Etude de cas approfondie (Pv. Netsui)

La Terre apporte son lot de surprises et de possibilités. Bien sûr, Terra est également riche en découverte. Mais ici, où beaucoup ignorent l’existence de créatures non humaines pourtant humanoïdes, il n’est pas rare d’en voir interagir ensemble. Souvent d’une manière conventionnelle, certaines de ces créatures vivant comme des humains. Et parfois d’une manière qu’il l’est moins, certaines d’elles étant des prédatrices.

C’est le cas de la créature que j’observe depuis quelques jours. Pourquoi celle-ci plutôt qu’une autre ? Car je pourrais découvrir quelque chose en l’étudiant. J’ai pour habitude de créer des êtres de chair sans pouvoirs particulier, si ce n’est une certaine résistance qu’ils doivent au fait qu’ils soient malléables. J’ai déjà essayé de les utiliser comme proxy pour utiliser de la magie, mais le résultat est très décevant au vu de l’investissement que cela demande. Puis cette créature, cette femme, a attiré mon attention. Elle semble pouvoir se nourrir de l’énergie d’autrui. Sans résoudre toutes les limites que mes manifestations possèdent, l’étudier pourrait me donner des pistes intéressantes : si je peux manipuler de l’énergie extérieure avec mes proxys, je n’aurais pas à en insuffler par moi-même et je pourrais peut-être leur faire utiliser des sorts de manière plus efficace. Bien sûr, tout ça n’est que théorique et je suis loin d’avoir assez d’informations pour tester quoique ce soit actuellement.

C’est pour cela que je me trouve actuellement dans un hôtel de la ville. La séduisante créature se trouve dans l’une des chambres, avec des repas à disposition. J’ai dans l’idée que pour attiser sa curiosité mais aussi son désir, celle-ci semblant se nourrir par l’acte sexuel, je vais devoir lui offrir une vue qui lui plait particulièrement ou au moins l’intriguer un minimum. Un prédateur se méfie souvent quand une supposée proie vient à lui.

Ne souhaitant pas l’alarmer plus que nécessaire, je profite du vide de l’étage pour y faire apparaître une forme des plus aguichantes. Aujourd’hui, je décide de contrôler ma création par moi-même. Je dois l’observer d’assez près pour découvrir comment elle absorbe l’énergie des autres.
Une fois l’enveloppe prête, je tape à sa porte. Dans une tenue de soubrette légère qui révèle un corps des plus tentants et une chaîne en guise de collier, j’espère l’aguicher tout en lui offrant le sentiment d’être au contrôle. Mais il me faut également une sorte d’excuse à ma présence, alors j’annonce en toquant une seconde fois.

Bonsoir, c’est ici pour… la soirée ?

Rien de très précis, mais de quoi éveiller sa curiosité et lui tendre une perche.

Netsui sort de sa cuisine, une part de gâteau dans la main gauche, un verre de saké dans l'autre. Elle s'avachi paresseusement au fond de son sofa et prend une bouchée de gâteau à la fraise. Elle regarde le soleil se coucher par sa fenêtre, quelques néons s'allument au loin signalant l'éveil de la vie de nuit. Mais aujourd'hui, pas de boulot ! Ces dernières semaines ont été fructueuse, sa réserve de nourriture est passée de vide à 4 mâles en un rien de temps, ces pauvres types ne sont pas les plus savoureux mais la quantité plutôt que la qualité c'est pas si mal, elle est assurée d'avoir à manger pendant plusieurs mois. Elle sirote son saké lentement, malgré ces petites vacances elle tient à ne pas se laisser aller.

Alors qu'elle porte son verre à ses lèvres une nouvelle fois, quelqu'un toque à sa porte. Netsui se fige, interloquée, elle reste assise et cherche dans son esprit qui pourrait venir toquer à sa porte, aucun de ses prisonniers n'es autorisé à sortir de leurs chambres. On toque encore une fois, suivi d'une voix féminine. Cette fois elle marche rapidement vers la porte et l'ouvre brutalement. La porte révèle une jeune femme, plus petite mais d'à peu près la même carrure qu'elle.

« Qui t'es toi ? »

La succube n'arrive pas à faire sens de la personne devant elle. C'est une situation inhabituelle alors elle est naturellement sur la défensive, mais son instinct ne lui indique aucun danger en particulier. L'inconnue est habillée sexy, non pas que ça lui déplaise mais les seules soirées qu'elle connaisse avec des filles habillées comme ça, c'est les siennes. Elle était sur le point de rejeter cette fille et de fermer la porte, mais le vice au fond d'elle l'en empêcha. Peut être qu'elle se méfie de rien, et même si cette personne est hostile ne serait-il pas plus intelligent de garder un oeil sur elle ? Et puis si elle est vraiment perdue il serait bête de pas en profiter, elle est quand même vachement mignonne...

