Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Je fais rien que des bêtises ♪ [Nigel Barclay]

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Lolita

Humain(e)

Je fais rien que des bêtises ♪ [Nigel Barclay]

mercredi 20 juin 2012, 21:45:31

♪ C'est pas ma faute à moi ~ ♪


JF, 16 ans, cherche emploi temporaire.
Sait faire le ménage, la cuisine.
Salaire à discuter.


C’était l’annonce que Lolita avait passée dans l’OVNI, journal local de Seikusu pour lequel elle travaillait le week-end. Toutefois, si ce travail lui plaisait à peu près, l’argent n’arrivait pas assez vite à son goût. Lorsque Lolita avait envie de fouiner dans des affaires qui ne la concernaient pas, elle devait se procurer l’argent par ses propres moyens. C’était son père qui lui avait inculqué ce sage principe. C'est pourquoi elle s’était contrainte à trouver un job moins glorieux, mais qui lui apporterait un salaire supplémentaire. Elle occuperait désormais, et si tout se passait bien, ses mercredi après-midi à faire le ménage.

Sans vraiment y penser, Lolita poussa la porte d’une boutique assez particulière. C'était la première fois qu’elle entrait dans un sex-shop, et elle s’était attendue à un endroit plus sulfureux. Elle fut un peu déçue, mais la curiosité remplaça rapidement ce premier sentiment. Les yeux brillants, la jeune fille s’étonnait face à des godemichets verts à rayures roses, des engins de toutes tailles et de toutes formes ainsi que devant des tenues affriolantes. D’ailleurs, c’était pour se trouver une robe qu’elle était entrée dans cette boutique. Mais pas n’importe quelle robe. Une robe de soubrette pour son pervers d’employeur.
La jeune fille avait en effet reçu  quelques jours plus tôt une réponse à son annonce. C’était Sarah qui avait pris la communication alors qu’elle-même était encore en cours. Lolita ne s'était pas inquiétée de l'étrange petit sourire qui flottait au coin de la bouche de sa soeur, ou peut-être l'avait-elle mis inconsciemment sur le compte de la moquerie ou de la jalousie. Enfin, Sarah lui avait expliqué les conditions de travail : cet homme l’employait pour qu’elle fasse le ménage dans une grande demeure, et elle serait très bien rémunérée à condition qu’elle travaille en tenue de soubrette. Lolita avait hésité un instant à l’idée qu’un inconnu puisse poser ses sales pattes sur son joli petit corps. Mais finalement l’appât du gain avait été le plus fort. Et puis peut-être que cette histoire d’inconnu ne lui déplaisait pas entièrement … Elle ne connaissait d’ailleurs pas le nom de l’homme, elle n’avait que son adresse.

Une vendeuse à l’air sympathique et passablement bisexuelle lui proposa son aide. Lolita refusa, le rouge aux joues et bredouillante, ce qui éveilla sans doute quelques soupçons chez la vendeuse puisqu’elle lui demanda si elle était bien majeure. Lolita reprit toute sa contenance, et forte de cet affront, affirma avec un terrible aplomb qu’elle les avait fêtés la semaine dernière avec son petit ami. Fière de ne pas avoir perdu sa faculté de persuasion, Lolita se dirigea avec entrain dans le rayon des déguisements. Il y avait du choix. Elle se demanda brièvement si elle devait choisir une tenue sexy ou pratique. Sur un coup de tête, la jeune impétueuse opta pour une robe provocatrice. Quitte à tirer le diable par la queue, autant y mettre les deux mains.   

Durant la nuit précédant son premier jour de travail, les rêves de Lolita prirent une tournure explicitement érotique.


35, rue des martyrs.
Elle soupira. Voilà qui commençait bien. Lolita se demanda si « trente-cinq » n’était pas le nombre de victimes de cet immeuble, ce qui ne fut pas pour l’encourager. Elle se sentait même plutôt nerveuse à présent.

