Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Slade

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Les contrées du Chaos / Hide & Seek little fairy[Pv]
« le: dimanche 06 octobre 2013, 15:02:42 »
Où était-elle ? Elle ne pouvait pas avoir disparu comme ça, sans laisser de traces tout de même ! Bon, certes elle pouvait devenir aussi petite qu’un champignon si elle le décidait, mais cela ne suffisait pas  pour disparaitre complètement !  Et puis elle était liée à lui, un contrat qui lui permettait de la localiser sans trop de difficultés…

Pourtant, il avait perdu toute trace de cette petite fée de malheur ; Oh il avait bien une vague idée du lieu où elle était, ne serait-ce que parce qu’elle lui était liée magiquement mais c’était comme si elle était dans la brume, une brume si épaisse que ses sens ne suffisaient apparemment pas à percer. Il avait une idée légère de là où elle était mais cela ne suffisait pas, en effet, cela ne faisait que réduire son champ de recherche à une cinquantaine de kilomètres carrés. Ce qui restait conséquent vu la taille  qu’elle pouvait prendre. Elle pouvait très bien prendre un bain de soleil sur un caillou ou se baigner dans une flaque assez profonde.

Après une matinée complète à chercher, il avait commencé à renoncer quelque peu… maudite fae… elle allait avoir droit à une sacrée correction celle là, et elle ne l’aurait pas volée, elle le savait tout autant que lui et c’était sas doute pour cela qu’elle ne s’était à aucun moment manifestée :  la trouille de la punition… et elle n’avait aucun talent pour assumer ses actes, qu’ils soient bons ou mauvais, loyaux ou traitres… ce n’était pas vriment volontauire, non, c’était plutôt du à son inconséquence naturelle.

Mais bon, cessons de penser à elle quelques instants, il avait soif et surtout il avait faim, et si il avait faim, alors il devait trouver une auberge ou un bar, ou quelque chose du genre qui lui permettrait de se détendre et se de remplir la panse en même temps que de se désinfecter le gosier, un bon hypocras bien du coin, serait plus que bienvenue vu la situation ! Avant de partir, il serra les poings, pour se désintéresser de tout ce qui ne lui mettrait pas un peu d’huile sous la langue !

A quelques mètres de là, une petite créature fluette soupira de soulagement. Elle avait bien cru qu’elle allait être découverte! A chaque fois qu’il avait le os tourné elle changeait de cachette pour ne pas être retrouvée, n’était-ce pas lui qui, la veille avauit voulu qu’elle débarrasse le plancher après qu’il auit tenté de la noyer dans sa pinte d’hydromel ? Elle n’arrivait cependant pas à lui en vouloir vraiment, elle voulait le faire un peu gamberger, c’était tout, même si elle n’arrivait pas  comprendre comment elle se dissimulait à lui… d’habitude elle n’avait aucune chance de rester hors de vue aussi longtemps… elle finit par sortir un regard timide de là, il s’agissait d’une petite tête brune avec de grand yeux verts absolument magnifiques. Elle jeta un œil alentour, et sans savoir où son maitre était allé, elle commença à voleter de manière aléatoire, suivant les bribes de sa concentration très – trop ?  -  déficiente.

Elle finit par arriver à un carrefour de routs pavées, bon, c’était un lieu assez joli, et surtout elle voyait ici une petite  masure, enfin, petite, disons qu’elle ne semblait pas énorme, mais qu’elle était cyclopéenne en comparaison de ce petit être magique. Elle eut soudain chaud au cœur, vous svez pourquoi ? Parce qu’il y avait là de quoi matière à faire des petits tours et surtout, à chiper de la nourriture sans rien dire à personne, en douce, personne ne verrait la différence… elle avait les crocs !

Elle se faufila en un courant d’air dans les lieux et avant même qu’elle ne puisse piquer quoique ce soit à manger, elle vit quelque chose qui la fit tiquer…. Une salière !  Pas assez grosse pour l’empêcher de l’utiliser !  Elle vérifia que personne ne la regardait et commença à la soulever pour gagner les recoins sombres du plafond ; Puis, s’amusant, elle retourna la salière et par de petits mouvements d’ailes erratiques, elle la secoua pour faire tomber pléthore de sel sur une jolie blonde ui se trouvait en dessous.

Elle en eut un petit rire cristallin assez faible, mais strident !

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Les alentours de la ville / Re : Bienvenue à Haunting Ground ! :Slade:
« le: samedi 14 septembre 2013, 17:20:35 »
Oh, se faire emmener là bas par la personne qui allait avoir des ennuis, comme ça allait être amusant, il voulait sentir l’angoisse de la jeune femme monter à chaque pas, se demandant à chaque enjambée à quelle sauce elle allait être mangée. Il se demandait sincèrement si elle n’était pas folle de rester ici, pourquoi n’avait-elle pas fui…. C’était quelque chose de très incompréhensible ! Enfin bon, il était temps d’aller s’amuser. Non pas que la présence de Demento le gênait…. Mais s’en passer lui ferait le plus grand bien, pour sa maitresse ce n’était jamais qu’un imbécile qu’il devait supporter bon gré mal gré pendant qu’elle  réglait des affaires plus urgentes avant de venir lui rappeler où était la  place de son genre de personne ! Non pas qu’elle soit sa suzeraine, mais elle était autrement plus puissante et elle, elle avait une raison intacte…. Chose qui n’était pas sur chez le propriétaire des lieux. Ça c’était de la mission diplomatique, occuper quelqu’un assez longtemps avant que la reine de la cour de l’hiver ne vienne en personne !

