Havre de Repos des Pervers(e)s [HRP] > L'Art

[HENTAI] Some lemons...

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Lydia:
First of all, ce topic me servira à partager (mais oui voyons, je partage ! Je suis généreuse, vous en doutiez !? *tousse*) avec vous mes histoires. J'en avais écrite une petite poignée, ces derniers mois, mais je les ai malencontreusement supprimées... enfin bref. Je vais reprendre de zéro, mais je tenais simplement à dire que, comme le titre le laisse à suggérer, ce seront des histoires où le hentai sera très présent. Et pas du hentai soft et tendre, ni très morale non plus... donc voilà, disons que c'est réservé à un public averti. ^^

Ceci étant dit... Je ne vais pas me contenter d'écrire des histoires qui se suivront forcement. Ce sera le cas de certaines, mais la plupart seront sans doute indépendantes des autres. Et puis, j'organiserais plus bas un petit sommaire pour les classer (que j'étofferais et présenterais avec les protagonistes, une breve intrigue, etoo etoo, dès que ce sera un peu plus fourni).

J'accepte aussi toutes remarques, critiques, conseils, avis, (et les compliments aussi ! o/ *sbaff*), par MP ou à la suite de ce topic. :)

Je pense avoir tout dit...
Bonne lecture ! \0/


~ Les aventures de Ludivine, la soubrette anglaise
Le personnage central de ces récits est Ludivine, une soubrette follement perverse au service d'un patron autoritaire, et un brin sadique. Ce dernier aime certes abuser de ses charmes, mais l'insouciante indécence dont elle fait preuve l'exaspère, parfois... et il se décide à lui donner une leçon.

* Chapitre I : Quand l'indécence se doit d'être punie.
* Chapitre II : Une savoureuse rédemption.
* Chapitre III : Tourne, tourne, petite chose ! ♫
* Chapitre IV : Instinct animal.



~ Les aventures de Mitsuko, la lycéenne
Mitsuko, "l'héroïne" de l'histoire, est une adolescente presque ordinaire, fréquentant le lycée de Seikusu. Comme tout le monde, elle a ses qualités, ainsi que ses défauts. Parmi eux, son manque de volonté, quand il s'agit de lutter contre ses pulsions... ce que l'une de ses camarades ne tardera pas à découvrir. Il s'agit d'Inoe, une petite peste espiègle et autoritaire, mais également perverse sur les bords.


* Chapitre I : Première rencontre avec Inoe.
* Chapitre II : Le début de la fin ?
* Chapitre III : Le défi de la liberté.
* Chapitre IV : Tout est bien qui finit bien.



~ Hors-Série
De simples petites histoires, sans background particulier...

* Petite interlude dans les vestiaires...

* Rêve ou Cauchemar ?

* Confession intime : un amant canin ?



--- Citer ---What's next ?
[ mis à jour le 20/09/18 ]

* Les récits de Mitsuko sont terminés, et il est très peu probable que je refasse une autre série d'histoire. C'est peut-être possible dans un futur lointain, mais j'en doute.

* Il n'est pas exclu que je fasse des Hors-Série par contre. :D

* Si j'y pense, et si je trouve de belles images, je completerais sans doute ce premier post pour illustrer les récits.

--- Fin de citation ---

Lydia:

--- Citer ---Les aventures de Ludivine
Chapitre I
--- Fin de citation ---

Le bruit de mes escarpins noirs claquaient de manière rythmée sur le parquet, résonnant dans le couloir vide, bien que richement meublé. Pour une raison qui m'échappait, mon patron, Monsieur Thompson, propriétaire de ce riche manoir écossais, m'avait instamment convoquée dans son bureau, et il était de très mauvais ton de le faire attendre. Chacun de mes pas me rapprochaient de la confrontation, et je devenais de plus en plus anxieuse. Cela avait l'air d'être assez grave, et je ressentais une lourde boule au creux de mon estomac. Enfin, j'arrivais devant les larges portes en bois verni qui me séparait de son bureau. J'inspirais un grand coup, en une tentative assez vaine de calmer mon appréhension, et jeta un coup d'oeil à ma tenue afin de vérifier que tout était correct.

Ma longue chevelure brune, tombant doucement sur mes épaules et jusqu'au creux de mes reins, était surmontée de la coiffe noire et blanche caractéristique des soubrettes. J'en avais d'ailleurs la tenue, que j'inspectais minutieusement : le bustier, la robe courte à volants, des bas résilles noirs au maillage fin, ainsi que mes escarpins, dont les talons étaient fins mais pas très hauts. J'inspirais un dernier coup, réajustant mes lunettes fines, dont les verres laissaient paraitre un regard vert émeraude, et frappa à la porte avant d'entrer calmement.

