Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Les écureuils devraient rester perchés dans les arbres... [PV kokoro]

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Khaléo

Terranide

Les grandes paluches puissantes de l'incube attrapent le tour de tes cuisses, enfermant celles ci autour de ses doigts fermement imprimés dans la galbe musclée de tes jambes, surélevée dans les airs, ses mains vont t'aider à "glisser" de haut en bas sur la longueur de sa bure aux proportions minotauriennes, chevalines, te râpant les parois internes, plus dure, plus tendue, plus abrasive, haan ♥ presque comme du foutu papier de verre te brûlant la chair, ça gratte bien ♥ ça ramones dur, ton pauvre anus tournes doucement du rouge carmin, au violet, comme si sa chair était fatiguée, enquilosée, essouflée de se faire buriner.

Et c'est bientôt la même chose pour ton vagin, qui lui, passe de sa couleur rose au rouge, le pourtour de ton anus, et même une partie de tes fesses rougeoie, gercés, irrités, par les frottements répétés, tu n'est plus qu'un pantin de chair, comme tu l'avais rêvé, un trou de chair moite gémissant sous le coulissement perpétuel de deux énormités te transcendant du cul à la bouche, la longueur de sa queue démoniaque, eux fois plus longue que ton propre corps, glisse rapidement de haut en bas, sur tes dents, tes lèvres, tu peux sentir toutes les excroissances rapeuses et tendues, rebondir, t'irriter là aussi la langue, la gorge, et ces lèvres de plus en plus rouges carmin, c'est une baise d'une étonnante vivacité, d'une furie innomable, le démon déchaine ses enfers sur ton corps, qu'il adore, sinon il n'irait sûrement pas si "loin" en tant qu'être démoniaque, soumis uniquement à ses pulsions.

Qu'il laisse s'exprimer, maintenant c'est encore mieux s'il peut te pousser un genoux au centre du dos, t'arquant au maximum de ta souplesse vers l'arrière, tendant la peau de ton ventre et, t'arquant si fort, que ton visage est maintenant presque en face du sien, tandis qu'il continue l'inlassable travail d'écartélement de ton corps, d'assouplissement forcé, tu es à lui, il sort ses canines, ses dents de sabre, il rippe à nouveau la peau de ton cou, et se dirige vers ton trapèze, plantant petit à petit ses longues dent de sabre dans celui ci, tandis qu'il s'éxécute, qu'il te mord, il y va encore bien plus fort que précédement, était ce seulement possible ? Oh oui... La façon dont il te culbute, te pistonnes, n'a plus rien d'humaine, les allés retours sont si rapides qu'on entends claquer son muscle pubien très rapidement sur l'entrée de tes lèvres, ses bourses aussi, irritant et blessant finalement ta chair.

Un peu de sang, quelques filets, coulent le long de ses appendices plantés dans tes trous un peu trop gourmands, rajoutant à nouveau, une touche montante, lancinante, de douleur mêlée au plaisir, l'odeur du sang le rend dingue, il adorerait pouvoir y goûter à la source, mais pour l'instant il te défonce en grognant comme un animal, griffant tes cuisses en leur laissant quelques sillons rouges à la surface de la peau, pétrissant tes seins pour percer tes tétons avec le bout pointu de ses griffes, les malmener, te larder de très fines griffures perlant un peu de sang.

"-L'enfer ? Non, c'est encore très loin d'être ça ma jolie... ♥ La prochaine fois... tu ne me supplieras plus, hmrr ?"


Kokoro Myako

Terranide

Il vas et viens dans son corps le déchirant, le faisant exploser, non il tiens encore mais la douleur monte de plus en plus, c'est douloureux, la moindre partie de son corps semble comme passé au papier de verre mais cela n'a aucune importance,c'est une bonne douleur, c'est le genre de chose qu'elle adore, elel a le plaisir avec la douleur c'est dans la logique des chose que de sentir cela.

Ces lèvres toute ces lèvres lui font mal, elle semble comme peinte de rouge, elle sent que bientôt le sang vas couler, mais elle s'en fiche, c'est si bon.. Si ... En fait elle a l'impression d'avoir sombrer dans un enfer de plaisir et de douleur, un enfer avec des gout de folie.

Pourtant sa langue bouge dans sa bouche se frottant un peu plus contre la queue du monstre, elle n'a pas peur, seul l'envie de le satisfaire semble naitre dans son corps, elle veux qu'il l'emplisse de son foutre qu'il lui donne la petit mort, elle ne sait pourquoi elle ne s'est pas encore évanouies mais son esprit ne cesse de rester vivant, de sentir la douleur le plaisir..

Cambrée au maximum, elle poussa un grondement il tire encore un peu et son dos se briserais ca c'était une blessures qu'elle ne pouvait soigner. Ces dents sur sa peau, un frisson d'envie parcours son dos surtout quand elle sent ces dents entré dan sa peau, dieu que cela fait du bien... Vraiment du bien... Il vas la dévorer comme la proie qu'elle est.. Doucement la jeune femme gémit son bruit ne peu résonner ces son étouffer par le plaisir de la queue dans sa bouche.

Le sang coule de son corps, mais elle s'en fiche, la jouissance est tellement presque continue a présent dans le corps de la jeune femme ne la laissant pas en paix, ces couinement étouffer se font gémissement long sans discontinue...Comme un râle de plaisir qu'elle ne peu interdire qu'elle ne peu ralentir.

Elle aime sentir ces seins percer par ces griffe, se corps lui appartiens elle n' a plus rien a décider juste a savourer et a souffrir, un enfer au allure de paradis de la luxure et de la folie.. Se laisser aller, son corps se détends se retendant en rythmes....
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Khaléo

Terranide

La baise démoniaque poursuit son cours, plantant désormais ses dents, de l'autre coté, sur son deuxième trapèze, ses deux sexes semblent n'être plus que deux tisons chauffés à blanc, deux gratte chair abrasifs, eux coulées de lave en fusion lui ramolissant, lui attendrissant la chair, tel d'énormes macarons barbelés de pointes défonçant goulument la moindre parcelle de chair, organe, si déboussolés, entrechoqués entre eux, que tu en as la nausée, ton coeur loupe même quelques battements quand sa bure percute ton diaphragme, pour "choquer" ton coeur, qui, s'arrêtes presque à chaque fois qu'un coup de soc violent pousse le bout de son gland gros comme un de ses poings fermé, frappe littéralement tes organes.

