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Inside the Lux, the place of Lust [Sareeth]

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Leon Redgrave

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Inside the Lux, the place of Lust [Sareeth]

vendredi 10 mai 2024, 19:49:47

Enzo était un informateur au contact des services secrets du gouvernement, notamment la Devil Hunter association, une organisation gouvermentale secrète dont le but était de chasser les démons de la ville en faisant appel a des Devil hunters tels que moi. Enzo ramenait des contrats aux soi-disant Devil hunter et lui récupérait un petit bénéfice. Son extrême grossièreté acquise au contact du milieu faisait qu’il n’était pas particulièrement apprécié de ma personne, étant contraint – malgré moi – de faire affaire avec Enzo.


Quant à moi, j’étais un démon qui s’était rebellé contre les siens, traversé les époques pour me retourner contre mes propres pairs, fondant par la même occasion la Devil May Care, une agence de lutte anti-démons. Avec les années, je commençais à me faire une réputation dans le milieu et attirer le courroux des enfers qui me voyaient comme une menace à éliminer tant j’avais fait des dégâts dans leurs rang.



Aujourd’hui, j’avais rendez-vous avec Enzo qui voulait me parler d’une nouvelle trouvaille au lux, il m’avait appelé au téléphone, sans me donner plus de détails. Le Lux, était une fameuse boite de nuit qui était célèbre pour gorger de mafieux en tout genre, et dont les gérants étaient soupçonnés de blanchissement d’argent. On racontait d’ailleurs que les propriétaires étaient en réalité des démons, et que lux, en plus de servir de repaire criminel, était également un repaire démoniaque secret. Les soirées mondaines ne m’avaient jamais enchanté personnellement. Et j’étais sur le point de raccrocher à Enzo mais ce dernier avait insisté, en plus l’addition était sur son compte.


L'entrée du Lux se faisait sur une mezzanine qui surplombait la boite de nuit. Deux escaliers y menaient. On y voyait souvent une foule conséquente faire la queue, souvent accoudés aux rambardes de la mezzanine, toisant ce qui se passe plus bas dans le reste du club. Pénétrer dans le club n’était pas chose aisé, mais j’avais un passe-partout, le golden coin, une pièce d’or qui signifiait qu’on travaillait pour le compte de Scarlett society, la mafia qui contrôlait la ville. Lorsqu’on présentait cette relique au videur du bar, on pouvait entrer sans même faire la queue. Plutôt pratique… maintenant, sur comment je m’étais procuré cette relique, c’était sur une longue histoire…


Je repéra rapidement Enzo a l’intérieur, il était assis dans un coin VIP, comme a son habitude, entrain de déguster du whiskey et de fumer son cigare. Il était accompagné par deux charmantes jeunes filles, qui étaient, pour ainsi dire, peu vêtues.


Oh ! te voilà, mon cher Léon ! J’ai failli d’attendre ! », s’exclama Enzo


Je soupirai avant de lui répondre :


« Je vois que tes habitudes n’ont toujours pas changés et que tu es toujours fan d’adolescentes en mini-jupe »

D’un geste de la main, Enzo ordonna aux deux filles de quitter des lieux, et elles s’exécutèrent.


« Viens, assieds toi Léon, j’ai quelque chose à te montrer ! »

Je pris place, m’asseyant sur le sofa en cuir. La musique battait son plein et l’alcool coulait à flots.


« C’est bon, elle arrive ! »

« Qu’est ce qui arrive ? », demandais-je intrigué.


« Une pétasse d’un tout autre calibre, une beauté complétement canon, sareeth, la nouvelle sensation du lux ! »
Musique


Sareeth

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Re : Inside the Lux, the place of Lust [Sareeth]

Réponse 1 samedi 11 mai 2024, 04:31:01

« Sareeth ! Ma belle. » Le propriétaire du Lux est une vieille connaissance. Ce démon de l’avarice m'a offert un coup de main quand j’ai cherché à m’installer sur Terre, en tant que camgirl. Avec les êtres de notre espèce, tout finit toujours par se payer. Son appel n’a rien d’innocent. Je ne connais pas ses intentions mais je peux deviner qu'il veut m’utiliser pour l’un de ses business. Cette simple idée m’inspire un profond ennui. « Tu me veux quoi, connard ? » Je veux en venir aux faits pour me débarasser de lui, au plus vite. Mais il ne semble pas le comprendre de cette oreille.

