Ah ouais, amoureuse, carrément ? Je ne pense pas que ce soit à prendre au premier degré vu qu'elle ne transpire que la soif de sexe à tous les étages. Du coup je me décide de ne pas y répondre pour le moment. Il faut dire que je suis plus occupé à me remettre à bander tout en profitant de son nettoyage de couilles en règle dont elle me gratifie d'entrée. La perte de dureté et de vigueur dont je souffrais il y a encore quelques secondes est vite corrigée par ses soins.
La situation est d'ailleurs des plus amusantes de mon point de vue car le fait de la voir grossir contre son visage fait ressortir mes couilles de force de sa bouche. Ma propre trique agit comme un levier qui fait en sorte que mon corps est éloigné du sien sans que je ne fasse quoi que ce soit. Un peu comme voir le pif de Pinoccio s'allonger. Dans une version plus adulte du conte pour enfants.
Plus ma trique grossit, plus elle appuie sur le visage de la belle pour la forcer à lâcher ses friandises pleines de crème. Qu'elle le veuille ou pas. C'est là que le métro fait son premier arrêt et qu'un couple entre. La femme, surprise, est sur le point de lâcher un cri de surprise avant de placer elle-même sa main devant sa bouche. Les deux inconnus se décalent alors sans faire de bruit pour s'asseoir à quelques pas de nous sans perdre une miette du spectacle, dans un mélange de curiosité et de surprise.
J'en profite alors pour répondre à son autre suggestion maintenant que d'autres personnes peuvent m'entendre :
- Si jamais je t'abandonne attachée ici avec ta belle gueule recouverte de sperme, des inconnus hésiteraient pas une seconde à en profiter aussi. Je parie que ça t'exciterait.
Ma queue dans une main, tandis que je me tiens au poteau auquel elle est attachée de l'autre, je commence à la bifler bien fort pour lui faire comprendre que je bande de nouveau. Je tape sur ses joues, sur ses lèvres, voir sa langue quand elle me la propose dans la foulée.
- Garde la bouche ouverte, je veux que tu baves partout dessus.
Sans faire preuve de la moindre once d'hésitation ou de retenue envers elle, je commence à lui baiser la gueule de manière dégradante. Lui faisant produire une ribambelle de sons humides dignes des pornos les plus crades qui puissent exister. A peine un tiers de mon chibre imposant lui rempli la bouche en faisant gicler sa salive un partout suffit pour que mon gland vienne cogner contre sa glotte à plusieurs reprises.
Une nouvelle fois, l'inconnue en couple avec son fiancé se retient de lâcher un cri de surprise quand un filet de bave chaude vient toucher sa cheville. La pauvre ne sait plus où se mettre ou comment réagir car ce qui se déroule sous ses yeux semble lui plaire autant que la repousser.
Le trajet vers le nouvel arrêt passe à une vitesse folle. Je ne vois pas les secondes, les minutes passer, tant je m'amuser avec elle. C'est la première fois que je fais un truc pareil. Le fait de voir que cette nana n'a aucune limite risque de me pousser à essayer un tas de trucs possibles et imaginables à l'avenir.
Mais en attendant...
La main qui tenait ma queue quelques instants plus tôt vient se poser sur l'arrière de son crane quand je lui ordonne d'avaler autant que possible, au risque de s'étouffer au passage. Rassemblant toutes mes forces dans mon bras, je maintiens sa tête en position, ma queue massive coincée à l'entrée de sa gorge, pour voir combien de temps elle va tenir.
J'ai envie de la souiller une dernière fois. Que jamais elle n'oublie l'odeur, le goût ou la texture de mon membre après ce soir.
- Mmfffffff ! C'est ça ! Étouffe ta jolie petite gueule sur ma bite !
Lorsqu'elle finit par montrer les signes qu'elle ne tient plus, je relâche mon emprise pour lui permettre de respirer. Libérant par la même occasion une quantité massive de salive qui ressemble plus à de la mousse qu'autre chose. Plusieurs filets épais restent d'ailleurs collés entre son menton et mes boules. Une vision qui lui aurait sûrement plu vu sa personnalité et sa perversion prononcée.
Une pause de dix secondes offerte avec tendresse de ma part que je relance la machine en lui lâchant de petits commentaires pour lui dire de continuer. Il m'arrive de m'arrêter par moments pour lui présenter ma trique afin qu'elle joue avec de la langue pour en lécher chaque centimètre. Quitte à étaler sa propre salive sur son visage par la même occasion.
Alors que le trajet arrive presque à son terme, je tends mon portable à l'inconnue après l'avoir déverrouillé et je lui demande en parlant suffisamment fort pour qu'Anastasya m'entende.
- Je vais recouvrir le visage de cette petite pute et je veux que tu nous prennes en photo.
Pour avoir de meilleurs clichés je lui suggère de se lever et de s'approcher. Son fiancé ne semble pas avoir de problème avec ça. Une seconde après s'être mise en position on peut entendre le bruit caractéristique de l'appareil qui enchaîne les clichés. On peut presque y voir le mouvement de ma queue entrer et sortir de la bouche de ma victime si on les regarder les uns après les autres.
Encore une fois, je ne me retiens pas une seconde pour faire durer le plaisir. Sauf qu'à ma grande surprise l'inconnue écoute la suggestion de son fiancé en agrippant ma bite pour me branler et accélérer le processus.
- Ah ouais, quand même. Je te laisse faire, repeins la gueule de cette chienne pour moi.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Le sperme gicle dans une explosion de liquide visqueux, collant et odorant blanchâtre sans que je ne contrôle ni son débit, ni les endroits visés donc.