A genoux devant sa tortionnaire, ses yeux jaunes luisant dans l’obscurité, Geralt la jauge, la gratife de toute sa haine, de tout son désir brutal. Entre ses cuisses, son gros sexe bande toujours aussi fièrement vers le plafond, comme pour défier davantage Hyrnea. Sa revanche, il l’aura, il en est certain. Sa dernière tentative a échoué, mais son mouvement brusque lui a révélé une certaine fragilité de l’attache de la chaîne qui retient son bras droit. Il lui suffit de patienter encore quelques instants, afin de rassembler ses forces. Il accueille l’hilarité d’Hyrnea d’un regard furieux. Une
punition. Cela ne présage rien de bon et il le sait. Sa geôlière n’est pas une inoffensive petite femelle et il a pu constater la violence, voire la cruauté dont elle est capable d’user, si bien qu’il serre les dents, les yeux mi-clos. A quoi s’attendre à présent ? Au fouet ? Il tique lorsqu’elle s’éloigne, hors de sa portée. Givrée. Elle a l’air complètement
givrée, cette elfette.
“Qu’est-ce que tu racontes encore comme conneries…”
Le coup de pied le force à se redresser, la pierre nue écorche la peau de son dos, les sourcils froncés, avant d’écarquiller les yeux en comprenant ce qui est sur le point de survenir. “Tu… Non.” La salope. Il s’attendait à tout, sauf à ça, à ce jet dru, tiède et sale qui asperge son corps meurtri. Il rugit de rage en se débattant, manquant cette fois d’arracher ses chaînes, bien qu’Hyrnea soit trop occupée pour s’en rendre compte. Bouillonnant de rage et de honte, il crache sur le sol, secoue ses cheveux souillés. “
Tu vas me payer ça, chienne.” La punition… Comment ça, la punition. C’était pas la
pisse ? Elle presse sur ses omoplates, le force à se pencher en avant. L’odeur forte, entêtante de l’urine le fait tourner de l'œil. Ouais ça, il ne s'y attendait pas vraiment. Il s’efforce de se redresser, mais l’urine s'infiltre entre ses lèvres, dans son nez… Il crache de nouveau, de dépit. S’efforçant de reprendre ses esprits, il déglutit. Il ne peut pas la voir bien sûr, mais grâce à ses sens aiguisés de sorceleur, il sait exactement où elle se trouve. Il ne peut néanmoins pas l’empêcher de tirer sur ses chaînes, le forçant à se redresser de nouveau pour ne pas s’étrangler. Il sursaute, trépigne de douleur et de rage lorsque le dessus du pied de l’infâme elfette. Lentement, sûrement, il fait jouer son biceps droit, pour tirer sur le mousqueton fixé au mur. Ouais… Ca bouge, un peu.
“Arrrrgh !”
Une douleur terrible, fulgurante le cloue sur place, et il hoquète de honte et de surprise alors qu’Hyrnea envahit brusquement son anus avec un sexe factice. Perdant l’équilibre, il se débat, grogne, mais ne parvient qu’à trébucher une nouvelle fois. Ses entrailles le brûlent et le sorceleur croit n’avoir jamais ressenti une telle douleur, sans compter l’humiliation, humiliation qui s'accroît lorsque son anus meurtri se dilate.
Vaincu, du moins en apparence, le puissant guerrier se laisse malmener, les yeux mi-clos, les dents serrées, s’efforçant d’ignorer la chaleur naissante du creux de ses reins. Une chaleur sournoise, qui gagne du terrain sur les douloureux élancements qui le tiraillent. Non. Les yeux baissés sur son chibre, Geralt constate qu’il enfle de nouveau, alors que la chaleur s’intensifie. Une coulée de foutre tiède s’échappe de son gland, coule jusque sur ses couilles. Le souffle court, Geralt bande ses muscles. Il pourrait jouir, ainsi. Mais si la tentation de la délivrance est grande, l’idée d’offrir ce spectacle à cette infâme petite ordure le répugne.
“Tu peux crever, chienne. Jamais je… Merde, merdee…”
Un grognement rauque envahit les geôles alors que Geralt mobilise tous les muscles de son épaule et de son bras pour arracher le mousqueton du mur de la cave… Mais que sa main retombe sans force, alors que son corps s’arque vers l’arrière. Sa Prostate. Et Geralt jouit. Son gros chibre s’agite stupidement, expulsant de longues giclées de foutre brûlant vers l’avant, alors que son corps musculeux est agité de violents soubresauts. “
Haaa…” Sa queue suinte encore de longue seconde, alors que son anus se crispe autour de l’engin de torture, mais finalement, Geralt finit par s’écrouler littéralement sur le sol souillé de la petite pièce, brisé.
Du moins, en apparence… Lorsqu’Hyrnea se retire de son cul défloré et qu’elle le pousse de son pied, pendant de longues secondes, visiblement satisfaite de son œuvre - elle reviendra le faire juter régulièrement, dit-elle -, elle le pense inconscient, si bien qu’elle s’agenouille pour libérer un à un chacun de ses membres, avant de s’éloigner d’un pas tranquille, le tintement de ses clés accompagnant le bruit de ses bottes sur la pierre. Jusqu’à ce que la grosse main du sorceleur ne se referme sur sa cheville, avant de tirer, d’un coup sec, brutal. Surprise, l’elfette est déséquilibrée, et chute lourdement au sol. Sans lui laisser le temps d’appeler à l’aide, Geralt use de toute sa volonté pour se hisser au-dessus d’elle et, d’un violent revers de main, l'assomme sans hésiter. La tête de la jeune femme roule sur le côté, le nez et la lèvre en sang.
“Pu-tain.”
Ouais, il a envie de l’étrangler à mains nues, maintenant. Mais pas maintenant. Pour le moment, il a d’autres désirs à assouvir.
***
Lorsqu’elle reprend ses esprits, c’est parce qu’un jet d’urine odorant s’écrase sur sa jolie petite gueule. Si elle ouvre les yeux, elle peut les lever vers l’homme musculeux qu’elle tenait encore en laisse il y a moins d’une heure, qui semble avoir retrouvé toute sa superbe - et pour cause, il a ingéré une fiole de potion revigorante fabriquée par ses soins et dissimulée dans le revers de son pantalon. Nu, et visiblement satisfait de la situation, il l’inonde à son tour de sa pisse chaude, tenant sa grosse queue bandée d’une main.
"Réveille-toi, sale petite chienne.”
Hyrnea est à genoux, contre le mur du fond. Le sorceleur n’a pas jugé nécessaire de l’entraver plus que de nécessaire. Seules deux chaînes la retiennent. La première est accrochée au collier en fer autour de son cou, l’autre lui retient seulement une cheville. Vulnérable, à sa merci… Exactement là où il la voulait. “Avale”, insiste-il, en dirigeant le jet vers ses lèvres meurtries, avant qu’il ne se tarisse.
“Si tu n’avales pas, je te prendrais le cul à sec”, promet-il, un mauvais sourire s'épanouissant sur son visage blême.