Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

On a besoin d'un médecin ! [PV Teruna]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Compte Inactif

Créature

On a besoin d'un médecin ! [PV Teruna]

dimanche 24 janvier 2021, 00:21:28

 
- Allez allez les gars !
- Bien compris chef ! Qu'on chantonne en cœur.

Dans le chantier, les collègues travaillent avec la banane depuis que nous arrivons à la fin de la construction. Un parking de plusieurs étages qui a eu beaucoup de complications. Yashida me garde à l'œil et me sourit voyant que j'ai cette fois mon casque sur la tête comme les copains même si mon crâne est "presque" invincible. Mais il avait raison, l'uniformité d'une équipe est une force pour travailler. J'mets même des gants alors que ça me sert également à rien. On a une nouvelle intérimaire qui vient d'arriver dans l'équipe, une nana qui s'occupe de la peinture des murs et des flèches de circulation. Autant dire qu'un paquet s'est mis à loucher sur elle.

Elle est pas mal, mais j'trouve qu'il manque un peu de... viande. M'enfin, l'heure était de travailler. D'ailleurs Yashida me parle au talkie.

*Héra ? Tu me reçois ? A toi.*
- J'vous reçois cinq sur cinq, boss. A vous.
*Tu fais quoi ? A toi.*
- J'remets les blocs de béton dans la beine du camion m'sieur, à vous.
*Ok Héra, attention de pas te casser un ongle, rejoins Moya quand tu as finis, elle a besoin qu'on pousse le bidon de peinture. Il est lourd pour nous, simples mortels...* Qu'il ajoute, d'un ton sarcastique.
- Bien reçu, Héraclès, terminé.

J'commence à empiler les blocs, des lests de grue pour être exact, qui peuvent varier de 500 kilos à 25 tonnes, dont les amortisseurs du poids lourd commencent sérieusement à fatiguer. Faudra y jeter un œil en retournant au hangar. Ma besogne terminée, j'm'envole en cherchant l'étage de notre chère nouvelle qui pousse sa chariote péniblement. Le poing et le genou au sol, elle sursaute à mon arrivée bruyant.

- Héra ! J'ai eu si peur !
- J'voulais pas, vraiment.

J'me mets sur le flanc en posant une main derrière le bidon sur un chariot à roulettes afin de l'avancer au rythme de son utilisatrice. L'odeur de la peinture fraîche remplit l'étage, voyant bien toute les indications faites avec une habilité précise et féminine.

- T'as pas chômé, beau boulot.

Elle rougit alors qu'elle dessine une immense flèche sur un pochoir.

- C'est pas bien compliqué tu sais...
- J't'assure que pour moi si. Tu te plais ici ?
- Ouais, ça va, j'ai eu des avances de Taku par contre.
- Tout le monde a des avances de Taku.

On se regarde brièvement avant de rire doucement. Puis son visage derrière son masque devient intrigué.

- Tu mets pas de masques ?
- Euh, bah j'en ai pas vraiment besoin...
- Oh, oui on m'a parlé de toi et de tes capacités... C'est vraiment trop bien.
- Pas tout le temps.
- Pourquoi ?
- Parce qu'on sort d'une norme qui rejette autrui. Sortir du cercle, à moins d'être battu, cassé et reconstruit pour y pénétrer de nouveau, impossible dans mon cas.
- On s'en fiche des normes, crois moi.

On se regarde brièvement, j'l'a remercie silencieusement de la tête. On poursuit notre route et j'entends comme des craquements. J'm'arrête, regarde le plafond, Moya également s'arrête. Juste le temps de la recouvrir de mon dos râblé que le plafond s'effondre sur nous avant de chuter et de traverser les deux derniers étages. Une quantité astronomique d'eau a fragilisé la structure avant d'inonder le bâtiment.

