L'entre-deux Mondes > L'Enfer
Une tentation d'enfer [Asmodeus]
Asmodeus:
Asmodée n'était pas fait pour juger les fantasmes. D'une certaine façon, il en était l'esclave, et il se pliait à son ouvrage avec la plus grande dévotion.
Et tandis que sous lui criait Estelle, emplie jusqu'aux pires excès de son membre lancinant, la bête qu'il était devenu exécutait la volonté de la terranide.
Encore et encore il s'élançait en elle, la vidant et la remplissant, lui arrachant des sons que nul dans son petit village de boules de poils innocentes n'entendrait et que les esprits fuyaient sans oser regarder. Les trésors de l'esprit étaient infinis et Estelle prouvait qu'il l'emportait sur le corps, supportant un traitement terrible voué à lui arracher le plus total des plaisirs, le plus atroce des orgasmes. Il était difficile même pour elle d'identifier la jouissance dans ce torrent de sensations, sa tête brouillée par l'influence et les sévices du démon. Mais lui pouvait la sentir trembler, en rythme, quand il la pénétrait et lui forçait muscles et organes.
Vu de l'extérieur, on aurait pu croire qu'il la torturait, la massacrait, l'écrasant contre le sol et la broyant dans un viol abominable. Mais les pouvoirs de l'archidémon permettaient à Estelle de survivre à ses rêves les plus vicieux, aux recoins les plus pervers de son imagination. Il n'y avait à leurs pensées que le choc trempé de leurs sexes dans des bruits de succion obscènes, et les glapissements de plaisir du monstre noir, et les cris de passion d'Estelle.
La terreur cornue la souleva finalement de terre pour la garder empalée sur son membre, et se servir d'elle comme d'un sex toy masculin tandis que son manche tremblait et palpitait. Il la traita ainsi un instant, puis dans des grognements geignards il se libéra en elle. Un flot de sperme blanc emplit Estelle pendant qu'il se retirait, ou plutôt pendant qu'il la retirait d'elle. Le vagin en débordait quand il le libéra et des jets encore riches lui souillèrent le pelage tandis qu'il la laissait retomber au sol, à ses pieds, et finissait de se vider sur elle.
il n'avait même pas encore fini de se vider quand il lui amena le membre à la gueule, lui faisait laper son gland rose.
"Si tu arrives à te lever, j'épargnerai peut-être ton cul, Estelle."
Estelle:
C'est vraiment tout simplement fantastique. Je n'arrêtais plus de me faire défoncer par le bestiau et sa belle grosse bite. J'étais en train de subir le poids affligeant, de toute sa domination écrasante. Elle était colossale, mais elle avait aussi un truc assez sale et très plaisant en même temps. Seulement si j'aimais ça, il fallait vraiment que je m'accroche pour ne pas voir l'impression par moment de m'évanouir, tellement il me l'envoie à l'intérieur. Tout se comprimait sans arrêt très douloureusement dans ma chatte et dans le ventre. Une personne normalement constituée, ne résisterait sans doute pas à ce que ce démon était en train de me faire cruellement subir. Sauf que moi, j'ai sans doute la faculté d'être assez spéciale. A force de prendre des gros pieux dans mon petit fourreau, mon corps vieillissant a finit par être rodé depuis bien longtemps.
Et alors qu'on s'en donnent tous les deux à coeur joie, mon bestiau qui me pilonne en faisant des bruits terriblement obscènes, me soulève soudainement du sol. Pendant qu'il me garde bien généreusement embrochée sur gros manche terriblement puissant, il continue de se servir de moi, comme on se sert de la dernière des prostituées des pires quartiers des villes les plus nauséabondes. Il m'agite avec une force incroyable et je ne peux plus qu'être celle qui le sert de jouet, avec mon pauvre corps tout minuscule, en comparaison du sien.
- Oui! Aaaah! Aaaah! Bon sang! C'est démentiel!
