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Messages - Komaki Azuka

Pages: [1]
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Centre-ville de Seikusu / Re : Médicament 100 % bio [PV : Komaki Azuka]
« le: vendredi 27 août 2021, 17:22:14 »
Je n'étais pas spécialement prudente ou réservée sur l'instant, mais surtout vraiment curieuse de la femme qui me fait face. Son apparence, les étranges pouvoirs qu'elle a et la variété de choses qu'elle peut faire avec ces fruits fascinants. Certes, elles est vraiment séduisante et cette plante aphrodisiaque me tente beaucoup... mais la femme de science en moi veut décidément en savoir plus.

Je sursaute soudainement, lorsqu'elle vient m'embrasser, frémissant longuement, alors que je sens quelque chose être glissé dans ma bouche.
Je bloque un temps, alors qu'elle s'agenouille devant moi, me déshabillant sans que je n'y oppose résistance... Et puis zut, tant pis pour la science, je verrai ça plus tard au pire!
Je mâche et avale le fruit, restant silencieuse et attentive aux réactions de mon organisme.

- Ah... Je... Oui on peut dire ça comme... han!

Je sursaute et gémis longuement, alors qu'elle enfouit sa langue en moi, comme un tentacule emplissant le moindre centimètre-carré de mon intimité. Elle joue en même temps avec mes fesses et je sens des bouffées de chaleur m'envahir... sauf qu'elles ne semblent pas seulement venir de mon intimité, mais aussi de mon ventre et je fais bien vite le rapprochement avec le fruit que j'ai avalé.
Je me tortille et gémis de plus belle, mes mains se glissant vers ma poitrine encore couverte, la massant et la pétrissant doucement:

- Ouah... J'ai si chaud en si peu de temps...

2
J'ai tellement chaud, à voir ce mignon jeune homme se caresser sans aucune gêne devant moi: ça devient vraiment torride dans cette petite chambre, alors même que l'on n'a pas commencé à passer à l'acte...

- Vraiment? Je suis surprise de savoir qu'un si bel homme se trouve dans sa classe et qu'elle ne m'en parle pas: j'imagine qu'elle doit trop être concentrée sur son travail, pour ne pas voir les beaux étalons près d'elle, c'est dommage pour elle...

Je rigole doucement devant le commentaire de Tetyhs, avant de déposer un petit baiser sur son nez:

- Eh bien, quelle analyse franche et sincère tu me livres là... et tu as raison: j'ai certains besoins intimes assez... "intenses" et j'ai parfois du mal à les cacher.

J'acquiesce d'un signe de tête, suite à sa réflexion sur les heureux élus: cela fait tellement de moi une allumeuse, c'est presque effrayant et ça fait clairement de moi... une salope... ou une "allumeuse", si on veut rester poli, comme l'indique le jeune homme.

Je me mordille l'index, en voyant son sexe tressauter, bien gonflé et suintant de pré-sperme: c'est un gros pas à franchir mine de rien que de sauter sur cet ado du même âge que ma fille... et pourtant... je n'attends que ça!
Je retire bien vite mon string trempé de cyprine et m'amuse à le lancer à la figure de Tetyhs, avant de m'avancer vers lui, me glissant sur le lit et me retournant, pour lui présenter mon fessier... que j'abaisse bien vite, pour empaler mon intimité trempée de plaisir sur son sexe, me faisant longuement gémir. Un petit claquement emplit la pièce, alors que mes fesses claquent sur son bassin:

- Han... C'est si facilement rentré en moi... tellement je suis excitée...

Je commence à faire aller et venir ma croupe sur ce délicieux pieu de chair, gémissant et frémissant au rythme des claquements de chair, lorsque je m'abaisse sur lui.

3
je souries de plus belle, bien intriguée par les propos de ce jeune homme.

- Eh bien, pour ma part, je trouve que c'est vraiment le meilleur caractère que puisse avoir quelqu'un dans ce monde et c'est pour ça que ma charmante Hiyori est ma plus belle réussite en ce monde, même si la pauvre choupette se rabaisse souvent, dès le moindre échec, avant de prendre le problème à bras-le-corps et de le traiter intensément... Ah, elle est aussi fière que stressée par son rôle de présidente du conseil étudiant, mais comme tout le reste elle s'y implique à son maximum, se négligeant au passage... Enfin bon, c'est la phase de l'adolescence où on veut faire ses preuves aux yeux du monde, donc j'imagine que ça lui passera...

Je glousse lorsqu'il empoigne soudainement ma poitrine, jouant copieusement avec, alors que je lui adresse un regard attendri:

- Ravie de voir que mon corps approchant de la quarantaine te plaît, mon grand.