À présent sous les débris, j'me prends des fumées de propane faisant partie du réseau de gaz de ville en pleine poire alors que la poussière retombe. Elle n'est pas avec moi, j'me soulève de toute ma masse pour expulser un bloc de gravats à plusieurs mètres avant de constater que les dégâts sont catastrophiques. J'pousse une quinte de toux. Une grosse quinte, les gaz brulant mes sinus en énorme quantité. Des câbles électriques embrasent le miasme et propagent une déflagration qui m'enfonce dans un tas de débris plus loin. J'en sors évidemment indemne, les vêtements déchirés, mais rien de grave, hormis cette putain de toux...

J'hurle son nom en soulevant à la volée des monceaux et des monceaux de ruines. Une petite main plus loin bouge dans une fissure alors que l'incendie se propage et m'arrache les poumons.

- Moya !
- I...ci...

D'une poigne titanesque j'soulève les quelques tonnes au dessus de ma tête qui faisait barrage sans écraser sa victime toutefois pour l'envoyer valser avec les autres débris. Littéralement blessée de la tête au pieds, aucune idée si elle a des dommages internes.

- Doucement, j'vais te porter.
- Héra...Je...
- Tais-toi, économises toi.

Désormais dans mes bras et blotti contre mon torse, j'décolle comme une fusée en survolant la ville.

Pourvu qu'il ne soit pas trop tard. 

***

Arrivée à l'hôpital, j'me dis qu'effectivement appeler une ambulance aurait pu être une perte de temps, d'un franc coup d'épaule j'passe les urgences en hurlant d'une voix rauque et bestiale, non sans cacher une extrême panique.

- Elle a eu un grave accident, on a besoin d'un médecin !

Une équipe d'infirmières arrivent avec un lit avant de m'intimer à la poser dessus. Une autre quinte m'arrache la gorge et c'est de mes yeux ébahit que j'constate qu'une giclée de sang s'échappe de ma bouche pour finir dans le creux de ma main épaisse et calleuse. L'infirmière me regarde, me toise de haut en bas, j'dois pas être joli à regarder; les vêtements déchirés, carbonisés, en sueur, évidemment sans blessure si on oublie... Le filet de sang qui perle de ma bouche.

- Vous allez devoir nous suivre monsieur...
- Mais qu'est-ce qui m'arrive...

Cette quinte m'inquiète, pourquoi je souffre...? Alors c'est ça, d'être vulnérable ?

Merde.
« Modifié: mardi 30 mars 2021, 22:30:05 par Le Grand Jeu »

Compte Inactif

Créature

Re : On a besoin d'un médecin ! [PV Teruna]

Réponse 1 lundi 25 janvier 2021, 19:21:28

On me conduit à une chambre, le menton dans le coude, qui subit mes toux ensanglantés, s'aggravant au fil du temps sous mon regard impuissant.

- Tenez bon, monsieur.
- Ouais *kof* *kof*, je gère... *kof*

La chambre est assez grande, le lit aussi, un modèle grand format, on pourrait accueillir le plus gros des obèses là-dessus. On m'dit d'appuyer sur un bouton rouge si ça va pas. Sans doute pour la première fois de ma vie. J'suis déjà allé à l'hôpital. Mais c'était jamais pour moi. Des collègues, mes parents adoptifs, mais là... C'est pour ma gueule. Je suis en danger. J'arrive pas à concevoir cette idée.

Mes respirations deviennent douloureuses, l'impression qu'on dévore ma trachée d'une acidité que je n'avais jamais mesurée jusqu'auparavant. La main sur le torse, j'essaie de respirer doucement par le nez, mais l'effet reste le même, ça brule, ca irrite et le gout du sang dans la bouche prend le monopole sur mes sens. Le goût du fer, la texture épaisse et fluide en même temps. En résulte du coup une sale grimace, dévoré par l'incompréhension.

L'attente est longue, là, allongé à rien pouvoir faire. Mais ce supplice s'arrête quand le battant va s'ouvrir. Une infirmière rentre dans la précipitation, mes yeux s'écarquillent en la détaillant ; un teint clair d'une peau de porcelaine, une longue crinière brune coiffée d'une queue de cheval flottant dans l'air et des traits fins serties de prunelles de la couleur des émeraudes. Son poste d'infirmière se voit sur sa tenue, non sans cacher des formes voluptueuses. Encore une délicieuse créature façonnée amoureusement par Dame Nature.