Au fond, ce n’était qu’une petite fille qui n’avait grandi que physiquement, il s’amusait énormément à la voir agir comme une enfant, et sans doute, cela rendrait les choses plus faciles. Par contre, lancer les têtes comme ça, il eut une légè_re moue de dégout. Aucune classe, cet homme ne méritait aucun respect pour tant de bêtise… offrir les têtes coupées comme ça…. Même si les parents étaient déjà morts depuis un peu de temps on fait croire qu’ils sont en vie et on lui offre les têtes si jamais elle n’obéit pas….. ça aurait été plus logique et plus utile, maintenant il n’avait plus qu’une hystérique dont il devait s’occuper…. Super, il y avait de quoi être mécontent sur la manière dont tournaient les choses !  Enfin bon, uil se tut et laissa faire avant de se lever et se diriger vers elle. Il avait assez attendu avant de commencer….

Elle pliait et l’y emmenait, il la suivait en silence, se repauissant de chaque once de désespoir qui se laisser sentir. Il y aurait-eu un silencfe complet si elle n’était pas sans cesse en train de murmurer, de prier en murmurant. Son ouie fine entendait les mots et s’en réjouissait. Elle croyait vraiment que tout allait bien ? Etrange quand même….    Ces humains avaient toujours cette manie de prier dès qu’im y avait un problème…. Si dieu existait, il ne l’entendait pas… et cela continua jusqu’à une porte alors que le froid montrait que l’on s’enfonçait un peu dans le sol. Les geôles ne sont jamais en surface, question de principe… elle l’avait donc réellement guidé vers une geôle, brave petite….

Il s’apprêtait à lui tapoter la tête, signe de remerciement et de récompense en quelque sorte. Mais voilà, à ce moment là il eut un cri de surprise, assorti d’un aie qui signifiait la surprise plutôty que la douleur. En effet, une machoire avait tenté de se refermer sur sa jambe, mais on sentait que le clébard à qui appartenait cette mâchoire n’avait aucune force suffisante pour tenir, tout simplement parce que sa peau était comme du carbone….. ils sourit et secoua la jambe alors qu’elle s’élançait dans les couloirs. Le chien lâcha et courrut à sa suite. Il sourit. Mine de rien, elle avait de la ressource, ce serait intéressant.

Ne se donnant même pas la peine de  marcher il se propulsa en avant, volant littéralement au milieu du couloir et en même temps il restait juste assez loin d’elle pour qu’elle pense encore avoir une chance de le semer. C’était un dosage rigoureux qu’il maitrisait tout juste. Il la poursuivait comme ça, juste pour lui laisser un peu d’espoir temporairement, qu’elle abandonne d’elle-même. Il lui laissait même parfois gagner un peu de terrain. D’autre fois, il la ratrappait un peu en lui lançant de légères imprécations sur un ton joueur.

« Je suis juste derrière toi….. »

Ou encore :

« attention, prête ou pas j’arrive ! »

Ponctués d’é »clats de rires. Il commençait à s’amuser, et elle s’épuiserait avant lui !

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Les terres de glace / Re : une rencontre quelque peut glacial [PV Slade]
« le: samedi 14 septembre 2013, 17:19:16 »
Certes, il n’était pas tendre, mais quand on fait une invocation, on tâche de faire attention )à ce que l’on dit, à ce que l’on fait !  On ne dit pas n’importe quoi, et on évite de se retropuver dans un autre pays, dans un autre monde, en compagnie de gens dont on ne connait rien, absolument rien !  C’est la moindre des choses ! Normal donc d’être dur !  Peut-être même était-il dur car elle avait fait un peu comme lui !  Elle avait agi sans réfléchir, quant à savoir si le reste était justifié, et bien disons que puisqu’il le disait, c’était justifié, même si au fond, la nudité était assez banalisée en ces lmieux, tout comme la bagatelle, encore fallait-il qu’elle revêt un caractère assez  beau et sensuel pour être tolérée. Une catin qui suce dans un coin de la pièce, non, un ébat enflammé en plein milieu d’une salle noire de monde, avec une atmosphère chargée d’érotisme, oui.

Elle n’avait que son nom… il soupira de découragement. On demande à voir la reine et on se retrouve démunie en vue de l’audience…. Quelle inconséquence, que son nom de famille, pas de titre, rien….il avvait du travail, beaucoup de travail… il était un peu découragé, car il se doutait que la reine était au courant de tout cela ! Il était sur qu’il s’é »tait fait manipuler de bout en bout pour avoir ça dans les pattes, bien évidemment, la reine était une personne dont l’intelligence était toujours supérieure à ce que l’on pensait. Un piège habile et une manière de l’occuper loin des intrigues, ça ne semblait pas bon du tout ! Il sentait les ennuis arriver à plein nez !

Il soupira et la laissa terminer de parler, avec sa question qu’il jugeait complètement stupide. Il y avait bon nombre de choses qui  étaient à faire ! Parce sinon, ils ne seraient jamais prêt à la présenter à temps. Il eut un petit claquement de langue, un léger pincement de lèvres, finalement, il lança, comme si cela allait de soi.

« Bien sur que non !  Sinon on ne s’en sortirait plus. Il y a juste un minimum de déférence !  Comme détourner le regard, par exemple, et éviter de me regarder dans les yeux. Courber légèrement l’échine est une option aussi d’ailleurs, regarder ses pieds va avec… Comprends moi bien, si j’étais polus à cheval sur les règles, j’aurai déjà eu matière à te faire tuer plusieurs fois. Mais bon, je ne suis pas là pour ça, je suis là car je suis sensé m’occuper de toi, donc oublions un peu le protocole, seul le minimum syndical sera requis sinon, ce sera toujours compliqué et trop protocolaire pour ne pas être complètement bloqués et étranglés par ça ! »

Il lui fit un sourire avant de reprendre la parole, toujours sur un ton un peu désabusé, mais pas mauvais pour un sou.

« Bon, première  chose à faire : déclarer l’entrevue avec la reine, pôur ton propre bien, ensuite te procurer de nouveaux vêtements plus adaptés, c’est soit ça, soit te promener nue, mais j’imagine que vous, les humains, vous tenez tellement à votre sacrosainte pudeur que tu préfèreras les vêtements que je te trouverai…. Pour le reste, tout est à faire, te bâtir uin minimum de réputation, t’instruire des impairs à ne pas faire, accessoirement t’empêcher de te retrouver avec des dettes sur ton âme…. »

Il soupira de nouveau et commença à partir vers une aile du palais, son aile si l’on pouvait dire.

