Allons patron! Ressers donc une bierre! (PV)

Une rousse à l'énergie débordante se donnait en spectacle sur une table.

"Hissez la grand voile! Nous allons lui montrer à ce kraken qui nous sommes! Ce sont des noeuds ça vous croyez fils de pucelles?!"

Elle criait et fendait l'air d'une épée en bois, sous les rires des clients de l'auberge du coucher de lune, sobres ou îvres. Ses joues étaient rosies par la chaleur et l'enthousiasme qu'elle mettait à la tâche, et ne pouvait s'empêcher de rire en repensant à ce pauvre John Smith qui avait fait les frais de sa beuverie.
En effet. Sur son dos, elle portait sa chemise à col large, mais comme elle était fendue sur le devant, en dessous elle avait passé un foulard, rouge, pour tenir et cacher sa poitrine. Par dessus, elle portait le gilet en cuir du corsaire, sa ceinture, son pantalon de toile trop large pour elle, ainsi que ses bottes qui lui faisaient des pieds bien trop grands pour une si petite femme. Elle avait noué une partie de ses cheveux en un chignon, qui tenait à l'aide de deux baguettes en bois, et accroché le tricorne à la ceinture, pour ne pas l'égarer. Il y avait maintenant un peu plus d'une semaine que la petite voleuse avait sévi. Bien sûr, elle n'avait pas mit les affaires de John telles qu'elle sur ses épaules, non. Elle les avait lavé, ciré pour les bottes, et maintenant le tout reluisait ou bien sentait le frais et le propre. Comme Alana. Sauf qu'elle, elle sentait surtout la vanille des îles.
Son retour au temple était passé inaperçut, tout comme le bref moment qu'elle avait passé avec le corsaire. Quand ses soeurs étaient revenues, elles lui apprirent qu'elles avaient eu l'autorisation de refermer les plaies de la prêtresse, la supérieure la souhaitant vite de retour aux fourneaux. A dire vrai, les offrandes d'Alana étaient si riches et répétées qu'elles masquaient la pauvreté et la rareté des offrandes de la plupart de ses autres soeurs. En plus, la petite rouquine avait un talent inné pour la cuisine et ses plats manquaient à la supérieure. C'est donc armées de magies qu'elles refermèrent ses plaies et firent cicatriser son dos, masquant toutes les horribles marques, reconstituant la chair et rendant à son tatouage son éclat originel. Alana en avait fermé les yeux de soulagement, et avait décidé de faire comme tout le monde, c'est à dire comme si rien de tout cela ne s'était passé. C'est donc comme ça qu'elle s'aventurait bien moins sur la terre, mais multipliait les apparitions à la ville état de Nexus. Et ce jour là, elle avait décidé d'ammuser la galerie en racontant des histoires de pirate avec les affaires qu'elle avait emprunté à John.

Sautant habilement de table en table, manquant souvent de tomber à cause de ses chaussures trop grandes qu'elle perdait, mais toujours rattrapée par quelque membre hilare de son auditoire, le feu-follet, comme on la surnommait, était une oratrice captivante et surtout... Comique.

"Prend ça couard! Je te ferai regretter le jour où tu es sorti des hanches ensanglantées de ta catin de mère!!"

Et zvou... La voilà partie dans une pseudo danse des épées. Quelque chose d'artistique, sans aucune valeur guerrière. Juste de quoi distraire agréablement les foules. Elle allait, venait, sautait, en haut, à gauche, à droite, en bas... On aurait dit qu'elle était partout. A peine le rouge de ses cheveux avait-il était vu à l'autre bout de la pièce qu'elle était déjà derrière soit.
Elle divertissant tant et tant son petit monde, qu'il en oubliait de boire. Voyant cela, elle leva son épée en bois et hurla

"Allez patron! Ressers donc une bierre!"

Suivit d'un "OUAIIIIS!" lancé par tous les clients de la taverne.