Et puis merde, j'espère que c'est pas le saké qui me fait penser de travers.

« Oui c'est ici la soirée, bienvenue »

Elle laisse entrer l'inconnue. Son appartement n'a rien d'une soirée, ni ses vêtements d'ailleurs, elle est habillé décontracté avec un mini-short et un t-shirt large, qui souligne son manque apparent de soutien-gorge. Elle regarde silencieusement la jeune femme habillée en soubrette, se demandant encore une fois si c'est une bonne idée de la faire rentrer, mais les quelques petites gorgées de saké qu'elle a avalé plus tôt lui suffisent pour passer outre ses doutes, et à lui faire apprécier la vue de la charmante créature qu'elle a en face d'elle, ça change des mecs qu'elle a l'habitude de se taper.

« Bon, parles moi un peu de toi, qu'est ce que tu viens faire ici ? »

La porte s’ouvre plus brutalement que ce que j’aurais imaginé. Je note mentalement que la créature n’aime visiblement pas être dérangée, ou sans doute pas chez elle, ce qui est en réalité quelque chose d’assez commun chez les êtres vivants. Néanmoins elle est plutôt agressive, ce qui l’est moins chez les humanoïdes. Je sens cependant une légère odeur d’alcool, ce qui doit expliquer ses éventuels doutes – car elle finit par m’inviter à entrer, malgré l’accueil qui aurait laissé penser que non. J’incline alors docilement la tête, prenant soin de lui laisser le sentiment de contrôler la situation.

Merci madame.

Et me voilà entrée. J’ai déjà visité les lieux sous ma forme réelle, n’ayant aucun respect pour la vie privée de ceux que j’étudie, mais tout me semble plus grand en cet instant. Il faut dire que je ne taille pas bien grande, un bon mètre soixante tout au plus. Je regarde la pièce comme si la découvrait pour la première fois, m’assurant de rester dans mon rôle actuel. N’ayant aucune intention de faire du mal à cette jeune femme, je préfère autant rendre cette expérience agréable pour elle. Cela rendra d’éventuelles futures approches plus simples. Je me tourne donc vers elle avec un air de surprise sur le visage en constatant que, si soirée il y a, rien ne semble l’indiquer.

Est-ce que je suis arrivée trop tôt ? Ou trop tard ?

Elle me pose déjà quelques questions, se demandant tout naturellement qui je suis et ce que je viens faire ici. Si je ne savais pas déjà qu’il n’y avait aucune soirée, sa question me mettrait la puce à l’oreille. Mais je feins néanmoins la surprise, même si je me demande si je pourrais jouer l’innocente jusqu’à la fin de notre discussion potentiellement animée.

Que voulez-vous dire par là ? J’ai annoncé être venue pour la soirée et… ce n’est pas ici c’est ça ?

J’affiche une moue ennuyée en observant la créature, lui donnant sans doute l’impression de la reluquer alors que j’essaie de percevoir une éventuelle utilisation de magie. Certaines en utilisent parfois pour charmer leur proie. Je joue cependant sur ce quiproquo, la regardant ensuite dans les yeux.

J’étais censée… comment dire ça… participer à une soirée… à thème ?

Vu mon accoutrement, le type de soirée et le thème en question sont des plus simples à deviner. Je lui souris un instant, sa tenue actuelle ne gâchant rien à son charme. Je ne suis peut-être pas naturellement composé de chair, mais je sais percevoir la beauté.

Si vous voulez je peux rester pour me faire pardonner pour le dérangement… ?

La jeune femme se retourne surprise à la question, il ne lui faut pas bien longtemps pour remarquer qu'effectivement aucune soirée ne prenait ou n'allait prendre place. La manière dont elle parle poliment en vouvoyant est tout à fait charmante, Netsui s'en voudrait presque de faire du mal à cette petite à l'air naïf mais elle ne peut pas renier son désir profond d'abuser d'une mignonne jeune femme. Netsui la fixe, entre deux phrases elle remarque que ses yeux la scrute de bas en haut.

Je rêve ou elle est en train de me mater.