La fureur du démon semble instoppable, tes orifices commençent, à doubler de volume tant ta chair est solicitée, ils suintent, gercés, et, commençent même à saigner, mais bon dieu, il n'en à rien à foutre dans l'état de furie, de rage insonable dans laquelle il se trouve, ce n'est presque plus de l'amour où même de la baise mais bien de la torture à ce niveau, la douleur ayant atteint un seuil presqu'égal au plaisir désormais, et c'est bon de te sentir te cambrer, ta chair contractée tantôt par spasmes de plaisir puis de douleur mêlée, Rhâââa... ♥

Et que je te défonces, inlassablement pendant d'interminables minutes, tes membres commençent à perdre toute leur vigueur, leur tonus, leur envie combattive, ton corps aussi n'est plus qu'un long tube de chair ramolie, irritée, lustrant ses deux lances, ses deux poutres à pointes, pointes qui deviennent encore une fois plus dures, érigées et, qui finissent par tenir presque "droites" en perdant de leur souplesse, le regard, les yeux de ton démon deviennent plus fins, ses pupilles ne sont plus que deux fines lames tranchant le blanc complet de ses yeux, un sourire machiavélique , sadique s'élargit, sur ses lèvres, un sourire d'un psychopathe en quelque sorte.

Et ça dure... putain... ça dure... haah... tant et bien que la peau autour de tes orifices se mettent elles aussi à suivre le mouvement de pénétration, prouvant qu'elles sont meurtries à leur tour, quelques hématomes s'étendent autour de tes lèvres, sur ton ventre, et ton postérieur, tu as l'impression que tu vas être déchirée si ça continues, mais tu ne peux mal, ton corps est bien plus résistant que tu ne l'imagines, haah ♥

"-Encore... Encore ♥ Encooorrre... MRrrawRrrr ♥"

Rugit il, alors qu'il te remplit d'un foutre bien plus souffré que précédemment, ranse et brûlant, uniquement du au fait qu'il ait laissé sortir son "démon", ça gicles de partout, le foutre est de couleur blanc cassé vers le rose, avec quelques filets rouges de sang, qui dégoulinent autant par ta bouche que par tes deux autres orifices, comme si ce n'était pas déjà assez fort comme ça, ses deux grosses paluches t'empoignent la taille, etl e ventre, le comprimant autour de ses deux appendices en te soulevant et te rabattant sur eux, bien fort, bien profondément, se servant de toi comme d'une espèce d'objet servant littéralement à se masturber, et à la vitesse à laquelle il le fait, tu as l'impression de n'être plus qu'un jouet très léger et facile à manipuler entre ses putain de grosses pattes, il se plait à se pencher légèrement sur le coté de ton visage, et te murmurer à quel point il aime te voir déglinguée de plaisir, mais également souffrir pour lui, c'est un démon après tout ♥

Il t'empales, assis sur une souche d'arbre, jambes écartées, sexes dressés, l'un d'eux ressortant par ta bouche, droit, et haut, comme si tu étais plantée sur un gros étendard, ou embrochée sur une lance, tu coulisses de haut en bas, un peu plus lentement désormais, il reprends son temps, il redevient un peu plus doux, mais c'est pour mieux apprécier tes chairs attendries, tes forces sappées, ta quasi absence de volonté, il presse tes seins, et, en fait remonter un vers sa bouche, dont il perce le téton avec ses dents, suçant un peu de sang à travers ce dernier, grignottant celui ci en y laissant de belles marques avec ses dents.

"-Tu as fait l'erreur de vouloir m'appartenir... Tu ne peux plus qu'en subir les conséquences... ♥ Aaah... pauvre de toi... Est ce doux, l'enfer ?"


Kokoro Myako

Terranide

Cet  être possède totalement son corps, se jouant même de son organes principales, enfin après son antre humide bien sur .. Il donnait des sursaut douloureux a son corps ce qui la laissait plus que palpitante, ces poumon peinait même a reprendre leur souffle. Ces yeux semble fou dans leur orbite ne sachant plus ou aller, ni quoi regarder, il bouge, sans jamais plus se stopper...

Sa chair est si douloureuse, elle n'a jamais connus t'elle douleur et pourtant elle ne ressent aucune peur, aucune terreur, juste un plaisir aussi grand que la douleur, elle ne sait combien de temps il lui faudra dormir pour se reprendre, mais qu'elle importance.

Si cors se cambre raidit, pousser par un instinct qu'elle ne connais pas, par une soif de vivre qu'elle ne se rappelait pas avoir... Poupée de chair, poupée de chiffon entre ces doigts la jeune femme sait qu'elle a enfin trouver un maitre, un être qui pu la dominer totalement.

Tous cela ne semble pas avoir de fin, qu'importe de toute façon elle n'est plus que sa poupée, son jouet de chair.. Plus rien ne compte que de pouvoir le satisfaire qu'importe que son corps saigne qu'il aille de multiple blessures, elle guérira....

Un grondement lui échappe alors que le foutre se répandant dans son antre, emplissant son vagin, le faisant gonfler un peu plus, ressortant le long de sa verge, son utérus ne peux tout contenir, la jeune femme a l'impression qu'un liquide tellement chaud se répands en elle, qu'elle en jouis encore une fois son corps tremblant, se contractant encore une fois... Plus faiblement, mais encore assez fort...

elle sent le foutre le sang se mêler, mais elle ne pense plus, elle subit simplement, elle se fiche de tout sauf des sensation qui ravage son corps, corps qui n'est plus qu'un jouet ... Que sensation...  La queue de la jeune femme pend doucement sur le coté agitée de soubresaut, suivant le rythme de son corps...