J'avais dormi plus que de raison, je ne comprennais pas je me reveillais avec la maré montante qui me lechait les pieds, mais je me pellais le cul dans le sens strict. Et comble du comble, j'avais mal au crane et j'étais a poil.... Seul? Attends une minute, y a un truc qui n'est pas logique, pourquoi diable je devais me reveiller seul? Normalement on est sencé etre deux dans ce genre de conneries! Enfin bon, je ferais outre...
Mes fringues? Heu... WTF? elles sont où? Non mais c'est pas vrai, niqué par le plus vieux piege du monde et par une fillette en plus putain de pute borgne j'allais la trouver cette grace et lui emplumer le cul pire qu'un paon (<3) et apres je la farcirais a l'ancienne jusqu'a l'en éventrer tellement je lui aurait brisé ses hanches a cette pute malbaisé! Je tirais bien violemment sur les chaines de la porte dérobé pour me refugier a l'abris, putain de merde j'avais en plus choppé un rhume dans l'histoire... Derniere fois que je me laisse endormir par un petit sourire de bonne femme, la prochaine fois c'est moi qui la fout a poil et qui lui montre a quoi peut servir ce qui a devant des fesses pleines de sable! Pourriture, elle serait une vraie pirate si je l'avais enrolé dans mon équipage...
Mais bon, la question est qu'est ce que je fou ici, bah simple, je cherchais a me remttre des trucs sur le dos je voulais pas me trimbaler a poil dans la cambrousse. J'avais cependant peur que les caissons etanches ou on entreposait les "peau de dragon" ne soit pas si étanche que ca. Mais bon, vue que ces vetements étaient réputé indestructible, il ne devaient pas rétrecir au lavage.
Bref, je me trouvais quand meme une belle petite paire de botte en cuir monté d'acier, une chemisse en "peau de dragon" et un pantalon de la meme étoffe, mais je dois avouer que la couleur rouge criarde de la chemise et noire éclatante du pantalon ainsi que le foulard blanc qui servait de ceinture me donnait plus un air de flibustier que de capitaine de navire et plus encore de chef de nation, je n'étais pas du genre a crier tout haut que les iles éparpillés un peu partout sur l'océan étaient sous ma baniere, mais je dois avouer que si personne ne me reconnait, c'est un peu triste....

Je mis un petit bout de temps a écouler mes rapines, je sais bien que les receleurs sont rares, mais les competants sont encore plus rare et ceux qui n'essayent pas en plus de vous embobiner on un nom entourer d'orange, ils sont légendaire quoi... Mais j'ai réussi a en trouver un et je lui ai fait cracher tout l'argent qu'il avait en échange de mes breloques. Sur moi je n'avais gardé que mon habit de flibustier et une anneau dont la pierre brillait d'une flamme interrieure. Une pierre a la flamme bleu. C'était pour cette chere Alana.

J'usais de l'or pour pouvoir faire parler les mandiants sur une femme qui porterait mes habits, j'en étais presque certain, pourquoi me faire une mauvaise farce si ce n'est pour se pavaner avec mes vetements comme trophets. Certains ne dirent rien, d'autres parlerent, beaucoup se contredisaient, mais un d'entre eux me donna une adresse. UNE TAVERNE! Mais je le crois pas, je vais passer ma vie entre plage, bordel et tavernes! Enfin, que voulez vous la nature est cruelle. J'entrais dans cette auberge dont les serveuses étaient souvent court-vêtu et je commandais une biere au bar avant d'entendre des cri étrangement familier. Je restais de dos, cachant ma presence a la jeune sorciere avant de pousser la table qui était derriere moi et devait lui servir de receptacle. Le contact fut rude et la pauvre eut un sourire contrit et une grimace de douleur. Je dégainais mon sabre d'abordage et placais la demi lame centrale devant son petit cou avec un sourire mauvais.

Tu sais que tu te balades avec presque la moitié d'une année de rapine sur le cul?

J'vais t'apprendre a jouer les pirates, tu vas comprendre ta douleur petite racaille. Je regardais l'assembler avant de leur crier:

Mon  mousse a encore fait des siennes et but un peu trop, je vous l'emprunte et vous la rendrais apres sa petite correction... Elle aura de grande chance d'etre nue, ca rajoutera du spectacle messiers

Sur ceci, je la pris par le col en tirant sans mal sa petite carcasse alors qu'elle griffait le sol pour rester avec tout le monde en beuglant comme un veau. Mais rien n'y fit, pour tout le monde, j'allais corriger une jeune mousse, assez sexy, et lui apprendre a pas boire et dire trop de bétise, j'étais donc dans mon droit selon la majorité, sauf que c'était pas ma mousse.
Bref, nous arrivame (pres d'un village humain) dans la chambre libre et sans bruits glauque la plus proche avant qu'une pretresse n'aprenne a voler sans magie a l'interieur, tombant contre le lit. J'avais toujours ma lame a la main, afuté comme un rasoir, et je m'approchais d'elle menacant.

Pose ce pantalon et ces bottes, de suite. Je n'hésiterais pas a te trancher la gorge pour les récuperer, je me moque de la veste et de la chemise, tu peux les garder, mais le bas est a moi. Rend...les...moi.

Si elle était aussi futé qu'il y paraissait, elle verrait que mon regard n'était pas plus joueur que celui d'un chien affamé qui voir une jambe de facteur, si elle ne se dépechait pas de se défroquer, je le ferais moi meme et en plus elle aurait droit a un bonus que je lui donnerait aussi durement que possible. Petite catin!

[<3<3<3<3<3<3<3<3<3<3<3]

Certes, Alana s'attendait à voir John la retrouver. Si ça n'était pas pour réccupérer ses vêtements, ça serait forcément pour lui donner une leçon dont elle serait censée se souvenir. Sauf que... Même avec tous les efforts du monde, un humain ne pourrait rien contre elle. Un mot et pouf! Elle aurait disparu! C'était donc ce qu'elle envisageait de faire, donnant du piquant à son spectacle, si jamais il montrait sa si belle frimousse pendant le show. Ce qui n'arrivait pas depuis qu'elle prenait le loisir de se produire dans cette taverne, toujours avec les vêtements du pirates, toujours lavés entre chaque numéro pour qu'il les réccupère au plus prore quand il viendrait les chercher.
Cela dit, même en s'attendant à leurs retrouvailles, elle ne s'imaginait certes pas que ça serait si... Douloureux!

