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One Shot / Re : Guider et servir ! Jusque dans ton lit - ft Tilla

« le: mardi 09 mai 2023, 03:17:51 »

La chevaleresse tenta de résister mais le plaisir impérieux envahit son corps et s’y imposa dans une délivrance incroyable. Elle n’avait jamais ressenti de telles sensations auparavant. L’adresse d’Ain la comblait au plus haut point. Désormais, la blonde se faisait impatiente de passer à la suite. Son corps entier réclamait le lourenas de son regard fiévreux à sa peau brûlante. Il vint s’installer au-dessus de sa silhouette gracile. « Ain… Supplia-t-elle d’une voix sensuelle. Je suis prête… Prends-moi… »

Son gland gonflé écartait ses lèvres intimes ; son long chemin débutait. La blonde ouvra davantage ses cuisses pour qu’Ain trouve l’aise de s’y installer à son gré. Ses mains se déposèrent dans son dos. Elle ne chercha plus à cacher la rougeur qui hantait ses joues. A cet instant, seul le désir primait au point qu’elle oubliait sa situation : Le Lourenas prenait sa virginité. Enfin, la perdre n’avait jamais été un enjeu incroyable, à ses yeux. Tilla attendait juste la personne avec qui l’envie se manifesterait.

Peu à peu, l’héritier put découvrir son intimité, très étroite et vierge de toute intrusion. Il prenait possession de ce corps envoûtant, le premier. Par chance, il n’avait pas décidé d’opérer une intrusion brutale pour prendre le temps de la découvrir. Malgré sa préparation plutôt intense et le désir dont la garde ne manquait pas, sa queue se faisait pressée dans son intimité, soumise à des sensations intenses. Elle y était loin d’être insensible. Mais pour éviter d’alerter le reste du campement, ses lèvres étaient maintenues closes et ses gémissements étouffés tant bien que mal.

Il était désormais bien présent. Ain possédait ce corps tant désiré par de nombreux hommes mais dont il était le premier à pouvoir s’en emparer.
Ses jambes s’enroulaient autour du bassin de son amant. Ses lèvres prenaient possession des siennes. Avec douceur, sa langue se frayait son chemin. Tilla était bien incapable d’être aussi brusque qu’une lourenas. Elle serait vite capable de le recevoir plus brusquement. La chevaleresse ne désirait pas le savoir contraint à une douceur forcée par seul égard pour elle.

 « Ain… S’il te plait… Ne te.. ne te retiens pas… »

Tilla se laissait submerger par le plaisir. Elle était bien incapable de parler plus, contrainte par son embarras et ses gémissements. Malgré ses efforts pour réduire ses petits sons, son amant pouvait l’entendre glapir à chacun de ses mouvements.

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Royaume Terranide / Re : Camping en terre sauvage [PV Nepta]

« le: lundi 08 mai 2023, 22:35:50 »

« Le vieux m’a parlé d’une cascade pas loin, je reviens.
-Nepta ! Att- »

Mais Beryl n’a pas le temps de finir sa phrase que la jolie louve a déjà disparu dans la forêt, en quête de la fameuse cascade. Depuis deux jours, les trois amis ont quitté pour la première fois le royaume terranide, après un détour à la capitale. Ils ont, pour la première fois, l’impression que leur voyage démarre. L’excitation et la soif d’aventure sont à leur paroxysme. Mais, ils ont été bien obligés de s’arrêter dans un village, frôlant la frontière pour passer la nuit. Leur aventure est récente ; ils ne sont pas encore assez confiants pour passer la nuit dehors.

Nepta ne tient plus en place. Au milieu de l’après-midi, après que le chef du village leur ai vanté la beauté des alentours, elle s’est mise en quête d’exploration. L’intrépide femelle a bien vite semé ses compagnons pour s’enfoncer dans la sombre forêt. D’un pas confiant, elle avançait. Les oreilles dressées, la queue remuante d’un enthousiasme à peine dissimulé. Mais l’épais manteau verdoyant des arbres lui masquait le ciel et les nuages menaçants trouvant peu à peu leur place dans l’immensité dégagée.

De multiples effluves envahissent son odorat. Ses oreilles frissonnent sous la brise humide. L’air s'alourdit mais la cascade est introuvable. La louve aurait dû faire demi-tour à cet instant. Mais non, l’obstination est plus forte. Les premières gouttes lui tombent sur le bout du nez jusqu’à ce qu’un torrent s’abatte sur la terranide impuissante.

