Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Petite dispute qui finit en punition dans les toilettes [Kaito Nakajima] [Finit]

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Setyhs Inoru

Créature

Une heure du matin! Bordel!... Voilà l'heure que je vois affiché sur ce foutu téléphone terrien, indigne de moi... Depuis que nous avons débarqué sur cette planète mon frère et moi, impossible pour moi d'arriver à me faire à ce changement de temps. De décalage horaire à la con! Ici, c'est franchement abusé de voir comme le temps passe vite, comparé à Saturne. A peine je m'endors comme la princesse que je suis que... ah bin non! Voilà le soleil qui se pointe déjà pour venir faire chier! Pfff...

- Ohé Tet? Tu dors?...

Dans le lit à poil à côté de mon frère, après avoir fait une bonne baise habituelle, je demande à ce crétin si lui arrivait à dormir. Et tout ce qu'il me sort en guise de "réponse", c'est un grognement à peine audible. D'accord j'ai compris, monsieur dort et je dérange...
Je décide donc de me lever depuis la chambre que nous partageons sans la moindre intimité évidente, dans ce nouveau bahut pour dingues. Sans perdre de temps, je m'habille ensuite. J'avais urgemment besoin d'aller faire un tour. D'essayer de comprendre comment on s'adapte dans ce monde où on a à peine le temps de baiser, que c'est déjà l'heure d'aller au lit. Encore heureux que leur technologie primaire ressemble au moins à la notre...

Ma belle lingerie fine, avec ma superbe cape de magicienne de prestidigitatrice éblouissante enfilée, je pars d'abord faire un tour... de passe passe! Et j'ai à peine besoin d'être discrète comme les ombres, pour pouvoir sortir du lycée en moins de deux sans être vue. Pour moi qui sait tellement facilement enfumer tout le monde, jeter de la poudre aux yeux représentait un vrai jeu d'enfant...
Dehors en un éclair, je commence ensuite à marcher. A parcourir un peu les rues qui restent quand même sacrément animées, malgré les heures tardives. Par contre, je n'avais pas vraiment très chaud! Seulement, il était hors de question que j'aille perdre de ma merveilleuse prestance, pour aller enfiler un de ces horribles pulls comme parvient à le faire ma mère. Bien que je l'adore plus que tout l'univers réuni, ça restera un truc d'elle que je ne comprendrais vraiment pas... Puis quand on veut être belle et rester sexy jusqu'au bout, il faut bien accepter de souffrir un peu. Ouais! Je sacrifie un peu de ma personne, pour ce monde aussi...

Dix minutes terriennes. Peut-être bien encore dix de plus à errer, à chercher je ne sais pas trop quoi, que me voila débarquer devant une boite de nuit. Comme il me prenait une soudaine petite envie d'aller un peu m'amuser là dedans en entendant la musique, je me suis directement approché pour pouvoir rentrer. Encore une fois, un mec qui fait le poteau m'arrête et me demande ma "carte d'identité". Je ne comprenais pas pourquoi il fallait désespérément ce genre de choses, pour pouvoir renter ici... Chez moi quand tu voulais faire la fête quelque part, on ne te faisais pas chier pour venir t'amuser!...

- Tiens! Voilà mon grand!

Je présente ma carte au mec et naturellement, celui-ci me laissait évidemment passer sans broncher. Et hop vas-y toi aussi que je t'enfume, avec une petite illusion de rien du tout en falsifiant mon âge réel sur ma carte!
Arrivé à l'intérieur, je paye mon entrée une nouvelle fois à bon coup d'illusions pour pouvoir rentrer gratos, comme la reine que je suis.
A l'intérieur, je vois directement des mecs et des filles qui dansent sur la piste. J'en vois aussi pas mal qui sont attablés à des tables, en train de boire et de s'amuser. Putain j'adore déjà cet endroit! Tet ne sait vraiment pas ce qu'il rate!

Avec mon petit gabarit devenu bien vite géant dans son état de conscience intellectuelle pure, je me faufile sur la piste de danse. Je commence alors à danser à mon tour. Je me déhanche avec grâce et sans pareil. Une nana et quelques mecs tentent bien de faire la causette avec moi, mais je ne m'arrête pas sur eux. Du moins, pas pour l'instant...
Une bonne dizaine de minutes après, un peu fatiguée de bouger comme une saucisse en boite, je me dirige alors vers le bar pour commander un verre. Là je vois un mec. Un blondinet assez mignon que je demande de me servir légitimement.

- Garçon! Si son serviteur de sa majesté veuille bien apporter un verre de... de jus de fruit à sa reine!... Allez hop on se bouge! J'ai soif moi!

Je finis ma phrase en claquant des doigts et en lui faisant un sourire à le faire tomber par terre. Ce mec allait me manger dans les mains en une fraction de seconde, comme toujours...
« Modifié: mercredi 09 juin 2021, 20:18:33 par Setyhs Inoru »

Kaito Nakajima

Humain(e)

Y'a des soirées comme ça où rien ne va. Kaito était arrivé en retard à cause d'un problème dans le métro et son patron, de mauvaise humeur, l'avait allumé sans écouter ses explications. Ensuite, un autre barman lui avait fait tombé un demi fut de bière sur le pied et il avait toujours mal. Après toutes les commandes n'étaient pas arrivées à temps au bar et l'équipe était au jus. Et en plus de cela, il s'était prit la tête avec ses parents l'après midi même. Donc en gros, rien n'allait et Kaito avait pris son service d'humeur exécrable.

Travailler au contact de la foule du club s'avérait être difficile cette nuit. L'ambiance était électrique, survoltée. Le patron avait recruté un groupe de métal pour la soirée et les hurlements du chanteur devenaient agaçants. Trop agaçants!