Cela faisait plus de vingt minutes que la rouquine jouait à la marelle avec les tables. Elle les avait toutes testées, et savait qu'elles tenaient très bien le coup. Raison pour laquelle elle ne put réprimer un cri de surprise lorsque l'une d'entre elle se déroba sous elle, la faisant tomber sur ses fesses et manquant de se faire écraser par la dite table en chêne massif. Mais hop, un petit tour et le tour était joué, tournicotti tournicotton...

Une lame placée sous sa gorge la fit lever les yeux, qui rencontrèrent ceux glacials de John. Elle trouva le moyen de lui sourire et malgré son arme (elle s'en fichait, elle ne pouvait pas mourir), elle allait engager la conversation, quand il se chargea de le faire à sa place:

"Bonjour capitaine! Comment vous portez-vous par une si radieuse journée? Une année vraiment? J'aurai dit moins!"

Son index écartait subrepticement la lame de son cou, avec maintes précautions pour ne pas finir haché quand elle eut un geste d'humeur, envoyant valser le pauvre bout de métal d'un revers.

"Je t'en ficherai de l'ivrogne moi! Qui est-ce qui était tellement bourré l'autre soir qu'il a même pas pu rester lucide pour honorer une bonne femme, et qui s'est fait pelotter à son insu hein?!"

Aïe... Maudite humeur... La prêtresse venait de se vendre lamentablement... Mais vive, elle trouva vite une parade. S'il avait remarqué ce qu'elle avait dit, elle lui dirait que ça n'était dit que dans le but de l'embêter et non la vérité. Ca passerait nikel. Mine de rien, elle ne voulait pas savoir si ça passerait ou pas... Il avait l'air nettement moins coulant que le premier coup. Ne voulant pas tâter de son épée, pendant qu'il déblatérait et ammusait la galerie, elle aurait peut-être l'occasion de prendre la poudre d'escampette... Se mettant vite à quatre pattes, elle tenta d'aller se cacher sous une table mais... Loin d'être assez rapide, elle se sentit agrippée par la cheville, avant d'être traînée hors de sa cachette sans ménagements. Encore beau gosse. Il ne lâcherait pas l'affaire...

"Oops Messire..."

Mais il n'en eu que faire puisqu'il la saisit juste après au col pour la traîner Dieu seul savait où. Il l'avait bien agripée le bougre! Saisit ainsi, impossible d'ôter la chemise pour qu'elle reste dans sa main et de se mettre à courir! Alana se mit à le griffer et à tirer sur la main de John en hurlant comme une enfant.

"NON JE VEUX PAAAAAAAAAAAAAAS!! JE VEUX PAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAS!!!!"

Elle se redressa et lui mordit la main, pas trop fort mais un peu quand même, mais il refusa de la lâcher. Enfin... Disons qu'après l'avoir mordu, et la voyant griffer le parquet, il la saisit au mollet. Comme le pantalon était trop grand, il obligeait Alana à le tenir afin que tout le monde ne voit pas ce qu'il y avait en dessous (un boxer). Malin le pirate... Bougre...

"Aaaaaaaaaaaaaaaaaah! Aïeuh..."

Fit Alana, pour son baptême de l'air, alors que John l'avait lancée à travers la pièce. Elle avait aterri durement, les fesses sur le sol et le dos ayant tapé contre le lit. C'était douloureux!

"Hey molo fillo! Je suis pas un sac de pommes de terre nom d'une méduse à écailles!!"

Et v'la 'tit pas qu'il la menaçait d'un couteau à jambonneau maintenant... Comme c'était viril de s'en prendre à une dame sans arme! Bref.

"Vous êtes moins charmant que la dernière fois. En vous voyant boire, j'aurai cru que vous auriez un peu plus le sens de l'humour. Mais bon... A coire qu'on ne peut pas tout avoir."

Le fixant d'un air impassible, elle se leva, ôta le gilet, la ceinture, sans rien de lacif plutôt avec colère, puis les bottes qu'elle chercha à envoyer dans la tête de John, les lançant avec son pied, avant de finir par faire tomber le pantalon de toile et la chemise, roulant le tout en boule et les lançant rageusement dans la tronche du pirate. Cela fait, elle croisa les bras et le toisa d'un oeil sarcastique.

"J'espère que vous aimez la vanille Mr Smith..."

Dit-elle avec simplicité. Car oui, en réccupérant ses fringues, le jeune homme arborerait le même parfum qu'une femme. C'est donc avec un sourire mesquin qu'Alana se retint de lui conseiller de prendre garde à son derrière...

