Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Okio

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Sujets - Okio

Pages: [1]
1
Vous nous quittez déjà ? / Parce que des soucis !
« le: dimanche 23 juillet 2017, 20:37:57 »
Bonsoir à tous ! Désolé de mon absence  (pas grand chose sans doute) mais j'ai fais face à diver soucis et tracas, aussi bien dans ma routine qu'avec l'ordinateur ! Maintenant tout semble s'arranger, mais c'est pas tout de suite que je reprend mes rps ! Du moins jusqu'à demain ! (Sauf si je trouve un chtit moment pour ce soir)

Bonne soirée !

2
   Le quartiers de la Toussaint, un lieu vaste est peu recommandable de s'y aventurer seul et trop loin, surtout la nuit. Mais Okio avait l'habitude, en plus de se limité à la périphérie, restant dans les zones sur et visité par la police, bien qu'il devait se cacher, pour ne pas se faire embarquer pour atteinte à la pudeur ou prostitution. Mais uniquement si il s'habiller presque comme une pute, à moitié nue. Non cette fois il avait des habits normales, bien que sa chemise le coller à la peau et que son pantalon en simili cuir noir mouler un peu trop ses fesses et fessait un peu ressortie son paquet. En plus de porter des bottes à talon haut, une ceinture clouté et un collier noir clouté et des bracelets, et un sac à main, pratiquement une fille en faite. Même si son look pouvait être critiquer, elle, enfin il, était plutôt présentable, rien de choquant ou d’extrême.

   Okio revenait d'une soirée révision entre camarade, surprenant tout le monde il n'avait rien fait de t-elle et s'était montré d'un sérieux et d'une conduite qu'on lui connaissait pas, en plus de montrer qu'il était le plus fort en géographie, alors que tous s'attendait à le voir proposer un gang bang ou offrir son cul à quelqu'un et certain ayant même tenter. C'était donc une soirée sans sexe, bien que charger en allusion salace et à double sens, ce qui ne gêner pas Okio : il avait déjà fait des soirées ou des journées sans sexe, bon c'était rare, mais ça lui arriver. Chacun repartit plus ou moins dans son coin, la soirée était bien entamé, certain était venue à vélo, en voiture par leur parent ou dans le coin. Okio était venue avec un ami, qui avait du repartir en urgence, sa mère ayant eu un malaise, et compter repartir en taxi, personne ne pouvant le ramener.

   Cela dit la maison était assez éloigner de la route principale, pas non plus à des kilomètres, juste un, la maison dans un dédale de ruelle et de route étroite, mais Okio aimait bien marcher et le couvre feu était curieusement inexistant au lycée. Mais malgré sa démonstration de savoir dans la géographie, il réussit à se perdre dans les ruelles, pianotant sur son portable, loupant l'intersection qu'il devait prendre, ce perdant dans le dédale de studios, hôtel et maison.

-Et merde...
souffla Okio.

   Ça lui était déjà arriver, mais c'était chiant quand même. Par fierté, il refusa de faire appel à son ami qu'il venait de quitter, voulant se débrouiller seul. Malheureuse il ne fit que s'enfoncer plus dans le quartier, frôlant les quartiers mal famées. Ce qu'il vint à s'en rendre compte, en voyant que les ruelles étaient plus étroites et moins accueillante, commençant à s’inquiète, jusqu'à ce qu'il ce qu'il passe devant une ruelle, avec deux types, dont un qui était grand et au air patibulaire, il leur adressa un regard inquiet, passant son chemin s'en s'attarder. Malheureusement il put apercevoir des caisse à leur pieds et avait entendue marché noir et objets illicite et mortels. Des sueurs froide coulèrent dans son dos, comprenant facilement qu'il était passer devant un trafique d'arme ou de drogue. La peur s'empara de lui et s’apprêta à courir, craignant pour sa vie.