L'alcool coulait à flot et les conneries s'enchainaient aussi bien en salle que derrière le bar. Une première fois, Kaito s'était prit le chou avec deux bikers et l'embrouille s'était terminée avec l'intervention des vigiles de la sécu. Deux nénettes l'avaient fait chier une bonne partie de la soirée et l'une d'elle avait même vomit contre le bar, trop conne, trop bourrée.

Il n'avait qu'une envie. Que cette nuit se termine et qu'il puisse rentrer chez lui peinard pour oublier toute cette galère. Mais il lui restait encore quelques heures de boulot et il priait que rien de désagréable ne vienne plus perturber son service.

Malheureusement, il semblait que le destin en ai décidé autrement. Quand une minette sexy et jolie comme tout s'approcha du bar, Kaito se dit que finalement, quelqu'un avait au moins voulu lui offrir ce plaisir des yeux. Petite et menue, elle paraissait délicate et son visage était adorable. Seulement dès qu'elle ouvrit la bouche, Kaito se braqua immédiatement. Quelle arrogance! Non mais pour qui se prenait-elle cette petite conne? Elle se foutait de lui ou quoi ? Le claquement de doigts finit de l'achever et il laissa sa colère le submerger, au risque de sortir une connerie qui pourrait lui coûter sa place. Donc il décida de ne pas faire attention à elle mais la prétention qu'elle affichait était insupportable. Il lui tourna le dos et essaya de ne plus l'écouter, l'ignorant superbement.

Mais finalement, devant son insistance il lâcha :


"Quand t'auras appris à parler poliment et que tu seras descendue de ton piédestal, tu pourras me revenir me causer. Maintenant si tu continues, c'est un verre de merde que je vais te servir."

L'échange se faisait en bout du comptoir et personne n'entendit leurs paroles. En plus, la musique assourdissante couvrait tout.
Le jeune homme secoua la tête. Il se surprenait lui-même, étant d'un naturel plutôt doux. Il espéra que la jeune femme parte et lui foute la paix.

« Modifié: mercredi 09 juin 2021, 17:48:14 par Kaito Nakajima »

Setyhs Inoru

Créature

- Hé! Ohé! Mais bordel tu m'écoutes quand je te parle? Oh t'es sourd ou quoi?...

Alors que je pensais lui avoir demandé gentiment de me servir à boire dans un ton des plus agréables, voilà que cet idiot me regarde et... se retourne complétement de moi et ma superbe... Du coup en réponse, je le rappelle en claquant plusieurs fois des doigts. Le blondinet assez désagréable envers ma petite personne, finit enfin par se retourner. Mais au lieu de me servir ma commande et de venir s'excuser immédiatement de son attitude irrespectueuse, cet empoté va faire tout le contraire. Jusqu'à mal me parler...

- Non mais c'est surtout toi le cinglé prétentieux, qui doit immédiatement redescendre de ton petit piédestal! Autant que je sache, ici c'est moi la cliente qui commande! Toi tu es... t'es juste le mec derrière son comptoir qui sert à boire et qui fait son travail! Ni plus, ni moins! Alors tu me sers tout de suite, ok?

Je ne comprenais vraiment pas pourquoi ce crétin s'en prenait à moi comme ça, alors que je lui avais pourtant demandé de manière convenable, de me servir à boire. Il devrait même se sentir honoré que j'ai reporté toute mon attention sur lui, le temps de quelques instants... Au lieu de ça, j'avais le droit d'être traitée et insultée comme de la dernière des merdes... Ma personne toute entière s'en retrouvait donc forcément blessée... Aussi j'avais en tête d'aller lui balancer une bonne petite illusion pour le faire taire, quand quelqu'un arrive juste à côté de moi, pour lui commander un verre...

- Hé dites! J'étais là avant! J'ai beau être petite, je ne crois pas encore être invisible, vous savez? Puis la grandeur, ça peut très bien s'exprimer autrement qu'en taille. Et ici question grandeur...

Agacée et non sans avoir envoyé un bon petit sous-entendu, je préfère me lever de mon siège. Sans même vouloir connaitre la suite que je savais déjà être toute pathétique, je pars alors direction les toilettes de cet endroit minable. En me levant, je fais un doigt d'honneur en réponse, à ce crétin de barman...
Un instant après, tandis que le bruit et cette histoire avec cet idiot m'ont bien tapé dans la tête et dans tout le système, j'atteins les toilettes. En entrant, celles-ci semblent relativement désertées. Indignée de devoir me servir moi-même à boire dans un endroit aussi sale que répugnant, je commence alors à faire couler l'eau. Le temps que je boive un peu et me rafraichisse le visage, prête à repartir d'ici, quelqu'un finit par entrer...
« Modifié: jeudi 21 janvier 2021, 17:30:16 par Setyhs Inoru »

Kaito Nakajima

Humain(e)

Elle a beau avoir une joli minois, cette petite conne à tout de la gamine gâtée à qui personne ne dit non. Elle doit avoir son papounet qui passe tous ses caprices et sa mamounette qui lui susurre tout le temps à quel point elle est belle. Ca doit lui monter à la tête. Ce genre de fille ne mérite l'intérêt de personne. Elle est superficielle et transparente aussi Kaito s'en désintéresse t'il complètement.

Néanmoins, elle l'a irrité à un point tel qu'il ressent l'envie de lui faire mal. Il essaie d'oublier cette sensation nouvelle pour lui, anormale, déviante, mais le ver est dans la pomme. Il revoit son air arrogant, sa gestuelle pompeuse, se remémore sa voix exigeante et insupportable, et ce claquement de doigt ... une véritable insulte!

