Toute chose a du bon, mais ça dépend pour qui.... [Pv Aby]

La mer, même dans ses rouleaux continue, son même thème, sa chasn vide, et tétue. Oui, cette chanson que faisait le va et viens des vagues était monotone, lassante, et incoryablement pénible. Ce fameux trois mat fin comme un oiseau avait beau fendre les eaux, il mettait bien trop de temps à arriver au terme du voyage ! Ils étaient partis dans la matinée d'hier et Liam avait déjà fini d'inventorier sa cargaison. Les cinq grandes caisses qu'il avait fait chargée étaient désormais ouvertes, révélant des cages ou s'entassaient au total, une petite vingtaine de personnes, serrées les unes contre les autres, quatre par cages, comme des sardines, je ne vous parle pas de l'hygiène ! Mais peu importe !

Lui il en avait fini, il y avait des choses qui une fois correctement brisées et maitrisées se révèleraient être de vraies perles ! D'ici là, seules les choses mâles ou femelles le splus solides survivront pour ce trajet qui devait durer encore deux jours. Pffff il en avait marre d'attendre ! Bon, il y avait de l'activité autour, mais il n'allait pas participer aux tâches de manœuvre du bateau, il avait payé assez cher pour en être dispensé après tout !

Parmi le ciel gros couvert de nuage annonçant la pluie, une petite éclaircie le força à rentrer dans l'un des ponts intérieurs qui donnaient sur les pseudo cabines, des compartiment créés à partir de morceaux de toile tendues. Tu parles d'une discrétion !  Non, on voyait que c'était un ancien navire marchand qui avait été reconverti à la va-vite !  Mais peu importait, il se pensait être le seul passager à bord, hormis l'équipage, mais voilà qu'il devait se tromper, il distinguait une ombre derrière l'une des toiles. Il ne se rappelait pas l'avoir vu monter ? Alors qui était-ce ? Un passager clandestin ? Intéressant...

Il écarta la toile pour entrer. Et il fut surpris de se trouver face à une femme !  Que faisait-lle à bord d'un bâteau ? Comment le capitaine du navire avait pu la laisser monter alors qu'en général, les femmes étaient consodérées comme des portes poisses sur un navire pire qu'un Jonas ?

« Excusez moi, mais vous êtes dans ma chambre ! Que faites vous et que faites vous ici au juste ? Je ne me souviens pas avoir demandé ce genre de service avant l'embarquement...

Mais voilà, l'ennui était qu'il était devant la sortie l'empêchant de s'en aller sans avoir à se glisser sous les toiles en les détachant.

« Je croyais avoir payé assez pour être le seul passager ici bord, répondez, que faites vous ici ? »

Abigaëlle voulait depuis longtemps changer de continent afin de changer de vie, on racontait beaucoup de chose sur le nouveau continent mais elle voulait le voir par elle-même.

Lors de l’embarcation, tout le fixa bizarrement, limite avec le sourire au coin des lèvres, mais Abi ne voulait pas attirer l’attention sur elle et fit mine de rien voir.

L’un des matelots qui portait ses petites valises l’amena dans un pont inférieur afin qu’elle soit à l’abri de la tempête qui se préparait. Une fois installée, Abi sortit un livre et commença à lire.

Plus tard alors que sa lecture la passionnée, elle ne remarqua pas l’ombre qui s’approcha de sa soi-disant cabine.

« Excusez moi, mais vous êtes dans ma chambre ! Que faites vous et que faites vous ici au juste ? Je ne me souviens pas avoir demandé ce genre de service avant l'embarquement... »

Abi fit une grimace de gêne mais s’expliqua de suite.

- Excusez moi Monsieur, mais c’est vous qui faites erreur, ici c’est ma chambre, enfin, si on peut appeler ça une chambre…

L’homme ne voulut rien entendre.

« Je croyais avoir payé assez pour être le seul passager ici bord, répondez, que faites vous ici ? »

 Abigaëlle voyait que l’homme n’en démordait pas, et pour ne pas se faire remarquer, elle prit ses affaires et changea d’emplacement le plus vite possible.

- Excusez moi encore du dérangement…

Ah oui ? Elle s'excusait pour le dérangement ? Mais elle se croyait où au juste ? Elle était sur un bateau, elle ne comprenait donc pas ce que le vampir elui avait dit ? Bon, et bien si il fallait se répéter, il le ferait, mais cela l'exaspérait d'avance ! D'ailleurs il en soupira avant de la retenir d'une main sur l'épaule, ferme et forte, elle ne se déroberait pas !

