Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Ne dis jamais ça à personne (PV Siraye)

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Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Ne dis jamais ça à personne (PV Siraye)

vendredi 06 janvier 2023, 00:01:58

Dix heures trente.
On est samedi et tout est calme.

Sans avoir besoin du moindre réveil, je m’extirpe moi-même de mes songes au gré de ces bruits environnants auxquels je peine encore à m’habituer : le chantier d’à côté, le passage constant et incessant des voitures jusqu’au bout de notre petite rue…

Le regard un peu vide, sans doute encore perdu entre deux mondes, je fixe longtemps le plafond, à la recherche d’un rien, d’un rien du tout.

Étrangement, ça ne sent rien. Rien comme d’habitude en tout cas. Avant, il était coutume qu’on prenne le petit-déjeuner tous ensemble. Papa, Maman, Oko, Tomie et moi. Hors périodes de fêtes, c’est le seul jour où nous arrivions encore à nous attabler tous ensemble, entre mes cours, mes entraînements, mes compétitions… les champs de Papa, les castings et autres entretiens passés par les filles et pour lesquelles Maman prenait un temps fou, prête à les accompagner la journée durant, même si cela voulait dire passer 4h de sa journée dans les transports en commun.
Mais ce matin, rien. Même pas une odeur de café.

Peut-être suis-je désormais trop grand pour ça ?
C’est peut-être ce qu’ils se disent, ouais.

Ah, non. J’avais oublié.
Mes parents en parlaient hier soir : pour je ne sais quelle raison -à vrai dire je ne m’en souviens tout simplement plus, ou alors je n’ai pas écouté-, ma mère avait décidé d’accompagner mon père en ville pour faire le tour des marchés. Il souhaitait voir ce qu’étaient devenus ses produits, maintenant qu’une grande entreprise avait repris les rênes de son exploitation pour tout exporter jusqu’ici, dans la métropole. Je crois qu’il était… curieux. Peut-être un peu inquiet. Qui sait, il serait bien capable de faire machine arrière. On repartirait à la campagne et… tout redeviendrait comme avant.

Les filles, elles… je sais plus. Elles avaient invité Mariko à la maison donc.. j’imagine que, maintenant qu’on vit en ville, elles ont décidé de l’emmener faire un tour. Je veux dire, faire les boutiques. Comme toujours.

Mariko.
Ça faisait longtemps que je n’l’avais pas vue. Enfin, c’est pas comme si je l’avais vraiment vue, hein. Rentré tard de l’entraînement, comme tous les vendredis, j’étais juste passé dire bonsoir en passant par le salon et était aussitôt allé me coucher. Elle avait levé la main pour me saluer, mais c’est tout. Au moins, contrairement à mes sœurs, elle n’avait pas fait semblant de ne pas me voir, elle.
J’avais buggé un instant, un peu surpris de la voir alors que ni Oko ni Tomie ne m’avaient prévenu de sa visite. Si j’avais su j’aurais… je sais pas… fait un effort ?

Ou bien j’me serai pas montré du tout de la soirée.

Je crois bien qu’elle savait tout. Que j’la matais en secret depuis que j’avais 10 ou 11 ans et qu’elle devait en avoir 15 ou 16… que j’avais volé un de ses strings une fois où elle était venue dormir à la maison… ou bien que je l’avais prise en photo il y a quelques années, quand elle était venue avec nous passer des vacances au bord de la mer.
Alors que ma mère les avait forcées à m’emmener avec elle à la plage, mes sœurs m’avait laisser planter là, comme un con à faire des châteaux de sable sous mon parasol. Elles étaient parties se baigner tous les trois, bien loin… mais au bout de quelques heures, j’avais tenté de les rejoindre avant de me raviser en tombant nez à nez avec Mariko qui bronzait les seins à l’air.

Les filles m’avaient hurlé dessus et j’étais parti en courant, une trique d’enfer entre les jambes alors que j’en étais déjà sûr, même en comparant ça avec ce que j’avais vu en photo, j’avais jamais rien vu d’aussi gros. Penaud et une bonne trace de gifle sur la tronche -Merci Tomie-, j’étais reparti en courant. Mais trop curieux sans doute… pour appeler ça comme ça, je m’étais pointé de nouveau, plus discrètement cette fois, avec le vieil appareil numérique de Papa.
Des photos des gros seins de Mariko… qu’est-ce que j’en avais prises.

J’me demande bien où elles sont maintenant. Sans doute pas loin. Si quelqu’un était tombé dessus, je le saurais.

« Hmmmmpf »

Pas de petit-déj, dommage.
Mais putain OUAIS ! Personne à la maison !!! Avec une mère femme au foyer, est-ce que vous vous rendez compte comme c’est rare ?
J’ai la maison pour moi tout seul pour au moins quelques heures, l’occasion de faire ce que je veux, sans que personne me dise quoique ce soit. Je peux… utiliser le grand écran du salon pour regarder des animés… ou même un porno ! Je fais ce que je veux. L’éclate totale.

