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Les Secrets de la Couronne. [PV : Wilwarin]

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Vittorio Vulcano:
Sans vergogne aucune, la Reine Wilwarin s’apprêtait à offrir sa vertu, sa grâce, sa beauté, ses charmes à l’impétueux Demi-Dieu. Flatté d’éprouver contre son torse le désir ardent de la souveraine elfique qui confessait ses fortes impressions, Vittorio exultait en ce moment même : le doux susurrement de la belle à l’entrée de son oreille sonnait comme une savoureuse confirmation de son désir à son endroit ; au surplus, il était toujours agréable d’être reconnu par une femme de valeur. Sur la bouche charnue, toute lippue, toute pulpeuse, de l’homme s’ourlait un agréable sourire en demi-teinte ; la sublime autocrate se révélait plus que soucieuse de satisfaire de l’appétit charnel du Néréide ; et mieux encore, elle s’empourprait elle aussi de cette passion foudroyante. Initialement simple visiteur en quête de savoir dans un Reinaume en guerre contre tous ses voisins, Vittorio se rêvait chercheur et observateur du phénomène singulier qui s’y déroulait ; il se réveillait en tant qu’amant de la Reine, hôte de sa chambre à coucher. Aussi, il plaisait beaucoup au Néréide de bénéficier de l’amour et des largesses charnelles de cette souveraine si spontanée dans l’expression de ses désirs, comme lorsqu’elle le déshabilla aussi vite que possible. La silhouette sèche et musculeuse de l’homme se dressait devant elle, seules ses chausses retenaient l’accès au bélier viril, mais ce n’était qu’une question de quelques secondes. Avec Wilwarin, il ne fallait surtout pas tarder. Il fallait dévorer vite le met, goûter sans férir au nectar mâle, se rincer les prunelles, vivre dans l’intensité du moment. Certaines amantes étaient ainsi, adoratrices de vigueur et d’empoignades, d’autres préféraient prolonger les savoureuses préliminaires et apprécier les mots doux. Dans les deux cas de figure, Vittorio trouvait son compte.

Dans cet entrelacs se mouvaient les doigts agiles du Demi-Dieu, comme soucieux de mener un siège de tous les diables à cette forteresse de guerre que représentait le buste de la dame. D’abord, ceux-ci avaient dépouillé Wilwarin de sa lourde cuirasse. Puis, ils s’empressèrent de serpenter jusqu’aux premiers boutons de sa chemise blanche où pointaient les tétons royaux, scellant la conquête de cette première ligne de fortifications. La lippe coquine de Vittorio se mut en un grand sourire éclatant à la vue de cette poitrine opulente… fraîchement libérée ; la prise était exceptionnelle ; il s’imaginait déjà en prendre le plus grand soin avec une crème d’huile d’olive assortie au teint mate de la Reine au cours d’une cérémonie nocturne dont ils auraient chacun le secret. « Quels coussins moelleux… Wilwarin, vous êtes rudement bien dotée. Vous pourriez facilement m’étouffer avec... vos attributs royaux… » avoua-t-il d’une voix délicieusement cynique, plaisantant à peine, bien que ce genre de mort ne lui déplairait pas. « Du reste, en effet, vous visez juste. Apprécions la profondeur de nos ébats ; goutons aux délices de l’amour. » L’instant suivant, le charmant amant aux boucles d’or se mut en véritable lion, affichant un rictus savoureusement carnassier.

Ni une ni deux, le magicien empoigna les épaules de la belle dévêtue, sans toutefois user de sa force surhumaine ; il ne voudrait pas la faire souffrir à un moment où elle était censée jouir, après tout. La reine fut ainsi, doucement, projetée contre son beau lit damasquiné, au matelas si apte à supporter leurs étreintes, tandis qu’elle vit s’approcher son fauve d’amant, ses prunelles mordorées presque prédatrices mais flambant d’un désir de possession. La toisant de haut, l’être demi-divin, juché sur sa jument, s’empara ensuite de la bouche royale pour l’embrasser langoureusement, sans cesser de la regarder dans les yeux. Complétant ce tableau passionnel, le mâle sortit son sabre au clair qui défigurait son pantalon, puis saisit aussi les douces mains de sa désirée afin de maintenir son emprise. Ce qui dut arriver arriva, la suite des événements fut ensuite bien connue… et terriblement prévisible : poussant un feulement, Vittorio s’appropria l’espace intime de Wilwarin d’une première embardée, musclée, brute de décoffrage, sans égards cette fois-ci pour la sensibilité de la dame, qui en annonçait d’autres. La souveraine allait sans doute hurler de jouissance. « Hmmm… Il vaut mieux fermer les portes à double-tour, ma chère amante. Je compte sur ta magie. Personne ne doit nous importuner. », signala le mâle en plein acte d’une voix vibrante, presque inhumaine, presque divine, totalement injonctive.

Wilwarin:
La magnifique souveraine elfique, Wilvarin de son tendre prénom, était ravie de l'attention que cet homme exceptionnel lui accordait et appréciait cette nouvelle intimité. Elle a été attirée par son attention complaisante et a rapidement retiré ses vêtements, laissant apparaître sa nudité aux yeux dorés de son nouvel amant. Alors que la tension entre eux devenait de plus en plus intense et palpable, la douce reine ne put s'empêcher d'admirer le charisme et le corps du beau jeune homme devant elle. Il était absolument parfait. Divinement sculpté comme l’une de ces statues anciennes représentant un dieu ou un homme des plus séduisants. Elle éprouvait également une passion et un désir grandissant qu’elle ne voulait pas dissimuler. Soudain, elle éprouva un sentiment de grande chaleur et d'excitation. Son corps tremblait légèrement sous l’anticipation de la suite des événements. Elle s’abandonna à sa passion dévorante et vit avec plaisir qu’il partageait ses sentiments et son désir.

Afin de rendre cette expérience encore plus intense, il réveilla sa masculinité et prit les mains de la charmante elfe, qui se sentait submerger par le désir et la passion du moment. La passion conduit la douce reine à gémir de plaisir. Alors qu'ils commencent à s'unir. Vittorio comblait pleinement sa féminité inondée avant de lui demande d'utiliser sa magie pour fermer les portes et protéger leur intimité. Elle sourit, montrant qu'elle ne laisserait personne les déranger.

-Voilà. Mon cher, les portes de ma suite sont désormais fermées à double tour.

Elle utilisa sa magie pour empêcher leur intimité en murmurant d'une voix ensorcelante que personne n'osera venir les déranger pendant leurs ébats coquins. Elle ne voulait pas de toute manière qu'on les interrompe. 

Ils avaient des mouvements harmonieux, doux et remplis de luxure. Chaque coup de rein la faisait soupirer de désir.  La reine ressentit son plaisir montait en elle encore et encore. L'elfe, les yeux mi-clos, s'abandonna complètement à lui, se laissant emporter par l'ardente passion de leur relation. Il la poussait toujours plus près de sa limite, lui faisant atteindre de plus en plus vite la jouissance qui attendait patiemment son tour.  Le charmant jeune homme grognait doucement, la faisant comprendre qu'il était également sur le point d'atteindre, lui aussi, l'orgasme.

De cette manière, les amants du moment se livraient à leur passion. Chacun de leurs gestes, chaque baiser, chaque caresse qu'ils s’offraient l’un l’autre faisait naître un désir plus ardent, plus intense. Les doux soupirs de la reine résonnaient dans la chambre alors que leurs ébats continuaient. Dans l'intimité de la chambre de la reine, les deux amants se donnèrent l'un à l'autre avec une passion dévorante, et ce, sans aucune réserve.

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