D’une main, il se saisit d’un verre de whisky qu’il porte à ses lèvres. Il déguste, l’éloigne et le reprend. Ses gestes sont d’une lenteur excessive et ma patience s’érode vite. Il le comprend et continue, trouvant un malin plaisir à jouer avec mes nerfs. Dans l’encadrement de la porte, que je n’ai toujours pas quitté, mon regard flamboyant se fait sévère. Mes bras se croisent sous ma poitrine et il finit par en venir au fait, à ce qui nous amène prestement dans son penthouse. « Il est temps de rembourser ta dette envers moi, ma belle. » L’annonce ne m’étonne guère mais je l’invite à s’exprimer davantage d’un simple geste de la main. « J’aimerais que tu te produises trois soirs sur ma scène. »

Sa demande est simple en apparence mais elle cache quelque chose. Je peine à le croire. « C’est tout ? » Il me le confirme d’un geste. « Mets-le à l’écrit. » Il s’exécute. Un parchemin apparaît et il transcrit de sa main les termes de notre discussion. Mes représentations successives annuleront ma présente dette à son égard. « Signe-le en premier. » Il ne remet en doute aucune de mes demandes. Ma présence lui est nécessaire mais j’ignore les desseins sombres que je sers. Je n’ai jamais eu d’intérêt pour son business. Seuls quelques échos du monde démoniaque m’en sont parvenus. Il se sert de la mafia locale pour sa rentabilité et se met à dos de nombreuses personnes.

Ses problèmes ne sont pas les miens. Je ne resterais pas longtemps associée à son entreprise. « Présente-moi sous ma véritable identité. Une fois que ma dette sera payée, ne me rappelle plus. » Ce gars-là est un vrai nid à emmerdes. Il serait prêt à nuire à mes projets et ternir ma réputation de camgirl pour me forcer à supplier son aide. Je préfère encore aider ses ennemis.

- - -

Dès la première figuration, les habitués ont retenu mon nom et il s’est répandu comme une traînée de poudre. A la troisième, de nouvelles têtes se bousculent dans le club pour y assister. Les escaliers sont pleins et la file d’attente, à l’extérieur, s’étend sur plusieurs dizaines de mètres. Quand tout à coup, la musique démarre, le dj annonce la fâcheuse nouvelle : « Je vous prie d'accueillir Sareeth pour sa dernière prestation au Lux ! » Une vague d’indignation se fait entendre mais j’en suis soulagée dans les coulisses. Après ce soir, je serais libérée de mon contrat et de mes obligations envers ce maudit établissement.

L’ambiance est différente de Terra. De ma danse langoureuse, j’y échauffe les esprits avec lenteur. Ils finissent par se jeter à mes pieds. Ils sont envoutés par mon charme et ensorcelés par ma beauté. Mais au Lux, j’affronte des gorets abreuvés de stupre. Ils n’ont d’attente, ni de besoin. Ils sont bouillants alors que mes talons foulent la scène pour la première fois. Je les vois se jeter aux abords, les mains chargées de billets. Il n’y a aucune magie à danser dans un tel lieu.

J’exécute mon contrat. J’y donne du cœur à l’ouvrage. Mais un homme dans la foule semble y lire clair dans mon jeu et ma lassitude de cet endroit. Quand la musique sonne ses dernières notes, je m’approche. Un employé m’aide à descendre sur scène et à rejoindre le coin VIP sans qu’aucun ne se mette sur mon chemin. Je sens les regards se presser contre moi, détailler ma tenue et imaginer sans. Leur désir empeste. Mais un seul homme m’intéresse dans ce nid de porcelet.

« Je ne vous ai pas convaincue ? » Je m’adresse à cet homme énigmatique et prend place à ses côtés. « Peut-être puis-je vous offrir une prestation privée pour vous dévoiler l’étendue de mes capacités ? »

Leon Redgrave

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Re : Inside the Lux, the place of Lust [Sareeth]

Réponse 2 dimanche 12 mai 2024, 18:58:40

Sareeth entra donc en scène, sous le coup de feu des projecteurs. Légèrement vêtue, comme c’était le cas de nombreuses strip-girls, sareeth exécuta un numéro de danse comme on voyait rarement. Bougeant habillement ses hanches, la jeune fille avait conquit le public qui avait en réclamait davantage. Les cris de la foule inondèrent la salle, au point de m’assourdir. Je n’arriverais jamais à comprendre comment les humains peuvent tolérer un tel vacarme…
 
A coté de moi, se trouvait Enzo, en train d’applaudir joyeusement sareeth, le bougre était littéralement entrain de baver sur elle. Nul besoin de décrire le dégout que je ressentais à un tel moment. Comment les humains pouvaient-ils être aussi mondains, aussi bas ? bien qu’il fût jadis un temps ou je respectais les humains à cause de leur vulnérabilité (ces derniers étaient bien trop vulnérables face à la menace démoniaque), l’expérience me montra, au contraire, que les humains n’étaient pas aussi « saints » que l’on croyait, et qu’ils avaient, eux aussi, leur lot de décadence. Les démons avaient simplement plus de moyens pour exprimer cette décadence.
 