Un long frisson remonte le long de sa colonne vertébrale pour électriser sa conscience défaillante. Putain oui, il va lui faire mal!

Kaito quitte le bar après avoir demander à un collègue de le remplacer un moment et s'enfonce dans la foule dans la direction que la pétasse a prise, les toilettes, situés dans un couloir parallèle aux salles animées. Le jeune homme récupère un panneau signalétique indiquant un nettoyage en cours et le pose devant la porte. Si jamais elle est seule, personne ne viendra les déranger.

En effet quand il entre, elle est seule, devant les lavabos. La porte se referme en claquant et par sécurité, il verrouille le loquet. En trois pas, il est sur elle. Il l'attrape par la nuque et lui pousse la tête sous l'eau avant de la redresser et de la jeter au sol. Elle est légère comme une plume et prend un méchant vol pour s'écraser contre une porte d'une cabine WC.


"Et alors? Tu la ramènes moins là ? Elle est où ta grande gueule?"

Kaito s'apprête à la gifler mais devant l'air apeuré et surpris de la victime, il retient son geste. Il a soudainement une toute autre idée en tête. Une idée folle.

"Quoique à l'ouvrir comme ça, autant que ça serve à quelque chose!"

Le jeune homme défait son jean et le laisse glisser sur ses genoux. Son sexe pend mollement entre ses cuisses. Il se penche et tire la fille par les cheveux pour venir plonger son visage tout contre son membre qui durcit déjà à l'idée du traitement qu'il va s'autoriser. Elle résiste un peu aussi la secoue t'il méchamment. Sans prévenir, i lui frappe le visage avec son sexe, d'un côté puis de l'autre.


"Maintenant, tu vas être vraiment plus sympa et t'excuser pour t'être mal conduite."

Setyhs Inoru

Créature

Un peu embrouillée et surtout très fortement agacée par cet idiot, je ne prêtais pas réellement attention à la personne qui entrait, étant donné que j'imaginais par déduction qu'il s'agissait d'une femme, puisque je suis dans les toilettes des femmes!... Seulement, le temps que je réalise et comprenne quoi que ce soit, on m'attrape la nuque et on me pousse la tête dans le reste d'eau...

- Qu'est-ce que... Han!...

Très surprise par ce qui se passe, je suis alors ensuite violemment projetée en arrière. Aussitôt, je m'écrase de dos contre l'une des portes de ces toilettes de merdes. Au moment où j'ouvre les yeux en grimaçant douloureusement à cause du choc que j'avais reçus, j'aperçois le taré de tout à l'heure qui me parle avec sa voix désagréable...

- Aie! Putain mais t'es complétement malade! Qu'est-ce qui te prends? T'es...

Soudainement surprise par cet enchainement de violence, je me protège le visage avec mes avant-bras, alors que je vois ce fou qui s'avance vers moi, prêt à me frapper! Figée de peur, m'attendant à recevoir un coup, je l'entends me narguer avant que... qu'il...

- Mais... Vas-y arrête! Arrête ça tout de suite!

Les yeux écarquillés de stupeur, je vois ce malade qui défait son jean et me montre sa bite!... Le temps que j'essaie de réagir pour aller vite le calmer avec une illusion des plus violentes, ce gros porc vient tirer sur mes cheveux délicats avec ses mains dégueulasses! Stupéfaite par la rapidité des événements, il vient me foutre sa trique pourrie directement contre ma bouille!

- Erk! Arrête! Mais arrête!...

Prise de dégoût, ce connard va jusqu'à me frapper mon délicat visage avec sa queue. Et en même temps qu'il fait ça, ce fou m'ordonne de m'excuser pour ma façon dont je lui aurai parlé tout à l'heure. Ce mec était vraiment dingue!...
Malheureusement incapable de pouvoir bouger à cause de ma chevelure qu'il maintenait avec ses sales miches, j'essayais de lui lancer une illusion. Illusion que je savais malheureusement déjà ratée, à cause de la peur... Mais par chance, j'avais encore de la ressource pour me défendre contre cet inconscient. Du coup sans perdre de temps, je lui mord la cuisse en allant planter directement mes dents qui s'enfoncent dans sa chair! Pas de pitié! Retirant alors mes dents tout juste après, je parviens à me dégager de ce fils de pute. Tout en me barrant, je menaçais cette ordure d'appeler les flics de suite.

- Je vais appeler les flics! Connard! Je vais leur dire ce que t'as voulu me faire et je...

Lorsque j'arrive à la porte d'entrée principale des toilettes pour femmes, je constate avec horreur qu'elle était fermée! Et merde!...
« Modifié: mercredi 31 mars 2021, 18:17:39 par Setyhs Inoru »

Kaito Nakajima

Humain(e)

La petite pute se débat tant bien que mal mais reste fatalement sous l’emprise de Kaito. C’est dommage, si elle l’avait abordé sous un autre angle, ils auraient pu passer un bon moment. En temps normal, Kaito se faisait souvent dragué par des nénettes et il répondait en se marrant, ce qui amorçait des échanges sympas. En soi, la petite était super mignonne mais son attitude déplorable l’avait mise dans une situation difficile. Elle n’arrangeait pas les choses et pouvait s’excuser. Au lieu de cela, elle braillait, l’insultait et le frappait, tout ce qu’il ne fallait pas faire. Sous la pluie de coups, il fit l’erreur de relâcher son étreinte un infime instant et elle en profita pour le mordre méchamment.

"Salope !! J’vais t’faire cracher des dents !"

