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Un service tendu pour une violence rendue [PV Ethys] | Terminé

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Etyhs Inoru

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Re : Un service tendu pour une violence rendue [PV Ethys]

Réponse 15 mardi 23 février 2021, 20:11:54

Alors qu'il continue de me prendre la bouche avec violence et que je manque plusieurs fois de m'étouffer, il finit par s'arrêter. Mais la consolation allait être une fois encore de bien courte durée, puisque mon violeur profite du changement de position, pour retourner m'attraper avec brutalité, mon vagin qu'il a déjà si violemment déformé juste avant. Au point que mon sexe l'accueille cette fois-ci entièrement et sans la moindre petite résistance, avec ses horribles grosses mains qui m'attrapent en même temps le bassin. Comme un animal en rute, il me prenait comme si j'étais sa truie. Prise par un état second, le regard légèrement égaré, je me mets à gémir grossièrement et bruyamment, à chaque fois que je ressens son énorme sexe aller et venir douloureusement au fond de mes entrailles. Et que je le veuille ou non, j'étais en train de mouiller. Contre mon gré, je commençais à prendre du plaisir et du bien-être, à me faire sauvagement ravager par ce détraqué.

Et à chaque fois que son gros sexe touchait le fond ma paroi vaginale, j'entendais le lit craquer. Mon corps, mes gémissements bruyants et saccadés et même le support, étaient en train de se caler en rythme avec lui. Tout de moi et de ce qui nous entourait, semblait comme lui obéir. Même mon vagin qui brulait malgré la douleur, continuait d'émettre lui aussi toute une série de bruits. Ma poitrine qui gigote tout autant que le reste, ne sera pas plus épargnée. Elle se retrouve elle aussi attaquée et plus expressément, mes tétons qu'il pince sans ménagements...

- Ah!... Arrêtez!... Arrêtez! Ah!... Ahan!... Ah!...

Les bras ballants le long du corps, encore une fois au service des sévices d'un monstre déguisé sous l'apparence d'un jeune garçon, je me retrouve en l'état de jouet sexuel. De poupée sexuelle, incapable de pouvoir faire autre chose que de couiner douloureusement et plaintivement, selon ses envies. Regard désespéré, le corps brulant et raide jusqu'aux extrémités, je l'entends encore se moquer de moi. Son corps s'écrase d'avantage contre moi, puis il plante ses dents dans mon épaule. Avec mon vagin qui semble encore comme continuer de lutter pour ne pas se retrouver complétement déchiré, il accélère encore la cadence. M'arrive alors au même instant, une violente douleur au niveau de l'épaule, qui m'arrache un nouveau cri. Mais à peine j'ouvre la bouche, que je reçois immédiatement une seconde gifle en retour...

Bouche ouverte, le regard encore plus dans le vide avec un vertige nauséeux, l'horrible garçon à la cruauté sans limites me faisait savoir qu'il compterait bien abuser de moi pendant encore un long moment... Et pour ne pas oublier cet instant d'humilité, il allait me filmer pour garder entre nous, une trace de mon viol avec toute la souffrance qu'il me forçait à devoir subir. Malgré mon dégout, je commençais pourtant à prendre mon pied. Au point que je me mets pour la première fois à sourire et à l'encourager de continuer...

- Oh oui! Oh continue j'aime ça! Oh c'est bon!...

Pendant que je lui souris dans une forme de béatitude, je prenais de plus en plus de plaisir à subir, à le sentir en moi et à me faire violer. La situation devenait doucement malsaine et elle était bien loin de m'être étrangère...
« Modifié: mercredi 31 mars 2021, 18:03:15 par Etyhs Inoru »

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Re : Un service tendu pour une violence rendue [PV Ethys]

Réponse 16 vendredi 19 mars 2021, 18:55:26

L'autoroute du plaisir à fond la caisse, violant toutes les lois conventionnelles, son intimité, son intégrité, sa personne, son esprit. Le martèlement continue et sculpte à ma manière un plaisir immense extirper une jouissance imminente et sans doute explosive. Ignorant d'abord ses supplications, j'me surprends à l'écouter, et maintenant détailler son visage fendre un sourire embué par le plaisir et ses mots qui apportent une nouvelle excitation qui ne va pas m'aider dans la retenue de l'orgasme. Trois doigts entourent son cou délicat avant de ranger profondément ma queue en elle, fermant les yeux et écouter ses gémissements de plaisir...

- Je savais que derrière cette petite renarde se cachait une grosse chienne...