3
   Le cerisier fou, une boite de nuit fort sympathique et assez connue, en plus d'être assez grande, offrant divers service : pole-danse, soirée karaoké, danse, musique, concours de boisson, spectacle et visite de groupe de musique, soirée cosplay, et même des chambres... spéciale, pour les couples ou les coups d'un soir, bien que ce dernier aspect soit peu connue. Le tout parfois mélanger. Réputer pour sa bonne ambiance et son patron qui mettait un point d'honneur sur le bonheur et l'amusement, bien que tyrannique envers les drogues, ayant eu des soucies à cause de dealers de par le passer. C'était un endroit parfait pour ce couper du monde, passer du bon temps et oublier ses tracas de la vie. Mais Okio n'était pas là pour s'amuser, mais en temps que serveur. Son patron, un homme ouvert et peu contraignant, avait accepter Okio, en plus de lui avoir permit de pouvoir offrir ses services, sous couverts qu'il rester discret. Niveau vestimentaire, Okio portait un pantalon noir à moitié déchirer, une ceinture noir légèrement clouté, ses bottes favorites, un bracelet noir, large, avec des carrées métallique et d'autre bracelet plus fin, un collier avec des petites pointes, et un débardeur blanc, serrer. Son patron adorait cette tenue qui allait avec l'établissement selon lui.

   Travaillant à mi-temps, Okio adorait cet endroit et envisager d'y travailler pour plus souvent, personne pour le juger, se sentant dans son élément et non à l'écart. Ce soir, la piste de danse était envahit, les clients dansant au rythme de personne qui s'essayer au karaoké devant tout le monde, accompagner par un groupe amateur, donnant parfois lieu à de grand fou rire et vivat de la foule, passant de musique et de chanson connue au plus incongrue. L'ambiance était bonne, certain fêter leur anniversaire, la réussite d'un concours ou pour le plaisir d'être ensemble, une demande en mariage et des filles qui se lançaient dans la pôle danse, émécher et ayant envie de se lâcher, réussissant plus ou moins à ne pas s'attirer les fou rires de leur amies.

   Okio passait entre les tables, ne service depuis peu, prenant les commandes, roulant du cul, attirant les regards, mais rien de méchant ou personne le jugeant, discutant parfois avec les clients, plaisantant avec eux sur son apparence, jouant un peu les allumeurs, fessant rires les occupants d'une table devant leur camarade qui devenait rouge pivoine et qui perdait ses moyens. Il retourna au bar, fit passer les commandes et prit un plateau que lui tendit le barman, qui mit les commandes, tandis que d'autre serveurs en fessait autant. Il passa entre les tables déposant les commandes, jusqu'à ce qu'il revienne au bar, avec de nouvelle commande et recommença. Tout ça durant trois heures, avant qu'il est droit à sa pause, accorder par le patron, pouvant aller se soulager ou boire un coup. Il profita de sa réduction pour s'offrir de quoi boire, sirotant son verre assez rapidement dans la pièce réserver au serveur, saluant un camarade qui avait finit la sienne. Il pianota sur son portable, avant de partir au toilette, une envie subite de soulager sa vessie.

   Plus habitude perverse, que par inadvertance, il alla à celle des femmes. La porte était entrouverte, il jeta un regard, discrètement, vérifiant l'absence de personne pour pouvoir y aller, ne voulant pas non plus s'attirer d’ennuis. Mais qu'elle ne fut pas sa surprise, en voyant une plantureuse femme, attirante et belle, mais surtout adosser à une porte et entrain de se faire plaisir avec authentique service trois pièce, se masturbant allégrement, soupirant d'aise. Okio en resta bouche bée, une futanari ou une shemale, mais il accorda plus d'importance à la première, ne voyant pas très bien le service trois pièce de son point de vue. Le désir se mit à affluer en lui, ses fantasmes se manifestant et la preuve de sa masculinité se gorgea de sang et de plaisir. Il se toucha à travers le pantalon, ne portant même pas de sous vêtements, mais prêt à partir si la femme venait à se rendre compte qu'un voyeur l'observer. Lui qui était cynique et sans grande morale sociale, n'osait pas entré pour lui demander de baiser avec lui. C'était la première fois qu'il en voyait une en vrai, il ne savait pas trop comment l'aborder et il avait peur de la terrifier, ça devait être assez spéciale de vivre comme ça.

