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T'approche pas, je mords (PV Namiel)

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Anna Sajin

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T'approche pas, je mords (PV Namiel)

dimanche 25 août 2024, 16:06:38

-   Ok, mais juste pour cette fois !

Cette phrase résonnait encore à mes oreilles. Comme je m’en voulait d’avoir accepté !

-   Maelys tu me le paiera ! Pestais je alors.

De nouveau, je cherchais mon amie du regard dans l’obscurité vibrante de cette boite de nuit bondée. Les murs semblaient pulser au rythme de la musique électrisante, chaque battement résonnant comme un cœur enivré. Les lumières stroboscopiques dansaient sur les murs et les visages, tandis que l’air, chargé d’un égrégore presque palpable, assurait aux audacieux la promesse de multiples rencontres inattendues.

Assise à une table seule, mon amie m’ayant délaissée au profit d’un bel homme de passage, je terminai de siroter mon cocktail. Mais qu’est ce que je foutais le bordel. Un bar de nuit ? Pour renouer avec ma vie affective et sentimentale ? j’entendais la voix de ma meilleure amie dans ma tête. Mais la vérité était que je n’étais pas prête pour cela, ma dernière relation s’étant soldée par un traumatisme et des années de psychothérapie.

Je regardai la foule ou les corps se pressaient les uns contre les autres., une mer de silhouettes en mouvement chacun perdu dans sa propre transe. Les rires et les murmures se mélangeaient aux basses profondes, créant une mélodie de vie et de désir qui, je le reconnus, m’échauffa quelque peu. Doucement, je passais mon doigt sur mon bras en une douce caresse et frissonna un instant.

-   Tant d’années… Je murmurai, le regard dans le vide.

Saurais-je encore comment faire ? pourrais-je seulement ne serait-ce… qu’accepter d’être touchée ? Je chassais ces pensées d’un mouvement de tête et décida d’aller danser, par le passé cela m’avait toujours aidé à décompresser et tant qu’a être la, autant essayer de s’amuser un peu.

Marchant sur le rythme de la musique j’avançai vers la piste de danse, et chercha un coin un peu moins bondé, ne supportant pas de me retrouver collée à une bande d’inconnus. La, me laissant porter par la musique je fermai les yeux et sans hésitation, me mit à danser. Mes mouvements étaient fluides, presque hypnotiques, comme si j’étais en parfaite harmonie avec la mélodie qui enveloppait la pièce.

Enchainant les musiques je perdis toute notion du temps et finit par ne rouvrir les yeux que mue par une soif intense.
C’est la que je le vis. On m’observait. D’un regard vif et perçant, troublant…
Je rougis et détournai le regard, bien trop assoiffée pour organiser mes idées dans l’immédiat. Je partis donc en direction du bar a cocktails en quête d’eau fraiche, ayant désormais totalement abandonné l’idée de retrouver mon amie.

Masamune Kenjin

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Re : T'approche pas, je mords (PV Namiel)

Réponse 1 dimanche 25 août 2024, 18:03:30

Les boites de nuit, sa me connait, franchement, je pourrais bien en ouvrir une moi-même tant j'y vais souvent. D'ailleurs, tous les barmans et barmaids... me connaissent. J'y suis un peu VIP, même si contrairement à d'autre, je n'y dépense pas des fortunes en un soir.
J'y retrouve toujours une nouvelle "proie" et j'adore ça. Oh vous pouvez me descendre, mais je n'ai promis à aucune de ses filles que nous nous retrouvions une autre fois, donc personne ne se berce d'illusion. Elles peuvent être déçus, mais ce n'est pas ma faute !

J'avais un travail qui me demandait une force concentration et qui m'épuisait, donc j'étais bien content que quelques soirs, j'allais faire la fête, sortir et trouver de jolie demoiselle en manque "d'attention". Qui serait celle de ce soir ?

La musique tambourinais mes tympans, pendant que je tentais de discuter avec la soeur d'un ami. Elle avait un crush sur moi, et elle était mignonne... Mais son frère me tuerai si je la touchais et la jettais le lendemain, pour sa que je refusais ses avances et puis... Merde, je la connaissais quoi, je voulais pas m'embarquer dans une relation !
Je l'écoutais vaguement en sirrotant un mojito, observant du coin de l'oeil la scène.

Puis soudain, j'eus l'impression que le temps c'était stopper, mon regard tomba sur une fille dans son coin, dansant, elle avait de magnifique cheveux blanc, plutôt long. J'étais trop loin pour la voir, mais mon choix était fait, ce serait elle !
Je terminais mon verre cul sec, avec un "wouah" de la soeur, avant que je ne l'abandonne. Elle me gueula dessus avant que son frère ne l'arrête.

Mon regard fixer sur la femme, je m'approchais, tel un prédateur scrutant sa proie. Plus je m'approchais, plus mes tympans vrillait et plus j'avais... soif ? Je venais de terminer mon verre, drôle de sensation. Puis soudain nos regards se croisèrent et je me figea, la musique venait d'augmenter ? Une sonorité peut agréable "boum boum boum" vibrait. Ce fut son départ qui me fit m'appercevoir que j'avais retenu ma respiration et que je m'étais arrêter dans mon approche.

- Euh... ?

Bien que confus, j'étais décidé, ce serait elle et personne d'autre ! J'étais même drôlement excité, j'inspirais profondément plusieurs fois afin de me calmer.
Une fois que je me sentis moins anxieux, je marchais d'un pas assuré et me posa à côté d'elle. Je lui fis un sourire charmeur et...

- Tu es a moi.

... Hein ? Je savais que je pouvais avoir des approches assez directe mais là, franchement, je suis à deux doigts de me baffer alors que je la regarde intensément. Si ma peau n'était pas un peu noir, elle m'aurait vue rougir d'embarras, je gardais mon sourire et continuai comme si elle n'avait rien entendu ou mal compris.

- Salut, c'est la première fois que je te vois ici. Tu es nouvelle ? Moi c'est Namiel et toi miss ?

La femme est gênée, facile à voir. Mais... Bon sang, elle est franchement belle, j'irais pas jusqu'a forcé, mais je vais pas laisser tomber ! Je regardais ses doigts délicats, j'aimerais bien les toucher ou me faire caresser par, je m'en mords la langue pour ne pas trop sourire.

- Enchanté Melody, très jolie nom.

Je fis signe  à la barmaid qui s'approche. La jeune femme n'avait pas non plus d'alliance, donc même si en couple, rien de sérieux à ce moment-là. Ma chance !

- Pour te souhaiter la bienvenue, je te paie ta boisson. Moi ce sera un Heretoslay, s'il te plait Greedy. Et pour toi, Miss Melody ?

Je tentais de capter son regard, tandis que la barmaid me jetait de petit regard jaugeant un peu la situation.  Melody rougis, pas des plus à l'aise, pourtant elle est belle, sa doit arriver souvent. Elle commande la même chose que moi, j'espère qu'elle tient l'alcool parce que le rhum, ananas, mangue et un soupçon d'abricot, c'est bon, mais pfiou... sa en donne un coup de fouet !

Mon regard fini par tomber dans le sien et... ses yeux étaient magnifiques, d'un vert apaisant et profond. Je me surprend à approchez lentement mon visage avant que sa voix ne me reprenne avec une question.