Ses bras remontent sur le haut de son crâne pour protéger ses oreilles plaquées contre sa chevelure. Elle court, se perd et tente de trouver un abri en vain. La pluie lui est désagréable et le chemin se fait boueux et glissant. Elle ne tombe pas mais manque à plusieurs reprises d’enfoncer son joli minois dans la terre humide. A sa peine, vient s’ajouter sa faim. Son ventre gargouille indiscrètement à ce repas absent.

Les minutes s’écoulent sans qu’elle soit capable de se sortir de son mauvais pas. Une odeur délicieuse vient lui chatouiller le nez. Des arômes de poulet la conduisent en dehors des bois, dans une prairie clairsemée où une tente s’est élevée. C’est bien la première fois qu’elle voit une habitation en tissu, ainsi dressée. Méfiante puis résignée, Nepta s’approche.

Devant elle, un humain. Elle ne le sait pas encore, la louve n’en a jamais vu. Son père lui avait donné une définition bien monstrueuse de ces derniers : de grandes dents, des yeux globuleux et cruels et de dangereuses armes capables d’abattre les plus puissants guerriers d’un seul coup. Mais l’absence d’attributs animaux la surprit. Même dans le village, où ses compagnons passeraient la nuit, il n’y avait que des terranides.

De plus, sa nudité attire son regard indiscret, malgré une certaine surprise de voir un homme avec si peu de pudeur. La différence flagrante l’amène à des pensées plutôt extravagantes. Est-il constitué comme les hommes de son village ? Y a-t-il d’autres divergences notables ? Ses pupilles mauves le détaillent longuement, surtout au niveau de l’entrejambe. Pour arriver à la conclusion, qu’il ne lui manque que ses attributs bestiaux. Peut-être les a-t-il coupé ? Ce songe l’horrifie et elle balaye vite de son esprit pour se concentrer sur ses mots.

« Excusez-moi… »

Après coup, la louve se questionne : Peut-il la comprendre ? Parle-t-il la même langue ? Son langage est similaire à la langue commune malgré quelques différences initiées par l’autarcie de son village. L’idée serait facilement compréhensible pour quelqu’un ayant les bases de cette dernière.

« Je peux m’abriter avec vous sous votre… étrange abri ? »

Sa robe légère commence à peser sur ses épaules. Si elle n’a pas vraiment froid, Nepta aimerait au moins éviter de tomber malade.

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One Shot / Re : Guider et servir ! Jusque dans ton lit - ft Tilla

« le: lundi 01 mai 2023, 23:54:18 »

Derrière la confiance se dissimulait le doute. Tilla ne le laissait la submerger ; son attention entière était dédiée à son partenaire. Nulles hésitations ne surent gâcher la tendresse de l’instant. Chacune de ses caresses était empreinte d’une douceur sensuelle. Leur nuit ne se résumerait pas par le stupre et un accouplement machinal mené par un besoin instinctif, ils résulteraient d’une volupté délicate et d’une union intime entre ses deux amants. Dans ses grandes pupilles brillantes, la lueur du désir trônait, maîtresse de ses émotions.

A sa délicatesse peu commune se mêlait une grâce enchanteresse quand elle vint reposer sur ses genoux. La suite l’étonna. Autant que les mots si subtilement choisis par son partenaire. Son visage rayonnait tel un soleil dans les ténèbres nocturnes. De simples mots, qui la firent fondre et embrasser, à nouveau son amant. Ain était bon avec elle mais elle ne savait guère quelles paroles seraient appropriées pour s’adresser au lourenas. Un simple merci traversa ses lèvres pures.

 « Il me tarde de découvrir l’extase entre tes mains, Ain. »

Le prénom sonna mélodieusement d’une voix enchanteresse.
Tilla avait toujours eu l’impression d’être un simple bout de viande aux regards des hommes. Jusqu’au terranide où un véritable désir les unissait, loin d’un simple appétit primaire.
Elle ne s’attendait pas à ce qu’il se préoccupe à son tour de son plaisir, de cette manière. Sans y prendre garde, la blonde se retrouva allongée contre le matelas de fortune et la culotte ôtée.

Son petit sexe imberbe se dévoilait au regard de son partenaire. Sentir l’observer lui faisait monter le rouge aux joues et déposait ses mains pour se couvrir. La situation était intimidante, embarrassante et ô combien séduisante. Ses cuisses s’ouvraient doucement et il put s’installer confortablement au creux de ses jambes fuselées.

Ses doigts rencontrèrent sa peau brûlante. Un frisson parcourut son corps tremblant. Bientôt, sa voix s’éleva contre le tissu léger de la tente. Ses mains déposées contre ses lèvres, elle étouffait son plaisir pour n’attirer l’attention d’un quelconque intru. Ainsi, l’expression de son bien-être demeurait dans leur intimité ; Ain était le seul à pouvoir profiter de ses sons inédits.