« Bonjour, Monsieur Thompson. Vous m'av... »

« Silence. » - m'interrompit-il sèchement, avec une autorité indiscutable, sans même hausser le ton.

Je déglutis non sans difficulté, avant de baisser les yeux, respectueuse. Je me trouvais près de l'entrée de la pièce, dont j'avais refermé les portes après mon passage. Deux tables secondaires se trouvaient de part et d'autre, vide, et accompagnées de leurs chaises. Le bureau principal se trouvait face à moi, large et majestueux, et derrière lui se trouvait mon employeur. A première vue, il ressemblait davantage à un boxeur poid-lourd qu'à un riche directeur. Haut de plus d'un mètre quatre-vingt-dix, sa carrure était impressionnante, et musclée, ses mains était large, et il avec la particularité d'avoir une calvitie, fort viril d'ailleurs. Les mains croisées derrières le dos, le regard posé sur la pointe de mes chaussures, j'attendais sagement qu'il me renseigne de lui même sur ce qu'il se passait, anxieuse. Heureusement, cela ne tarda pas.

« Hmm. Déshabille-toi. »

Aaah, alors ce n'était que ça ? Moi qui pensait que j'allais passer un sale quart d'heure, j'étais soulagée ! Je relevai la tête et lui lançai un regard des plus expressifs, mes lèvres s'étirant en un sourire coquin. Si c'était pour jouer qu'il m'avait convoquée, il aurait pu le dire avant, quand même, ça m'aurait évité de me faire du mauvais sang pour rien ! Et puis, j'aurais pu choisir une lingerie fine plus adaptée, hihi... Je lui répondis, avec une douceur lascive.

« Tout de suite, Monsieur. »

J'écartais lentement les bretelles de ma robe, jusqu'à ce qu'elles quittent mes épaules, laissant ma robe choir au sol avec légèreté, révélant le bustier noir qui maintenait en place les opulentes rondeurs de ma poitrine. Je m'avançais d'un pas habile, puis entreprit de délacer le dos de mon bustier, lentement, sans que mon regard coquin ne quitte celui de mon patron. Je l'enlevais ensuite complètement, libérant enfin mes deux voluptueux galbes de chairs, que je fis doucement balloter, en espérant que le show que je lui présentais le ravisse. Il fallait néanmoins que je range mes vêtements... au lieu de me baisser normalement, je fit demi-tour, et me pencha en avant pour les ramasser, exhibant ainsi la culotte qui moulait mon fessier. Je savais d'expérience qu'il aimait les belles fesses, et qu'il appréciait tout particulièrement de jouer avec les miennes, bien rondes et moelleuses. Et franchement, je ne m'en plaignais pas le moins du monde, j'adorais ça. C'était tellement bon de le sentir s'occuper de mon petit cul !

Monsieur Thompson était resté impassible tout le long, il n'avait pas réagi ni n'avait prononcé la moindre parole. Impossible de savoir ce qu'il en pensait... mais je comptais bien mettre les bouchées doubles. Je pris mes vêtements et les posai sur l'un des bureau qui se trouvait près de moi. J'enlevais ensuite mes chaussures, et me positionna de profil, avant de poser mon pied sur le meuble, ma poitrine se retrouvant pressée sur ma cuisse. J'entrepris alors de faire glisser mes bas le long de ma jambe, sensuellement, jusqu'au bout de mes pieds, puis de faire de même avec mon autre jambe. Je me retrouvais ainsi presque nue sous ses yeux, seule ma culotte était encore en place. Mais plus pour très longtemps...

Je me plaçai dos à lui, maintenant mes jambes debout tandis que mon buste s'allongea lascivement sur le meuble. Je lui adressai un regard langoureux par dessus mon épaule, mes doigts jouèrent alors avec le tissus blanc de ma culotte, tandis que je l'apostrophai, douce et tentatrice.