Un viol qui devient un coït consentant, jubilant avec un plaisir malsain les instincts de la renarde les plus bas prendre le contrôle de son corps pour mieux m'accueillir. Le tableau devenait magnifique. Et j'avais envie d'enregistrer ce moment pour un long moment. Mes coups de pillons arrêtent progressivement de ramoner son antre, pour lui accorder un répit pour son utérus et ses entrailles pour prendre un pas de recul et apercevoir que mon pantalon a laissé glisser mon téléphone. Un sourire bien vicieux, tandis que mon gland hurle l'envie de jouir, écarlate, le long du sexe maculé de fluides et strié de veines gonflées, cette frémissante envie qui veut dégueuler tout ce qu'il a pour la remplir comme il se doit.

- Fais un joli sourire à la caméra.

Le flash allume la pièce, la peau opalescente, ses mèches donnent presque des reflets nacrés à l'image, et elle paraît encore plus humiliée à l'écran. Préparant ma bave dans mon palais, la salve du crachat arrive salement entre ses jambes pour être sûr que la prochaine pénétration soit sûre. Le téléphone s'approche, le bras pointé vers elle, un grand angle qui prend tout son corps.

- Allez, écarte les jambes, je vais bientôt jouir. N'oublie pas de parler, des gens vont te regarder après tout.

J'me dis que diffuser ça pourrait être une idée plus qu'alléchante. Alors autant profiter de l'occasion. Ma main libre s'accroche à sa hanche, et mon sexe retrouve la chaleur ruisselante de sa vulve avec ma légendaire indélicatesse qui lui tabasse le bassin, et reprend une barbare cavalcade qui la secoue de haut en bas.

- Est-ce qu'elle aime ça ? Est-ce qu'elle en veut ? Etre baisé, encore ? J'en ai bien l'impression, non ? Qu'est-ce qu'elle en dit, la petite chienne ? Le monde te regarde.

Malgré la maîtrise de la situation, je perds peu à peu le contrôle de mon corps, le téléphone tremble un peu, mes respirations deviennent bruyantes et sens enfin venir la cascade de spermes écarter mon urètre pour se déverser comme une marmite de liquide brûlant.

- RAAAAAH !

Tout mes muscles se crispent, alors que mes bourses se rétractent, pompées en masse par un mandrin pulsant aux rythme de mon cœur battant, les jets de foutre qui assiègent ses ovaires et même enfler le bas-ventre.

- T'es qu'une sale outre qu'il faut remplir. Qu'est-ce que c'est bon.

Je continue quand même de la baiser alors que mon sexe se noie dans toute cette semence. Continuer à bourrer tout ce ceci comme s'il était possible de tout faire entrer alors que ça déborde en permanence. Un trou béant, pourtant. Malgré cette éjaculation abondante, il en demeure que ma hampe est toujours d'attaque. Tant mieux pour moi, tant pis pour elle. Et profiter de ses orifices encore si serrés. Un seul me vient à l'esprit. Glissant de haut en bas la caméra pour avoir tous les éléments en vidéo de ce carnage, je recule pour lui laisser le luxe de bouger à mes attentes.

- Je sens que ton cul est un peu jaloux de pas avoir le même traitement. Montre-moi ce joli petit orifice qui attend mon passage.

Le zoom se fait, un rire gronde dans mon torse, comme un enfant amusé de son nouveau jouet. 

Un délicieux jouet.

Etyhs Inoru

Créature

Re : Un service tendu pour une violence rendue [PV Ethys]

Réponse 17 mercredi 31 mars 2021, 18:06:01

Encore une fois, je dévoilais le côté sombre de ma personnalité. Celui dont j'avais intérieurement honte, mais que j'aimais sournoisement. J'avais peur et j'étais devenue entièrement soumise à tous ses caprices. Et plus j'étais humiliée et rabaissée, plus j'aimais ça! Intérieurement, j'aimais me sentir n'être plus qu'un simple objet sexuel et vulnérable. A cause des multiples viols et des souffrances que j'ai dus encaisser par le passé, je suis devenue inévitablement une esclave sexuelle prête à obéir au doigt et à l'oeil. Ils ont créé de moi l'image qu'ils voulaient, qu'ils attendaient. Avec le temps, je n'étais devenue plus qu'une pauvre chose qui se complaisait à être humiliée sans la moindre dignité. Je préfère maintenant être lâche et donner du plaisir aux hommes les plus immondes qui me veulent, que de défendre mes convictions et les valeurs qui me sont les plus chères. Oui celle que je suis habituellement, déteste ce que je suis en partie devenue à cause de ces monstres... Mais en vérité, j'aime ça! Et maintenant, je me retrouve avec mon autre moi que je cache honteusement au quotidien...

- Oh oui! Encore continue! Je t'en prie continue...