Chaque attention provoquait une réaction unique à la chevaleresse. Elle n’avait encore jamais exploré cet aspect, bien que ses doigts avaient su à quelques reprises la soulager dans des instants solitaires. Cela restait bien différent de sentir l’héritier s’occuper de sa fleur. Il était si délicat alors que ses phalanges taquines parcouraient son bourgeon. Il n’avait besoin de plus pour observer ses muscles contractées et entendre sa voix étouffée.

Le bout de sa langue s’immisçait dans une délicate caresse. Sa tête, soudainement rejetée en arrière, témoignait de cette sensation délicieuse. Si Tilla avait été capable de parler, elle aurait exprimé à quel point chaque attention lui était exquise. Mais l’embarras la réduisait au silence. Son corps témoignait de lui-même. A ce rythme, il lui suffirait de quelques brèves minutes pour la conduire au paradis, malgré des efforts colossaux pour ne pas y céder trop vite.

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Prélude / Re : Nepta [Valitronçonnée]

« le: jeudi 27 avril 2023, 17:28:31 »

Merci !

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Prélude / Re : Nepta [Valitronçonnée]

« le: jeudi 27 avril 2023, 16:29:24 »

Merci !

J'ai oublié de mettre les nouveaux. Merci de m'y faire penser !

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Le coin du chalant / La louve découvre le monde !

« le: jeudi 27 avril 2023, 15:34:52 »

Bonjour,

Nepta est une jeune louve qui découvre le monde après avoir grandi en autarcie au sein du communauté, particulièrement fermé. Dans son éducation, les autres terranides étaient considérées comme passable, les autres races diabolisées. Et elle n'en a jamais aperçu, d'ailleurs. Il est temps de régler ça !

Le but étant qu'elle voyage à travers le monde, son périple commence par la Capitale Zon'Da.
Mais elle sera assez vite amenée à sortir du royaume terranide et découvrir la cruauté qui est réservée à sa race !

En terme de trame et RP, on peut partir sur tous types : du social, de l'action à des rencontres plus intimes.
Elle peut être sauvée, comme se mettre dans une situation pénible et être incapable de s'en sortir. Tout est discutable en ce qui concerne un futur RP. 

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Prélude / Re : Nepta [Valitronçonnée]

« le: mercredi 26 avril 2023, 23:11:08 »

C'est sur que pour une tekhane... C'est un sacré choc culturel !

Merci !

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Prélude / Re : Nepta [Belphy Mueller]

« le: mercredi 26 avril 2023, 22:37:02 »

Merci pour le retour et pour la suppression prochaine de l'ancienne fiche et du chalant !

Les corrections ont été prise en compte.
Avec mon insomnie, j'ai laissé des sacrées coquilles, en effet.

Bonne lecture !

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Prélude / Nepta [Valitronçonnée]

« le: mercredi 26 avril 2023, 02:55:28 »

Identité : Nepta
Age : Vingt ans.
Sexe & Sexualité : Féminin, pansexuelle.
Race : Terranide louve (Terranide)

Physique

Véritable garçon manqué dans son enfance, beaucoup doutèrent de la jeune Nepta. Elle courait partout, montait aux arbres et se roulait dans la boue. Avec l’adolescence, son charme et ses courbes se développèrent. La jeune terranide n’en prit conscience que sous l’enseignement et la rigueur de sa mère. Elle avait pour but d’en faire une véritable demoiselle, à la hauteur de son rang.

Sa démarche élégante fut travaillée et obtenue au prix de bien des efforts. La louve apprit à soigner sa délicate peau, à prendre soin de son corps. Le but était d’en faire une épouse désirable. Par chance, Nepta possédait une grande beauté.  Sa longue crinière mauve frôlait son fessier ferme. Ses yeux inspiraient la malice, la défiance et une certaine lubricité.

Des tatouages furent inscrits de façon quasi symétrique sur son visage : trois traits furent tracés sur ses joues, deux au-dessus de ses sourcils et une goutte au centre. Il distinguait son rang.
Pour l’honorer, sa génitrice lui imposa ensuite un code vestimentaire : de lourdes robes qui couvraient l'entièreté de son corps. Encombrante et pesante, Nepta les déchira pour les transformer en  des robes légères et ouvertes qui faisaient rougir sa pudique mère et offrait une vue incomparable à ses prétendants.

Sa silhouette gracile était mise en valeur : sa poitrine ronde ne disparaissait pas sous des couches de tissu et ses interminables jambes se dévoilaient aux regards. Sa longue queue lupine s’échappait du tissu léger pour frôler le sol.
A ses tenues légères, des bijoux s’associaient : un bracelet au bras, un à la cheville. Parfois, des perles se mêlaient à sa chevelure tressée.