En deux pas, il la rattrape alors qu’elle se heurte à la porte fermée. Il plonge sa main dans la masse de cheveux argentés et enroule une tresse autour de son poignet. Il lui tire la tête en arrière. Elle est toute petite et doit se mettre sur la pointe des pieds si elle ne veut pas trop souffrir.

"Non mais là tu vas vraiment fermer ta gueule t’as compris, non ?"

D’un geste brusque, il la fait voler à travers la pièce et l’enfonce contre une porte de cabine qui s’ouvre à la volée, claquant contre la paroi. Dans la cabine, un chiotte utilisé trône avec un rouleau de papier déroulé par terre. Kaito n’hésite pas un instant et plonge la gueule de la fille dans la cuvette immonde avant de lui claquer le cul. Il pèse de tout son poids et la sent gigoter dans tous les sens. Il lui relève la tête avant de la replonger encore une fois dans le trou dégueulasse.

"Et là ? T’as encore envie de parler ?"

Il la plaque face à  une paroi et Kaito relève sa jupe pour exposer son petit cul pâle. En moins de deux, la culotte de la fille finit sur ses chevilles et le barman glisse un doigt dans la raie serrée pour l'enfoncer dans le premier orifice qu'il trouve ... le plus petit ... Quand elle se débat sous l'intrusion, il la plonge à nouveau dans la cuvette immonde. Il en profite pour insérer un deuxième doigt et écarte le sphincter  contracté, méchamment, il réussit à passer les deuxième phalanges ...

"Tu sais ce qui va t'arriver?"

Setyhs Inoru

Créature

Le souffle coupé, le salopard de mes deux fonce sur moi et m'agrippe une de mes tresses. Pendant que j'étais terrifiée de le savoir être revenu si vite à la charge, il me force à me redresser sur la pointe des pieds, alors qu'il enroule une partie de mes cheveux tellement délicats et si sensibles, autour de sa main. Prise par le douloureux tiraillement qu'il me forçait à subir, j'entends de nouveau sa voix insupportable me crier dessus. Encore une fois il m'éjecte comme si je n'étais rien d'autre qu'une pauvre merde, vers l'une des portes de ces toilettes immondes. A la différence que celle-ci s'ouvre et que je perds immédiatement l'équilibre, à cause de la vitesse.

- Non! Arrête ça putain! Arrête!

Horrifiée par m'être fait si grossièrement avoir par ce crétin, il m'attrape une fois encore par les cheveux... Et alors que toute l'expression de ma terreur se lisait sur mon visage, le voilà qu'il me plonge la tête dans la cuvette dégueulasse de ces chiottes! Ho putain!...
Avec mon coeur qui se met à battre soudainement plus vite que la musique, il m'humilie encore un peu plus en m'envoyant une claque sur le cul! J'essayais évidemment de me débattre. De lutter contre ce fou furieux qui allait terminer sa vie en taule, mais il était beaucoup trop fort pour moi! Seulement ça ne l'empêche pas de me replonger encore la tête dans cette eau vaseuse immonde, malgré que je n'arrêtais pas de crier!

- Connard! Enculé! Fils de pute!...

Alors qu'il me relève et qu'il me plaque contre la paroi, je sentais encore toute l'eau croupie et immonde couler sur mon visage. Et avec elle, il y avait cette odeur nauséabonde de pisse et de merde! Seulement j'avais beau me débattre, crier, insulter ce psychopathe fini de tous les noms d'oiseaux possibles et inimaginables, il parvenait toujours à me maitriser. Et en moins de deux, ce pervers abaisse ma culotte qui termine sur mes chevilles et se paie le luxe de m'insérer de manière brutale en plus, un doigt dans le cul! Comme j'essayais encore de naturellement résister, le fils de pute inconscient me replonge une troisième fois encore la tête dans ces excréments d'horreurs. Une fois de plus, il me foutait l'humiliation de ma vie! Et pendant que je m'agrippe sur la bordure de cette cuvette remplie d'immondices par des culs aussi pourris que le sien et que je suis au bord de chialer, il m'enfonce un second doigt dans le derrière... Stop! Cette fois j'étais en panique totale, parce que je savais que je ne maitrisais plus rien de la situation. J'étais dépassée par les événements et j'en étais terrorisée...

- Aie! Aie! Aie!... Arrête! S'il te plait arrête, je...

Le coeur au bord des lèvres à cause de la peur et de l'odeur, je fini par changer de stratégie et de supplier le mec d'arrêter. Ce qu'il me forçait à subir, m'avait maintenant mise à bout. Aussi, j'abdiquais. Maintenant je ne pensais plus qu'à partir pour rentrer chez moi. Tout oublier et aller dormir pour que le lendemain matin, je me réveille en me disant avoir simplement fais le cauchemar le plus dégradant de toute ma vie...

- Arrête je t'en prie! S'il te plait je m'excuse ok? Je m'excuse... J'ai été stupide je... je promets que je n'appellerai pas la police si tu me laisses partir...

Tout en essayant de calmer le jeu et de lui dire qu'il avait gagné, je me mets à partir en sanglots...
« Modifié: mercredi 31 mars 2021, 19:31:28 par Setyhs Inoru »

Kaito Nakajima

Humain(e)

Des insultes, que des insultes ...Cette traînée ne vaut rien du tout. Si elle ne comprend pas qu'il est trop tard et qu'elle va morfler, c'est qu'elle est vraiment trop stupide. Elle ferait mieux d'attendre que l'orage passe et serrer les dents. Au lieu de ça, elle s'évertuait à démontrer la nullité de son vocabulaire et l'insupportable stupidité de son attitude. Ca lui valut pour le coup quelques millimètres de plus d'intrusion dans son rectum serré, qui lui furent bénéfiques puisque Kaito sentit dans sa dernière tirade une supplique plus qu'une agression. Qu'importe!