Faussement gênée par mon âge, j'apprécie quand même le fait de pouvoir émoustiller mes partenaires par la simple vision de mon corps.
Je frictionne tendrement et lentement son pieu de chair, bien dur et dressé, tressautant de plaisir entre mes deux monts de chair. Je donne à trois reprises un petit coup de langue sur son gland, avant de m'interrompre, réfléchissant un temps:

- Oh non, c'est rare que je fasse ça au travail, mais je vais quand même prendre quelques précautions... et je suis entièrement à toi...

Je me redresse, après un dernier baiser sur son joli gland rose, pour prévenir à mon talkie-walkie que je prenais ma pause et que je fermai la porte du jeune patient arrivé récemment, pour le laisser se reposer tranquillement, sans être dérangé, parce qu'il a besoin de repos. Je ferme ensuite la porte et je laisse doucement glisser ma blouse déboutonnée sur mes épaules, en contemplant mon jeune amant d'un regard coquin et désireux, en voyant son joli sexe érigé:

- Ouah... tant de vigueur dans un si jeune corps... C'est moi qui te fait un tel effet? Montres-moi donc... Excites-toi sans aucune pudeur devant le spectacle...

Je finis de faire glisser ma blouse, restant en collants blancs. Je me déhanche sensuellement, dans une petite danse du ventre improvisée, exposant mes fesses rondes et rebondies, comme deux flans gigotant paresseusement.
Je caresse, masse et pétris doucement ma poitrine, mes tétons bien pointés et durcis, dévorant régulièrement le jeune patient du regard, surtout sa verge:

- Alors? Quels commentaires pervers te viennent en tête?

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Centre-ville de Seikusu / Re : Médicament 100 % bio [PV : Komaki Azuka]
« le: dimanche 14 février 2021, 21:16:32 »
De plus en plus intriguée par cette femme, je croise les bras et me penche d'avantage en avant, pour l'écouter avec plus d'attention encore.
Donc elle serait issue d'un grand arbre et aurait comme "pouvoir" le fait de pouvoir faire pousser des plantes sur elle-même?
Je rougie doucement, en voyant que le corps de la femme-plante change subitement, pour se retrouver... entièrement nue devant moi. Mon regard se perd un temps sur ses jolies courbes et je souries de plus belle à la dame:

- Vous... Vous avez un corps des plus ravissants, madame Akita; je comprends mieux les compliments de Hiyori à votre sujet.

Pouffant un peu de rire sur l'instant, sur quelques descriptions de Akita sur ces fruits, je suis d'avantage fascinée par les diverses propriétés.
Le dernier fruit me fait hausser un sourcil, observant plus attentivement le rose que je prends entre mes mains, le soupesant un temps et l'observant sous tous les angles:

- Oh... Ce serait... un aphrodisiaque? C'est comme le... le gingembre c'est ça?
Et le blanc, vous ne savez vraiment pas ce qu'il fait, malgré le fait qu'il pousse sur votre corps?

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Centre-ville de Seikusu / Re : Médicament 100 % bio [PV : Komaki Azuka]
« le: dimanche 07 février 2021, 21:48:07 »
Intriguée et aussi fascinée par la chose, j'observe avec de grands yeux pétillant de curiosité cette ravissante dame montrer ses prouesses, en extirpant des fruits directement de son corps et les étaler devant moi.
J'observe un temps chaque fruit, vraiment curieuse sur l'instant; j'ai l'impression de voir par moments des versions "alternées" des fruits terriens habituels.

- Ouah... Vous voulez dire que vous produisez vous-même les nutriments pour produire les fruits sur votre corps? C'est fantastique...

Mon regard ne sait plus où donner de la tête, allant de l'étalage de fruits sur la table au corps de la dénommée Akita, que je dévisage et détaille un temps... avant de rosir, remarquant que j'ai dérivé assez vite sur ses jolies formes féminines.

- Hum... Et donc, ces fruits ont quels effets au juste?

6
Je rigole de plus belle, les joues rosissant doucement sous les charmants compliments du jeune homme:

- Merci. Oh, elle est en pleine dans ses pulsions adolescentes et doit se bagarrer entre sa volonté de plaire et d'être utile à tout le monde, le fait de vouloir me rendre fière d'elle à tout prix, mais aussi ses pulsions adolescentes, mais oui, il y a pas mal de points communs entre elle et moi, en terme de physique.

Je vois soudainement son appareil génital masculin apparaitre dans toute sa splendeur et sa raideur devant moi, rajoutant à mes rougissements.