D’un coup plus motivé et déterminé, je me lève d’un bond, un grand sourire aux lèvres. Gêné par ma sempiternelle demi molle du matin, je n’ai plus aucune honte à l’idée de me débarrasser de mon caleçon en plein milieu du couloir et le fais donc… en sifflotant.

Sans m’alerter de rien, bien trop heureux, je pousse et entrouvre la porte de la salle de bain avant même de me rendre compte de ce petit truc qui aurait dû me mettre la puce à l’oreille, ce seul bruit dans la maison.

La douche était en route, nigaud.

D’un geste vif je me recule mais… alors que mes yeux se lèvent en direction de la grande douche à l’italienne, ils s’écarquillent lentement. La main fermement tenue sur la poignée de porte, je comprends et ne peux m’empêcher de ne pas refermer la porte complètement. Ces cheveux blonds…

Ce n’est pas Oko. Encore moins Tomie… C’est Mariko.

Mes yeux se baissent doucement. Tout doucement.
Ils ont… grossi, encore… mais oui. Ce sont bien les siens, j’en mettrai ma main à couper.
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Siraye

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Re : Ne dis jamais ça à personne (PV Siraye)

Réponse 1 vendredi 06 janvier 2023, 07:13:39

Ce matin-là, Mariko se réveille seule dans la chambre de Tomie. Elles avaient pris depuis longtemps l'habitude de dormir ensemble et de partager naturellement le lit. La blonde est surprise : Tellement épuisée après le film, elle s’est endormie direct mais de là, à ne pas entendre son départ ? Ses amies ont eu pour une fois un peu de considération pour son sommeil. Etonnant.

Ses yeux peinent à s’ouvrir. La lumière vive de son téléphone trop vite saisi n'arrange pas les choses. Il lui faut plusieurs minutes pour s’y habituer. 31 messages  non lus, 5 appels manqués. Tous d’Oko ou Tomie. A cette heure-ci, la blonde n’a guère envie de se plonger dans leur histoire. Toutes deux sont parties retrouver leur rencard, ce qui explique par ailleurs l’intense séance shopping de la vieille.

Leurs sms, qui ne cessent de s’accumuler, doivent décrire leur rendez-vous passionné, critiquer le moindre défaut de leur rencard… Ou balancer des détails inutiles dont elle a guère envie d’apprendre, là, tout de suite. Mais elle finira par y répondre, comme toujours.

Pour l’heure, Mariko réussit à quitter le lit pour se traîner jusqu’à la salle de bain. Amie depuis toujours avec les deux sœurs, il n’était pas rare qu’elles l’invitent et l'abandonnent ensuite. Elle a appris à faire comme chez elle, avec le temps et s’entend bien avec leurs parents et… Takezo.

Depuis le début de sa pré-adolescence, le cadet de la fratrie a commencé à la mater, lui voler sous-vêtements et photos. Elle l’a bien vite remarqué mais ne s’en est jamais vraiment souciée. Ce n’est qu’un gamin qui découvre ses hormones. Oko et Tomie le grondaient à sa place, quand elles le prenaient la main dans le sac

.Sans songer à sa possible présence, la blonde s’engouffre dans la pièce, oubliant de verrouiller la porte. Elle jette ses vêtements puis sa lingerie par terre et file sous l’eau chaude.
Tout de suite, une bonne douche l’aide à émerger de sa somnolence.  Le bruit de l’eau couvre les pas du jeune homme se réveillant à son tour.

La porte s’ouvre, se ferme jusqu’à laisser une fine fente. Mariko y prête à peine attention ; elle a peut-être elle-même oublié de la claquer. L’hypothèse qu’il s'agisse de Takezo lui effleure l’esprit mais ne la dérange toujours pas. Au contraire, si le morveux est là, autant lui offrir un spectacle digne du coup d'œil.
La blonde verse du savon dans sa main, frotte son corps avec attention, s’attardant particulièrement sur sa poitrine. Bien entendu, elle se met face à la porte pour que le possible voyeur n’en perde aucune miette.

Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Re : Ne dis jamais ça à personne (PV Siraye)

Réponse 2 vendredi 06 janvier 2023, 12:13:35

Bien rassuré à l’idée que la salle de bain ne soit occupée, ni par l’une de mes sœurs, ni par l’un de mes parents -si ce n’est par les deux, l’angoisse-, je me tourne un très bref instant sur ma gauche, puis sur ma droite. Dans l’entrée, au bout du couloir, ne restent que deux paires de chaussures : la mienne, la sienne.

Si je ne suis finalement pas tout seul, j’en suis désormais plus que certain, ne restent ici que Mariko et moi, sans doute réveillés plus tard que les autres qui, comme à leur habitude, étaient tous partis faire leur vie sans nous adresser le moindre au revoir.