"Ta gueule! J'arrête rien du tout. Tu vas payer connasse, et JE déciderai quand ça prendra fin."

La deuxième supplique de la fille arriva trop tard et n'eut aucun effet sur la colère du barman. Bien au contraire, elle l'amplifia. Cette nana était pathétique. Elle cherchait les problèmes et une fois trouvés couinait et demandait pitié? Pas question! D'un geste brusque, Kaito la verrouilla contre la paroi de la cabine et d'une main, saisit son sexe raide d'anticipation et l'amena contre l'anus de la salope. Là il força comme un malade, à sec, et l'embrocha violemment, s'enfonçant de moitié dans le conduit intime. Il poussa fort vers le haut, et frottant la fille contre la paroi, la fit décoller du sol. Bien plus petite que lui, ses pieds ne touchaient plus terre et inexorablement, son poids la contraignait à prendre le sexe de Kaito plus loin encore. Le barman savourait cette brutalité méritée. Dans un état bien différent de l'homme qu'il était d'habitude, il ne s'imposait aucune limite aussi quand il fit un pas en arrière en soutenant la fille par les cuisses, il n'avait en tête que des idées malsaines de vengeance. Comme un animal, il pilonna le cul de la fille, se faisant mal lui aussi avant que des liquides poisseux viennent faciliter le mouvement. Elle était étroite aussi il la défonça pour élargir le passage. Ses coups de reins alternaient vitesse et brutalité. Elle pouvait gueuler, la musique assourdissante de la salle résonnait jusqu'aux toilettes.

A un moment, il manqua le coche et sa queue s'échappa du cul de la salope qui s'effondra au sol. Il ne lui laissa pas le temps de réagir et la tirant par les cheveux, lui posa la gorge sur la cuvette des chiottes.


"Tu bouges pas connasse!"

A quatre pattes devant lui, elle ressemblait à une loque, défaite et ravagée, l'anus béant, répugnant même, noyé dans ses humeurs. Kaito se mit derrière elle et le plus vicieusement possible, la prit à nouveau par le cul. Les petites fesses pâles heurtèrent son bassin et il s'acharna immédiatement à la sodomiser comme un fou. Quand elle ouvrit la bouche pour gueuler, il se redressa et l'emmena en avant. Des deux mains, il appuya sur la tête de la traînée et l'étouffant à moitié lui fit prendre un nouveau bain de visage. Volontairement il la laissa mariner un moment, continuant de l'enculer sans merci. Quand il lui  releva la face, il se retira d'elle et la traîna hors de la cabine par les cheveux. Elle était immonde et misérable.

"Va pas croire que c'est fini!"

D'un coup de pied, il ouvrit la porte de la cabine suivante, moins crade que la première. Refaisant le premier schéma, il installa la salope au bord de la cuvette.

"De quoi? T'as envie de quoi? J'ai pas compris! Tu veux être une bonne pute et m'ouvrir ton cul c'est ça?"

Setyhs Inoru

Créature

Je me paralyse d'effroi, lorsque j'entends ce type refuser mes plus plates excuses... Ok j'avais sans doute un petit peu merdé, mais je ne méritais franchement pas ça... Et au lieu de m'écouter et de comprendre la situation, le mec continue de m'insulter. Les larmes aux yeux avec cette infâme odeur qui n'arrête plus de passer dans mon nez, le voilà qu'il me plaque contre la paroi, après avoir retiré ses doigts qu'il a commencé à m'insérer comme une brute dans mon cul. Prise d'impuissance et dans l'incapacité de pouvoir bouger, le pervers immonde et répugnant vient alors les remplacer par sa bite dégueulasse. Par son truc horrible à l'odeur aussi répugnante que ces chiottes, qu'il colle contre mes fesses... Pas le temps de comprendre ce qui se passe en plus, qu'il commence à me pénétrer comme un parfait détraqué! Il y va tellement comme un psychopathe, qu'il m'arrache un horrible cri de douleur, qui me donne l'impression d'exploser mon ventre en onze morceaux et demis..

- Stop! Au... Au secours! Putain à l'aide on me viole!

Avec la douleur insupportable qui me déchire le cul à m'étriper les boyaux, j'étais juste en train de me faire enculer par le mec le plus dégueulasse de cette planète de merde! Et ça devenait carrément encore pire, quand ce gros porc qui n'accepte même pas les excuses de quelqu'un de mon rang, s'enfonce encore plus loin! Comme une conne incapable de réagir face à tant de tortures et de médisances, me voilà que je décolle du sol. Cette fois, c'était bel et bien l'humiliation totale! C'était le genre de chose que je ne ferai même pas à mon pire ennemi. C'était monstrueux! Naturellement je redouble encore de cris. La douleur qui me pulvérisait le fion, me donnait parfois l'impression que j'allais carrément m'évanouir. Et bien sûr ça tambourinait autant dans mes pauvres fesses, que dans dans ma tête! Bref ce mec tordu jusque dans sa bite, me donnait l'impression de sodomiser mon cerveau avec!

- Arrête! S'il te plait arrête! Tu me fais mal!