Alors, pour ce qui est des petites sarcastiques et autres tripoteuses dans le genre, je suis un homme avec beaucoup d'humour, tant qu'on touche pas a mon argent tout du moins. Je n'avais strictement rien contre cette flibustierre de terre, mais je dois avouer qu'un pantalon qui vaut presque la moitier du palais royal en valeur marchande me genait un peu de se volatiliser dans la nature. Je ne voulais pas non plus qu'elle le prenne trop mal, j'étais certes pas content de son coup de pute, mais je devais reconnaitre qu'elle avait assuré sur le coup et se défendait pas trop mal pour ce qui est de mentir. Non, je n'avais pas du tout envie de lui trancher la gorge. Et au passage petite teigne, si tu savais ce que j'en ai a branler que tu sois armée ou pas, tu peux lancer des lazers avec tes yeux, enfiler des colants bleus et avoir l'air tres conne en levant la main pour voler alors laisse mon couteau a jambonneau et sa rime tout crado tranquille! Non mais, c'est qui le Don ici?

J'ai pas l'habitude de me faire palper la queue pendant mon sommeil tu sais, c'est plus amusant quand je peux encore participer a ce jeu. Tu t'es bien amusé avec j'espere.

Mine de rien, Alana goutait a l'acidité de mon humour, j'avais sans aucune honte fait choir sa petite carcasse, fracassé son fessier, sans penetration en prime, avec violence et acharnement et en plus je l'avais mise nue sans aucun probleme. Vraiment, on comprend le terme sexe faible avec elle. Je jouais sur les mots et en plus je prennais un malin plaisir a l'asticoticoter avec des piques aussi acides que sanglantes. Quand elle me lanca les affaires en plein visage, tout tomba mollement au sol et je souriais.

J'aime bien la vanille, mais je prefere tout de meme la sentir sur une femme, tiens, disons que je n'ai pas besoin de ca et que tu risques d'attraper froid. A moins que tu veuilles que je te satisfasse maintenant que tu m'as bien lubrifié avec amour et alcool Alana?

Je n'étais pas vraiment serieux, mais je lui avais envoyé la chemise blanche et la ceinture, au moins qu'elle ait quelque chose a se mettre, parce que franchement, pour ce qu'elle m'avait fait, soit me pallucher, me plumer et me souler, elle méritait pas un gang bang avec une cinquantaine de bites en attente de pouvoir sentir une amare bien serré autour d'elles. Et encore moins que son cul soit prit pour le phoque du bateau, elle m'avait fait un mauvais tour, mais c'était une belle passe de moussaillon prometteur.
Voyant qu'elle était toujours furax, je rangeais ma dague, au risque de me retrouvé avec des lazers sur le cul qui me graveraient "sexygay" de maniere indélibile, pour lui enfiler la chemise échancré qui, vue sa taille, tombait a mi cuisse. Une fois fait, je lui posais un baiser sur la joue tout en observant ses deux ans d'age mental me tourner le dos et Oo c'est magique son truc.

Dis moi petite mousse, t'avais pas des jolies zebrures sur ton tatouage ya pas une semaine? Je suis pas médecin, mais ca tient du miracle la. Et au fait. Tu ferais une bonne pirate, sans rancune?

En disant rancune, je pris les deux fesses de l'avatar d'Aphrodite dans mes mains et les relevais legerement, elle avait avoué m'avoir palluché, autant que je prenne ma part du butin. Et comme elle me tournait toujours le dos, je lui passais la ceinture de cuir, la serrant legerement trop pour la faire réagir avant de la nouer avec attention, je l'habillait de la meme facon qu'un mousse avait pour corvé de vétir son capitaine les jours de sorties, surtout quand le mousse était une femme et qu'elle avait un peu plus de 15 ans, la c'était le pied. Quoi? Je suis capitaine, j'ai mes privileges!. Je retirais mes bottes avant de les bourrer avec un bout de l'écharpe qui me servait de ceinture et de les poser a ses cotés, comme elle me tournait toujours le dos, je me servis de la veste de cuir comme balluchon pour y mettre le pantalon indestructible et le nouer correctement avant d'enfiler mes bottes favorites. Elle faisait toujours la gueule.

Alana, arrete de bouder, tu veux qu'on se prenne une autre cuite? Parce que tu sais moussaillon, je t'aime bien moi, tu m'as fait ce qu'aucun capitaine d'aucun de mes navire n'oserait faire, si j'avais pas porté ce pantalon la, je t'aurais pris dans mes bras et félicité... Allez, fais pas ta gamine, sinon je te fous une fessé déculotté que tu pourras raconter a ta maman et meme tes petits enfants. Allez on fait plus la tete on fait rizette

Quel con parfois ce mec, je vous jure que je ne le connais pas, je crois que je suis  schizo... Bref, pour la faire réagir, je lui mis un petit coup de pointe entre les femmes pour qu'elle me fasse au moins la vierge outré par mon comportement, qu'elle me balance les bottes a la gueule, mais qu'elle fasse autre chose que bouder quoi....