Mais c'est pas le moment de jouer au docteur, Héra. Me prendre deux étages de béton, et des litres de propanes dans le pif, ça refroidis un peu, v'voyez.

- Héraclès. *kof*

J'm'installe comme on me l'intime de faire, couinant le métal se plier sous mon poids mais tout va bien. Un masque se pose sur mes lèvres et envoie une vague d'apaisement, fraîche, atténuer les brûlures de mes voies respiratoires. Mes épaules se relâchent alors que j'ferme les yeux, savourant ce moment que j'pensais pas retrouver de si tôt. Répondant silencieusement d'un pouce levé pour lui dire que j'ai quand même écouté ses instructions. Son interrogation va suivre et doucement j'retire le masque légèrement de ma bouche pour lui répondre.

- Je ... *kof* suis allergique à rien du tout... *kof* Je me régénère de mes ... Blessures... *kof*

Essuyant les dépôts carbonisés sur les zones brulées, je lui dévoile ainsi la disparition casi instantanée pour économiser tout un blabla sur la régénérescence de mes tissus.

- *Kof* D'habitude...Ca suffit... *kof* kof*

J'retire à moitié mon t-shirt alors que son stéthoscope arrive comme une pièce givrée sur mon torse puissant et brulant dévoilant également mes anciennes plaies, refermées, laissant uniquement une trainée de sang qui sèche à l'air libre. Bordel, pourquoi mon corps galère à s'occuper de tout ce gaz aspiré ? Y'en a trop ? Mes pensées vont vers Moya, espérant qu'elle n'a pas respiré autant de propane, qui sait ce qui pourrait lui arriver...

Compte Inactif

Créature

Re : On a besoin d'un médecin ! [PV Teruna]

Réponse 2 dimanche 28 mars 2021, 14:17:37

Ca continue de brûler dans mes poumons, ça ronge, ça déchire, l'impression que mes tissus se font incinérer par le souffle d'un volcan. Avec le désespoir et la fatalité d'accepter que pour la première fois de ma vie, je vais séjourner dans un hôpital en tant que patient. L'idée même me donnait des appréhensions. L'expérience, inédite, certes, mais avec le doute d'imaginer que rien ne pourra être comme avant. C'est marrant, parce que, j'suis le premier à râler à ne rien sentir de douloureux quand il m'arrive des accidents, et j'suis le premier à rouspéter quand cette invincibilité me file entre les doigts.

Une nuit en observation, j'suppose que la donzelle sera la référente de mon cas. Et... Elle a l'air très agréable. Pétillante, énergique, j'imagine des qualités nécessaires dans ce corps de métier. J'lambine pas, ni ne rechigne et me laisse faire docilement. Surtout que, c'est pas désagréable quand c'est une femme aussi délicieuse pour les yeux. Même si ses vêtements sont amples, on peut deviner des formes opulentes qui donnent envie de les découvrir.

La piqure se plante dans ma peau, les effets sont difficiles à cerner, mais effectivement, il y a comme une atténuation dans mes ressentis. Les instructions sont données, avec la promesse d'avoir des nouvelles de Moya. Je veux tout savoir, même les pires nouvelles s'il le faut. J'peux pas m'empêcher de me sentir responsable. Si j'avais pris mon envol une seconde plus tôt, peut-être que j'en serai pas là et elle non plus.

- Très bien, j'essaierai d'être sage, faudra venir vérifier également.

Une taquinerie qu'on pouvait interpréter par des tonnes de façons, je lui laisse le choix du quel. Une autre toux vient entre couper ma respiration, et j'essaie alors de me détendre en fermant les yeux, m'allongeant correctement, les bras le long du corps. Mais je n'avais que cette odeur dans le pif, vrai qu'elle sent aussi très bon.

Eh merde, ça y est, même là, j'suis entrain de perdre possession de mes moyens. Mes yeux s'ouvrent alors, glissant mes yeux sur elle de haut en bas, l'étincelle dans les mirettes qui traduisaient la pure prédation, et voilà commence un combat que je perds très régulièrement: la tentation bestiale contre ma conscience. Et c'est là que j'commence à faire d'énormes bêtises...