Pendant que je lui parle, que je lui exprime mes profonds désirs d'aimer être violée, je couine. Je gémis en souriant, à chaque fois que je le sens s'enfoncer virilement en moi. Et cette prise sur mon cou avec sa grosse main, me faisait d'avantage encore aimer ça. J'étais dominé par un homme qui savait parfaitement comment je devais être traitée! Au point que je ne cache pas ma déception, lorsqu'il finit par ralentir la cadence pour sortir de moi, alors que je mouille comme une fontaine. Un instant après, je me souvenais que le garçon voulait garder une trace de son passage en moi. Une trace de mon viol, dont ce terme ne voulait plus vraiment dire grand chose pour moi à présent...

Allongée sur le lit comme une chose sexuelle, je souris à la caméra de son téléphone, dès qu'il me demande de le faire. Il se met ensuite à cracher entre mes jambes, là où mon sexe ouvert à tous les hommes de son genre, s'est retrouvé agréablement dilaté par son beau membre viril. Mon agréable violeur me filme ensuite en entier, alors que je me redresse. Prêt à jouir pour finir de remplir l'esclave soumise et toute docile que je suis, il m'ordonne d'écarter les cuisses, ce que je fais. Je me mets ensuite à vibrer violemment, lorsqu'il me demande de parler. Que ce qu'il va filmer de moi, sera vu par de nombreuses personnes. Dans mon esprit, j'avais maintenant hâte que tous ces inconnus assistent à mon viol et à ma souffrance.

- Oui vas-y! Viens vite finir de me prendre! Qu'est-ce que c'est bon d'être violée par un homme tellement viril et puissant comme toi! Je peux enfin être moi-même!

Une fois de plus je souris et je ris, dès que mon violeur revient m'attraper et me remettre sans ménagement sa puissante virilité dans mon entre-jambe fortement dilaté. Avec grand plaisir, je me refais prendre violemment. Je me fais ainsi chevaucher par un de ces hommes aux moeurs peu recommandables, qui m'envoie inévitablement au septième ciel!

- Oui c'est si bon! Baise-moi comme un animal! Prends-moi comme une chienne s'il te plait! Car je n'ai jamais été rien d'autre que ça! Hahaha...

Prise de soubresauts, je supplie mon nouveau maitre en tirant la langue, de venir me donner la récompense que j'attends. Je voulais que ce mâle viril et particulièrement dominant, vienne me remplir de sa belle semence épaisse. Et avec mes supplications, je continue de ressentir ses assauts musclés dans ma chatte ravagée. Ses forts coups de bassins qui terminent de me mettre définitivement au pas, comme on met au pas une prostituée que je suis déjà, finissent par le faire jouir. Il se met alors à crier et à prendre son pied. Et pendant toute la durée où il me remplit l'orifice, je l'encourage à se décharger en moi, pour lui faire prendre toute la jouissance dont il a besoin.

- Oui!... Oui! Vas-y mon bel étalon! Crache ta semence de mâle dominant en moi! Remplis-moi!

Je regarde régulièrement la caméra, lorsqu'il éjacule en moi. Je prends un plaisir immense à montrer que d'être servile, est bel et bien mon péché mignon. Qu'il n'existe au fond de moi, qu'une pauvre chose soumise et prête à obéir à tous ceux qui veulent venir me prendre et me violer sans aucun scrupule. Et lorsqu'il finit de se déverser agréablement en moi, mon bel étalon me gratifie d'un autre nom qui me fait glousser sans la moindre honte...

Alors que je ressens son sperme épais affluer dans mon sexe jusqu'à ras-bord, il continue encore de me prendre un instant. Et lorsqu'il a entièrement terminé d'éjaculer en moi, il se retire en étant satisfait. Quand son beau membre quitte ma pauvre vulve qu'il a si bien prise, je peux enfin assister avec plaisir au résultat. Et il ne me déçoit pas. Je me mets encore une fois à glousser, alternant entre regarder l'étendue de son ravage dans mes entrailles et la caméra. Mon vagin brûlant par le désir et par la douleur de m'être faite en partie déchirer, laissait maintenant entrevoir un flot important du jus gras et épais de mon violeur. Parmi ce foutre délicieux se trouvait aussi un peu de mon propre sang, qui se mélangeait avec toute ma cyprine.

- Oh mon Dieu! Tu ne m'as vraiment pas loupée...

Toujours enivrée par ce qui était en train de se produire, mon violeur que je vois maintenant en tant que nouveau maitre à servir, me demande d'écarter les fesses. Ce que je fais de suite et sans attendre, pendant que je continue de ressentir son sperme ressortir délicieusement de mon sexe que cet individu a déchiré.

