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Sauvetage+rencontre+jeu étrange = Nuit intéressante? - Venceslas Gordian -

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Zola:
En cette douce journée chaude, la jolie lapine du nom de Zola se promenait sans se soucier des dangers qui pouvaient surgir à tout moment. La petite lapine  avait coiffé ses cheveux en deux nattes qui traînaient de chaque côté de son doux visage. Elle portait une robe rose et blanche et de petite chaussure plates protégeait ses pieds. Elle était dans une forme plus humaine que d’habitude. Ses petites oreilles blanches et sa queue touffue étaient visible, affirmant son côté animal.

Zola marchait entre les arbres, profitant de la douce température dans une direction quelconque. Elle n’errait pas mais presque. La demoiselle se mit ensuite à ramasser des fleurs. Elle les utilisait souvent pour fabriquer ses accessoires de cheveux. Exactement comme ceux qu’elle portait.  Elle chantonnait en tenant de plus en plus de fleurs en tous garde. Après quelques minutes, Zola se retourna pour aller chez elle et les déposer dans son terrier.  Elle n,avait pas vraiment envie de les perdre. Une fois chez elle, la lapine fit doucement flotter les fleurs qu’elle avait ramasser un peu plus tôt avec les autres qu’elle avait vue. Elle les gardait toujours dans une petite bassine remplis d’eau. Il y avait des roses, des tulipes, des lys, etc. Tout ce qu,elle trouvait qui pouvait lui permettre de créer des trucs elle les rapportait ici.

Une fois satisfaite elle ressortir de sa ‘’maison’’ et recommençait à marcher. Cette fois c’était différent. Alors qu’il y avait à peine quelques minutes elle parvenait à entendre les oiseaux chanter, maintenant c’était le silence totale. Ses sens se mirent en alerte. Ses oreilles se dressèrent sur sa tête au moindre bruissement qu’elle entendant. Il y avait quelque chose qui clochait. Elle le sentait.

La demoiselle se remit a marcher un peu plus vite, cette fois, espérant échapper au danger invisible qu’elle ressentait avant de se mettre a hurler.  Des mains venaient de l’agripper.  Elle se retrouvait rapidement prise au piège. Elle était entourer par trois homme qui semblait assez éméchés. Zola se recula assez vers un tronc d’arbre où elle finit par se coller.

-Oh mais qui voila...
-Une jolie lapine... Tu pense qu’on peux s’amuser avec elle?
-Ta vue comment elle est bonne celle-la.

Zola paniquait et quand ils se rapprochait d’elle elle se mit a faire bouger ses bras dans tous les sens, espérant les empêcher de bouger et de venir encore plus vers elle. Mais cela ne fonctionnait pas.  L’un d’eux finit par lui attraper les mains et les leva aux dessus de sa tête pour la maîtriser.

-Arrêtez... Vous me faite mal....

La pauvre petite sentait son cœur battre à pleine vitesse. Ses yeux rubis se remplirent de larmes alors qu’elle voyait sa mort imminente.  Elle essayait de se débattre en criant à l’aider alors que ses assaillants rigolaient sans lui laisser la moindre chance de pouvoir s’échapper.  Elle entendit ensuite des bruits de pas, enfin de ce qu'elle croyait, venir vers eux. Une autre personne allait venir la maltraiter? Ou bien la sauver de ces mains dégoutantes qui parcourait son corps de manière beaucoup trop avide?

Venceslas Gordian:
Je me promenais dans la forêt au grès des vents magiques, les alizées cosmiques que les mortels ne peuvent ressentir. J’étais sous la forme d’un jeune homme d’à peine vingt ans et je m’amusais cordialement à taquiner les esprits sur mon chemin. Ils filaient furieux de farces magiques. Mais alors que j’allais au grès de mes envies, j’ai commencé à sentir une odeur particulière … celle d’une lapine ? Chouette alors !

Tout discrètement, je commence à me rapprocher et à la suivre tout en m’enveloppant d’un charme d’invisibilité totale. Impossible de me voir ou de me renifler, je commence à lui emboîter le pas tranquillement. Je lui regarde son derrière avec une grande appréciation. Je me demande si elle est comme tous les autres … oui sans aucun doute.

Je m’apprêtais à me dévoiler, quand soudainement, un trio de trouduc firent irruption. Ils se mirent à la caler dans un coin, lui levant les bras pendant qu’un autre commençait à sortir son engin ridicule. Je décide alors d’intervenir.