Des lazers qui sortent des yeux et des collants bleus? Quitte à avoir l'air débile, autant qu'Alana se ballade nue avec une plume de paon dans le cul (<3), plume qui répendrait de la poussière scintillante...
Que ça doit dit, quand elle l'avait prit, Alana ignorait complètement les capacités du pantalon du marin. Tout ce qu'elle voulait, c'était lui prendre ses frusques pour l'embêter. Il se serait agit d'un simple pantalon de toile, comme il en avait l'air, ça aurait été pareil pour elle.

"Je t'ai pas palpé la queue, visiblement t'as rien senti en plus, je t'ai palpé les fesses!"

Fit-elle avec humeur, avant de lui tirer la langue. Sexe faible hein? En attendant, qui l'avat manipulé pour qu'il boive jusqu'à être inconscient? Qui aurait pu le tuer pendant qu'il cuvait? Qui lui avait piqué ses fringues et avait ammusé la galerie à ses dépends pendant toute une semaine? Et enfin, qui faisait culpabiliser un capitaine redoutable simplement en boudant...? Sexe faible? Non. Sexe subtil aux moyens détournés, oui. Sexe qui ne bandait pas ses muscles et ne se la pétait pas dès qu'une partie de leur abdomen passait du stade "nutella" au stade "chocolat en morceaux".

"Tu ne saurais pas me satisfaire, oublie cette idée!"

Lança-t-elle avec humeur, se retournant et croisant les bras pour bouder. Elle se disait qu'ainsi, il prendrait les affaires qu'il avait réccupéré et s'en irait en la laissant seule dans cette taverne. Mais sans les vêtements du capitaine, son numéro n'avait plus aucune valeur. Bah, ça ne fait rien. Il y avait toujours de quoi s'occuper au temple.
Un voile blanc passa devant ses yeux. John lui remettait la chemise <3. Mais ça ne suffit pas. Alana boudait toujours, décroisant juste les bras pour passer correctement les manches. De ce fait, ça lui permi de ne pas répondre lorsqu'il parla de son dos.
Elle ne scilla pas lorsqu'il lui prit les fesses comme on prend un paquet, elle avait vu bien pire que ça, et continua de bouder, même si intérieurement, elle souriait.
Gardant les bras croisés, les yeux fermés et le nez en l'air (attitude typique d'une boudeuse), elle le laissa faire sa vie, changer de bottes, se rhabiller toussa², faisant celle qui n'en avait rien à faire.
Et oui, elle voulait se recuiter mais pas tout de suite; certes elle appréciait la compagnie du pirate (raison pour laquelle elle boudait plutôt que de prendre la fuite) et pour elle, un pantalon c'était un pantalon. Elle finit par se demander ce que pouvait avoir de spécial son bête bout de toile.
La prêtresse allait d'ailleurs poser la question au jeune homme, mais une sensation assez familière au niveau de ses fesses la surprise. Avec une ceinture aussi serrée sur sa taille, la chemise qui, seule, lui arrivait presque aux genoux, n'atteignait que tout juste la mi-cuisse. Le drap s'était un peu relevé d'avantage quand John avait voulu faire son malin, mais ça ne se passerait pas comme ça. Du moins, pas encore. Mimant, comme le pirate s'y attendait, la vierge éfarouchée, elle sursauta et se retourna, passant de la surprise à la pseudo colère. Quoique même factice, il fallait la voir...
Les joues rosies, un regard assassin dardé sur le pirate, elle le poussa fermement mais pas trop fort, juste assez pour le faire reculer de trois pas.

"Non mais pour qui tu te prends? D'abord tu arrives pendant que je fais mon numéro, tu te permets de m'interrompre, me traîne dans une chambre devant tout le monde, m'oblige à me dessaper pour ton seul plaisir, me rhabille alors qu'habituellement les hommes font le contraire et là enfin, tu chercherais presque à m'enfiler comme une catin!"

Tout au cours de son discour, elle avait crié comme une sauvage, l'avait poussé, encore et encore, jusqu'à l'acculer contre la porte, saisissant au passage l'arme du pirate avec vivacité et la lui mettant sous la gorge d'un air menaçant, son visage près du sien... Avant de complètement laisser tomber la pression et de se mettre à sourire, retournant au centre de la pièce en lançant son sabre à John.

"Tiens ton couteau à beurre."

Encore à le charier. Et ça serait toujours comme ça, toujours. Elle dessera un peu la ceinture pour laisser plus d'amplitude aux mouvements de la chemise et la faire tomber un peu plus bas, et remit les bottes que lui avait préparé John. A sa taille grace au petit morceau d'étoffe. Nikel chrome.
Enfin, elle reprit son chapeau pour le mettre sur sa tête. Il lui allait trop grand, mais ça lui était égal. Enfin... Elle tourna vivement la tête, le chapeau tournant plus encore se retrouva devant derrière.

