Même si il destiné à la guerre les plaisirs sensuels de l’art, de la musique et de l’amour fascinent Ariman, et il est attiré par ceux dotés de charisme et de beauté physique. Les expériences de l’esprit et l’assouvissement des désirs mentaux inspirent des besoins plus profonds et plus sinistres de l'Oblitérator. Ariman as souvent des appétits et le Don qui faisait de lui un Oblitérator engourdissant ses sens, le poussait souvent à chercher de nouvelles expériences plus étranges pour obtenir les mêmes frissons que ceux qu’ils ressentaient au début quand il n'était pas encore une bio machine démoniaque. Parfois quand les plaisirs liés aux entreprises artistiques ou même à ses expériences voire même ses conquêtes commencaient à s’estomper, Ariman se tourne souvent vers le physique pour ressentir la même excitation, les mêmes sensations qu’auparavant.
C'est pour cela qu'il allait souvent dans les enfers afin de retrouver ses sensations et cherchant de l'exotisme, écumant aussi bien les nombreux marchés aux esclaves que les bordels infernaux les plus dépravés promettant mille et une délices et autant de souffrance aux âmes damné où à leurs visiteurs. En terme général aimait errer dans le palais à la recherche de ses plaisir mais pour une fois Ariman se rendit directement dans le domaine de Dechala.
Dechala la Répudiée, est la maîtresse des Tourmenteurs. Elle est aussi impitoyable que magnifique et sa cruauté n'a d'égale que sa séduction. Les premiers récit des ravages de Dechala remontent à plusieurs siècles, et certains disent que les démons lui offrit une longévité exceptionnelle, ou que la légende selon laquelle elle fut jadis une princesse Elfique est vrai. Elle a tant muté qu'elle ressemble plus à un démon qu'à une mortelle : sa peau est lisse et blanche, ses jambes ont été remplacées par un corps sinueux de serpent, sa queue fourchus claque comme un fouet et dégouline de poison, ses six bras manient de lourdes épées et ses yeux luisent d'une lumière intérieure, promettant douleur et plaisir extrêmes à ceux qui oseraient se dresser devant elle.
Elle possède une beauté extraordinaire, mais elle est aussi étrange et déroutante qu'elle est irrésistible, son visage inspire le dégoût autant que le désir. Dechala recherche le sybaritisme absolu, libérée des contrainte de la loi et de l'ordre, mais ne veut obtenir ce plaisir que pour elle seule : les autres peuvent souffrir et mourir tant que ses désirs sont comblés.
Dechala est peut-être le pire des monstres inhumains. Elle ne cherche pas à tuer ses adversaires, mais préfèrent les réduire en esclavage. En utilisant du sang sacrificiel exposé à de la Malepierre mélangés avec ses propres sécrétions vaginales, elle créé l'un des plus puissant élixirs du monde. Aucune créature mortelle ne peut en boire sans subir d'atroces changements. Les captifs des Tourmenteurs n'ont pas besoin de chaînes : ils sont dépendants de la hideuse substance. Leur accoutumance au liquide toxique de Dechala les transforme alors rapidement en de serviles esclaves sans défenses, accomplissant tous les caprices de leurs maîtres.
Dans leur camp, les Tourmenteurs sont servis par une multitude d'esclaves qui veillent à satisfaire tous leurs besoins. Leur décadence a atteint un tel niveau que leur dépravation reste inégalée dans les strate infernale. Chaque dose absorbée par les esclaves ne tue pas seulement leur esprit, mais provoque également des mutations. Les horreurs qui suivent les bande de Dechala sont les victimes de l'élixir : de révoltants blasphème envers la nature, des choses qui n'auraient jamais dû exister, jadis créature libres ou adeptes du Chaos, humains, Nains ou Elfes ayant eu le malheur de rencontrer les Tourmenteurs en bataille et d'avoir survécu. Avec le temps, l'élixir détériore le corps, le transformant et le tordant jusqu'à ce qu'il n'en reste plus qu'une masse de chair frémissante. Beaucoup de ces victimes meurent dans d'indescriptibles souffrances. C'est pourquoi les Tourmenteurs ont sans cesse besoin de nouveaux esclaves, car ils se sont habitués à leur vie facile et luxurieuse, et sont donc toujours prêt à en découdre.
Les Tourmenteurs portent des armures ressemblant à des écaille de serpent et vont au combat à bord de chars, leurs esclaves extasiés cloués aux parois comme des boucliers vivants. malgré leur décadence et leurs manières efféminées, ce sont des guerriers redoutables, ignorant totalement la peur, hurlant de plaisir même sous les coup et endurant les pire blessures sans montrer autres chose que de la fascination. Au combat, Dechala est magnifique tandis que son corps de serpent danse pour plaire à son Dieu. Aussi délicats et sensuels que soient ses mouvement, ils n'en sont pas moins mortels pour ses adversaires. Nombreux sont ceux qui ont été déchiquetés alors qu'ils étaient hypnotisé par sa danse.
Ceux qui ne sont pas tué par les Tourmenteurs pour le sport, ou qui ne sont que blessés et abandonnés sur le champ de bataille, seront submergé par une une foule d'esclaves hurlants, immobilisés et forcés à boire l'élixir de Dechala. Une goutte est suffisante pour les condamner à une existence misérable et pénible jusqu'à leur dernier jour, heureusement relativement proche. On dit qu'il vaut mieux se tuer soi-même plutôt que d'être laissé à la merci de Dechala, car elle ignore le sens du mot pitié.
Malgré le Danger apparent de cette strate infernale Ariman avança résolument vers le palais de la démone car qu'elle le veuille ou non Dechala avait une dette envers l'Oblitérator et ce dernier était bien déterminé à la contracter. Il avait donc demander une audience à la reine infernale et il c'était mis à suivre deux tourmenteur allant et passant devant des pièce ou ce déroulait d'abominables orgie ou des arènes où se déroulait de sanglant combat.