« Une soirée à thème ? Ouai je vois ça »

La succube finit par baisser sa garde. Elle est certainement inoffensive, c'est juste le genre de petite qui a l'air un peu naive et innocente mais qui cache en fait une grosse perverse. Enfin, "cache" c'est vite dit, Netsui pose son regard à nouveau sur l'accoutrement de son invité qui est loin de cacher quoi que ce soit, sa lourde poitrine n'est couverte que d'un mince tissu qui laisse transparaitre ses tétons, et sa culotte est presque transparente aussi. La chaine métallique qui pend à son coup, ainsi que la proposition qu'elle vient d'exprimer lui confirme qu'en plus d'être une perverse sans gêne c'est aussi une soumise.

« Oh mais ne t'inquiètes pas, je n'avais pas l'intention de te laisser partir de si tôt »

L'occasion est trop parfaite et cette fille trop craquante pour ne pas en profiter. Netsui fait quelques pas avant de révéler à son invité dans quelle situation elle se trouve réellement, ses vêtements se mettent à bouger comme sous les coups d'un vent violent. Ses vêtements se changent en un costume inspiré par celui de la fille en face d'elle. Un corset et un soutien-gorge qui cache à peine sa forte poitrine, une demi jupe rouge qui ne cache rien de ses jambes en collants et de la petite bande de cuir qui abrite tout juste son entre-jambe. Ses yeux brillent de leur authentique couleur rouge.

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Elle continue à avancer, un léger sourire aux lèvres, jusqu'à coller brusquement leurs poitrines l'une contre l'autre. Netsui est plus grande d'une bonne dizaine de centimètres, elle regarde l'autre de haut, quand elle remarque que leurs seins ont presque exactement la même taille, elle fait gonfler les siens de quelques centimètres, assez pour forcer l'autre femme à reculer. Satisfaite de son petit spectacle, elle lève le bras pour attraper la bouteille de saké et le verre qui lévitent rapidement vers elle. Elle rempli le verre qu'elle pose dans la main de sa partenaire puis se penche pour lui susurrer à l'oreille.

« Je m'appelle Netsui, mais je préfère que tu m'appelles Madame comme tu l'as fais tout à l'heure. Et toi ma jolie t'as un prénom ? »

Elle se redresse, pose son coude sur l'épaule de la jeune femme et joue avec ses cheveux bleu nuit en attendant sa réponse.

« Qu'est ce que tu attends pour me montrer ce que tu fais à ces fameuses soirées ? »

Durant un instant, je me demande si Netsui – car c’est visiblement ainsi qu’elle s’appelle – a réellement mordu à l’hameçon. Elle semble encore un peu méfiante, mais après quelques dernières secondes d’observations je la sens se détendre, ou du moins se sentir plus en confiance. A son tour, son regard vient observer mon enveloppe de chair qui est, semble-t-il, un minimum à son goût. J’affiche un petit sourire lorsqu’elle m’annonce ne pas vouloir me laisser partir de suite, à la fois satisfaite par le déroulé des événements et, dans mon rôle de soubrette soumise, ravie à l’idée qu’elle pense s’occuper de moi. Je m’incline docilement, la chaîne pendouillant durant un instant.

Merci… je suis persuadée que la soirée sera des plus agréables à vos côtés.

Je ponctue la phrase d’un sourire qui se veut à la fois mignon et aguicheur, bien que je ne sois pas sûre de ce qu’elle percevra le plus. Elle avance d’un pas assuré vers moi, en profitant pour altérer son apparence. Voilà qui est particulièrement intéressant ! Je n’avais jamais eu l’occasion de la voir se transformer, et le spectacle est particulièrement saisissant. Cette créature est vraiment pleine de surprise, et j’avoue bien plus apprécier la situation que prévu. Cependant, comment réagir ? J’ouvre d’abord de grands yeux surpris, avant d’hésiter. Je pourrais lui annoncer qu’il m’est possible d’altérer mon apparence également, bien que ce soit d’une manière très différente… mais non, je garderais cela pour la fin si les choses se passent bien. Autant la laisser profiter de la situation pour le moment.

Ça alors… c’est…

Je la regarde dans les yeux, avant d’étudier la tenue particulièrement sexy pour laquelle elle a opté. Elle n’a rien à envier à la mienne, et s’il y avait encore le moindre doute sur ses intentions ce n’est maintenant plus le cas. Je me mordille délicatement la lèvre alors qu’elle vient coller sa poitrine à la mienne, effectuant ainsi un premier contact des plus agréable. Je laisse échapper un petit ‘Oh’ de surprise alors qu’elle augmente la taille de sa poitrine, me repoussant ainsi légèrement. Je la découvre joueuse, ce qui ne fait que rendre tout ça plus plaisant, et lui demande d’une voix douce et impressionnée.

Vous pouvez vous transformer à volonté… ?

