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Serpents et sable chaud (One-shot - PV Iris)

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Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Serpents et sable chaud (One-shot - PV Iris)

dimanche 27 août 2023, 15:46:45

Le désert, il y a quelques millénaires, en une époque où l’Homme n’était en rien ce qu’il est aujourd’hui.
Si ses dons sont nombreux, si ses talents se sont bel et bien avérés utiles et puissants avec le temps, sa survie n’en est pourtant pas des plus certaines, tandis que la féconde divinité que tous vénèrent semble avoir soudain privé ses enfants du don de la vie.

Voilà quelques centaines de lunes déjà que les derniers nés de ce monde ont grandi, portant avec eux le lourd fardeau qu’est celui de représenter le dernier espoir de leur espèce toute entière. Dix ans déjà depuis les dernières naissances de petits d’hommes… la terre, elle-même, ne semble plus aussi propice à la culture qu’elle ne le fut jadis.

Les quelques êtres humains parcourant encore ces immenses étendues de sable le font à leurs risques et périls, et leur vie n’est pas exempte de dangers. Clans autonomes, vagabonds et pillards s’en prennent sans cesse aux quelques derniers oasis de la région, dérobant et mutilant jusqu’à la moindre petite parcelle de ressource qui soit pour assurer leur éphémère survie.

Pour beaucoup de ces pauvres hères que rien n’épargne, pour les quelques victimes de ce monde, qui éprouvent chaque jour un peu plus toute la rudesse des hommes comme des tempêtes, l’ultime espoir réside en l’antique cité d’Ingens, cette immense berceau de civilisation dit-on, érigé tout de pierre en plein milieu du désert, à l’ombre des plus grandes dunes qui soient ici bas.

Il se dit d’Ingens qu’elle est l’oasis parmi les oasis, que les hommes ont su creuser et puiser plus d’eau qu’il n’en faut, avec le temps… et qu’il y fait bon vivre. Bien des marchands traitent avec l’immense cité fortifiée, et certains racontent même quelques histoires, à propos de femmes, parmi les plus belles que l’on aurait vu… mais, quand bien même les affaires de certains vont bon train, il est aussi connu de tous que jamais un marchand n’aura mis les pieds par-delà le premier avant-poste qui mène tout droit aux portes de la cité. En cela, dit-on des gens d’Ingens qu’ils sont intransigeants et méfiants…

S’ils sont des gens agréables et particulièrement accommodants, que tout stress semble avoir quitté, par on ne sait quelle magie, leurs lois, elles, semblent rester inviolées… et inviolables. Nul étranger ne passera les portes. La cité d’Ingens préservera à jamais ses secrets, et le monde s’en portera mieux… disent-ils. Certains disent qu’ils se croient supérieurs à ceux du dehors, d’autres disent que leurs femmes sont si belles, qu’ils auraient peur de se les faire voler. Par-delà les dunes, certains pensent même que les dieux ont épargné cette cité de la malédiction qui frappe tout le reste du désert… on dit qu’ici, les femmes enfantent encore, que l’herbe pousse (et elle y pousse vraiment, à en croire les magnifiques jardins suspendus qui surplombent la ville), et que chacun mange encore à sa faim. À savoir ce qui est vrai là-dedans… c’est une toute autre histoire…




Baän est un jeune marchand, enrôlé malgré lui depuis longtemps dans cette vie d’errance infinie. Recueilli au sein d’un caravansérail mobile, appartenant à une vieille guilde de la profession, il termine, à l’aube de son dix-huitième anniversaire, un tour presque entier du désert. Ce périple de plusieurs années est supposé n’être que le premier d’une longue liste, entamant à peine sa carrière.

Le convoi ayant traversé autant d’étapes que d’intenses épreuves au cours des années, il n’est, malheureusement, plus que l’ombre de ce qu’il était. Les hommes partis il y a cinq ans ne sont plus aussi vaillants qu’au jour de leur départ, les animaux sont fatigués, et les ressources ne sont plus aussi bonnes que celles qui, en une autre époque, firent jouir la petite guilde d’une reconnaissance véritable.
Mais… malgré cela, tel que le veut la coutume, ces cinq années sonnent enfin l’heure du retour. Denrées, soieries et tentures troquées et glanées par delà le monde doivent désormais revenir au domaine d’Ingens où elles seront vendues auprès du Chef de la cité, et du reste des autorités compétentes en la matière.




