Eiv chasse du chat pour ce soir. (PV Pandora)

Eiv vit dans une grotte, non pas que la vie dans une maison ne la dégoute, mais pourquoi dire non à une habitation qui ne sera ni trop chaud ni trop froid, qui comporte dans ces profondeurs une source chaude et devant l'entrée une magnifique cascade d'eau glacée venant des neiges éternel de la montagne. Et le tous aménagé du confort qu'une reine désire.

Elle défit ces vêtements, s'approcha du bord de la grotte, se trouvant assez haut par rapport au niveau de l'eau puis elle se laissa tomber dans la cascade, la laissant refroidir son corps en sueur et atterrit dans le lac sous une gerbe d'écume, la dame fit sa toilette, puis elle remonta dans la la  grotte s'habiller pour son excursion dans les divers entrepôt des autres esclavagiste pour voir leurs marchandise. Le résultat fut désastreux, pour les vendeurs, aucun des produits qu'ils avaient n'intéressa Eiv, elle partie donc vers les terre sauvage, réserve naturel de terranide et autre créature amusante et ayant au moins le mérite d'être en  bonne santé. Elle n'avait prit que ces effets personnel et sa tenue fait de rubans.

Elle erra pendant un certains moment voulant trouver l'endroit idéal pour piéger une proie et si elle ne pouvait pas être vendue comme esclave, elle passerait au moins du bon temps dessus. Après avoir quadrillée une certaines zone, elle trouva enfin l'appât parfaite pour les terranides, un plan d'eau, une plan d'eau entouré d'herbes hautes, un endroit qui convenait pour faire une pause sans se faire voir et se désaltérer. Eiv sortit son carnet et visionna les divers pièges qu'elle avait déjà fait.

- Hum, des fosses ? Non cela n'est pas très efficace, des collet ? Non cela manque d'originalité et la proie pourrait avoir une blessure qui n'est pas de moi.

Elle referma le carnet et d'un coup eut l'idée du siècle, un léger ricanement se fit enentedre dans le fond de sa gorge.

- Allez un petit sable mouvant entourant le lac, avec la possibilité de rentrer mais pas de sortir, sans compter qu'il fat que cela ne fonctionne pas pour moi. Il faut aussi prendre en compte le cas où la terranide serait du genre antilope.

D'un claquement de doigt le sol des hautes herbe changea de propriété comme le voulais l'ex reine. Puis elle se planqua dans les fougères, guettant une proie allant boire et l'effrayer pour qu'elle tombe dans le piège machiavélique.

( DSL c'est court mais j'ai eut un petit pépin d'informatique, donc j'essaierais d'étoffer la prochaine rep.)

Il y a une semaine de cela, j'avais réussi à m'enfuir de la cage où j'étais retenue prisonnière. Un erreur du gardien qui avait mal fermé la clé, ou plutôt qui avait laissé la clé assez près de la cage pour qu'avec ma queue je puisse la rattraper. Ce que je m'empressais de faire d'ailleurs. Une fois sortit de cette cage, je regardais rapidement les autres terranides enfermés dans la même salle que moi et leur fit un petit signe de tête moqueur pour leur signaler que la liberté était enfin à moi, et qu'ils resteraient tous ici. Cela me rendait triste, évidemment, mais si je les libérais tous, le bruit que la troupe ferait serait trop important, et directement, les gardes interviendraient. Et il était hors de question de laisser passer cette chance. Je pris mon violon avec moi, ne me séparant de lui pour rien au monde.

A pas de loup, je sortis de la pièce, mais alors que j'allais enfin sortir de cet enfer, un garde me vit. Les questions fusèrent dans mon esprit à grande vitesse. N'était-ce pas magnifique ? Le cerveau humain est la machine la plus rapide qui existe. Personne ne pouvait en concevoir une dépassant cette vitesse incroyable. En une fraction de seconde le mien avait scanné la forme de son chapeau kaki, me disant que c'était bel et bien un garde, et la silhouette l'homme, fouillé dans la base de données interne à la recherche d'un fichier correspondant, identifié les différentes possibilités et proposé plusieurs solution au problème. A savoir foncé droit devant et prier pour que je réussis à m'échapper. Malheureusement, le garde avait compris que j'essayais de m'enfuir et s'était mit immédiatement en position pour me stopper. Au dernier moment, où je sentais ses mains frôler mon corps, je fis un bond dont je ne me savais pas capable et sortis dehors. La liberté était à moi.

