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Aujourd'hui allait être une journée un peu particulière, un de mes plus gros acheteurs faisait une soirée et avait invité plein de gros patrons, des riches clients qui eux aussi seraient ravis de m'acheter des œuvres de grande valeur.
Je m'étais donc mis sur mon 31, cachant ainsi mes nombreux tatouages peu reluisant pour les snob.

J'avais pris avec moi quelques pièces antiques, gardé par mes agents et terminait dans ce lieu, plutôt luxueux et immense. Un petit palais, littéralement. Si on voulait se faire la gueule, et bien... on ne se reverrait pas de si tôt !
A l'entrée, on était déjà surveiller et trier. Je pue ainsi voir de petit collectionneur, repousser, certains stupide criant au scandale ou les plus intelligents, partirent le plus discrètement possible en faignant d'avoir oublié quelque chose.

Pour ma part, j'avais mon invitation et n'eut aucun problème à entré. Rapidement, je me remettais les têtes des personnes qui m'intéressait et venait les saluer, jusqu'au moment où le propriétaire me vit et vint me chercher. De quoi me mettre au sommet de la chaîne alimentaire ! En proie, autant qu'en prédateur !

- Bonsoir Monsieur.

Il me présenta sa fille, une très jolie adolescente dans une tenue un peu trop sexy. Je n'imaginais pas les mains basses qu'elle risquait de subir durant la soirée, si les femmes ne faisait pas attention à leur mari !
Je trouvais qu'elle avait un nom de chat, c'était mignon mais la présentait un peu trop comme un possession plutôt qu'une personne. Je fus aussi un peu gêner d'avoir trop rapidement utiliser mon prénom au lieu du nom de famille.
Je vis pendant une petite seconde son oeil briller de... malice ?

- Enchanté Canelle. Répondis-je de mon bel accent italien. Vous êtes superbe, votre père à bien de la chance d'avoir une jeune femme aussi belle que vous pour fille.

Les complimentais-je, il en fut ravit et se montra aussitôt curieux de mes dernières trouvailles.

- Il y a un peu trop de bruit ici, nous pourrons en parler plus tard en tête à tête. Me proposa-t-il finalement en voyant d'autre invité important, puis s'éloigna. Nous laissant entre deux.

Un serviteur passant, me passa alors une coupe de champagne et je me tournais ainsi vers elle.

- A votre santé, et que votre empire continue de prospérer. Elle était très jolie, je me demandais toutefois comment elle survivait dans ce monde très particulier. Je bus une gorgée du délicieux liquide, le choix avait été fait avec goût !

Nous laissant à deux, sauf si la jeune femme se décide à allez voir ailleurs, ce qui serait normale aussi.
Buvant une gorgée, je la félicite tandis que tu te met en face de moi, une jolie ouverture sur tes cuisses. Elle est vraiment très mise en avant, faisant sensuel et à la fois objet. J'ai du mal à me décider... Cependant, c'est toi qui brise cela, cette image.

Ce n'est pas le tien... Tes propos résonne en moi, bien que différemment, orphelin, je n'avais rien, ni statut, ni grande existence. J'ai dû me battre, alors je fronce un peu les sourcils, et tu continue, bien que rieuse, je me demande quelle effet cela te fait vraiment. Je rigole un peu dépiter et soupire.

- Je vois, je peux imaginer cela.

Si j'avais eu une fille, je lui aurais transmis ce qui était mien, pas laisser cela de côté. La famille... en avais-je voulus une ? Difficile à dire, oui tout de même.
Tu enfonçais face à moi votre relation. Mais pourquoi ? Rébellion ? Où tu voulais briser son image ? Verité ou exagération ? Je me questionnais pas mal sur toi.

- C'est bien regrettable. A chacun sa famille...

Entre ceux ayant une qui ne s'intéresse pas, et ceux qui ne l'ont jamais connus. Ne sachant pas ce que je faisais, tu me questionne naturellement dessus. Me faisant un peu rire, après ce petit moment d'ouverture ?

- Je suis aussi un homme très pris. Je vends des œuvres d'arts, mais je les cherches aussi. Donc je ne suis intéressant que quand j'en ai à ma disposition qui pourrai plaire à son empereur. Un petit clin d'oeil complice, face à son ego te reléguant au second plan. Je m'assure toutefois de ne pas parler trop fort pour éviter d'être entendue des oreilles indiscrètes.