Aux abords des immenses murs de pierre qui se dressent en cercle au creux de cette vallée, des plus florissantes qu’il m’ait été donné de voir de toute ma jeune vie, le caravansérail s’est ralenti, puis a fini par s’arrêter, face à cette grande tourelle de pierre où quelques hommes en armes nous attendent.

La ville d’Ingens me paraît encore loin, mais les tours et les jardins d’un vert profond qui la surplombent n’en apparaissent pas moins gigantesques même d’ici. À travers la fine tenture de ce chariot dans lequel j’avais tenté de trouver le sommeil, en espérant seulement voir la fin de notre voyage arriver, j’observais, des étoiles plein les yeux, ce petit attroupement de gens qui semblait s’être amassé sur les remparts en nous voyant arriver.

Les plus anciens du groupe m’avaient longtemps conté des histoires à propos de cet endroit, et comme les gens de cette immense cité appréciaient commercer avec nous. Certains m’eurent dit que leur reconnaissance à notre égard était parfois telle, qu’il arrivait qu’en ces tentes que nous plantions à l’extérieur de la cité, la cité fasse venir l’une de ses prêtresses d’amour, que nos cinquante marchands pouvaient alors se partager des jours et des nuits durant, avant de reprendre la route plus requinqués que jamais. Mais cela relevait purement et simplement du mythe, à en croire les plus jeunes de mes pairs, qui jamais n’avaient pu ne serait-ce qu’entrevoir les fameux drapés de soie transparente qui recouvraient les corps soi-disant fabuleux de ces nymphes d’église.

Hier au soir, près du feu, l’un des plus vieux m’avait tapé sur l’épaule en me regardant droit dans les yeux, en me disant comme il priait pour que moi, qui ne tarderait pas à devenir un homme, je puisse avoir la chance de profiter du corps d’une telle femme.
Celui-là même qui m’avait tenu à l’écart des filles des oasis toutes ces années, pour des raisons qu’il ne saurait m’expliquer disait-il, m’avait cette fois fait rougir plus qu’il n’en faut, en me racontant tout ce qu’une femme serait en mesure de faire à « un garçon comme moi ». Il n’eut pas besoin de le mentionner pour que je comprenne ce à quoi il faisait allusion en disant cela. Bien souvent, les hommes du groupe m’avait toisé, les yeux écarquillés, quand nous allions uriner ensemble dans le désert, la nuit, de peur que l’un de nous se perde… certains m’avaient surnommé « le cobra », et sifflaient tel un serpent sur mon passage jour après jour, plutôt que de m’appeler par mon prénom. Si j’avais appris à ne plus y prêter trop attention, cela n’en restait pas moins avilissant, pensais-je souvent.

Après de longues heures à attendre, à guetter plus qu’il n’en faut l’arrivée des émissaires de la cité, par-delà ses immenses portes closes, je sortais, profitais un peu de l’ombre offert par les dunes pour regarder plus au loin encore. J’admirais l’immensité de ces tours, de ces bâtisses solides, que jamais n’avais-je pu en contempler d’autres… et je me demandais à quoi tout cela pouvait bien ressembler, une fois à l’intérieur. Tout devait y être si richement orné et décoré, plus confortable sans aucun doute, que nos tentes mobiles, malgré tout leur apparat.

Oui, que ce devait être bon, de se réveiller chaque jour, au beau milieu de ces jardins verts, rafraîchi par les ombres portées par ces denses remparts colorés.

Les grandes portes s’ouvrirent… et un convoi en sortit. Une dizaine d’hommes en armes, dotés chacun d’armures dont l’éclat scintillait fort au soleil, entourant d’autres hommes plus petits, un peu plus gras aussi sans doute, richement vêtus dans des soieries d’une qualité supérieure encore à celle que nous apportions avec nous. Sans doute s’agissait-il du chef de la cité et de ses émissaires, chargés du commerce avec l’extérieur.

Mais, aussitôt mon regard s’était-il plongé par-delà les portes, pour espérer en entrevoir plus, aussitôt le son d’un cor se mit à résonner par-delà les collines. Tous, nous nous tournâmes, en comprenant bien vite ce qu’il était en train de se passer.

