Je fais un peu avancer les choses. Le topic s'éternise ^^Le temps semblait s'être ralenti. Depuis combien de temps ils étaient là, sur le lit, à faire des galipettes ? Et bien, c'était une très bonne question. Naoya ne pouvait pas voir l'horloge, du fait qu'elle était juste au dessus de sa tête. Et quand bien même elle la redresserait quelque peu, elle ne pourrait pas voir les aiguilles. Donc, ça ne servirait à rien. Faire durer les choses, en temps normal, c'était plutôt plaisant. Au moins, on avait le temps de ressentir tout le plaisir. Mais ce qui pouvait être ennuyeux, et bien, c'était qu'à force de prendre leur temps, ils prenaient de gros risques. Car après tout, ils étaient censés être dans une infirmière. Et en ce moment, si Mik, normalement, devait être en cours, Naoya, elle, devait être en train de travailler. Vous me direz, elle avait pas grand chose à faire du fait qu'il n'y avait, pour l'instant, aucun élève de malade. Mais un étudiant pouvait très bien débarquer à n'importe quel moment ! Oui, oui, c'était une hantise, pour ainsi dire. Se faire prendre. Naoya ne craignait pas de prendre des risques, du genre, à interagir dans une intervention plutôt risquée alors qu'elle ne devrait pas le faire, mais du fait que le médecin n'était pas là, elle se devait de le faire pour sauver une vie. Ou genre, elle s'aventurait souvent, à la nuit tombée, dans des rues pas très recommandées à la recherche de deux personnes. Mais ça n'avait rien à voir avec le risque qu'elle était en train de prendre. Après tout, elle pouvait très bien se faire renvoyer si jamais on les prenait sur le fait ... Il était peut-être temps ... d'accélérer les choses ...
Mik avait subitement ralenti la cadence. Est-ce que la fatigue était en train de le submerger ? Possible, qui sait. Mais Naoya voyait en cela un signe ... Un signe pour reprendre la main. Mouais, ça devait être ça. Après un nouveau fougueux, passionné et langoureux baiser, voilà que la jeune femme s'était quelque peu reculée. Elle avait alors senti la verge de Mik qui avait momentanément quitté son antre. Mais fallait pas que le jeune homme s'inquiétait. Elle n'allait pas lui demander de partir maintenant ... Nan, pas tout suite. Bien évidemment qu'elle aurait été capable de lui dire de partir, mais ça aurait été plutôt cruel. Et Mik avait été gentil avec elle. Enfin, il était vrai qu'il l'avait poussée à bout lorsqu'il avait souhaité en savoir un peu plus sur son passé, mais elle ne lui en tiendrait pas rigueur.
Hop, en deux ou trois mouvements, voilà que le jeune Mik se retrouvait à la place que Naoya occupait, il y avait de cela quelques instants. Il venait de se retrouver sur le dos, allongé, son membre toujours aussi bien dressé et qui devait en demander davantage. Naoya aurait pu dire que la patience, normalement, était de rigueur. Sauf que, ils n'avaient pas vraiment le temps. Ils auraient été ailleurs, genre, chez elle, ou chez lui, bien, ils auraient pu prendre tout leur temps. Mais là, ils étaient dans un lieu public, enfin, dans un lieu où y'avait pas mal de jeunes qui allaient et venaient. Alors, autant finir leur petite affaire avant que la sonnerie ne retentisse et que des étudiants aient l'idée de faire une petite visite à l'infirmière.
Après un nouveau baiser, Naoya déposa ses deux mains sur le torse de Mik, histoire de prendre légèrement appui. Et hop, la voilà qu'elle s'empalait sur son membre, poussant un long gémissement par la même occasion. Elle avait eu l'impression que sa verge avait été un peu plus loin, plus profondément. Avec un peu de chance, le plaisir associé n'en serait que décuplé. Et ainsi donc, la voilà qu'elle bougeait ses hanches, son bassin, et que Mik pouvait en profiter pour reprendre un peu son souffle, et se reposer.