« Mais justement, je ne vous excuse pas le moins du monde, vous vous permettez de venir dans mon lieu de vie temporaire, sans aucune inveitation, pis encore, vous osez prétendre que j'ai pu me tromper !  J'avais payé pour être le seul passager à bord, alors cela voudrait-il dire que mademoiselle est une resquilleuse, une passagère clandestine ? »

Ça tombait bien, il avait exacteme,t ce qu'il fallait pour ce genre de personne, une jolie petite question à choix multiple !

« C'est très simple non ? Alors si vous n'avez pas compris, je vais être on ne peut plus clair, en utilisant des termes plus simple : Vous avez trois possibilités : vous sautez du navire pour le quitter instamment, vous rejoignez la cale et vous restez avec ma marchandie, ou vous me servez de casse-croûte illico presto, vu ? »

Il soupira et la fixa droit dans les yeux. Attendant sans doute sa réponse avant de rajouter :

« Et au passage, vous n'avez pas répondu à ma question ! Qui êtes vous ? »

- Abigaëlle Blanche, esclave maudite.

Abi put retenir la suite de son message, elle ne voulait pas tout lui avouer afin qu’elle était cette malédiction qui l’accabler.

Abigaëlle se dépêcha de faire au plus vite pour ressembler ses objets et partir de la pièce afin d’éveiller les soupçons.

- Pardon de vous avoir déranger…

Esclave maudite, qu'entendit-elle par là ? Et si elle était esclave, ou était son maitre, ou a maitresse ? Trop de questions qui restaient sans réponse à ses yeux, aussi ne se dérangea-t-il pas pour la retenir à nouveau, quitte à la poursuivre un peu pour l'attraper par le bras, il n'en avait pas fini, aussi lui dit-il :

"Une esclave donc ? Alors où est ton, ou ta, propriétaire ?"

Si il ou elle n'était pas là, il la mettrait avec les autres et hop, elle passerait dans sa marchandise, ni vu ni connu... il ,n'allait pas sauter sur l'occasion.

"Si tu es une esclave, alors tu sais que toute chose doit connaitre le sens du mot respect. Quand on s'adresse à quelqu'un d'autre, une chose s'incline, au moins. Tu ne mérites pas de me parler d'égal à égal, qui que soit ton propriétaire, quelle que soit son influence !"

Il soupira et l'attira vers lui pour que son visage soit à portée pour la gifler, punition méritée pour son comportement, son propriétaire comprendrait tout à fait ce genre d'acte, c'état la moindre des choses dans ce genre de cas !

- Tinuviel Lastrim est ma Maîtresse.

Abigaëlle sentait qu’elle perdait le contrôle des échanges et d’ici peu, elle allait être découverte.

L’homme commençait à s’énerver et devenir menaçant par moment, Abi chercha une sortit favorable à cette situation qui devient pesante.

- Pardonnez moi, je vais me retirer immédiatement.

Alors qu’elle se retourna, elle avait oubliée une règle essentielle… Ne jamais tourner le dos à un inconnu.

Erreur...double erreur même, déjà parce que depuis leur dernière rencontre il ne pouvait pas encadrer Tinuviel, mais en plus elle lui tournait le dos, trop facile, beaucoup trop facile ! Il sourit, il avait l'occasion de lui faire une crasse avec sa propre esclave !  Elle ne la reverrait jamais, ça c'était certain ! Maintenant qu'il était tombé là dessus, il ne la lâcherait plus du tout !

Et voila qu'elle lui tournait le dos, il le saurait si cette putain à qui il aurait bien ôté la moindre parcelle de peau à main nue était à bord. Elle était donc à sa merci et elle lui tournait le dos qui pus est !  Adieu liberté temporaire et bonjour maitre Eckart.

Il la saisit par la nuque et commença à doucement serrer. Comme si il avait l'intention de la broyer jusqu'à lui briser les cervicales, mais là n'était pas son objectif !

"Si tu te débats, je t'écorche vive !"

Il préféra prendre de l'autre main son poignard, et il découpa ses vêtements pour mettre la peau à nue, pour la taillader, inscrivant en lettres vermeilles sur la peau qu'il avait découverte, le nom de Liam Eckart.