Mon regard est distrait par l’alcool qui vient à elle, mais qui m’est visiblement destiné. Peut-être une sorte de cadeau de bienvenue ? Dans tous les cas je n’ai pas de raison pour refuser, tout ça n’influant que le corps que je possède. J’ai tout de fois un regard interrogatif en la regardant elle puis la bouteille, comme si je souhaitais trinquer avec elle, avant de réponse à sa question.

Enchantée Madame… je me prénomme Omanne, mais vous pouvez m’appeler comme bon vous semble.

Je n’ai pas de raison d’inventer un nom, bien que celui que j’utilise habituellement soit peu commun. Et avec un tel prénom, je pourrais plus facilement justifier de mon identité en cas de transformation si nous sommes amenées à nous revoir. Comme pour fêter nos présentations, je lève mon verre et boit le saké cul sec. Bien sûr, j’affiche une légère grimace – il s’agit après tout d’un alcool assez fort – avant de poser le verre où je peux. Je prends alors sa main libre dans la mienne, tandis que de ma seconde je prends ma chaîne pour la déposer entre ses doigts.

J’obéis aux ordres Madame… et les attend généralement à genoux…

A défaut d'être pour le moment à genoux, je glisse une main sur sa hanche. Peu couverte, je peux profiter du contact de sa peau particulièrement douce mais également initier le rapprochement à mon tour. Une façon de lui montrer que je suis à l’aise, mais aussi prête à la servir de la manière qui lui plaira.

« La vache tu fais pas les choses à moitié toi. Joli prénom d'ailleurs »

Netsui venait d'assister à un cul sec épatant, lui certifiant que son invité est loin d'être fragile, alors pas besoin de se retenir. Quand Omanne lui offre la chaine qui jusque là pendait à son coup et se met à la caresser, la succube n'hésite pas une seule seconde. Elle tire brusquement sur la chaine et s'élance sur les lèvres de la soubrette, lui prenant la bouche dans un baiser agressif. Elle déguste sans retenue chaque centimètre de la bouche de sa partenaire, sentant le gout et l'odeur de l'alcool quand leurs langues s'entrelacent, le baiser continue de s'intensifier jusqu'à ce que la succube soit totalement penchée au dessus d'Omanne qui manque de tomber à la renverse. Netsui se redresse, tirant avec elle la fille toujours attachée par la chaine.

« T'aimes être à genoux hein ? Faut pas me le dire deux fois »

Netsui applique une grande force par magie sur les épaules d'Omanne, la forçant à s'accroupir devant elle. Bien qu'elle ne doute pas qu'Omanne se serait accroupi volontiers, Netsui prend plaisir à affirmer sa dominance par la force. Maintenant au dessus, elle tire sur son soutien-gorge vers le haut, tirant avec lui sa poitrine qui a du mal à rester contenue. Le léger tissu fini par craquer, offrant à celle d'en bas la vue des ses énormes seins qui gigotent pendant quelques secondes après s'être libérés. Netsui attrape la bouteille qui flottait jusque là à côté d'elle et en avale une gorgée avant de déposer son regard sur Omanne.

« Ouvre grand ma jolie »

Elle retourne la bouteille pour verser le reste de l'alcool sur son torse. Le liquide coule le long de son corps, recouvrant sa poitrine. Le saké qui dégouline sur ses seins finit par couler en cascade du bout de ses tétons et arrive dans la bouche d'Omanne. Une fois la bouteille vide, Netsui l'envoie valser et tire sur la chaine pour relever sa servante, elle lui attrape la nuque puis lui force le visage contre sa poitrine.

« Tu vas me lécher les seins jusqu'à la dernière goutte d'alcool, c'est compris ma petite Omanne ? »

En gardant sa main appuyée contre l'arrière de la tête de la jeune femme, elle lâche la chaine pour libérer l'autre et la glisse lentement le long du dos d'Omanne, profitant sur le chemin de sa peau douce, jusqu'à arriver en bas du bassin. Elle se saisit de ses fesses, les tripotant longuement pendant qu'Omanne travaille, et lui offre même quelques fessés, avant de plonger sa main dans sa culotte.

Merci madame.

Je souris à Netsui, mais attends également de voir ce qu’elle va faire désormais. Ayant ma chaîne et par extension mon corps et mes actes en main, le choix est sien et cela m’intéresse tout autant que la raison initiale de ma présence : l’étude de ses capacités magiques.