4
Centre-ville de Seikusu / Rencontre professionelle [PV Yûko]
« le: dimanche 02 avril 2017, 18:57:34 »
   Le week-end, le meilleur moment de la semaine pour bien relâcher la pression, pas de cour de la journée, le temps qu'il faut pour faire ce qu'on veut. En l’occurrence, Okio voulait, eh bien déjà se faire ramoner le conduit arrière et s'abreuver d'une sucrerie particulière, et de faire quelque course, des nouveaux vêtements, plus particulièrement des bas, des strings, et une petite jupe à carreau, à ras de ses bourses, et peut être quelques jouets. Rien de bien folichon. Il alla gaiement au centre commerciale, flânant à droite et à gauche sur le chemin, roulant du cul, adressant quelque regard ambiguë, aguicheur et sourire discret à presque tout les hommes, certains interloquer, suspicieux ou l'ignorant totalement, sauf un homme, qui lui rendit son regard et qui le suivit de loin, sans que Okio ne s'en rende compte.

   Ses habits, bien que normale, étaient moulant, sa chemise blance ouverte à moitié, jusqu'au nombril, la dentelle d'une culotte dépassant de son mini-short en simili-cuir noir, avec une sorte de jupe de la même taille, allant jusqu'à la moitié de ses cuisses, des bas résilles, des troues par-ci par-là, baisser un peu trop bas, presque à la limite de ses parties, ses fesses dépassant un peu. Il avait aussi une sacoche, en bandoulière. Il aurait put faire pire, mais il ne voulait pas non plus ce faire arrêter. Il portait des chaussures normales, celle de tout les jours. Cela dit, il due remettre un peu d'ordre dans ses habits, fermer sa chemise, remonter son short par un garde, qui voyait d'un mal œil sa tenue. Par chance l'homme ne dit rien d'autre et le laissa tranquille.

   Okio alla donc dans le dédale de boutique et marchant. Il se paya des dangos, farfouilla dans une étagère de hentai, visita une boutique de jeux vidéo, avant d'aller dans une boutique de sous vêtements. Il regarda ceux un poil provoquant, avec des ajouts divers. Alors qu'il fessait ses choix, quelqu'un vint se coller à ses côtés, fessant mime de s’intéresser lui aussi aux culottes, glissa tout bas.

-Combien ?
-Quoi ?
-T'as essayer de me chauffer en venant ici, et une tenue un peu oser, t'es une prostitué ?
-C'était si facile à deviner ?
-J'ai l’œil pour ça !
-300 yens pour une pipe, dans les cabines d’essayage. Sinon vas voir ailleurs. Enchaîna rapidement Okio, empêchant l'homme de répliquer.

   Peu de personne, les cabines d’essayages plutôt isoler et le propriétaire qui était plonger dans un livre, semblait ne pas les avoir vue entré. Le prix plutôt attirant, la fille avec apparemment du caractère et facile, et la proposition de le faire dans un cabine d’essayage, risqué mais... intéressant. C'était assez inattendue, ce qui le conquit.

-Ok, mais 200, parce que y'a pas de coït !
-300, après on ira dans un meilleur endroit.
-Vendue.

   L'attrapant par la main, Okio le guida vers la première cabine d'essayage, ferma le rideau, baissa le pantalon du mec, qui avait déjà tendue ses billets, mais qu'il garda en main. Ainsi, Okio, commença par branler lentement et tendrement la verge de l'homme, tandis que la sienne gonflé lentement, tendant son short. Il prit en bouche le gland, le lécha, le goba, le mordilla, et commença lentement sa fellation, partant pour une gorge profonde, tandis que l'autre, posa une main pour accentué le mouvement.

5
   Minuit passer, quartier de la Toussaint, une ruelle un peu sombre, non loin de la route principale, entre deux immeubles relativement haut, quelque étages, propre et bien entretenu, le genre accueillant et sympas. Entre les deux immeubles donc, deux personnes se fricotaient, plus exactement, deux hommes, l'un d'eux adosser contre un murs, pantalon baisser, la tête droite, les yeux plisser,mains contre le murs des souffles de satisfaction et quelques léger bruits de plaisir, des « mmh » ou des « aaah », s'échappant de ses lèvres, discret et un peu honteux. L'autre homme, avait des allure efféminé et habbiler de manière provocateur : une veste de simili cuir, sans bouton apparant, s’arrêtant à la moitié de son dos, visiblement retailler, ouverte sur une sorte de t-shirt en forme de filet, ne couvrant que la poitrine, des bas résiliés, et un short en simili-cuir, presque ne forme de caleçon, s’arrêtant en haut des cuisses, moulant plutôt bien ses formes, dont l'érection qu'il avait, dévoilant ainsi un membre de bonne taille, un L 16 centimètre D 4 centimètre et en enfin des chaussure montante à talon, épaisse, noir avec un motifs de flamme et une chaîne à l'arrière de la cheville et en guise d'attache avec un lacet, avec une pointe entre et diverse pièce métallique. Un sac à main traîner à ses côtés.

