Je sens son pied se poser sur ma tête quand je mets à me prosterner devant lui, son rire diabolique me fait froid dans le dos et je retiens un gloussement au fond de ma gorge, je suis à deux doigts de pleurer devant lui. Je dois essayer de ne pas craquer, il prendrait trop plaisir à me voir chouiner devant lui… Je le sens se pencher au-dessus de moi, courber son dos, jusqu’à toucher mon dos et là ! Une chose incroyable se passe ! Je n’arrive pas à comprendre, mais malgré la peur que je ressens envers lui, un plaisir immense brûle dans mon corps.
“Hmmmnnnnnnn…”
Si bien que je pousse un long soupir d’aise sans pouvoir le retenir, mon bas-ventre me brûle, je meurs d’envie de me toucher, je sens mes tétons sur le sol se durcisent grandir pour se faire de la place. Je me laisse soulever en couinant, il peut voir mes yeux briller et cette fois de bonheur. Sur la pointe des pieds, je me trémousse, je frotte mes cuisses l’une contre l’autre sentant encore ce désir me brûler les entrailles.
“Hmmmmm… Qu’est-ce que vous m’avez fait ?… Ahhhh…”
Mes seins balancent au rythme de mes ondulations, je n’arrive pas à me contrôler une puissante envie de sexe me dévore. Je n’arrive pas à me retenir, j’ai envie de fuir et en même temps de lui sauter dessus. J’ai envie de lui demander de me libérer mais je veux aussi lui demander qu’il me baise comme une chienne là maintenant. Je dois me contrôler pour ne pas parler, ne pas dire n’importe quoi, car je sais que je ne pourrais pas contrôler mes pulsions. Ces vagues puissantes qui remontent d’un coup en moi, je les sens, je frissonne à chaque fois.
“Ahhhh…”
Je souffle fort, comme une chienne en chaleur, mes joues sont devenues toutes rouges, alors qu’il me relâche les cheveux me laissant tomber au sol m’ordonnant de lui sucer la queue.
“Hmmm… Non… Non…”
Non je ne peux pas faire ça et pourtant mon corps ne demande que ça, j’ai envie de prendre sa grosse queue veineuse en bouche, sans pouvoir me contrôler j’avance vers lui à quatre pattes pour me coller à sa bite tendue. Ce simple contact me fait du bien, je couine de satisfaction, pendant que je me frotte à lui prenant de grandes inspirations pour sentir son odeur de mal dominant.
“Ahhh ouiii… Ouiii…”
Je sors ma langue glissant contre son chibre veineux, le détaillant sur sa longueur infinie, partant de la base pour remonter vers le gland que je glisse directement entre mes lèvres. Ohhhh oui. C’est si bon. Ohhhhh… Je l’enfonce dans ma bouche, tournant ma langue autour, je le savoure en gémissant toujours autant. Des bruits humides commencent à se faire entendre quand je me mets à me baiser la gueule. Comme une affamée, je viens m'empaler sur lui, sur sa queue pour la dévorer.
“HMMMMMMM !!”