Je me paralyse d'effroi, lorsque j'entends ce type refuser mes plus plates excuses... Ok j'avais sans doute un petit peu merdé, mais je ne méritais franchement pas ça... Et au lieu de m'écouter et de comprendre la situation, le mec continue de m'insulter. Les larmes aux yeux avec cette infâme odeur qui n'arrête plus de passer dans mon nez, le voilà qu'il me plaque contre la paroi, après avoir retiré ses doigts qu'il a commencé à m'insérer comme une brute dans mon cul. Prise d'impuissance et dans l'incapacité de pouvoir bouger, le pervers immonde et répugnant vient alors les remplacer par sa bite dégueulasse. Par son truc horrible à l'odeur aussi répugnante que ces chiottes, qu'il colle contre mes fesses... Pas le temps de comprendre ce qui se passe en plus, qu'il commence à me pénétrer comme un parfait détraqué! Il y va tellement comme un psychopathe, qu'il m'arrache un horrible cri de douleur, qui me donne l'impression d'exploser mon ventre en onze morceaux et demis..
- Stop! Au... Au secours! Putain à l'aide on me viole!
Avec la douleur insupportable qui me déchire le cul à m'étriper les boyaux, j'étais juste en train de me faire enculer par le mec le plus dégueulasse de cette planète de merde! Et ça devenait carrément encore pire, quand ce gros porc qui n'accepte même pas les excuses de quelqu'un de mon rang, s'enfonce encore plus loin! Comme une conne incapable de réagir face à tant de tortures et de médisances, me voilà que je décolle du sol. Cette fois, c'était bel et bien l'humiliation totale! C'était le genre de chose que je ne ferai même pas à mon pire ennemi. C'était monstrueux! Naturellement je redouble encore de cris. La douleur qui me pulvérisait le fion, me donnait parfois l'impression que j'allais carrément m'évanouir. Et bien sûr ça tambourinait autant dans mes pauvres fesses, que dans dans ma tête! Bref ce mec tordu jusque dans sa bite, me donnait l'impression de sodomiser mon cerveau avec!
- Arrête! S'il te plait arrête! Tu me fais mal!
Je redouble encore de supplication désespérées, lorsqu'il commence vraiment à m'enculer pour de bon. J'en pleurais de honte et de peur. Ma voix tressautait à chaque fois que j'ouvrais la bouche, pour parler ou pour simplement respirer. Si ça continue comme ça, ce malade pourrait bien finir par violer même mon cadavre, si je m'évanouissais par terre... C'était tellement abusé, que ce fou furieux qui n'arrêtait pas de me faire gigoter comme sa poupée sexuelle de puceau toute souillée, me fait tomber par terre. Mais immédiatement, alors que je ressens une énorme brulure insupportable qui me troue de fion à ne plus en pouvoir, le mec sûrement défoncé me recolle la figure au niveau de la cuvette, en me menaçant encore...
Par terre, à quatre pattes et en ne cessant de chialer face à mon sort aussi injuste qu'inhumain, le gros connard revient me défoncer le derrière, avec sa trique merdique. Quand je crie encore, il me redresse pour m'enfoncer encore la tronche dans cette putain d'eau remplie d'excréments de personnes socialement inférieure à moi. Mais contrairement à tout à l'heure, ce taré qui ne semble n'avoir aucune limites dans sa cruauté, me laisse mariner...
Quand ce fils de pute me redresse enfin selon son bon vouloir, il me traine comme une vulgaire petite chose vers l'extérieur de la cabine, en tirant sur mes cheveux comme un enragé...
- Arrête! J'ai compris.. Ok! J'ai compris...
A cours d'arguments, je me fais ensuite bêtement trainée jusqu'aux toilettes d'à côté. Vient alors l'impensable, en me voyant prête à resubir encore le même sort dans une autre cuvette généreusement moins crade que la précédente. Le psychopathe beuglait tellement comme une vache énervée, qu'il me dit des choses que j'ai de plus en plus de mal à comprendre. A part quand il me traite de pute, bonne à ouvrir son cul...
Face à ce déchainement inhumain de violence physique et psychologique, sur ma pauvre personne soumise et vulnérable aux caprices d'un fou qui n'aurait jamais dut sortir des entrailles de sa dégénérée de mère, je reste là à trembler...
- Pi... pitié! Je t'en prie, laisse-moi rentrer chez moi. Je te demande mille fois pardon... J'ai fais n'importe quoi tout à l'heure. S'il te plait, laisse-moi partir je... je n'ai même pas dix-huit ans en vrai. J'ai débarqué là par erreur...
Continuant de tressauter et de sangloter, j'essayais de jouer sur mon âge pour tenter de le calmer.