   Ce dernier accroupie, offrant une joyeuse fellation au premier, s'appliquant sensuellement, provoquant des bruits de succions exagérés, bavant dessus, lapant avec intensité, de long en large, le gobant entièrement, les yeux lever, toussant, avant de le retirer et de recommencer, mordillant parfois. Il garda une main sur ses bourses, avant de lever l'autre et de tapoter le torse de l'autre. Un petit signal. L'heureux receveur de cette fellation, décolla ses mains du murs et les mit sur la tête de l'autre avant de remonté d'un coups le bassin et de commencer des vas et viens, lent, long et langoureux, baissant la gorge de l'autre, le forçant à avaler entièrement sa verge, tandis que l'autre tousser par moment et gémissait, mais uniquement de plaisir. Il mit ses mains sur ses fesses, comme pour l'aider à baiser sa proche gorge. Le rythme gagna en vitesse, les bruits de plaisirs plus fort, jusqu’à ce que l'homme ne dise assez fort qu'il allait jouir, s'en suivit de son foutre chaud et crémeux qui gicla directement dans la gorge de son partenaire, qui avala le mieux possible et goulûment possible.

-Aaaah putain... c'est trop bon les fellations. Lâcha t-il en se retirant. J'te remercierais jamais assez Okio.

   Le prénommer Okio, continua son œuvre, nettoyant la hampe de chaire, avant de se relever, tout en gardant un main sur le sexe de son camarade de classe, l'autre ramassant son sac.

-Depuis le temps qu'en t'en voulait une Toshima. Clamât Okio, en se léchant les lèvres, et de lui faire un sourire angélique. T'étais vraiment désespère pour me le demander.
-Je... pas un mot à quiconque ! T'étais la seule personne à ma connaissance, et assez bizarre pour le faire.
-Et les putes ?
-Soit pas vulgaire envers ses pauvres femmes et j'aurais jamais pus, j'ai trop peur d'aller dans ce genre d'endroit. Toi c'est plus facile et moins risquer.
-Ahaha, si tu savait. Répliqua sensuellement Okio en se collant à lui, et en allant lui lécher le coup. Si tu veux bien me rendre service quand j'aurais envie de tirer un coup, j'veux bien me taire.

   Bien qu'il prit un air assez dégoutter, curieusement sa trique reprit de la vigueur. Okio eu un rire cristallin, avant de se retirer, caressant du bout des doigts la verge de Toshima, avant de s'enfoncer dans la ruelles, tournant le dos à son camarade et à la route. Confiant et savait pertinemment où aller, Okio alla vers la zone industrielle, voir ses amies « les putes » et trouver un homme assez saoul et baraquer pour la soirée. Il sortie son portable, regardant ses messages, les actualités sur facebook, des photos d'homme posant sexe à l'air, de tout genre et de toute taille. Si il n'était pas aussi obnubiler par son portable, il aurait vue les étrange ondulation dans l'air, plus précisément devant lui, les petits miroitements et les étranges particules lumineuse qui allait vers ses mêmes miroitement et ondulations. Flash lumineux, désorientation brutale, plus aucune notion d'espace et d'équilibre, noir complet, sensations de tomber, nouveau flash lumineux, avant de retrouver contact avec la terre ferme avec ses pieds, avant de tomber.

   Okio se releva brusquement, souffle court, rapide et intense, cœur qui bas à la chamade, désorienté et en pleine tentative de comprendre ce qui lui arrive. Il tourna sur lui même, contemplant que la ruelle sombres, les immeubles et la nuit, avait laisser place à une forêt relativement espacer, un peu vallonner et un soleil qui semblait s'être lever depuis un petit moment. Paniquer et ayant du mal à respirer, des larmes coulants sans raisons, la peur dévorant ses entrailles.

-Putain de bordel de merde...