- Oh... Je vois... Effectivement, ça déclenche quelque chose en toi...

Baissant les yeux, je remarque alors quelque chose: ma blouse partiellement déboutonnée, en plein sur mon décolleté.
Et la question du jeune Tetyhs achève de me convaincre... et je déboutonne deux boutons de plus, pour extirper ma poitrine de sa prison de tissu, encore tenue par mon soutien-gorge.
Je m'avance un peu, relevant ma poitrine, pour emprisonner son pieu de chair entre mes seins, bien enserrés par le soutien-gorge, lui adressant un adorable sourire charmeur:

- Hum... Vu comme tu es mignon et charmant, je pense que je pourrais... t'aider à te sentir mieux...

7
Intriguée par le léger blocage de ce jeune homme, qui semble d'un coup moins assuré, je penche la tête sur le coté, tout en continuant mon massage, souriant de plus belle:

- Très bien, c'est une bonne chose que vous ayez conservé votre sensibilité!

Soulagée de savoir que ce petite patient semble mieux remis que ce que pouvait laisser entendre son dossier médical.
Docilement et précautionneusement, je commence à remonter le long de ses jambes, jusqu'à ses cuisses... et en m'avançant un peu, je décale ma tête... et je remarque alors une bosse au milieu de son entrecuisse, me faisant doucement rosir sur le coup... avant de pouffer de rire:

- Hu hu... C'est vrai que je vois une bosse par ici... mais rassurez-vous, je crois que c'est une réaction assez normale, dans la situation actuelle.

Je lui adresse un petit clin d'œil taquin, avant de continuer mon massage, ignorant que mon décolleté est toujours exposé à sa vue.

- Je m'appelle Komaki et je vous remercie pour ses charmants compliments. Je dois avoue que vous êtes plutôt mignon aussi: vous rivalisez de beauté avec ma fille même, ce qui est loin d'être évident.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Médicament 100 % bio [PV : Komaki Azuka]
« le: samedi 30 janvier 2021, 18:38:52 »
Pianotant distraitement sur mon portable, je suis de nouveau le fil de messages avec ma fille Hiyori, toujours assez intriguée par ses derniers messages et ce qui m'amène à attendre dans cette pièce.
Apparemment, ma petite princesse a rencontré une étrange femme, une "femme-plante" et cette dernière aurait apparemment accepté une proposition d'Hiyori me concernant.

Dernièrement, je me suis retrouvé à gérer une certaine crise de composants à la pharmacie de l'hôpital, après un gros cambriolage et plusieurs médicaments ayant disparus du jour au lendemain. En attendant de se faire rembourser et recevoir de nouvelles commandes, nous devons trouver une autre source de médicaments, pour s'occuper de nos patients.

C'est pour ça qu'Hiyori a dû informer cette femme de mes travaux à la maison, concernant les médicaments faits à base de plantes et divers végétaux.
Décidément, ma fille chérie a toujours le cœur sur la main et je suis vraiment heureuse d'avoir une possible piste pour régler cette crise.
Cependant, je ne comprends pas pourquoi j'ai dû mettre un peu de parfum sur moi pour cette rencontre; apparemment, ce serait pour aider cette "Akita" à me trouver.

Je sursaute soudainement, lorsque je vois une silhouette arriver à moi.
Avec la faible lumière, je remarque quand même d'étrange motifs sur la peau... dénudée de cette femme? Détaillant légèrement ses courbes voluptueuses et elle dégage un certain charme je dois avouer.
Je m'incline devant elle respectueusement:

- Bonjour, je m'appelle Komaki et il semblerait que vous ayez rencontré ma fille Hiyori. Elle m'a expliqué que vous pouviez m'aider par rapport... à vos fruits?
Vous... vous cultiviez des plantes et des fruits du coup? Serait-ce possible d'étudier ces fruits, que je sache s'ils seraient utiles à mes patients?


Haussant un sourcil, je vois un fruit tomber de la tête de la femme et rouler sur la table. Je me penche sur la table, pour récupérer le fruit et l'observer sous tous les angles, assez intriguée:

- C'est étrange... ça ne ressemble en rien à ce que je connais... et l'odeur est assez forte... Ca s'appelle comment, sans vouloir être indiscrète, juste curieuse?

9
Je pianote sur l'ordinateur un temps, réglant dossier sur dossier en un temps record, me dandinant de gauche à droite tranquillement, emportée par la musique dans mes oreilles.
Clairement, je ne peux pas gérer la paperasse dans le silence et je profite d'être seule dans mon bureau pour chantonner joyeusement, savourant ce petit instant de tranquillité, où j'ai juste à remplir des dossiers, après avoir enchainer une grosse garde de nuit, ayant juste eu le temps de rentrer deux petites heures à la maison, pour passer un peu de temps avec ma fille chérie, pour revenir ensuite ici.