Mental

Au sein de sa communauté, Nepta était connue pour son caractère virulent et sa constante opposition à l’autorité. Elle n’avait eu de cesse dans son adolescence troublée de remettre en question les règles du village et de questionner les enseignements jusqu’à se montrer condescendante face aux habitants. Impétueuse et orgueilleuse terranide, elle n’avait pas été un cadeau pour ses proches.

La limiter à cette facette visible, réputée et bruyante serait bien mal la connaître. Cette dernière trouvait sa source dans une éducation élitiste et soignée. Quand les autres enfants apprenaient le travail des champs, la belle terranide se voyait enseigner l’histoire du village, la lecture et l’écriture ainsi que les mathématiques. Afin de la préparer à son rôle futur d’épouse, la couture et la harpe s’intégraient.

Mais elle était comme un tigre en cage, rendue agressive par ce mal-être constant. Seul avec ses deux amis, Nepta savait se montrer plus conciliante, agréable et d'une loyauté sans limite.
Ainsi, ses excursions régulières lui permettaient de souffler mais les préceptes restaient gravés en elle. Malgré des limites franchies, ses pas la ramenaient instinctivement sur le chemin de son foyer. La téméraire louve ne savait se détourner de cette route tracée.

Quitter le statut de simple rêveuse pour partir à l’aventure fut un véritable sacrifice. Malgré sa rancune tenace, Nepta eut du mal à faire un trait définitif sur son ancienne vie pour réaliser ses ambitions. Mais elle se détourna de son village sans le moindre regret.

Son voyage débute à peine. Mais la terranide n’a jamais été aussi heureuse et épanouie. Elle avance dans un monde inconnu, effrayée par sa grandeur mais confiante en ses propres capacités et ses compagnons.

Histoire

Au sein du royaume terranide existe un village isolé de tous et de tout. Aucune route commerciale ne le traverse, peu de cartes semblent le mentionner mais la forêt environnante leur offre un abri des prédateurs ainsi que de nombreuses ressources, en cas de mauvaises récoltes. En effet, les habitants vivent des terres bordant leurs petites maisons : leurs ancêtres les ont cultivés et ils continuent de prendre soin de leur héritage. Une vie bien paisible qu’ils apprécient.

L’autarcie entraîne de nombreuses dérives. Selon la mémoire des plus anciens, héritée de leurs propres aïeuls, des citadins avaient fui la capitale Zon’Da pour trouver refuge sur des terres vierges. Ses quelques terranides avaient espoir de fonder une communauté plus pure, basée sur des hybrides aux caractéristiques similaires, c’est-à-dire lupines. Ainsi, aujourd’hui encore, parmi les habitants, ne s’y trouvent que des loups qui ne se mélangent pas à l'extérieur. Les autres terranides sont mal vus, les autres races diabolisées.

Dans ce lieu particulier, Nepta a grandi. Fille du chef du village, elle était choyée et adorée pour son statut, son adorable bouille et son optimisme. Ses yeux pétillants découvraient un endroit petit, aux limites bien définies et aux interdits clairs. Dès ses premiers pas, elle admirait de loin cette frontière invisible qu’on lui interdisait de franchir malgré ses demandes répétées et sa curiosité insatiable.

Une éducation pesante dirigée par sa génitrice pesait sur ses frêles épaules. On attendait d’elle qu’elle soit à la hauteur de sa tâche future : l’épouse du prochain chef. Sans autre progéniture, son mariage conduirait son époux à s’élever pour prendre la suite de son père. La terranide ne posséderait de droit à l’erreur.
A cause de ce devoir, nombreux étaient les autres enfants qui l’approchaient, poussés par leurs parents. Ils tentaient de s’attirer ses faveurs pour ensuite l’abandonner une fois le nom de l’heureux élu dévoilé.

L’hybride n’avait que deux véritables amis : les enfants des servants de son père ; ils ne s’intéressaient ni à son statut et n'espéraient s’élever à ses côtés. Avec eux, l’adorable louveteau s’enfuyait de la maison pour explorer les alentours. Pour ces enfants téméraires, le tour du comté fut bref. A l’adolescence, ils flirtaient avec les frontières autorisées tant le village ne possédait plus aucun secret et s’avérait être d’un ennui profond. Impétueux, ils se rebellaient contre l’autorité, désobéissaient et fuguaient à chaque occasion.