Celle-ci ne me déçoit pas, tirant sur la chaîne pour amener mes lèvres aux siennes. Sa langue trouve rapidement son chemin jusqu’à la mienne, mes lèvres entrouvertes l’accueillant chaudement. Je dois toujours avoir un goût d’alcool en bouche, mais peut-être est-ce ce qu’elle recherche ? Je sens également que quelque chose affecte mon corps… un aphrodisiaque ? C’est une arme particulièrement redoutable pour une créature comme elle, et n’importe qui en comprendrait l’utilité même si je ne peux m’empêcher de penser que nombre de personnes n’auraient pas besoin d’être sous l’influence du produit pour s’offrir à elle. Le baiser dure ainsi un long instant, celle-ci en profitant pour appuyer sa domination en se penchant sur moi alors que je prends un certain plaisir à explorer sa bouche en retour. Je manque de glisser, mais elle s’arrête juste à temps pour m’éviter une petite chute. Un mouvement sans doute calculé, qu’elle agrémente d’un petit commentaire que j’accueille avec un sourire taquin et en venant me lécher les lèvres en la regardant dans les yeux.

Elle tient toujours fermement ma chaîne, mais utilise également un autre de ses pouvoirs sur moi. Tout comme elle a fait venir à elle la bouteille de saké, elle s’assure maintenant ma docilité en me faisant mettre à genoux. Je l’aurais bien entendu fait sans problème, mais j’ai dans l’idée que cela lui plait beaucoup de pouvoir me dominer par la force en plus de la parole... et je ne trouve pas ça déplaisant non plus, bien au contraire.
Maintenant à genoux, et mes mains posées par-dessus, je lève les yeux vers ma maîtresse du soir pour savoir comment la servir. De cette position, je peux l’admirer en train d’arracher son soutien-gorge et ainsi libérer sa splendide poitrine qui retombe lourdement lorsque le tissu lâche, gravité oblige. Une vue des plus agréables, dont je profite alors qu’elle boit une gorgée de saké et me donne un nouvel ordre. Ouvrir grand ? Voyant la bouteille dans ses mains, je pense comprendre où elle veut en venir. Je prends donc une voix douce et docile en lui répondant.

A vos ordres madame.

Et j’ouvre grand la bouche, sortant également ma langue du mieux que je peux. Je souhaite lui offrir la vue la plus agréable qu’il soit, tandis qu’elle va m’offrir une délicieuse douche alcoolisée. Prête à accueillir la boisson, j’observe en rougissant ses seins sur lesquels l’alcool coule jusqu’au bout de ses tétons et ce jusqu’à ce que les premières gouttes tombent. Puis ce ne sont plus des gouttes mais un flot continue, qui ne s’arrête que lorsque la bouteille est vide. Une partie de l’alcool termine bien dans ma bouche, alors que le reste vient partiellement tremper mon visage et ma poitrine. J’avale le tout en toute indiscrétion, m’assurant qu’elle capte mon geste qui se veut équivoque.

A peine cela terminé, la bouteille finit… ailleurs dans l’appartement, tandis qu’elle tire à nouveau sur ma chaîne pour me relever. Je ne pensais pas l’être aussi rapidement, bien que je voie rapidement où elle souhaite en venir : elle m’attrape par la nuque et pose mon visage sur sa poitrine avec une certaine force, m’ordonnant de la nettoyer. Bien entendu je m’exécute, laissant échapper un ‘oui maîtresse’ avant de faire glisser ma langue sur sa volumineuse poitrine. Le goût de l’alcool mélangé à celui de sa peau est un régal, et je n’ai pas à fournir le moindre effort pour lui obéir. De son côté, je la sens exploratrice et pousse un léger gémissement lorsqu’elle vient s’occuper de mes fesses. Une première fessée tombe, me faisant sursauter et pousser un petit cri de surprise, puis une seconde et une troisième… j’arrête rapidement de les compter, me concentrant sur sa poitrine que je prends toujours soin de nettoyer comme il se doit à l’aide de ma langue seule. J’arrive à l’un des tétons, autour duquel je dépose mes lèvres pour le suçoter. Après quoi c’est ma langue qui vient le titiller à de nombreuses reprises, avant que je vienne finalement le mordiller sans y mettre trop de force. Je ne souhaite pas lui faire mal mais plutôt découvrir ce qui lui plait le plus parmi ces différents traitements. Je passe ensuite à son second sein, alors que je sens sa main se glisser dans ma culotte dont elle pourra sans doute constater l’humidité. Après tout, l’aphrodisiaque a fait effet et sa présence est particulièrement stimulante.

