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Un restaurant français au Japon ! ... Bon d'accord, ce n'est pas si surprenant, mais il y en a peut. J'étais donc très heureux d'en trouver d'autre par ici. De plus, leur concept de boite noire était très intéressant ! J'en avais rarement fait et c'était toujours très plaisant de pousser ses papilles.
Comme je reste méfiant, j'avais fait vérifier qu'il n'y avait rien d'illégale et de dangereux, avant de réserver un soir une dégustation dans le noir.

J'étais plutôt curieux de ce menu qu'on allait me proposer, voulant la surprise, j'avais demandé le moins d'information possible et juste donner mes allergies. Autrement dit pas grand chose, juste les goûts qui ne m'étaient pas agréable, pamplemousse et artichaut. Je n'aimais pas les goûts fades et acides.

Le soir venue, j'arrivais dans la pénombre au restaurant. L'enveloppe à mon nom me fit sourire, délicate attention. Lorsque je pénétras dans le restaurant, noir, je dû m'interdire d'user d'un objet pour une vision dans le noir... Sa perdrait tout son sens. Autant que celui de ma vue !

- Monsieur Lenoble est présent. Lançais-je en français, bien que mon prénom pouvait tout dire...

Une douce voix vint me saluer et me prendre la main, une main délicate et douce d'une jeune femme. Comme elle devait connaitre son restaurant, serveuse ou propriétaire, elle n'allait pas se taper aux tables et me fit m'asseoir. J'étais un peu exciter et impatient de découvrir ce menu.

La serveuse se nommait donc Camille et sa soeur Catherine, je me notais cela en tête, avec son timbre de voix en espérant ne pas me tromper par la suite ! Je n'étais pas sénile, mais on peut s'y perdre dans le noir !

- Bien, je vous remercie Miss Camille. Lui répondis-je d'une voix douce et assuré.

J'avançais à son rythme et elle connaissait le trajet, ayant surement pousser les tables. Etais-je le seul ? Je n'entendais pas d'autre voix. Les lieux étaient petits mais tout de même !
J'entendis le mouvement d'une chaise et lorsque je la toucha, pu m'asseoir en suivant la forme de celle-ci. Elle me fit un peu sourire, au fait de s'acclimater dans un lieu que je ne vois pas, je rigolais légèrement.

- Très bien, je ne bouge pas. Souriais-je, même si cela ne se voyait pas.

Néanmoins, une chose était intéressante, les couverts et tout... Je me mis ainsi à tâtonné la table, découvrant l'assiette, un verre, mais... Pas de couvert ! Camille était parti chercher l'apéritif, tandis que je touchais, caressais ce qui était sur la table, parfois frémissant, parfois curieux de comprendre ce que c'était.

La musique, celle de la nature était... un choix intriguant, peut-être déboussolant. Au début, je n'y étais pas à l'aise, la nature reste... "dangereuse" en un sens, on doit rester aux aguets alors que le but n'était pas là. Alors il me fallut un peu de temps pour finalement apprécier la mélodie et me relaxer.
Camille choissisa ce moment pour revenir, mon regard... dans le noir, donc ma tête, se tourna vers le bruit de pas puis fut surpris qu'elle pose ses mains sur mes épaules. Un contact pas nécessaire, mais pas désagréable.

- Je commence à m'y faire.

J'étais curieux du cocktail et suivait vaguement l'ombre, la forme que j'arrivais à percevoir de la "jeune ?" femme. Je reçus le verre et l'huma pour tenter d'en découvrir les arômes et ingrédient. LE tout était bien mélanger et je n'étais pas si bon que cela... Alors je goûtais, trempant d'abord mes lèvres puis avalant une, deux gorgées.
C'était doux, quoi qu'une douce chaleur envahissait ma gorge et descendait lentement pour finir plus bas, j'en rougis un peu.

Une chose me fit un peu tiquer, la mise en bouche des soeurs, c'étaient un drôle de nom pour leur menu, pour un peu on penserait que c'est elle le menue... Cela stimulait quelques peu ma créativité, mon esprit.

- Très bien. Je bus un peu plus de cette douce boisson.

Sa main dans mes cheveux, me donnait d'agréable frisson. Elle se montrait très tactile et mon esprit me jouait des tours en imaginant des choses coquines avec cette "jeune" femme. Je m'en mordis la lèvre, pourquoi agissait-elle ainsi ? Cela me dérangeait un peu de ne pas savoir. J'hochais la tête et fut surpris qu'elle pousse délicatement mon visage vers... Le plat ?

Non vers la table, mais droit devant moi. En face de mon visage ?! Je sortis ma langue timidement, un peu perdus et ma langue vins lécher le "plat", il eu alors un petit frisson au "plat" et je découvris la texture, douce, tiède comme "assiette" avec le plat dessus. C'était la poitrine de la jeune femme ? Merde, maintenant me voilà à imaginer la scène et je commençais à bander (n'ayant pas compris que le repas y était aussi pour quelques choses). J'utilisais mon bout de langue pour lécher le contour en forme de colline délicate. Titillant le téton à la découverte du goût , j'en un frisson à l'acidité, mais ça allait. C'était... très excitant. Je me surpris à me caresser l'entrejambe et poser naturellement ma seconde main sur le fessier de la jeune femme. Prenant mon temps pour déguster mon plat, tout en cherchant instinctivement à faire soupirer à ma langue.

