Alors que la blonde plongeait dans ses rêves, Douros en fut informé immédiatement et s'y glissa, utilisant l'étrange mémoire de l'endroit, connectant le rêve qu'elle avait fait la nuit dernière et qu'il lui avait fait oublier avec celui-là. Pour elle il y aurait une continuité entre les deux et elle s'en souviendrait cette fois.
_ Alors, ce n'était pas comme je te l'avais promis ?
Comment il avait envahis ses rêves ? C'était simple, il l'avait trouvée grâce à d'autres dormeurs. Une toile de rêves et de fantasmes entrelacés reliait les humains. Lorsque l'un d'eux rêvait d'un autre, le rêve vibrait jusqu'à l'autre. Parfois sans rien faire, parfois créant un rêve ou un cauchemar. Et apparemment Barbara s'était bien décrite car elle était au centre de plusieurs vibrations oniriques.
La voir ainsi au milieu de « chemins » l'avait décidé à lui rendre visite et à explorer ses fantasmes. L'un d'eux était de se faire, pour que ses fesses grossissent. Si elle en envie. Douros était généreux, il pouvait parfaitement lui offrir ce cadeau, la réalité se pliait à ses désirs dans ses rêves, alors agrandir des parties de l'anatomie, c'était simpliste pour lui.
Il lui avait créé une scène pour elle, un cabinet médical ou il l'examinait. Il avait suffit de rajouter des habits riches à Barbara, un porte monnaie remplie de véritables pièces d'or qui pesaient dans son sac et elle s'était laissée faire, sure qu'il était le chirurgien qui allait lui donner son corps de rêves. Il l'avait persuadée que s'allonger sur ses genoux étaient parfaitement normal, dans les rêves tout était normal.
Puis il l'avait fessée. Longuement. Sans douceur ou tendresse, juste avec une extrême application. Elle avait beau ruer, bouger, elle ne pouvait pas s'enfuir. Lentement, la chaleur avait pénétré son corps onirique, la réchauffant, transformant les coups. Au début elle avait crié, puis pleuré, puis avait tenté de ne plus rien dire, avant de finalement jouir. Peut être qu'il avait utilisé des trucs du monde des rêves pour faire ça, mais il préférait penser qu'il y était arrivé tout seul. A ce moment là il l'avait laissée se réveiller, faisant fuir le rêve de l'esprit de la jeune femme. Le rêve, mais pas ce que son corps y avait subit, laissant une douleur fantôme toute la journée. Et là elle revenait.
_ Alors, ce n'était pas comme je te l'avais promis ?
Il la laissa se lever et s'admirer longuement dans le miroir, le bas du corps entièrement dévêtu. Ses fesses n'avaient pas atteint la perfection qu'elle désirait, mais la différence sautait directement aux yeux.
_ On s'y remet, pour finir ce qu'on a commencé.
Cette fois, ayant vu les résultats de la « thérapie » elle s'était laissé faire, et Douros avait plus put s'amuser, donnant une fessée plus longue, plus forte, la faisant trembler de douleur et de plaisir à chaque coup, lui promettant qu'elle serait magnifique. En même temps il entrait dans son esprit affaiblit, lui faisant penser au monde réel, ou se faire fesser par son docteur était normal.
Elle aurait besoin de plusieurs séances pour penser ainsi, mais Douros était patient, il pouvait connecter le premier rêve a chacune de ses séances, lui faisant oublier toutes les précédentes, sauf à son subconscient, dans laquelle elles se gravaient lentement. Juste avant l'orgasme, elle avait une vision de la carte du docteur, de son nom et de son adresse, puis elle jouissait, pouvait contempler ses fesses parfaites et se réveillait.
Au petit matin, son corps avait la sensation d'une nuit excellente et d'un orgasme récent, mais ses fesses se souvenant de toute la séance. Dans son esprit par contre, rien du tout, juste des rêves évanescents.