier jour après quelque réflexion, autant aller au plus simple on verra bien ensuite, une sacoche pour son portable, son portefeuille et divers produit de beauté.

   Vendredi après les cours, devant le Royal. La journée était passée vite, et Okio était partie une fois les cours finis et s'être habiller, afin d'arriver à l'heure, afin d'être sur d'arriver à l'heure si il se trompait de chemin ou si il n'arrivait pas avoir un taxi. Par chance il put prendre un taxi, ces derniers fessant toujours des détours par le lycée, bien que le sien semblait faire exprès de prendre des chemins inutiles pour rallonger le parcours, malgré ses demandes. Il put arriver à temps, mais lui coûta plus de la moité de son argent prévue pour l'aller et le retour. Néanmoins, il put arriver en avance de plusieurs minutes. La clientèle était chic, bien plus que Okio qui fessait un peu tache avec ses habits bas de gammes.

   Confiant il se dirigea vers l'entré, passant devant tout le monde, certain le regardant bizarrement, surprit. Il reconnue un des gros bras de Zéro, celui qui était aller cueillir à l'ascenseur, qui le remarqua bien vite et s'occupa de lui, lui tendant un badge que Okio et qui due crier pour se faire entendre à traver la musique et la foule discutant.

- C'est un pass pour les employer. Prend la première porte à gauche après l'entrée et monte les escaliers jusqu'à l'étage au VIP. Je préviens la chef de ton arrivé.
-Bien reçu ! Répondit Okio sur le même ton.

   Il ne perdit pas de temps à faire par de sa surprise, se s'attendant pas à quelque chose d'aussi préstigieux pour ses débuts. En faite il s'attendait à tous, car Zéro était quelque de riche et puissant, il pouvait s'attendre à tout. Mais c'était tout de même surprenant. Il suivit les directions, ne s'attardant pas dans le hall, bien qu'il perdit quelque seconde dans la contemplation de la richesse et du luxe des lieux, et fuyant plus ou moins les regards aussi bien hautain que dédaigneux devant cet inconnu, et pauvre visiblement, qui n'était pas à sa place.

   Il grimpa rapidement l'escalier, ne croisant personne, si ce n'est qu'une femme de ménage ou une servante, qui ne lui accorda qu'un bonsoir polie. Une fois en haut de l'escalier, il tomba sur un nouveau hall, en forme de demie cercle, avec plusieurs couloirs, et au centre, un sorte de bureau de luxe, avec une femme belle et présentable dedans, semblant gérer l'endroit. Okio s'avance, nullement dérouté ou intimité par l'endroit.

-Bonsoir, je suis Okio Zarachi et je viens faire ma première soirée de travail.
Annonça t-il en présentant son badge. Êtes vous ma responsable ?

   Okio se présenta, par politesse, dans le doute où la femme n'était qu'une simple employer comme lui et qu'elle ne soit pas décontenancer devant l’étrange personne que pouvait être Okio et ne crois qu'un intrus venait d'entré illégalement. Okio était un peu nerveux, se sentant un peu perdue, malgré l'assurance qu'il montrait en façade. Reste à savoir à quoi ressemble la fameuse chef !

25
   Jusqu’à vendre son cul lui avait rendue service, pourquoi pas lui sauver la vie ? En tout cas cela sembler plaire à la créature, que Okio pouvait maintenant identifier comme une sorte de loup ou quelque chose de proche, car rapidement il sentie la bête prendre de l'ampleur, se gonflant de sang, Okio parvenant avec mal à bien s'imaginer le morceau, mais nul doute qu'il était plus imposant que celui d'un humain, parmi tous ceux qu'il avait put sentir jusqu'à maintenant. Cela vint à lui poser comme question si il était pas aller un peu vite ? De toute façon c'était trop tard et il aurait sans doute finit par se faire violer. Il frémit en sentant le contact assez inattendue de langue, la bête léchant son cou, à l'endroit même où il avait placer ses dents.

« T'es vraiment une petite pute, toi, hein ? Vouloir vendre ton cul pour sauver ta peau... »
-C'est... c'est naturel faut croire. Souffla Okio, comme si un manque de réponse aurait de mauvaise conséquence.