Tandis que ma vue m'était privé, mes autres sens étaient pousser à découvrir cet autre monde. Mais je crus comprendre que la boisson servit était la pour aider dans bien des sens... Roh les coquines !
Elle couchait ainsi avec ses clients ? Tous ? Moi qui était assez possessif, cela m'ennuyait un peu et me rendait un brin jaloux.

- Oui, il était doux.

Ma bouche quant à elle, venait déguster avec délice le plat-sein(ta) de la jeune femme, appréciant énormément les soupires de la serveuse. Sa peau délicate, tiède aux douces effluves du plat embaumait mon nez qui effleurait sa peau, alors que ma langue glissait sur son téton durci.
Elle ne rechigna pas à ma main sur son fessier, douce et ferme, nue, me faisant bien comprendre sa tenue... Cela m'excitait d'autant plus et je commençais à être serrer dans mon pantalon. Je massais ainsi son fessier gauche, de ma main droite et effleura l’entre-mont de ces deux belles collines charnelles. La douce mélodie de sa voix me faisait sourire et je mis une petite claque à son cul.

- Oui, c'est un apéritif des plus exquis. je crois bien avoir trouvé mon restaurant préférer... J'eus un sourire coquin, ouvrant ma braguette pour me laisser plus d'espace.

- Vous offrez ce service à tout vos clients ? M'enquis-je,  traçant une ligne de ma langue, d'un sein à l'autre, venant embrasser le second et lécher, manger ce qui y était offert.

C'était plus fin, plus délicat, me donnant un nouvel arôme à déguster. Appréciant de continuer ce "service" galber et poétique de pars le chant de la serveuse.
Je me demandais jusqu’où cela allait... Cela m'intriguait et mon envie de tout posséder me faisait grogner de laisser aux autres la chance de pouvoir en profiter. Devrais-je acheter leur restaurant pour en être l'unique propriétaire ?

Le jolie couinement de la serveuse était des plus agréables, cela m'excitait beaucoup et je commençais à être bien dur. Lécher une poitrine, dans le noir avec des goûts étaient aussi très surprenant et exaltant. Je ne faisais que déceler les courbes de la "jeune" ? femme, dont seule sa peau et le timbre de sa voix me donnait des informations. Je ne savais rien d'elle et c'était plutôt pas mal.

Ses soupires exalté, son petit cul moelleux sous la main et ses seins aux tétons pointés me faisait bander, j'en ouvris ma braguette et eu un commentaire positif à cela. J'en souriais dans la pénombre, mais je me retins de me branler, ce serait allez trop vite en affaire et je voudrais rapidement le dessert sinon !

Sa chevelure me tombait délicatement dessus, tendis que j'embrassais délicieusement sa poitrine, tournant ma langue autours de cette bille qui n'en demandait pas moins. Je le savais au soupir et mouvement de la femme.
A mon brin de jalousie, fut un peu calmer par la réplique de la serveuse. Cela arrivait peu et rarement ? hum...

J'empoignais ses deux fesses en main, m'évitant ainsi de me toucher, appréciant sa peau délicate et la claquant par moment avec un sourire malicieux aux lèvres.

- Oui... tu as raison, je ne devrais penser à rien d'autre que ce "repas".

Je la dégustais et fini par ne plus sentir autre chose sur sa peau délicate et me recula de sa poitrine, glissant mes mains de ses fesses à effleurer son entrejambe avant de reprendre une position plus "correcte" face à ma table.

- Ce fut délicieux, j'espère que la suite le saura tout autant. Cela m'a rendue... "dure" d'impatience. En souriais-je pervers, sans savoir clairement ou la regardé, ou étais ses yeux.

J'attendais donc la suite, venant lécher sur mes doigts, un peu de fluide féminin récupérer.

Déguster une jeune femme dans le noir était plus exaltant que je ne l'aurais crus... J'entendais ses soupirs, ses gémissements, sans la voir, tout dans le sens de l'ouïe et du toucher ! Et bon sang que c'était bandant !
Je n'étais pas au menu, sinon j'aurais offert mon chibre !

Camille était plutôt humide de s'offrir ainsi et s'en alla, je me permits alors de me toucher un peu entre deux. Soupirant, sans sortir mon membre de sa cage de tissu... pour l'instant !
Finalement, un bruit sourd s'avançait vers moi, avec le petit pas léger des dames. Sauf que la voix qui se fit entendre n'était... pas à la même hauteur ? Je devinais la direction, mais la forme était étrange, d'autant plus que si Camille restait, elle me rendait confus sur ce que je voyais dans la pénombre.

- Enchanté Catherine.

On était à l'entrée, après l'amuse bouche. Et dire qu'il restait encore le plat principale ! ahah.
La douceur des plaines... Tout de suite me vint l'idée qu'elle était allonger, offrant son ventre.

- Très bien.