Un petit hoquet la traverse a sa morsure, tiens elle pourra porter un tatouage comme elle l'avait voulut. La jeune femme est tendus, puis détendus, son corps savourant chaque geste de l'homme, ces yeux révulser ne semble plus rien voir, en fait elel ne voit plus les brume du plaisir et de la douleur envahisse le moindre de ces pensées.. Elle n'est plus humains, même plus animal, elle n'est que jouet son jouet...

« Hnanhmmf.. Oui...Non... »

Oui et non des mots qu’elle laisse échapper étouffer par la queue toujours dans sa bouche, par ces lévres sanglante... du sang coule de sa bouche sur ces seins sanglant.. Qu'importe qu'elle soient ainsi marquée elle aime beaucoup ce plaisir.
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Khaléo

Terranide

Le démon s'amuse, apparemment beaucoup, tu l'as voulu tu assumes, et plutôt bien, il doit l'admettre, A ton oreille il te le murmures, d'une voix dédoublée, incubique, anormalement suave et envoutante, invitant à la débauche la plus totale et extrême :

"-Tu adores ça apparemment, quelle magnifique petite salope tu fais, mais regardes toi ♥..."

Doucement, il te retournes sur lui, et, laisse sa "queue" démoniaque redescendre un peu, dans le bas de ta gorge au lieu de te sortir complétement de ta bouche, il est toujours un peu plus doux dans ses mouvements désormais, c'est un peu comme si ses propres sexes absorbaient le sang qui coule de tes gerçures sur le pourtour de tes orifices, il te retourne pour que tu lui fasse "face", dans ce mouvement, tu sens ses deux sexes "tordre" tes boyaux, à la limite de la rupture, mais c'est maitrisé, contrôlé, il sait jusqu'ou il ne doit pas aller pour te blesser mortellement.

"-Tu es belle... Qu'est ce que tu es belle, autant dans la souffrance que la jouissance..."

T'admires, ses magnifiques yeux voyagent sur ton corps, tes yeux, ta bouche joliment rougie, lèvres gonflées elles aussi par l'irritation, les frottements, han ♥ le tigre qu'il est ne peut s'empêcher de vouloir y gouter, plissant son regard, il goûte, mord tes lèvres avec les siennes, des sons de déglutition sont produit par tes deux "trous" béants, entrouverts, chariés et travaillés lentement désormais, c'estl ent mais c'est tout aussi intense, puisque lorsque c'est tro prapide tu n'as presque plus le temps de sentir chacune de ses pointes te racler la chair, là, à nouveau tu as tout le loisir ♥ d'apprécier...

Il te grignottes les lèvres, les pince entre ses dents, ne les perce pas mais, les racle, les bouffe, avant de t'embrasser profondément, une foutue longue langue encercle la tienne, comme un serpent autour de sa proie, il "branles" ta langue avec cet apendice rugueux et râpeux, ses doigts quand a eux écartent tes fesses, les malaxe, les rassemble en leur milieu, les griffes, les broie presque entre ses paluches, il te colle au corps, ses abdominaux fermes te compriment le ventre, te forçant à ressentir toute la puissance qu'il détient encore, inépuisable, dans son corps, et il ravales, suce et aspire, goute ton sang à travers ta bouche, tes lèvres, ta langue blessée, tu es sa petite proie, et doucement, mais sûrement, il te dévores ♥ il te dévores de l'intérieur, et de l'extérieur.

"-Hmmrr... tu aimes être mon festin ?"

Tu as le loisir de répondre, du moins, si tu le peux encore...


Kokoro Myako

Terranide

Elle une salope, la jeune femme rougit doucement, enfin elle aurais voulut le faire elle savait qu'elle couchait avec n'importe qui mais elle ne se pensait être une salope, c'est vilain comme mot. Non elle ne voulait pas se regarder, elle avait peur de se regarder. Peur de voir l’état de son corps, de son esprit elle réfléchirais a tout cela après, plus tard.. Quand tout serais fini, et elle verrais ce qu'elle est vraiment. Un instant elle sent l'air entré plus facilement.. C'est agréable de sentir sa queue descendre un peu lui laissant la possibilité d' haleter, de couiner a loisir...

La jeune femme frissonna un peu plus quand il la tourna littéralement, sentant sentant les membre tourner, ces piques gonfler la frottait encore plus c'était un sensation étrange, mais elle ne trouvait plus la force de se dire que cela pouvait être dangereux. Les yeux de la jeune femme avait réussis un instant a se fixer dans le regard de l'homme, les sensation était encore plus fort que quand il la bastonnait de son chibre.

Plus lent , ces mouvements lui faisait sentir la moindre parcelles de son chibre, sa mouille mêlée a du sperme coulait le longs de ces cuisse, la rendant plus folle qu'elle ne l'était déjà. Sa bouche sur la sienne, si douce sur ces lèvres maltraitée, c'est agréable comme sensation, agréable de sentir ce genre de chose sur elle. Sa bouche est si forte comme le reste de son corps.. C'est avec plaisir qu’elle entortille sa langue douloureuse autour de celle rappeuse de l'homme, mêlant sa salive a la sienne, son sang au sien...

Comme elle joui presque a sentir ces mains la malaxer, sans savoir comment la jeune femme trouve la force de lever ces bras de venir en douceur mêler ces doigts tremblant au mèche de ces cheveux, les caressant doucement, s'y agrippant comme a une planche de salut quand elle sent trop le membre en elle. Ces doigts viennes caresser le coup de l'homme, caressant doucement, tendrement alors que sa bouche laisse échapper des couinement faible mais emplis de douleur et de plaisir...

Ces jambes aussi s'enroule autour du corps de l'homme s'y accrochant de toute ces forces épuisée, l'étreinte n'est pas vraiment forte mais elle est la présente, montrant qu'elle aimait que l'homme la dévore la croque, la dévore de  tout les coté.