Je redouble encore de supplication désespérées, lorsqu'il commence vraiment à m'enculer pour de bon. J'en pleurais de honte et de peur. Ma voix tressautait à chaque fois que j'ouvrais la bouche, pour parler ou pour simplement respirer. Si ça continue comme ça, ce malade pourrait bien finir par violer même mon cadavre, si je m'évanouissais par terre...  C'était tellement abusé, que ce fou furieux qui n'arrêtait pas de me faire gigoter comme sa poupée sexuelle de puceau toute souillée, me fait tomber par terre. Mais immédiatement, alors que je ressens une énorme brulure insupportable qui me troue de fion à ne plus en pouvoir, le mec sûrement défoncé me recolle la figure au niveau de la cuvette, en me menaçant encore...

Par terre, à quatre pattes et en ne cessant de chialer face à mon sort aussi injuste qu'inhumain, le gros connard revient me défoncer le derrière, avec sa trique merdique. Quand je crie encore, il me redresse pour m'enfoncer encore la tronche dans cette putain d'eau remplie d'excréments de personnes socialement inférieure à moi. Mais contrairement à tout à l'heure, ce taré qui ne semble n'avoir aucune limites dans sa cruauté, me laisse mariner...

Quand ce fils de pute me redresse enfin selon son bon vouloir, il me traine comme une vulgaire petite chose vers l'extérieur de la cabine, en tirant sur mes cheveux comme un enragé...

- Arrête! J'ai compris.. Ok! J'ai compris...

A cours d'arguments, je me fais ensuite bêtement trainée jusqu'aux toilettes d'à côté. Vient alors l'impensable, en me voyant prête à resubir encore le même sort dans une autre cuvette généreusement moins crade que la précédente. Le psychopathe beuglait tellement comme une vache énervée, qu'il me dit des choses que j'ai de plus en plus de mal à comprendre. A part quand il me traite de pute, bonne à ouvrir son cul...
Face à ce déchainement inhumain de violence physique et psychologique, sur ma pauvre personne soumise et vulnérable aux caprices d'un fou qui n'aurait jamais dut sortir des entrailles de sa dégénérée de mère, je reste là à trembler...

- Pi... pitié! Je t'en prie, laisse-moi rentrer chez moi. Je te demande mille fois pardon... J'ai fais n'importe quoi tout à l'heure. S'il te plait, laisse-moi partir je... je n'ai même pas dix-huit ans en vrai. J'ai débarqué là par erreur...

Continuant de tressauter et de sangloter, j'essayais de jouer sur mon âge pour tenter de le calmer.
« Modifié: mardi 08 juin 2021, 21:31:01 par Setyhs Inoru »

Kaito Nakajima

Humain(e)

Minable! Cette petite chose pathétique ne vaut rien! Qu'elle s'excuse donc, ça ne l'aidera d'aucune manière. Le mal est fait et Kaito ne compte pas la laisser s'en tirer sans qu'elle se retrouve définitivement à l'état d serpillère à chiottes. Aucunes de ses plaidoiries de l'atteint et alors qu'elle piaille de plus belle, il réinvestit son cul qu'il martèle comme un animal en rut. Elle ne peut rien faire d'autre que brailler et subir. De la jeune fille pimpante qui s'est présentée si peu de temps auparavant au bar, il ne reste rien d'autre qu'une souillon dépravée dont même un clochard ne voudrait pas.

Après l'avoir pulvérisée une fois de plus, il la tire hors de la cabine par les cheveux et la projette au milieu de la pièce. L'attrapant par le col, il lui fout la tête dans un évier et ouvre l'eau froide tandis qu'il la maintient fermement. Bien qu'elle gigote, sa poigne de fer ne cède pas et il prend tout son temps, se félicitant de ne pas s'être laissé faire. Au moins, celle-là ne le fera plus chier. Quand il se sent de nouveau d'attaque, il se replace derrière elle et après une courte hésitation, décide de l'enculer à nouveau. Il ne la baisera que par là, lui faire l'honneur de prendre sa chatte est hors de question! La tenant fermement par les hanches, il cogne tellement fort en elle qu'elle s'écrase douloureusement contre le meuble sanitaire. Il ne faiblit pas, ce petit cul est un délice à détruire maintenant qu'il est tout écartelé. La petite rondelle de la fille suinte et saigne, n'ayant plus rien de mignon. La grosse queue de Kaito en a fait un trou à bite et il est presque prêt à le remplir.


"J'veux plus t'entendre te plaindre, t'as compris? Maintenant si tu la ramènes, c'est pour en demander plus ou pour me dire que t'aimes ça!"

Pour marquer ses paroles, il donne une claque monumentale sur le fessier pâle de l'emmerdeuse, y imprimant en rouge la marque de sa main. La dominant de sa haute taille, il se penche sur elle et pèse de tout son poids sur ses épaules, l'empalant à présent comme il ne l'a pas encore fait. C'est particulièrement brutal et son sexe presse dans ses tripes en étirant la peau du ventre marqué de sa victime. Après d'interminables minutes de ce traitement éprouvant pour elle, il la retourne et prend bien soin de l'humilier en lui crachant sur la poitrine tandis que la sodomie ne s'interrompt pas. Il y va fort, très fort, par à coups déchaînés, lui écartant les jambes au maximum avant de les poser sur ses épaules, la pliant sans pitié.

Elle n'est plus rien et il touche au but. Son regard rivé dans le sien, il se satisfait de ce qu'il voit.


"Alors t'as bien révisé tes bonnes manières? Ou alors je dois continuer?"

Une brusque chaleur envahit son bas-ventre ...

"Dis moi juste où tu veux que je gicle hein? Qu'est-ce qui te ferais plaisir?"

Setyhs Inoru

Créature

Cette fois je prends définitivement peur pour de bon quand il continue de m'enculer, sans prêter attention à ce que je lui dis. C'était vraiment la pire des ordures! C'était un enfoiré fini, mais je n'avais plus aucun choix de secours pour me sortir de là. C'était horrible! Mais j'avais peur que si j'essayais encore quelque chose contre lui, qu'il m'atomiserait si jamais ça ne fonctionnait pas encore.