Je m’approche, sans chercher à être discret cette fois-ci, par derrière puis je saisis deux d’entre eux et je les propulses en arrières. Le troisième se retourne, la bite à la main. En un instant, je pose ma main sur torse. Les deux autres me regarde alors que j’apparais enfin, retirant mon invisibilité.
Tous peuvent alors voir un jeune homme, habillé légèrement, pantalon, botte et chemise de lin ouverte. Je tonne alors d’une voix calme, une voix qui dicte un sortilège.

-   Vous trois, vous avez une sérieuse envie de vous baiser les uns les autres. Ne résistez pas.

En un instant, les trois malandrins se jettent dessus, retirant leurs vêtements pendant qu’ils débutent une intense fornication entre mâles.
Moi je me retourne vers la jeune lapine, tout souriant.

-   Bonjour ! Moi je suis Venceslas, et comme toi je ne suis pas humain. Mais ne craint rien, je ne fais jamais de mal aux jolies lapines comme toi.

Je lui prends la main, en lui chuchotant :

-   Viens, on va laisser les garçons entre eux.

Ni une ni deux, je commence à me diriger un peu plus loin. Une fois que les bruits se sont calmés, et tout en continuant de marcher, je me tourne vers elle sans lâcher sa main. Ma voix, mon aura et même mes phéromones se veulent apaisantes et douces pour la mettre en confiance.

-   Comment tu vas ? Tu n’as rien ? Tu n’es pas blessée ? Ces idiots ils t’auraient fait du mal. 

Le soleil était bas et l’air était plutôt chaud, sans être excessif. Le temps était superbe pour la soirée.

-   J’aimerais te payer un verre de lait bien chaud si tu veux bien. Ou quelque chose à grignoter, je connais une taverne toute mignonne pas loin d’ici. Tu veux bien m’accompagner ? [/color]

Zola:
Pourquoi avait-il fallu qu'elle tombe entre les mains perverses de ces types? Elle n'avait pourtant pas sentit de présence qui la suivait. Ces hommes étaient apparus de nul part. C’est vrai qu’elle avait sentit une drôle de pression dans l’air mais elle ne les avait pas sentit arrivés... Aucun d’entre eux. Ils avaient été silencieux jusqu’au moment où ils avaient poser les mains sur elle. La pauvre ne comprenait plus rein. Encerclée de la sorte, elle se sentait de plus en plus prisonnière et cela ne lui plaisait pas. Sa panique devenait de plus en plus apparente. La pauvre lapine n'arrivait même pas à se défendre. Elle était faible, comme un représentant de son espèce. Les mains rugueuses sur ses courbes lui donnaient envie de pleurer. Ce n'était pas ce qu'elle avait ressentit de plus agréable. Zola se débattit tout de même.

Elle donnait des coups de pieds mais cela les faisaient rire. C’est vrai qu’une créature comme elle n’était pas la plus intimidante au monde. Son air doux et sa grandeur lui donnait un côté bien plus mignon que dangereux. Rapidement, elle se retrouvait bien maîtriser. L’un de ses assaillants venait de défaire son pantalon et sortait son sexe semi durcit. Ils se mirent aussitôt à rigoler encore plus lorsque la pauvre lapine se mit a sangloter.

Ils allaient lui faire du mal et elle allait mourir par la suite c’est ça? Non ... une autre personne arriva. Celui qui lui tenait les mains fut éloigner d’elle rapidement avec l’autre. Il ne restait de celui avec la bite à la main devant elle. La jolie Zola battit des cils sans comprendre ce qu’il venait de se passer. Ses bras retombaient mollement de chaque côté d’elle.

Soudainement un homme fit son apparition devant celui qui tenait son sexe triste dans sa main. Zola n’en revenait pas. Il était son sauveur. Elle ne savait pas ce qu’il allait se passait mais le nouveau venu se mit a parler clairement aux hommes.

-   Vous trois, vous avez une sérieuse envie de vous baiser les uns les autres. Ne résistez pas.

Sous les yeux surpris et apeurés de la petite terranide les hommes qui l’avaient prise par surprise se retrouvaient à se déshabiller pour commencer à se toucher et à faire ce qu’ils allaient faire à Zola l’un à l’autre. Elle porte la main à la bouche en les voyant faire. Puis l’homme qui venait de la sauver se tourna vers elle en souriant. Il semblait bienveillant.