"Qu'est-ce que t'as une grosse tête!"

Ah bah vi hein, fallait s'y attendre. Fallait voir le bon côté des choses! John avait ce qu'il voulait. Elle avait arrêté de bouder!

Heu, c'est mon fantasme de la foutre a poil avec une plume de paon dans le cul, mais bon, c'est un fantasme bourré, ne reproduisez pas ca chez vous, ca chatouille a mort et c'est assez chiant pour marcher apres... Mais bon, elle triche la, je suis pas d'accord, je vais faire une crise de ouin ouin parce qu'elle me pique mes idées.
Donc, ou en étions nous? Ha oui, j'avais pas envie que la petite pretresse pleure, ou boude, en fait j'aimais bien cette peste, elle avait un truc. Elle savait manier une langue aussi bien que je maniais une lame, c'est a dire avec une mortelle précision. Son venin était plus redoutable que celui d'une pute qu'on satisfait qu'a moitié ou a qui on refile des morpions, dans le cas numéro deux, faut vite aller voir un clerc qui nous fera la morale pendant une heure pour apres nous en débarasser. Non, la je commencais a vraiment l'avoir mauvaise parce que non seulement elle boudait comme un enfant de quatre ans, mais en plus de ca, la chemise lui moullait les fesse de maniere vraiment trop suggestive. Quoi, je suis un mec et un beau p'tit cul reste un beau p'tit cul, ya pas que les putes qui ont droit de se faire serrer quand meme, si?
Quand je lui ai mis un coup de pointe aux fesse, pour la faire réagir, je m'attendait a tout sauf a ca! Personnellement, j'ai jamais abordé une pute en lui collant un pied au cul, mais apparemment faut croire que c'est la nouvelle mode... Enfin bon, j'étais surtout surpris d'etre poussé par une furie qui cherchait presque a me tuer de sa verve, mais heureusement, aucun mot, aussi tranchant soit il ne peut tuer, sauf le mot de l'ombre: mort sur un critique non mortel dans les 10 secondes... J'étais, comme tout homme, du genre prudent avec une femme en pétard, surtout quand il n'y a pas motif. Je reculais donc, sans vraiment faire trop attention a ce qu'elle me disait, encore heureux sinon j'aurais rit aux éclats et vraiment enfilé comme une catin.
Bref, je restais un minimum serieux, surtout quand elle me menaca d'un rasage de tres pres avec un sourire presque cruel, j'en pouvais plus, elle était pas du tout crédible là! On pouvait lire au fond de son oeil qu'elle s'en tordait de rire. Quand la menace tomba comme un soufflet raté, je me mis a rire aux éclats avant de m'écarter de la porte pour récuperer le sabre planté dans cette derniere. Elle a vraiment un grain celle la!

Putain! Moi qui comprenais pas pourquoi les putes vennaient pas me voir quand je leur palpait la cuisse, en fait faut leur botter le cul! Je te dois une fiere chandelle moussaillon, sans toi j'aurais jamais compris qu'un coup de pointe entre les fesses motive les dames de joies. Donc, cette passe on la fait? Parce que t'avais l'air décidé a te faire dessaper dans ton discours!

Quoi, jalouse parce que tu as trouvé quelqu'un qui peut se foutre encore plus de ta gueule que toi de lui? Attends, j'ai pas encore sorti l'arme implacable, non pas le criquet infernal, LA PLUME DE PAON! Bon celle la elle a pas de poudre je sais pas quoi, mais je trouve que comme stylo ca en jette a mort! Bref, je repris aussi mon tricorne avant de lui marcher sur le pied, merde elle a la patte trop courte!

Parrait meme qu'elle est vide, un peu comme celle de ma jeune mousse qui se régale a passer pour une cruche a la taverne et met entre 10 et 20 tourné sur la note du capitaine. Tu crois que j'avais pas percuté? Non mais, je te file une bouteille de rhum et toi une addition salé, c'est de la triche! Pour la peine, je vais te considerer comme fille de joie... Alors avec 20 tournées ca fait dans les 500 pieces d'or... Je crois que je vais compter a l'heure et pas a la passe parce que sinon ca serait tres long ton temps d'écartement de cuisse.... Bah on va faire un compte rond, pour les 1000 heures a venir t'es a moi, j'veux pas d'objection ou tu prendra plus de 5000 décharge de foutre dans les fesses. C'est le ration or/tir dans les bordels de haute classe. Tu voudrais peut etre le tarif pour les putes_esclaves, la je crois que je serais mort avant d'avoir put récuperer mon du en jambe en l'air....

Bien sur, je ne la forcerais pas a rester pendant 1001 heures avec moi, mais je voulais qu'elle fasse un peu la part des choses quoi, j'étais peut etre pas des plus pauvres, mais j'ai pas le coeur sur la main non plus! Je tue, je pille et je saccage, je suis pas Casimir le copain pédophile des enfants non plus. Quoi que se taper ses moussettes de 14 ans entre dans le travail de Casimir... Oui bon, je suis pas orange et j'ai pas une voix de merde.