Je vais alors pour trinquer une nouvelle fois, mais tu m'arrêtes, me surprenant un peu. Rien ne semblait dégouliner pourtant. Malgré tout, tu viens essuyer des gouttelettes, qui se serait évaporer plus tard. Allant jusqu'à me proposer de me sécher, pour moi ce n'était pas grand chose, mais ton sourire et ton regard me pose toujours à me questionner sur tes intentions. Et... j'adore les défis, la curiosité fait que j'arrive à débusquer des œuvres à travers le monde.

- L'apparence comptant, il est préférable que je vous suive.

Je termine le verre et le pose sur un plateau, presant tes pas. Souhaite-tu t'éloigner de ce monde qui ne te reconnait pas ? Cherches-tu autre chose ? Comme les faiblesses de ton père ? Appréciais-tu juste la compagnie ? Voir intrigué par mon travail.

J'admettais que j'étais beau, mais je ne pensais pas que tu pourrais tenter quelques choses, hormis de me regarder.

Je voulais découvrir ce que tu cachais et me laissa ainsi guider. Ce à quoi tu répondis d'ailleurs quelques chose qui me convaincu un peu plus. La réaction de ton père, et il est sûr que c'était le genre à me regardé avec... un peu d'énervement et qu'il y mettrait moins les formes si cela ne convient pas.

- Il est assez méticuleux. Confirmais-je en soupirant, repensant à une anecdote avec lui. Une vente annulée car la poterie était "mal" nettoyé. Non mais... du grand n'importe quoi.

Je te suis, sortant du hall principale, passant dans une aile, on s'éloigne quelque peu. Je sens ton regard sur moi, flatteur et amusant, de laisser passer l'homme pour en profiter, alors qu'on imagine le plus souvent l'inverse.
Je me retrouve guider à cette salle de bain de grand luxe. Sur le coup je trouvais sa charmant, avant de tiquer sur les affaires en doubles, l'un était féminin et l'autre masculin. Un mariage très heureux...

Parfois, être orphelin ne change pas grand chose. Mieux, ou non d'avoir des parents, cela reste à chacun d'en donner son avis. Le peignoir que tu me donnes est trop petit, je le vois avant même de l'ouvrir au niveau de la largeur d'épaule. Et puis, ton père n'a pas ma carrure, un peu moins. Est-ce fait exprès ? Une moquerie ou une tentative pour autre chose ? Méfiant, je tâche de faire bonne figure.

- Merci.

Malgré tout, le peignoir est d'excellente qualité et aurait pu me tenir chaud. Puis tu sors en me disant de revenir une fois le haut retirer...
J'attends que tu sois plus loin et soupire, ouvrant les boutons de ma chemise, je me demande si c'est une tentative de séduction planifié... Si je te touche et que c'est préparer pour ton père, il pourrait tenter de me faire chanter. Et je ne sais pas trop comment vérifier cela. J'ouvre le peignoir en y pensant et la taille est vite vérifier. Je le range aussitôt, restant torse-nue et vérifie qu'il n'y a rien, telle une caméra cachée.

Mais rien et tu toque.

- Miss Canelle, vous pouvez rentrer.

La porte s'ouvre et j'aurais presque pu rigoler à ton "innocente" surprise de me voir torse-nue et tatouer. Cependant tes deux flutes me font dire que tu viens t'occuper de moi (même si encore là, je reste surprenamment innocent sur tes désirs profonds).

- La taille ne convenait pas. Jouais-je le jeu en restant sobre.

Bon, qu'avais-tu prévus pour la suite. Un peu éloigner du hall, je ne tomberais pas sur des invités, mais si je croisais des personnes dans cette situation, cela allait être gênant.

Ton arrivé et cette comédie... Je manque de rire, alors que ton regard sur moi est plutôt équivoque. Ce que tu vois te plait. Tu joues la Sainte-nitouche devant le père et derrière... jusqu'à quelle point, je me pose la question et petit à petit, cela se précise !

- Non en effet, je ne suis pas ton père. Je reste calme, mais hausse un sourcil alors que tu me donne à boire et ferme la porte.

La situation est de plus en plus explicite... A ta recherche précédente de peignoir, j'ai clairement vue d'autre serviette, que tu ne me propose pas. Donc je comprends bien la chose et me serre dans un verre, de cette "compensation" qui n'en n'est pas vraiment une. Te suivant du regard, je reste spectateur pour le moment, commençant à être amusé par cette situation.