« Allez, viens, nous allons voir ça et ensuite je vais quand même te faire visiter le palais, sait-on jamais que tu doives te débrouiller sans moi à un moment ou à un autre ! Ah et du coup, il va te falloir trouver aussi un lieu ou dormir… bon, je dois avoir peut être un lmocal pour toi…. Nous verrons. Des questions ? »

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N’allez pas croire que Slade soit en train de se ramollir alors qu’il demandait si poliment à sa nouvelle chose de lui obéir en utilisant des formules de politesse, il ne faisait cela que pour tempérer un tant soit peu dans un premier temps. Cela s’effacerait. Mais il se doutait que sa maitresse l’oublierait bien vite et trouverait une nouvelle esclave, alors autant faire en sorte que tout se passe bien, non ? Il lui sourit en voyant qu’elle ramenait le feutre demandé par ses soins, il se disait qu’il lui décorerait sans doute la peau à certains endroits, ce serait plus drôle ainsi… oui, ce n’était qu’une question d’amusement… d’ailleurs, en parlant d’amusement, si jamais Tut ne revenait pas très vite, il l’étoufferait lentement en l’emprisonnant à l’intérieur des sphincters anaux de sa nouvelle chose. Comment cela c’était dégueulasse ? Il était le maitre ici ou pas ?

« Laisse le chauffer, va, d’abord j’aimerai te connaître un peu mieux…. Et non, pas au sens biblique du terme, pas maintenant en tout cas. »

Il sourit et lui fit signe de venir avant de se mettre à jouer, une fois qu’elle fut à portée, avec les anneaux qui étaient insérés dans ses chairs en divers endroits… Il tirait doucement, ou tordait légèrement la cahir qui était reliée aux anneaux, mais jamais dans le but de faire mal. Elle semblait un peu tendue quand il les lui avait enfoncés donc il avait compris qu’elle ne connaissait aucune expérience similaire… soit, autant lui faire découvrir les nouvelles sensations alors !

« Alors, ces anneauxx sont bien hein !  Et tu sais quoi ? Une fois que je t’aurai marquée, je pense que je les relierai par de petites chaines assez tendues pour tirer dessus à chaque mouvement. Je pense que ce sera un cadeau digne de toi, tu ne penses pas ? »

Il pencha la tête sur le côté, interrogatif. Mais à vrai dire, il ne s’agissait pas vraiment d’une question, il poserait de toutes manières ces entraves… il tira un peu plus fort sur le morceau de métal au travers de son mamelon gauche avant de saisir ledit globe de chair dans sa main et le malaxer. Il fit de même avec le droit et finalement lui caressa doucement les cheveux.

« Bon, pendant que je décide de l’endroit où je te marque, j’hésite encore beaucoup entre le sein, le ventre, l’intérieur de la cuisse ou les reins,  parle moi un peu de ton dressage, explique moi comment tu as été dressée et ce que l’on t’a appris à faire, tout ce que l’on t’a appris à faire... »

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Bon, d’accord, il y était peut être allé un peu fort… il aurait mieux fait de se taire…. D’un autre côté, il ne s’estimait humain de d’apparence, sauf pour ces écailles qui s’étendent… dans son dos surtout, on ses pupilles qui par moment étaient fendues comme celles des lézards ou des chats. Et niveau envie de voir des carnages…. Il n’était pas humain. Quel humain préférerait un bain de sang à un bain moussant ? Bon, d’accord, peut être que Dexa aimerait aussi, certes, mais elle n’était pas plus humaine que lui, même si elle l’avait été à un moment alors que lui, jamais vraiment…

Bon dieu, il y avait vraiment du sang partout !  Et dans ce sang, elle eut une idée qui lui ressemblait beaucoup, oui, voilà, ça, ça allait être particulièrement amusant. Ce n’était pas plus compliqué que cela de faire peur aux gens… mais deux chacun seulement... elle le sous estimait gravement…. Mais malgré cette petite insulte il avait sur les lèvres et dans le regard une joie innocente et enfantine. En effet, c’était comme lui offrir ses cadeaux d’anniversaire en avance ! Et en plus, la débauche de sang et de tripes était un passe-temps tout ce qu’il y avait de plus sain !  Et pour être tout à fait franc, le génocide de masse était un exercice physique très complexe car c’était une épreuve d’endurance…

Mais dans tous les cas, l’idée de Dexa avait fait son chemin dans les pensées de Slade au point qu’il en ait des étincelles de malice dans les yeux. Il avait de quoi  être ravi ! Mais il eut quand même une petite moue boudeuse ! Oui, il y avait quelque chose qui l’ennuyait, faute de le blesser, c’en aurait été iunsulta,nt venant de quelqu’un d’autre !

« Arrête de m’insulter !  Et de te sous-estimer…. Deux seulement, tu vieillis mal on dirait ! Je pensais que ce serait plutôt cinq vois six plutôt que deux… même dans les mauvais jours je fais mieux que ça ! Alors disons cinq qui meurent de peur, trois qui vident leur vessie sur place pour moi, et disons plutôt, puisque tu ne te sens pas capable d’en séduire cinq, disons… trois, qu’il y ait un peu de défi… n’allons pas dans la simplicité ! »

Oh oui, il était heureux, ça c’était un peu qu’il n’avait pas essayé depuis longtemps. En général, il se contentait de faire un massacre en règle, c’était sans doute faute de partenaire valable pour un jeu comme celui-ci : créer la terreur chez les humains ! Et surtout, surtout, offrir des raisons d’avoir des cauchemars à tout le monde, hommes, femmes, et enfantys, que même les héros, ces gens sans peur et sans reproches aient les genoux qui flagellent en sachant qu’il était dans la place…