« O..o..oui. »

La voix est sortie murmure presque inaudibles, a peine un souffle qu'elle a tirer du fond de sa gorge fatiguée, sanglant, d'ailleurs l'on peu voir un peu de sang couler le long de ces lèvres... Pour tomber en douceur sur le torse du démon... D'elle même sa bouche reviens prendre celle du démon, d'elle même sa langue viens chercher l'autre, dans un baiser qu'elle veux passionner dévorant, ces mouvements de hanche deviennes plus lent si fatiguer... Ces doigts se mêle dans c'est cheveux s'y accroche, leur tirant doucement dessus alors qu'un de ces mains viens lui griffer en douceur  l'une des épaules, alors qu'elle se crispe sous le plaisir, la douleur, jouissant encore sans le vouloir vraiment,...
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Khaléo

Terranide

Encore... encore... ta lumière est si délicieuse à absorber, tu en possèdes tellement, tu es toujours, toujours remplie de cette lumière qui, apaise les douleurs de l'âme du démon qu'il est en ce moment, c'est sans doute pour ça, que c'est devenu, plus doux, presque tendre, une tendresse démoniaque, certes, tes lèvres dilatées, boursouflées, moulent chaque aspérité des verges qui te bourrent le corps, si lentement, si passionnément désormais, comme si la tempête était passée, hmmm...

Mais les mouvements de pénétration ne s'arrêtent pas pour autant, ils sont juste, plus complexes, plus dansés, roulés de ses hanches, que c'est beau de voir ton corps meurtri de plaisir, ton corps bien rempli, haaah ♥ le mélange nauséabond de son foutre, ta cyprine, et ton sang, se répand sur tes cuisses, et les siennes, ça frottes, ça pince, et ça grattes, ça te grattes l'intérieur du corps, les pointes de chair ont tant et si bien goûté à tes parois, après près d'une heure de labourage, de besogne intensive, qu'elles ont creusé, modelé des sillons sur tes parois internes, mais tu ne capitules... jamais.

"-Laaa... détends toi..."

L'amour... de l'amour, vraiment... vraiment... un peu, quand même, dans ce toubillon de tourments, il laisse ses doigts pénétrer ta chevelure à son tour, te graffigner la surface du crâne, et, rendre justice à ton baiser en étant d'une infinie douceur et tendresse, tu l'encercles avec tes jambes, tu le griffes, et il se cambre un peu lorsque tu lui portes ces attentions, tu es épuisée, et tu n'as plus supplié depuis longtemps, alors il s'étends avec toi dans les herbes, se laissant enfin "sortir" de tes entrailles, "-shuuut... shuuut..." il le sait.. tu n'as pas envie qu'il te quittes, tu as envie de plus, toujours plus... encore plus... Peut être même, un peu trop, n'est ce pas, ça pourrait devenir dangereux, il ne connait pas assez bien tes limites, puis tu as déjà perdu assez de sang...

Sang qui lui montes à la tête, quand il t'étends sur le sol, avec lui contre toi, il glisse, doucement, sort de ta ligne de vue, tu peux sentir son corps huilé par la sueur glisser sur ta poitrine, ton ventre, ses lèvres poser quelques baisers sur ta peau, avant d'aller flatter tes lèvres rougies, violettes, gonflées à souhait, hmm, le "repas" est servi, n'est ce pas ?

Rhaââ quel salaud, foutu tigre, adorant que trop la chair, vivante, bien vivante, les lèvres de ton vagin sont étonnamment pulpeuses désormais, lèvres qu'il embrasse, puis sur lesquelles il se plait à laisser trainer cette foutue langue, récoltant le sang la cyprine et les suintements qu'elles secrètent, ronronnant comme la saloperie infernale qu'il est, il se fait plaisir, là, autant à son démon qu'a la saloperie de bête régalienne régissant ses envies primaires, bestiales, de tigranthrope, le tout bien dosé et mélangé pour donner ce résultat, machouillant tes lèvres gonflées entre ses dents acérées, qui les picotes, les grignottent, les lèches et, ralèchent jusqu'a ce que sa salive comportant des vertus désinfectantes, Mais c'est bon, Oh p'tain... C'est bon, si bon qu'il en prendrait bien un morceau, là, tirant sur le bout de ton clitoris en le roulant entre ses dents, mais ça serait du gâchis de te faire ressentir une douleur pareille maintenant...

Il continues, ondulant comme un serpent, enfonçant sa langue dans tes profondeurs blessées, récoltant tout ce que tu peux lui offrir, ton corps étant une offrande à son appéttit, sa proie, son repas, les chairs dilatées et, distendues de tes orifices, de tes parois ventrales internes, fondent presque littéralement sous le passage de sa langue ♥ une foutue langue triffouilleuse, une mâchoire, grande ouverte, puissante, avec une envergure d'ouverture buccale monstrueuse, te pressurisant toute la surface des lèvres pour les suçoter avidement ♥

Kokoro Myako

Terranide

Se détendre, les doigts de la jeune femme ne cesse de se crisper sur les cheveux du démon, elle ne pensait a rien, juste a sa voix, qui lui paraissait si étrange, mais tellement douce.. Un démon a la voix, douce ?? Étrange mais pas tant que cela. Étrange aussi de sentir sa bouche si douce contre la sienne, et étrangement elle adore autant cette danse que le reste.

La fraicheur de l'herbe la troubla un instant comme le fait qu'il se retire d'elle... La jeune femme ne put s’empêcher de laisser s'échapper un gémissement de dépit, mais ou se mêlait aussi le soulagement, encore une fois elle fut déchirée entre deux sentiment, deux envies.

Il glisse sur son corps fatiguer, qui ne peux plus lutter, juste le sentir, juste savourer se moment presque tendre qu'il lui offre, les yeux clos, la jeune femme se laisse complétement aller, ces muscle continue a tressauter, alors que déjà ces entrailles travailles a se remettre...

Sentir les lèvres, la bouche du tigre sur son intimité, la fait gémir, comme le ferais une bête sur le point de rendre son dernier souffle, pourtant son cœur continue  battre sans manquer un seul battement. C'est agréable et étrange chaleureux comme caresse en fait elle a l’impression que ces plaies son désinfectée par sa langue rappeuse...

