Une jeune magicienne kidnappée [Sora Krentel]

Sora n'eut pas le temps de comprendre ce qui lui arrivait. Magikya s'était brutalement réveillée, et semblait avoir lancé un sort quelconque. Il sentit en revanche son pénis grossir dans son pantalon, au point d'être à l'étroit dans cette prison de tissu. Mais ce n'était pas la seule chose qu'il sentait de différent. Sa queue de loup lui semblait plus maniable, mais également plus sensible... Il eut un choc en la regardant : à son extrémité pointait un autre pénis de fort belle taille. La magie, cependant, lui réservait une dernière surprise... Sora avait l'impression d'avoir plusieurs bras, mais il ne comprenait pas d'où lui venait ce sentiment... Jusqu'à ce qu'il essaye de bouger ces bras illusoires. L'arbre qui se tenait derrière Magikya réagit aussitôt, suivant les désirs de sa pensée. S'en était trop d'un coup pour le terranide, qui sentit sa conscience se laisser complétement submerger par ce que lui disait son instinct... Et son instinct lui disait de bien profiter de la situation.

Rapidement, il ordonna à l'arbre de se saisir de la pauvre jeune femme, laquelle se retrouva pendue, les bras et les jambes liées par des branches. Néanmoins, à l'inverse des marchands, Sora ne serra pas trop les liens, les ajustant ce qu'il fallait pour qu'elle ne puisse pas bouger, mais sans plus. Puis il l’inclina sur le dos et écarta ses jambes. Pour son confort, il fit jaillir une branche en forme de fourche, qu'il fit glisser au niveau de son bassin pour la supporter, puis il l'éleva à hauteur de son visage.

De là, il avait une magnifique vue sur l'intimité de la demoiselle. Ses grandes lèvres, gonflées par le plaisir, s'écartaient légèrement, et un peu de cyprine s'écoulait de cette fente, glissant le long des cuisses. Sora commença par insérer un doigt dans son jardin secret, et commença à rechercher les zones les plus érogènes de son intérieur. Dans le même temps, il rapprocha son visage et s'attaqua à son bouton d'amour, qu'il dégagea à l'aide de sa langue, avant de le titiller de plusieurs coups secs.

Finalement, il écarta les petites lèvres à l'aide de son second doigt, et engouffra sa langue aussi profondément qu'il le pouvait dans l'orifice. Il se mit alors à lécher vigoureusement les parois internes, stimulant les zones érogènes. Le nectar de la jeune magicienne coulait maintenant à flots, et Sora la sentait convulser. L'orgasme ne devait ps être bien loin...

Ses branches, rudes, s'avéraient dociles et souples à ses volontés. Volonté du jeune homme qui étaient devenues animales, Magikya ne reconnaissait plus son "sauveur", celui-ci la maintenait désormais captive, du moins, jusqu'à ce que la magie s'estompe, mais cela n'était pas pour bientôt.

La jeune fille, presque totalement dénudée, put croiser le regard de ce "magicien" temporaire, il la voulait, il la désirait, elle le sentait, ses doigts en elle, ces mouvements de va-et-vient, elle en ressentait même du plaisir, probablement a cause - grâce - au sort de ce mage noir. Ses mouvements étaient de plus en rapide, en même temps, elle vit son pantalon tomber, laissant place à un sexe prêt à passer à l'acte, à ressentir le plaisir charnel que peut prodiguer une jeune fille d'à peine 17 ans, au corps si désirable, en plein éveil... Le jeune homme allait pouvoir goûter à ce plaisir si tentant que pouvait donner Magikya aux hommes... comme aux femmes.

Sentant Magikya proche de la jouissance, Sora se retira de son intimité. Pour une obscure raison, il, ou plutôt son instinct, ne voulait pas la laisser avoir un orgasme maintenant. Mais il n'avait pas plus l'intention de la laisser souffler. Il se mit à caresser diverses parties de son corps, son ventre, son dos, ses fesses, ... À chaque fois, il s'assurait de maintenir le plaisir à un niveau constant, mais sans la laisser avoir un orgasme. Pendant qu'il la palpait sans vergogne, il approcha ses lèvres des siennes, et l'embrassa avec vigueur, sa langue venant forcer le passage pour aller se frotter à la langue de la pauvre magicienne impuissante.

D'après ce qu'il pouvait en voir, Magikya approchait ses limites. Il était temps de porter le coup de grâce. Sora alla donc sur les seins de la jeune femme, en attrapant un et le massant. Il le porta à sa bouche, et commença à sucer le téton. Dans le même temps, sa main glissa le long du dos de la magicienne, pour venir rejoindre ses fesses fermes. Il glissa ses doigts entre les deux masses de chair, pour venir en enfoncer un dans son petit anus.