Un second cor résonna, puis un troisième, pour finir de former cette infernale chorale qui déchirait nos oreilles. Les sommets des dunes nous surplombant furent vite investies de silhouettes, plus nombreuses que tout autre groupe de pillards auquel nous avions bien pu avoir affaire au cours de ces régulières attaques que nous subissions. Les cors de guerre de la cité d’Ingens vinrent sonner en réponse, et les soldats venus à notre rencontre firent d’un coup volte-face.

Sans doute avions-nous été suivis des jours durant… sans même le remarquer. Sans doute ces hommes s’étaient-ils préparés et avaient-ils attendu le moment le plus propice qui soit, pour passer à l’offensive.

Poussés par notre instinct de survie, nous fûmes des dizaines à prendre la suite des émissaires en direction d’Ingens, bousculant même les soldats, pour entrer avec eux. Les cris résonnèrent plus fortement encore, que ne l’avaient fait les cors dans ma tête, lorsque l’immense porte nacrée se referma au nez de certains de ces hommes auprès desquels j’avais grandi.

Par je ne sais quel coup du sort, j’avais eu la chance d’être de la petite poignée d’étrangers à fouler le sol sacré d’Ingens, par dépit et par désespoir. Retranché près du mur d’enceinte, j’eus l’impression de tout entendre des combats qui firent rage les heures suivantes.

Les portes refermées, les soldats d’Ingens n’eurent a priori aucun mal à repousser la tentative de percée de l’ennemi, et ce même malgré son nombre. Toutefois, je le tiens de mots que quelques gardes eurent prononcés après coup : il ne resta rien de ce caravansérail qui m’avait servi de foyer des années durant.

Ce n’est qu’une fois passé l’état de choc que, assis dans un coin, adossé à un mur de l’enceinte, je pris vraiment conscience de la présence de cette flèche, à demi plongée dans mon abdomen sanguinolent.

Sur cette vision que j’avais des marchands survivants que l’on guidait vers la sortie, mes yeux semblèrent peu à peu se fermer. Quand bien même luttais-je, le noir gagnait mes yeux et je m’effondrais, incapable de m’adresser à qui que ce soit, tant du fait de voir mes forces m’abandonner, que du fait que les habitants de cette cité et moi ne partagions aucunement la même langue.
« Modifié: dimanche 27 août 2023, 15:57:25 par Takezo O. Mamoru »
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Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Re : Serpents et sable chaud (One-shot - PV Iris)

Réponse 1 lundi 28 août 2023, 14:34:19

Qui sait combien d’heures s’étaient écoulées depuis que, emporté par la fièvre, notre très jeune marchand nomade s’était effondré.
Le jour passa presque entièrement et, sans qu’il ne le sache ni le remarque en aucune façon, son corps fut ainsi trimballé d’un point à un autre, de sorte à obtenir ces soins qui lui étaient, vu son état, grandement nécessaires.

Pour une raison tout aussi obscure qu’étrange, la prêtresse de la ville qui décida de son sort préféra que le jeune garçon soit amené à une petite geôle, à l’écart des autres, et réservées aux criminelles, plutôt que de le faire amener jusqu’aux suites du temple, où officiaient le plus souvent les médecins.

Peut-être était-elle de nature méfiante, ou peut-être avait-elle peur que le jeune nomade soit expulsé hors de la ville par ses habitants, s’il était découvert. Quels que furent ses plans, ils restèrent évidemment un mystère pour celui qui, blessé, voyait son esprit vaciller entre vie et trépas.

Profondément sous la terre, à des dizaines et des dizaines de mètres sous le sol du temple, au creux de ces cavernes gigantesques creusées par l’homme, le garçon finit-il par être laissé aux bons soins de médecins dépêchés en urgence par les prêtresses elles-mêmes. Bien loin de l’or, des ornements, des soieries et des drapés, ce dernier fut ainsi allongé sur  un lit de fortune, entre quatre épais murs de pierre. Jamais ne fut-il capable d’ouvrir les yeux ni de hurler, mais plus tard, il jura que même endormi, il put entendre les voix des docteurs et… pire encore, sentir la douleur, lorsque la pointe crantée de la flèche quitta son abdomen.

L’opération terminée, il fut enfin laissé à son repos, sous l’observation de ses geôliers. Sa chemise de lin toute tachée de sang fut remplacée par une autre, faite tout de blanc, mais on lui laissa malgré tout pantalon et ceinture malgré la fièvre. Convaincus qu’il lui fallait transpirer pour éliminer un maximum de toxine, les médecins le laissèrent tout habillé sous l’épaisse fourrure qu’on posa sur son corps en guise de couverture (attention qui n’est habituellement pas réservée aux autres prisonniers des geôles souterraines, pour sûr).