Cette langue qui rentre en elle fut la goutte d'eau de trop, la jeune femme se raidit une dernier fois avant de retomber sur le sol, le souffle cours mais toujours présent... Le souffle cours d’une femme qui venait de évanouir un plaisir de trop, un douleur trop profondes, son corps viens de hurler que cella suffit qu'il a besoin de repos.. Qu'il a besoin de sommeil.. Elle le sait, elle ne se réveillera pas avant des heures, le temps que son corps se refasse.
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Khaléo

Terranide

Khaléo termines les "soins" prodigués par sa salive féline sur le corps de Kokoro, le démon cède doucement sa place et, doucement, les appendices démoniaques s'éffritent, comme de la roche calcaire ayant soudainement pris un million d'année dans la vue et, s'envolant en poussière plus légère encore que l'air lui même.

Il constate les dégats parce qu'il n'était plus vraiment "lui même" après l'entrée en scène du démon, il se précipite sur Kokoro pour vérifier son pouls et, sa respiration, après quoi il prend soin de te soulever délicatement du sol, te porter contre lui, un peu comme un enfant, il écarte quelques mèches de cheveux de ton visage, les replaçant doucement sur le coté, ton corps fait peine à voir, et il à du mal à imaginer qu'il soit responsable de ça...

Il est choqué, ses mains osent à peine caresser, effleurer les hématomes que ton bas ventre comporte, il marche à pas feutrés, amortis, empêchant quelconque choc de te réveiller, mais dans ce genre de sommeil, il doute fort que tu sois capable de te réveiller si facilement, tu as l'air de dormir profondément, ton corps mériterait tout de même un bon nettoyage, ce qu'il fait une fois arrivé en face de l'entrée de la mine, de sa tanière, plongeant lentement avec toi dans le large bassin d'eau ou se jette une chute d'eau, ses mains passent sur tes joues , ton front, humides, et nettoyent ensuite ton corps avec une lueur de regret dans ses yeux, il observes les deux paires de trous effectués avec ses dents de sabre rétractables dans tes trapèzes, et, son poing fermé frappe à la surface de l'eau, criant "putain !", culpabilité légitime redirigée vers lui même.

Kokoro Myako

Terranide

Une main chaude sur sa peau, une main douce elle ne sait pourquoi mais cela la fait soupire, elle aimait bien après la violence un peu de douceur, pour elle la douleur est déjà oublier, son corps l'aura oublier aussi dans quelque heures, mais peu t'on en vouloir a quelqu'un d'avoir agit avec son instinct d'avoir céder au envie furieuse...

Sans se réveiller la jeune femme se blottit contre le torse de l'homme, elle se sent bien protégée dans cette étreinte, est-ce qu'elle s'est déjà sentie aussi épuisée après avoir prit du plaisir, non logiquement elle se réveillait toujours rapidement, mais la il faisait trop bon a dormir.

Un froid lui fait froncer le nez a la manières d'un écureuil son corps cherchant la chaleur de celui de l'homme sa queue d'animal cherchant a s'enrouler autour d'elle, elle n'aimait pas le froid.. Le froid c'est froids, ca donne envie de se réveiller, mais elle ne veux pas se réveiller.

Un bruit de l'eau... Un coup de poings, le corps de la jeune femme se mit a trembler, surtout quand elle entendis le jeune  crier... elle ne put s’empêcher  de pousser un petit couinement de peur, son visage se figeant dans une expression effrayée, elle n'aimait pas les cris il amenait des cris dans ces rêves, des horreurs qu'elle ne voulait plus entendre, qu'elle avait fait semblant d'oublier, qu'elle ne voulait surtout pas faire revenir.

« P..pas ..c..crie... P..peur. »

Le corps de la jeune femme se colla a celui du tigre, couinant doucement , avant de ce calmer, ces bras s'enroulant autour des épaules de l'homme dans une étreinte endormie, sa tête venant reposer sur son épaules, elle se sentait bien avec sa chaleur autour d'elle... Pourtant son corps frissonnait de froid.. Bien oui l'eau n'est pas chaude.
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Khaléo

Terranide

Kokoro, ce petit écureuil, l'attendrissait, lui rappellant aussi dans cette tendresse sa défunte fille, qui était au moins tout aussi affectueuse, ça lui pinçait son vieux coeur de tigre de la voir dans un tel état et encore bien plus de penser qu'il était responsable, les lèvres et le corps de la jeune femme tremblotaient, signe qu'elle commençait à prendre froid, lorsqu'elle se blottit d'avantage contre lui il offrit l'envergure de ses épaules rondes ainsi que l'étau de chaleur et de douceur de ses grands bras autour d'une grande partie de son corps, sortant enfin des eaux.

Pour qu'il l'emmène dans les galeries sombres de la mine, passant un rideau de lières et autres plantes grimpantes caressant nos silhouettes, nous avancions dans l'obscurité pour nous enfoncer d'avantage dans les ténèbres, l'oeil s'adapte même si tardivement, a la pénombre, la queue de tigre de Khaléo frôle la paroi de droite pour toujours être sûr de n'être ni trop loin, ni trop près du mur, n'y voyant pas encore grand chose, néanmoins il connait le chemin par coeur, et pourrait le faire les yeux fermés, c'est pourquoi il n'utilisera pas de torche pour illuminer le chemin.

Nous arrivons face à ce qui semble être un énorme cul de sac, une de ses mains tâtent la surface du mur, trifouille quelque chose, qui produit des sons métalliques, plusieurs leviers semblent être baissés dans une combinaison bien précise, un tac a tac a clac se fait entendre, signe que la manipulation à fonctionné, quelque chose bouge, le sol trembles et de la poussière tombe du plafond, quelques rayons de lumière provenant de l'intérieur dessinent la silhouette d'une énorme pierre ronde, taillée comme une pièce de monnaie, en plus massive, roulant sur le coté pour nous laisser pénétrer dans l'antre du lion blanc.