- Oh vas-y! Prends-moi les fesses comme tu m'as prise par devant, s'il te plait. Je ferai n'importe quoi pour continuer d'être toute à toi!

Avec ma servilité poussée à son maximum, je retrouvais à présent la joie d'être humiliée. J'avais hâte de continuer d'être rabaissé! Peu m'importais le malaise que je ressentirais après, une fois que tout sera terminé...
« Modifié: vendredi 16 avril 2021, 17:24:31 par Etyhs Inoru »

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Re : Un service tendu pour une violence rendue [PV Ethys]

Réponse 18 jeudi 15 avril 2021, 13:09:58

Je pose alors le téléphone sur la table d'en face, caméra pointée sur nous.

- Je compte tout te prendre, ne t'en fais pas.

Le plaisir jubilatoire gagne encore un cran dans cette débauche malsaine et pourtant si excitante. Ronronnant comme un fauve  satisfait mais encore insatiable, tout en regardant cette pauvre renarde en rut perdre complètement la raison. Comme si j'avais cassé le jouet, et qu'il fonctionnait désormais différemment. Le réseau de veines entourant mon chibre sont encore bien gonflés, dégoulinant l'essence de nos plaisirs respectifs.

Elle a échangé ses plaintes pour des louanges, des cris apeurés par des gémissements en demande, je m'approche pour lui foutre la deuxième fournée dans son p'tit cul avec l'engouement de voir jusqu'où sa cervelle de perverse ira. Rien qu'à la voir écarter ses fesses pour me montrer le chemin, j'me branle nerveusement en passant une langue sur mes lèvres. Me satisfaire de ses étoiles dans les yeux et ce postérieur gracieusement offert. D'un geste autoritaire je retire sa main comme pour lui interdire de toucher ce que j'convoite comme s'il était mien, du moins, pour aujourd'hui. Posant les genoux au sol pour être à niveau, ma langue dérape sur son œillet, en empoignant sa queue dorsale pour mieux l'enrouler autour de mon poing pour le tenir immobile.

- Oh, oui... Une chienne délicieuse...

Puis, dans un vacarme produit par les lattes du lit, toute ma masse se retrouve sur le flanc derrière elle. Mon biceps passe en dessous de sa tête pour lui offrir un coussin musclé, pour mieux attraper sa poitrine que je pince, et malaxe comme une viande bonne qu'à ça. Mon souffle ardent sur son oreille, puis son visage, j'me mets à lécher continuellement sa joue pour la goûter, alors que j'ondule le bassin pour frotter mon sexe contre son cul, le maculant de pré-foutre jusqu'à ce que mon gland bute dessus. Tenant sa hanche fermement d'une main, j'avance comme une presse hydraulique pour commencer cette perforation entre les chairs sur des bruits odieux.  ​

- Ouh, c'est serré...

J'écarte ses chairs, difficilement, et pas trop vite pour éviter un déchirement qui ne ferait que me retirer ce plaisir, cherchant ses entrailles centimètres après centimètres. Ma queue enserré en elle seulement du premier quart, je m'amuse à faire de mini vas et viens pour faire profiter mon gland qui prend son pied à se faire étrangler pour mieux embraser l'intérieur de mon coulis transparent, bouillant et gras tandis que son visage se retrouve noyé dans ma salive que ma langue continue de produire. Mes mouvements deviennent nerveux, emporté de nouveau par un plaisir aveuglant.

- Tiens, prends ma queue, comme tu le souhaitais. Han !

D'un coup plus fort, mon membre se range entier dans ce nouveau casier à spermes que je ravage aussitôt par des coups de reins plus voraces. Augmentant l'amplitude, pour ouvrir comme une énorme bouche béante son cul qui devient mon nouveau jouet. Chaud, aussi ruisselant, le plaisir infini de sentir ses fesses câliner ma queue et rebondir contre mon bassin. L'écraser, la brutaliser si fort pour lui couper le souffle et agiter son corps tout entière.

- Je vais te casser en deux. Que j'gronde d'une voix puissante.

Maintenant bien installé en elle, lubrifié à outrance, je peux lâcher sa hanche pour aller plonger deux doigts massifs dans sa chatte, poignardé ainsi des deux côtés dans une double pénétration violente et impitoyable.

- La brave petite pute aux grandes oreilles, elle aime ça ? Oh oui elle aime ça ! Elle te rends cinglé ma queue, espèce de tarée...

Clapotement visqueux, ma queue veineuse faisait un véritable bruit de marteau contre son postérieur, ramoné férocement sans me soucier des dégâts que j'cause, autant que ma main qui malmène son vagin en y foutant un troisième doigt pour l'écarter davantage et ainsi défoncer tous ses orifices.