Je suis interrompue dans mes dossiers, lorsque mon portable professionnel sonne:

- Allô? Oui... Oh? Non, bien sûr que non, vas donc t'occuper de Takio au plus vite, qu'est-ce que tu fais encore là ma grande?!? Oui oui, je m'occupe de ton patient sans aucun problème!
Et fais un gros bisou à Takio de ma part, hein?


Et voilà, une nouvelle victime de l'épidémie de grippe, avec le fils d'une collègue. Ce n'est pas la première fois que je dois remplacer quelqu'un au pied-levé, mais très clairement, la famille est prioritaire dans cette histoire!
Je passe par le secrétariat pour récupérer le dossier nommé "Inoru" et je le feuillette en diagonale dans l'ascenseur m'emmenant à sa chambre.
Ce gamin est venu ici dans un contexte assez flou et avec des blessures assez sérieuses, mais il s'en remet assez vite aussi, donc il n'y a pas tellement de soucis à se faire, même s'il faut continuer à s'occuper de lui jusqu'à sa sortie de l'hôpital.

Je toque deux coups à la porte de la chambre, avant d'ouvrir et tomber sur un jeune homme à la chevelure argentée magnifique, des yeux bleus pétillant... et un humour assez présent et acerbe, me faisant pouffer de rire, en me rapprochant de lui:

- Bonjour, monsieur Inoru.
C'est bien, vous avez trouvé le premier remède pour se soigner: la positivité et le sens de l'humour!
Oh, rassurez-vous, je ne m'occuperai pas de ce genre de traitement. Je dois surtout surveiller votre tension et votre température, ainsi que vous poser quelques questions.
Déjà, on va vérifier la sensibilité des jambes, pour voir si le fait de rester allongé si longtemps ne risque pas d'ankyloser vos jambes...


Je me penche au pied du lit de monsieur Inoru, l'observant de temps à autre, pour guetter ses réactions, oubliant complètement que j'avais oublié de boutonner complètement ma blouse et que trois boutons en moins suffisent à montrer mon décolleté.
Je relève légèrement la blouse du patient, commençant doucement à masser ses jambes, dans une lente et douce caresse calculée:

- Donc... Vous sentez bien mes mains?

10
Identité : Azuka Komaki
Âge : 36 ans
Sexe : Féminin
Race : Humain
Sexualité : Pansexuelle

Physique :
Komaki est une ravissante femme à la silhouette fine et élancée, avec des formes adultes restant assez prononcées. Elle a une longue chevelure brune couvrant ses épaules et descendant dans son dos. Elle a de jolis yeux noisette, un visage de porcelaine et un visage sans imperfection.
Comme pour sa fille, Komaki est assez sportive, habituée à courir partout pour son travail, ayant une très légère musculature et étant assez agile et musclée, pouvant étonner nombre de gens de voir un bout de femme pareil soulever de lourdes charges.

Hormis sa tenue de médecin pour le travail, Komaki opte toujours pour des tenues opposées à celle de sa fille, avec des habits colorés et mettant en valeur sa silhouette féminine, avec des rubans colorés dans les cheveux, qu'elle noue parfois en une longue queue de cheval.
Avec ses compétences de médecine assez poussées, Komaki n'est pas sujette aux grandes cicatrices ou blessures restant trop longtemps sur elle et laissant des marques.

Caractère :
Komaki est une femme pétillante et débordante de vie, comme si elle avait toujours ses seize ans, croquant cette dernière à pleines dents.
Toujours positive, elle tâche toujours de trouver les bons mots pour égayer une conversation ou la vie de quelqu'un, aimant plus que tout les sourires illuminant le visage des gens, surtout ses patients.
Elle est constamment aux petits soins pour les gens dans le besoin, tâchant toujours de se rendre utile et agréable aux autres et ne rechignant jamais à la tâche, se révélant être très volontaire.
Au milieu de tout ça, Komaki accorde aussi une grande importance à la famille, adorant et chouchoutant sa fille Hiyori et aimant comme au premier jour son mari, même si leur relation sentimentale a évolué avec le temps.