J'bois silencieusement ses médicaments. Le gout est dégueulasse, j'tire une grimace, mais faut avouer que la texture apaise directement mes irritations, et ma gorge s'ouvre pour laisser passer plus d'air. Putain, libération.

- Merci pour votre bienveillance. Je vais me reposer maintenant. Que j'finis par susurrer.

Cours, beauté, cours et laisse moi.
« Modifié: mardi 30 mars 2021, 02:18:45 par Héraclès »

Compte Inactif

Créature

Re : On a besoin d'un médecin ! [PV Teruna]

Réponse 3 mercredi 26 mai 2021, 20:08:32

Comme si le destin se jouait de moi, comme si il écoutait mes plus sombres instincts, la situation se recroqueville pour mon plus grand malheur. Et par conséquent son plus grand malheur par ricochet. Elle est solaire, souriante, drôle, candide, altruiste et bienveillante. Plus le temps passait, plus la culpabilité grandissait dans mon torse. J'essayais alors de sourire, j'essayais de me mentir à moi-même.

Tandis qu'à l'intérieur ce combat devenait une torture. Une correction que mon esprit connait systématiquement. Mon corps tremble, je crève de chaud. Une voix tremblante dans un moment de lucidité, alors que je vois bien que n'importe quel client serait aux anges à l'idée d'avoir une infirmière aussi aimable.

- Mon pire cauchemar ? Aha...

J'aimerai tellement la croire, vraiment. Je ferme les yeux, pousse un long soupir pour prendre contenance. Mais rien y fait. En les ouvrant de nouveau je la vois alors qu'elle essaie d'accéder à une hauteur. J'aurai aimé que la blouse soit plus longue, j'aurai aimé que son pantalon soit plus large. Mais rien à faire encore une fois. Le regard d'un énorme prédateur sexuel affamé prend place dans mes yeux qui glisse doucement pour profiter de chaque parcelle de peau qui sont dévoilé à la lumière de la pièce. Le creux de ses reins, je l'imagine tellement bien se cambrer. Je l'imagine imposer mon poids pour mieux la plier en deux dans un coït bestial.

Le textile de son sous-vêtement, rose, léger, un bout de tissu dont j'aimerai deviner l'odeur. Des fragrances féminines au saisissant parfum de femme à m'en tordre le bas-ventre. Ca y est, je succombe. Je vais perdre. Oubliant l'accident, Moya, l'hôpital, la situation, les gens qui peuvent nous entendre. Tout. Des œillères me poussant à me concentrer sur une unique et seule problématique : Comment avoir un moment pour me soulager.

Encore une fois, l'impression que les astres s'alignent pour m'assurer que c'est possible. Sauf que cette frustration devient un bonheur, espiègle, pervers, malicieux et cruel. Mais incroyablement jouissif. L'heure de la douche, certainement pour respecter une procédure après ce qui m'est arrivé. Un regard sur la salle d'eau à côté alors qu'elle pose sa question. Un sourire vicieux tandis que les rideaux nous enferme de tout témoin potentiel, la notification à la porte qui nous indique que nous devons pas être dérangé. Parfait.

- Sous la douche, je me sens suffisamment robuste pour y aller.

Je me redresse en faisant couiner le lit, et poser lourdement mes jambes au sol. Puis, levé de toute ma masse, je commence à retirer mon haut, dévoilant son torse râblé et épais. Réveillant sa musculature rouler sous ma peau brûlante d'excitation, avant de faire tomber mon pantalon et mes chaussures. Mon coup de chaud laisse planer une odeur de rut assez présente, le boxer comprimant un membre gonflant paresseusement. Encore en sous-vêtement du coup, le reste va finir dans le sac alors que je marche vers la salle de bain. Lâchant un regard faussement inquiet avec une pensée qui en disait long.

- Euh, vous pourriez m'aider ? Surtout le dos en faite...