   Furent les seuls mots qu'il put lâcher. Il se pinça, se donna un gifle et cria un bon coup, pour réaliser que c'était bien la réalité, qu'il était dans une forêt inconnue, pour une raison et par une manière inconnue. Il se laissa tomber à terre, et manipula frénétiquement son portable, pour appeler la police, les pompiers, sa famille, ses amis ou des numéros totalement au hasard. Pas de réseau. Il manqua de balancer son portable, mais se ravisa et entreprit de se calmer. Pour se cela il sortie de son sac, un god vibrant, qu'il entreprit de recouvrir d'un peu d'huile, avant de se l'enfoncer assez durement dans le cul et de mettre la vibration à la puissance maximale, après avoir retirer son short. En quelque minute, il retrouva son calme et tenta de penser logique.

   Il n'a pas put être drogué, embarquer, puis largué ici, son portable afficher toujours l'heure et la date exacte, qui ne dépendait pas du réseau. On aurait put le modifier, mais c'était impossible, pas aussi précis, du moins il s'en convainc. Il évita dans les réflexion stupide, comme on pouvait avoir dans certain manga, « ouais, c'est comme dans les mangas, j'suis téléporter dans un monde inconnue, j'dois être l'élue et avoir de super pouvoir », enlever par des aliens ou téléporter. Il devait y avoir un raison logique, mais sûrement trop limité, il ne la trouver pas. Il devait déjà trouver un endroit où il y pouvait avoir des gens, impossible d'avoir fais un bond dans le temps ou dans une autre dimension. Il se retira son gode, et entreprit d'aller....  vers ce qu'il semblait être le nord, si il ne se tromper pas dans la position du soleil et donc qu'il venait bien de l'ouest.

-Eh, v'nez les gars, j'l'avais bien dit que j'avais entendue un crie ! R'garder ça ! Une donzelle ! Clamat une voix, aiguë et malhonnête.
-T'a vue sa t'nue ? C'est quoi ces trucs ? S'exprima un autre.
-Jamais rien vue de semblable, doit être une connasse de Tekhos. Scanda un troisième
-Comment tu l'sais si t'a jamais rien vue de semblable ? Demanda le deuxième, visiblement conscience qu'il allait le regretter.
-On as jamais vue ces pétasses de Tekhos et on a jamais vue leur tenue, c'est logique de dire qu'une tenue qu'on à jamais vue, viens de ceux qu'on à jamais vue ! Expliqua l’intéresser.

   Okio s'était retourner brusquement au son du premier larron, pour voir que trois hommes étaient arriver discrètement, en vêtement qu'il arrivait pas reconnaître, des armures de cuirs et de mailles, pratique pour les déplacements en forêt, au contraire des armes : une masse, une arbalète et une épée que les hommes portaient. Okio aurait pus se dire, « c'est un tournage de film, une caméra cacher ou coutume local », mais son instinct lui disait de partir vite. Alors que celui à la masse, se pincer l’arrête du nez, devant la réflexion sans sens de son comparse, le premier, armée de l'arbalète, pointa Okio avant de reprendre la parole.

-Tout cas, c'est pas mauvais comme tenue, doit être une esclave en fuite, j'vois qu'ça. On pourrait en profité et la revendre.
-On peut pas la violé comme ça ! S'alarma le troisième.
-Depuis quand t'a une conscience depuis que t'es brigand ? Demanda le deuxième.
-Euh... bah, ch'ai pas, c'est partie comme ça. Répliqua tout penaud le troisième
-Mais quel idiot, tu sort ça après, les vols, viols et meurtre qu'on à commit ?
-Mais aller la choper plutôt !
Cria le premier.
-Bah, elle s'en va en courant ! Dit le troisième.
-R'TTRAPE LA S'PECE D'ABRUTIE.

   Okio, n'avait rien comprit et regrettait d'avoir mit autant de temps pour réagir. Il se mit à prier pour qu'il se sorte de cette situation et surtout que quelqu'un l'aide.

6
Bien le bonjour/bonsoir ! Si vous avez ouvert cette demande, c'est pour vous amusez avec un petit transsexuelle qui ne vous refusera pas une partie de plaisir ! Cela dit mes dames, si vous n'avez de service trois pièces ou de gode ceinture, celui-ci sera pas forcément très emballer pour coucher avec vous, mais ne dira pas forcément non !