1er étage, appartement numéro 6.
L’immeuble était grand et avait l’air propre. Cela faisait cinq minutes environ que Lolita attendait sur le pas de la porte, n’osant pas appuyer sur le bouton de la sonnette.   
Elle avait quitté son imperméable et elle se faisait l’effet d’une exhibitionniste. Le coté provocateur de cette tenue était-il finalement une bonne idée ? Elle avait l’impression que son décolleté était trop plongeant et que la robe était trop courte. Elle avait placé le serre-tête blanc dans ses cheveux bien coiffés, avait enfilé des gants blancs, des bas noirs retenus par un porte-jarretelle de la même couleur, et des petites chaussures à talons. Au moins, l’employeur ne serait pas déçu, elle avait sorti le grand jeu. Lolita se sentait presque prête pour tourner une scène de porno hentaï, pas vraiment pour faire le ménage.

Le grincement de la porte de l’appartement d’en face la fit sursauter et l’incita finalement à appuyer sur la sonnette. Pour couronner le tout, elle sentait un regard scrutateur dans son dos, et espéra que c’était la voisine commère plutôt que le pervers du coin. Quoique, peut-être s’y rendait-elle sciemment, chez ce pervers. Lolita se demanda dans quelle situation incongrue elle s’était encore fourrée.
 

Nigel Barclay

Humain(e)

Re : Je fais rien que des bêtises ♪ [Nigel Barclay]

Réponse 1 jeudi 21 juin 2012, 23:15:50

Au moment où Lolita, pleine de doutes, hésitait encore à sonner à sa porte, le Docteur Nigel Barclay était pour sa part très occupé à engloutir d'une main un sandwich d'où émergeaient pêle-mêle fromage, morceaux de poulet, diverses crudités d'une fraîcheur douteuse ainsi que trois tonnes de mayonnaise. Le sandwich prouvait, pour qui connaissait le jeune analyste, que ce dernier manquait de temps pour manger comme faire ses courses, et que les réserves de son frigo atteignaient un seuil critique. Il ne tarderait vraisemblablement plus à faire appel au magasin de sushis qui le livrait régulièrement à un tarif totalement prohibitif. La main gauche de Nigel Barclay était, elle, employée à faire défiler l'article qu'il lisait sur internet, avec une incrédulité grandissante. A quoi pensaient le Game Master de la franchise des Wizards en faisant ce transfert de joueurs, voilà ce que ne parvenait pas à comprendre le psychiatre. Il passa quelques minutes à essayer de trouver un avantage quelconque au transfert, avant de renoncer et de conclure que le GM était sans nul doute un incompétent. Non qu'il en soit surpris … Peu de personnes trouvaient grâce aux yeux de l'arrogant jeune homme.

La sonnette retentit, brisant le fil des réflexions de Nigel. Il regarda l'horloge au bas de son écran …  La cliente suivante devait être en avance d'au moins un quart d'heure, ce qui était inhabituel de sa part. Quelle poisse, il était déjà tellement difficile pour lui de se ménager un peu de temps libre pour souffler un peu, voilà que cette femme allait amputer de moitié la durée de sa pause. Il se leva, maugréant, écarta machinalement quelques vêtements épars pour les jeter hors de portée des regards de ses clients, et se dirigea vers la porte, méditant sur l'image que le désordre qui régnait dans son salon donnait de lui. Ca ne faisait pas très sérieux, pour un psy …

Ce fut alors que l'annonce lui revint en mémoire. Il avait engagé une lycéenne pour venir faire un peu de ménage, l'autre jour, au téléphone. La fille qui lui avait répondu était sa soeur aînée, et elle avait dit qu'elle passerait aujourd'hui, s'il ne se trompait pas … C'était peut-être elle qui sonnait ?

Nigel ouvrit la porte, et découvrit Lolita, déguisée en soubrette, sur son paillasson.