J'admets sur le coup me demandé si tu fais la cruche avec la machine ou s'il y a un problème. J'avance juste au moment ou tu prend une position ou je peux voir sous ta belle robe, les courbes de ton fessier voir... ou non du coup si tu as une culotte. Ce qui me surprend, bien que je ne sois pas sur si tu as ou non, le vêtement bouge et ne me permet point de l'affirmer.

Tu te donne en spectacle, un vrai film porno de bas étage, sa me fait doucement rire et vue la situation, je me permets de me toucher un peu en buvant silencieusement. Je ricane même lorsque tu te trempe, tu y vas vraiment à fond. Mon regard plonge sur toi, tu t'excuse, on pourrai presque y croire... Et cela me donne envie de rentrer dans ton petit jeu.

JE fronce alors les sourcils mécontent du résultat.

- Et maintenant ? Je vais faire comment ? Ton verre est une maigre compensation... Tu vas t'excuser comment ? Dire que tu as "mouillé" ma chemise est peu de le dire. Je ne vais pas pouvoir la remettre de si tôt, ni sortir comme ça.

Je m'approche de toi et pose mon verre sur la machine derrière toi, te faisant face. Mon regard dans le tien, mon autre main viens agripper ton fessier, te tirant soudainement contre moi, fermement.

- Tu devrais aussi retirer ta robe ou tu vas attrapez froid.

Pour te "taquiner" je presse bien ton bassin contre moi, te permettant de sentir mon érection sans la toucher. En te donnant une taille de mon pénis. Puis te relâche et va chercher ton verre, ayant récupérer le mien, je te sers et fait mine de réfléchir.

- Bon et maintenant... Que devrions nous faire ? Comment se charger de se problème ?

Bien que ton petit jeu m'amuse et commence à m'exciter. La chemise reste ennuyeuse, j'espère que tu as une idée pour que je ne perde pas mon rendez-vous avec ton père, juste pour que tu te fasse sauter. Sa en vaut pas la chandelle. Quelle échange auras-tu à me faire ?

Tu te décide à y mettre un peu du tiens pour sécher ma chemise, j'en rigolerais presque... Vue tout le travail que tu fais pour que cela prenne du temps. Je viens alors voir ta réaction avec une approche plus directe. Ce à quoi tu ne rechigne pas... ni ne semble intimidé. Soit tu es plus ingénue que je ne le pensais, soit cela t'arrive encore plus souvent que cela !

Mais je fini de te teaser et te relâche, revenant à ma chemise qui perdait de plus en plus de son intérêt. Je te suis du regard et souris alors que tu me tends les fesses... que je viens toucher sans gêne du coup, vue que tu mes les "offres".
Tu te décide toutefois à changer de pièce, ce qui n'est pas plus mal. J'aime le fait que tu dise avec tant de confiance que personne ne montera... J'émettrais des doute avec les serviteurs de la soirée, mais bon... si on prend le chemin de ta chambre, personne n'y viendra oui.

Cette fois-ci, c'est toi qui touche mon cul et vue ton sourire cela doit te plaire. Je suis de plus en plus sûr que tu es plus dévergondé qu'on ne le croirait. Reste à savoir à quel point !

- Je ne vais pas laisser une lady seule.

Je récupère mon verre et le termine, te suivant, vérifiant moi aussi de ne pas être vue torse nue. C'est plus embarrassant que je ne l'aurais crus !
J'entre dans une pièce, que j'identifie comme ta chambre, uniquement car tu y vas, bien trop sobre et peu personnelle. N'importe quelle élève aurait pu y être, j'observe silencieux et pose mon verre sur le bureau avant que tu ne vienne me demander de "l'aide".

Je me rapproche et glisse mes mains le long de tes courbes avant d'arriver à la fermeture en question, décallant tes cheveux sur le côté pour regarder ta nuque et lentement la faire couliser, je remarque aussitôt le manque de soutien gorge déjà visible devant... et termine par... l'ouverture de ma braguette.

Glissant une main pardevant, je viens caresser ton entrejambe et...

- Oh, tu es aussi mouiller. Tu devrais retirer cela, avant d'attraper froid. Souriais-je bien amuser alors que je caresse ta culotte, appuyant sur ta fente.

Je te touche une bonne dizaine de seconde pour te stimuler et te relâche, reculant pour fermer la porte à clé, au cas où... Avant de revenir vers toi.

- Je crois que je vais aussi avoir besoin de toi. C'est un peu trop serrer là. Je te fixe, amuser, un peu échauffer, te "présentant" mon bassin, ou avec la braguette ouverte, mon érection se fait plus proéminente et visible malgré mon pantalon.