Nepta était la pire, sans nul doute. La plus téméraire enfant, la terrible séductrice adolescence. Elle prit peu à peu connaissance de ses charmes. Beaucoup rêvait de lui ôter le tissu bien léger qui la couvrait mais peu en avait le droit. Dans le dos de son père, l’espérant préservée jusqu’à son union, bien entendu. La rigidité des dogmes et ce destin traçaient lui peser et causer son hostilité. Il lui répétait qu’il agissait pour son bonheur, elle répondait avec véhémence et claquait la porte.

A sa dix-huitième année, sa situation ne s’arrangea guère. En passe de devenir une véritable femme, son visage fut marqué de tatouages symboliques dans une douloureuse cérémonie. Elle était bien la seule à subir ce procédé brusque et plutôt barbare pour marquer son futur rôle. De façon quasi symétrique, trois traits furent tracés sur ses joues, deux au-dessus de ses sourcils et une goutte au centre. La distinction du rang se faisait ainsi parmi ses pairs.

Bien obligée de subir ce rituel douloureux, malgré ses protestations, se fut suffisant pour Nepta. Désormais, les jours se comptaient jusqu’à son évasion prochaine du village. A l’image de ses deux amis, elle rêvait de découvrir le monde et ses dangers. Les tensions avec son père ne cessèrent de s’exacerber ; une profonde haine naissait à l’égard de sa mère, silencieuse. Son comportement repoussa le mariage. D’un an, puis de deux et de trois.

Pour le chef du village, il était bien impensable de marier une enfant si rebelle, insolente, orgueilleuse et incapable de soumettre à l’autorité masculine que son père ou son mari représenterait.
Cette dernière opportunité fut suffisante pour que leur plan s'échafaude et que leur départ se précipite au milieu d’une nuit. Habituée à ses fuites régulières à travers le village, son père ne se rendit compte de suite de cette disparition, la pensant dans les alentours.

Mais elle ne revint pas. Et il était trop tard pour la rattraper.

Ainsi, Nepta commence sa nouvelle vie à travers les contrées de Terra, pleine de préjugés et de rêves et accompagnée de ses deux amis.


Refonte de Chiharu ! Est-il possible de supprimer s'il vous plait son ancienne fiche et son ancien chalant ? (Fiche - Chalant) Je préfère tout refaire au propre et éviter des confusions inutiles ! Merci. 

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One Shot / Re : Le Désir Tabou. - Red King

« le: samedi 18 février 2023, 21:20:58 »

Chiharu ne peut pas blairer Kyoko ; l’inverse est vrai. Alors, entendre Akuro la railler et lui donner raison suffit à lui faire plaisir. Malgré les efforts de l’ex, elle a vite remarqué lors de leur première rencontre son manque de cran. De même, quand un problème s’imposait avec la cadette, la trouillarde préférait en parler à son compagnon, plutôt que d’affronter le regard méprisant de la louve. Elle n'a jamais eu de courage ou la capacité de s’imposer.

Ce qui a le plus surpris la japonaise est une rencontre récente, chez sa mère. Elle s’y était arrêtée pour passer la nuit et Kyoko lui rendait visite. Depuis sa chambre, elle avait pu entendre toute la discussion lunaire. La compagne de son frère se plaignait de son refus d’avoir des enfants et demandait de l’aide pour le convaincre. Sous le charme de son adorable belle-fille, la génitrice finit par céder et en suivit quelques jours plus tard, une discussion pénible.

Chiharu n’a jamais pris la peine de raconter cette histoire à son aîné. Depuis, Kyoko lui est toujours apparue aussi perfide qu’un immonde vampire.
Animée d’une nouvelle joie, elle le suit, le collier au cou. Ses attributs lupins se manifestent quand Akuro ouvre la marche. Dans son dos, donc. Sa queue touffue se balance de droite à gauche avec une certaine aisance et gaieté. Ils arrivent vite à la petite salle de bain.

Il a pas tort. Ils puent. Chiharu est la première à entrer dans la douche, profitant que son aîné met le lave-linge en route. Mais Akuro la rejoint vite. Le dos de la cadette se colle à la paroi glaciale et ses bras entourent son frère. Sa virilité frotte contre l’intérieur de sa cuisse. Plus elle s’éveille, plus elle s’étend contre sa féminité. D’une main, elle vient l’aider à prendre contenance.

« Tu sais quel est le meilleur moyen pour se relaxer ? Lui souffle-t-elle à l’oreille, d’une voix sensuelle. La baise. »

A peine, la louve finit ses mots qu’Akuro s’empresse de l’embrasser. Elle y répond avec ardeur, se cambrant à ses caresses. Entre ses doigts, il prend bien soin de s’occuper de son fessier. Pour son plus grand bonheur. Chiharu ne compte pas vraiment lui accorder ce repos ; les quelques minutes passées assise lui ont suffit à retrouver la forme. La cadette se surélève à peine pour que le gland gonflé tape contre son entrée, et s’y fraye un chemin au chaud.