Puis, quelque chose brisa mon flot de pensées : il s’agissait de la danseuse, cette mystérieuse sareeth. Elle dégageait une aura un peu particulière… je fronça les sourcils et me pencha un peu plus en avant, essayant d’analyser chaque mouvement qu’elle faisait.
 
Il est clair qu’elle a de l’expérience…
 
Vu la fluidité de ses mouvements, c’était clair, elle avait déjà dansé auparavant, et pas qu’une fois. Cependant, outre son habilité corporelle, il y’avait également autre chose qui m’intriguait. Quelque chose que je n’arrivais pas à conscientiser. La meilleure chose, c’était de la rencontrer directement. Chose non aisé, car ce genre de filles étaient souvent entourés par des videurs, qui devaient s’assurer de sa sécurité personnelle. Il n’était pas rare qu’un homme bourré tente d’harceler sexuellement une strip-girl, c’était même assez courant. Et pour parer à ce phénomène, les boites de nuits vip tels que le lux prenait des dispositions. Cependant il devait bien avoir un moyen pour que je puisse percer la ligne de défense.
 
Et ce moyen, il se présenta à moi, sans que je fasse le moindre effort. J’écarquilla les yeux quand elle me repéra, encore plus quand elle décida de s’asseoir à notre table, en me proposant notamment « une prestation privé ». Je resta silencieux, puis Enzo bondit :

« Oh, écoute ma belle, si tu veux donner une prestation a quelqu’un, fais-là moi, d’accord ma poule ? Moi je serais ravi de passer un moment privé avec toi. Quant a mon ami ici, c’est un introverti, tu vois ? ce n’est pas un amateur de femmes. Moi au contraire, ma jolie, je sais apprécier les belles filles comme toi a leur juste valeur. Et je- »
 
A l’entente du ton si délicatement insolent et de son intrusion inopinée dans notre conversation, je ne pus réprimer une soudaine envie de lui fermer son clapet, en plaquant ma main contre sa geule, lui jetant par la même occasion un regard glacial. Je me retourna finalement vers mon interlocutrice, avant de la répondre :

« Je suis d’accord, on va dans votre cabine de maquillage ? »
 

Sareeth

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Re : Inside the Lux, the place of Lust [Sareeth]

Réponse 3 dimanche 12 mai 2024, 21:55:33

Vivre parmi les humains m’a entraîné à cacher mes attributs démoniaques et mon aura. Ils ne sont que peu perceptibles, au-delà d’une étrange sensation que je dégage. Mais quand mon désir s’éveille, ma nature transparaît comme une évidence. Il faut une certaine prédisposition pour le comprendre et les humains lambdas tombent dans le panneau. Pour un de mes congénères, la certitude finirait par se manifester sous son nez. Enfin. Faut-il encore me débarasser du profond ennui que cette saloperie de démon de l’avarice a entraîné dans son sillage.

Les représentations et le bruit excessif m'agacent. Je n’aime pas ce lieu et encore moins dans la position où je m’y trouve. La fin du contrat le rend à peine respirable. Mais j’ai peut-être trouvé plus divertissant que l’amas de porcelets réunis dans le club en cet homme énigmatique. L’autre démon n’a plus d’emprise pour me faire chanter, il est temps d’en profiter… S’il veut bien me répondre. Il se renferme dans le silence et son ami, le petit cochon, saute sur l’occasion.

Il n’y a ni fierté ni instinct de survie. Il me répugne. Mon regard méprisant en dit long au fil de ses paroles. Je ne prends la peine d’y répondre, j’ignore son existence quand enfin, ma proie daigne m’accorder quelques mots. Il a étouffé son collègue et accepté mon invitation. « Personne n’ira nous déranger là-bas. » Je me lève d’un élan gracieux et lui tends la main pour le guider à travers le lux. Pour raccourcir le chemin et éviter la foule, nous passons par la scène sous les regards surpris.

Disparus derrière les rideaux, les ragots fusent. Mais nous sommes désormais tranquilles loin des regards indiscrets. Je prends un peu plus mon temps pour le guider, nous prenons l’ascenseur pour nous arrêter au premier, là où toutes les danseuses ont leur loge. « Nous sommes presque arrivés. » J’ai la mienne avec mon prénom écrit joliment sur une pancarte. Le propriétaire a eu le vain espoir que je prendrais le goût de la scène.