« Et si vous veniez vous occuper de ce dernier bout de tissus ? Je crois que j'ai un peu de mal à l'enlever... »

Je me rallongeais convenablement, dans l'attente d'une réaction de sa part. En espérant qu'il ne me laisse pas planter là, j'aurais pas l'air conne comme ça... Je ne voyais rien, mais heureusement, je ne tardai pas à entendre le bruit de roulement de son fauteuil, ainsi que ses pas qui se rapprochaient dangereusement de moi, sans se presser. Je fermai à moitié les yeux, et me mordillais assez fort la lèvre inférieur. Je m'imaginais déjà sentir son érection se presser contre mes fesses, qu'il m'arrache furieusement mon sous-vêtement, avant de dégainer avec impatience son épée de chair, et de férocement venir la plonger dans l'étroit fourreau que formait mon petit cul... Oh mon dieu, ça me rendait folle !

Je ne voyais toujours rien, mais je pouvais clairement percevoir sa présence, derrière moi. Ma respiration était lente, et profonde, et j'attendais avec de plus en plus d'impatience la suite des évènements ! Je commençais à être excitée, et l'attente devenait chaque secondes de plus en plus insoutenable...

« Héhéhéhé, t'es une sacrée salope, Lulu... » - chuchota-t-il, tout en pétrissant fermement mes fesses entre ses grandes mains, me faisant frémir et soupirer de satisfaction.

« Mmmmh, VOTRE salope, Monsieur... » - lui répondis-je, avec une plaisante sensualité.

Sans prévenir, il s'empara de ma culotte et tira d'un geste en diagonale, vers le haut et l'arrière, le tissu frotta âprement contre la sensibilité de mon clitoris, et rentra brutalement entre les lèvres de mon intimité, contre lesquelles il frottait. Sur le coup, je me redressais vivement, poussant un bref mais intense cri où le refus et l'inconfort côtoyait l'approbation et l'excitation, mais la réaction de l'homme ne se fit pas attendre, et d'une main ferme apposée sur mon dos, il me plaqua violemment le buste contre la table, m'immobilisant, tout en continuant à tirer davantage, m'arrachant quelques gémissements.

« Gggnnnnhh !! Aaaahh... !! »

Avant que je ne puisse reprendre mes esprits, et prononcer quoi que ce soit, il s'expliqua.

« Toujours aussi délicieuse, belle salope... mais je ne suis pas là pour jouer. » - il accompagna sa remarque d'une douloureuse claque sur mes fesses, qui résonna dans la pièce et imprima une belle marque rouge sur ma peau pâle, avant de revenir plaquer sa main contre mon dos. - « J'ai cru comprendre que ton attitude délurée déteignait durant tes heures de travail. Déteignait beaucoup trop. Il semblerait même que tu t'amuses à séduire mes employés, qu'ils soient en service ou non. Comme une vulgaire trainée. »

Il tira plus fort sur la culotte, et lui imprima un mouvement de va-et-vient qui le faisait se frotter tout contres mes lèvres intimes. Mes poings se resserrèrent tandis que je me tenais au bord du bureau, c'était vraiment inconfortable, désagréable... et pourtant si bon ! Les allers et venus du tissu tout le long de ma vulve m'excitait énormément, ma respiration était haletante, presque gémissante, tant et si bien que j'avais un peu de mal à rester concentrer sur ce qu'il me disait.

« Tu entends ? Une trainée ! Trouves-tu une telle attitude digne du manoir Thompson, mmh !? Tu trouves que tu lui fait honneur, en faisant ça ? Je pensais avoir engagé une maid, pas une catin dévergondée ! Tu mériterais de finir à la rue, la prostitution est un métier qui te conviendrait bien mieux. »

Je n'écoutais que d'une oreille ses réprimandes. Les mouvements de ma culotte devenait de plus en plus vifs, c'était insoutenable ! Il titillait mon intimité en surface, l'excitant follement, tout en me laissant un amer arrière gout de frustration. Je voulais gémir, je voulais crier, je ne souhaitais qu'une chose, c'était qu'il me baise, tout de suite, je me fichais éperdument de savoir où et comment, je voulais juste sentir sa grosse queue me pénétrer et me combler ma chatte avide ! Mais je ne pouvais rien faire, si ce n'était attendre, j'étais contrainte d'attendre l'aval du grand patron, à gémir, ruminer ma frustration, et mouiller de plus en plus tant mon excitation gagnait en intensité. Je devenais folle !

« Mais, tu as de la chance, je ne compte pas te licencier. Je vais même te laisser une chance de te faire pardonner. Après t'avoir infligé une punition digne de la salope que tu es... »

Je me tournais alors vers lui, l'observant par dessus mon épaule. J'avais la bouche entrouverte, j'étais haletante, autant que ne pouvait l'être une chienne en chaleur. Ce que ses stimulations avaient fini par me faire devenir, je me sentais follement excitée, mais aussi terriblement frustrée... Les joues rougies par l'excitation, je lui lançais un regard implorant, je ne demandais pas la lune, je voulais juste qu'il me baise, sentir sa queue se frayer un chemin dans mon intimité toute trempée de mouille, rien de plus...