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One Shot / Re : Guider et servir ! Jusque dans ton lit - ft Tilla

« le: samedi 18 février 2023, 21:07:41 »

Autant que pour Ain, cette pratique était nouvelle pour la belle Tilla. A entendre son amant, le plaisir était au rendez-vous ; l’effet procuré par la fellation l’amenait bientôt vers la jouissance. Entre satisfaction et désir, elle redoublait d’efforts alors que l’érection palpitait entre ses fines lèvres. Sa virilité s’enfonça presque jusqu’à sa garde quand la semence se déversa dans sa bouche. Avec maladresse, la chevaleresse avala le contenu et retira le membre pour pouvoir respirer.

Encore surprise de cette nouvelle expérience, la blonde resta quelques secondes supplémentaires au sol. Le lourenas, bienveillant, s’inquiète et l’interroge. « Oui… Enfin, c’était la première fois que je le faisais, j’espère ne pas t’avoir déçu. Et non ! Ce n’était pas dégoûtant ! » Un sourire rassurant fleurit sur ses lèvres et elle se leva pour lui faire face.

Or, avant de continuer, Tilla se saisit d’une coupe de vin ; elle en retira quelques lentes gorgées pour disparaître l’arrière-goût âpre, demeurant entre ses lèvres. Un grain de raisin s’accompagna à sa boisson. Elle était prête. Ses bras se déposaient autour du cou de l’hybride et ses lèvres rencontraient les siennes. Sa langue se fraya un chemin pour rejoindre sa comparse dans un lent et langoureux baiser.

Elle le guida jusqu’au lit où elle le fit s’asseoir. La blonde s’installa sur les genoux. D’un poids plume, le lourenas n’aurait de mal à la renverser si l’envie lui prenait. Ses doigts entourèrent sa virilité, d’une délicate étreinte. Elle était déjà positionnée contre sa culotte et le gland frottait contre le tissu protecteur pendant que sa main s’affairait à la réveiller une seconde fois.

« Si tu ne veux pas aller plus loin, dis-le moi… » Sait-on jamais. L’inexpérience de Tilla effrayait peut-être Ain ? Ou cette pratique humaine l’avait répugné ? Les doutes étaient nombreux.

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One Shot / Re : Le Désir Tabou. - Red King

« le: mercredi 08 février 2023, 01:37:45 »

Un pari n’est intéressant que quand il est gagné ; dans le cas présent, Chiharu est assaillie de remords. Mais une parole donnée ne peut être reprise malgré les présages données par la soudaine proximité d’Akuro, elle ne faiblit pas et le suit. L’aube se levait ; la pluie s’était arrêtée. Mais comme son aînée, la louve reste trempée d’avoir couru sur la pluie, imbibée de sang de leur combat. Les transports en commun ne passent pas ; il fait bien de le lui rappeler.

La fatigue se profile, menée par ses blessures. Or, une fois arrivée à la planque où un moyen de locomotion leur est enfin accordé, elle se sent déjà revivre, de plus d’être obligée de marcher. Sa charmante maison est facile à rejoindre. La japonaise n’y a que rarement mis les pieds à cause de Kyoko. Puis, le domicile ne l’intéresse pas tant que ça. C’est plutôt la perspective de se poser qui l’anime. Son appartement est plus éloigné.

Les premières directives sont données sur le pallier de sa porte. Un baiser rapide accordé, sa main sur ses fesses. La louve n'a pas le temps de réagir qu’il ouvre la porte. Chiharu y trouve un lieu de vie propre et bien rangé. Loin de son miteux studio insalubre, elle aurait parié y entendre des rats se balader la nuit dans les murs. Ça ne ferait qu’écho à la moisissure et aux nombreuses fuites qui y traînent déjà.

« Un collier, râle-t-elle, bien que la perspective de continuer leur soirée l’égaye un peu plus.  Ta machine à laver est où ? »

Elle a vite exécuté l’un des premiers ordres : se mettre nu. Il lui permet surtout de se débarrasser des vêtements poisseux. Sans réponse, peut-être qu’il ne l’a pas entendu, Chiharu les laisse avec ses chaussures dans l’entrée. Elle n'a pas non plus envie de dégueulasser la maison et d'être obligée de faire le ménage derrière…
Enfin, la louve se laisse tomber sur le canapé. Des bleus marquent son corps à différents endroits où elle a reçu des coups, son poignet se remet doucement. Finalement, ses blessures ne sont pas si terribles.