"Tu ne reverras jamais cette garce, et tu vas me permettre de finir de me défouler en imaginant que c'est ta maitresse qui est à ta place !"

Il la lança contre la paroi la plus proche.

"Dis bonjour à maître Liam Eckart, ton nouveau propriétaire !"

Alors qu’elle posa sa main sur la poignet de porte et sentit une emprise sur sa nuque avec une pression énorme, l’esclave sentit ses os se tordre tellement l’emprise était extrême.

Abigaëlle commença à ses débattre mais un ordre fut prononcé et Abi s’arrêta net de gigoter.

- Lachez moi par pitié…

L’homme annonça ses intentions, alors il était en guerre avec la Maitresse d’Abigaëlle, quelle chance…

Elle entendait le craquement de ses vêtements et tout de suite après une douleur lancinante se fit sentir dans son dos, il écrivait quelque chose sur sa peau. Abigaëlle hurla de douleur, le sang coulait à flot sur ses pieds.

Blanche voulait se dégageait mais elle fut envoyée de l’autre coté de la pièce et s’écrasa sur la paroi du bateau.

Abigaëlle essaya de se redressait mais elle était très très blessée au dos mais doucement, la douleur baissa et disparut après quelque seconde de repos.

La pitié ? Lui ? Avoir de la pitié ? Il en aurait pour elle de la pitié, autant qu'il en aurait pour n'importe qui d'autre, n'importe quel autre casse croute, n'importe quel autre victime de ses soins.

"C'est quand même amusant de t'netendre hurler !  Je me demande pourquoi je devrai arrêter...hum, peut être que si tu me montrais ta dévotion, cela passerait tout seul...."

Il sourit avant de s'approcher d'elle et de s'agenouiller pour se mettre à sa hauteur, puis il lui caressa la joue avec douceur avant de très lentement, la saisir par les cheveux et lui maintenir le menton levé histoire qu'elle expose sa gorge, gorge dans laquelle il mordit violemment , sans avoir l'intention de boire, non, il mordit sauvagement sa gorge, ratant volontairement la jugulaire.

"Dommage que tu ne te débattes pas, j'aime quand on m'oppose de la résistance, et bien vas y, esclave, résiste moi !"

Il sourit en se mettant à jouer du poignard sur sa peau.

"Et maitrise tes cris, sinon, tu le regretteras le reste de ta vie....mais dis moi, tu as dit esclave maudite, développe ça intéresse ton nouveau maitre, d'ailleurs qui est ton maitre, esclave ?"

Liam avait compris le principe, elle ne bougeait pas.

- Ma malédiction me donne le pouvoir de guérir immédiatement et donc me rend immortelle et je suis forcée d’obéir à tout les ordres.

Le vampire mordit au coup mais juste par plaisir et non pour boire son sang. La plaie resta béante mais elle se referma doucement alors que l’homme continua à scarifier la peau d’Abigaëlle qui se mordit la lèvre pour s’empêcher d’hurler.

Mais se fut plus fort qu’elle, et les cries repartirent aussi tôt.

Il sourit, se délectant des cris de la jeune femme.

"Je sens que tu vas regretter d'avoir connu Tinuviel Lastrim ! Car tes pouvoirs sont d'un grand intérêt pour moi, comme souffre douleur, comme faire valoir en tout genre, mais tes facultées de guérison m'ennuie, tu ne gardes jamais de cicatrices ni de marques....je me demande si je peux t'empêcher de cicatriser..."

Il sourit alors qu'il lui disait à nouveau, tout à fait posément.

"Mais d'abord, je vais t'écorcher vive !"

On sentait poindre dans sa voix un ton presque jubilatoire alors qu'il dessinait un petit rectangle d'environ deux pouces de largeur et cinq de long, mais il ne le ferma pas  et se contenta de laisser la figure inachevée, omettant l'une des largeurs. Avec lenteur, il décolla du couteau un angle  dudit rectangle, et le saisissant entre deux doigts, il tira d'un coup sec.

Quand le vampire tira sur le morceau de chair, Abi hurla et pleura mais cette fois ci, la peau ne cicatrisa pas, étant donner que le morceau était toujours proche du corps. Le sang coulait et forma une flaque de sang.