Bien trop profondément emporté par ses obscurs songes, le garçon n’entendit nullement la porte de sa cellule se rouvrir, quelques heures plus tard.
Ce n’était pas encore le matin, loin de là… et il ne s’agissait pas là d’une visite prévue par les médecins.

Marmonnant dans ses rêves, il crut entendre des voix faire appel à lui, par-delà cette lumière qui, d’un coup, vint illuminer ses songes… mais tout cela était encore trop faible encore.

« Hmm… nnngggh… »
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Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Re : Serpents et sable chaud (One-shot - PV Iris)

Réponse 2 mercredi 06 septembre 2023, 19:03:15

À n’en pas douter, le jeune garçon qui sommeillait là, à demi recroquevillé sur lui-même, aurait préféré à sa torpeur et à ses maux du moment les prodigieuses caresses qui allaient lui être prodiguées sous peu.

Quand bien même celle-ci semblait baisser miraculeusement au bout de quelques heures seulement, la fièvre tenaillait encore toujours ce grand bout d’homme, pourtant si grand et fort pour son âge. Des heures durant, ses lèvres fines n’avaient eu de cesse de se serrer, alors qu’il marmonnait des choses inaudibles, tant et si bien que l’on aurait pu le croire en plein délire, aux portes de la mort.

En vérité, à sa douleur avaient fini par s’ajouter mauvais rêves et souvenirs encore bien vifs, de ce matin même, où tout lui avait été subitement arraché.

Dans son esprit encore trouble se succédaient ainsi en nombre des images atroces, dans lesquelles voyait-il, en boucle, ses plus proches amis mourir les un après les autres. Encore et encore.

Ainsi pris au piège de ses propres méninges, ne put-il même pas voir s’approcher, ni détailler de ses yeux les deux jolies nymphes qui s’approchaient de son lit, tout en l’interpellant de leurs voix douces. Le sucré de leur parfum vint certes chatouiller ses narines qui s’écartèrent pour mieux le respirer, mais cela ne suffit bien sûr pas à l’extirper de ce sommeil trop profond pour n’être qu’une simple sieste.

Il ne les sentit même pas s’approcher davantage, tout comme il ne les sentit pas non plus, lorsqu’elles le firent basculer de sorte à ce qu’il soit de nouveau allongé sur le dos. Sa mâchoire se crispa et ses dents se serrèrent sous la douleur alors que la plaie à son ventre vint le lancer vivement, mais rien n’y fit cependant : l’état du garçon était encore bien trop préoccupant pour que celui-ci ne s’éveille. 

C’est lorsque l’une des deux nymphes, la brune, décida de s’approcher plus encore, que quelque chose semble enfin se produire. Peut-être n’était-ce là qu’un réflexe tout naturel du corps, même endormi, toutefois, les jambes du nomade s’écartèrent comme d’elles-mêmes, pour laisser la place à cette jeune femme qui le débarrassait longuement de sa tunique. Il sembla même que ses cuisses s’élevèrent un peu, lorsque les doigts fins de la brunette vinrent se perdre entre les maillons de sa ceinture, alors qu’elle en défaisait la boucle. Même en rêves, il fut parcouru d’un intense frisson, tandis que cette main, petite et inconnue, parcourait l’énorme bosse à la recherche d’une braguette à défaire.

« haaaaaaa… »

Comme s’il était soulagé d’un poids le tiraillant, il soupira même profondément, lorsque celle-ci extirpa de ses tout petits doigts l’épais mandrin de cet amas de tissus bien trop serré, avant de simplement baisser le vêtement jusqu’à ses mollets. S’étirant, comme s’il avait été plus soulagé encore, d’être libéré de chaînes invisibles, il laissa davantage de place à ses geôlières, s’exposant sans gêne ni honte, alors qu’il ne réalisait pas encore le traitement qu’allait être le sien, ni quelle sensation était à considérée comme rêvée, ou bien réelle…
Celle-ci, du moins, sembla rendre ses rêveries plus douces. Ses grimaces de douleurs s’estompèrent légèrement, et son visage sembla presque s’illuminer un peu, tandis que la seconde prêtresse s’approcha à son tour, pour soulever le trop épais objet de sa convoitise.