Quand les pas d’Akuro résonnent en sa direction, Chiharu se relève sur le canapé pour l’observer. « Je veux pas d’un accessoire que Kyoko a déjà porté. » Une seule condition plutôt raisonnable, pour une fois. Elle se lève pour le rejoindre. Ce court repos a suffi pour qu’elle reparte d’aplomb pour finir leur soirée bien entamée.

La louve a oublié mais la pleine lune est prévue pour dans deux jours, au beau milieu de leur pari… Certaines dernières, quand elle ne cause pas la transformation complète, exacerbe leurs sensations. Le jour la précédant et la suivant sont de la même trempe. Peut-être perdront une nuit, auquel cas, le pari sera légèrement repoussé. Ou Ils profiteront de la bénédiction lunaire dans leurs ébats endiablés.

Pour l’heure, ils sont encore sereins. Chiharu se plante devant son aîné encore habillé, pour le mettre au même niveau. « Tu désires quoi ? »

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One Shot / Re : Le Désir Tabou. - Red King

« le: lundi 06 février 2023, 15:04:25 »

Chiharu fait face à une horde d’humains enragés mais elle est loin de se douter qu’un vampire, leur ennemi naturel, tire les ficelles en amont. Mais ils auront le temps de faire le point plus tard, avec Akuro et l’Alpha. Pour l’instant, la louve endure les coups, un grand sourire aux lèvres. Quand un de ses assaillants s’approchent un peu trop, son crâne se fracasse contre le sien. Il se recule, le nez en sang. L’un de ses comparses s’approche pour mettre un nouveau coup de poing à la japonaise.

« Salope, tu vas parler ?
- Préparer immédiatement le départ et tuer ses chiens galeux.
- Je préfère ça ! »

Avant que le canon ne soit pointé sur la louve, Akuro lui vient en secours et use, comme leurs adversaires, d’une arme à feu pour les obliger à se replier. Les humains font bien moins les malins et plusieurs tombent face à l’écart de puissance entre eux et le loup. De son côté, Chiharu n’a pas l’intention de perdre le pari, lancé à son initiative. Elle se disloque un poignet dans un grognement de douleur afin de se libérer.

Son aîné a pris une nette avance. Malgré ses blessures, la louve enragée se bat vaillamment et fait payer les coups au centuple à ses tortionnaires. A deux, ils finissent vite par prendre le dessus et se débarrasser de la racaille. Les renforts ne sont pas encore arrivés que les corps gisent au sol. Certains sont morts, d’autres juste inconscients. Car il faut tout de même en garder quelques-uns entiers pour pouvoir les interroger le moment venu.

Assise sur un humain au limite de l’évanouissement, Chiharu compte les corps et fait le poids sur le vainqueur. « Putain, t’as gagné ! Constate-t-elle avec dégoût. Si tu avais pris la peine de me libérer, ça aurait été plus équitable. » Mauvaise perdante, elle récolte avec sa défaite de nombreuses blessures. Heureusement, avec leur nature surnaturelle vient une guérison plus rapide bien qu’elle ne soit pas exceptionnelle, non plus. Quelques jours de repos, les soins adéquats, Chiharu sera comme neuve !

Les renforts passent la porte. Ils sont une petite dizaine avec à leur tête, Saeko. Elle est l’une des proches de l’Alpha, à la charge de sa protection lors de ses déplacements et de l’unité de renforts. Sa force n’est un mystère pour personne ; elle prend bien vite les choses en charge à son arrivée. Sous ses ordres, les différents humains sont appréhendés, divisés en deux groupes : les morts et les vivants. La scène est nettoyée afin de n’attirer les soupçons d’autres humains.

Pendant que ses subordonnés s’affairent à leur tâche, elle s’approche d’un pas des deux loups : « Bon travail ! Vous devriez aller vous reposer. On se charge du reste. » Sa main tendue vers Chiharu, Saeko l’aide à se relever. « Passe te faire soigner ! » D’un haussement d’épaules, la louve répond : « C’est rien ! Je suis en pleine forme ! » Elle quitte le hangar, d’un pas assez lent et invite Akuro à en faire de même. Une fois dehors, elle se tourne vers lui : « Chez toi, c’est plus près, non ? Par contre, on va devoir prendre les transports en commun… »

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One Shot / Re : Guider et servir ! Jusque dans ton lit - ft Tilla

« le: vendredi 03 février 2023, 00:53:18 »

« Cette nuit… Et autant d’autres que tu le désires. »

Tilla n’avait guère conscience des pratiques sexuelles des lourenas, mis à part leur proportion à la bestialité et leur grande endurance. Elle-même était en réalité peu expérimentée. Ses connaissances se basaient sur quelques ouvrages romantiques et les grossiers commentaires des autres gardes. Ils appréciaient décrire leurs expériences et louer les vertus des gaupes rencontrées au hasard de leur mission. A la théorie s’ajoutaient de rares flirts, qui n’avaient conduit qu’à des préliminaires baclées, repoussant pour la chevaleresse.