Sauf sa bouche, mais j'y viendrais.
« Modifié: jeudi 15 avril 2021, 13:20:21 par Héraclès »

Etyhs Inoru

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Re : Un service tendu pour une violence rendue [PV Ethys]

Réponse 19 vendredi 16 avril 2021, 18:52:53

Mon bel étalon viril pose le téléphone sur la table, tout en pointant la caméra vers nous. Je pince des lèvres et je passe ma langue dessus, en même temps que je le regarde aussi docilement que lubriquement. Très impatiente de le recevoir dans mon derrière, avec son gros membre qui ne perd à aucun moment de sa superbe, je le vois se masturber pendant qu'il me regarde avec une envie aussi forte que la mienne. Lorsqu'il retire ma main sur mon postérieur avec sa dominance écrasante que j'aime de plus en plus, je lui souris tout en couinant doucement. Je couine ensuite un peu plus fort, dès qu'il commence à me lubrifier l'anus avec sa langue, pendant qu'il m'attrape mes deux queues kitsunes. Il me gratifie encore une fois de l'un de mes noms préférés, celui de "chienne", avant de passer ensuite derrière moi. Le beau garçon qui n'arrête pas de me maltraiter moralement et sexuellement, m'attrape la poitrine et la prend dans ses grosses mains perverses. Sans avoir besoin de forcer, je redouble de gémissements torrides lorsqu'il me lèche la joue et que son sexe viril commence à frotter mon derrière. Heureuse d'être devenue momentanément la propriété d'un individu qui n'hésite pas un seul instant à se montrer cruel et odieux avec moi, il commence à rentrer son gros pénis entre mes petites fesses.

- Aaah... Aie! Hahaha! Aie! Oh c'est bon!

Prise entre l'excitation et la douleur, il me force à recevoir sa puissante virilité qu'il fait entrer petit à petit dans mon pauvre rectum. Lorsque mon violeur qui m'attrape comme sa femelle soumise arrive jusqu'à une certaine distance, il continue de me sodomiser en exécutant des vas et viens. Je me mets à gémir en suivant de force la cadence, pendant qu'il me lèche encore la joue et que je me retrouve dans une position qui lui permet de me prendre facilement et agréablement. Comme tout à l'heure, je pense à regarder régulièrement la petite caméra de son téléphone qui nous fixe, tout en couinant toujours plus fort. Je crie lorsqu'il fait entrer sournoisement sa verge dans mon derrière, par un violent coup bien placé. Pression et forte douleur s'entremêlent avec l'éternel plaisir qui ne me quittera maintenant plus, alors qu'il ne me laisse aucun répit pour directement passer à la vitesse supérieure.

- Aie! Doucement s'il te plait je... tu me fais mal je... Oh oui!

Essayant mollement de lui dire d'y aller plus doucement, mon corps convulse à chaque fois que je reçois de sa part un puissant coup de bassin qui cogne et qui claque contre mes fesses. La douleur finit par s'estomper rapidement pendant qu'il me dilate le rectum, tout en m'imposant une sodomie virile et puissante. Je regarde ensuite une nouvelle fois lubriquement la caméra tout en suçant goulument un de mes doigts, comme s'il s'agissait d'un nouveau pénis.

- Oh! Oh mon dieu c'est tellement bon de se faire violer! Oh mon dieu!

Je tressaute complétement pendant que je parle et que je me laisse aller à mes pulsions obscènes et malsaines. Ma voix s'entre-coupe à cause de l'excitation et de l'ardeur que le garçon met à me sodomiser brutalement sans la moindre retenue. Fascinée d'imaginer tout un tas de personnes qui puissent assister à mon propre viol, je couine encore bien fort lorsque mon nouveau maitre me cale ses gros doigts dans mon vagin en feu et qui continue de recracher encore de sa belle semence visqueuse. Je crie presque comme une hystérique en manque de retrouver ces instants pervers bien trop longtemps refoulés, lorsqu'il me traite de pute et de tarée.

- Oui! Encore! Insulte-moi encore! Vas-y! Rabaisse-moi encore mon bel étalon!

Comme "une pute et une tarée", j'encourage avec force mon violeur à continuer de m'insulter et de ne pas s'arrêter de me prendre par derrière! Je trouvais cette sodomie parfaite! Elle me faisait cette sensation de bien et de mal en même temps, sans jamais que je ne cesse de me sentir me faire humilier. Et j'aimais encore plus cet acte sexuel barbare et dégradant, en sachant qu'il y aurait certainement beaucoup de personnes qui viendraient nous regarder. Quel beau spectacle décadent et rabaissant je donnais de moi! Je vivais un instant mémorable!
« Modifié: samedi 08 mai 2021, 18:06:46 par Etyhs Inoru »

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Re : Un service tendu pour une violence rendue [PV Ethys]

Réponse 20 dimanche 02 mai 2021, 14:30:31

La cavalcade suit un rythme effréné alors que le temps s'égrène, lui remuant les entrailles avec la vigueur d'un Minotaure sous stimulant. Savourant chaque câlin que ses petites fesses font sur ma queue maculée de son liquide gluant. Les martèlements violents contre son derrière, infatigables, laissent maintenant des rougeurs écarlates sur sa peau, ses cuisses, tout comme son téton en qui en plus de pointer devient également fatigué d'être malmené sans répit. Pour une torture orgasmique.