Encombrant, large, un bloc de marbre jamais amusant à laver sans un grattoir qui va avec. Je tangue la tête de côté, toujours avec ses yeux qui se veut en demande d'aide alors que je fais couler l'eau. Le pommeau de douche débite son jet agréable et une idée me vient en tête.

Il restait juste à savoir sa réponse. Mais j'attendrais pas longtemps.

Parce que je serai son pire cauchemar. Comme elle le dit si bien.

Compte Inactif

Créature

Re : On a besoin d'un médecin ! [PV Teruna]

Réponse 4 dimanche 06 juin 2021, 00:05:06

D'abord un silence alors que le jet rythme sa valse aqueuse contre le syphon de la salle d'eau. L'épaisseur de mon torse gonflait et dégonflait doucement au gré d'une respiration calme et tranquille. Remerciant silencieusement mon infirmière de m'avoir sorti de là.

Mais je doute qu'elle compte me remercier après ce que je m'apprête à lui faire.

- Mon sous-vêtement aussi ? Très bien.

Un sourire narquois, un regard sombre, des gestes lents, je fait rouler doucement les plis de mon bas sur mes cuisseaux avant de le faire tomber au sol. Ma queue dans une érection paresseuse en sort après un odieux rebond alors que mes bourses bringuebalent entre mes cuisses, nonchalantes. A ce moment-là, l'odeur de sexe testostéronée emplit la pièce, amplifiée par l'humidité et les vapeurs de l'eau chaude qui embaume le cadre. Ma queue dans une proportionnalité qui me rendait honneur, la question sera de savoir si elle m'encaissera. Quelque part, rien à carrer, ça passera, peu importe comment et peu importe dans quel état.

Un dernier sourire alors qu'elle tient le pommeau. Je m'approche alors que mon ombre l'enveloppe de toute ma masse. Avant de rire doucement. Jubilant déjà à ma prochaine idée.

- Je vais récupérer le pommeau. Et vous aussi par la même occasion.

Sans m'annoncer, j'attrape ses deux mains dans le creux de la mienne. Une projection au sol aussi rapide que violente l'écrase au sol dans une éclaboussure d'eau. Menotté dans ma pogne scellé comme un carcan d'acier, mes énormes cuisseaux écartent les siennes avant d'envoyer le jet partout sur son corps dans un premier temps. Apprécier le tissu devenir transparent, voir ses sous-vêtements, puis ses formes voluptueuses. Une grosse poitrine, des cuisses galbées, des hanches parfaites pour se faire attraper...

- Ouaw, tu es peut-être très conne, mais tu es diablement sexy...

L'autre main tenant le jet d'eau va descendre dangereusement, cherchant d'abord l'intérieur de ses cuisses, puis l'agitant de haut en bas, fouettant sa fente par la flotte qui l'embrasse par salve constante d'eau chaude. Elle bouge, s'agite dans tous les sens, mais ma poigne vient enserrer ses mains dangereusement pour mieux la faire couiner. Puis en relâchant l'étreinte c'est une gifle ferme et punitive qui vient lui dévisser la tête vers la gauche pour faire disparaître le dernier sursaut d'espoir qui mijotait en elle. Profitant qu'elle soit sonné, ma main empoigne sa gorge, la plaquant davantage au sol. Pour ensuite poser mes règles.

- Tu viens de t'enfermer avec un quelqu'un qui va se faire du bien, beaucoup de bien. Tu n'es plus infirmière ce soir... Juste ma petite chienne durant le temps que je décide.

J'approche le pommeau, puis continue de le bouger délicatement pour que la pression roule sur son clitoris puis sur ses lèvres extérieures, le tout à travers un tissu dorénavant détrempée. Jubilant comme le plus parfait des dépravés, ma bite se dresse rapidement pour montrer toute sa colonne derrière ses veines épaisses sur sa peau fine, des lourdes burnes duveteuses, perlant de gouttes d'eaux sur tous les sillons de mes muscles congestionnés par l'excitation, l'appétit, le désir.

- Une question de temps avant que ton corps ne réagisse... On a tout le temps devant nous...