Dans le royaume, la chasteté jusqu’au mariage était une valeur fondamentale. Or, cette règle tacite pesait sur les femmes, aisément déshonorées et jetés aux rebus si jamais elles ne respectaient les conditions. Les hommes, eux, se faisaient bien plus libres dans leur expérience et la découverte de leur sexualité.
La garde ne prêtait que peu d’intérêt à ces coutumes. Malgré le souhait ardent de sa famille de lui passer la bague au doigt, elle avait toujours rejeté le mariage pour se consacrer à sa carrière.

Souvent rabaissée pour son sexe, dans une société machiste, Tilla devait constamment prouver sa valeur. Le comportement de ses comparses l’avait dégoûté des humains. Au contraire, de plus son plus jeune âge, elle admirait la société lourenas, l’organisation plus égalitaire que leur rang possédée. L’aspect guerrier et leurs valeurs la fascinaient ; elle dévorait tous les ouvrages les concernant.
Son attirance et son désir pour Ain étaient nés naturellement, sans qu’elle n’y force le destin.

Poussée par une extrême confiance en elle, qui dissimulait derrière des gestes un peu maladroits et un appétit vorace, les lacunes de la garde n’apparaissaient guère. Elle-même était déroutée par cette volonté de donner du plaisir à son partenaire.
Elle s’appliquait à la tâche, avec une infinie précaution. Ses lèvres glissaient sur sa peau tendue, sans que ses dents ne l’eraflent une seule fois. Sa langue caressait langoureusement le gland gonflé.

Au fur et à mesure, l’humaine prenait ses aises dans la fellation ; l’érection s’enfonçait plus profondément dans sa gorge. Elle n’arrivait toutefois pas à l’accueillir entièrement entre ses petites lèvres. Ses mouvements s’accéleraient. Tilla tentait d’avaler les premières gouttes qui remplissaient sa bouche.
Ain avait sous ses yeux une vue des plus ravissante : la chevaleresse qui se donnait à coeur sur la longue queue, dans une petite tenue ravissante. Un soutien-gorge blanc soutenait sa généreuse poitrine et une jolie culotte immaculée cachait sa féminité.

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One Shot / Re : Guider et servir ! Jusque dans ton lit - ft Tilla

« le: mercredi 01 février 2023, 19:45:53 »

L’invitation formulée par l’héritier ne souffrait d’aucun sous-entendu. En toute confiance, Tilla l’avait accepté ; la  garde avait décidé de procéder aux premiers pas, réduisant la distance qui les séparait. Le grain de raisin croquait, le lourenas jouait avec ses graciles doigts. L’attention s’éléctrisait entre l’hybride et l’humaine. Ses mots ne laissaient guère place au doute ; seules ses joues se teintèrent d’une nuance rosée.

Aucune hésitation n’entravait ses gestes. Elle s’assit sur ses genoux, tirée par Ain. Sa poitrine se pressait contre lui alors que sa langue trouvait son chemin vers sa comparse. Il était à l’initiative de ce baiser fougueux mais par son répondant, Tilla lui faisait comprendre le désir qu’il l’animait.

Il se leva. La blonde se trouva allongée sur le lit, sur le dos à l’observer dans un regard fiévreux. Il tomba un premier habit ; elle pouvait se délecter de la vue offerte, de ses muscles divinement bien dessinés. « Je n’ai aucun intention de partir… » Sous l’attention de la jeune humaine, Ain prenait déjà un plaisir solitaire.

Elle ne laisserait s’affairer seul longtemps. Ses doigts se portaient sur son uniforme dont les boutons commençaient à sauter un à un. A son tour, la garde dévoilait sa peau laiteuse et ses sous-vêtements dentelés à l’approbation d’Ain. Par le tissu défait, il pouvait admirer sa plantureuse poitrine. Tilla se relevait pour lui faire face.

Ses doigts agiles trouvèrent leur chemin dans son bas. Sa queue entre les mains, elle la libéra de sa prison. La blonde lui prouverait qu’elle était capable de tenir le rythme pour une nuit sportive… Peut-être même plus. Avant  de commencer, Tilla désirait lui montrer l'étendue de son désir. Ses genoux tombèrent très vite au sol.

Devant ses lèvres se manifestaient l’érection naissante de son amant. Elle les ouvrit pour l’accueillir au chaud. Son gland s’immisçait lentement dans sa bouche ; sa langue le caressait avec envie. Ses doigts cajolaient sa peau encore inaccessible.