Pour en savoir plus sur lui, aller ici

Et pour les trames, c'est ci-dessous !

   Terre :

Lycée : professeurs, lycéen, ou se fessant passer pour t-elle, soit pas des rumeurs, ou par des connaissances (ou le message dans les toilettes) vous avez eu vent de la connaissance de Okio et vous voulez le rencontrer personnellement, pour tirer un coup ou pour d'autre raison, obscures ou particulières.

Nouveau/nouvelle étudiant au lycée ou votre chambre doit être rénover ou on vous a virez, vous devez vivre en collocation avec Okio. Comment aller vous vivre avec cette personne des plus atypiques ? Sauf si vous l'avez voulue.

Seisuku : Okio vous interpelle dans les ruelles du quartiers de la Toussaint ou ailleurs, et vous fait des avances contre rien d'autre que du plaisir. L'inverse peu être vrai, en le confondant avec une adolescente qui semble libertine. Ou pour d'autre raison.

En virée dans une bonne de nuit, vous voyez ce jeune transsexuelle, en tenue légère, vous servir, et laisser un petit message avec votre verre ou bien vous l'accostez car c'est votre genre de partenaire, vous avez bue ou prit quelque substance ou tout autre raison qui vous pousse à vouloir le culbuter.

   Terra :

Les portails sont traites est voilà que Okio se retrouve dans l'inconnue.

Il peut finir à Tekhos, à la merci de femmes qui se feront peut être un plaisir de lui pilonner le fondement
Ou sur un étal de marchant d'esclave ou vous même le capturant pour qu'il soit votre esclave
Ou perdue quelque part et qu'il vous croise, s'offrant à vous et prêt à se vendre pour que vous l'aidiez.

Et c'est finis ! Le choix est à vous ! Vous pouvez toujours proposer si vous avez mieux ! Ma boite à mp est ouverte !

7
Prélude / Un homme, un vrai [Validarthé]
« le: samedi 25 mars 2017, 18:56:34 »
Prénom : Okio
Nom : Zarachi
Surnom : aucun
Race : Humain
Sexe : masculin
Age : 17 ans
Orientation : bisexuel affirmé, mais presque uniquement pour ce qui possède une queue entre les jambes : hommes, shemales, futanaries...
Situation de départ : expérimenté comme pénétré et suceur, très peu comme pénétrant et sucé

   Physique :

   Un simple coup d’œil suffit pour voir que Okio, bien qu'étant un homme, il a plus la carrure et les traits d'une femme. Son corps efféminé n'a pas les épaules larges d'un homme, ses membres plus doux d'apparence et plus mince. 1m65 pour 55 kilos, il n'a clairement pas le gabarit d'un homme, bien plus de courbe et peu de muscle, des traits fin et délicat, une silhouette féminine, le tout pour une apparence ma fois appréciable, rien de repoussant ni de décadent. Sa peau blanche, laisse dessiner son ossature au niveau de son torse. On pourrait le confondre avec une adolescente, pour peu qu'on cherche pas à déterminer si c'est vraiment une fille. Sans compter que les traits de son visage et les expressions qu'il prend souvent n'aident pas.

   Son visage ovale, est pratiquement semblable à celui d'un fille, doux et accueillant, un nez fin, des lèvres fines, des yeux ovales et bleu, mais il porte des lentilles pour avoir les yeux plutôt violet et noir, couleur qu'il affectionne et qui pour lui, donne un air irréel. Une dentition bien blanche et droite. Ses cheveux, couper court, pas plus bas que son cou, noir et brillant, plutôt bien coiffés et entretenue, ceux de devant et sur le côté gauche teint en violet, cachant à moitié son visage. Un visage ambigu, qui peut laisser planer le doute. Sa voix est toute aussi ambiguë, pas assez grave pour celle d'un homme, collant bien avec celle d'une femme, mais pas aussi aiguë. On peut dire que c'est un transsexuelle ou un femboy.

   Pour finir, il porte plusieurs piercings, au niveau des tétons, sur sa lèvre inférieure côté droit et sur son oreille droite, agrémente d'une boucle d'oreille. Il se met du rouge à lèvre couleur noir. Un look, une spéciale, voir même un peu émo, car il trouve ça classe et jolie, en plus de bien coller à son caractère.