Par quel miracle Nigel réussit-il à rester sérieux, il n'en savait rien lui-même ; il était habitué à rester de marbre lorsque ses clients lui racontaient des histoires qui auraient fait bondir n'importe qui, mais en un sens, cela restait la plupart du temps dans un registre qui ne le surprenait pas. Lolita en costume de soubrette, en revanche, voilà qui le prenait à revers.

Peut-être fut-il aidé par la réaction de la jeune fille elle-même. Lolita avait déjà l'air mal à l'aise et les joues légèrement rougies lorsqu'il avait ouvert la porte ; mais visiblement, il n'était pas le seul à être surpris de la situation, car Lolita le regarda un bref instant avec des yeux ronds, la bouche légèrement entrouverte, avant de rougir de plus belle en regardant sa tenue d'un air coupable. Nigel s'apprêtait à lui demander des explications, quand il avisa le regard hostile d'une voisine qui les épiait depuis sa propre porte, toute honte bue. Cette abominable commère n'aurait pas le plaisir d'en entendre davantage, se dit Nigel, et il ouvrit sa porte en lançant :

« - Entre donc ! »

La jeune fille entra, et Nigel referma la porte, l'écoutant parler du travail … La lumière se fit dans l'esprit de Nigel. Lolita était la lycéenne qui avait répondu à sa demande pour faire des ménages ! Curieuse coïncidence … Restait la tenue de soubrette … Nigel prit son temps pour détailler le costume de Lolita, appréciant pleinement ce qu'elle lui offrait. Le décolleté était audacieux, la taille fine, et le vêtement s'arrêtait bien au-dessus du milieu des cuisses de Lolita. Il apprécia les jambes de la jeune fille, avant de remonter le regard au niveau de ses yeux. Un léger sourire satisfait et malicieux naquit sur son visage.

« - Tu es délicieuse dans cette tenue, ma chère ! »

La jeune fille semblait de plus en plus perturbée par la situation, et Nigel se souvint que Lolita réagissait aux situations dans lesquelles elle avait l'impression de devoir prouver quelque chose. Autant l'aiguillonner discrètement …

« - Prouve-moi à présent que tu es une ménagère efficace, Lolita ! Tu trouveras tout ce dont tu as besoin pour nettoyer dans ce placard. Commence par où tu veux, mais j'ai besoin de cette pièce – c'est mon bureau, c'est là que je reçois mes patients, et la prochaine arrive dans … ( Nigel consulta sa montre ) cinq minutes. Tu la feras à la fin, ou entre deux clients, si ça ne te dérange pas. Si tu as terminé et que je suis encore en consultation, tu peux faire ce que tu veux en attendant, mais ne regarde pas ce qui est sur mon ordinateur portable, d'accord ? »

Nigel vit que son ton sérieux et le défi implicite dans ses paroles avaient permis à Lolita de retrouver une contenance. Parfait … Voir évoluer la jeune fille en soubrette dans son appartement s'annonçait particulièrement intéressant – en fait, soyons honnêtes, Lolita était en train de réaliser pour lui le fantasme d'un certain nombre d'hommes.

« -Bon courage, Lolita … Ah, oui, et n'écoute pas non plus à la porte, bien sur ! »

Nigel passa dans la pièce qu'il avait pompeusement qualifiée de bureau, riant sous cape et songeant déjà au piège qu'il préparait à l'intention de la jeune fille. Il lui avait laissé deux interdits à briser, et il était sur que sa curiosité habituelle la conduirait bien vite là où il le voulait.