-   Bonjour ! Moi je suis Venceslas, et comme toi je ne suis pas humain. Mais ne craint rien, je ne fais jamais de mal aux jolies lapines comme toi.

Elle le regardait en se sentant un peu rassurée alors qu’il lui prenait la main.

-   Viens, on va laisser les garçons entre eux.
-D’accord.

Elle le suivit en tournant la tête vers les trois hommes qui s’amusaient ensemble avant de détourner le regard rapidement. Les bruits se firent moins sonores alors qu’ils s’éloignaient de cet endroit. Il ne lui lâcha pas la main et finit par se tourner vers elle.

-   Comment tu vas ? Tu n’as rien ? Tu n’es pas blessée ? Ces idiots ils t’auraient fait du mal. 
-Merci... pour votre aide.

Elle frissonna un peu avant de lui faire un petit sourire un peu timide.

-Non je vais bien.... Vous êtes arrivé juste au bon moment. Je suis Zola.

Elle serra doucement sa main en se rapprochant de lui. Il dégageait une aura si calme et paisible qu’elle se sentait détendue. Elle n,avait rien a craindre de lui n’est-ce pas?

-   J’aimerais te payer un verre de lait bien chaud si tu veux bien. Ou quelque chose à grignoter, je connais une taverne toute mignonne pas loin d’ici. Tu veux bien m’accompagner ?
-D’accord.  Ce serait avec plaisir.

Elle lui fit un plus grand sourire, lui montrant qu’elle le suivrait, car elle lui faisait un peu plus confiance que ces trois idiots....

- J'aimerais beaucoup vous remercier. Pour m,avoir sauver. Mais. Je ne sais pas comment les gens font normalement?

Venceslas Gordian:
Elle est mignonne, j’ai bien envie de lui sauter dessus dès maintenant, mais ce serait peut-être un peu prématuré. Je me contente de continuer à lui sourire.

-   Oh on trouvera bien quelque chose, faisons connaissance tout d’abord. Et ne t’inquiète pas, je ne suis pas un menteur, je te dirais tout ce que tu voudras sur moi. Je ne rencontre pas souvent des lapines comme toi dans les environs. Tu es toute seule ? Tu n’as pas de petit ami avec toi ?

De ma main libre, je lui caresse gentiment la joue.

-   Mais tu peux me tutoyer tu sais, nous sommes amis maintenant tous les deux. Tu sais, tu as un beau nom, aussi joli que toi. Il te va bien.

Nous marchons tous les deux sur le sentier et nous nous enfonçons dans la forêt. Les arbres se font plus grands, plus épais et la canopée cache le soleil. D’ordinaire ici il y a des prédateurs, mais je me tiens tout près de la jeune lapine, de sorte à ce qu’elle puisse me sentir moi plutôt qu’autre chose. Moi de mon côté, j’établis discrètement un champ magique pour repousser toute trace de prédateurs.

-   Ne crains rien, je suis avec toi. On est bientôt arrivé.

Alors que nous continuons, le petit chemin de terre commence à s’élargir. On aperçoit alors une grande bâtisse avec trois étages, une grande étable et pas mal de bruit qui s’en réchappe. Tout autour un grand jardin, avec des bosquets, buissons, arbres et points d’eaux. Il y avait beaucoup de Terranide ici, tous occupés à leurs activités. Certains s’amusaient à boire à côté des fenêtres, mais dans le parc autour du jardin, dissimulés dans les ombres des buissons, on pouvait voir et entendre certains bruits. Sur la droite, clairement visibles, un homme-cerf était en train de se faire prendre par derrière par un minotaure délicieusement tendre avec lui.

-   Ici c’est un endroit magique. On ne peut y entrer que si quelqu’un se porte garant pour soit. C’est moi qui serais le tiens. Ici on est libre d’être qui on est et seuls des gens comme nous peuvent y entrer. Moi ils me connaissent déjà, toi tu vas pouvoir te présenter.

Pour t’encourager, je te prends par la taille, te faisant un bisou sur le front au passage, suivit d’un clin d’œil. Alors que nous traversons le jardin, je me tourne vers toi. Je me veux toujours gentil et apaisant. Je te tiens toujours la taille, mais sans te bloquer. Sans presser, je te dis de ma voix douce :

-   Il faut que je prenne ma forme terranide avant de rentrer. Mais je ne veux pas que tu aies peur, d’accord ? Je suis un tigre et je suis plutôt grand, mais je ne fais jamais de mal aux innocents. Je ne te ferais jamais de mal. Tu veux bien me laisser me transformer ?