Ne voulant plus rester dans cette ville, où je m'étais trop de fois fait arrêter et remise en cage, je m'élançais à la sortie nord de la ville et erra jusqu'à atteindre un désert. Durant ce périple, je m'étais nourrie d'à peu près tout ce que je trouvais, baies, petits oiseaux. Dans les quelques villages terranides où j'étais passé, je n'avais pas voulu m'y attarder, et avait voler le plus de nourriture que je le pouvais. Et m'enfuyant immédiatement. Le seul véritable problème que j'avais était les réserves d'eaux. Je n'avais pas pris de gourde, et la seule que j'avais volé était en fait trouée.

C'est pourquoi à chaque fois que je voyais un point d'eau, je ne faisais pas très attention à ce qui se passait autour de moi, et rampait le plus rapidement possible vers cette ressource qui me manquait parfois horriblement. Justement, tandis que mes pensées étaient exclusivement tournées vers l'eau qui me manquait, je vis un point d'eau, un grand plan d'eau, entouré d'herbe hautes. Le paradis était devant moi. A quatre pattes, le violon sur le dos, je courus vers cette source qui allait sauver ma parole, et ma vie. Une fois arrivée devant le plan, je m'arrêtais, faisant voler l'herbe arrachée autour de moi et bus avidement l'eau.

Alors que je m'apprêtais à repartir, mon pied s'enfonça dans le sol mais non seulement mon pied, mais aussi tout mon corps ! Je me débattais, silencieuse contre ce phénomène que je pensais naturel. J'allais pas mourir comme ça, c'était impossible ! Mais plus je me débattais, plus je m'enfonçais. Le corps à moitié enfoncé, je commençai à paniquer, je jetais près du lac, là où le sol était bien dur mon violon, pour qu'il ne subisse pas cette manifestation de la nature et entrepris de creuser le sol autour de moi, pensant que si j'avais assez de marge de manœuvre, sortir de là serait un jeu d'enfant.

Eiv regadait le soleil continuer sa course dans le ciel, il y avait maintenant deux heures que son piège était tendue, un piaf était passé par là mais par frustration, la demoiselle la fis s'étouffer dans les sable mouvants, cela faisait un piaf en moins sur Terra, l'ex-reine avait trouvée amusant de voir le piaf paniquer, tenter de sauver sa vie et mourir dans d'horrible convulsion. C'est alors qu'elle entendit un bruit qu'elle adorait, celui d'une créature assoiffée, rampant vers le point d'eau, ce ne pouvait être qu'une créature intéressante.

Elle bougea deux trois herbes pour admirer sa prochaine proie, elle la reconnut tous de suite, c'était une terranide dont mainte vendeur l'en avait parlé, une terranide qui c'est souvent fait prendre dans des pièges et dont elle avait eut le courage, ou l'audace cela du point de vue, de pouvoir se libérer. Il y avait d'ailleurs un petit concours sur le nombre d'évasions que cette petite chatte allait pouvoir faire avant d'en mourir. Eiv eut un léger ricanement, elle n'allait pas la capturer pour servir d'esclave, elle allait s'amuser un peut avant de la laisser reprendre sa fuite. S'en suivrait dans la tête de la terranide la peur constante d'être suivit par cette esclavagiste dont la réputation n'est plus à faire.

- Elle est belle mais pas assez pour être vendue sur mon commerce, dommage.

La demoiselle attendit que la chatte est finit de boire et aux moments où les lèvres quittèrent le liquide vital à la survie de la terranide, elle se mit à faire le contour du lac, ne se doutant pas un instant de l'efficacité du piège. L'ex-reine vint avec un pas souple et lent, histoire de faire durée le cauchemars de la petite proie qui allait devenir son jouet jusqu'à ce soir et plus si elle était distrayante.

Elle rit trop fort en voyant Pandora essayer de creuser pour sortir de ce piège et au moment où ces deux pattes étaient dans les sables mouvants, elle claqua des doigt, le rendant aussi dure que du béton. Puis l'esclavagiste sortie enfin de sa cachette, laissant à la terranide le soin de l'identifier et de frissonner.

- Hé bien hé bien ! On a des soucis jeune chatte ?! Je me présente Dame Lorwel, esclavagiste de Nexus, réputé pour les ventes de perles rare et luxueux, tu as de la chance tu n'entres pas dans mon domaine de chasse, mais il va falloir me divertir  pour pouvoir partir.

