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Identité: Kana Nekuta
Âge: 20 ans
Sexe: Féminin
Race: Neko
Orientation: Lesbienne
Expérience: Quelques unes
Physique:Kana est une jeune femme d'une vingtaine de printemps. Grande d'un peu plus d'un mètre soixante-cinq, une courte chevelure couleur des blés et un regard rubis perçant, elle est loin du cliché de la petite Neko fragile et sans défense, bien qu'elle soit tout de même relativement mince. Mais après tout, elle sait entretenir sa ligne, dans la mesure où elle fait du jogging chaque matin durant une petite heure, avant d'aller au boulot, ainsi que ses quelques séances d'arts martiaux quotidiennes. On notera toutefois que la Neko n'est pas tellement dans les canons Tekhans. En effet, ses formes féminines sont peu présentes, comme le montrent sa petite poitrine presque plate, son petit fessier ferme et ses hanches peu prononcées.
Vestimentairement parlant, ce n'est guère mieux. Kana n'aime tout simplement pas les combinaisons moulantes, favorisant un style plus classique composé d'une chemise et d'une veste à manches courtes, de mitaines en cuir, d'un shorty noir et de longs collants, au bout desquels elle porte des converses hautes. Elle arbore en revanche fièrement sa carte de journaliste. On peut également noter la présence d'un anneau à son oreille gauche.
Caractère:Bien qu'elle se considère Tekhane pure souche - ce qui est tout de même le cas - elle ne peut réprimer certains de ses instincts félins. Comme ses congénères, elle aime bien les caresses et les câlins. Toutefois, elle ne laisse pas passer ce genre de familiarité si vous n'êtes pas suffisamment proche d'elle et ne prendra aucune pincettes pour vous rembarrer. De même, elle a su mettre à profit sa nature curieuse et son flair infaillible dans sa profession, pour toujours pondre d'excellents articles. Elle est également très maligne et s'arrange toujours pour tourner une critique négative de manière à ce que la société ciblée ne puisse porter plainte contre elle. Enfin, comme nombre de Neko, elle ne peut rester indifférente à du lait d'Ushi, mais elle n'aime vraiment que certains laits en particulier.
Kana a toujours été passionnée par les avancées, qu'elles soient d'ordres technologiques, médicales ou vidéoludique. Sans dénigrer la magie comme nombre de ses concitoyenne, elle ne s’intéresse toutefois qu'aux inventions ingénieuses que l'on peut faire avec et qui pourraient potentiellement être utiles aux Tekhanes. Ainsi, a défaut d'avoir des compétences scientifiques, cela l'a amenée à travailler pour une revue de presse scientifiques tres populaire au sein de la mégapole.
Histoire:Bien évidement, la première question que l'on est en droit de se poser concernant Kana, c'est comment une Neko peut agir librement au sein de la mégapole, sachant que ses congénères sont soit des esclaves, soit des cobayes enfermés dans des labos. En réalité, les ancêtres de Kana étaient elles même dans ce cas de figure. D'une génération à l'autre, celles qui étaient belles étaient conservées dans les riches familles, les portées en trop étant alors vendues. Celles qui étaient considérées comme "ratées" ou "trop masculines" étaient en revanche vendus comme cobayes. Les laboratoires agissant de même, cela permettait un échanges réguliers entre les scientifiques et les riches. Si nombres des membres de sa famille sont aujourd'hui toujours des esclaves et des cobayes, qu'elle n'a jamais connue, le destin en a décidé autrement pour elle, le jour où la mère de Kana fut achetée par sa nouvelle Maîtresse... Qui n'était autre que la grande sénatrice de l'époque.
Enfin, Maîtresse... Ce fut comme ça les premiers mois. Car la femme, plutôt influente au sein de la société surtout après avoir établie de nombreuses réformes quant aux mâles au sein du pays ainsi que les étrangers, décida d’affranchir la petite Neko qu'elle était encore alors et de l'adopter en tant que fille, ayant complètement craquée sur sa petite bouille. De plus, elle était célibataire de par sa vie politique intense et infertile, la science n'ayant pas encore réglé ce problème à l'époque. Une telle nouvelle provoqua bien entendu un tôlée au sein du gouvernement. Une Tekhane qui adopte comme fille une ancienne Neko esclave, c'était quelque chose d'impensable à l'époque. Certains disaient que c'était du gâchis de potentiel sexuel, d'autre que c'était une insulte envers la population, mais la femme ne revint jamais sur sa décision et devra luter jusqu'à la fin de sa vie pour la faire maintenir. Ainsi, malgré ses nombreuses décisions populaires par le passé, celle-ci éclipsa tout le reste et elle ne fut plus connue que comme la femme ayant permis à une sous-race.. Non, même pas... A
un seul membre seulement de cette sous race, de s'élever au même niveau social que des humains. Elle avait poussée le vice en lui offrant la même éducation que n'importe quelle Tekhane du même rang social. Heureusement qu'elle n'avait pas accordée le même droit à l'ensemble des Neko femelles, sinon elle aurait pu être exécutée pour trahison.