Plus que jamais poussé par la curiosité comme par l’envie, je tiens la poignée de porte d’une main ferme pour m’assurer qu’elle ne bouge plus. Penché vers l’avant, l’œil à peine glissé dans l’entrebâillement, je détaille la scène du regard : les vêtements de la jolie blonde jonchent le carrelage ça et là, au même titre que sa lingerie fine qu’elle ne semble pas avoir pris la peine de ranger soigneusement. La pièce est déjà couverte d’un voile brumeux, mais celui-ci reste bien assez léger pour que je puisse distinguer sans mal chaque contour de la jolie blonde qui se tient debout, au fond de la petite pièce, dans cette douche sans vitre aucune.

Les yeux grands ouverts, je déglutis, un peu difficilement.

Humectant mes lèvres comme si je salivais devant un met à la fois délicat et copieux, je concentrais mes efforts et mes yeux sur elle, faisant déjà danser frénétiquement mes yeux gourmands sur chaque rondeur de ses courbes. Ses doigts savonneux s’attardent longuement, lentement sur ses deux énormes seins, frottent, forment de petits cercles… ils roulent, s’écrasent et s’aplatissent, puis retombent avec lourdeur, rebondissent, légèrement couverts de toute cette mousse que l’eau vient vite faire disparaître.

Je soupire à la vue de leurs petites pointes rosées. Je détaille et contemple la forme délicate de ces mamelons que je reconnaîtrais entre mille -en même temps, ce n’était pas comme si j’avais vu d’autre paire de seins de ma vie, pour de vrai je veux dire-…

Je n’y prête même pas vraiment attention que ma main libre s’est déjà portée contre ma verge, fièrement dressée tout contre la porte. Bien trop emporté dans ce délire que m’offrent de telles visions, je ne remarque même pas comme je cogne et fais bouger la porte au gré de mes premiers va-et-vient. Tel un forcené, je découvre la pointe épaisse de mon sexe et m’astique déjà avec rage, mes yeux suivant le parcours tracé par la mousse sur le corps de Mariko.

Mes yeux glissent furtivement contre son ventre mais finissent bien trop vite leur course entre ses cuisses.
Bien sûr, j’avais déjà plus ou moins eu l’occasion d’admirer ses fesses tant je l’avais toujours vu préférer s’encombrer du moins de tissus possible lorsqu’il s’agissait de maillot de bain seulement… jamais ô grand jamais ne l’avais-je vu nue. Jamais n’avais-je pu voir, tel que je le voyais maintenant, son petit sexe de femme. Cette fente, ces… « lèvres ». Tout ça, c’était une grande première.

Mon coeur battant déjà en moi tel un tambour, je me laissais emporter, lâchant toute prise sur la poignée de porte afin que mes deux mains ne soient désormais affectées qu’à mon seul plaisir. Je ne fais même pas attention aux petits mouvements de la porte, ni aux sons que je contiens au mieux, mais que je ne peux m’empêcher de produire, convaincu que le son de toute cette eau qui coule devrait bien sûr les couvrir.

« O-ooooh… haa-aaaaan… moui… ouiiii… »

L’ininterrompu mouvement, de haut en bas, de bas en haut et légèrement rotatif de l’un de mes poignet battant la mesure, je cogne par mégarde la porte qui s’entrouvre un peu plus, la rendant toute tremblante. Contre elle je cogne encore… et encore…
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Siraye

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Re : Ne dis jamais ça à personne (PV Siraye)

Réponse 3 vendredi 13 janvier 2023, 20:07:38

Sa main droite quitte son mamelon dressé par ses caresses pour longer sa peau parfaite. Mariko s’arrête entre ses cuisses ouvertes sur son pubis imberbe. Avec deux doigts, elle ouvre ses grandes lèvres, s’appuie son index contre son clitoris sensible. De petits sons à peine contenus commencent à traverser sa bouche, étouffés par l’eau. Et ses paupières se sont closes, son dos adossé au mur pour profiter d’un plaisir solitaire, décuplé par la présence de son voyeur.

Son attention portée aux bruits provoqués par Takezo, ses yeux s’ouvrent. Elle peut à peine l’entendre mais ses discrets soupirs se font audibles… Il passe un bon moment. La confirmation lui en est donnée quand dans un mouvement incontrôlé de la porte le dévoile un peu plus à ses pupilles bleus. La japonaise distingue sa silhouette. Elle l’entend cogner à répétition dans la porte.

Toutefois, l’étudiante est bien décidée à lui offrir un spectacle digne de ce nom. Les omoplates collées au carrelage glacé, elle est penchée en avant pour lui accorder une vue magnifique sur sa féminité. Un doigt se fait aventureux, écarte sa peau pour disparaître en elle. Un second vient le suivre, puis un troisième… Sa voix s’élève plus forte dans la petite salle de bain. Or, aussi vite qu’ils ont rejoint son antre, ils en sortent.