   Caractère :

   Autant commencer par le plus évident, Okio est très porté sur le sexe, la luxure. C'est un homme plein de débauche et quelqu'un de cynique. Il se moque bien des règles de pudeur, agissant comme il l'entend, prêt à tendre son cul aux premières venues juste par pur envie, que ce soit en plein lieu publique ou dans des toilettes, capable de dire clairement devant plein de gens qu'il veux se faire sauter par vous. Il n'a aucune retenue et est prêt à tout pour assouvir ses envies de débauches, il se fout de ce qu'on pense de lui ou de l'image qu'il donne aux gens, ça ne l’empêchera pas de vivre comme il l'entend. Bien qu'il adore être culbuté, sucer des queues ou être celui qui se fait mener durant les ébats, ce n'est pas pour autant qu'il adore la domination ou ceux adeptes des relations maîtres-esclaves, car ce n'est pas le genre de truc qui l'attire le plus, car il n'est pas perverti à ce point et que surtout, c'est chiant et compliqué pour lui, alors qu'il veut juste se faire baiser, sans chercher plus loin. Dépravé, ne vous attendez pas de lui un enfant de cœur et soucieux du respect des codes moraux et de la bienséance. Son plus gros fantasme se serait d'être le centre d'un gang bang, avec des hommes bien bâti, des shemales et des futanaris. Ces deux derniers cas fessant aussi partie de ses fantasmes, n'ayant jamais eu l'occasion d'en croiser. Il a tendance à parler de lui au féminin.

   Sinon, c'est quelqu'un qui a bon fond, de sympas et relativement de bonne compagnie, gentil, compréhensif, ouvert et sans aucun préjuger. Qui que vous soyez, il vous prendra en sympathie si vous discutez avec lui et ne vous rejettera jamais. Il aime bien rire et jouer de son corps efféminé pour semer le doute ou chauffer les hommes, autant pour son propre amusement que pour attirer quelqu'un. Toujours à voir le verre à moitié plein, il est tout le temps positif et joyeux, et qui cherchera à le rester, car c'est qui lui permet de rester en vie selon lui. Plutôt du genre peace and love, il se met très rarement en colère et préfère tout régler gentiment et calmement, quitte à offrir son cul si cela permet de résoudre une situation. N'allez pas croire qu'il n'a rien à faire de son futur et qu'il préfère vivre en vendant son cul, dans la dépravation et compagnie, car il tient à cœur sa réussite scolaire, et est même plutôt sérieux dans ses études et en classe. Plutôt bien perçue par son entourage, car malgré sa mauvaise facette, c'est quelqu'un de gentil, prêt à rendre service, le cœur sur la main et qui n'a vraiment jamais rien fais de véritablement mal.


   Histoire :

   Okio a eu une vie plutôt mouvementée. Dernier né d'une famille japonaise à Seisuku, ayant juste une grande sœur de 10 ans son aînée, il n'a pas manqué d'amour, sa mère vendeuse dans une épicerie et son père postier. Une vie normale, une enfance normale rien de palpitant. Mais tout a changé, à ses 5 ans, alors qu'il se baladait dans la maison, en jouant avec une figurine de Ultraman, il finit dans la chambre de sa sœur, afin de la forcer avec elle. Mais elle était pas là, il monta sur lit, poursuivant un monstre imaginaire, quand il aperçut un livre ouvert sur l'oreille. Il le prit, par curiosité enfantine et s'amusa à feuilleter les pages, regardant les dessins, les trouvant très étranges, pleins d'hommes nul et le zizi à l'air et tout dur visiblement et des femmes dans de curieuse position. Un hentai.

   Sa sœur entra sans qu'il ne s'en aperçoive et qui lâcha un crie, avant de lui arracher des mains. Elle revenait des toilettes. Bien évidemment, il inonda sa sœur de question, qui rouge de honte, le chassa de sa chambre, en lui disant qu'il comprendra quand il sera plus grand et surtout en réussissant à lui faire promettre de ne rien dire en échange de bonbon et de tout oublier contre un jeu vidéo d'Ultraman. Il respecta sa promesse, même si cela ne le laissa pas indifférent, car cela le travailla et il fit des rêves où il dansait avec ces étranges personnes. Dans l'année suivante, il tomba sur une revue coquine de sa mère, montrant que des hommes musclés et des braquemarts de belles tailles ou des femmes se collant et fessant des trucs bizarres à ses mêmes hommes, mais ça mère ne le prit pas sur le fait et étrangement, il n'en parla pas, car il s'était senti... bizarre.