   Il se tut et déglutit, sentant l'imposant membre se poser contre ses fesses, c'était clairement plus gros que son plus gros gode, pouvant sentir le sang pulsé à travers les veines, la chaleur du morceau et n'arrivant pas à se donner une idée des dimensions. Plus large qu'une canette de soda, ce fut sa seule estimation possible. Okio commença à regretté son geste, voyant venir de loin la douleur qu'il ressentirait, que rien ne serait semblable à ce qu'il avait put ressentir jusqu'à maintenant. Mais à l'instar de son inquiétude qui grimper en flèche, sa libido prenait peu à peu le dessus, s'imaginant les sensations de plaisir, de sentir ce bélier en lui et la bête s'abattre sur lui, plaquant ses muscles contre son dos. C'était aussi excitant que dangereux, renforçant sa trique et du pré-sperme s'écoulant.

« J'vais t'violer, salope. J'vais t'éclater, jusqu'à que t'en crève. Et si t'y survis... P'tète que j'te laisserai en vie. »


   Okio réssita à l'envie de répondre, car c'était pas un viol car il était consentant, et qu'il était sur de survivre, pourquoi ? On parle d'un type qui s'est fait ramoner le conduit arrière par tout type de calibre, il pouvait tout encaisser et ça il en était sur. Il laissa échapper un crie de peur, quand il sentie son pantalon se déchirer, arrachant au passage, sa culotte noir en dentelle. Dommage il aimait bien ce pantalon et cette culotte. Mais pensant que la créature allait le faire dans les règles de l'art, ce dernier écarta ses fesses et posa son bélier contre sa rondèle.

-Putain, att..UURGGHmmfff. Glapit Okio.

   Une pénétration à sec, douloureuse, puissante et horrible. Okio faillit tourner de l'oeil devant la douleur et le coup, ses yeux se révulsant, des larmes coulants et ses dents se serrant, son visage formant une grimace. Il respirait par à coup, n'arrivant même pas à hurler, paralysé. Dieu merci, son cul était habitué avec un gode imposant, mais cela lui avait seulement épargner de grave lésion interne, ses parois rectales parvenant avec mal à contenir la bête, des blessures se formant, de petite hémorragies se déclarant, le sang venant faire un peu office de lubrifiant. Il ne pouvait le vérifier, mais il était sur que ce monstre déformer son ventre, vue qu'il était plutôt mince, il ne serait pas surprit.

   Plaquer contre le mur, gémissant de douleur et faiblement, Okio pleurer plus ou moins silencieusement, son regard pratiquement révulser, semblait déconnecter de la réalité sous cet assaut aussi violent que brutal, hocquetant parfois. C'était son choix à lui de l'assumer maintenant.

26
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 18 juillet 2017, 00:32:29 »
Oh oui ! On n'est pas déçu du résultats !

00h32

27
- Je... Je vois pas de quoi tu parle... Je m'appelle Takeko, je suis la sœur jumelle de Takeru. On a échangé d'établissement à le demande de nos parents pour varier nos fréquentations. Lui a été envoyé à Kyoto et moi je me suis retrouvée ici.

   Takeru avait beau bien si prendre, il avait en face de lui un homme efféminer ayant l'habitude de se faire passer pour une femme, ce n'était pas vraiment le genre de personne qu'on pouvait tromper aussi facilement. Mais la ressembler aider quand même, et depuis le temps Okio aurait entendue parler d'une fameuse sœur jumelle du nom de Takeko. Il lui fit donc un grand sourire innocent, affichant clairement qu'il n'était pas dupe.

- Bon, okay, tu m'as grillé, c'est bien moi, mais appelle moi Takeko plutôt... Il m'est arrivé un truc vraiment dingue récemment... Je sais pas comment s'est arrivé, mais je me suis réveillée en fille... Mais rigole pas, je te jure que c'est vrai, c'est pas une blague !

-J'rigole pas ! Voulue faire croire Okio, qui ne pouvait s'en empêcher. T'invente pas d'histoire, on est tous passer par là ! Bon moi j'y suis plus ou moins rester, mais t'inquiète ça passera.