Kokoro Myako

Terranide

Tout cela sent si bon.. C'est étrange mais elle a presque l'impression de se retrouver dans son propre nid bien en sécurité avant que tout ces méchant ne vienne lui faire du mal l'enlever a sa vie douce... Elle aurais bien voulut revenir a cette vie o ule plus important était de se blottir contre sa maman, et de respirer sa douce odeur.. Son odeur au début c'est ce qui avait le plus manquer a la jeune femme... A la fin sa mère ne sentait que la peur et la jeune femme s'était jurée de ne jamais sentir comme cela, ca sent pas bon la peur.

Pendant le transport la jeune femme avait entrouvert les yeux avant de se rendormir il faisait encore nuit puisqu'il faisait tous noirs.. C'était assez étonnant de voir comment son corps se régénérais, ces lèvres déjà reprenais une couleur plus normale. Elle reprenait leur forme... Les blessures qui saignait semblant se soigner avant le rester... Les hémorragie avant les autre douleur.

De la poussière,  qui doucement tomba sur son nez la faisant encore éternuer... Et surtout ouvrir les lieux sur l'endroit, de petit yeux tout ensoleiller comme si elle se demandait un peu ce qu'elle faisait la.. Son regard brouillé par le sommeil se posa sur le tigre, alors que se dessiner un sourire sur ces lèvres.

« Zolie rayure. »

Doucement la main de la jeune femme se lève venant caresser une des dites rayures, avant de se perdre dans ces cheveux s'agrippant dans une des ces mèches... Avant de refermer les yeux, elle avait envie de parler mais ces yeux ne voulait pas rester ouverte.

« Froid ;. J'veux aller dans nids... Tout chaud, avec toi... »

La jeune femme inspira profondément c'était étrange de sentir son corps se reformer, se  guérir comme cela, elle le savait dans quelque seconde elle allait se rendormir mais il y avait autre chose qu'elle voulait dire , elle avait vu la tristesse, le remords dans les yeux du tigre.

« Pas pleure... ai .. aimer... »

Un bâillement lui fut tirer alors qu'elle sombrait a nouveau dans le sommeil.. Flute elle aurais bien aimer parler...
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Khaléo

Terranide

Ils arrivèrent enfin au bout d'une énième galerie labyrinthique, comme cité précédemment, Khaléo laissa ses doigts parcourir la roche dans le noir le plus complet, ainsi personne ne pouvait voir la combinaison de lockets, et de pivotement des pierres dans le mur, suivie d'une série de petits leviers à relever dans un ordre précis, afin d'ouvrir les balastes contenant de la poussière de granit, et du sable, libérant les poids permettant d'actionner le mécanisme d'ouverture.

Des petits gravats et de la poussière tombèrent du plafond, la galerie trembla et quelque chose se mit à bouger, d'énorme, de lourd, une porte ronde, taillée comme une géante pièce de monnaie plus épaisse et large, se mit à "rouler" donc, laissant les premiers rayons lumineux de cette nouvelle pièce, éclairer doucement son visage, et les parois, madriers de soutient de la galerie minière.

Sur la "porte" des centaines... sinon milliers d'inscription, comme sur certains murs, laissées là par les anciens travailleurs de la mine, une mine abandonnée depuis trop longtemps pour que quiconque s'en souvienne, des petits dessins, des noms, probablement de leurs familles, des espoirs, des rêves... tous inscrits ici à même la pierre pour l'éternité sans doute.

Cette nouvelle pièce était immense... un gigantesque dortoir pour les mineurs, remplie de hautes et belles colonnes, le plafond recouvert d'arcs, et de voutes gothique se croisant d'une colonne à l'autre, mélangée à d'autres éléments de style roman, des braseros, un à droite, et l'autre à gauche de la pièce, suffisaient étrangement, à éclairer tout l'intérieur de la mine, un jeu de pierre précieuses bien taillées et positionnées sur la surface des murs, parfois laissées là uniquement dans ce but, d'autres, installées dans les hauteurs, éclairaient de leurs couleurs vert jade ou émeraude, rouge spinelle ou rubis, blanc quartz ou prismique diamant, bleu reflet de mithril ou violet améthyste, par réflexion, par mélange de couleurs, leurs feux kaléidoscopiques changeants selon l'intensité de la flamme des braseros, sur les parois de cette grande pièce.

C'était d'une beauté indéchiffrable et innommable, même pour Khaléo qui la considérait comme la huitième merveille du monde, les pierres précieuses semblaient redessiner des vitraux d'église, ou de temple, et des scènes étranges, d'anciennes batailles contre des forces obscures se dessinaient sur le plafonnier.

Lorsque les yeux arrivent "enfin" à se dégager du plafond, pour se poser sur l'horizon de cette pièce, des tas de choses y étaient entreposées, dans un coin, de vieilles reliques, des statuettes, en métaux différents, bronze, argent, or, cuivre, et pierres aussi, représentant des dieux oubliés, ou qui ne seront plus jamais vénérés aujourd'hui, par petite inquisition destructrice d'autres croyances pour imposer celle des autres, l'homme pouvait se montrer bien plus que persuasif, quand il considérait toute autre croyance paienne à la sienne.

Khaléo avait "sauvé" et mis sous sa "chemise" plus d'une relique de ce genre pendant qu'il était encore soldat, il considérait la destruction du savoir faire d'autres civilisations ou ethnies comme du gâchis et de la folie, peu importe leurs croyances... ça n'en restait pas moins de l'art à ses yeux, et il aimait à conserver tout ce qui flattait son oeil, brillant, étincelant, doré, ou coloré, ça devait faire partie de son coté "félin", mais surtout d'un patrimoine, celui de sa vie.