Netsui se surprend à gémir de plaisir plusieurs fois sous les coups de langue d'Omanne sur ses seins, elle peine à retenir sa voix à la sensation de ses lèvres quand elle suce ses tétons. Sa main maintenant plongée dans la culotte déjà humide de sa partenaire elle commence à la caresser, touchant les lèvres tendres de son vagin, elle les écarte, les masse, et s'amuse à répandre la mouille partout dans son entrejambe. Puis elle commence à frotter plus énergiquement, son mouvement de va-et-vient est assez large pour qu'elle puisse profiter des fesses d'Omanne quand sa main est au plus haut, et de toute la longueur de ses lèvres quand sa main est au plus bas. Le travail d'Omanne porte ses fruits, Netsui appuie encore un peu plus fort pour garder sa tête contre sa poitrine sensible, elle commence même à avoir du mal à garder la tête droite et les yeux ouverts. Un suçon particulièrement bien placé sur son téton droit lui arrache un cri de plaisir et de surprise.

« Petite salope, comment tu peux être aussi douée à ton âge ? »

C'est l'heure d'inverser les roles, Netsui pousse Omanne et bascule avec elle. Le couple tombe brutalement sur le sol heureusement en moquette. La succube au dessus de la soubrette, elle saute directement sur son cou dont elle embrasse tous les recoins en descendant lentement vers son torse. Arrivée à destination elle lui arrache son soutien-gorge en un mouvement, délivrant sa poitrine qui n'a rien à envier à celle de la succube. Netsui n'hésite pas une seconde pour s'attaquer aux seins enfin totalement à nu de la jeune femme. Sa main gauche tient fermement les poignets d'Omanne qu'elle garde plaqués au sol au dessus de sa tête. Elle offre à ces seins le même traitement que les siens ont reçu, avec une bonne dose d'agressivité en plus, lui léchant et suçant vigoureusement les tétons. Sa main droite ne reste pas inutile, elle trouve refuge encore une fois dans la culotte d'Omanne. Mais cette fois saute l'étape des caresses pour enfoncer directement deux doigts dans sa fente mouillée, elle la masturbe avec autant d'énergie que sa bouche qui s'occupe de sa poitrine. Après de longues minutes à se consacrer au corps de l'autre, Netsui se relève. Son regard est empli de perversité, ses joues rouges montre visiblement que l'alcool à fait son effet bien plus intensément que si elle était une humaine normale. Elle ouvre légèrement les jambes puis pose sa main sur son entre jambe pour écarter sa culotte sur le côté.

« Regarde dans quel état tu me mets Omanne »

Sa chatte est tellement trempée que à peine avoir écarter le tissu, de nombreuses gouttes en tombent et viennent mouiller le sol. Après ce petit spectacle elle se laisse tomber en arrière, une chaise glisse par elle-même pour la rattraper au dernier moment. D'un petit mouvement du doigt elle indique à Omanne de se rapprocher, puis elle lève sa jambe gauche pour la poser en face de la servante accroupie.

« Retire mon collant. Sans les mains »

Une fois sa jambe à nue, elle attrape encore une fois la chaine en métal. Désirant profiter de la langue habille de la jeune femme autant que possible, elle pose son pied contre le visage d'Omanne et tire lentement sur la chaine pour faire remonter sa bouche le long de sa jambe jusqu'à arriver à son entre-jambe toujours dégoulinante. Tant qu'à faire, elle colle son autre pied contre l'entre-jambe de la jeune femme pour la stimuler gentiment.

Alors que je m’attèle à la tâche et m’assure qu’aucune goutte d’alcool ne survive au passage de ma langue, non sans faire un peu de zèle et chercher à l’exciter en m’attaquant à ses tétons visiblement sensibles, Netsui commence à prendre ses aises entre mes cuisses. Je sens ses doigts venir s’amuser avec mes lèvres et étaler ma mouille, m’arrachant des gémissements appréciateurs. Elle n’y va pas par quatre chemins, et ça me plait surement autant qu’à elle. Puis, alors que je viens suçoter son autre téton, elle pousse un cri de plaisir des plus doux… puis me traite de petite salope en se demandant comment je peux être si douée. Je prends ça comme un compliment, et rit légèrement en lui souriant avant qu’elle ne me pousse au sol.

La chute ne me dérange pas particulièrement, et je suis ravie d’accueillir la fougueuse Netsui sur moi. Elle ne me laisse aucun répit, me tenant fermement au sol d’une main alors que l’autre arrache mon soutien-gorge. Ma lourde poitrine désormais à sa merci, elle s’en donne à cœur joie pour me rendre la pareille et me faire gémir en s’attaquant à mes tétons qui durcissent à vue d’œil. Mon souffle s’accélère, mais soudainement je laisse échapper un cri à mon tour alors que ses doigts me pénètrent sans préavis. Je souris en gémissant, me disant que je ne suis pas la seule à être douée… ma mouille gicle par moment lorsque ses doigts s’enfoncent en moi, humidifiant mes cuisses, mes fesses et également la moquette qui en gardera un très bon souvenir. Elle s’arrête cependant quelques minutes plus tard, alors que mon corps est brulant et ma chatte dégoulinante. Je croise son regard, qui est aussi pervers que le mien. Je la regarde en me mordillant la lèvre, et me redresse lentement en la voyant écarter sa culotte. Je regarde son intimité aussi trempée que la mienne, puis vient à nouveau chercher son regard en me léchant les lèvres comme une affamée.