Mes mains partirent dans l'obscurité à la recherche du corps de la jeune femme. Je touchais du métal, qui n'était pas là avant et en tatonnant, découvrit que c'était un chariot. Elle était allonger ou poser dessus ? Je me leva et mes doigts longèrent la plaque, arrivant sur ses jambes, que je vins délicatement caresser, pour remonter sur son corps, me demandant ou était le plat.

C'était amusant d'essayer de suivre l'agencement du corps. Je devais palper pour bien suivre ses chevilles, puis genoux et enfin hanche, j'allais remonter plus haut sur le ventre quand elle me précisa que c'était ici. Je fus surpris et dirigea mon regard vers mes mains. Je touchais bien ses hanches non ? Je sentais les os du bassin... Non... entre ses cuisses ?

- J'ai hâte de goûter...

J'approche mon visage très lentement pour ne pas heurter le "diner" et commence à sentir les effluves d'une sauce. Je donne alors un léger coup de langue et 'entrevoit' les formes. Mes mains glissent alors sur son corps pour tâter et prendre la nourriture. J'avoue que c'est plutôt compliqué dans le noir, excitant, mais pas easy.
Je croque alors un... légume, avec une sauce et du fromage frais.

- hum, bon.

Mes doigts la touche et détermine à peu près ou est chaque élément, m'en mettant sur les doigts, je touche sa peau et sens les lèvres intimes de la femme. Cela me rend dur et me donne bien des envies. Comme je ne fourre pas mon visage entre ses cuisses à cause des légumes qui pourrai tomber, je l'utilise vraiment comme une assiette.

Prenant entre mes doigts les aliments, que je frotte à la sauce et sa peau. Après quelques minutes, il n'y a plus d'aliments dessus, mais c'est humide et il y a encore des traces de sauce ou fromage. Je viens alors plonger ma tête entre ses cuisses et lécher tout ça... Embrassant sa fente au passage et laissant ma langue glisser partout à la recherche de tout ce qu'il peut y rester. Mais je ne reste pas là, mes mains glissent sur son ventre et remonte masser sa poitrine avec douceur, titillant ses tétons pour la faire chauffer comme ça soeur...

Il s'agissait d'une expérience des plus curieuses et sensuelle que j'eus vécu. Manger sur une femme nue, était déjà intriguant, mais en plus ne pas la voir était émoustillant au possible !
Partir à tâtons, découvrir lentement ses courbes, les sentir, les toucher, puis lécher sa peau délicate, tiède et rehausser de nourriture. Exaltant !

J'entendais le souffle de la femme allongée, le présentait avec les vibrations du corps, tandis que je me délectais du repas. C'était presque conviviale à l'entendre me questionner sur mon avis du repas.

- Un plat atypique mais fort en saveur. Souriais-je malicieux, bien que non visible.

Je terminais mon plat après quelques minutes, la faisant soupirer et... me mis à apprécier la fin.
L'intimité de la demoiselle, léchant, embrassant celle-ci pour mieux l'entendre soupirer et gémir peut-être. Caressant au départ ses cuisses, mes mains remontent à la recherche de ses seins. Découvrant leur forme, leur douceur entre mes doigts et les tétons chauds et dure, pointant de désir. Si je n'occupais pas mes mains, je sais que je me serais fait un plaisir solitaire ou que je n'aurais pas tenue à l'envie de la sauter.

Je n'y prêtais pas attention, mais le chariot, froid, ne faisait aucun bruit, ne laissant vraiment qu'entendre mon souffle un peu rauque et le sien, ainsi que sa voix chantante de plaisir. Elle remuait beaucoup et en redemandait, j'en souriais et m'en pourlécha les lèvres.

- Oui, je vais tout dévorer...

Ma langue parcourait les contours de sa féminité, à la fois pour la stimuler, et aussi pour connaître les dimensions, savoir où allez, se poser. Elle mouillait bien, se trémoussant, mon nez venait frotter son petit bonbon rose, tandis que je lui faisais un cunni. Mes mains n'étaient pas en reste, malaxant lentement sa poitrine et tirant délicatement ses pointes.

Je prenais conscience que mon corps était aussi en feu, de désir, vraiment, ne rien voir exsudait mes sens et même si je ne savais pas si physiquement elle me plairait, j'avais envie d'elle.
Ma bouche dévorait son antre humide, poussant ma langue profondément, tournant en elle comme je pouvais. Mes mains tremblaient sur sa poitrine, me retenant de venir ouvrir ma braguette et sortir mon membre turgescent.

Je ne sais pas trop combien de temps cela dura, j'étais focus sur ce repas "préliminaire" et ce fut à son orgasme, aspergeant ma bouche et mon visage, que je m'arrêtais. Satisfait... et frustrer. Me redressant, je la lâchais et chercha à tâtons une serviette sur la table.

- Merci pour le repas, il était très... goûtu. J'ai hâte de découvrir la suite.

En deux plats, elles avaient fait fort et je me demandais comment cela pouvait continuer. J'aurais bien voulus propose ma crème fouetter mais... Comme c'était moi le client, à déguster ce ne serait pas le bon sens. Malgré tout je ne dirais pas non à cela !