Bon, si on sortait de cette chambre, a moins que tu veuille simuler pour que tout le monde puisse savoir que le capitaine punni bien sa petite mousse récalcitrante!

Et devant sa mine j'éclatais de rire, elle ne pensait quand meme pas que je voulais la baiser, si j'avais voulu, j'aurais profité de sa crise de boudage intensif pour prendre ce que je voulais sans aucun scrupule. Pretresse d'aphrodite ou pas, elle était pas Dunkan Mcleod, quoi que, je lui aurais coupé la tete pareil pour etre sur qu'elle ne revienne pas me hanter avec une tete pas coupé en entier... Brrr les liches quantiques ca fait flipper!

Ahahah! John voulait des leçons sur l'amour! Il allaient en avoir une.

"Tu attires bien plus une femme, surtout quand elle fait le métier de catin, en lui collant un coup de pied au cul qu'en lui caressant la cuisse, comme n'importe quel pekno..."

Sous entendu qu'il en était un aussi? Peut-être...

"... qui passe. De plus, quand tu lui mets un coup de pied au cul, ça l'énerve. Et quand elle est énervée, elle te saute dessus. Et comme t'as une belle gueule, toute la frustration et  l'énervement causé par ton coup de lame se mute en frustration sexuelle et limite, c'est elle qui te pairait pour que tu couches avec elle. CQFD, un coup de pied peut lever une prostituée plus facilement qu'une caresse. Des questions?"

Elle le toisa d'un air supérieur, un sourcil arqué, faisant mine d'observer ses ongles, adoptant l'expression de celle qui vient de lui faire comprendre qu'en fait, il pensait rire d'elle alors que finalement, c'est lui qui passait pour un con. Mais uiiiiiii moi aussi je t'aime John <3!
Elle arrêta ses supositions sur sa demande de passe d'un geste.

"J'ai dit qu'habituellement, les hommes deshabillaient les femmes plutôt que de les vêtir. Mais nous savons pertinemment toi et moi que tu ne fais rien comme tout le monde."

Deuxième "et toc dans tes dents!" pour le capitaine! 2-O! Youhou! Le capitaine ne sembla pas apprécier, être mauvais joueur c'est vilain! car il lui marcha sur le pied. Heureusement pour lui, il n'écrasa que le tissus. Mais Alana devait avouer qu'elle se posait la question de savoir pourquoi est-ce qu'il avait voulu lui marcher sur le pied comme ça? S'il ne supportait pas d'avoir tort, il était inutile pour lui de chercher la compagnie de la prêtresse, car il serait bien plus enclin à la colère qu'autre chose... Ou alors, continuellement bourré et dans ce cas, c'est ALana qui ne resterait pas. Le rhum, ça va bien une fois de temps en temps. Point trop n'en fallait.

Et en parlant de chercher la compagnie l'un de l'autre, John se tappait méchamment sur le bide. Et Alana ne se gênerait pas pour le lui faire comprendre.

"D'abord, je ne passe pas mes journées dans les tavernes donc tu peux plus compter 5 tournées que 10 ou 20. Ensuite, 1000 heures! Ca ne va pas ou quoi? Tu crois que je n'ai que ça à faire? Ca m'obligerait à te suivre partout, être non stop avec toi le mois entier qui arrive et mêmes quelques jours de plus! Tu veux perdre la raison capitaine? Si c'est le cas, je peux t'y aider d'une autre façon. En plus, non stop c'pas possible. Comprend moi bien, tu es très mignon et tout. Mais j'ai des responsabilités et des obligations qui sont un peu plus importantes que ta belle frimousse ou ton petit cul. Donc au mieux, je peux t'accorder quelques soirs, voire quelques moments dans la journée, dans la semaine. Quant aux parties de jambe en l'air comme tu dis, ne me fais pas rire. Le jour où tu auras l'envie ET l'audace de me troncher comme ça est loin d'être venu. Et oui, maintenant on sort, je n'ai rien à simuler."

Et cela dit, elle adressa au capitaine un sourire narcois, réccupéra son épée en bois et le poussa,pour sortir de la chambre et regagner la taverne. En la voyant en haut de l'escalier, les cheveux ébouriffés et à moitié nue, les saoulards levèrent leur verre en criant. Alana eut un éclat de rire.

"Allons Patron...?"

"RESSERS DONC UNE BIERRE!!"

Hurlèrent tous les clients en choeur, pendant que la prêtresse se baissait pour saluer son public. Mais juste un peu. ELle avait toujours la chemise très courte du capitaine qui était derrière et ne voulait pas lui offrir un balcon avec vue.
Cela fait, elle descendit les marches de bois comme une reine, fut acclamée, portée en triomphe, issée sur une table où elle salua son public et en prit congé, puis sortit dans la rue d'un pas léger, se demandant où avait bien pu passer John...