Lydia:

--- Citer ---Les aventures de Ludivine
Chapitre II
--- Fin de citation ---

J'étais toujours soumise, prostrée sur la table, de dos et à la merci de la volonté de Monsieur Thompson. Je bouillonnais intérieurement d'excitation, sans que je ne puisse rien y faire, si ce n'était qu'attendre une autorisation favorable de sa part. Je bouillonnais en effet, je me sentais si chaude que je le ressentais jusque sur mes joues, qui devaient être très rouge, mais malgré tout je ne pouvais pas bouger ne serait-ce que le petit doigt, sans prendre le risque d'éveiller davantage son courroux. Alors j'attendais sagement, tentant mentalement de m'apaiser, mon regard implorant plongé dans celui de l'homme, sévère et inébranlable. Qu'attendais-je ? Ma punition, tout simplement. J'étais impatiente d'en finir, et de pouvoir satisfaire les désirs qui me rongeaient, de soulager cette intense et douce chaleur qui avait prise d'assaut mon bas-ventre. Rien n'était plus insupportable que l'attente, vraiment...

La main qui calait mon dos relâcha sa pression, me laissant recouvrer ma liberté de mouvement. J'entrepris de pivoter, afin de m'installer plus confortablement et de lui faire face, mais il ne l'entendait pas de cet avis... D'un simple geste, d'une violence inouïe, il agrippa ma chevelure dorée et me projeta au sol comme une vulgaire poupée de chair, m'arrachant un cri de douleur.

« AAAÏEUH ! »

« Où pensais-tu aller, là ? Tu ne crois tout de même pas qu'après un tel show, je te laisserai t'en tirer aussi facilement, j'espère. Agenouille toi ! Et maintenant, tu vas gentiment sucer ma queue. »

Je me redressais assez difficilement, contemplant cet homme qui me toisait de si haut, me dominait de toute sa stature. Je tentais d'appréhender ce qu'il venait de m'ordonner, malgré que mon excitation occupait quasiment toute mes pensées, et son attitude avec moi ne m'aidait vraiment pas. J'adorais la sévérité dont il faisait preuve, la brutalité de ses gestes, c'était aussi efficace que n'importe quelle aphrodisiaque... quoique, je n'ai jamais eu l'occasion d'en essayer, mais il n'y avait aucun doute la dessus : les effets sur moi seraient vraiment sensationnels.

Mais l'heure n'était pas à la réflexion, le devoir m'appelait, et il ne fallait pas faire attendre une verge qui se languissait de mes caresses. Je défis habilement son pantalon, qui glissa le long de ses jambes musculeuses, solides et à la carrure inébranlable, puis je glissai ma main dans son caleçon, pour en extirper la totalité de son outillage dont la simple vue m'excitait, et me donnait très envie... A ma grande surprise, aucune érection n'était visible, son sexe restait désespérément inactif. J'étais un peu déçue, à croire que je n'avais pas su combler ses attentes, tout à l'heure... je devais faire de mon mieux pour rattraper le coup !

Je m'installais correctement à ses pieds, me positionnant à genoux, les cuisses légèrement écartées, je me mis ensuite à lécher lentement cette queue qui ne demandait qu'à se dresser fièrement. Tout en cambrant mon dos et reculant mes hanches, je posai mes mains sur mes genoux, serrant ma poitrine entre mes bras pour lui donner davantage de volume et la mettre en valeur, afin d'accompagner mes caresses d'une agréable vue sur les courbes délicieuses que mon corps nu pouvait offrir. Ma langue serpentait lentement sur son membre, la léchant dans ses moindres parcelles, si lentement que l'on aurait dit que c'était un délicieux dessert que je savourais. Je continuais ainsi quelques temps, léchant sa queue qui prenait petit à petit un peu plus de vigueur sous les délicieuses et habiles caresses de ma langue.