Laissez-moi m’occuper de ça Madame…

Mais elle semble avoir d’autres idées pour le moment, se laissant tomber en arrière sur une chaise qui arrive juste à temps pour lui éviter une chute. Je me mets à genoux et avance à quatre pattes jusqu’à elle lorsqu’elle me l’ordonne, puis j’écoute sagement sa demande. Retirer son collant sans les mains ? C’est parfaitement dans mes cordes, aussi j’hoche la tête.

Bien sûr Madame, laissez-moi faire.

Alors, j’approche mon visage et vient chercher le haut du collant. Je rapproche ma bouche de sa jambe, déposant mes lèvres sur sa peau alors que j’essaie d’attraper le bord du collant avec les dents. Une fois que c’est fait, je tire doucement dessus pour le faire descendre lentement en m’assurant que mes lèvres, ainsi que mes mèches de cheveux, continuent de caresser sa peau. Après quelques instants, le collant tombe au sol et je la regarde à nouveau en attendant mon prochain ordre. Elle ne tarde pas à me le donner, cette fois-ci sans dire un mot : son pied se pose contre mon visage, et elle m’attire à elle en tirant sur la chaîne. Je comprends vite où elle veut en arriver, et ma langue remonte le long de sa jambe. Lorsque j’arrive à sa cuisse, je peux sentir à certains endroits le goût enivrant de sa mouille qui a coulé jusque-là… puis, j’arrive face à ses lèvres intimes qui me semblent particulièrement invitantes. Je souffle chaudement dessus malgré moi, d’autant plus excitée que son pied frotte ma zone humide aussi. Après quelques secondes d’hésitations j’avance mon visage et donne un long coup de langue contre ses lèvres, la faisant remonter lentement jusqu’à la faire glisser sur son clitoris, puis je réitère l’opération en l’appuyant un peu plus. Au troisième passage, ma langue s’invite entre ses lèvres et vient lécher ses zones plus sensibles…

Maîtresse… m’autorisez-vous à utiliser mes doigts pour vous satisfaire… ?

Bien sûr, je n’ai pas l’intention d’arrêter de la lécher pour autant. Je viens blottir mon visage entre ses cuisses, léchant avidement sa chatte pour la faire de plus en plus mouiller… son nectar est un vrai régal ! Je me surprends d’avoir oublié, durant quelques instants, pourquoi je suis là... mais peu importe, je prends du plaisir à satisfaire Netsui et apprécie sa présence. Je ferais mes constats plus tard.

La succube frémit au toucher de la douce langue d'Omanne qui remonte lentement le long de sa jambe. Quand elle arrive finalement jusqu'à son entrejambe les yeux de Netsui brulent d'anticipations, l'alcool et les préliminaires ont trop durés, les quelques secondes de pause où sa partenaire ne la touche plus sont une torture. Elle lache un petit soupir de satisfaction quand sa chatte commence enfin à être prise en charge. Sa peau est si sensible qu'elle ressent chaque détail de la langue d'Omanne sur ses lèvres, après trois passages délicieux elle lui propose d'utiliser ses doigts.

« Alors que tu es déjà si bien partie ? Regarde toi tu raffole de ma mouille »

En effet à peine avoir terminer d'exprimer sa proposition qu'elle replongeait déja sa tête entre les jambes de sa maîtresse. Hors de question de la laisser partir de si tôt ! Netsui la laisse travailler pendant qu'elle caresse doucement ses cheveux, elle s'assure tout de même qu'Omanne ne s'ennuie pas, en continuant de stimuler son entrejambe avec son pied droit au même rythme que les coups de langue qu'elle reçoit. Le jeu s'intensifie de plus en plus, jusqu'à ce que Netsui se trouve dans le même état que plus tôt, elle appuie sur la tête d'Omanne comme quand elle s'occupait de ses seins, puis ferme les yeux et se laisse emporter par les sensations. Elle essaye tant bien que mal de garder les caresses de son pied au rythme que lui impose la bouche habile de sa compagne, mais après quelques minutes trop intense elle fini par lâcher prise. Netsui relaxe sa jambe et agrippe à deux mains la tête d'Omanne pour la garder enfoncée entre ses cuisses. Elle n'essaye aucunement de cacher ses gémissements de plaisir.