A l'intérieur, je peux sentir la chaleur de son rectum soumettre sa compression autour de ma verge pour mieux l'étrangler, le tenir en étau pour lui extirper plus vite sa semence. Je lève mon genou contre l'intérieur du sien pour relever sa jambe, afin d'ouvrir davantage son vagin qui subit des claques cinglantes, les doigts raclant ses parois, ajoutant même le pouce pour rouler sur son clitoris durci par l'excitation, ils la baise comme si deux autres hommes venaient insérer leur pénis en elle avec la percussion d'un bélier puissant. Son corps n'est qu'une grosse balle de chair tambourinée de chaque côté, un tennis odieusement pervers et violent.

Mes bras l'entourent toujours, la prise d'un ours viril qui peut la briser en mille morceaux, respirant toujours plus fort à son rythme, mon torse vibre contre son dos pour faire rouler mes grognements, qui prennent des décibels à mesure que je m'approche de la jouissance, imminente.

Elle est devenue complètement folle. De moi, de ma queue, de mes violences. Un viol qui se transforme en coït animal. Hurlant sa soumission au moindres de mes gestes, comme si elle n'était qu'un instrument docile à tous mes plaisirs. Et je compte bien en profiter aussi. Un jeu de rôles vraiment pervers, mais amusant. Comment ne pas jubiler de plaisir quand sa soumise hurle le sien pour me demander de recommencer ?

- Mais oui pétasse, je vais continuer à te rabaisser. Même si tu es déjà plus bas que terre. Tout le monde va voir que tu n'es juste qu'une traînée qu'on peut froisser indéfiniment, une salope complètement timbrée folle de la bite de son agresseur.

Grondant comme un fauve, mes coups de reins s'accélèrent alors que je sens l'orgasme monter, encore, une ultime fois, m'empêchant de parler davantage, simplement poussé par la seule action singulière et primitive et lui défoncer le cul, afin d'assouvir le désir brûlant de jouir de nouveau.

- Han, han...GRAAH, putain, OUI ! Tu le veux mon sperme ? Supplies-moi, catin !

Quatre coups de reins féroces et bien plus violents lui matraquent les hanches et déforment son fessier avant d'y rester au fond pour lui hurler mon dernier orgasme. Mon corps entier se rétracte alors qu'elle est contre moi, le dos, le visage ruisselant de sueur contre sa crinière où ses grandes oreilles subissent une douche de salive à l'expiration de mon feule bestial. Après plusieurs bruits qui trahissent les jets de spermes brulants dans le couloir de son postérieur pour y incinérer tout sur son passage, le surplus va très vite dégueuler pour souiller nos jambes et mes bourses, collées contre le dos de ma main qui enfonce ses doigts dans le fond de sa chatte depuis le début de l'orgasme. Perforé ainsi de part en part.

Mon frein continue de bruler et cracher son fluide épais, et après un énième coup de rein qui résonne dans un clapotement visqueux et outrageusement abondant, je me retire, une longue lame saturée par mon sperme dans une éclaboussure odieuse tout comme mes doigts noyés de cyprine, pour m'allonger sur le dos. Ca y est, je suis vide.

- Bon sang... C'est incroyable de te baiser.

Le torse gonfle et dégonfle irrégulièrement, alors qu'elle est laissée lamentablement sur le côté, le corps relâché par mon étreinte musclée, comme une poupée de chiffon que j'aurai froissé. J'entends le téléphone vibrer, annonçant que la batterie arrive dans ses réserves. Je me redresse doucement, pour la surplomber de toute ma masse, et lui tapoter d'un geste humiliant le crâne, avec ma queue toute molle, crachant ponctuellement son venin sur son visage.

- Gentil chien-chien, j'ai fini. Que je finis par dire, magnanime.

Tirant ses queux vers moi, je lui assène une gifle douloureuse pour remercier à ma façon ce cul tendu amoureusement, qui continue de vomir et essayer de contracter son anus comme il peut. Avant de ricaner dans ma barbe pendant que je remet mes vêtements, et m'assurer que la vidéo est bien enregistré.