Oh mais c'est qu'on ironise maintenant! Bah ma foi, si ca lui faisait plaisir d'encherir une crétinité sur une autre, libre a elle, la rouquine pensait me faire passer pour un con, mais je ne trouvais pas vraiment, puisqu'apres tout, je ne faisais que l'asticoter et elle répondait en surenchérissant, non, je ne me trouvais pas con dans l'histoire. Bien au contraire, ca me faisait marrer de voir ce genre de démonstration, c'était vrai que j'avais une belle gueule, mais de la a transformer une femme completement histérique en bete de sexe avide de ma personne, on va pas trop pousser non plus. Non, je me formalisais pas, je ne relevais meme pas la pseudo insulte de la pretresse, apres tout, j'étais pour ainsi dire avec une inconnue, je savais d'elle qu'elle chantait bien, qu'elle était plus sexy que toutes les femmes que j'ai déja rencontré, qu'elle a une sainte horreur d'avoir tort et qu'elle s'appelle Alana, bon, je vous l'accorde, comme butin c'est pourri.
Je passais mon couteau a beurre comme dit précédemment sous mes ongles pour les netoyer un peu des morceaux de peau que j'avais récupéré de la rouquine en la tirant hors de la salle principale de la taverne. Je ne me souciais pas de ses dires, je laissais couler ses insultes comme l'eau couple sous un pont. Mais j'ai tilté a un moment, je me suis passé en blocage neuronal (et va pas dire que j'ai pas de neurones je t'ai déja grillé) devant son mensonge. Comment ca j'oserais jamais me la taper, elle veut la preuve que j'suis pas si gentil que j'en ai l'air? Se vautrer, manger un lit, se faire insulter et limite égorger n'est pas une preuve suffisante que j'étais pas un bisounours? Bon, bah faut ajouter viol dans la liste pour qu'elle comprenne... Tant pis.
Je ne fais rien comme tout le monde? C'est sencé etre un coup bas? Parce que moi je prenais plus ca pour un compliment, j'aime etre marginal, ca donne un peu plus de liberté a ma vie et surtout a ma conscience, parce que franchement, etre monsieur ou madame toutlemonde, ca vous branche vous? Donc voila! J'en avais presque rien a faire de ce qu'elle prenait pour des piques parce que sur ce coup la, ma chere petite vipere au venin mortel avait tapé a coté deux fois de suite, ce qui voulait dire que pour une fois, elle était particulierement risible.
Un mois? Seulement? Si j'avais su j'aurais dit le triple, parce que franchement, j'ai rien contre elle, mais voila, la faire chier pendant trois mois durant m'aurait fort bien occupé et j'aurais put lui montrer si j'osais pas la toucher cette grenouille de bénitier version coquine! Enfin, c'est du passé, je n'avais pas l'intention de lui faire de mal, ni de la violer, du moins pour le moment, elle m'amusait grandement et je trouvais son esprit tres agréable a contredire, juste parce qu'elle ne s'écrasait pas, au contraire, plus on lui prend la tete et plus elle est présente. Elle mérite pas d'etre mousse, mais carrement Second de flotte! Alana si t'es viré de ton temple t'as une place chez moi, pas besoin de cv en plus j'prend a la gueule du client et a la qualité du passage sous la table, mais chut, lui dites pas elle serait capable de refuser pour ca

Ala me poussa pour pouvoir sortir et.... devinez? COMMANDER UNE TOURNÉE!!! Putain mais elle comprend rien a rien cette pucelle de mes deux! Je vais lui apprendre a rembourser ses detes a cette gourde.
Bon ok je m'emporte pour rien, elle est plutot sympas, meme si elle commande une trounée de bière elle me donne une sacré diversion. Je me glissais sournoisement au comptoir pour pouvoir faire le vide de la caisse et repartir avec un peu d'argent quand meme, avant de remonter a l'étage ni vu ni connu pour sortir par la fenetre. Oui je sais c'est chercher a se compliquer la vie, mais je voulais éviter les contacts humains pour ne pas me retrouver avec une main baladeuse dans une poche qui taterait mon méfait.
Une fois dehors, je rejoignais la gourde et lui lancais une piece a la figure.

Tiens moussailon, ta part du trésor que je viens de tirer, tu n'as pas compris ce que "ne pas commander sur la tete du capitaine" veut dire, mais au moins ils ont été suffisemment distrait par ton petit cul pour ne pas faire gaffe au gars qui vidait les caisses de la taverne. Bien joué! La prochaine fois, serre plus la ceinture, faut qu'on soit rivé sur toi non stop pour qu'on ne puisse pas remarquer que je suis la.

Non non, vous lisez bien, je l'embobinais dans mes combines, elle payerait ses dettes de cette maniere et si elle était pas contente c'était pareil, je me moquais de ses hypothétiques pouvoirs, elle semblait avoir une parole, bien que tres acide parfois, je crois qu'elle s'y tiendra pour cette fois. Je lui fit n sourire et lui tendis un papier avec l'emplacement de notre prochain rencard.