« Mais je ne ressemble pas à l’archange de l’apocalypse, je n’ai pas d’ailes !  Donc je ne peux pas dire que je suis l’archange de l’apocalypse ! On ne peut pas avoir l’air d’un archange quand on n’a pas d’aile !  Et puis toi tu vas prendre quoi comme identité ? Car niveau apparence, tu me fais repenser à ta bloody mary dans ses phases les plus sanglantes ! Tu avais dit qu’on créait de nouveau personnages ! Moi je suis sûr que tu dois avoir une idée derrière la tête ! Allez, dis la moi !  Steuplait, steupliat, steuplait ! »

Il avait tendance, sous le coup de l’excitation à  sauter un peu du coq à l’âne…. Un vrai gosse qu’il fallait recenter ! Il avait tendance à chercher à droite et à gauche, d’ailleurs. Il y eut un courant d’air froid alors que la glace faisait son office, créant des similis d’ailes dans son dos, repliées bien sûr. Les articuler serait bien plus trop compliqué ! et au pire, il pouvait voler sans cela !

« Voilà !  J’ai mes ailes !  Et toi, tu veux un accessoire pour ta tenue ou tu restes simplement comme ça ? Mais tu crois que tu les séduiras si tu sembles de mon côté dès le début ? Parce que sinon, je peux te faire passer pour une victime… comme ça les gens seront plus facilement séduits par la belle en détresse… Tu ne penses pas ? Promis, je ne te ferai pas mal ! ! Je sais me contrôler ! »

C’était vite dit, cette dernière phrase, mais l’intention y était… il lui sourit et  porta son visage vers la direction d’où le coup était parti, de par là-bas apparemment…. Ça viendrait de cet endroit si ça venait, mais le temps de venir, de se préparer et de revenir, sachant que le premier groupe était en carriole et eux viendraient sans doute à pied…. Moui, il devait avoir deux bonnes heures au bas mot avant que ça ne revienne !

« On a un peu de temps avant qu’ils n’arrivent, autant se préparer…. Je suis – il prit une voix profonde et un peu désincarnée, allez savoir comment… -  l’ange de l’apocalypse ! ! Mwahahahahahahahaha ! »

Puis il lui jeta ce regard, vide de toute émotion, vide tout court, où se lisait une seule chose, si il vous attrapait, ils vous étripait vivant, vous gardanbt assez longtemps en vie pour que vous puissiez tenir vos tripes dans vos mains ! Sans parler du fait qu’il allait écorcher vif quelques personnes.

« Convaincant ? »

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Enfin, Camélia arriva. Il lui sourit en entendant que le fer était en train de chauffer, voilà, il aimait être obéi. Il lui fit signe d’approcher, toujours avec ce sourire sur les lèvres, il se n’agissait pas d’un sourire mauvais, juste d’un sourire doux et que l’on aurait pu qualifier d’aimable. Il savait apprécier les choses qui en valaient la peine et son corps en faisait partie déjà maintenant, alors une fois apprêtée à sa convenance, elle serait encore mieux, il en était sur !  Et justement, il allait commencer à l’apprêter. Ce ne serait peut être pas aussi doux que de faire un piercing chez un pro, mais ça allait bien se passer, il en était certain.

Il la regarda approcher, évaluant sa d&marche avant de lui faire signe de se stopper de la main. Puis, il combla la distance et lui saisit la mâchoir sans brutalité ni violence, ni même chercher à simplement lui faire mal par « inadvertance », il fit bouger sa tête pour observer ses lèvres, sa gorge, ses oreilles. Puis il lui lâcha la mâchoire pour lui pétrir le sein, tâtant de la texture, de la fermeté. Il examinait sa marchandise de plus près. Il n’y avait aucune pensée lubrique là dedans. Il lui tourna autour ainsi pour bien l’examiner avant de finalement lui indiquer la table basse. Elle était en bois, massif sans doute et assez longue pour que quelqu’un puisse, s’il acceptait d’avoir les mollets et la tête dans le vide, s’allonger dans trop de mal en y plaçant tout son tronc.

« Allonge toi, que je passe à la suite. Sur le dos. »

Ton sec, aucune désobéissance de tolérée. Il la regarda s’ex&cuter, lui tapotant même la cuisse pour la féliciter d’avoir obéi, puis il lui dévoila le jeu d’anneaux qu’il avait. Ils étaient petits mais assez grands pour qu’il puisse glisser son index dedans s’il le désirait. Il déposa les anneaux sur son ventre, s’agenouilla derrière sa tête, faisant reposer celle –ci sur ses genoux alors qu’il saisissait sa lèvre inférieure le plaçait dans le poinçon mettant celui-ci allez loin sur celle-ci pour que l’anneau soit accolé de tout son long à la lèvre au point de la meurtrir un peu.

« Je te conseil de ne pas bouger pendant que je fais ça sinon tu auras bien plus mal, une douleur amplement méritée ! »

Il appuya sur le poinçon, il y eut un petit claque et du sang. Le trou était fait. Il glissa l’anneau dans le trou et le referma sur sa lèvre. Ça, c’était fait. Il se releva laissant la tête dans le vide, ne s’en souciant plus pour s’intéresser à ailleurs, en effet, il se pencha sur sa poitrine et lui saisit l’une de ses pointes de chair pour réitérer la manœuvre. Il recommença sur l’autre, puis le nombril, et enfin, il se glissa entre ses cuisses pour placer ceux de ses lèvres intimes et celui de son clitoris. Et voilà !

« Allez, redresse-toi et montre moi œuvre, et va voir où en est le fer à marquer, il faut qu’il soit bien incandescent ! Ah et apporte moi aussi le marqueur indélébile posé sur le linteau de la cheminé s’il te plait. Merci. »

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Il avait été clair, elle avait un nouveau maitre qu’elle croyait temporaire, mais pourtant, il était sur d’une chose, jamais elle ne reverrait sa maitresse. Non pas qu’il tente quoique ce soit, mais il doutait que sa maitresse soit le genre assez faible pour la rechercher de partout, ce n’était qu’un objet, un objet qui pouvait être foutrement puissant bie utilisé, mais il ne voulait pas l’utiliser de manière correcte e fait, il voulait juste lui faire comprendre qu’elle n’avait jamais vraiment été esclave avant aujourd’hui, elle allait comprendre que l’esclavage était tout sauf une partie de plaisir ! elle ne semblait pas avoir été traitée en esclave, et bien ça allait changer.