- Hein ? Euh oui, une fois par semaine. Sa me permet de me détendre et de tout relâcher. Je regarde ailleurs pour me calmer un peu. Le travail est parfois bien éreintant. Et toi, tu ne viens pas... parce que...? Trop de bruit ? Si tu me dis que tu aimes pas danser, je te croirais pas.

Cette fois-ci je me retourne vers elle.

- Je t'ai vue danser et tu es hypnotisante. Avouais-je, avant de forcer un sourire charmeur me surprenant dans ma sincérité. J'étais déjà pompète ?

A mes infos, tu te montre curieuse, j'en suis plutôt content, dans ce genre de soirée on s'en moque assez souvent, sauf peut-être du porte-monnaie.  Je rigolais à cette "amie", imaginant très bien la scène. Après... était-elle surveiller de loin ? Ou elle l'avait vraiment abandonné ? Mon compliment sembla alors la touché et son regard pétillant, son sourire, ses lèvres... J'en déglutis, j'avais une sauvage envie de l'embrasser. Si je ne me retenais pas... Je lui sauterais dessus. Oubliant même sa question à mon sujet, je continuerais là-dessus.

- Si tu te sens seule, je peux danser avec toi. Je la fixais assez intensément, mon regard se perdait entre ses yeux et ses lèvres...

Elle réfléchit s'en me perdre du regard et accepte ! Je me mordis la lèvre l'écoutant, elle disait oui, cela voulait dire que...

gling Deux verres s'entrechoquent avec les glaçons dedans. Poser abruptement pour nous tirer de notre songe. Je ne sais pas si je dois fustiger Greedy ou la remercier de me sortir de cette... transe ?

- ahem, buvons et allons y alors Melody. Lui proposais-je en prenant le cocktail. Je n'avais qu'une hâte, danser avec elle et... nous rapprocher.

Anna Sajin

Créature

T'approche pas, je mords (PV Namiel)

Réponse 2 dimanche 25 août 2024, 20:41:39

- Tu es a moi.

Je me retournais, ayant surement mal entendu dans le brouhaha environnant. Je tombe alors sur un homme d’une beauté enivrante, aux cheveux en bataille et aux yeux presque d’or, me fixant du regard.

-Salut, c'est la première fois que je te vois ici. Tu es nouvelle ? Moi c'est Namiel et toi miss ?
J'hésitai un instant avant de répondre, pas très à l'aise, sachant clairement ce qu’il venait chercher ici. Mais la voix de Maelys résonnait toujours dans ma tête. Tu es trop sérieuse, tu dois te lâcher un peu ! Et elle n’avait pas tort.

- euuh.. Melody, je m'appelle Melody, je restais un instant la bouche ouverte, avant d'ajouter. Je ne viens jamais d'habitude... Comme si je devais à tout prix me justifier.

- Enchanté Melody, très jolie nom. Répondit-il avant d’appeler la serveuse qui se pointa instantanément. Il l’appelait même par son prénom, signe qu’il était un habitué des lieux.

- merci... balbutiait je, clairement pas rodée à ce genre d’exercice

-Pour te souhaiter la bienvenue, je te paie ta boisson. Moi ce sera un Heretoslay, s'il te plait Greedy. Et pour toi, Miss Melody ?
N’y connaissant rien et ne voulant pas passer pour une inculte, je me risque et hasarde

-Je prendrais comme toi ?  Puis, avant que la serveuse ne disparaisse de nouveau j’ajoute rapidement, et un grand verre d’eau s’il vous plait !
Mon regard croisa alors celui du jeune homme mais je détournais le regard, comme si c’était trop intense pour moi.

- Tu viens souvent ici ? j’enchainais, histoire de me redonner un peu de consistance, l’interrompant visiblement dans une quelconque rêverie.

- Hein ? Euh oui, une fois par semaine. Ça me permet de me détendre et de tout relâcher.

En effet, ce Namiel venait très régulièrement. Ramenait-il une nouvelle fille à chaque fois ? ça le regardait dans tous les cas. Je ne comptais pas faire ma vie avec.

-Le travail est parfois bien éreintant. Et toi, tu ne viens pas... parce que...? Trop de bruit ? Si tu me dis que tu aimes pas danser, je te croirais pas.

-Et tu travailles dans quoi ? Répondais je machinalement . Moi je ne viens pas a cause des... gens... avouais je dépitée. Je n'aime pas la foule et mon amie, dis je en faisant des guillemets avec les doigts , celle qui m'a trainée ici presque de force s'en est lâchement allée, alors je suis un peu ...perdue. Disant cela Je m'adosse au mur, croisant les bras.
Puis il se retourna vers moi et planta un regard charmeur dans le mien.

- Je t'ai vue danser et tu es hypnotisante.
En entendant son compliment je me redresse un peu, touchée, et plante mon regard dans le sien, un large sourire accompagnée d'une lueur de joie dans mes yeux illuminant soudainement mon visage.

- Je... Merci... Je ne parvins guère a articuler d’autre mot, me perdant un peu dans la douceur de son regard, appréciant la note suave de son rire.

- Si tu te sens seule, je peux danser avec toi.
Je restais figée à cette proposition, clairement hypnotisée à mon tour. Danser ? Voulait-il réellement danser, ou proposait-il de …danser… Je rougis et réfléchit un instant, me disant que cela faisait bien trop longtemps que je n’avais pas accepté de m’adonner a ce genre d’exercice avec qui que ce soit. Était-ce le premier cocktail qui m’avait déjà tourné la tête ? Quoi qu’il en soit j’en avais marre de fuir, toujours fuir….

-Je ne sais pas si je...je m'interrompis à son regard dont la douceur mêlée à une sorte de passion semblait s'imprégner en moi. Oui ?
Je le vis se mordre la lèvre inférieure, m’échauffant légèrement quand la serveuse nous interrompt pour nous amener nos boissons. Revenant à la réalité je réalise ce que je viens de faire et commence à paniquer un peu.

- ahem, buvons et allons y alors Melody. Ses yeux ne mentent pas, il s’agit bien d’un type de danse particulière dont nous parlons. Je prends alors mon verre et ni une ni deux, je le vide presque entièrement d’un coup pour me donner du courage.

- Délicieux ! Dis-je, m’essuyant la bouche, les pommettes roses. Avant de tanguer légèrement un instant. Puis, grisée je lui attrape la main et le tire vers moi, le surprenant d'un doux baiser sur les lèvres, avant de lui murmurer à l'oreille, audacieuse.
-Maintenant... emmène moi danser...
« Modifié: dimanche 25 août 2024, 20:57:43 par Anna Sajin »

Masamune Kenjin

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Re : T'approche pas, je mords (PV Namiel)

Réponse 3 dimanche 25 août 2024, 21:23:46

J'ai hâte de danser sous les vibes de la musique et de fricotter contre elle. Je sens déjà mon corps s'échauffer et prend une gorgée, avant d'ouvrir de gros yeux, elle vient de finir son verre d'un coup. Soit elle avait vraiment soif, soit sa nervosité atteignait un pic.
L'alcool doit lui monter à la tête, car je la vois tanguer, je bois une autre gorgée et me relève du siège avant qu'elle ne me tire à elle et m'embrasse. C'est doux et sucré à la fois avec l'alcool. Si délicat, j'aimerais continuer cela, mais elle arrête aussitôt et...