Zola:
Zola se sentait tellement soulagée qu’il l’ai sauver. Il ne pouvait même pas imaginer ce qu’elle avait ressentit alors que ces humains l’avaient plus ou moins capturer. Il lui souriait et cela la rendait plus docile. Il ne lui faisait pas peur. Et curieusement même si elle ne le connaissait pas elle se sentait en sécurité avec lui. Étrange...

-   Oh on trouvera bien quelque chose, faisons connaissance tout d’abord. Et ne t’inquiète pas, je ne suis pas un menteur, je te dirais tout ce que tu voudras sur moi. Je ne rencontre pas souvent des lapines comme toi dans les environs. Tu es toute seule ? Tu n’as pas de petit ami avec toi ?
-Un petit ami? Non. Je suis seule.

Zola frissonna lorsqu’il se mit à lui caresser la joue. Il se montrait très doux avec elle malgré tout.

-   Mais tu peux me tutoyer tu sais, nous sommes amis maintenant tous les deux. Tu sais, tu as un beau nom, aussi joli que toi. Il te va bien.
-D’accord. Je te tutoie alors.  Merci. C’est un humain qui me l’a donné il y a longtemps.

Zola le suivait en regardant autour d’eux. Curieusement il n’y avait aucune présence menaçante dans les environs. Elle ne comprenait pas. Elle savait bien que dans ces bois il y avait de nombreux prédateurs féroces qui n’hésiteraient pas une seule seconde à faire d’elle leur prochain quatre heures. Ils marchaient de manière a se diriger vers un endroit qu’elle ne connaissait pas. Mais elle le suivait en continuant de regarder les alentours.

-   Ne crains rien, je suis avec toi. On est bientôt arrivé.
-Il y a des prédateurs ici... non?

Elle était peut-être naïve mais pas idiote. Ils se  remirent en route. Plus ils avançaient plus une drôle de bâtisse apparaissait devant eux. L’immeuble était si grand... au moins trois étages de haut. La lapine ne pu s’empêcher de laisser échapper un petit wow impressionnée alors qu’ils se rapprochaient encore plus. L’endroit semblait assez aminée. Elle parvenait sans mal à entendre les gens prendre du plaisir... dans toutes les formes. Certains c’était simplement car ils mangeaient ou buvaient et d’autres plus charnels... Cela la fit rougir un peu. Elle voyait des terranides comme elle et d’autres encore plus différents. C’était la première fois qu’elle voyait autant d’êtres comme elle réuni au même endroit.


-   Ici c’est un endroit magique. On ne peut y entrer que si quelqu’un se porte garant pour soit. C’est moi qui serais le tiens. Ici on est libre d’être qui on est et seuls des gens comme nous peuvent y entrer. Moi ils me connaissent déjà, toi tu vas pouvoir te présenter.
-Magique? Me présenter? Me présenter à qui?

La douce Zola ne comprenait pas vraiment ce qu’il voulait dire. Et lorsqu’il la prise par la taille pour lui offrir un baiser sur le front elle fut très surprise. Elle se laissait même faire avant de tourner son regard vers les deux hommes qui semblaient prendre beaucoup de plaisir.

-   Il faut que je prenne ma forme terranide avant de rentrer. Mais je ne veux pas que tu aies peur, d’accord ? Je suis un tigre et je suis plutôt grand, mais je ne fais jamais de mal aux innocents. Je ne te ferais jamais de mal. Tu veux bien me laisser me transformer ?

Zola retiens soudainement sa respiration avant de tourner la tête vers lui. Un tigre... un tigre.... Elle se mordit la lèvre avec insistance alors que ses yeux exprimaient parfaitement son inquiétude. Il ne pouvait pas lui en vouloir de craindre un peu pour sa vie. Elle était une proie de choix...  Son corps frissonnait alors qu’elle tentait de  se calmer un peu.

-Tu ne... me mangera pas? D’accord?

Elle posa la main sur son torse pour se reculer un peu.

-Vas... Vas y ... transforme toi...

Elle avait la voix tremblante mais elle se faisait confiance pour se sauver si jamais et aussi il lui avait dit plusieurs fois qu’il ne lui ferait pas de mal. Donc il ne lui ferait pas de mal... non?

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