D'un autre coté de la pièce... Des armures entassées au sol, solerets, cuissardes, bassinets, salades, espaulières de différentes formes, quelques vieux boucliers aussi, et des épées, toutes abimées, émoussées, oxydées, pleines d'entailles ou de bosses, certaines carrément pliées, mais il les gardait, ce coin ressemblait à un musée sur sa propre vie, comme si chacune de ces armures, des entailles et des trous qu'elles possédaient, étaient les lignes d'un chapitre écrit de son histoire qu'il aimait à revisiter du regard, autant que les nombreuses cicatrices partout sur son corps, pouvaient aussi, raconter d'autres douleurs, mais aussi chapitres de sa vie.

Des peaux de bêtes, fourrures, étaient disposés à terre comme des tapis, et aux murs comme des trophées, ainsi que des têtes d'ours des crètes, de daims, de cerf, de tigres et mêmes de lions, prouvant que son coté prédateur, et chasseur n'était pas en reste, donnant sa touche de charme sauvage et inquiétante à cet endroit, qui laissait présager que l'on se trouvait dans l'antre d'une créature effroyablement dangereuse.

Il marchait doucement au centre des colonnes, avançant d'un pas presque "ritualisé" dans ce "temple", laissant ce qu'il restait de ses vêtements tomber au sol, en les détachant lui même d'une main libre, soutenant aisément de son autre bras le corps de Kokoro, ici... c'était chez lui... Et il pouvait s'y ballader nu, il n'en avait absolument rien à faire, comme pour tout le reste de "son" territoire, la nature reprenait ses droits, autant sur son esprit, que sur son corps lorsqu'il était ici, il se ressourçait dans cette forêt et ce lieu, il espérait que ce soit la même chose pour elle, il allait l'aider... Du repos, tous deux en avaient besoin,  Khaléo déposa Kokoro dans un lit de fourrure douces et neigeuses, la plus rare qui soit, provenant de lions blancs vivant uniquement dans des terres dangereuses, sur le territoire des glaces éternelles, tuer un lion blanc de ses propres griffes à l'âge adulte y était un rite obligatoire, tous les dix ans, il y retournait pour prendre la vie de l'un d'eux, pas par simple plaisir de la chasse, non, mais par régulation de la population, ne tuant que les plus vieux des mâles dominant ayant régné un peu trop longtemps, sans laisser la chance aux jeunes individus de s'accoupler et accroitre considérablement leur population, c'était donc bien un mal nécessaire...

Aussi rare qu'il fut en voie de disparition sa fourrure est considérée comme la plus douce, sans doute la raison pour laquelle il fut traqué et tué de longs siècles jusqu'a sa presqu'extinction, une fourrure presque aussi douce et soyeuse que le duvet fin recouvrant le corps de Khaléo, qui, frottait son visage, sa crinière, contre toute la surface de ton cou et tes joues, emprisonnant ton corps entre lui et cette fourrure , dans un étau de tendresse et de chaleur qu'il espérait réparateurs pour ton corps dans ton sommeil, il resta là à veiller sur toi, queue de tigre s'enroulant autour de ta taille, possessif et protecteur.

Kokoro Myako

Terranide

Chaud.. Chaud.. Un soupire de bien être échappa a la jeune femme alors qu'elle se blottit a la fois dans les fourrure que dans les bras du tigre, c'est étrange sentiments de sécurité qu'elle ressent, elle ne l'avait plus sentit depuis si longtemps, logiquement elle ne dormait que d'un oreilles,  qui d'ailleurs restait toujours mobiles, ne jamais vraiment se reposer, le sommeil est dangereux, parce qu'on ne peux s'en passer et que l'on risque toujours de se faire avoir.. Oui oui le sommeil est dangereux, pourtant elle sombre a présent dans un sommeil plus profond que jamais. Plus réparateur, plus elle dors plus son corps se soigne...

Elle ne sait combien de temps elle resta immobile, le souffle régulier dans les bras du tigre, un minute, un heures, plusieurs heures... Mais qu'importe, il lui fallait bien cela. Si l'on regardait a présent son corps, il ne restait que quelqu'un rare coup bleu, ecchymose qui se soignerons a l'allure naturel de son corps... Il y a des chose qui doivent se faire seul...

Ces yeux sous ces paupières bouge doucement, et son corps aussi se frottant un instant au tigre, avant qu'elle ne pousse un soupire ouvrant les yeux, son regards se perdant sur le plafond... Sa bouche laissa échapper un petit couinement d’émerveillement, la jeune femme adorais les couleurs... Elle adorais quand elle brillait comme cela, c'était si beau... Un bras fin sortit des draps, venant se tendre vers la lumières... Comme pour l'attraper, mais la beauté ne peux être capturée elle doit être sauvage.. Naturel...

Son visage semblait tellement calme a cet instant, elle n'avait aucune envie de bouger de se cocon de chaleur.. Elle adorais l'odeur mâle apaisante qui se dégageais de ces fourrures.. Douce fourrure d'ailleurs ces doigts coururent sur les fourrures, savourant la douceur sous ces doigts.. Ca devait faire des vêtements vraiment tout doux et bien chaud pour l'hiver.. Oui parce qu'elle n'aime pas l’hiver, d'ailleurs quand il est trop froid, elle fait des resserves de fruit sec, avant d'aller de blottir au fond d'un arbre qu'elle connais, mort de l’intérieur il fait un nid chaud , le bois qui pourris donnant un chaleur des plus apaisante, et puis ca sent bon la forets, puis elle s’endort jusqu’à ce que le monde se réchauffe.

Enfin elle fini son tour d'horizon pour venir poser son visage sur celui du tigre lui souriant doucement, avant de venir frotter son nez contre le sien, laissant échapper ce petit rire si doux qu'il semblait se répercuté sur chaque parois comme l'eau d'une cascades. Sa queue d’écureuil venant doucement caresser le dos du jeune homme alors qu'elle plongeait ces yeux dans les sien, il n'y avait aucune peur, juste le plaisir de se retrouver au chaud dans les bras d'un homme ou elle se sent protégée.

« B'jours. »

Sa voix est douce caressante, alors qu'elle blottit encore son corps contre le torse de l'homme, sa poitrine s’écrasant contre son torse muscler, humm agréable sensation que ces muscles puissant contre sa douce poitrine. Sans vraiment le vouloir elle sentit ces tétons s’ériger sous l'afflux de sang, mais la sensation était agréable.