Mon invitation à danser n'avait rien d'aussi directe, j'ai déjà eu des propositions séduisante comme ça mais... Bordel, j'en bande dur et je serais à deux doigts de la prendre sur la table tellement elle me donne envie. Je la dévore du regard et pose un billet de dix euros avant de tirer Melody hors de la boite de nuit. A peine somme nous sorti que je la plaque contre un mur et l'embrasse comme si je manquais d'air.

Je me choque moi-même tant je désire, tant j'ai envie de ces lèvres... de son corps. J'agrippe son fessier et colle mon bassin au sien, lui faisant bien comprendre mon envie avec la bosse qu'elle a éveiller dans mon pantalon.
J'ai tellement envie d'elle que je serais prêt à la prendre dans une ruelle même si j'essaie en général d'être plus glamour.

Reprenant un peu ma tête, je la tire derrière la boite de nuit. Quelques bâtiments dont un abandonné, je ne l'y emmène pas, c'est crasseux et squatter, un brin dangereux, mais il n'y a personne autours. Si elle me parle, je n'écoute pas, trop presser de reprendre.
Eloigné de la boite de nuit, du bruit, j'entends toujours les basses... ou plutôt ce que je comprends maintenant être les battements de mon coeur qui tape dans mon crâne.

Assez éloigné du monde, je la repousse contre le mur avant de l'embrasser passionnément, forçant certainement tant je n'ai plus toute ma tête. Ma langue cherche à percer ses lèvres. Ma main gauche retenant sa droite contre le mur, tandis que ma seconde s'empresse d'ouvrir son pantalon pour se glisser sous sa culotte et venir caresser sa chatte.
J'ai tellement envie d'elle que je peux à peine réfléchir et prendre mon temps à mieux la préparer. Non... ça va être bestial, un vrai coup d'un soir le plus pur et brute.

-Maintenant... emmène moi danser... Hein.
Lui souriais-je le regards brillant d'envie et le corps s'échauffant rapidement
« Modifié: dimanche 25 août 2024, 23:19:47 par Masamune Kenjin »

Anna Sajin

Créature

Re : T'approche pas, je mords (PV Namiel)

Réponse 4 dimanche 25 août 2024, 23:13:16

Son regard à ma proposition fut sans pareil, passant de la douceur à la surprise, pour finir sur un désir sans équivoques. Une nouvelle vague de chaleur s’empara de moi et je gloussai doucement en réaction. Sans attendre, Namiel régla nos consommations et m’emporta vivement hors de la boite de nuit, comme s’il craignait que je change d’avis, évitant de justesse murs et badauds.

Plus de questions, plus de réflexion, je me contente de suivre le mouvement, m’agrippant fermement à cette main, enhardie par l’alcool et par un désir refoulé semblant renaitre de ses cendres.  L’air frais me caresse le visage quand je me sens sauvagement plaquée au mur, créant une onde de désir partant de mon bas ventre lorsque je sens son corps soudain pressé contre le mien.
Mes lèvres aussi avides que les siennes, je passe mes bras autour de son cou et me cambre, remontant le genou pour améliorer l’accès, sentant son excitation au travers de nos vêtements.
Mon corps entier semble reprendre vie après des années de vide, et désormais plus rien n’existe si ce n’est lui. Je le veux tout entier.

Comme s’il m’avait entendu il s’arrête de m’embrasser et se mit à chercher un coin tranquille, ce dont je lui fus reconnaissante, même si j’étais désormais si excitée que le sol aurait pu faire l’affaire. La saleté, les gens ou mon passé ? Plus rien n’avait d’importance en cet instant. Juste la promesse d’un bon moment à venir.

Pour mon plus grand bonheur, la pause fut de courte durée, et je me retrouvais de nouveau plaquée au mur, subissant les assauts du jeune homme qui s’avère encore plus passionné que précédemment.

Sa fougue m’électrise et je gémis dans sa bouche pendant que ma langue commence à danser avec la sienne. Le désir à son comble ma culotte se retrouve rapidement trempée, et tant mieux parce qu’il ne semble pas vouloir prendre son temps. Ca me va, je ne désirais rien d’autre que de le sentir en moi à ce moment-là.

-Maintenant... emmène moi danser...

Sa phrase me fait rire, l’air coquin, et je commence à déboutonner son pantalon rapidement, faisant jaillir son sexe, le prenant en main vigoureusement de haut en bas, ne laissant planer aucun doute quand a mon état d’esprit débridé du moment.



Masamune Kenjin

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Re : T'approche pas, je mords (PV Namiel)

Réponse 5 lundi 26 août 2024, 08:14:27

Hum ce baiser avec elle, ses lèvres si douces et chaudes contre les miennes... Ses courbes si attirantes et pourtant caché... Je sentis bien sa jambe prendre position pour que nous nous frottions l'un contre l'autre, tout autant que sa réponse positive à mon baiser.
J'aurais aimé profiter bien plus de ce moment dans un coin tranquille, propre, mais le désir est tellement fort, que je ne suis pas sûr de pouvoir attendre cinq-dix minutes, ne serait-ce l'hôtel le plus proche !

Finalement j'opte pour un coin pas trop loin à côté, mais assez éloigner pour éviter ceux traînant autours de la boite de nuit et de son parking.

A peine retrouvé que je recommence mon assaut envers Melody, je n'ai jamais connus un désir aussi impétueux, je peux à peine réfléchir tant mon corps me brûle de désir et qu'il me cri de la prendre.
J'en perds les pédales, je l'embrasse langoureusement et me met à activement la caresser, sans une once de douceur alors qu'elle est si belle...
Nos langues dansent ensemble et tandis que je reprends mon souffle, je déraille et lui redis ce qu'elle m'a dit.

Ce qui la fit rigoler et répondre en un sens à cette invitation. J'en pousse un soupire d'aise lorsque ma queue est enfin à l'air libre et se tend, droite et ardente de désir pour elle. Melody n'est pas en reste car elle commence à me branler avec vigueur, me faisant gémir et confirmé qu'elle est toute aussi excitée et désireuse que moi de ce moment-là.

Mon regard se plante dans ses beaux yeux émeraudes et je reviens l'embrasser passionnément, c'est si bon... j'ai envie de rester coller à ces lèvres. Mes doigts dans sa culotte, sente son humidité et la caresse avidement, frottant ma paume sur son clitoris et frottant sa fente de mes doigts, allant jusqu'à la doigté.

Brûlant d'un désir fou, j'arrive à peine à réfléchir, le monde entier n'est plus, il n'y a que moi et elle. Haletant, j'embrasse son cou, allant lui faire un suçon en grognant de plaisir sous ses doigts.

- Tu es mienne Melody.