Alors que mon cul me fait mal. Pendant qu'il me cogne le fond et que je suis penchée de force en avant, à me faire attraper par ce malade qui se déchaine sur mon corps comme si j'étais une pute, je suis obligée de couiner. Bien sûr Je ne couine pas pour lui faire plaisir ou parce que j'aime ça, mais bien parce que je ne pouvais pas faire autrement, à cause de la douleur et des émotions bien trop vives. Et pendant que je ressentais ses sale pattes qu'il posait sur mes hanches, je voyais tout mon pauvre corps qui se mettait à tressauter. Et à chaque fois que sa bite se retrouvait tout au fond de moi, je grimaçais. Il était en train de complètement me détruire le cul...

Le psychopathe finit finalement par s'arrêter. Il attrape encore mes cheveux et il m'envoie au milieu de la pièce. Incapable de pouvoir encore lutter, il me met alors la tête dans un évier et il commence à ouvrir le jet. La sensation était désagréable, mais je la trouvais presque salvatrice, comparée à l'eau dégueulasse dans laquelle ce dégénéré m'avait plongée la tête à plusieurs reprises, juste avant.

- Arrête! Non arrête! Aaaaaaaie! Aaaaaaaie!

Comme une idiote, je me remets à supplier cette enflure d'arrêter de me faire souffrir et de me sodomiser avec honte. Avec sa bite qui retourne dans mon cul qu'il a explosé, je dois maintenant supporter la sensation désagréable de recevoir ce putain de jet d'eau froide sur la tête. Les mains agrippés sur le bord de l'évier, il recommence encore à m'enculer comme si j'étais sa trainée. Et pendant qu'il me faisait encore mal au niveau du bas-ventre, il me menaçait. Le connard se met ensuite à claquer mes fesses, en guise d'humiliation totale.

Il reprend ensuite sans scrupules son infâme petit manège, mais en me forçant à devoir subir une partie de son poids, qu'il pèse sur mes seules petites épaules. Mon corps continue ainsi d'abdiquer et de plier, à chaque fois qu'il s'amuse à bien aller tout au fond de moi. Ca va encore durer comme ça pendant plusieurs minutes, avant qu'il ne me retourne et me crache sur la poitrine. Quand je me retrouve juste en face de lui, le mec qui n'a jamais eu une seule seconde de pitié pour moi, continue de m'enculer. Alors que j'ai le dos sur le bord de l'évier qui me faisait terriblement mal, avec les jambes sur ses épaules, je continue de grimacer et de gémir de douleur. Déjà que je prenais cher sur ma fierté, cette enflure pouvait maintenant voir tout ce que je ressentais en même temps.

- Arrête! J'en peux plus! Pitié j'en peux plus!

C'est complètement humiliée, que je suis obligée de devoir le supplier de s'arrêter, alors qu'il me demande si j'étais calmé. J'ai presque ensuite encore un malaise, lorsque ce porc me demande où est-ce que je voudrais qu'il jouisse. Pour moi qui n'aimait déjà pas les hommes, c'était encore plus dégradant d'entendre un truc pareil. Il me forçait à devoir subir et lui dire des trucs, qui étaient tout simplement impensables pour moi. Mais malheureusement, j'étais trop dévastée et j'avais beaucoup trop peur, que pour oser encore essayer de lui résister...

- Pardon! S'il te plait arrête! J'ai compris! J'ai compris ce que j'ai fais!

Face à cet horrible affront, je suis obligée de devoir abdiquer devant ce pervers cinglé, qui continue de me violer. La seule chance qui me restait, était de le convaincre de ne pas jouir en moi. Et avec un peu de chances, voyant bien comme j'avais peur de lui, il s'arrêterait là et il s'en irait enfin...

- Je m'excuse pour tout ce que je t'ai dis! Pardon! S'il te plait arrête! Ne fais pas ça en moi! Laisse-moi partir et je te promets de tout oublier!

Craquage! Cette fois je chiale! Je chiale contre la douleur et contre cette humiliante défaite où ma seule issue était d'implorer sa pitié.
« Modifié: mercredi 09 juin 2021, 19:15:24 par Setyhs Inoru »

Kaito Nakajima

Humain(e)

Ouais bien évidemment, c'est le genre de réponse à laquelle il fallait s'attendre. Mais à ce stade, qu'il lui gicle au fond du cul ne changerait pas grand chose à l'état de déchéance dans lequel elle se trouvait. Qu'elle s'inquiète qu'il la prenne par la chatte pour s'y purger était une idée saugrenue puisque depuis le début il ne s'en était pas soucié. Le fait qu'elle en parle fut ce qui le décida, si elle s'était tue, il lui aurait sûrement craché la purée au visage mais non, finalement il irait jusqu'au bout de sa punition et il vivrait ce calvaire jusqu'à la fin.