Elle se gonflait de désir, mais était encore assez loin d'atteindre les fabuleuses proportions que je lui connaissais. Ce que j'aimais tout particulièrement, c'était de la sentir progressivement se durcir entre mes lèvres, prendre de plus en plus de place dans ma bouche qui l'accueillait, au fur et à mesure des caresses buccales que je lui prodiguais. Poussée conjointement par mes envies, et très certainement les siennes, j'entrouvris mes lèvres et happai littéralement son petit sexe malléable. Ma langue ne cessait de la couver de douceur, tandis que je la suçotais comme la tétine d'un biberon. Je percevais, non sans ressentir un certain plaisir, étrangement mêlé à un peu de fierté, que mes lèvres devenaient de plus en plus étroites autour de sa verge, qui se durcissait visiblement et prenait des dimensions enviables. Et excitantes...

Je ne cessais de m'en occuper, la léchant avec beaucoup d'application, ma langue parcourant et stimulant l'intégralité de la sensibilité de son membre. A mesure qu'elle grossissait dans ma bouche, je la sentais agréablement frétiller sous mes caresses, ce qui ne rendait la fellation que plus délicieuse encore, je raffolais de ces sensations. Ce ne fut que lorsqu'elle devint complètement tendue, fièrement dressée entre mes lèvres, si épaisse qu'elles avaient un peu de mal à la contenir correctement, que je reculais mon visage et délaissai sa queue, en un bruit de succion sonore. Je l'observais pendant deux petites secondes, détaillant les reliefs que formaient ses veines, ainsi que sa forme courbée, comme une rapière attendant son fourreau... Mon dieu, c'était follement excitant, je ne tenais plus ! Mes doigts se glissèrent dans ma culotte et vinrent effleurer mon bourgeon de plaisir, avant de jouer autour de mes lèvres intimes, passant deux doigts le long de celles-ci. Je léchais ensuite son membre, à plusieurs reprises, passant ma langue sur la moitié supérieur, comme une glace, avant de m'arrêter, et d'esquisser un sourire léger et charmeur. Je levais alors un regard terriblement coquin à Monsieur Thompson, dans l'espoir de pouvoir y lire le plaisir que je venais de lui offrir.

« Cela vous plait, Monsieur ? »

Mais il ne me parla pas, du moins pas tout de suite. En guise de réponse, il agrippa mes cheveux, à l'arrière de ma tête, et la tira violemment vers le bas. Contrainte de suivre le mouvement, mon visage se releva davantage et je ne pus m'empêcher de pousser un cri, tant la douleur était vive. Il profita alors de l'occasion pour enfoncer sans préavis son barreau de chair dans ma bouche, et pas seulement son extrémité, non, il l'introduisit presque entièrement, l'enfonçant d'un simple coup de hanche jusqu'au plus profond de ma gorge, étouffant même le cri que je poussais tant cela avait été rapide et inattendu.

« Ferme là, chienne. Il me semble t'avoir demandé de me sucer, pas de bavasser. Et retire tes doigts de là, je ne t'y ai pas autorisé. » - ordonna-t-il, d'une voix forte et autoritaire malgré son calme.

Surprise, prise au dépourvu, la situation était terriblement inconfortable, je suffoquais littéralement, m'étouffant d'avoir un si gros chibre coincé aussi profondément. J'avais par réflexe posé les mains sur les hanches de l'homme, cessant de me caresser par la même occasion, afin de me sortir de là, mais au final je n'avais pas poursuivi, je n'osais pas réagir, par peur de sa réaction. J'étais contrainte d'accepter cette imposante intruse, pendant de longues secondes qui me parurent durer une éternité, des larmes coulaient le long de mes joues, par une réaction physiologique causée par le subit étouffement, et cette insupportable sensation.

Il daigna enfin me libérer de ce supplice, retirant un peu sa verge, pas complètement. mais juste assez pour me permettre d'avaler de grandes goulées d'air frais. Je relevais les yeux vers lui, des yeux devenus humides de larmes, qui semblaient implorer son indulgence. *Pardon, je ne recommencerais plus...* pensais-je. Je n'osais même pas le formuler à voix haute, de peur de subir à nouveau sa volonté. Je n'étais qu'une poupée entre ses mains, dont il disposait à loisir, et bien que cela m'excitait énormément, ça avait tout de même ses désagréables inconvénients...

Les mains posées de part et d'autre de ses hanches, j'entrepris alors de poursuivre ce que j'avais commencé, avec plus d'ardeur encore. Mes lèvres se resserrèrent en un délicieux étaux autour de son barreau de chair, et entamèrent un vif mouvement de va-et-vient tout le long de celui-ci. Elles coulissaient sur son sexe, de la base jusqu'au somment, effectuant des aller et retour gourmand. Prenant appui sur ses hanches, mon corps se trémoussait au rythme de ma fellation, mon buste aussi se balançait d'avant en arrière, afin de donner plus d'amplitude à cette fellation passionnée.