Je n'en peux vite plus d'être aussi tendu que ça, à bander raide comme un piquet, sa me fait mal. Je la relâche, retirant ma main de sa culotte pour baisser son pantalon et son sous-vêtement trempée elle aussi d'envie. Aussitôt, mon bassin viens se coller à elle, frotter mon sexe au sien, et ce contact me donne des décharges électriques qui me rend encore plus fou de désir.
Impatient, je nous frotte, mais pas longtemps, tant j'ai l'impression que je vais venir à ce "simple" contacte. Je me dépêche de diriger mon gland sur ses lèvres et pousse, la pénétrant sans trop de difficulté, elle mouillait bien.

Cette sensation exquise... c'est presque une délivrance, je la pénètre, je veux la prendre encore et encore, la faire mienne. J'agrippe sa hanche gauche possessivement, gémissant de plaisir dans l'obscurité de la nuit.

- Han Melody...

Anna Sajin

Créature

Re : T'approche pas, je mords (PV Namiel)

Réponse 6 lundi 26 août 2024, 20:01:43

Namiel planta son regard dans le mien, d’une douceur qui contrastait avec la sauvagerie de ses actes, puis recommença à m’embrasser, passionnément, presque frénétiquement Je continuais de le branler, le serrant fort, tout en m’accrochant à ses cheveux de mon autre main.
Ses caresses m’arrachèrent quelques gémissements presque désespérés et je raffermis ma prise, caressant par moment son gland de mon pouce, faisant jaillir quelques gouttes de liquide séminal.

Une vraie bête sauvage, il semblait me dévorer, et alla même jusqu’à me marquer, Ce qui eu le don de me faire perdre les pédales. Je gémis alors et grogna en retour, passionnée et impatiente.

- Tu es mienne Melody

Mon sang ne fit qu’un tour et je me figeais un instant. Sienne ? Non… Plus jamais je n’appartiendrais à qui que ce soit. Malgré tout, ces quelques mots m’avaient fait quelque chose. Un sentiment brulant se mit à grandir en moi

- Pour la nuit Lui susurrais malgré tout je alors à l’oreille avant de la lui mordiller.

Il sembla à peine entendre et au fond cela m’était bien égal. Nos corps et nos lèvres s’entrechoquaient et se caressaient de désir l’un pour l’autre, formant une mélodie intime, tandis que le monde extérieur s’effaçait peu a peu.

Il glissa alors mon pantalon un peu plus bas, tout comme ma culotte, qui s’avérait détrempée à présent. Je me mordis alors la lèvre d’anticipation et geignit de plaisir quand je sentis son sexe se frotter contre le mien, Je me laissais alors emporter dans cette vague de plaisir.
Mais peu de temps pour profiter, Namiel se plaçant presque immédiatement contre mon intimité, pour s’y engouffrer d’un coup, me faisant crier d’extase.

- Putain oui !

Il glissait littéralement en moi, chacun de ses coups de boutoirs me faisant défaillir, je m’accrochais à son t shirt sous lequel je pouvais sentir saillir ses muscles tendus sous l’effort. Nos corps se mouvaient en parfaite harmonie, chaque mouvement résonant comme un aveu de plaisir partagé. Nos gémissements se mêlaient en une symphonie sensuelle qui emplissait l’espace.
Haletante, le dos frappant contre le mur, plus rien pourtant n’avais d’importance, je relevais la jambe pour qu’il puisse me pénétrer plus profondément et me mit a crier si fort que je fus obligée de lui mordre l’épaule pour atténuer le son afin d’éviter les voyeurs.

- Namiel, plus fort… soufflais- je, commençant a sentir l’orgasme poindre en moi, le ventre irradiant de vagues de plaisir a chacun de ses coups de rein.

Masamune Kenjin

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Re : T'approche pas, je mords (PV Namiel)

Réponse 7 lundi 26 août 2024, 20:32:53

Mon corps n'était... qu'un brasier se consumait à mesure que je prenais Melody.
J'avais l'impression, de n'être que pur sensation, mes muscles se tendaient alors que je m'enfonçais en elle, la tenant, l'agrippant, la pénétrant. C'était si bon, si intense, jamais je n'avais connus sa avec aucune des autres filles, s'en est un point que je pourrais dire que je ne connaissais pas le sexe.

Et c'était aussi pourquoi j'étais... Impatient, impétueux et peu réfléchis. J'aurais aimé prendre mon temps, mais je n'avais plus de notion du temps, de pensée, je n'étais qu'instinct et désire. Désire de ne faire qu'un avec elle.
Je l'entendais gémir et cela ne faisait que plus encore me stimuler alors que je sentais mon sexe en elle, dans son temple, au chaud, humide et si accueillant que je m'y engouffrais encore et encore. Gémissant sans retenue, tellement pris dans l'instant et mon plaisir personnelle, que je ne prenais garde à rien d'autre, si ce n'est ses soupires, ses suppliques.

A sa demande, m'attelais à la prendre avec hargne, bestialité, gémissant, grognant plutôt de plaisir de me la taper. Mon pénis était presque en feu, brûlant et si dur qu'il me faisait mal, je ne cherchas pas à me retenir longtemps. Après... De bonnes minutes ? J'agrippais ses hanches pour la coller à moi, m'enfonçant au plus profond de sa chatte pour venir en elle, poussant un puissant râle de plaisir, loin d'être discret.

Tandis que mon corps était pris de spasme de jouissance, je restais en elle, sans la lâcher, jusqu'au dernier moment, au dernier soupire de plaisir. Ou je repris enfin un peu mes esprits, dans ce moment des plus intenses, comme jamais je ne m'étais perdu dans le sexe.

Anna Sajin

Créature

Re : T'approche pas, je mords (PV Namiel)

Réponse 8 lundi 26 août 2024, 21:22:12

Ses hanches continuaient leur va et viens, dans une danse effrénée qui toujours plus me faisaient hurler. Je masquais tant bien que mal le son, mais le plaisir était tel que j’en perdait la tête, ignorant tout désormais de la bienséance.
D’un œil extérieur on eu pu croire que l’acte était d’une férocité sans nom, et c’était le cas, mais il y avait malgré tout ce petit quelque chose en plus. Comme si le jeune homme me revendiquait. Une sauvagerie certes, mais des plus pures, animale, a la manière d’un lion qui posséderais sa lionne.

Le plaisir était à son comble et je nous sentais l’un comme l’autre fébriles, comme prêts à céder à tout moment.
Nos bouches se dévoraient toujours ardemment et nos langues se caressaient dans un ballet enfiévré. Chaque fois que je sentais sa queue taper au fond de moi je sentais des vagues de plaisir refluer, de plus en plus fort quand il me prit fermement par les hanches, avant de jouir d’une force telle que ses spasmes déclenchèrent également mon extase.
Un orgasme d’une puissance telle que je me contractai immédiatement, mordant mon propre bras pour ne pas rameuter toute la ville.

Je n’en avais, d’expérience, jamais ressenti de si puissants, tel un éclair zébrant le ciel nocturne, une explosion de lumière et de chaleur, un torrent de sensations qui submergea tout sur son passage.

Mes muscles se contractèrent et mon corps se courba, et dans cette ultime libération tout devint flou, comme si l’univers entier s’était réduit à ce moment de pure intensité.
Je m’affalais alors légèrement essoufflée tout contre le jeune homme, manquant de m’effondrer sous la puissance de ce que nous venions de vivre. Je reprenais mes esprits doucement et commença a réaliser ce que je venais de faire. J’attendis un instant la culpabilité lancinante qui presque jamais ne me laissait respirer, mais elle ne vint pas.