Même dans ce pitoyable état, et ce malgré les premières caresses prodiguées par la seconde jeune femme, la longue et large saucisse blanche que celle-ci tenait entre ses deux mains s’avérait être exagérément proportionnée, sans doute bien plus encore que tout ce que les deux jeunes femmes avaient pu voir, même parmi les hommes les plus virils qu’elles aient pu rencontrer : d’un diamètre avoisinant les six ou sept centimètres, l’épais conduit s’étendait longuement de l’aine presque jusqu’aux genoux du garçon, sur un peu plus d’une trentaine de centimètres déjà. Seulement très longue et anormalement grosse, cette verge hors du commun n’avait cependant rien d’un objet monstrueux, visuellement parlant. Aucune bosse ni difformité quelconque ne venait la marquer ou bien la rendre désagréable à l’œil ou bien repoussante… non. C’était… un très beau membre. Un très gros membre, sans doute plus approprié à un animal de grande taille de par ses proportions, mais confié, par la nature ou par un dieu quelconque, aux bons soins d’un seul très jeune homme.

« Haaaaaaa… MMMmmmmh… mmmh »

Sa mâchoire semblant s’être décrispée, soudain moins rigide, le garçon finit même par gémir faiblement, lorsqu’un nouveau frisson, plus profond encore, vint piquer son échine. Quelque chose d’humide, de doux et de très accueillant venait de se poser sur cette zone vierge et si sensible de son anatomie, et semblait chercher à se l’accaparer jusque dans le moindre détail, jusque dans le moindre de ses recoins.

Bien sûr, Baän ne le savait pas, et ne pouvait pleinement prendre conscience de tout cela dans pareille condition, toutefois la sensation restait la même, il avait l’impression que l’on cherchait à le traire, ce qui… s’il avait pu ouvrir les yeux, n’aurait pas été très éloigné de la vérité. Tandis que la prêtresse à la peau mate soupesait en un arc-de-cercle le serpent de quelques kilos d’entre ses cuisses, pour le masser un peu, l’autre en avait profité pour soulager les effets d’une très impressionnante gourmandise.

À demi penchée sur le lit de fortune, ses deux énormes seins écrasés sur le matelas, la belle brune avait ouvert la bouche en grand, pour en laisser sortir une langue experte et gourmande, qu’elle faisait courir tout doucement tout autour du gros sceptre de chair. Bavant chaudement pour humidifier son pourtour, on aurait même pu dire qu’elle se régalait plus qu’elle ne cherchait à prodiguer quelque bien-être que ce soit. Elle léchait, léchait et léchait encore ce que sa partenaire voulait bien lui laisser à dévorer, et remontait peu à peu, après s’être assuré d’avoir bien humidifié tout le tour de cette queue. Ses jolies lèvres pulpeuses se collèrent furieusement tout contre l’épaisse couronne encore couverte de ce gland massif qu’elle avait sous les yeux, et, la sensation soudaine qui assaillit le garçon dans ses rêves le laissa penser que l’on cherchait à le dévorer.

La belle et longue langue, experte et agile, passa sous les plis de son prépuce, pour aller y chercher son gland à nu, qui déjà, en pareille situation, devait bien faire la taille d’une pêche, sinon d’une petite pomme. Prisonnière et enfournée sous cette très fine couche de peau, la petite langue tournoya et tournoya encore en quelques claquements si sonores. Alors que les mouvements de poignet de la première prêtresse finirent de décalotter l’énorme chose, mais à moitié seulement, la bouche joueuse de la seconde n’arrêta pas son ballet.

« Haaan… o-ooooh…. oooooh »

Le sang affluant bien sûr, au gré des stimulations bien trop intenses pour un non averti, les gigantesques bourses du jeune nomade se rétractèrent doucement, comme pour témoigner de tout ce plaisir venu d’ailleurs, dont son corps pouvait soudain jouir. Tout cela était bon… fabuleux…
Le bas de son ventre se contracta doucement, comme le firent ses cuisses. L’énorme chose tressauta et ballota d’un côté puis d’un autre, comme pour en réclamer plus… L’extase était déjà proche. Ces simples chatouilles, si l’on pouvait appeler cela comme ça, auraient sûrement bien vite raison du garçon, dont les pieds venaient à se serrer au bout du lit, tandis que des litres de son épaisse semence bouillonnait dans ses bourses à l’idée d’exploser.
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