   Mais le pire, fut qu'il se fasse kidnapper par un pédophile la même année, alors qu'il quitté l'école, et qui abusa de lui durant 6 mois. Mais il était correctement traité et l'homme le fessait gentiment et doucement, de façon à ce que le garçon apprécie sont traitement et voie ça comme positif, normale et qu'il ne ressente que du plaisir à sa captivité. L'homme l'avait enfermé dans un appartement dans les quartiers de la Toussaint, mais cela n'a duré que 6 mois, car le destin ou le hasard voulu qu'un homme vienne cambrioler l'appartement, en pleine soirée, juste après le départ du kidnappeur, et qui tomba ainsi sur Okio et qui le reconnue, de par ses souvenirs des infos d'il y a longtemps et l'affiche de recherche qu'il voit quasiment tous les jours dans le centre commerciale. Ni une ni deux, poussé par une pulsion d'indignation et d'un sentiment paternel, il libéra l'enfant de ses menottes, l'habilla vite fait de sa veste et de vêtements un tant soit peu normale et le fit sortir de l'appartement, avant de partir pour le commissariat le plus proche, alors que le gosse était à moitié vaseux à cause de drogue.

   Il fut promptement félicité, si bien que personne eu la curiosité ou l'intelligence de demander ce qu'il fessait dans cet appartement sur le moment, la famille fut prévenue et son ravisseur capturé quelque temps après. Okio passa bien évidemment entre les mains d'un psychologue, et ça régulièrement durant plusieurs mois, qui ne put que constater qu'il s'en n'était pas totalement sortie indemne, souffrance presque d'un syndrome de Stockholm et d'un penchant malsain pour l'homosexualité. Il dut suivre aussi une cure de désintoxication, ce qui lui évita une dépendance trop sévère à la drogue et donc un bien triste sort. Mais un plaisir malsain pour les rapports entre hommes et le sexe en générale se développa au fil des années, son comportement changeant du tout au tout.

   Sa famille, mettant ça sur le compte d'un traumatise sévère, accepta à contre cœur son orientation et comment il évolua, bien qu'elle fît tout pour le raisonner et le remettre sur le bon chemin, allant même le faire voir un psychologue, bien que peine perdue. Pour autant, il resta le même, développant juste une mauvaise part de lui-même. Il perdit beaucoup d'amis et amies, mais s'en fit d'autre, parfois peu recommandable sur des sites de rencontre et partageant un certain goût pour la déviance, dépucelant même quelque uns d'entre eux, sans que ça famille le sache, bien que le doute fût permis. Son entrée au lycée de Mishima se fit sans vague, même pour son apparence, son orientation et sa manière d'être, passant inaperçue auprès de toutes les rumeurs et autre histoire sexuelle qui pullule au lycée. Il s'installa dans les dortoirs, réussissant à avoir une chambre pour lui seule, bien qu'elle soit prévue pour deux, voulant être loin de ses parents et un indépendant, se dégottant même un petit boulot. Ses parents tentent toujours de lui faire voir un psychologue et le soutienne financièrement. Il laissa quelques messages dans les toilettes pour homme, comme quoi il louait son cul pour 200 yens, laissant son numéro de chambre.

   Tandis que ça sœur partait pour l'université pour devenir avocat, voulant juger les mêmes genres de type qui avaient ruinés son frère et que ses parents goûtaient au plaisir de la vie sans enfants, lui poursuivait son chemin de débauche et cherche encore ce qu'il veut faire concrètement pour sa vie futur.

   Autre :

Travail à mi-temps comme serveur dans une boite de nuit, n'offre pas ses services, mais n'hésite pas si on lui en donne l'occasion, contre quelques billets naturellement et avec l'accord de son employeur qui n'hésite pas lui non plus.
Connue dans le lycée pour vendre ses services à seulement 200 yens, pour toute une soirée, afin de lier l'utile à l'agréable.

Pages: [1]