Ma chatte était devenue un brasier en fusion. A chaque fois qu'il faisait claquer sa grosse trique contre elle, j'avais l'impression que j'allais me faire ouvrir en deux. Mais c'était si bon. Je lui criais tout simplement de ne pas s'arrêter. J'en tirais même la langue et je me laissais partir en arrière, tellement c'était agréable. Et à force de me faire culbuter si sauvagement, le gros démon qui tremble autant que moi d'extase, finit enfin par se décharger. Il libère son jus bien épais et bien chaud, que je ressens pulser jusqu'au fond de mon vagin tout démonté.
- Ouiii! Ouiiii! Encore mon gros! Encore!
C'est à en perdre complètement la tête, que je le laisse me remplir comme ça, jusqu'à la dernière goutte. Toute la chaleur se répandait en moi. Lorsque monsieur poilu a ensuite terminé d'éjaculer à l'intérieur de moi, ses fluides ressortent déjà de ma petite chatte qu'il vient de défoncer. Son foutre épais et conséquent, se retrouve en partie à dévaler sur mes cuisses, pendant qu'une importante flaque de son beau jus frais et blanc, se forme juste en-dessous de moi. C'est alors qu'il me laisse tomber au sol, après avoir ressortit son bel attribut viril, à l'intérieur de moi. Je me retrouve par terre, juste sur la grosse flaque de foutre démoniaque, avec un peu de ma cyprine, qui se retrouvent encore à trainer entre sa trique et mon trou maintenant béant.
Mais je n'ai pas le temps de me remettre de mes émotions et de la douleur mélangée à tout ce plaisir démesurément intense, que le démon se ramène encore avec son bel instrument poisseux, qu'il me colle contre la tronche. Mes oreilles se dressent et mes iris se resserrent, lorsqu'il semble comme presque me menacer de me réserver le même sort à mon pauvre petit derrière, si je n'étais pas capable de me relever immédiatement. Ca, c'était vraiment cruel.
- Aaah... Mon chéri... Je crois que je vais avoir vraiment du mal, avec ce que tu viens de me mettre entre les jambes... Hahahaha...
Vidée et épuisée. Le bestiau ne m'a pourtant prit qu'une seule fois, mais je ne pouvais vraiment pas me relever. J'étais toute endolorie. Bien que ce soit génial, mon corps n'est sans doute pas fait pour arriver à supporter les gros amours de son genre. Alors je me contente de lécher son gros gland à l'odeur forte encore tout gluant, sans pouvoir me permettre de bouger. Une partie de moi était maintenant un peu dans les vapes. Quant à ma chatte qui n'arrêtait pas de convulser toute seule, elle continuait de recracher l'épaisse semence de l'énorme démon. Lorsque par curiosité, je vais pour jeter un oeil dessus, ce n'est que pour voir un énorme trou. Mon gros salaud me l'a complètement pulvérisée...
Asmodeus:
Bien sûr qu'Estelle ne se lèverait pas. Même si elle le pouvait, le ferait-elle ? C'était le piège que tendait Asmodée quand il répondait aux vices de la chair : on ne pouvait plus nier et repousser le désir vorace qui rongeait ses entrailles, qu'importaient l'extrémité et les conséquences. Une fois plongé dans les abysses de la Luxure, et ce n'était que plus facile au milieu des Enfers, il était presque impossible d'en ressortir sans en être évacué par le maître des lieux.
Et, pour le moment, il n'était pas motivé à la faire partir. D'autant que l'appétit d'Estelle n'était pas encore tout à fait comblé. Il la laissait lécher son gland, lui fit glisser la hampe le long de sa langue râpeuse. Leurs fluides lui maculaient les babines et lui coulaient dans la gueule. Ce n'était qu'un orifice intermédiaire, évidemment, avant le coup de grâce.
Et il finit bien vite par se mettre en action, attrapant une de ses jambes pour la faire pivoter, basculer, la renverser sur le ventre, ballante, flageolante, ruinée. Il ne perdit pas de temps pour se dresser au-dessus d'elle et tirer sur sa queue pour la rabattre dans son dos, exposant bien sa croupe et le dernier trou fermé qui lui restait. La verge énorme en trouva le chemin sans mal, s'y présentant avec la ferme intention de s'y enfoncer, d'en forcer le sas étroit. Estelle aurait bien pu être déchirée vive, mais la magie rose était à l'action en même temps que le présperme d'Asmodée qui lubrifiait tant son sexe que son petit trou. Détendue, élastique, elle n'eut aucun mal à l'accueillir même si les sensations étaient, elles, bien présentes.