Cependant, cet enthousiasme permanent peut facilement "saouler" certaines personnes, avec une Komaki pouvant parfois "s'acharner" à vouloir rendre le sourire aux gens et elle peine souvent à comprendre le mal qu'elle peut involontairement faire aux gens, à vouloir les faire sourire à tout prix.
Aussi, son assiduité à la tâche peut être une faiblesse, dans le sens où elle peut facilement s'écrouler ou s'abîmer la santé sans faire attention, ou aussi faire des excès de zèle, là où on lui demande d'arrêter. Elle partage un peu cet acharnement avec sa fille d'ailleurs.
Pour aller plus loin dans la psyché de Komaki, elle ne supporte pas de voir des relations familiales se détériorer et ça peut facilement la déprimer et lui faire perdre sa joie de vivre, lui faisant repenser à une sombre période de sa vie.

Histoire :
Komaki est née par une belle journée ensoleillée, semblable à sa grande positivité et joie de vivre, au sein d'un foyer cependant dysfonctionnel. Entre un père alcoolique et une mère dépressive, la jeune fille s'est vite retrouvée à être élevée et éduquée par sa tante et sa grande sœur, de huit ans son ainé. Bien vite, en quelques années, Komaki apprend à se responsabiliser et comprend bien vite la fragilité du foyer dans lequel elle vit, au gré des disputes entre ses parents. Elle apprend rapidement que la mort de celui qui aurait pu être son grand frère, mort-né deux ans avant elle, a brisé ses parents, qui ont sombré petit à petit.

Elle abandonne bien vite l'école, vers ses quatorze ans, pour commencer à travailler à gauche à droite, pour aider à payer le loyer de la maison. Le fait d'arrêter ses études cause quelques disputes à la maison, mais elle s'acharne à vouloir aider financièrement sa famille et les parents abdiquent bien vite, se sachant pris à la gorge par leurs créanciers.
De petits boulots en petits boulots, Komaki tâche de maintenir financière "son" foyer comme elle peut, avec l'aide de sa grande sœur et de sa tante, jusqu'à ce que tout dérape.

Un soir, peu avant les seize ans de Komaki, son père craque devant les factures et après une énième dispute avec sa femme. Il s'alcoolise fortement, avant de mettre le feu à une partie de la maison. La famille Azuka arrive à échapper à la mort, mais une machine juridique infernale se met en route, alors que le père de Komaki cherche à faire jouer l'assurance, sur un "incendie accidentel", pour espérer gagner un peu d'argent et payer les factures s'agglutinant. Cependant, l'enquête démontre bien vite l'intention criminelle et le père craque rapidement lors des interrogatoires et il finit en prison.
Cette sentence achève la mère de Komaki, qui finit par mourir de chagrin dans son coin, malgré les tentatives de ses filles et sa sœur pour essayer de lui redonner espoir.
Suite à ces évènements, les deux sœurs choisissent de partir chacune dans leur coin, Komaki commençant à faire des études de médecine. Après avoir vu et vécu tout cet enchaînement de désastres ayant entrainé sa famille au chaos et la mort, la jeune femme a en effet choisi d'apprendre à sauver des vies, que ce soit par les gestes ou les mots.

Les études de la jeune femme sont compliquées, alors qu'elle doit jongler entre ces dernières et ses petits boulots, pour pouvoir payer son petit studio miteux. Elle s'acharne cependant à la tâche et essaie de se rendre la plus utile possible aux gens.
Quelques années plus tard, Komaki, alors âgée de vingt ans, fait alors la rencontre d'un brillant étudiant en sciences juridiques, destiné à devenir un grand avocat. Le coup de foudre est immédiat et les deux jeunes étudiants commencent à sortir ensemble.
Avec de grandes ambitions pour leurs branches respectives, l'un sert de coup de fouet à l'autre et les deux finissent rapidement leurs études avec grand succès et gravissent bien vite les échelons dans leur hiérarchie.

Tôt dans leur relation, le futur avocat et la future docteure voient leur amour se concrétiser en un adorable bébé du nom de Hiyori, qui devient bien vite source de fierté pour ses parents.
Après, la flamme de la relation entre les deux tourtereaux commence à légèrement s'estomper, alors que le conjoint de Komaki part s'installer à l'étranger, forçant la jeune femme à prendre une domestique, pour aider à garder la petite Hiyori.
Cependant, le couple continue régulièrement à se parler, semblant tous deux aussi amoureux qu'au premier jour, même si avec le temps, les relations sentimentales se séparent des relations physiques, conjoint et conjointe enchainant peu à peu les relations "extraconjugales"

Finalement, Komaki réussit ses études de médecine peu avant ses trente ans et elle s'installe à une clinique tranquille près de chez elle, aussi bien pour veilleur sur sa fille que pour aider et soigner son entourage.

Autre :

Comment avez-vous connu le forum ? Comme avec mon premier compte Hiyori Azuka, par le biais d'un membre du forum.

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