- Héhé, c'est dans la boite. Fais très attention, ma petite pute, je risque de repasser... C'est même certain.

Et sur ces mots, je la laisse sans lui laisser un geste de gratitude et enfin quitter son établissement. Je m'envole, pendant de longues minutes alors que mes yeux reprennent leur couleur d'origine. Mon sourire carnassier disparait, et mon corps se relâche. Arrivant en haut d'un building, il faisait déjà nuit... Mon corps tremble, il me remercie d'être aussi apaisé. Mais mon esprit... Mon esprit est bouffé par la culpabilité.

- Qu'est-ce que j'ai fait...

C'est horrible. Et c'est tout le temps ce calvaire qui m'anime. A force, j'ai construit un espèce de déni qui me sert lamentablement d'armure quand ces moments arrivent. Il n'y a rien qui m'empêche de continuer, même pas ma morale, même pas ma motivation, je perds le contrôle et c'est un trou noir jusqu'à ce que le mal soit fait. C'est terriblement, mais incroyablement bon. Comme un espèce de contrat, mon âme que j'aurai vendu au diable simplement pour savourer ce moment.

Un odieux moment de répit avant de recommencer, malgré moi.


Etyhs Inoru

Créature

Re : Un service tendu pour une violence rendue [PV Ethys]

Réponse 21 samedi 08 mai 2021, 21:13:38

Pendant que je me fais prendre comme l'esclave sexuelle que j'ai docilement appris à devenir avec le temps, je couine et je souris lorsque je l'entends continuer de me rabaisser sans aucune pitié. "Esclave sexuelle", "trainée", "pute", "salope", "chienne", je retrouve avec lui toute la liste de mots habituels que j'avais l'habitude d'être gratifiée, y compris encore aujourd'hui. Mais en me faisant humilier à la hauteur de mes attentes, comme à l'époque. C'était tellement bon d'être autant rabaissée, que j'en arrivais presque à jouir. Mais je voulais encore attendre un peu. Je voulais surtout jouir au moment où je toucherais complétement le fond. Si possible ce fameux moment où il serait en train de me souiller encore une fois.

- Oh c'est parfait! C'est tellement merveilleux! Avec toi je suis enfin libérée! Merci!

Tout en remerciant mon violeur de m'insulter de manière dégradante et de continuer de me prendre comme une "chienne", je me mets couiner aussi fortement que je peux. A chaque fois que sa belle queue vient lourdement s'enfoncer dans mon pauvre petit derrière. Et pendant que je suis en train de commencer à tirer la langue et à lever les yeux en l'air tellement son traitement me rendait folle, mon violeur m'ordonne de le supplier de recevoir sa semence. Je ne perds donc pas une seconde pour lui obéir encore, alors que la caméra de son téléphone continue toujours de nous filmer.

- Oh oui! Oui! Je veux ton sperme! Viens me remplir encore une fois avec ta semence, mon bel étalon viril! Remplis-moi les fesses comme une catin! Vas-y! Souille-moi s'il te plait! Souille-moi et maltraite-moi jusqu'au bout! Je t'en prie!

Dans mes supplication obscènes et dégradantes de vouloir le voir absolument terminer de me violer en beauté, je tire la langue pendant que mon beau mâle viril vient me prendre encore plus violemment. Je ressens sa queue qui me laboure l'intérieur avec rare sauvagerie et je ressens les puissants claquement qui viennent coquinement me cogner les fesses. C'était douloureux car il y allait particulièrement fort! Mais c'était tellement bon en même temps! Pour moi, c'était ça être une vraie esclave sexuelle. J'étais le jouet qui appartenait aux hommes les plus odieux! Une pauvre femme doublée d'une lâcheté affligeante, qui n'a pas honte de mettre de côté sa dignité pour se mettre sexuellement au service des plus forts avec plaisir.

- Oh! Ooooh! Ah!

Ses derniers coups de reins sont si violents, que je ne peux plus rien faire d'autre que de soupirer de façon étouffée. Je couine malgré tout avec autant d'ardeur, que je reçois avec violence son bel engin tout au fond de mes fesses. J'étais rouge. Mon corps était brûlant et je ressentais avec délice ses doigts qui pénétraient ma chatte, elle-même précédemment souillée par ses fluides de mâle dominant. Mais surtout plus rien ne semblait maintenant avoir d'importance entre nous deux, que de le savoir arriver à ses fins. A se décharger et à se soulager de moi et de mon pauvre corps éternellement au services des hommes de son genre. Et lorsqu'il est prêt à jouir et que mon clitoris semble lui aussi être sur le point de céder comme le sont mes tétons sous l'agression continuelle, j'entends un délicieux bruit visqueux. Un bruit annonciateur de sa nouvelle jouissance, qui s'entremêle avec mes propres fluides et celle sa semence qui continuent à couler de l'autre côté, depuis cette position qui met en valeur toute ma soumission face à sa domination.