"Rrrrraaaaah ! T'auras plus d'expérience pareille, tu verras."
Sans prendre de gants, le démon poussa, et poussa encore, s'introduisant d'un centimètre à chaque coup, un de plus à chaque fois, un de plus qu'Estelle aurait probablement juré ne pas pouvoir recevoir. Il l'emplit totalement, repoussant les limites du supportable, de la décence et du possible. Ses reins puissants ne lui laissaient pas de répit et ne s'arrêtèrent pas pour une pause. Lorsqu'il se fut enfoncé d'une bonne distance, il se mit même à donner des coups de reins plus francs, à entamer déjà ses coups de bélier, allant et venant entre ses parois lisses et distendues tout en poussant toujours un peu plus loin.
Estelle:
Mon démon venu des enfers avait autant de foutre à gicler, qu'il possédait un gros manche. Je prends alors plaisir à inhaler son odeur virile et bestiale, que beaucoup de personnes auraient beaucoup de mal à supporter, tant elle était forte. Mais moi, j'aimais beaucoup les gros bestiaux comme lui. J'ai gouté à beaucoup de choses dans ma vie, mais je garde quand même une préférence pour tous les beaux mâles qui me dépassent largement. C'est pour ça que ceux de ma propre race, tendent aujourd'hui à franchement m'ennuyer. Puis tandis que je passe rapidement ma langue sur ce beau gros morceau très odorant. Que j'avale autant que je peux de ce qui reste collé de nos fluides, sur son gros engin encore tellement dur et veineux, le bestiau n'attend pas plus longtemps pour m'attraper une patte et me mettre sur le dos.
- Hah... Je ne peux pas me relever! Tu m'as... Tu m'as trop ramonée avec ton gourdin!... Stop mon gros! Vraiment...
C'est encore très excitée par ce qu'il vient de me faire, que le monstrueux démon tout noir me retourne comme une pauvre petite chose, en plein dans la grosse flaque de foutre. Je n'étais pas vraiment rassurée par ce qu'il voulait me faire avec mon derrière, mais j'avais en même temps très envie de tester encore mes limites! Dans le genre, j'ai toujours été assez dingue. Mais comment je peux dire non, quand il s'agit de cul avec moi? Surtout quand j'ai en face, un morceau pareil! Pendant que j'halète, il me tire la queue pour me redresser le bassin. Avec le cul en l'air, son foutre massif et épais, continue de ressortir encore d'avantage de ma pauvre petite chatte, qui s'est faite dilater et ramoner avec une force assez impressionnante. Je ressens toute la chaleur et tout le gluant, couler encore entre mes cuisses! Mais je ne parvenais toujours pas à réfréner le moindre de mes désirs! Et mon superbe gros animal viril et aussi noir que l'ombre, vient maintenant me faire sentir son gros gland contre mon autre petit trou encore inexploré par lui, mais qui n'attend déjà plus que de le recevoir!
- Oh! Doucement mon gros! Non! En fait, baise moi encore super fort! Je la veux! Han!... Oui! Oui!...