Malgré tout, je commença à me défaire de la prise de l’homme, cherchant à me rhabiller, un peu perdue, le corps soudain si lourd, alors que mon cœur peinait à retrouver un rythme normal.
Machinalement je me mis a rire, un peu genée.

Masamune Kenjin

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Re : T'approche pas, je mords (PV Namiel)

Réponse 9 lundi 26 août 2024, 23:26:44

Cet acte... des plus bestiales que j'eus fait, me comblait. Je me sentais plus présent que jamais et mon esprit si loin de toute pensée futile. J'étais juste... là, avec Melody. Dans une union sauvage, auquel je ressentis tout juste son orgasme, trop pris par mon propre plaisir.

Je reprenais conscience, ayant presque l'impression d'avoir rêver. Cependant... J'étais bien là, le corps transpirant, haletant et fatigué de ce moment des plus fous. Je me retirais d'elle, en la soutenant, avant de moi-même utilisé le mur comme soutien, le temps de reprendre totalement mes sens.
Melody ne tarda pas à remettre son pantalon, signe que c'était fini.

Honnêtement, je ne savais pas quoi penser, je ne pouvais décemment pas la laisser partir comme ça, mais... j'étais embarrasser de... Vouloir la revoir ? Je ne sais pas trop ce qu'elle pensait, mais elle rigola, nerveuse, attendant peut-être un retour de ma part. Je remettais mon caleçon à mon tour et souris aussi naturellement que possible.

- ... Melody. C'était... Sacrément intense. Le pied. Je ne m'étais que rarement senti aussi ringard, mais j'avais du mal à trouvé mes mots, étrangement. HUm, si tu veux me revoir, voilà mon numéro. On pourra terminer notre échange, je t'en dirais plus sur ce que je fais.

Je lui tendais mon téléphone, avec le numéro apparaissant. C'était finalement plutôt rare que j'échange mon numéro, ne cherchant pas à revoir spécialement les filles avec qui j'avais couché. Elle accepta de prendre mon numéro, et sans retour de sa part, c'est elle qui me joindrai quand elle le veut.

Cette proximité, sa douce odeur... Sa timidité comparé à juste avant... Je vins me pencher sur son visage pour l'embrasser. Passionnément, mais tout de même moins fougueusement qu'avant, pour ne pas la faire fuir non plus.
C'est in baiser, bien doux, auxquels je peux presque entendre mon coeur bondir et... Elle y met fin. L'heure tourne...
Je suis à la fois frustré et un peu rassuré, c'est trop étrange.

- Bien sur, rentre bien.

Je lui fait un signe de la main et m'éloigne d'un pas "tranquille". Et lorsque je tourne dans une ruelle, j'accélère le pas. Y avait quoi dans la boisson pour que je sois dans cet état ? D'une certaine manière... ça m'énervait.

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Et... Bordel que je vins à regretter de ne pas avoir pris son numéro en retour !!! Chaque fois que je croisais une fille mignonne ou que j'avais envie de me faire du bien pour déstresser d'une dure journée, son image me revenait et... C'était encore plus dur, frustrant.
Rien, pas un putain de message ! Et merde, je m'en voulais d'être à cran comme ça, je n'allais certainement pas me laisser guider comme un petit toutou.

Une semaine après, j'étais à un café, quand je reçus son sms, ce fut une délivrance de voir son nom sur mon écran et... Bordel, je manquais de m'étouffer en lisant.

"Envie d'une nouvelle danse ?" Ok, celle-là je m'y attendais pas. Une rencontre peut-être, mais directement passer à la casserole ?
Malgré son doux air, c'était peut-être une croqueuse d'homme, j'en rigolais.
Je dûs me retenir de ne pas lui répondre tout de suite, réfléchissant à comment me "venger" de la semaine infernale qu'elle m'avait laisser poireauté et aussi prendre un peu de temps pour la connaître.

Deux heures plus tard, je savais quoi lui répondre.

"Bien sur. Mais que dirais-tu de jouer du tango chez moi ? Ce sera plus tranquille. Samedi, a 20h à l'adresse XXXx."

J'essayais de ne pas trop attendre sa réponse et sauta pourtant presque dessus.
"Parfait, à samedi alors." Une réponse, courte, simple. J'étais définitivement qu'un plan cul... Sa m'agaçait fortement.

Je prévoyais de lui apprendre les bonnes manières et alla acheter quelques petits trucs pour samedi. Préparant un repas, en vue de l'heure à laquelle je l'invitais, de pasta carbonara, avec du vin. ... Bordel je faisais le romantique ou quoi ?!
Bon, je ne m'y tout de même pas une musique du style hein ! Un peu rock, avec un jean noir et t-shirt blanc sans manche.
Je l'attendais impatient de la revoir. Elle tarda un peu, mais sans me poser un lapin, ni attendre une heure, la sonnerie retentit et l'invita à monter au cinquième étage. L'attendant avec impatience, je laissais la porte entrouverte avant de me retourner en l'entendant passer celle-ci.

- Bienvenue chez moi Melody. Content que tu ai trouvé la route jusqu'a mon appartement. Lui souriais-je charmeur en la regardant.

- Appartement [Cyberpunk 2077 : Glenn] -
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Anna Sajin

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Re : T'approche pas, je mords (PV Namiel)

Réponse 10 mardi 27 août 2024, 13:23:23

Ce fut lui qui prit la parole le premier.

- ... Melody. C'était... Sacrément intense. Le pied. J’haussais un sourcil, légèrement amusée. HUm, si tu veux me revoir, voilà mon numéro. On pourra terminer notre échange, je t'en dirais plus sur ce que je fais.

Je le regardai, surprise. Se revoir ? Tout mon corps me hurlait de fuir, de prendre mes jambes a mon cou et de rentrer chez moi sans un regard en arrière.

-Oh...oui. je répondis malgré tout, me fustigeant intérieurement, un peu gênée. C’était... sauvage…

Je m'approchais machinalement et regardait le numéro, sortant mon propre téléphone pour le noter.  ok, euh... C'est bon. J'ose à peine le regarder dans les yeux.

Le voyant se rapprocher je m'apprête a reculer, hésitante, mais mon corps refuse d'obéir, comme hypnotisé. Ses lèvres se posent alors sur les miennes et je me perds un peu dans son baiser, l’appréciant plus que de raison, avant de reprendre mes esprits et me reculer.

-Il est tard .. je.. je vais rentrer… dis je en fuyant son regard, les pommettes roses.

- Bien sûr, rentre bien.

J’hoche la tête en remerciement et tourne le dos, pressée de fuir cet homme, ce lieu et cette situation embarrassante pour retrouver mon chez moi, l’esprit malgré tout curieusement apaisé pour une fois.

Il me fallut plusieurs jours pour me remettre de cette folle nuit. Maelys était passée me voir, une boite de macarons au chocolat en offrande s’excusant pour la veille, et fut surprise de me retrouver aussi sereine. Je ne lui en voulais pas et elle ne tarda pas à deviner pourquoi, malgré mes propos énigmatiques. Il faut dire que je n’avais pas pour habitude de m’épancher sur mon intimité, contrairement à elle mais était ce ma démarche un peu difficile ou ce sourire débile sur mon visage ? Elle m’avait cramé presque instantanément.