« Entre et installe-toi. Je vais fermer pour que personne nous dérange. » Je tourne la serrure à double tour. La pièce fait peut-être une vingtaine de mètres carrés. Il y a des tenues accrochées à un portant à droite, une coiffeuse avec son miroir sur la gauche et une table basse, entouré d’un large canapé et d’un fauteuil au milieu. C’est primaire mais ma loge possède un certain confort. Elle n’est pas vraiment faite pour des prestations privées.

« Veux-tu que je change de tenue ? Je te laisserais pas sortir tant que tu ne seras plein convaincu. » La tenue peut changer beaucoup de choses. Certains hommes préfèrent imaginer qu’observer l’évidence mis sous leur yeux. Les tenues imposées au Lux sont vraiment très courtes, à la limite de simples sous-vêtements.

Je suis restée debout à quelques mètres de lui. C’est bien la première fois que j’offre une telle prestation au Lux. C’est aussi la première fois qu’un homme se distingue dans le troupeau. Il a ce je-ne-sais-quoi de différent, qui m’intrigue et me donne envie d’en connaître un peu plus sur lui. « Puis-je connaître ton prénom ? Que nous soyons sur un pied d’égalité. »

Leon Redgrave

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Re : Inside the Lux, the place of Lust [Sareeth]

Réponse 4 samedi 25 mai 2024, 19:47:10

Ce qu’il y’avait bien avec les boites de nuit comme le lux, c’est que ces derniers abritaient des quartiers privés qui étaient à l’abri du bruit assourdissant produit par le dj. Et donc, si on voulait avoir une conversation constructive avec quelqu’un, il fallait s’y rendre, encore fallait-il pouvoir s’y rendre… heureusement, puisque j’étais accompagné par la sensation de la soirée, nous rendre dans la cabine de maquillage s’avéra chose aisé. Sur le chemin, nous rencontrâmes plusieurs videurs, qui me dévisagèrent. Ils n’étaient certainement pas enchantés à l’idée que je puisse accompagner la meuf de la soirée…
 
Nous arrivâmes finalement sur les lieux, une porte ornée en noir, orné par plusieurs motifs en or, sur lequel était écrit « sareeth ». Loin du tumulte bruyant de la scène principale, la cabine dégageait une atmosphère apaisante et presque sacrée. Les murs étaient tapissés de miroirs éclairés par des ampoules LED disposées tout autour, projetant une lumière blanche et éclatante. Chaque reflet capturait des fragments d’histoires silencieuses et de secrets soigneusement gardés.
 
Au centre, de grandes tables de maquillage recouvertes de produits multicolores, de pinceaux soigneusement alignés et de palettes de fards à paupières ouvertes, formaient un kaléidoscope de nuances. Des chaises hautes, rembourrées pour le confort, étaient dispersées devant ces miroirs, chacune témoignant des transformations minutieuses qui s'y déroulaient chaque soir.
 
« Je m’appelle Léon, Léon Redgrave. Disons que je ne suis pas un habitué des boites de nuit »
 
Plusieurs costumes étaient suspendus sur des portants à vêtements contre les murs. Toutes des lingeries fines, afin d’attirer le maximum de regard. Il fallait dire qu’au lux, la lingerie fine était une marque de fabrique… puis vient justement le moment ou mon interlocutrice me parla de lingerie. Il fallait dire qu’elle était déterminée
 
« Non, pas besoin, je pense que vous êtes très présentable comme ça », dis-je avec un ton légèrement ironique.
 
L’odeur douce et familière des produits cosmétiques et des lotions flottait dans l’air, mêlée à un parfum subtil de vanille et de musc. Des poubelles discrètes, presque invisibles, étaient stratégiquement placées, témoignant du souci constant de propreté. Je scrutai la pièce, quand mon interlocutrice me demanda mon nom.
 
*ah oui, mon nom…*
 
Il est vrai que je ne m’étais pas présenté, mais en même temps, voyant comment mon nom commençait à être connu récemment, suite aux nombreux démons que j’avais envoyé vers la faucheuse, je me disais qu’il valait mieux que je reste discret. Surtout si mes suspicions envers cette jeune femme s’avèrent fondés. Mais politesse oblige, je me présentai :
 
Je pris place sur le sofa, avant de fixer mon interlocutrice :
 
« Vous êtes d’ici ? je ne vous ai jamais vu dans la ville auparavant »



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