Ce corps étranger en elle, que ce soit dans son vagin, sa bouche, et dorénavant son anus, l'obligeait, inconsciemment à fermer les yeux, elle ne pouvait s'enlever de sa tête cette excitation provoquée avec agilitée de la part du jeune homme. De ce fait, elle sentait son liquide de jouissance lui parcourir les cuisses, son bassin se soulever en rythme avec la pénétration de ces doigts... Sa poitirine se soulever alors qu'elle pouvoir voir et sentir la bouche du jeune homme sur son téton, de plus en plus duricit par cet excitation. Son corps réclamait plus, celui-ci voulait être pénetrer avec hardeur et domination, alors que sa tête prenait de la distance l'obligeant, à contre-coeur, à formuler quelques mots dans un souffle, alors même que de la sueur commençait à apparaître sur ses seins, que son visage était rouge... :

"Arrête... Pourquoi ?... Que... Que vas-tu faire ?"

Sora marqua un temps d’arrêt suite à la question de Magikya. Son instinct et sa conscience bataillèrent pour la réponse, et sa conscience l'emporta.

" Hein ? Euh... Je...
Désolé. C'est plus fort que moi. C'est l'instinct, vois tu... "

Justement, son instinct reprit le dessus. Il avait donné du plaisir à la jeune femme, maintenant il voulait prendre sa part. Aussi, il repassa entre les jambes de sa victime, baissant les branches de telle manière que leurs bassins étaient désormais à même hauteur. Sora empoigna son pénis, lequel avait atteint une taille proche de l’anormal pour un être presque-humain. Le sort lancé tantôt par Magikya l'avait fait presque doubler de taille, et la partie encore consciente de lui-même se demanda si une telle masse pourrait pénétrer la jeune femme sans la blesser. Son instinct ne se préoccupa pas de telles questions, et appliqua son gland contre l'entrée de son jardin secret. Il y fit faire un mouvement de va et vient vertical, destiné à élargir un peu l'orifice, et à lubrifier son engin à l'aide de la cyprine qui s'y trouvait.

Alors que Magikya le regardait faire, impuissante, Sora poussa avec son bassin, et lentement, inexorablement, son barreau de chair démesuré pénétra l’intimité de la magicienne. Du fait de leurs mensurations respectives, son intérieur était particulièrement serré, ce qui rendait l'acte difficile, mais procurait également beaucoup de plaisir au terranide. Il ne s’enfonça qu'à moitié, et pourtant il était entré si loin... Il amorça alors de lents mouvements de va-et-vient, haletant et grognant sous l'effort et le plaisir combinés.

La réponse du jeune homme la surpris, avait-il une double personnalité ? Ou bien, le sort du mage était plus puissant qu'il ne semblait l'avoir montrée et Magikya subissait aussi cette "malédiction" de faire naître un plaisir insatiable chez ceux qu'elle rencontrait.

Mais ses pensées furent rapidement ramenée à la scène, le jeune homme était passé à l'étape suivante, la pénétration, chose effrayante lorsque l'on voyait la taille de son "engin", Magikya pensa même à un cheval ! Mais comme pour se joindre aux pensées du jeune homme, les racines vinrent lui écarter davantage les cuisses et des espèces de lianes, dont le contact était plus doux avec sa peau, vinrent se resserer autour de ses seins, les grossissant, doublant l'excitation que pouvait désormais avoir le jeune homme qui commençait à la pénetrer avec plaisir, ses vas-et-viens étaient de plus en plus rapide, Magikya avait pourtant davantage de plaisir, entre autre grâce aussi au sort du mage noir, et de son sexe, pour la dépuceler qui était presque aussi grand que celui de son "sauveur".

Puis Magikya vit la queue de loup du jeune homme se rapprocher d'elle, déja un liquide pré-séminal en coulait, envieux de pouvoir aussi se satisfaire...

Sora appréciait l’intérieur chaud et humide de Magikya. Son pénis executait des va-et-viens toujours plus rapides, et à chaque passage, pénétrait un pu plus loin son intimité. Mais son instinct en voulait plus. Maintenant qu'il était pourvu de nouveaux pouvoirs, et nouveaux membres, il voulait prendre son pied comme jamais auparavant. En conséquence, il créa deux lianes qu'il envoya s'enrouler autour des seins de la magicienne, les serrant suffisamment pour les gonfler, mais pas assez pour sentir la douleur. Dans le même temps, son appendice caudal, jusque là inactif, se réveilla pour venir participer à la curée.

Le vagin de la jeune femme étant occupé par le pénis fort gonflé du terranide, il s'orienta vers le seul orifice disponible : son anus. Il n'avait jamais pratiqué la sodomie, mais se sentait prêt. Son second pénis entra en contact avec le puit secret de Magikya. Il dut forcer l'accès, ce qui n'était guère agréable, mais son instinct le poussait dans cette voie. Il finit par y engouffrer complétement sa seconde queue, et poussa un long soupir d'extase. Il recommença ses va-et-viens, mais cette fois, du fait du plaisir doublé, il sentit l'orgasme approcher rapidement. Il fint par jouir, se retirant à temps pour arroser le corps de Magikya de sa semence chaude.

Sora récupérait de ses ébats lorsqu'il sentit son pénis perdre du volume, tout comme sa queue. Sans doute le sort qu'il l'affectait se dissipait... En réalité, il était loin du compte... Il sentit son torse prendre du volume, son pénis fondre comme neige au soleil... Qu'allait-il lui arriver d'autre ?