Compte Inactif

Créature

Re : On a besoin d'un médecin ! [PV Teruna]

Réponse 5 mercredi 25 août 2021, 15:17:49

  Tous mes sens sont aux aguets, mais dans une sélectivité cruelle. J'oublie ses cris pour entendre ses couinements, j'oublie son corps en panique pour ne voir que sa chair se dévoiler derrière le tissu humide, j'oublie ses prunelles affolées pour contempler simplement la beauté de ces dernières. Comme une proie enfermée entre les pattes de son prédateur, je la laisse s'agiter pour qu'elle s'essouffle à l'usure, sans m'arrêter sur cette masturbation forcée qui le devient... De moins en moins.

Un combat entre sa pensée et ses sens. L'infirmière devenait de plus en plus la salope que j'attendais.

Elle ne crie plus, elle gémit, elle ne se bat plus, elle embrasse le plaisir. Un plaisir que je souris avec un sourire carnassier. Parce que c'est toujours satisfaisant de faire couiner une chienne, et j'ai l'impression qu'aujourd'hui j'ai touché le jackpot. Ses yeux sur le jet qui se déverse en continue dans une pluie chaude devient son seul intérêt, où elle pouvait observer derrière ma queue enfler doucement, bringuebalante vulgairement au gré de mes pulsations. Crachant sa pré-semence doucement par la simple excitation d'observer ce corps qui se voit à travers le tissu.

- Qu'il est beau ce string...

Joignant mes mains à mes mots, je lâche le pommeau pour déchirer son pantalon en l'ouvrant comme un paquet cadeau. Pour observer ses lèvres intimes mordre son sous-vêtement que je frotte du plat de la main alors que l'autre déchire le haut pour en apprécier sa poitrine ronde, opulente et rebondie. Son soutif dans le creux de la pogne, je le respire avec une obsession animale. Pour mieux pétrir ses seins quand je m'en suis débarrasser. Deux mots de chairs que je palpe, masse, pétrie, avant de me pencher pour les embrasser, saisir le bourgeon entre mes lèvres, faire des cercles autour de ma langue pour les mordiller dans des morsures mêlés à des baisers. Vorace. L'un puis, l'autre, je recommence, puis les écrasent l'un contre l'autre pour en profiter de leur grosseur entre les mains. J'en veux plus, beaucoup plus... Lui empoignant les hanches, ma langue vient lécher le tissu pour rouler sur son clitoris, inlassablement. Cette même langue qui viendra aussi parcourir ses cuisses, une morsure sur la partie interne avant d'arracher ce string qui devient seulement un obstacle.

Lui attrapant sa cheville si fine que je pourrais la casser sur un mauvais geste, je la retourne pour la faire rouler brutalement sur le ventre. Une énorme gifle viendra la punir avant de soulever sa croupe dans une position de levrette, mais pas encore pour la baiser. Seulement lui bouffer la chatte, plongeant mon visage entre ses fesses, et me délecter de ses lèvres intimes dans des bruits de succions qui continuent de m'exciter au plus au point. Sentir sa mouille remplir mon œsophage, écartant ses fesses pour apprécier ce que je vais défoncer encore et encore. Son vagin comme son anus. L'odeur de luxure. L'odeur de chienne.

Une autre gifle, pour voir remuer son gros cul, je gronde mes gémissements sans un mot.

Son fessier déjà marqué par mes violences, je me redresse pour enrouler sa chevelure autour de mon poing et la traîner en laisse jusqu'à ce que ma queue veineuse et intimidante finisse sur son visage. Frottant le long de ma bite sur sa frimousse, je lui laisse le soin également de laisser mes effluves séminales et odorantes de mâle badigeonner son museau avant de lui pincer les joues, pour les tapoter vulgairement dans un geste humiliant.

- Avales-la.

Mon poing se ferme, pinçant dangereusement son cuir chevelure tandis que mon nœud désormais décalotté bute contre ses lèvres, brûlant, fumant, coiffée d'une toison pubienne épaisse. On pouvait déjà observer le pré-sperme épais et gluant sécher à vu d'œil sur sa bouche.



Répondre
Tags :