Les derniers coups de reins qu'il donna furent les plus violents de cette session de baise dégueulasse. Il voulut lui faire mal et y parvint parfaitement. Quand il se retira de son cul explosé, celui-ci resta grand ouvert et déversa une quantité massive de fluides immondes. La fille glissa du lavabo mais il la retint juste pour terminer ce qu'il avait à faire. Il l'empala sans pitié, détruisant immédiatement cette petite chatte jusqu'alors préservée. Il gueula aussi fort qu'elle, la peau de son sexe étirée en arrière alors qu'il rippait contre les premières muqueuses sèches. Ca ne fit que l'énerver et il rua dans la salope, la pénétrant le plus loin possible. Il heurta durement le cervix et s'y ficha. Il pressa de toutes ses forces sur les épaules de la fille et dans un dernier effort titanesque, se cambra pour lâcher dans ce corps souillé tout le foutre dont il était capable. Il la remplit outrageusement, cessant d'appuyer seulement quand la dernière goutte de sperme fut aspirée hors de son urètre.  Il haleta, suant, sale et enfin, se retira brusquement d'elle, la laissant choir au sol, sa semence coulant abondamment de son vagin. Kaito fit quelques pas en arrière pour s'adosser à une cabine. Il soufflait et sourit à la catin.


"Et bien voilà, ça te fait quel effet d'être traitée comme une merde? C'est sympa hein? Tu réfléchiras peut-être deux fois la prochaine fois avant de mal parler au gens."

La pression retombait. Une dernière fois, le barman sortit son smartphone de sa poche et prit un shot de la salope explosée les jambes écartées et couvertes d'humeurs dégueulasses.

"Un petit souvenir de notre rencontre hein? Tu comprends que tu me feras pas chier j'espère? Allez, maintenant tu dégages!"

Kaito farfouille dans une autre poche et sort un petit trousseau de clés et à l'aide de l'une d'elle, ouvre une porte dans le fond des toilettes. Un petit sas et il pousse une clenche d'une autre porte qui donne sur une ruelle derrière le club. Personne n'y traine à cette heure à part le clodo aviné du coin. Le barman revient dans la pièce pour trainer la salope par les cheveux jusqu'au milieu de la ruelle et l'y abandonne. Elle ressemble à une loque et se fond parfaitement dans le décor. Une ordure parmi celles qui jonchent le bitume.

"Allez, dégage avant qu'un autre moins sympa prenne le relais!"

Puis il claque la porte, satisfait de ne pas s'être laissé faire pour une fois.



Setyhs Inoru

Créature

Même en chialant et en lui montrant ma meilleure foi possible, ce salopard continue de m'enculer encore plus fort. Mais j'étais épuisée, crevée, abdiquée. J'étais même allé jusqu'à me résigner et d'accepter de reconnaitre mes erreurs et même jusqu'à aller oublier. Mais rien n'avait changé dans son comportement. C'était même encore pire! Voilà pourquoi je déteste les hommes! On leur dit gentiment d'arrêter, mais ils insistent quand même. Et c'est comme ça pour tout. La seule solution était alors devenir méchante. Mais face à mec comme lui qui vient de me détruire et de m'humilier comme une carpette usée, sur laquelle il frotte ses pieds remplis de merdes, j'étais devenue complètement vulnérable. Et cet enfoiré profite de ma faiblesse jusqu'au bout, en allant fourrer sa bite pourrie dans ma chatte encore intacte, après s'être retiré de mon pauvre cul qu'il a pitoyablement explosé sans le moindre scrupule.

- Non! Pas là! Pas dans ma chatte! Non!

Pendant qu'il me retient de tomber au sol comme la dernière des merdes, sa bite entre et glisse à toutes vitesses dans ce que j'ai de plus intime. Celle-ci devient très rapidement chaude et humide, à cause des fluides de tout à l'heure et de ma cyprine qui finissait inévitablement par couler. Même mon propre corps s'était soumis à sa cause minable de me violer jusqu'au bout, alors que mon mental le refusait!

- Non! Non! Non!

Avec les larmes qui continuent de couler de mes yeux, je ne pouvais plus que le voir me défoncer comme une pute, avec une impuissance totale. C'est alors qu'il finit par attraper encore une fois mes épaules. Forcée de me pencher en l'avant, la tête juste sous la sienne, l'enfoiré parvient à ses fins. Avec horreur, pendant que je vois sa bite empalée dans ma chatte, je ressens son sperme qui abonde dans mes entrailles vaginales. Son putain de liquide pourri qui s'échappe de sa bite, se propage dans toute ma chatte. Cette fois, je pouvais vraiment dire que j'aurais été humiliée et violée par cette enflure jusqu'à la fin.. Personne ne mériterait de vivre un truc pareil...

- Nooooon! Noooon! Enfoiré!

J'avais beau crier, ça ne le retenait pas de me remplir jusqu'au bout... La chatte détruite et souillée par ce gros porc, il me laisse ensuite retomber au sol lorsqu'il a enfin terminé. Vide de toutes autres pensées, comme si mon esprit s'était éteint, je l'entends m'insulter avec satisfaction. Arrivé à ses fins, le mec devenu tout puissant, prend ensuite une photo de moi, avec son téléphone. Il se dirige ensuite vers une autre porte qu'il déverrouille, pendant que je sanglote. Puis il revient me prendre après par les cheveux. Le mec qui m'a défoncée et souillée tout en s'en battant les couilles, me jette ensuite dans une ruelle déserte, avant de m'abandonner à mon sort.

Dans un état de choc, comme si j'avais bu des trucs pas clairs, je pars au hasard dans une des deux directions, après être restée devant la porte pendant un instant. Complètement médusée, comme un déchet dévasté qui n'arrive plus à penser, j'avance comme un zombie. C'est alors que je ne prête pas attention à un bruit tout près de moi et que je me fais agripper. Je vois alors un type bizarre, qui me dit des trucs que j'ai toujours du mal à comprendre à cause de mon état. Encore avec cette étrange sensation, le mec qui pue m'entraine avec lui pour aller quelque part dans un coin de cet endroit sordide, qui parait comme avoir été oublié par le reste du monde...
« Modifié: mercredi 09 juin 2021, 20:27:31 par Setyhs Inoru »


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