« Aahh ! T'arrêtes surtout pas ! »

Sur le chemin de l'orgasme, son corps se crispe à chaque coup de langue bien placé. Quand Netsui sent qu'elle arrive à sa limite, elle enroule ses jambes derrière le dos d'Omanne pour la bloquer sa position, et ne peut pas s'empêcher d'accompagner les mouvements de sa tête avec ses mains pour amplifier les sensations. En un ultime cri de plaisir, Netsui jouit, elle se cambre vers l'arrière, son corps tout entier se raidit dans cette position alors que l'euphorie l'emplie totalement. Quand l'extase se termine, elle se relaxe d'un coup au fond de sa chaise. Elle prend un moment pour respirer, la bouche grande ouverte et les yeux toujours lever vers le haut. L'euphorie du moment passée, elle déroule ses jambes et libère Omanne qu'elle gardait encore égoistement entre ses cuisses. Elle tapote gentiment le haut de la jolie tête de la soubrette accroupie.

« Excuse-moi je me suis laisser emporter, enfin c'est un peu ta faute. Vas-y tu peux utiliser tes doigts pour la suite »

Les réactions de Netsui sont le meilleur des guides. Bien qu’elle ne m’autorise pas à utiliser mes doigts pour le moment, ses soupirs et gémissements me laissent deviner sur quels endroits je peux accentuer mes efforts. Alors que ses doigts se mêlent à mes cheveux pour, en quelque sorte, m’encourager à continuer ce cunnilingus je sens également son pied continuer de se frotter sur mon intimité. Vu mon état, son pied doit déjà être trempé… tout comme la partie basse de mon visage, qui la dévore avec passion.

Je sens l’excitation de ma maîtresse du soir monter encore et encore, jusqu’à ce que son corps se mette à trembler et que sa main appuie sur ma tête. Encouragée je redouble d’effort pour la pousser à bout et ma langue alterne les passages de plus en plus fougueux en intérieur et extérieur, sans oublier de m’occuper de son clitoris bien entendu. Son pied commence à avoir du mal à suivre le rythme, et sa seconde main finit par s’appuyer sur ma tête à son tour : aucun doute, la belle ne va pas tarder à jouir. Alors, comme elle me le demande entre deux cris de plaisir, je ne m’arrête pas et vient m’acharner sur les parties les plus sensibles de son intimité. En plus de ses mains, ses jambes viennent m’emprisonner entre ses délicieuses cuisses et son corps tout entier commence à réagir à ma langue jusqu’à ce que, finalement, elle se cambre et jouit. Mon visage accueille avec plaisir son nectar, s’en retrouvant en bonne partie couvert. J’y prends bien plus de plaisir que prévu, mais cela ne me dérange pas du tout : cela faisait bien longtemps que je n’en avais pas eu autant.

Après quelques instants, je sens ses jambes me libérer. Est-ce qu’elle en a eu assez ? Je n’ai pas à me poser la question bien longtemps, car après m’avoir tapotée la tête pour me féliciter elle m’annonce que je peux désormais utiliser mes doigts. Mon visage souillé relevé vers le sien, j’affiche un large sourire et me lèche les lèvres pour savourer sa mouille avant de prendre la parole.

Nul besoin de vous excuser, vous m’honorez maîtresse !

Et j’ai bien l’intention de rendre la soirée la plus agréable possible pour elle.
Alors, maintenant que j’ai son autorisation, mes mains remontent le long de ses cuisses. Je les écarte légèrement, admirant ses lèvres trempées durant de longues secondes avant d’y déposer un baiser. Ma main droite vient délicatement les caresser avant que j’y glisse directement deux doigts avec une certaine facilité. Je crois que je n’aurais aucun mal à en ajouter par la suite si le besoin s’en fait ressentir, et alors que je commence à la doigter et frotter ses parois internes sans la moindre retenue ma bouche se remet au travail et se met à suçoter son clitoris.

Durant un instant je me demande quoi faire de ma seconde main. Est-ce que je peux jouer avec sa poitrine ? Ou… pourquoi ne pas explorer une partie de son corps que je n’ai pas encore eu l’occasion de découvrir ? C’est avec cette idée en tête que cette main se glisse derrière elle et vient caresser ses fesses, avant de se faire un chemin entre les deux pour venir jouer avec son anus. Je ne doute pas un seul instant que si cela ne lui plait pas elle me le fera savoir.