La Neko, appelons là Sorana, étudia sérieusement pour faire honneur au précieux don que lui avait offert sa mère adoptive: la liberté, et ce malgré les déboires politiques de celle-ci ainsi que les brimades qu'elle reçue à l'école de la part des enseignantes, résolues à lui faire comprendre par tout les moyens qu'elle n'avait pas sa place parmi les autres élèves. Ces dernières en revanche, acceptèrent plus facilement la présence d'une Neko comme camarade. Sorana entra ensuite dans une école de commerce et de finance, devenant une des meilleures élèves de sa promo, au grand daim de certaines enseignantes conservatrices. Elle fut toutefois encouragée et soutenue par la directrice, plus visionnaire que d'autres et décelant en elle un fort potentiel commercial.
Malheureusement, arriva un jour où sa mère adoptive finit par mourir d'une maladie incurable - Officiellement du moins. On meurt rarement naturellement avec du cyanure dans l'organisme - et Sorana hérita de toute la fortune familiale à seulement 24 ans, la justice ne pouvant remettre en cause le testament, malgré ses tentatives. Toutefois, avec les vautours de créanciers qui n'attendaient qu'une seule occasion pour récupérer cette mane ainsi que de remettre en esclavage la Neko, celle-ci décida d'investir une bonne partie de sa fortune dans certaines petites PME en développement, qui avaient des chances de se développer car peu de concurrence, mais sans réels moyens d'y parvenir à causes de banques frileuses. Grâce à ses financements, ces dernières ont pu se développer et le retour sur investissements permis autant de multiplier par cinq la fortune de la famille que d'augmenter l'économie de la mégapole, avec de nouveaux produits sur le marché. Grâce à ses actions bénéfiques pour le pays, ce fut au tour de Sorana de se faire un nom et une place au sein de la société, et ce malgré sa nature terranide. Lorsque la société finit par réaliser qu'une terranide pouvait se montrer suffisamment intelligente et faire progresser le pays tout entier, le gouvernement du changer de cap, pour ne pas perdre opinion public et autoriser la citoyenneté à certaines créatures ou terranides qui s'en montraient dignes.
C'est comme ça que certaines purent également se retrouver en politique, en laboratoire, du bon coté de la vitre, ou responsables de leur propre commerce.
Ainsi, quelque années plus tard et après un mariage avec une de ses anciennes camarades de classe, Sorana donna naissance à une fille : Kana. Contrairement à sa mère, la jeune Neko eu une scolarité bien plus calme, surtout dû au fait qu'une bonne part de ses enseignantes étaient d'anciennes connaissances de sa mère, mais aussi que la société était bien plus favorable à ce genre de cas, qui ne représentait somme toute qu'à peine 5% de la population Tekhane. C'est durant ces même années, surtout à la fac, qu'elle eu ses premières relations sexuelles, bien que ce ne fut là que quelques amourettes de passage. Certaines mauvaises langues diront que la petite fut pistonnée par sa mère durant sa scolarité jusqu'à son école de journalisme, puis dans sa recherche de travail, mais Kana a toujours été très sérieuse dans ses démarches et ses études. Son diplôme, qu'elle a décrochée haut la main, en est une belle preuve...
A la rigueurs, son seul petit caprice de riche, ce sont ces bouteilles de laits d'Ushi aromatisées à la vanille de Madagascar, spécialement importées de la Terre, et à la pointe de sirop d'érable, qu'elle affectionne particulièrement et qui sont produites par une des entreprises financées par sa mère, dont le siège se situe à Zon'da... Mais ce n'est là qu'un produit parmi toute une gamme.
Aujourd'hui, Kana est une des journalistes les plus populaire chez les lectrices de revues scientifiques et de jeux vidéos. Elle préfère rester loin de la scène politique et plus particulièrement de l'actuelle grande sénatrice et son gouvernement, tant elle sait que le sénat actuel, bien que tolérant le statut de citoyenne de certaines non-humaines, cherchera le moindre prétexte pour le leur retirer et rétablir l'ancien statut : celui d'esclaves. D'autant plus que, selon des rumeurs, la précédente, Jenny Moriarty, aurait été vue à quelques reprises avec la PDG de la GWC, avant sa mort...