Je n’eu d’autre choix que de lui parler de lui, dont le nom doucereux semblait presque m’obséder désormais.

-Comment ça tu refuses de le rappeler ? Elle était visiblement outrée.

-Parce que c’est toujours comme ça que ça commence, et après… Je serre les dents, le regard dans le vide, incapable de finir ma phrase.

- Je sais… Elle me prit dans ses bras, réconfortante. Mais cette soirée t’a fait grand bien, ça se voit, essaie d’y réfléchir, tu pourrais juste le voir pour te faire plaisir ? la plupart des mecs ne demandent rien de plus de toute façon. Dis t’elle, un peu blasée.
Je fronçait les sourcils et grommela un vague « on verra » pour lui faire plaisir.

¨¨¨¨¨¨
Une semaine s’était déjà écoulée et malgré tout mes efforts je ne parvenais à effacer Namiel de ma mémoire. Plusieurs fois ces derniers jours j’avais pris mon téléphone en main et commencé différents messages comme « ça va depuis l’autre fois ? » ou « Quoi de neuf ? » ou encore un simple « Hey ! » Tous effacés quasi instantanément. J’étais horriblement partagée entre ma peur d’une relation suivie et mon envie de le revoir et de vivre a nouveau quelque chose d’aussi intense que cette nuit-là.
Il fallait que je sois claire, et directe. Je souris alors et pris mon téléphone.

« Envie d'une nouvelle danse ?" Je rigolais toute seule en imaginant sa tête à la réception du message.
Deux heures plus tard à peu près, sa réponse arriva, et elle me convenait parfaitement. Pas de resto, pas de chichi, tout deux semblions sur la même longueur d’onde.

"Parfait, à samedi alors." Envoyais je , m’étalant sur mon lit, le sourire aux lèvres rougissant un peu à la perspective de sa soirée à venir.

¨¨¨¨¨¨
J’avais mis des plombes a savoir quoi mettre, trop sophistiqué, trop sage, trop…Maelys (mais bordel comment faisait elle pour ne pas se faire embarquer pour racolage avec des tenues pareilles ?)
J’optai finalement pour une petite robe simple, noire lacée de rubans blancs sur les côtés, et une petite veste de cuir. J’hésitais à mettre des escarpins mais je ne voulais pas en faire trop. Mes petites tennis noires et blanches feraient parfaitement l’affaire. Un coup de parfum et je me mis en route, les cheveux lâchés sur mes épaules comme à leur habitude.

J’étais à peine en retard, comme toujours quand je devais me rendre quelque part, lorsque je me retrouvai au pieds d’un grand immeuble, un de ceux pourvu de ces magnifiques appartements tout confort que seuls les gens qui avaient un minimum d’argent pouvaient se payer.

Je sonnai et obtempéra quand l’homme me demanda de le rejoindre au 5 ème étage.

La porte ouverte, je m’y engouffrais et m’arrêta un instant, d’une part impressionnée par la beauté du logement, sobre et spacieux, très lumineux et d’aspect moderne, manquant juste un peu de décorations éventuellement. Une véritable garçonnière en somme. La seconde chose qui me frappa fut l’odeur. Avait-il…Cuisiné ? Je réfrénai soudain un élan de panique a cette idée, préférant ne pas m’imaginer de choses trop vite. On avait été plutôt clairs par message, et je ne voyais pas pourquoi Namiel se sentirais d’un coup le besoin de me courtiser, vu que d’une certaine façon, j’etais déjà à lui.

- Bienvenue chez moi Melody. Content que tu ai trouvé la route jusqu'a mon appartement.

Quand il me regarda de son sourire plein de charme, mon corps me trahit alors lamentablement et une réponse enjouée se dessina sur mes lèvres. Et merde … pensais je alors. Je suis foutue…


Masamune Kenjin

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Re : T'approche pas, je mords (PV Namiel)

Réponse 11 mardi 27 août 2024, 18:54:15

J'avais hâte de la retrouvé et voir si ce que j'avais préparer lui plairait ou si... Sa ferait un beau flop. Je pensais ne pas trop me tenter vue sa réaction avec moi, mais... Parfois, on est juste un peu trop exalté pour réfléchir à ce qu'il se passe.
J'entendis ses pas et me retourna vers elle, la saluant en l'observant.

Une tenue simple, mais largement suffisante et...

- Tu es bien plus belle qu'au Raven, sans les néons.

Je m'approchais d'elle et pris sa main, venant lui faire un baise-main, que je transformais rapidement, pour la tirer contre moi, passant un bras autours de ses hanches, plantant mon regard dans le sien.

- Voir tes beaux yeux émeraudes avec de la lumière... Oh ce soir nous allons bien danser Melody.

J'humains son parfum, délicat, à la vanille. Elle avait une allure gracieuse et timide, de quoi envouter bien des hommes... Ce qui enflammait mon coeur, de... Jalousie ? Posséssivité ?

- Tu as déjà mangé ou ce sera pour après ? Il faut reprendre des forces après un duo déchaîner, pour recommencer. Lui souriais-je coquin.

Mais avant qu'elle n'eut le temps de me répondre, je vins l'embrasser avec fougue, je n'avais pas résister à la tentation, collant mon bassin au sien, elle pouvait y sentir une érection naissante, qui n'attendait que de jouer avec elle...
Bien que surprise, je la sentis se détendre et répondre à mon baiser, se collant à moi. Mon corps commença à chauffer, tandis que mon coeur accéléra sa course dans mon torse.

Je dus rompre malgré moi ce baiser et reprendre un peu mon esprit. La regardant, j'effleure sa joue avant de lui retirer son manteau pour la mettre un peu plus à l'aise. Je le posais sur un cintre murale et revint vers elle, posant ma main sur son fessier et la poussant à rentrer un peu plus dans mon appartement que de rester à l'entrée. La porte se ferma derrière elle.

- Alors, tu veux manger ? Où tu commence tout de suite par l'entrée qu'est ma queue ? Lui sussurais-je suavement à l'oreille.

Sa réponse me fit rire, prouvant à nouveau ce qu'elle désirait, je rigole avec elle et lui mit une petite fessée.

- Très bien, on verra si on a faim après ce premier round.

Je la tirais alors jusqu'au canapé avant de m'y asseoir en premier et la tirer sur mes jambes, remontant sa robe sur ses cuisses pour bien se mettre. Ainsi poser je l'embrassais passionnément et profita de ce face à face pour pouvoir caresser sa poitrine pardessus sa robe. Elle pouvait sentir sous elle mon érection.

Je lui laissais pour ce tour, le "contrôle".

Anna Sajin

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Re : T'approche pas, je mords (PV Namiel)

Réponse 12 mardi 27 août 2024, 20:43:43

- Bonsoir Namiel, Dis je d’une voix moins assurée que je ne l’aurais voulu. Sympa chez toi.

- Tu es bien plus belle qu'au Raven, sans les néons.