Il est peut-être temps de mettre fin à ce petit jeu ? Avant que ses amies n’arrivent ou que ses parents ne le surprennent. Sans éteindre l’eau, Mariko sort de la douche pour le surprendre, armée d’un grand sourire. Elle se saisit de la poignée et le dévoile à son regard… Le gamin qu’elle a connu a bien grandi. C’est peu dire ! De son corps joliment musclé jusqu’à sa trique épaisse pointant sur elle, elle apprécie la vue avec un appétit à peine dissimulé.

 « Entre ! ordonne-t-elle en le saisissant par le poignet pour l’obliger à entrer. » La porte est claquée derrière lui, fermée à clé. S’il veut fuir, il pourrait aisément. Mais la suite s’annonce plaisante…  « Et bien… Continue à te branler devant moi, Takezo. » L’excitation a pris le dessus et face à tel spécimen, Mariko ne peut résister. Maintenant qu’ils sont plus ou moins tranquilles, elle peut prendre le temps d’apprécier la vue qui s’offre à elle.

Ses doigts retombent entre ses cuisses. Or, cette fois-ci, ils ne se perdent en lascives caresses pour entrer directement et remuer en elle… Son corps est un véritable brasier incontrôlable.

Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Re : Ne dis jamais ça à personne (PV Siraye)

Réponse 4 samedi 14 janvier 2023, 15:24:24

Nu au beau milieu du couloir, mes mains s’activent sur mon corps sans que la moindre once de honte ne vienne m’effleurer. Persuadé d’être seul, invisible aux yeux de Mariko et ne me doutant aucunement qu’elle ait pu se rendre compte de quoique ce soit, je m’astique furieusement. Ma peau me tire et déjà, mon érection est totale. La vue de ces courbes folles me ravit tout comme elle m’obsède…
Il fallait le dire : Mariko, c’était quand même quelque chose.

Mes yeux curieux reviennent sans cesse à elle, se permettant des regards de plus en plus insistants. Je mate sans honte celle qui, comme une grande soeur -une vraie cette fois-, s’était toujours montrée douce et patiente, gentille avec moi. Mon corps s’embrase de lui-même et les images se multiplient, venant ajouter à celles que ma rétine imprime bien d’autres clichés de notre passé commun. Je la revois bronzer seins nus, profiter d’un moment sans mes sœurs pour me demander d’étaler de la crème solaire sur son dos… Je repense à tous ces sourires qu’elle m’avait rendus, en prétextant pourtant auprès de mes sœurs qu’à aucun moment elle n’avait vu comme je la regardais.
Quelle fille incroyable.

Mes gestes ralentissent à ces pensées, se font plus longs, plus langoureux. Je n’sais pas si je pouvais encore appeler ça comme ça maintenant mais, je sais encore que, et ce pendant bien longtemps, j’avais été éperdument amoureux d’elle. Je m’étais toujours senti mal dès lors que mes sœurs venaient à me charrier en me parlant d’un mec ou d’un autre, avec lequel elle sortait. Jamais ces deux pestes n’avaient manqué de me descendre ou de me rappeler comme jamais de la vie quelqu’un -et encore moins quelqu’un comme elle- ne s’intéresserait à un tocard comme moi.
De ce fait, si tant est que je fantasmais beaucoup sur elle, jamais n’avais-je pourtant osé trop l’imaginer s’adonner au plaisir, de peur que mon imagination me fasse voir des hommes qui ne seraient pas moi. J’avais bien trop peur de l’effe que ça me ferait.

Mais là, c’était différent.
De faibles gémissements filtraient par-delà la porte. Sa voix était aussi douce que d’habitude, chaude, mais semblait déjà se casser sous l’effet d’un petit autre chose qui me rendais curieux. Ne pouvant supporter l’idée de manquer quoique ce soit, je m’étais penché un peu plus pour la voir, pour la regarder. Je n’osais imaginer là encore à quoi elle pouvait bien penser… Mais quelle image : Mariko se faisait du bien, chez moi.

Les cuisses grandes écartées et tendues dans ma direction, elle entrouvre son sexe parfaitement épilé. Elle y fait disparaître un doigt, puis un autre… et encore un autre, qui ne semble avoir aucun mal à écarter ses chairs trempées pour s’infiltrer. La seule vue de ce spectacle m’émeus, mais m’intimide aussi. Elle a l’air si chaude, si étroite, mais pourtant si accueillante…

Je me regarde, foutu comme je suis. Mes yeux louchent sur cette longue trique, d’une épaisseur comparable à celle d’un avant-bras veineux et musclé. Je la regarde de nouveau… transposant sur sa main l’image de mon sexe démesuré, m’imaginant la pénétrer tout en me demandant surtout s’il me serait possible d’entrer.

Me regardant de nouveau, excité mais perplexe, presque déçu à l’idée ne jamais pouvoir entrer nulle part, je ne remarque rien de ses faits et gestes. Je me sens seulement perdre l’équilibre, d’un coup d’un seul, quand la porte vient s’ouvrir en grand.
Mes yeux s’écarquillent et je me fige sur place, tétanisé, la queue entre les mains.