« Bon, très bien, mais parle plus fort, j’ai beau ne pas être sourd, j’aime bien que quand on me répond ce soit intelligible. »

Et pour faire bonne mesure, il lui envoya un coup de pied dans les côtes, certes, comme il était assis, il n’avait pas mis de puissance dans le coup, mais c’était plus symbolique que prévu pour faire mal. Bien évidemment, la douleur viendrait en temps et en heure. Puis, pour l’empêcher de se relever ou même de redresser le buste, il plaça ses pieds sur le dos de cette chose qui était désormais à lui, donnant, histoire de, un ou deux coups de talon dans les reins, avant de finalement se lever et se diriger vers une autre pièce se contentant d’indiquer sa jambe droite d’un claquement de doigt, l’enjjoignant sans un mot à le suivre et à rester au pied. Oui, comme un clébard (ou plutôt une clébarde) bien dressé(e).

Il ouvrit un placard et en sortit une longue boite qu’il déposa sur un guéridon à proximité. Il contenait des fers à marquer, magnifique ouvrages. Le plus gros portait comme marque un ‘’S’’ stylisé. Puis venait un jeu dont les manques étaient plus petit qui comprenait toutes sortes de formes , des objets de torture à n’en pas douter. Il les regarda, hésita et finalement se contenta du fer à marquer en S.

« Fais chauffer un feu et mets le à chauffer. »

Puis, il rangea la boite et prit sur une autre étagère un jeu d’anneaux et un poinçon à l’ancienne, relativement vieux et un peu rouillé. Il sourit et caressa les cheveux de l’esclave.

« Ensuite tu viendras me rejoindre dans le salon, complètement nue. Tu es esclave, ton corps va le montrer et le prouver. »

Il quitta les lieux, la laissant s’occuper du reste. Il n’avait pas montré le poinçon ni les anneaux, histoire de lui faire une jolie surprise.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Au "Bistro des lourdeaux" (Slade)
« le: lundi 10 juin 2013, 18:03:36 »
Elle sembla nier, elle se trompait, il avait vu Tut agir. Et pendant qu'il essayait de la convaincre qu'il y avait bien du sel dans sa boisson, il  apercevait Tut continuer son manège du coin de l'œil.... s'il la chopait, elle allait prendre une dérouillée monstrueuse... m   is en attendant, il avait la très légère impression de se faire envoyer paitre dans les règles de l'art... enfin, ça c'était avant qu'elle ne boive ! Ah ! Il le lui avait dit !

La prendre pour une blondasse ? Allons, pas son genre, par contre, se foutre de sa gueule parce qu'elle n'avait pas écouté, ça c'était quelque chose qu'il pouvait faire sans le moindre remord, il avait d'ailleurs un sourire amusé sur les lèvres et se serait sans doute mis à se marrer si il avait pas eu droit au même traitement... au pire, ça partirait en live et l'un des deux se prendrait une beigne, mais ça ne serait pas lui... Non pas qu’il soit violent de nature…. Bon, d’accord, il aimait cogner quand il pouvait, mais ce n’était pas une raison pour chercher la bagarre, surtout avec quelqu’un sur qui cogner quand il pouvait, mais ce n’était pas une raison pour chercher la bagarre, surtout avec quelqu’un qui ne bronche pas à chaque coup qu’on lui porte.

Il y eut d’autres toussotements un peu partout, tut avait du frapper pendant que l’autre le croyait responsable… super… il regarda alentour et sentit la colère monter. Chouette. Et quelque chose passa au dessus de sa tête, c’était une fusée, un avion, non, c’était un Tabouret ! Oui, un mec venait de prendre un tabouret et s’en était servi comme d’un projectile… qui avait bousillé plusieurs bouteilles d’alcool. Il soupira, quel gâchis… L’immortel aux cheveux de neige leva un regard vers la jeune femme avec qui il parlait, haussant un sourcil interrogateur.

Et le premier coup partit, non, pas vers elle, un bon coup de pied dans la bas du tabouret de barre pour le desceller du sol, pas celui sur lequel elle était assis, mais celui d’à côté pour s’en saisir et s’en servir comme d’une massue. Le premier qui approcha se prit un coup sur le crâne et s’effondra, pas mort, juste une bonne commotion cérébrale. Puis il lâcha son arme improvisée. Pas de vagues, donc pas de morts, ça allait être dur…

« Bordel retiens toi et ne tue personne surtout ! Sinon t’auras des emmerdes ! »

Il se parlait avec une efficacité égale à zéro, il savait que si on l’emmerdait troip il frapperait franchement. Et croyez moi, heurter du carbone avec le crâne en avant…. Bah c’était pas conseillé…

« Tut si je te chope je ne noie dans les chiottes… »

Celle là, il l’avait marmonné alors qu’il se retournait pour frapper un peu au pif, sans se soucier que ce fut l’ancienne position de la jeune femme ou l’actuelle…

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Oh, elle n’avait pas peur, vraiment ? Bon et bien tant mieux, ça rendrait les choses plus amusantes. Toutes les menaces du monde ne faisaient pas le poids face à lui. Apporter la tête de Slade sur un plateau, et bien qu’elle essaye, ce serait amusant à voir tiens ! Il était sur que ce serait particulièrement amusant de la voir essayer de le tuer. Il était immortel et sans doute aussi invulnérable. Il n’avait jamais vu quelqu’un ou quelque chose lui infliger des dégâts permanents ! Alors qu’elle essaye, sa frustration serait d’autant plus amusante à constater qu’elle ne trouverait aucun moyen d’obéir…

« Si elle demande ma tête alors tu devra expliquer à ta maîtresse que tu n’as ni le courage ni les moyens de lui obéir… donc il y a tout intérêt à ce qu’elle ne demande pas ta tête, n’est-ce pas ? »

Il eut un sourire, alors qu’il se demandait ou était Tut… martyriser la petite fée et en faire un délicieux outil de tourment. Il se rassit et fit signe à la chose d’approcher. Oui, encore une fois, jamais un esclave n’avait un rang humain, ce n’était qu’un bibelot. Un bibelot sans valeur à l’heure actuelle.