Rougissant immédiatement, surprise par ses propos, je me contenta de sourire comme une adolescente intimidée. Mais qu’est ce qui me prenais bon sang…

Puis je le vis s’approcher et il me pris la main pour l’embrasser, avant de m’attirer à lui, plantant son regard d’or dans le mien. 

- Voir tes beaux yeux émeraudes avec de la lumière... Oh ce soir nous allons bien danser Melody.

Je me sentis alors rassurée d’une certaine manière. Nous étions bien sur la même longueur d’ondes. Chose qu’il me confirma en ajoutant :

-Tu as déjà mangé ou ce sera pour après ? Il faut reprendre des forces après un duo déchaîner, pour recommencer.

Tout ça Le regard d’une intensité brulante.

Je n’eu le temps de lui répondre qu’il se pencha sur moi, me rappelant le gout délicieux de ses lèvres. Aussitôt mon corps répondit à son appel et je me cambrai inconsciemment, comme aimanté par sa peau. Son odeur s’insinua dans mes poumons, promesse d’une nouvelle nuit torride, et c’est avec une pointe de regrets que je le sentis rompre le baiser.
En parfait gentlemen, il récupéra ma petite veste de cuir et l’accrocha sur un ceintre, avant de m’indiquer de manière plutôt familière, mais pas désagréable, ou je devais me diriger. Puis, il me chuchota a l’oreille, provoquant ma surprise

- Alors, tu veux manger ? Où tu commence tout de suite par l'entrée qu'est ma queue ?

Celle-là je ne m’y attendais pas.

- Ça marche vraiment avec les autres filles ce genre de baratin ?
Je lui demande en rigolant mais sans méchanceté aucune. Je ne suis pas venue ici pour manger... dis-je, le regard sensuel et affirmé.

Il se mit à rire, d’une voix rauque et sexy avant de répondre

- Très bien, on verra si on a faim après ce premier round.

Et sur ces mots il m’attira vers le canapé, me faisant glousser avant de m’installer à califourchon sur ses genoux. Aussitôt il m’embrassa passionnément et je lui rendis son baiser. Nous en avions visiblement autant envie l’un que l’autre au vu de la ferveur que nous y mettions.

Je me mis a gémir a ses caresses et sentit une onde de plaisir me parcourir lorsque je sentis son sexe déjà engorgé pointer contre ma culotte, me faisant mouiller instantanément.
Je passais alors mon bras autour de ses épaules, les croisant pour assurer ma prise, avant de commencer à remuer, chacun de mes à-coups décuplant mon excitation, me faisant gémir de plaisir.

Cessant un instant de l’embrasser je me mis à tracer un sillon de baisers dans son cou, tout en remontant jusqu’à son oreille, la lui mordillant au passage.
Puis, impatiente, je commence a glisser ma main en direction de son sexe, le caressant et le pressant un peu au travers de son jean, avant de le déboutonner, et faire glisser doucement la fermeture éclair, baissant un peu son pantalon dans la foulée.

Sans plus attendre j’alla chercher son sexe et le relâcha, le faisant jaillir telle une bête sauvage que j’attrapa de ma main comme si je ne voulais pas qu’il s’enfuie. A ce moment je jeta un œil a Namiel et…putain ce qu’il était beau avec ses yeux mi-clos et ses lèvres rosées de désir…

Lentement et sans le quitter des yeux, presque insolente je me levai, et fit glisser ma petite culotte blanche le long de mes jambes, l’enlevant totalement. Puis je m’avançai sur lui et m’agenouilla de nouveau, mettant en contact nos intimités mutuelles, lui démontrant alors toute l’étendue de mon excitation.

Je commençai alors à me frotter doucement à lui, effectuant des va et viens appuyés et langoureux, puis, le désir montant rapidement, j’augmenta la cadence avec passion.

- Ce soir Namiel c’est toi qui m’appartiens… je murmure à son oreille, doucereuse.

Puis passant la main entre nos jambes, je me place correctement et saisissant sa queue pour la mettre bien en face, je m’empale dessus lentement, centimètre après centimètre, jusqu’au fond, ce qui me fait expirer bruyamment de plaisir.

Lentement alors, je commence à remonter, puis redescendre, profitant de chaque sensation au maximum avant de me mettre à accélérer. Je m’accroche alors à ses épaules fermement, laissant de légères traces sur sa peau, témoin silencieux de mon plaisir croissant, et augmente la cadence, fermant les yeux de plaisir.

Mon corps, déjà bien échauffé, entre alors en ébullition et je m’affaire, de plus en plus sauvagement. Mes gémissements se transforment en geignement sexy, plus en véritables cris de plaisir. Je donne tout ce que j’ai, perdue dans mes sensations, embrassant le jeune homme par moments d’une fougue exaltée.

La passion monta et mes mouvements devenaient plus urgents, plus désespérés. Mon souffle s’accéléra, se saccadant au rythme de mon désir brulant. Je murmurai alors son nom, comme une prière silencieuse, avant de me perdre en lui, laissant la passion me consumer totalement.

Quand la vague déferla enfin, mon corps se tendit dans un plaisir si intense qu’il en devint presque douloureux. J’étouffa alors un « putain » tout contre son épaule et mes mouvements ralentirent, savourant chaque seconde de cette étreinte qui me laissa toute tremblante.

Masamune Kenjin

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Re : T'approche pas, je mords (PV Namiel)

Réponse 13 mardi 27 août 2024, 22:32:31

Je fus ravie qu'elle réponde à mes lèvres avec tout autant de fougue, c'était... une sorte de nécessité si je puis dire. Profitant de cette position ou elle était la leadeuse, je vins la caresser, la faisant gémir avant qu'elle ne m'étreigne.
Je n'aime pas ça... Comment je peux me sentir aussi bien avec elle ? J'ai l'habitude, j'ai eu de nombreuses filles dans mon lit, à m'étreindre, me caresser, m'embrasser et pourtant... C'est dur à expliquer, mais je sais que c'est différent avec elle. J'ai l'impression de boire un bon rhum, qui me détend et me réchauffe de l'intérieur, tout en m'enivrant discrètement.

Le baiser fut rompus, et j'en profitais pour inspiré profondément, pleinement afin d'avoir le contrôle de mes émotions, oubliant de la toucher, avant de sentir ses lèvres sur ma peau, me faisant frémir et soupirer. Puis ce fut sa main qui me donna un frisson, souriant en sentant mon jean être ouvert, bouger et enfin mon sexe se tendit, se dressant tranquillement, je grimace a sa prise, me stimulant de nouveau.

- hmmm Melody. Soupirais-je à cette sensation grisante.

Je r'ouvris les yeux et eu une jolie vision, d'elle, retirant sa culotte, je ne vie pas grand chose... Comme la dernière fois d'ailleurs, restant habillé et caché par sa robe. Mais c'est tout aussi excitant. Elle revint et je senti la différence, ses lèvres intimes, humides sur mon sexe, se frottant mutuellement, cette fois-ci, mon érection chauffait en plus d'être déjà bien dur.

Plongeant mon regard dans le sien, elle dériva pour me murmurer quelque chose, je loupais un battement de coeur, rougissant, cela ne se voyait qu'au oreille. Mon ego en prenait un coup mais... c'était bien agréable de l'entendre dire.
Je voulais lui répondre, mais ne trouva rien, me contredisant mentalement. Elle ne chercha point à en savoir plus et me dirigea en elle. Je fermis ainsi les yeux, soupirant de plaisir et la laissant faire.