« C'est joli ici. »

Doucement elle laissa ces doigts venir caresser la joue de l'homme comme pour graver ces traits dans son esprit. Des petit doigts habile doux qui remonte avec soin vers les oreilles du jeune homme, venant passer en douceur dessus, les caressant comme si elle n'avait jamais toucher quelque chose d'aussi doux, un nouveau soupire de plaisir échappa a la jeune femme, alors que le sourire ne quittait pas son visage.

« Dit tu n'aurais pas une brosse... Le pelage de ma queue il est tout pas beau. »

Si il y a une chose qu'elle n'aimait pas c'est d'avoir la queue qui collait,c'était le cas a l'instant elle n'avait pas eu le temps de la brosser.  A nouveau elle frotta son nez contre celui du jeune homme juste pour s'amuser.. Avant qu'un lueur d'intelligence passa dans son regard elle venait de penser a quelque chose..

« Moi c'est Kokoro Myako.  Et toi c'est quoi ton nom ?»
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Khaléo

Terranide

Nous avons dormi ensemble quelques heures, mais alors que tu étais enfin entrée dans un sommeil si profond qu'il était imperturbable, Khaléo s'est relevé, pour sortir dans la forêt, et, pendant près de deux heures, courir, bondir , chasser, chasser, et chasser encore, un nombre conséquent de petites proies, ceuillant aussi des fruits, qu'ils soient secs comme des chataignes, marrons ou noix, ou juteux comme de belles fraises poussant à l'entrée de sa tanière, framboise sur quelques pentes et vallons, groseilles sur quelques arbustes, il connait bien tous les recoins et, point de ressources de son territoire, pendant plus de deux heures donc, il a accumulé des lièvres, faisans et poules sauvages, même en sanglier prenant des risques inconsidérés pour le tuer le plus rapidement possible, s'étant fait entrouvrir la cuisse droite par une de ses défenses, mais ils'en fichait car, ce qu'il voulait c'était étendre tout un foisonnement de victuailles sur des plateaux, sur des feuilles pliées, autour du lit, en offrande à ta beauté, la couleur des pommes, des fraises, myrtilles et tout un tas d'autres fruits rajoutaient un peu plus de joie au décor un peu morne toutefois, des parois de la mine, ou des fourrures / peaux, étendues dessus.

Quand il y eut une masse déraisonnable de nourriture autour du lit, qu'il faudrait probablement mettre au frais car il y en avait pour tout un régiment, il se coucha à nouveau sur toi après s'être lavé dans la rivière, sentant les extraits de plante, le jasmin en prédominence, écrasant et, mixant lui même des poudres de fleurs et de plantes pour s'en faire du savon et du shampoing.

il te passera une cerise sur le bout des lèvres, happant les tiennes dans ton sommeil tout en goûtant et mangeant le fruit, puis se rendort au creux de ton corps.

Encore à moitié endormi, ses yeux clos, et paupières voyageant sous le mouvement rapide des ses yeux significatif d'un rêve ou d'un cauchemar, il s'éveille peut être, un peu quand tu caresses son dos avec ta si douce queue d'écureuil géante, passant d'un stade de sommeil profond, à une couche, une strate supérieure entre éveil et songe, tu as la peau et la voix si douce, caressante, comme le reste de ton corps, il se sent plongé dans une infinie tendresse quand il se retrouve blotti contre toi, au point ou, encore en train de songer, ses lèvres près des tiennes, regard mis clos dans le tiens, un "maman" s'échappe d'entre ses lèvres, ce mot n'étant que le reflet d'un manque affectif, provenant d'un cauchemar où, une énième fois il sera confronté au accusations de son père, le rendant responsable de la mort d'une mère qu'il a trop peu connu, si peu connu qu'il en à un trouble affectif profond.

« B'jours. »

Il gémit, presque comme un chaton, dans ses songes, il n'est encore qu'un enfant, un enfant perdu dans les ténèbres, et lorsque tes seins caressent sa poitrine il miaule exactement comme un jeune chaton au creux de tes oreilles.

« C'est joli ici. »

Tes doigts soulèvent un peu son visage, encore hébété par ses rêves, transit, entre ce monde, et l'autre, il révulse légèrement les yeux avant qu'il ne cligne une première fois des paupières, ouvrant grand ses yeux, pour qu'ils rétrécissent, presque clos à nouveau, signe d'un éveil total prochain, mais en attendant, il respire profondément ton odeur, et gémit à nouveau comme un petit chaton affectueux quand tes mains si douces passent sur ses oreilles un peu plus touffues que son duvet fin qui, compose sa peau ne l'est d'habitude, et un ronronnement nait, au creux de sa gorge, tout léger et mignon, plissant le regard en baissant légèrement les oreilles, il adore ça, il se rend finalement compte de ce qu'il se passe en ouvrant grand les yeux, une gêne terrible se lit sur son visage l'instant de quelques secondes, mais il continue de ronronner sous la caresse et ne peut s'empêcher d'y céder, haletant fébrilement contre ton corps, son corps à lui, semble de moins en moins tendu et, assoupli par cette caresse sur ses oreilles.

« Dit tu n'aurais pas une brosse... Le pelage de ma queue il est tout pas beau. »

"-Sii... mr... mrawrr ♥ Si je... je dois... je dois avoir... ça quelque part je... Je dois chercher mais... Si tu ne... si tu ne... cesse pas de... me caresser... l'oreille je... je vais fondre... je... je perds mes forces..."

Oui, alors l'un des rares points faible de Khaléo était effectivement, ses foutues oreilles hyper sensibles, et, également la base de sa queue, comme à pu en profiter mademoiselle lors de leurs ébats du jour précédent...

« Moi c'est Kokoro Myako.  Et toi c'est quoi ton nom ?»

"-Khaaawrr... Khaléo... S'il te plait.... s'il te plait.. arrêtes... je... miaw... j'ai plus de force... je ne plaisante pas..."


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