« Allez, viens aux pieds de ton maitre, car après tout, comme je doute que ta maitresse – si on peut appeler ça une maitresse -  je suis ton maitre, pour le moment. »

Il souriait, une lueur mauvaise dans le regard.

« Je vais te montrer ce que c’est qu’être vraiment une esclave, ce n’est pas agir comme si ta vie t’appartenait, elle ne t’appartient pas, aussi, tu n’&s pas à chercher à la préserver. »

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Oh, on avait soudainement l’(impression qu’elle était prête à tuer,  comme c’était mignon. Elle voulait tuer un immortel, grand bien lui en fasse ! Il la regarda dans le blanc de l’œil avec  un regard à la fois franc et dur. Elle ne serait pas déçue de la dérouillée qui suivrait, ça c’était une promesse qu’il faisait sans s’avancer, bien au contraire, elle regretterait amèrement la moindre parole en trop qui serait prononcée ! C’était aussi simple que cela ! Il ne tolèrerait aucun débordement de sa part, et ce comportement serait réprimé avec la plus grande sévérité.

Il ne bougea pas la moindre fibre de son corps, mais l’air se refroidit de manière drastique autour de lui, et conséquemment, autour d’elle. Il ne tolérait pas la moindre menace. Surtout venant d’une esclave ! Surtout que la jeune femme en face de lui – quoique ce soit « chose » le bon terme -  ne pourrait rien faire ! Il regarda celle-ci droit dans les yeux, s’apprêtant à parler, mais il s’interrompit. Pourquoi parler quand les faits parlaient d’eux même ?

« Je ne cherche pas à dire du mal de ta maîtresse, mais le fait est que si elle s’inquiétait vraiment, elle se serait déjà chargée de te retrouver. Elle ne t’a pas dressée ? C’est la voie de la facilité. Je dresse moi-même mes propres esclaves. Penses-tu qu’elle tienne à toi ? Moi je vais te proposer un marché. Tu veux rentrer chez toi et moi je suis sur que ta maitresse se fiche comme d’une guigne de toi, car tu n’es qu’une chose et qu’elle te replacera aussi vite que faire se peut ! »

Il sourit et se leva pour s’approcher d’elle.

« Tu restes ici jusqu’à ce qu’elle te retrouve. Tu seras en sécurité ici, sous ma garde. Et j’aime bien les esclaves, je ne sais pourquoi, avec moi ils ne vivent pas longtemps….. mais comme ça tu verras ce que vaut ta maitresse…. Ça te va ? »

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Le quartier de la Toussaint / Re : Au "Bistro des lourdeaux" (Slade)
« le: vendredi 10 mai 2013, 14:08:22 »
Ça, pour être animé, le bar était animé, Slade en avait raz les pâquerettes de  l’odeur de l’ancien bar où il allait. C’était simple quand même : il voulait de l’hydromel et du vrai ! pas un qui sentait la crasse et la sueur ! Chose rare dans un trou paumé pareil. Il ne devait pas y avoir plus de deux ou trois rab dans la rue et c’était sans doute le moins pire désormais.

Mais ça ne voulait pas dire que c’était un bon bar. Il commanda une cervoise, pour changer, avant de passer à un peu plus lourd. Vous connaissez ce cocktail, non ?  Bon, très bien, voilà la recette : un quart de pinte de bière, un huitième de jus de citron, remplacé, faute de mieux, par du sirop de citron, et le reste avec du vin blanc. Ça montait plus vite à la tête que la bière, mais un bon cocktail à base de carburant pour pochard ! Il était entré, s’était assis et avait commandé.

Tut s’était caché dans la poche de sa veste, pour ne pas être vue. Une fée, ce n’est déjà pas banal, mais en plus qui joue des mauvais tours… il ne voulait pas attirer l’attention, pour une fois.  Donc il avait fermé la fermeture éclair  pour l’empêcher de sortir. Comme ça, elle ne poserait pas de problèmes. Enfin, ça, c’était ec qui était prévu à la base. Il avait soudainement senti la poche d’alléger.

« Merde merde merde MERDE…. »

Il se mit à fouiller la salle du regard, ne voyant pas Tut qui, à force de prendre la poudre d’escampette, avait fini par apprendre à bien se cacher, slalomer entre les jambes, se cacher derrière des poutres. Il leva les yeux au ciel pour essayer de distinguer quelqu’un ou quelque chose. Mais niet.

Il errait dans le bar avec son verre dans la main comme un pochard cherchant la bonne personne à qui parler. Soudain, il la vit, elle tenait quelque chose dans la main et le regardait, l’air malveillant…. Il ne distinguait pas ce qu’elle tenait, mais savait qu’elle préparait un mauvais coup, un très, très, trè_s mauvais coup…. A sa manière. Elle tenait quelque chose de blanc et semblait s’appliquer.

De la poudre lui tomba dans les cheveux. Il passa sa main. Non, ce n’étaient pas des pellicules, mais  en fait, il s’agissait de sel. Mais qu’est-ce qu’elle allait faire avec du sel…. Oh et puis au diable le sel, ça ne le concernait pas. Il se dirigea vers le bar et s’assit. Puis, il prit le premier siège qui se présentait à lui, s’installa, camouflant au mieux sa poche trouée et but une gorgée de cervoise.

Il recracha tout devant lui, sur quelqu’un… c’était salé ! Il n’avait pas immédiatement fait gaffe mais apparemment, il avait craché sa cervoise sur quelqu’un…. Ou comment avoir été pris à son propore piège….