Je n'ai pas besoin de me faire prier, pour être traitée comme je le mérite à ses yeux. Son dard immense commence alors à entrer dans mon petit derrière, sans perdre de temps. La douleur est encore une fois violente et immédiate! Mais heureusement que mon excitation et ses fluides de mâle alpha, aident à mieux faire passer son engin démesuré en moi! Alors je le sens pousser petit à petit. A chaque fois qu'il m'envoie un coup de rein qui bouscule tout mon pauvre corps de petite terranide, je pousse des cris de douleur et de plaisir. Mon petit derrière s'ouvre de plus en plus fort et de plus en pus profondément. Comme avec ma chatte qu'il a bourriné comme le grand sauvage qu'il est, je ressens la pression qui me prend au moins tout le ventre. Chacun de ses passages en force me faisait couiner de désir, mais aussi de malaise, à cause de la douleur. Je n'ai même pas le droit à un seul instant de répit de sa part. La grosse bête voulait juste bien savoir que j'étais son jouet sexuel et qu'il fera de moi tout ce qu'il voudra. Jusqu'à ce que mon corps lui ait donné entière satisfaction! Voilà une issue qui me plait beaucoup! Et C'est donc en grimaçant et prise comme une poupée sexuelle et toute désarticulée, que je subis ses derniers coups de reins avec rage, alors que j'ai le derrière en feu, continuellement en l'air et totalement à sa merci!
- Oh! Aaaah! Aaaaaah! Oh mon gros! vas-y doucement! Vas-y encore! Encore! Ouais j'aime ça! Explose-moi le derrière avec ta putain de grosse trique! Vas-y encore!
Mais mon désir d'être traitée comme l'animal que je suis, surpasse toute la douleur que je pouvais ressentir. Je vis alors un instant tout simplement magique, durant lequel je me fais enfoncer sans la moindre pitié! Mais c'était tellement agréable le sentir encore en moi! Sans parler de cette délicieuse pression menaçante dans mon ventre et qui m'en donne par moment des vertiges! Et j'avais beau risquer de plier face à lui, je continuais de l'encourager de maintenant m'enculer!
Asmodeus:
Estelle n'était plus qu'un corps débordé par des fantasmes exacerbés. Elle n'aurait jamais survécu à un tel traitement sans les effets magiques auxquels Asmodée l'exposait par sa seule présence, par sa volonté comme par ses fluides. Il la bourra sans pitié, lâchant sa queue et sa hanche pour l'attraper par les oreilles, saisissant ses cheveux dans ses énormes paluches par la même occasion. Comme s'il tenait deux rênes, il battait le rythme de ses assauts, tordant son corps, la transformant en une poupée hébétée, démantelée par le traitement aussi affreux que fantasmagorique auquel elle était soumise. Il ne respecta aucune limite, l'emplit pleinement, la fourra de tout son manche, ses bourses épaisses baignant contre sa vulve toujours ouverte et trempée, claquant dedans dans un bruit mouillé à chaque coup, tandis que son aine claquait fermement contre la peau ferme de ses petites fesses.
Sans autre mot, il la baisait comme la poupée vaudou qu'elle avait secrètement rêvé d'être. Et le membre massif s'imposa en elle, encore, et encore, répondant à ses encouragements par une intensité toujours plus élevée et des grognements de plaisir. Estelle ignorait toute limite, tout signal d'alerte que son corps mortel lançait à sa conscience isolée par le brouillage de son fantasme devenu réalité. Il la brisait, la torturait, la massacrait. Elle n'aurait jamais survécu à un truc pareil s'il n'y avait eu sa magie à l'œuvre. Mais il était là, et elle survivrait.
"Hrrrrrr ! La petite Estelle a des rêves plus gros qu'elle. Heureusement que j'étais là pour la combler !"
Penché sur elle, il lécha son museau, passa une paluche sous sa gorge, la ferma, et serra fort. Il lui coupa le souffle, l'amena au bord de l'inconscience tandis qu'il lui assénait de violents coups de boutoir finaux dans son trou distendu. Il la laissa hoqueter, se tendre, battre des pattes à la recherche d'air, tandis qu'il se vidait en elle dans un long grognement, à nouveau, son derrière débordant du sperme épais du démon, le membre tressaillant entre ses entrailles. Elle tournait de l'œil quand il la relâcha, la laissant reprendre sa respiration, une main toujours fermée sur une de ses oreilles et la moitié de ses cheveux, la tenant dressée tandis que la bite énorme était retirée doucement d'elle, la rendant à ses dispositions habituelles.
"Je croise rarement une mortelle aussi folle que toi, Estelle. C'est presque à regrets que je vais te renvoyer chez toi."
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