Lolita

Humain(e)

Re : Je fais rien que des bêtises ♪ [Nigel Barclay]

Réponse 2 samedi 23 juin 2012, 01:09:46

♫ Fallait pas m'parler comme ça,
Il est beau le résultat ~ ♫


Lolita ne put retenir un petit « oh ! » surpris lorsque Nigel Barclay lui ouvrit la porte. Jamais elle n’aurait imaginé que ce puisse être le jeune psychiatre derrière la porte. Etait-il l’employeur pervers qui avait exigé qu’elle fasse le ménage en tenue de soubrette ? Elle allait bientôt le savoir, mais elle devait avant tout fuir le regard inquisiteur de la voisine. Lolita s’engouffra à l’intérieur de l’appartement - qui était loin d’être une grande demeure - et laissa son regard errer un peu partout dans la pièce tout en évitant celui de l’intéressé. Elle balbutia un timide « Je ne savais pas que vous étiez mon employeur … » puis expliqua d’une voix hésitante qu’elle viendrait, comme convenu, tous les mercredis après-midi pour faire le ménage et la cuisine s’il le désirait. Et tandis qu’elle parlait, elle remarqua qu’il paraissait tout aussi surpris par sa présence. Sarah avait sans doute omis de lui dire que « Lolita » acceptait de travailler pour lui, ce qui à présent les mettait tous deux dans l’embarras ...
Quoique, tout bien réfléchi, la situation n’avait pas l’air de déranger Nigel Barclay qui reluquait, l’œil appréciateur et le sourire taquin. Lolita se sentit rougir de plus belle, appréciant le compliment et l’intérêt qu’il lui portait, tout en se maudissant d’avoir consenti à porter cet accoutrement. Pourtant, elle ne pouvait pas nier que malgré sa confusion, une part d’elle-même se plaisait à attiser le désir de cet homme plus mûr qu’elle.

Le Dr. Barclay passa aux instructions. Lolita écoutait d’une oreille distraite, occupée qu’elle était à tirer discrètement sur le bas de sa robe qui lui semblait décidément trop courte. Néanmoins, notre soubrette cessa bien vite de s’acharner car la robe descendait effectivement plus bas mais découvrait par la même occasion la moitié de sa poitrine. Lolita décida de se concentrer sur la conversation au moment où le psychiatre lui interdisait de fouiller dans son ordinateur. Aussitôt dans la tête de la jeune peste, l’interdiction se transforma en défi à relever. Qu’est-ce qu’un psy pouvait avoir à cacher ? Il lui intima également l’ordre de ne pas écouter à la porte, ce qu’elle ne comptait pas faire avant qu’il ne le lui interdise. Décidément, tous ces sous-entendus avaient de belles allures de piège, mais Lolita était suffisamment maligne pour ne pas tomber dedans. Ou pas aussi facilement que ne l’attendait Nigel Barclay.
Elle le regarda filer dans son bureau et lui adressa un sourire amusé avant se mettre au travail. Il n’avait pas fermé la porte du bureau, attendant sûrement sa prochaine patiente en terminant son repas. Elle se demandait par où commencer, et trouvait plutôt bizarre de faire le ménage dans une maison qu’elle ne connaissait pas.
D’abord, retirer tout ce qui traînait sur le sol et qui l’empêchait de passer le balai et la serpillère. A en juger par l’état de l’appartement, Nigel ne devait pas avoir de petite amie régulière. Des vêtements traînaient dans les coins, sous le canapé, et elle retrouva même un string en dentelle. Sûrement celui de l’une de ses conquêtes. Avec un petit sourire sadique, Lolita s’en saisit du bout des doigts et le jeta dans la poubelle.
« Je fais rien que des bêtises, des bêtises ♪ » chantonna-t-elle à mi-voix une fois son méfait accompli.

La sonnette retentit quelques minutes plus tard, alors qu’à quatre pattes et les fesses en l’air, elle tentait d’extirper un résidu de sandwich collé sous le canapé. Le Dr. Barclay lui jeta un regard, sans doute pour savoir si elle faisait correctement son boulot - elle sentait déjà qu’elle allait mériter son salaire - et accueillit sa patiente. Ils se rendirent tous deux dans le bureau, et enfin, Lolita se dit qu’elle pouvait faire des bêtises à sa guise. En effet, il ne pouvait pas la surveiller pendant qu’il était en consultation. En tout cas, elle l’espérait.