Une Mariko toute souriante m’accueille et me tire vivement par le poignet. Mon manque d’équilibre ne me laisse opposer aucune résistance. Avant que je ne me rendes compte de quoique ce soit, la plantureuse blonde a refermée la porte derrière moi, à clé, et je me tiens tout penaud devant elle, nu. Cela dit… elle l’est aussi.

Alors qu’elle ne se cache pas devant moi, mes yeux ne savent plus sur quoi se poser. Elle est à poil, juste là. Ses deux énormes seins ballotent sous mes yeux. Elle me regarde, je fais de même. Ses doigts retournent aussitôt s’agiter en elle.

« o-Oh. Qu’est-ce que tu…»

Debout l’air bête, au beau milieu de la toute petite salle de bain, me voilà perdu, ne sachant que faire. Mariko se masturbe, nue, devant moi. Ses yeux louchent sur mon sexe tandis qu’elle m’ordonne de continuer. Est-ce que ça l’excite ?
J’ai… du mal à avaler ma salive.

Tout ce que je sais, c’est que je bande comme un taré.

Face à elle, je ne sais plus vraiment où me mettre. Mon regard dévie, se perd sur le carrelage de la douche alors que, maintenant en face d’elle, je n’ose plus la regarder, bien trop gêné.
Mon dos prenant appui sur cette porte qu’elle a pris soin de bien refermer, je viens tendre le bas de mon corps dans sa direction, les muscles de mon abdomen durement contractés.

« Mariko… »

Les doigts de l’une de mes mains viennent enserrer de nouveau la base de ma hampe, sans en faire ne serait-ce que la moitié d’un tour. Très lentement je m’active, me masse. Tout doucement je monte, puis redescend. Je couvre mon gland de son capuchon de peau, puis le redécouvre en redescendant, faisant scintiller sous ces yeux cette protubérance épaisse comme un poing serré.

« Comme ça ? »

J’ai… honte qu’elle me voit ainsi. J’ai peur qu’elle s’offusque ou se choque de par ma taille. J’ai peur de la décevoir, qu’elle me repousse. Je ne supporterais pas l’idée qu’elle ne revienne plus jamais à la maison à cause d’un truc pareil.
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Siraye

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Re : Ne dis jamais ça à personne (PV Siraye)

Réponse 5 mercredi 01 février 2023, 19:31:48

Le pauvre Takezo… Il est pris sur le fait et embarqué dans l’étroite salle de bain sans avoir son mot à dire. La scène s’est déroulée en quelques brèves secondes ; il n’a le temps de respirer  que les ordres de Mariko tombent. Elle n’a perdu de temps en plus de paroles inutiles. Son bassin a trouvé appui contre le lavabo, juste en face du jeune homme. Ses doigts explorent sa féminité luisante de son excitation.

Ses cheveux collants s’accrochent à sa peau, quelques gouttes ruissellent le long de sa peau humide. Elle longe son opulente poitrine. Cette vue imprenable sur son corps et chacune de ses courbes lui est offerte, à quelques maigres centimètres. Il peut admirer, sans que la vapeur n’embrume sa vue, chaque détail de Mariko jusqu’à ses doigts apparaissant pour mieux disparaître dans son orifice chaud.

« Oui… Continue... susurre-t-elle sensuellement, le souffle haletant. » Ses pupilles azurs sont incapable de se défaire de son corps sculpté, de sa main prenant sa virilité en main. De sa main restée libre, ses phalanges montent sur l’un de ses énormes seins pour pincer le mamelon durci. Elle le tourne, le caresse et le frotte à sa paume.

Ses gémissements s’amplifient, s’écrasent contre les murs. Seuls dans l’appartement, Mariko ne cherche à retenir ou dissimuler son plaisir. Takezo est le seul à pouvoir l’admirer et l’entendre… A profiter ce spectacle qu’elle lui offre.
Ses jolies fesses rebondies se pressent contre le meuble. Elle s’assoit sur l’étriqué rebord pour lui offrir une vision prenante sur son pubis rasé. La froideur du lavabo collée dans son dos ne l’arrête guère.

« Regarde… Aaah… Bien… Takezo ! » Malgré sa position instable, un violent orgasme se saisit brutalement de son corps. Sous des tremblements incontrôlables, le fruit de son plaisir dégouline le long de ses cuisses. Elle a retiré ses doigts pour trouver appui tant ses jambes menacent de la lâcher. Son souffle est toujours saccadé par de chauds soupirs. « Tu as besoin d’aide ?... Je veux te voir jouir… »

A la parole se joint le geste. Après avoir repris contenance, les petites mains de Mariko s'ajoutent à celle de Takezo. La proximité nouvelle amène son gland à se frotter contre sa peau ardente.

Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Re : Ne dis jamais ça à personne (PV Siraye)

Réponse 6 dimanche 19 février 2023, 01:56:36

Malgré toute la chaleur dégagée par l’eau de la douche et toute la condensation qui a pu gagner la toute petite salle de bain annexe de la maison, rien ne peut m’empêcher de tout voir du spectacle que m’offre Mariko. Rien… si ce n’est cette intense gêne dont je n’arrive pas à me débarrasser.

J’entends tous ces bruits que font ses petits doigts qui ne cessent d’aller et venir en elle. Ça m’excite… mais je n’arrive pas à la regarder. La belle blonde est en train de se faire du bien juste devant moi, à quelques centimètres à peine, mais sentir son regard peser de la sorte sur moi… ça m’impressionne. Je le sens et je le vois, du coin de l’œil, comme ses yeux grands ouverts semblent presque ne pas quitter un seul instant ma lance dressée face à elle. Elle s’agite un peu. Dans mon angle mort, je la vois chercher à se faire une place plus assise et confortable. Je vois sa jambe se lever, m’inviter. Ses gémissements se font soudain plus forts, plus intenses.

Elle fait tellement de bruit !
L’œil méfiant, troublé, je me tourne finalement alors qu’elle m’appelle en criant son plaisir, m’intimant d’admirer la vue.
Sans la moindre once de gêne, Mariko, nue, chatouille de ses doigts si fins son petit sexe si trempé. Elle s’agite, frotte… entre et sort sans plus jamais s’arrêter tout en soupirant chaque seconde un peu plus fort. Mes yeux s’écarquillent. Je dois être rouge comme une tomate à la regarder comme ça…

J’ai l’impression d’avoir les lèvres sèches. J’en ai du mal à avaler ma salive. Où que je pose mes yeux, j’ai comme l’impression de devenir fou, tiraillé par l’envie. Mon sexe en est d’autant plus raide, si gros… pulsant encore et encore, entre mes doigts qui ne le malaxent que trop timidement. Mon regard ne parvient plus à se défaire de son opulente poitrine dès lorsqu’elle se met à la masser longuement… Je la vois tracer de tout petits cercles autour de son mamelon, venir pincer la petite pointe rose toute dressée de son sein… J’ai la furieuse envie de la toucher, de la goûter…

Mais j’ai un soudain mouvement de recul lorsque son corps vient à se tordre dans un sens, puis dans l’autre. Ses gémissements deviennent intenses… elle ne retient rien, écartant bien grand ses cuisses pour m’offrir une vue imprenable sur sa petite chatte. Mariko se cambre, comme emportée par les vagues de plaisir qui la submergent… Est-ce qu’elle vient de… jouir ?

À cet instant, voilà que j’ai arrêté tout mouvement, me délectant seulement du simple fait d’avoir pu la voir ainsi, dans un tel état. La queue tendue fièrement dans sa direction, je ne fais même pas attention tandis que je la lui tend en vérité, mon gland pointant, à quelques maigres centimètres seulement de sa petite antre…

Je me recule de nouveau lorsqu’elle vient se repositionner, fuyant son regard, ses courbes, intimidé. Mais, aussi plaqué à la porte que je suis, je ne peux m’empêcher d’en décoller mes fesses pour me tendre à elle, le bassin en avant, quand ses petites mains brûlantes viennent se poser sur moi, m’extirpant un long soupir. De surprise… et de bien.

« O-oh… Mariko ! At-attends ! C’est… c’est ma… »

Se fermant en anneau, ses longs et fins doigts viennent ceinturer mon sexe, sans parvenir à en faire pleinement le tour, même à deux mains. D’abord tétanisé sous l’effet de la surprise, je finis toutefois par lâcher prise. Mes mains retombent vite le long de mon corps et je serre les fesses, poussant encore plus mon bassin vers l’avant, lui servant mon sexe dur et chaud comme sur un plateau.

« Hmm hm. »

Je me contente seulement d’acquiescer, les lèvres serrées. La sensation d’une main autre que la mienne sur mon corps me ravit… mais m’impressionne encore. Surtout qu’il s’agit de la sienne…

Il me faut encore un temps avant que mes yeux ne fassent de nouveau l’effort de la regarder, de laisser mon regard épouser les formes parfaites de son corps. Et… plus de temps encore pour que je ne vienne la regarder faire, lorsqu’elle se met à me branler.

« Mmh… haaa… Ma-mariko… si tu fais ça je vais… aah… je risque de t’en mettre partout… aah… haaaaan… »
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Siraye

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Re : Ne dis jamais ça à personne (PV Siraye)

Réponse 7 mardi 11 avril 2023, 20:45:24

« Je sais. » Entre ses mains, sa trique est fièrement dressée. Mais le jeune Takezo n’en mène guère large face à son aînée. Elle ne prête guère attention à sa fébrilité. La blonde l’a coincé contre la porte mais il se tend et s’offre à ses caresses expertes. Cela suffit alors à retenir son attention, envoûtée par ce corps devenu celui d’un homme. En réalité, elle-même ne peut se targuer d’avoir croisé un tel étalon auparavant.

