Le prix d'un tableau ...

Toujours élégante, sa coupe de champagne à la main, la jeune fille souriait au gens présents dans la salle. Tout le monde s'étonnait de voir une mécéne aussi jeune et responsable, possédant une si belle galerie d'art. Tout le monde venait donc lui parler, lui demander des conseils, des prix qui se révélaient exorbitants. Elle venait d'en vendre un à plusieurs millions suite à une vente aux enchéres. Mais malgré son sourire et ses paroles, elle s'ennuyait ferme depuis sa rupture avec celle qu'elle aimait, une vendeuse d'esclave aux méthodes peu catholiques. Elle en trouverait bien une autre, mais en attendant, l'ennui était présent.

Elle portait pour l'occasion une robe blanche - crème, aux brodures dorées, élégante et chére, qu'elle arborait avec plaisir. Une robe avec des jupons, qui lui serrait la taille grâce à un corset , révélant un décolleté harmonieux, et des gants qui étaient dans le même genre. Elle devait se faire bien voir face à ces gens, ces futurs clients.

Elle abandonna sa discussion pour aller se promener dans la galerie où tout les tableaux étaients exposés, avec leur histoire, le nom de l'auteur et le prix à débattre. Dans une heure commenverait une nouvelle enchére sur un tableau peint à Venise, où apparaissait une mystérieuse femme dans une robe du Carnaval, avec une masque et un tenue élégante. On voyait ses cheveux noirs qui volaient aux vent tandis qu'elle posait sagement, un sourire sur les lèvres. Sibylle soupira. Elle aimait ce tableau mais avait besoin de s'en séparer. Il lui rappelait trop sa rupture. Et elle avait besoin d'argent pour récupérer d'autres peintures et sculptures.

Elle continua sa route dans les galeries, son verre à la main.

J'avais mit une robe rouge, qui complétait à la perfection mes cheveux et mes yeux, dire qu'il avait fallut qu'un parent d'élève insiste pour que je m'habille comme ça, je n'aimais pas trop que l'on m'oblige à porter un vêtements qui soulignait trop mon appartenance à la pyromancie, mais je ne devais pas faillir à ma réputation.

Je fit toute la ville avec mes talon aiguille, ce que je pouvais détester ces chaussures, mais pour une soirée comme ça il faut en porter pour faire bonne figure, plus de dix fois j'avais faillit me tordre la cheville, ce uqe je ne pouviat pas supporter ces chaussures. Je regarda dans mon petit sac, acheté pour l'occasion, ce qui se traduisait par une semaine à la diète, c'était chère ces bêtises.

Enfin je pus voir les lumière du bâtiments, je regarde si j'ai mon invitation et  ... merde, je l'avais oubliée dans la précipitation, super cette soirée, en plus j'avais prévenue mon patron que je ne pourrais pas travailler ce soir, ce qui l'avait un peu gêné, mais il comprit vite quand je lui avait expliqué la situation et c'était un peu moqué de moi en disant que j'aurais du mal à y entrer, même avec une invitation.

Je fit apparaitre les ailes de phénix et passe par une fenêtre, en vérifiant de n'être vue par quiconque, une fois dans le bâtiment je marchais tranquillement. je croisa une bell demoiselle et c'est à ce moment que mes saleté de chaussures refirent des siennes, je trébucha sur la dame et me releva vite.

- Veuillez m'excuser, je ne suis pas habituée à ces chaussures, vous n'avez rien de cassée ?