Eiv tourna autour de Pandora, touchant les oreilles, les tirant légèrement pour voir si le pelage était de bonne qualité, puis elle examina les cheveux et les yeux, en faisant attention aux dents, certes la terranide ne pouvait pas bouger, il n'empêchait que les crocs sont une arme redoutable que tout esclavagiste débutant à eut le privilège de sentir, certain en sont même mort.

-Avant que je te propose quelque chose je veut ton nom, ton âge, ta race animal et savoir si tu es vierge ou non. Tâche de me mentir et je laisse mon piège t'étouffer à petit feux.

Comme pour donner du poids à ces dire, le corps de la terranide s'enfonça jusqu'au menton, le reste étant assez comprimé, mais pas trop pour permettre à Pandora de répondre à Eiv qui avait actuellement un sourire carnassier et un regard luisant des idée malsaines qu'elle allait pourvoir faire à cette chatte.

Ce cerveau qui m'avait si bien servit jusqu'à maintenant lui était devenue inutile. Malgré mes multiples arrestations, j'étais toujours aussi peu douée pour déjouer les pièges des esclavagistes. J'étais même la meilleure pour sauter dedans et me faire prendre, à croire que me faire maltraiter et violer me faisait plaisir (et pourtant,seule Aphrodite savait combien je détestais cela).Je restai plusieurs secondes encore, les yeux plongés dans le vide. Je finis par cligner plusieurs fois des paupières puis daigna lever les yeux. Je scrutais la prédatrice, sans dire un seul mot. Mon visage était de marbre, mais mes yeux étaient glacés.Je posais ses mirettes sur elle, comme pour lui faire passer un examen aux rayons X. peut-être même pire que ça… Je restai bouche bée devant celle qui apparut devant moi. Sa réputation de chasseresse sans cœur était monté jusqu'à mes oreilles.

D'après ce que j'avais entendu, sa cruauté égalait ou même surpassait celle du ô combien célèbre Don. A cette pensée, je ressentis à nouveau la brulure sur ma fesse gauche quand il m'avait marqué de son fer personnel.  J'inspirai longuement, avant d’expirer en secouant la tête de gauche à droite. Si elle n’était pas si belle, elle ferait vraiment froid dans le dos, pour ne pas dire carrément pisser dessus. Cette pensée me taraudait l'esprit : J'étais complètement hypnotisée par sa beauté. Un instant j'oubliais ma position... et la sienne. D'un claquement de ses doigts, le sable se figea autour de moi et elle me parla, confirmant ce que j'avais déjà découvert.

- Hé bien hé bien ! On a des soucis jeune chatte ?! Je me présente Dame Lorwel, esclavagiste de Nexus, réputé pour les ventes de perles rare et luxueux, tu as de la chance tu n'entres pas dans mon domaine de chasse, mais il va falloir me divertir  pour pouvoir partir.

Je frissonnais d'horreur en l'écoutant parler. Elle m'avait juste capturée pour s'amuser avec moi. Une fois qu'elle se serait rassasier comme elle le voulait, elle me laisserait partir ... Mon œil oui, ces gens là ne font que mentir, je le savais bien, mais dans mon état je ne pouvais guère lui envoyer des mots bien franc sur ce que je pensais d'elle sans me prendre une très sévère correction, ou pire. Elle avança sa main vers moi, touchant mes oreilles. Je n'attendais qu'un moment pour la mordre que sa main passe devant moi. Mais en tant qu'esclavagiste professionnel, elle avait de l'expérience, et cette occasion ne se présenta jamais. Elle continua donc son examen tranquillement, ne se souciant nullement de se faire mordre. Je rageais intérieurement, mais elle était la plus forte, pour l'instant.

-Avant que je te propose quelque chose je veut ton nom, ton âge, ta race animal et savoir si tu es vierge ou non. Tâche de me mentir et je laisse mon piège t'étouffer à petit feux.

Je sentis le sol qui m'entourait se resserrer entour de moi, et compresser ma poitrine. Cela faisait un mal de chien, mais je n'en laissais rien paraître me contentant de la regarder d'un regard noire. Malgré tout ce que je pensais, la haine et la rage, je lui répondis d'une voix paisible.

"Je suis Pandora, terranides des contrées chaude. Je ne suis plus vierge depuis longtemps, violée par un de vos camarades sûrement."

Puis je baissais la tête, attendant de savoir ce qu'elle allait faire de moi.