Ses pupilles bleus remontent, scrutent les lignes parfaites qui dessinent ses abdos. Sa lente ascension termine sur son visage et ses paupières closent. Mariko le perçoit à peine : Elle l’intimide. Tant mieux car elle sera bien obligée de lui imposer le secret. Elle ne se risquerait à subir le courroux de ses amies, ni la honte d’avoir cédé au timide jeune homme. Or… Il en faudra bien plus pour être rassasiée.

La blonde brise la distance entre eux jusqu’ici imposée par le sexe hors nome de son jeune amant. Celui-ci est plaqué contre son ventre, dirigé vers le ciel. Sa poitrine se presse contre le torse de son cadet. Un sourire malicieux hante ses lèvres qui se glisse à son oreille : « Laisse-toi aller. » Un brin d’autorité se mêle à sa voix sensuelle.

Si l’étudiante est loin d’imaginer à quel point il est capable de la salir, elle ne s’inquiète guère. La douche est toujours à portée si un imprévu venait à les contrarier. Seul le désir prime, cette impétueuse envie de le sentir terminer entre ses doigts délicats. Pour l’achever de le convaincre, les mots sont trouvés : « Ce ne sera pas fini… Je vais prendre soin de toi… »

La jolie est lancée.
Mais elle n’a jamais été connue pour sa patience. Et ce, dans tous les domaines. Celui-ci ne fait guère exception. Elle a bien tenté de repousser ses limites mais aveuglée par le stupre, les décisions s’enchaînent naturellement.

Mariko commence à peine à se baisser que le gland gonflé trouve son chemin contre sa douce peau. Peu à peu, le pieu éloigne les deux compagnons pour trouver sa place au milieu de sa généreuse poitrine. Ses mains sont obligées de le quitter pour soulever ses deux gros seins et l’enfermer dans cette étreinte unique. Elle est bien heureuse d’avoir été si bien gâtée par la nature… Sinon, elle aurait bien peiné à satisfaire un tel homme.

L'étudiante est accroupie, ayant capturée sa proie contre sa délicieuse peau. Avec l'appui de ses cuisses, elle monte, descend à peine pour qu'un véritable plaisir naisse. La blonde scrute les premières réactions du jeune homme pris au dépourvu.

Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Re : Ne dis jamais ça à personne (PV Siraye)

Réponse 8 samedi 15 avril 2023, 15:58:17

Ce qu’il peut faire chaud…
Le rouge plus que jamais monté aux joues, j’ai le comme le souffle coupé par tout ça. La plantureuse Mariko, à laquelle j’avais si souvent pensé en me faisant du bien, venait de m’offrir, en retour de toute cette attention qu’elle devait me savoir lui porter, un cadeau des plus inestimables selon moi.

La voir se tenir à poil devant moi, et se masturber en susurrant mon nom, voilà une vision du paradis qui aurait sans doute pu occuper mon esprit et mes nuits pour les années à venir… mais, ça ne s’arrêtait pas là.

Encore bien trop raide et paniqué, j’ai fini par flanquer mon large dos tout contre la porte, comme pour fuir alors que la belle blonde n’a de cesse d’approcher. La voir me mater m’excite, me flatte… mais me terrifie encore plus. J’étais déjà disons… « bien formé », la dernière fois que Mariko avait pu me voir nu, toutefois, je n’étais encore à l’époque qu’un gamin à qui la vue de son bikini avait flanqué une bien belle trique… Cela n’avait tellement rien de comparable à aujourd’hui.

Alors que je fais qu’acquiescer très nerveusement à ses mots, je lâche un grand souffle, comme pour faire ce qu’elle me demande : lâcher prise. Ses doigts, fins mais pourtant longs, me paraissent incroyablement petits alors qu’ils se serrent sur mon vît par le dessous. Je souffle et souffle encore tandis qu’elle s’active, qu’elle frôle mes bourses enflées, dont la circonférence n’a de comparable, à l’échelle, que l’absurde diamètre de ce mandrin vigoureux, que ses doigts ne parviennent même pas à pleinement encercler.

Ma respiration retenue un léger instant, j’expire fort pour reprendre mon souffle, lorsqu’à mon regret finalement, Mariko s’écarte.
Ses doigts laissent aller mon chibre qui tressaute d’un sens à l’autre et j’ai soudain l’impression de me sentir vide, seul, trop désireux que je suis désormais.

Mais aussitôt ce vide creusé, aussitôt ce même vient se remplir.
À peine mes yeux s’accrochent-ils à l’énorme poitrine de ma merveilleuse amie que ces gigantesques mamelles s’approchent pour se presser à mon buste, pour le réchauffer et le masser. De toute sa longueur, ma massive trique s’écrase et s’étale contre elle, de son ventre nu à ses seins. De surprise, je lâche comme un petit hoquet, que je masque au mieux d’un petit marmonnement tout autre.