« Putain, c’est salé ce truc ! C’est quoi cette merde…. Oups… désolé… »

L’immortel avait l’air presque sincère, l’homme en face, une tapette sans l’ombre d’un doute dit que ce n’était pas grave et qu’il allait nettoyer ça et qu’il fallait oublier. Il soupira et faisant comme si Tut n'existait pas, rejetant la faute sur lke barman, il lui lança :

« Barman ! T’as gouté ta merde avant de la refiler ? »

Il s’approcha de d’une jeune femme, à peine à siège de lui. Et il entama la conversation, comme si de rien n’était passé. Ce n’était pas comme si il venait de recracher sa boisson au visage d’un des autres consommateurs…

« Si j’étais vous, je me méfierai vu ce que je viens de gouter »

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Prélude / Re : L'amour de la guerre
« le: mercredi 08 mai 2013, 12:42:27 »
Wilkommen, la fiche est sympa je trouve ^^

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Il ne connaissait pas cette mercenaire, pire encore, il s’en foutait royalement. Elle aurait pu être la reine de Sabbat qu’il aurait sans doute eu autant d’intérêt. La monarque qu’il servait avait tout ce qu’elle voulait quand elle le voulait. C’était cela le pouvoir. Le reste n’étit qu’illusion, une douce illusion à laquelle l’argent appartenait de manière indissociable. Par contre  cette mercenairz était une bien mauvaise maitresse, il l’aurait pariée rien qu’à la manière que l’esclave avait de parler d’elle. Il se retint de la frapper pour la simple et bonne raison qu’il n’était pas là pour ça, qu’elle n’éprouve nul respect pour sa maitresse, il s’en fichait, !mais une esclave mal dressée, c’était une autre histoire. Elle tenait peut être à une maitresse, mais de là à l’appeler par son prénom, non, ce n’était pas quelque chose de correct. Et sa maitresse ne la chercherait pas. Un meuble cassé était remplacé, et ce n’était que cela, un meuble qui avait été détruit, elle la remplacerait sans doute dans la moindre vergogne. Elle n’était qu’un objet, un bibelot après tout, rien de plus…

Il fallait reconnaitre que ses capacités étaient intéressantes, seul un fou prétendrait le contraire, mais bon, dans l’immédiat il ne voyait pas d’exploitation directe. Il y réfléchissait, mais d’un autre côté, si elle souhaitait rentrer chez elle le plus vite possible, il risquait de se heurter à un autre problème : s’il l’évoutaitelle rentrerait chez elle en moins de dix minutes, et où serait le paiement ? Comment serait-il récompensé par la jeune femme pour son acte ? Les feys lui avait appris quelque chose de simple :  on a rien sans rien. C’ est la règle d’or en la matière. Toute chose a un prix, là est tout l’intérêt d’un contrat : fixer les devoirs de chacune des parties, fixer le prix et veiller à son exécution…

Mais un point le gênait, ce mimétisme des pouvoirs, il ne voulait pas qu’elle le copie. Non, qu’elle ne le copie pas, ou sinon, elle en payerait le prix, et ce prix serait élevé, très, très, très élevé… il eut un sourie en coin, et il mui lança, sur un ton plus amusé qu’autre chose, car oui, la situation commençait à être particulièrement amusante à son gout :

« Donc si je comprends bien ton propre sort ne te dérange pas plus que cela tant que ta maitresse, aussi incapable soit elle de dresser une esclave comme il faut, n’a pas d’ennuis à cause de toi ? Soit, ça me convient, je vais t’aider à rentrer chez toi, mais avant, nous allons passer un marcher avec des conditions. Des conditions que même ta maîtresse ne pourra te faire enfreindre sans te tuer au préalable. C’est honnête, non ? De plus, cela sear assorti du prix que tu devras payer pour mon aide. C’est ainsi que nous fonctionnons chez les feys, tout a un prix à payer. Sommes-nous d’accord là-dessus ? »

Son regard  exprimait une certaine malice – comprendre en cela inspirée du Malin.

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Elle ne semble pas rassurée. Il  n’avait pourtant rien de particulièrement étrange dans le comportement ou dans la tenue, non, il avait une tenue adaptée à la situation, adaptée au lieu, adaptée à la température. Un bon moyen d’être bien dans sa peau car il ne faisait pas chaud. Il sourit en réponse au sien et attendit de voir si elle avait une question particulière.

Elle semblait assez interrogatrice, oui, elle aurait des questions sans doute. Il ne doutait pas qu’il n’y aurait pas de choses réellement intéressantes à faire pour l’enseigner, sans doute qu’il aurait du travail pendant un moment. Mais bon, d’abord, écoutant ses questions. Pas grand-chose quand on y réfléchit. Mais des questions plutôt importantes quand on les connaissait.

Alors, elle précisa certes qu’elle était humaine, rien qu’à l’odeur c’état perceptible. Mais en plus qu’elle pensait être en tenue convenable, enfin, elle ne le dit pas. Mais sa façon de demander si la tenue qu’elle portait ne convenait pas. Non, ça ne convenait pas. Il regarda la jeune femme droit dans les yeux.

« Oui, la tenue ne convient pas, on ne se présente pas devant la reine habillée de manière aussi élégante et distinguée qu'une catin. »

Ça, c’était fait. Bon, on passe à la suite. Il s’approcha et lui saisit l’épaule d’une main ferme, de manière assez forte pour empêcher toute dérobade, mais pas de quoi faire mal. Il l’examina, examina le visage et la stature. C’était une manière pour lui de déterminer son profil et intérieurement, il notait les tailles pour une tenue décente.

« Et il y a les manières à connaître. Ici tu n’es rien et tu ne sais rien…. Et bien sur, tu es trop vieille pour avoir le droit d’avoir l’indulgence des enfants pour excuse. C’est quoi nom de famille et ton ascendance ? As-tu un lien de sang dont tu puisses te vanter ? As-tu un ancêtre fameux pour t’annoncer, un nom prestigieux qui puisse t’ouvrir les portes ? Où n’as-tu que ton propre nom et c’est tout ? »

Il essayait de réfléchir au plus sur moyen de s’en débarrasser.