Il n'en faut alors pas d'avantage, pour que ce pervers monstrueux arrive enfin à ses fins à force de me sodomiser virilement et continuellement. Pendant qu'il se contracte, il vient m'engorger l'intérieur de mes fesses qui est probablement au moins aussi dilaté que l'épaisseur de sa propre verge. Je l'encourage évidemment encore une fois, histoire de lui donner les meilleurs sensations possibles, pendant qu'il jouit et termine de m'humilier.

- Oh oui! Vas-y remplis-moi! Remplis-moi comme truie! Oh mon Dieu je sens ta semence! Oh mon Dieu!...

Comme en état d'extase et de choc en même temps, j'entends plusieurs fois d'autres clapotements pendant qu'il me remplit par de puissants jets chauds et gras. Avec la jambe bien relevée, je reste ainsi entièrement immobile durant toute la durée où il se termine en moi. Les yeux écartés, la bouche grande ouverte, je respire bruyamment tout en regardant son téléphone avec mon air le plus soumis. Avec presque la même expression que celle d'un animal en détresse. Toute cette situation qui perce à jour ma servilité, suffit enfin à me faire jouir aussi. J'ai alors seulement continué de couiner d'extase, à chaque fois que le garçon venait se contracter en moi.

Alors que mon bas-ventre me tiraille à cause de la sodomie brutale et de ses fluides que je viens tout juste de recevoir encore, il se retire de de mes fesses dans un nouveau clapotement visqueux. Mon violeur qui en avait probablement terminé avec moi, s'allonge à côté tout complimentant mes performances. Encore dans un état second, mon corps et mes lèvres tremblent d'un plaisir à la fois malsain et silencieux, tandis que je ressens sa semence qui commence déjà à ressortir en masse abondante de mon derrière. Epuisée d'avoir été si violemment prise, je le vois se relever. Il me tapote la tête avec satisfaction, tout en me collant sa verge contre mon visage qui avait déjà rapetissé. D'abord surprise de le voir attraper mes deux queues kistunes, je gémis et je glousse une dernière fois, lorsqu'il vient claquer mes fesses noyées dans sa semence.

- Hihi! Merci! Merci beaucoup de m'avoir violé!

Encore enivrée par ce qui représente pour moi le vrai bonheur, le garçon qui m'a plus que prise pour son esclave sexuelle se rhabille et il récupère ses affaires. Il me laisse alors là tout en se moquant de mon sort une dernière fois. Je suis malgré moi parcourue d'un frisson de plaisir, mais aussi de crainte, lorsque je l'entends me dire qu'il pourrait revenir. Le corps déjà lourd, prise par des douleurs qui vont certainement s'accentuer d'ici peu, je le vois sortir de la pièce et j'entends la porte de la boutique claquer.

Quelques instants après, comme si je venais d'être piétinée par un éléphant, je me redresse avec difficulté et je pars venir constater l'ampleur des dégâts, à travers un miroir qui se trouve dans la pièce. J'étais visiblement rouge. J'avais déjà des bleus et j'étais plus ou moins tuméfiée à certains endroits. Quant à mon vagin et à mon entre-jambe qui laissait très visiblement transparaître toute l'étendue de son passage odieux, j'avais subitement l'air de la femme qui s'était faite sauvagement agressée et violée. J'avais aussi comme l'air d'être épuisée et anéantie. J'affichais visiblement dans le miroir, celle que j'étais réellement dans l'âme. J'avais retrouvé l'image que l'on m'avait si souvent donnée, lorsque je me faisais presque chaque jour humilier dans tous les sens du terme, par cette famille sordide quand je vivais encore tout récemment sur ma planète. Mais maintenant que l'acte sexuel était terminé, je commençais déjà à ressentir le douloureux poids du contre-coup. Je me disais que je vivais encore aujourd'hui pour pouvoir ressembler tristement à ça. A cette chose misérable et décadente. A une simple chose sexuelle hors de toute pensée et de toute conscience. Et dans tout ça, je n'avais même pas pensé une seule fois à mes enfants. Et quand bien même, je n'aurai certainement rien fais pour essayer de l'arrêter. De m'arrêter tout simplement de passer pour une... prostituée masochiste.

Prise d'un dégoût qui ressurgit habituellement une fois ce genre d'actes barbares terminé, je me mets à sangloter. Je suis vraiment une mère indigne et je ne vaux pas mieux que mon propre violeur.


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