Ses mots finissent de m’achever, de me surprendre alors que je peine encore à comprendre ce qui m’arrive. Je l’avais parfois vue m’adresser quelques petits clins d’œil, quand elle se savait épiée, mais quand bien même, j’étais bien loin d’imaginer que s’exhiber devant moi était pour elle source d’excitation…

« Hin hin… o-okay… »

Encore bien trop honteux de me montrer ainsi devant elle, armé de ce chibre aussi large et épais que celui d’un cheval -que toute autre aurait sans doute trouvé effrayant et bien trop gros-, quand bien même Mariko semblait se complaire à le mater, comme à le toucher, je peinais à retrouver ses yeux. Ces parfaites petites billes d’un bleu profond, pleines de malice m’intimidaient encore…

Au garde-à-vous comme un bon petit soldat, je n’osais pas, n’osais rien.

La buée se dispersant, s’échappant du miroir, je posais alors mon regard dans sa direction, pour ne pas avoir à directement regarder cette sulfureuse tentatrice qui se jouait si bien de moi. Soufflant tel un buffle, j’expirais bruyamment, tout en matant le reflet de son dos, de ses hanches si larges qui donnaient à ses grosses fesses charnues la forme d’une lune parfaitement ronde et musclée, très joliment bombée.

Je soufflais tout bas :
« Waw… le cul de Mariko… »

Sans poser directement mes yeux sur elle, je nous observais alors par ce prisme détourné quand je la sentis glisser contre chacune des bosses formées par ma musculature saillante. Je frémis en sentant les petites pointes de ses seins se tordre et tracer de longues lignes le long de mes abdominaux, et finis même par me crisper, sur la pointe des pieds, quand je sentis l’épaisse pointe de ma queue se redécouvrir, sur la pression de ces gigantesques poids moelleux, que je devinais être ses seins.

Électrisé par le plaisir fou de cette sensation jusque-là encore inconnue, j’ouvrais les yeux bien grands, pour enfin revenir les poser vers le contrebas. Accroupie devant moi, Mariko soulevait ses seins, les remuaient pour masser mon gros pénis.

Plus impressionnante en vrai qu’en rêves, cette vue fit d’un coup battre mon coeur plus vivement.

« Aaaah… ! »

J’eus une fois encore l’impression de voir flou, alors que mes yeux hésitaient à se fixer aux siens, ou bien à mater le parcours arpenté par mon vît dans son si large sillon intermammaire.
Ses gargantuesques loches étaient si douces… Je pouvais, quand bien même j’en restais tout crispé, sentir comme leur chaleur envahissait ma queue tout en la faisant bouger dans tous les sens. Mes énormes veines roulaient, au rythme de ses douces, mais lourdes et écrasantes palpations. C’était… terriblement plaisant.

« M-Mariko… c-c’est… c’est tout chaud… »

Il ne lui fallut pas bouger beaucoup plus pour que mes sens ne viennent à nouveau s’emballer de plus belle. Le seul fait de l’imaginer me faire un truc pareil n’aurait déjà pas mis deux minutes à me faire jouir, seul dans la nuit, alors là…

Désemparé à l’idée de venir si vite, mes muscles se serraient, se bandaient fort tandis que j’essayais de me contenir. J’avais envie de perdre mon pucelage et ne voulais pas manquer cette formidable occasion -si toutefois Mariko était d’accord- en giclant avant même d’avoir pu essayer.

Une main agrippant fort la poignée de porte derrière moi, je gesticulais, agitait mes fesses de bas en haut contre la porte. Je tremblais.

« Aaah… hAa.. HA… Ma-… att-attends… Mariko ! S’il te plaît… j’aimerais essayer de la mettre dans ta… ta… dans mon lit… toi et moi… »

Je ne pus en dire ni en articuler plus, que ma tête bascula d’un coup d’un seul vers l’arrière pour frapper la porte d’un grand coup.
Me raidissant encore, s’il était possible d’en faire plus, tout le bas de mon corps se mit à trembler et je ne pus rien retenir lorsque mon urètre gonfla, palpitant.

Me mordant les lèvres comme pour contenir, ne pas m’avouer ce qui était en train de m’arriver, j’assourdissais les hurlements de plaisir que cet orgasme ravageur vint faire monter à ma gorge.

De l’épais conduit de chair vint jaillir un premier jet, long et violent, de foutre blanc. Et, aussi bien que mes proportions étaient absurdes, la quantité de semence qui jaillit le fut tout autant. Les sept ou huit jets qui suivirent furent tout aussi puissants et épais, crépissant le visage de la belle avec ce qui aurait tout aussi bien pu remplir un petit verre d’eau.

« HMMM… MMM-MMMHMMMHHHMMHHHMMMMMM !!! »
« Modifié: samedi 15 avril 2023, 16:56:09 par Takezo O. Mamoru »
Dans les vestiaires (NSFW)
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

L = 38 ⌀ = 8
Aïe aïe äie


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