- Pitié stop, Maitresse Tin va venir me chercher…

Les yeux d’Abigaëlle commencèrent à convulser et elle se sentait partir. Mais une ordre était donnée, elle devait se battre et se défendre.

- Je veux que vous me laisser tranquille…

Abi repoussa Liam d’un coups sec et repartit en courant vers la porte...

Pauvre choupette, elle n'en pouvait déjà plus...si elle avait de tels dons, Liam s'était attendu à une meilleure résistance, elle aurait du en avoir l'habitude ! Dommage.

Elle avait beau le repousser, il savait qu'elle ne pouvat rien et parce qu'il avai donné cet ordre, il s'offrait un avantage, lui montrant que même en se défendant, elle ne pourrait rien contre lui, elle ne pouvait plus échapper à l'inévitable...

Dégainant sa seule arme, un fouet, il le fit claquer avant dese lancer à la poursuite de son esclave, qu'il eut tôt fait de rattraper, tant donnée la vitesse dont il pouvait faire preuve, vampire oblige...

Il la fouetta de manière à attraper son pied avec cette arme, et en tirzant un coup sec en arrière, il voulait la faire tomber et s'approchant d'elle il lui dit :

"Et alors, on a menti sur la régénération ?"

et ce faisant il la forçait à se mettre sur le dos et il s'asseyait sur elle, approchant la lame de son oeil, et, lentement, il l'énucla, juste d'un oeil, le faisant juste sortir de sson orbite avant de tirer sur le globe oculaire demanière à ce qu'il pende assez pour la suite.

Il lui pinça le nez pour qu'elle ouvre la bouche et y fourra l'oeil alors qu'il était encore relié par le nerf au reste du système neuronal, et du système nerveux; Elle allait se faire souffrir elle même....

"Mache bien et mange le !"

Abi mâchouilla son propre œil, la douleur était insoutenable et elle repoussa encore une fois son assaillant, mais après avoir cligné des yeux très fort, elle récupéra son œil.

La maudite arriva contre la porte et elle frappa comme une dingue afin qu’on vienne l’aider rapidement.

- AU SECOUR !!! SORTEZ MOI DE LA !!!

Abigaëlle Blanche longea les murs afin d’être le plus loin possible de Liam qui commençait vraiment à prendre son pied en torturant Abi.

- Je ne veux pas te servir espèce de salaud.

Abi sortit un couteau de sa poche, une dague donnait par sa Maitresse, on y voit ses initiales.

Vouloir le servir ? Mais pourquoi s'attacher à de tels détails ? Il ne voulait pas non plus avoir des esclaves désobéissantes et pourtant, ça lui arrivait, on avait pas toujours ce que l'on voulait dans la vie, c'était ça la triste réalité des choses ! Tout simple cette idée, non ? Et bien voilà, elle allait comprendre cette règle immuable de l'existence.

« Trop tard ! Couché ! »

Oui, un nouvel ordre, c'était amusant de la voir se forcer à se plier à ses ordres, il sentait clairement qu'elle n'avait aucune envie de le faire, mais elle le faisait quand même, aaaaah, c'était beau, il adorait tout ça !

« C'est une jolie dague je trouve, n'es-tu pas d'accord ? Allez, donne le moi ! »

Et c'est ainsi qu'il continuait à s'amuser, prenant le couteau, il  lui tint le poignet et  lentement, avec des mouvement volontairement délicats, comme si il voulait le faire le plus lentement possible, il commença à entailler la chair du poignet, continuant en lui intimant l'ordre de ne pas émettre un son avant qu'il ne lui en donne la permission.

Il continua sa besogne jusqu'à attaquer l'os. Utilisant sont propre couteau, il entailla le bois pour avoir de petites échardes qu'il  laissa dans la plaie pendant la cicatrisation.

« Mainenant, tu as un nouvel ordre très simple, tu dois rester dans mon champ de vision quel qu'un soit le prix, si tu dois te couper le bras, t'arracher toute la peau, ou autre pour le faire, ne te genes pas, et fais le ! »

Ce faisant il abattait son couteau en travers de la main, entre les os pour la clouer au sol.

« Et si on te demande qui tu es, tu diras bien que tu es ma propriété, que j'ai tous les droits sur toi et que personne n'a le droit de te toucher, sauf pour te blesser avec ce couteau !  Compris ? »

Il lui rendit son couteau avec un sourire en coin.