« Il te manque toute cette politesse que cette courtoisie que tu dois apprendre, puisque sinon, à la simple évocation de mon titre, le chevalier de l’hiver, on s’incline quand on est moins que la famille royale de la cour de l’hiver. »

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Elle avait des raisons d’être affamée… tnt de temps passé sans manger, ou plutôt dans son cas, sans boire, elle avait de quoi boire, niveau ichor, le lieu en était recouvert, une tache écarlate dans le tissu terne du monde. Bientôt, quelqu’un viendrait, quelqu’un verrait le carnage, et inventerait une histoire, une histoire belle qui serait sans doute horrible, parlerait de légendes de démons, ou qui sait, de la daoine sidhe... oui, ce serait bien comme légende, cette idée était plaisante.

Comme de vieux amis qui se racontaient leurs souvenirs de jeunesse, après avoir remis, sans doute comme à chaque fois, la peste noire sur le tapis, c’était à son tour de reparler de ses meilleures expériences, ah ça, ils en avaient de sacrés. La peste noire et bloody mary, ça s’étaient des idées lumineuses. Le seul ennui était une forme de répétition, de routine, comme si c’était quelque chose d’habituel que de répéter les mêmes choses comme s’ils étaient deux petits vieux dans une maison de retraite…

Même s’il préférait voir ça comme de joyeuses retrouvailles entre de vieux amis, pour le coup, de très, très, très vieux amis…. Difficile de qualifier autrement qu’ainsi la relation due aux nombreuses années de rencontres, de croisements, de chemins parcours ensembles ou de carrefours de rencontre. Personne ne pouvait comprendre cela sans être  lui-même forgé d’expérience lourde et se juchznt comme un fardeau sur les épaules.

Il s’était contenté de nier de la tête, non, il n’avait pas revu Tino depuis des lustres et si elle-même n’en avait pas, il ne voyait pas en quoi il en aurait eu, il estimait qu’elle était beaucoup plus proche de lui que Slade ne l’était, aussi, ne voyait-il pas de manière plaisante l’absence de nouvelles… si elle n’en avait pas eu, alors la sourde inquiétude le laissa penser au pire au milieu du meilleur. Enfin bon, ses tripes se turent et le bel immortel lui indiqua du bras le bâtiment où ils étaient enfermés, ils n’étaient que peu nombreux, mais il savait que cela lui faisait plaisir, rien à son regard il savait que d’un seul coup, c’était un noel avant l’heure… Puis, se demandant s’il pourrait profiter du spectacle, il décolla du sol pour observer la scène depuis les airs Il aurait une vue magnifique, d’autant que son ouie déjà fort développée captait les paroles qui se présenteraient.

Il entendit les premiers mots et sourit, écoutant la vampire tromper son monde, elle avait toujours été une actrice de génie selon lui. Il l’écouta plus qu’il ne la regarda faire. Il aurait trouvé cela particulièrement intéressant si elle n’avait pas laissé s’enfuir deux personnes,… il était curieux de savoir pourquoi elle avait fait ça. Lentement, il se laissa retomber sur la place, éclaboussant davantage sa tenue quand il toucha le sol. C’était curieux.

Il la laissa finir alors qu’il retirait de sa taille un autre lambeau de tripes alors qu’elle se rapprochait de lui. Il voyait partir au loin la charrette et l’aurait sans doute rattrapée s’il n’avait pas été trop bien élevé pour abandonner ici Euldexa. Au lieu de quoi il la regardait d’un air interrogateur. Il n’y avait aucune raison de faire ça…. Il se demandait bien ce qu’elle avait exactement en tête…. Il retint d’ailleurs un commentaire qui aurait pu être désobligeant… pas bien le moment. Et quand l’explication vint, il en fut déçu, très déçu. C’était bien le moment de se faire pousser une conscience…

« Je vois… je mange de la tête de veau, du steak de bœuf ou de l’épaule de vache, alors je ne vois pas le problème… je suis un monstre, c’est tout simple . Tu appelles comment les écailles qui me poussent petit à petit à la place de la peau ? Moi j’appelle ça être un monstre… physiquement du moins…. »

Il retira son haut pour lui monter son dos. La surface aux écailles translucides courraient tout le long de la colonne vertébrale, de la nuque au coccyx, la dernière fois qu’elle avait du voir ça, il en avait sur deux ou tris pouces de larges, là, ça couvrait le double en largeur… oui, il devenait lentement un monstre. Il remit son haut couvert de sang et se lécha les doigts avec attention. Il trouvait que le sang avait un gout agréable, mais sans plus.

« J’avais déjà laissé partir quelques personnes, histoire de répandre une légende supplémentaire sur mes horreurs…. Ce n’état pas la peine de laisser partir les enfants… de toute manière, vu les prédateurs, c’est condamner à être dévorés vivant…. C’est un sort plus cruel que ce sue je leur avais proposé…. »

Il essayait de se convaincre sans grand succès qu’il ne s’était rien passé de grabe et que tout allait pour le mieux. Se serait-elle à ce point ramollie ?

« Je t’aurai bien laissée mordre ma gorge pour te nourrir et les épargner mais j'ai voulu retenter l’expérience, et le dernier en date à avoir essayé s’est brisé les dents et a eu la mâchoire fracturée. J’ai la peau trop dure… »

Puis il revint au sujet de sa remarque, sur un ton moqueur, taquin, et qui laissait transparaitre une légère forme d’amertume.

« Je croyais que les vampires étaient sans âmes et sans état d’âmes…. Tu as trouvé le moyen de récupérer la tienne ou est-ce que tu as soudain des remords ? »

Manquerait plus qu’elle soit lma bonne samaritaine…

« L’homme ‘est que du bétail pour ses prédateurs naturlels, dont les vampires…. »

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