Totalement sous mon influence, elle accepte mes caresses particulièrement indécentes dans un lieu public, et surtout dans ce wagon bondé. Je descends ma main le long de sa cuisse, pour mieux la remonter sous sa robe, glissant contre l’intérieur de sa cuisse, avant que mes gros doigts ne viennent retrouver son sexe. Deux de mes doigts se pressent de chaque côté de sa vulve, pour mieux l’offrir à deux autres qui commence à s’y aventurer. Je caresse ses lèvres intimes avec un certains doigtés, et vient peu à peu à la rencontre de son clitoris, que je stimule du bout de l’index.
De part ma stature imposante, seuls les personnes assez proche de nous, peuvent voir ce qui est entrain de se passer, pour les autres, le spectacle est caché par la grandeur de mon corps. Les regards autour de nous se posent sur Saori, certains sont choqués, d’autres interrogateurs, et certains… intéressés.
Je passe ma main libre sur sa poitrine, avant de la remonter vers son visage, pour saisir son menton afin de mieux l’embrasser langoureusement, mes lèvres charnues capturant la finesse des siennes. J’écarte légèrement la tête pour mieux la regarder avec un air pervers, puis je dis à voix basse :
Tu es toute excitée ma petite Saori… Tu aimerais que je te prenne ici et maintenant ? A côté de tous ces gens qui te regardent c’est ça ?
Ce majordome à tellement d’influence sur elle, que j’ai l’impression que si je lui disais de sauter d’une falaise, elle le ferait. Comme quoi, plus on s’occupe d’elles jeunes, plus l’emprise que l’on a est forte. Peut être que je devrai m’en inspirer à l’avenir…
J’accentue mes caresses, un de mes gros doigts s’engouffre dans son intimité, et commence à y aller venir, tandis que la paume de ma main frotte contre le reste de son sexe. Peu à peu, je rajoute un autre doigt à la danse, alors que de mon pouce je viens à nouveau caresser son clitoris. Je caresse ses parois internes avec fermeté, pénétrant une phalange supplémentaire de mes doigts dans son vagin.
Je peux sentir des personnes choquées devant cette scène murmurer dans leur barbe. Je ne sais pas si c'est l'action en elle même qui les choque, ou bien la différence d'age importante entre Saori et moi. Dans tous les cas, je crois bien que ma carrure imposante les dissuade d'interférer dans ce qui est entrain de se passer.