Saori lui sourit et acquiesça à sa proposition d’aller chez lui, au motel. Elle aurait pensé qu’il avait un appartement à lui mais une chambre d’hôtel, ça irait aussi. De toute façon, l’important c’était qu’ils soient ensemble et sans risque d’être dérangé.
Elle se releva, tout comme lui, et sortit des douches. Très attentionné, Bleiz se mit à doucement l’essuyer. C’était agréable. Trop peut-être, la jeune fille commençait de nouveau à avoir envie de lui. Cet homme était pire qu’un aphrodisiaque. Cette idée la fit sourire.
Une fois sèche, elle se rhabilla, tout comme lui, des seuls vêtements qu’elle portait un peu avant, sa robe légère, ses sous-vêtements blancs et ses jolies ballerines. Une fois prête, ils sortirent du bâtiment. Puis ce fut le lycée, lui-même, qu’ils laissèrent derrière eux. Se tenant l’un contre l’autre, comme des amoureux, le jeune homme la mena jusqu’à sa chambre de motel. Il s’effaça et la laissa entrer. La chambre était semblable à n’importe quelle chambre d’hôtel. Le seul fait intéressant était que le lit était à eux places.
Sans lui laisser le temps de continuer son inspection, Bleiz l’attrapa pour l’embrasser passionnément.
« Enfin arrivé. Je crois que j'aurais pus te prendre dans la rue »
La jeune déesse se mit à rire, les joues rouges.
« Ah oui ? Eh bien, tu aurais peut-être dû ! »
Le sourire coquin, elle se laissa glisser au sol et défit presque violemment la braguette pour en sortit le sexe de son compagnon. Sans lui laisser le temps de comprendre, elle se mit à la sucer avec passion et une envie terrible. Sa mouille trempait déjà complètement sa culotte. Son envie de lui était terrible.