   Okio commença à avaler des morceaux de poulpe, reconnaissant que c'était un habile stratagème pour infiltré les vestiaires des filles. Lui qui risquer sa vie pour aller voler des sous-vêtements ou pour peloter l'une d'entre elles, il aura tout le loisir de toucher et voir des seins ou des culs. Mais ce dernier vint à le prendre la main, obligeant Okio à prendre à la volée son assiette, n'ayant pas encore finit. Forcé de le suivre, Okio se demandait ce qui pouvait bien lui passer par la tête, ce n'était pas la peine de faire tout un plat pour vouloir passer pour une fille, ou bien il voulait des conseilles. Ils entrèrent dans les toilettes des filles, non loin du réfectoire et Takeru se mit face à Okio, qui mangeait ses morceaux de poulpe, avant de faire les gros yeux, une fois que son ami, ou plus son amie, retira le haut.

- Alors ? Est-ce que j'ai l'air de porter des prothèses ? Et c'est pareil en bas, ma bite a été remplacée par une chatte !

   Okio avait arrêter de mâcher son poulpe, considérant son assiette d'un œil inquiet, avant de la jeter à la poubelle et de revenir vers son ami(e). Il le regarda stupéfait, ne sachant quoi dire. Du doigt, il en toucha un, avant de le prendre à pleine main, douce, éprouvant le moelleux et la douceur, insistant un peu, fessant preuve d'un certain savoir faire. Il avait du mal à le réaliser, mais il devait admettre que ce qu'il avait sous la main était de l'authentique.

-Putain et...

   Il mit rapidement sa main sur l'entrejambe de son ami(e), constatant l'absence de sa virilité. Okio n'en revenait pas, et n'osa pas aller plus loin, et s'éloigna de deux pas de son ami(e), mal à l'aise, perturbé et ne savant visiblement pas comment abordé la chose !

-Putain... Takeru... Commença Okio. J'veux bien savoir que t'étais désespérer d'être puceau et de pas pouvoir profité d'une fille pleinement... mais je savais pas que c'était à ce point ! Enchaina t-il. C'est pas un peu.. excessif ? Même moi je suis pas aller jusque là ! S'exclama Okio.

28
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 17 juillet 2017, 23:08:55 »
Résumé Foireux de : L' ATTAQUE DES TITANS - Saison 2 {Parodie}
Ces types sont des monstres XD
Par contre, ceux qu'ils n'ont pas vue la saison 2 de L'attaque des titans ou le manga en lui même, ça spoil beaucoup les intriques principales ! (c'est la deuxième partie, mais c'est la meilleur)

23h08 (sifflote l'air innocent)

29
Prélude / Re : Bimbo des enfers ♥ [Violidée ~♥]
« le: lundi 17 juillet 2017, 22:41:02 »
Bienvenue !

30
*Merdemerdemerdemerdemerde*

   En effet, on ne pouvait choisir meilleur mots pour la situation merdique dans la qu'elle Okio venait de tomber contre son gré. Marchant à pas rapide, pour ne pas dire courir comme un dérater, essayer de mettre le plus de distance possible, mais la nervosité fessait claquer ses talons contre le sol, résonnant dans les ruelles, en sueur et des sueurs glacés coulant dans son dos. Ils n'allaient pas le laisser passer tranquillement, il ne pouvait pas s'en sortir avec une simple promesse.

*Putain j'veux pas crever*


   Accaparer par ses lamentations, sa course et le bruits de ses talons, il ne put entendre, ni voir l'homme, ou plutôt, la créature qui lui tomba dessus, le plaquant violemment contre le murs, cognant sa tête, lui assurant un bonne bosse, et de lui tordre le bras dans son dos, arrachant un crie de douleur à Okio, sa joue gauche contre la pierre, commençant à pleurer. Plaquer, impuissant et à la limite de se faire dessus, bien qu'ayant déjà évacuer chez son ami.