Il avait sûrement laissé volontairement l’ordinateur allumé. Et bien, puisqu’il semblait vouloir qu’elle fouille, elle allait le faire. Elle prit place et se rendit dans les documents, à la recherche d’un fichier intéressant. Quelques vidéos pornographiques, un peu de hentaï, beaucoup de fichiers professionnels liés à ses patients, des images diverses et variées, rien de très original. Ah, à part peut-être ce dossier dont l’accès nécessitait un code. Lolita pesta contre le psychiatre. Elle n’était malheureusement pas suffisamment douée en informatique pour accéder à ce dossier sans connaître le mot de passe. Et bien tant pis, si l’occasion se présentait, elle lui demanderait de vive voix de lui expliquer ce qu’il en retournait. Lolita était une véritable petite fouineuse et son culot était tel qu’elle n’avait la plupart du temps pas conscience du danger et ne respectait pas les limites qu’on lui fixait. Les gens étaient souvent pris de cours face à cette gamine entêtée, et par conséquent ne trouvaient d’autre alternative que de répondre à ses caprices. Toutefois, ce comportement avait ses limites puisqu’il ne fonctionnait qu’avec les plus crédules.
Lolita se frotta les mains : maintenant, l’historique de navigation. Il n’avait pas été supprimé récemment, et tiens donc, Nigel s’intéressait apparemment à la même chose qu’elle. Lui aussi avait écumé les forums et sites Internet sur lesquels était évoquée cette étrange organisation criminelle. Elle allait enfin pouvoir partager son excitation avec quelqu’un ! 

La jeune fille ré-enfila ses gants, se remit au travail, tria le linge - qui avait l’air - propre, le plia et le rangea, et fourra le linge sale dans le panier de la salle-de-bain. Elle passa un coup de balai dans tout l’appartement puis entreprit de passer la serpillère. Elle n’avait sûrement pas tout rangé mais elle aurait l’occasion de le faire les mercredis suivants. Enfin, l’appartement du psychiatre avait l’air présentable. Lolita récupéra un petit plumeau pour se donner une contenance si jamais le psychiatre avait fini sa consultation et attendit environ cinq minutes sans rien faire.

Elle entendait encore des voix provenant du bureau, et la curiosité l’emporta sur la prudence et la politesse. Lolita s’approcha à pas de loup et tendit l’oreille tout contre la porte fermée. Elle saisit quelques mots qui lui semblèrent bizarrement déplacés dans le cadre d’une consultation chez un psychiatre, des termes tels que « mafia » ou encore « meurtre ». Lolita se concentrait, espérant attraper d’autres mots importants au vol afin de savoir de quoi il retournait, mais avant qu’elle ne puisse réagir, la porte s’ouvrit d’un coup.
Lolita manqua tomber à la renverse, et d’autant plus lorsqu’elle vit le visage surpris de Nigel se transformer en un masque de mécontentement. Elle agita le plumeau contre une étagère à proximité pour se donner une contenance mais renonça, se sentant plutôt ridicule. Lolita adressa un regard tout pantois aux deux protagonistes, et rougit comme une tomate trop mûre lorsqu’elle s’aperçut que la patiente était l’une de ses camarades de classe.


« Oh ! Pardon, pardon ! »

Lolita, honteuse et se sentant un poil humiliée d’être vue dans cette tenue par quelqu’un qui pourrait raconter cette scène dans tout le lycée, se confondait en excuses. Elle alla s’assoir sur le canapé en attendant que le Dr. Barclay congédie sa patiente. Il allait sûrement falloir qu’elle déploie des trésors d’ingéniosité pour parvenir à la faire taire le lendemain au lycée. La honte lui donnait chaud, Lolita aurait voulu disparaître et aussi faire disparaître cette fille.
Oh, et puis ce n’était pas sa faute, voilà tout !

Lolita, les joues rouges, fronça les sourcils et tira la langue au Dr. Nigel Barclay.


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