J'étais focus sur mon souffle et les sensations, l'étau de chair sur ma queue. Et bientôt les mouvements de son bassin sur le mien, s'enfonçant, se retirant. Le temps sembla distordu avec les yeux fermés et je ne pouvais m'empêcher de sourire en entendant mon prénom sortir discrètement de ses jolies lèvres. J'en posais mes mains sur ses hanches, l'aidant, la soutenant si besoin alors qu'elle glissait sur mon pénis jusqu'au me faire grogner de plaisir et sentant son orgasme venir, la pression de son temple sur mon sexe, je ne tenue pas et poussa un râle de plaisir, venant en elle.

Mon corps se tendit, en feu, la tenant fermement, avant de se calmer après une bonne minute, Melody était accroché à moi, me tenant comme si elle risquait de tomber. J'appréciais ce moment, puis repris la parole.

- Et bien... on peut dire que tu sais te donner corps... dans l'action. Ne terminais-je pas correctement la sentence. Encore réticent. Reprend ton souffle, je te propose un bon verre d'eau frai pour s'hydrater.

Et sans réfléchir je lui fis un bisou tendre à la joue. ... Cela me mis mal à l'aise. Qu'est-ce que je fiche ?
Ce fut une belle connerie et je le devinais rapidement à l'expression figé de Melody.

La tenant par la hanche, je la relevais pour la basculé sur le canapé et me relevé, m'étirant avant d'au moins remettre mon caleçon. Nue oui, mais pas juste la braguette ouverte quoi, donc là, rhabiller.

Oui, je fuyais vers la cuisine, prenant deux verres que je remplissais d'eau, avant de me dire qu'on pouvait se poser un peu. Je pris un plateau et mis des appéritifs puis revins avec le tout au canapé.

- J'ai envie d'un peu mieux te connaître Mélody. Tu m'avais demandé ce que je fais. Je suis horlogé, je répare et confectionne les monstres surtout. Et toi ? Tu travail dans quoi ? La fixais-je en prenant mon verre d'eau afin de m'hydrater après cette 1ère... séance.
« Modifié: mercredi 28 août 2024, 09:18:27 par Masamune Kenjin »

Anna Sajin

Créature

T'approche pas, je mords (PV Namiel)

Réponse 14 mercredi 28 août 2024, 13:25:30

L’orgasme s’atténuait et je reprenais doucement corps avec la réalité, la, accrochée à Namiel, presque comme si ma vie en dépendait.

- Et bien... on peut dire que tu sais te donner corps... dans l'action. Reprend ton souffle, je te propose un bon verre d'eau fraiche pour s'hydrater.

Je souris timidement, balbutiant un merci, agréablement surprise par sa prévenance.

Puis je me figea, étonnée, lorsqu’il s’avança vers moi, déposant un baiser d’une grande délicatesse sur ma joue et me fustigea quand je vis qu’il se sentait gêné par ma réaction. Je n’étais juste plus vraiment habituée aux démonstrations d’affections mais son geste m’avait ébranlée, je du le reconnaitre. Reprends toi Melody… Il s’agissait la d’un plan cul, rien de plus, et le mieux aurait été que je parte sur l’instant. J’avais eu ce que j’étais venue chercher non ?

Pourtant j’étais incapable de me redresser, ou d’ouvrir la bouche. Qu’est ce qu’il m’avait fait ?

Lisait-il en moi ? ce fut à cet instant qu’il me prit par les hanches et me fit basculer sans efforts pour pouvoir se relever.
Profitant de son détour vers la cuisine, je sortis un mouchoir de mon sac pour m’essuyer, puis je récupérai ma culotte et l’enfila, avant de le voir revenir avec de l’eau et des petits gâteau apéro, ce qui me fit sourire malgré moi.

- J'ai envie d'un peu mieux te connaître Mélody. Tu m'avais demandé ce que je fais. Je suis horloger, je répare et confectionne les monstres surtout. Et toi ? Tu travail dans quoi ?

Un peu surprise par la tournure plus…personnelle que prenait la soirée, je luttai un instant contre ma voix intérieure qui me hurlais de fuir. Prenant une gorgée d’eau pour la faire taire et pour me réhydrater un peu, je finis par répondre, d’un sourire un peu intimidé.

- Un horloger ? Tu dois être extrêmement minutieux alors, et habile de tes doigts. Je rougis instantanément à mes propos, n’ayant percuté le double sens qu’après les avoir prononcés. L’air de rien je poursuivit ; Moi je suis psychologue, spécialisée en art thérapie. Je suis fascinée par les mystères de l’inconscient humain ajoutais je, les yeux brillants d’amour pour mon métier.

Il me questionna alors et je m’enflammais direct sur le sujet, lyrique.

- Il s'agit surtout d'extérioriser ses émotions et ressentis par la créativité. Dis-je passionnée. Et il ne s'agit pas que de dessin, mais de peinture, de sculpture, de créations diverses... Le corps emmagasine généralement des émotions que le cerveau refuse de reconnaitre, l'art thérapie permet de vider ce trop-plein en en faisant quelque chose de palpable, de le sortir de son corps pour en prendre conscience, mais aussi l'apprivoiser et je... Je m'interrompis, et baissa un peu le regard, trop loquace à mon gout. Désolée je m'enflamme un peu quand on part sur ce sujet. Je souris. Et toi, qu'est ce qui t'a mené vers l’horlogerie ?

Sa réponse me fit sourire malgré moi et je me perdis un peu dans son regard.

- C’est très sage de ta part, peu osent se remettre en question, et c’est bien dommage, l’homme est perfectible tout au long de sa vie… Dis-je, le regard un peu perdu dans le vague, ne remarquant pas son rapprochement discret. Tu étais en quelque sorte destiné a ce métier alors, tu as baigné dedans depuis l’enfance. C’est chouette je trouve. Répondis-je, sincère. Tu as une petite sœur ? je t’envie un peu, j’ai toujours rêvé d’en avoir mais… Je grimaçai légèrement à l’évocation de mon enfance. J’étais fille unique.

Il me répondit, mais j’écoutais à peine ses mots, trop occuper à me noyer dans son regard, d’une intense douceur. Puis jetant un bref coup d’œil a ses lèvres je me surprise à vouloir l’embrasser de nouveau. Repoussant cette idée je rebondis sur sa dernière phrase.

- Oh, désolée que ça se soit passé comme ça, pour ta sœur. Dis-je sincèrement. C’est important la famille, enfin j’imagine…

La conversation s’enchaine et il me questionne désormais sur mes hobbys, nouveau sujet passion à mes yeux qui se mettent à pétiller d’intérêt quasi instantanément.

- En effet, je suis aussi créatrice à mi-temps. Je peins, je sculpte, je fabrique… J’aime particulièrement tout ce qui est minutieux comme reproduire des scènes de la vie réelle en miniature. Je pourrais te montrer a l’occas… Je me fige net, rougissant doucement, soudainement mal à l’aise d’envisager qu’il puisse venir chez moi un jour.



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