« Alors, comme ça, on espionne les grandes personnes, ma belle ? J'dois t'avouer que j'suis vraiment, mais vraiment pas d'humeur en ce moment... Dis-moi ce que tu as entendu. Maintenant. »


   Apeuré, Okio ne put répondre, sans parler du fait qu'il blêmit et devenant pale brusquement, des sons s'échappant de ses lèvres, mais assurément rien d'une langue connue. Paralysée, il ne pouvait que contempler la créature qui se dressait derrière lui. Une créature fantasy, issus de folklore et support d'imagination divers. Grand, menaçant, dangereux et réelle, Okio réaliser à grande peine le danger de la situation, croyant devenir fou et qu'il fut drogué ou en plein cauchemard mais c'était la réalité.

   Cette chose, Okio ne pouvait penser autrement, semblait s'attarder sur son corps, le détaillant. Il pensait qu'il allait finir dévorer, ses larmes coulant et comme pour lui donner raison, la bête se pencha, plaçant ses crocs sur son frêles cou, frottant sa peau, l'entaillant légèrement. Un immense et horrible frisson parcourue Okio qui en trembla.

   Ce fut peut être l’élément qui permit à la bête de sortie Okio de sa léthargie, car Okio finit par pleurer, et remercia le ciel dans sa tête de s'être vider avant, pleurant et gesticulant bêtement, avant que la prise ne se renforce et que la pression ce fasse plus forte. Okio cessa de gigoter, mais commença à se lamenter et à supplier.

-Pitié, j'veux pas mourir ! J'suis trop jeune ! J'ai pas fais exprès, me suis perdue bouhouhou ! Annonça pitoyablement Okio. J'ai rien vue, j'vous jure... je snirfle... enfin... Bredouilla Okio, entre reniflement et quelque sanglot.

   Okio éclata en sanglot, autant à cause de la bête, qui n'avait rien pour arranger la situation que de la situation. Il fallut un moment avant qu'il puisse reprendre la parole.

-J'ai juste entendue marché noir et objet illicite et dangereux... j'ai comprit que ça... me manger pas... Continua Okio, avant de pleuré et de reprendre la parole. Je dirais rien, j'le jure, je sais même pas que c'est de la drogue ou des armes... .

   Mais ce n'était pas pour arranger ses affaires, et il le savait bien. Dans l'action, ses sens en émois et son esprit pervertie et vicieux, commença à lui donner des bouffé de chaleur, comme cherchant à le calmer. Cette position, la proximité de la bête et son souffle chaud, commencer à excité Okio, la peur semblant s'en mêler, se découvrant une nouvelle source d'excitation, cette positon de dominance, parfaite pour se faire culbuté avec force, et des images venaient perturber sa conscience, la bête s'étalant et s'écrasant contre lui. Sa queue se raidit lentement et Okio se découvrit une solution pour s'en sortir, mais plus guider par la peur et l'envie de vivre, tombant en désespoir de cause, dans ce qu'il fessait de mieux : vendre son corps. Mais ce n'était pas pour le déplaire, en dépit de la situation.

   Fébrilement, de sa main libre il chercha et finit par mettre sa main sur le paquet de la créature, tâtant, palpant et caressant au mieux l'autre bête, cherchant à faire une tête qui puisse montré au mieux ses intentions. Mais ça montré surtout qu'il n'avait plus que ça en dernier recours et qu'il était quelque peu désespérer.

-On... on peut s'arranger hein ? Ahah... Je... je fais ce que vous voulez... la sodomie, la pipe ou une de vos positions préférer et vous... vous me laissez en vie ?? Annonça fébrilement Okio. Me manger pas et... et je m'occupe comme une pros de vous ! C'est... qu'un malentendus ! J'voulais pas.... pitié violé moi, mais laisser moi en vie ! Continua Okio, des larmes recommençant à couler.

*J'veux pas mourir... putain il a un sacré paqu... pense pas à ça ! Merde tu peux crever comme un chien ici ! Faut que j'm'en sorte... oh merde j'ai envie de le sentir en moi...CONCENTRÉ ! RESTE CONCENTRÉ ! Je veux juste qu'il me culb... non qu'il m'épargne... je raaah.*

   Partagé entre la peur et ses pulsions, Okio fessait un compromit, s'offrant en pâture à la bête, avec la chance de s'en sortir et de rester en vie ! Mais ses envies dévorantes devenaient plus forte et la peur et la situation contribuer à son excitation.

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