Je savourais chaque centimètre de sa queue, que je suçais avidement en poussant des gémissements étouffés à chacun de mes mouvements. Ma langue léchait cette verge avec gourmandise, s'attardant sur son gland proéminent, l'effleurant, le caressant, le titillant, décuplant ainsi les sensations de mes va-et-vient. Ma langue s'entortillait autour, comme désireuse de la garder encore et encore dans la chaleur humide et accueillante de ma bouche, tandis que j'accompagnais mes gestes de brèves aspirations. Je la sentais frémir de plaisir entre mes lèvres, et cela me motivait à la sucer avec plus d'ardeur encore. Je la savourais, oui, et ce n'était pas peu dire, je m'en donnais à coeur joie, je me sentais délicieusement soumise, m'évertuant à lui offrir les plus exquises des sensations.

Ses frémissement gagnaient en intensité, à mesure que je m'en occupais, balançant mon corps au rythme de mes mouvements. Je sentais qu'il n'allait pas tarder à jouir, ce qui n'était pas pour me déplaire, bien au contraire. J'étais ravie de savoir que mes soins portaient leurs fruits, fruits que je n'allais pas tarder à gouter. J'aurais aimé qu'il prenne la peine de jouir sur mon corps, sur mon ventre ou sur mes seins, j'adorais sentir sa chaude et douce semence se déverser sur ma peau... mais il serait déplacé de le lui demander, ou de prendre de telles initiatives. D'ailleurs, il ne m'en laissa même pas l'occasion.

Impatient et emporté par le désir, ses mains agrippèrent de part et d'autre mon visage, qu'il guida lui même par la suite. Non content de diriger mes va-et-vient, il commença même à donner de vigoureux coup de reins en parallèle, accentuant le rythme de cette fellation. Il me baisait littéralement la bouche, et ce n'était pas spécialement tendre, son épaisse queue coulissant furieusement entre mes lèvres. Les pénétrations étaient rudes, mais pas insupportables, et toujours aussi délicieuses. Les yeux mi-clos, je me laissais balloter par ses mains puissantes, gémissant de plus en plus fort, desserrant et resserrant alternativement mes lèvres, léchant son gland à chaque passages.

Tant et si bien que, dans un long râle de plaisir, je sentis de puissantes giclées de spermes jusque dans ma gorge. L'orgasme de mon maitre dura de longues secondes, déversant une impressionnante quantité de ce liquide chaud et savoureux que j'avalais avec gourmandise. Il retira enfin sa verge, encore luisante de salive, mais mes lèvres fondirent dessus, se posant sur son gland et suçotant les dernières gouttes du fruit de son orgasme, avant de finalement le laisser. Je me sentais terriblement excitée, à un point où je parvenais difficilement à garder le contrôle de mes actes ou de mes pensées. J'espérais qu'il m'ai suffisamment punie, et soit assez satisfait pour me laisser partir, que je puisse enfin me satisfaire, ma culotte était tellement imbibée de cyprine que l'on aurait dit une éponge attendant d'être essorer, mon intimité était en feu, bouillonnant de désirs... et rien ne me ferait plus plaisir en cette instant que d'y accueillir sa grosse queue pour un second round encore plus passionné. Mon Dieu, j'étais sur le point d'imploser...

« Mo...Monsieur, je... j'ai si chaud, j'en peux plus... » - soufflais-je, haletante.

Un sourire étira ses lèvres, chose assez rare pour être soulignée, un sourire moqueur, et un brin sadique.

« Il n'en pouvait pas être autrement. Tu es une sacrée chienne en chaleur, Ludivine, mais tu vas prendre ton mal en patience, j'ai d'autre projet pour toi. Ceci n'était que les conséquences pour m'avoir échauffée avec ton précédant strip-tease, ta véritable punition t'attends. »

Kaine Novalis:
J'adore ! C'est trash, c'est hard, domination, soumission, humiliation... J'aurais sans doute pu écrire un texte qui ressemblerait à ca :) surtout continue ! Et si tu veux un rp semblable, j'ai un manoir tout aménagé qui n'attend qu'une soumise assez courageuse poury habiter ^^

Silence:
Je peux me tromper, mais je pense avoir entendu je sais plus quand qu'elle avait quitté le forum, et sa dernière connexion semble le prouver... Dommage, il est vrai que ses textes étaient très agréable à lire  :-\

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