Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Quand la vérité frappe à la porte. (PV Raven)

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Elosia Darwell

Quand la vérité frappe à la porte. (PV Raven)

samedi 10 octobre 2009, 17:36:51

Elosia fut la première à sonner la tirette d'alarme, elle c'était mise à l'art de la divination par le tirage des cartes et tomba plusieurs fois sur un avertissement assez flou, la prêtresse avait remarqué très vite le manque de présence de Raven et avait passé plus de cinq jour à faire toute l'Olympe pour la retrouver et s'excuser des propos qu'elle avait dit à l'encontre de la futur mère. La dernière fois qu'elle l'avait vu, elle l'avait trainée de tous les noms, par frustration et manque de sommeil. Elle retira un fois les cartes en pensant très fort à Raven et les cartes lui révélèrent ce qu'elle cherchait.

Après s'être préparée pour pouvoir affronter toute bestiole et démons, elle descendit de l'olympe, fermement décidée à retrouver sa sœur de bataille et la faire revenir auprès de ceux qui l'aimait, même si elle ne l'avait pas montrée plus tôt. Elle erra pendant plus de cinq heure sur ces terre hostile et vit au loin une masse au sol où des fauves avançait pour aller se tailler une part. Elosia banda son arc et ferma les yeux l'espace d'un instant priant pour que la flèche ne rate pas sa cible, elle n'était pas douée pour les arc, préférant les armes à feux, le flèche partie et se planta dans le dos d'un des félins qui partit, par chance c'était le dominant du groupe et les autres suivirent leur chefs blessé.

Aussitôt Elosia partie vers le corps et la capuche s'envola sous un coup de vent dévoilant le visage de la pauvre créature, la prêtresse fut ravit de voir Raven.

- Raven ! Comme je suis contente de …


Elosia vit les yeux de sa sœur et elle pensa que Raven avait fait une fausse couche, mais elle fut encore plus horrifié en voyant des marque sur son corps, que la cape cachait difficilement, la prêtresse eut des larmes et prit la pauvre elfe dans ces bras en disant à son oreille.

- Raven c'est moi ! Elosia ! Dit moi ce qui t'es arrivés, dis quelque chose !

Elosia serrait aussi fort que possible Raven, la prêtresse pestait, qu'est-ce qu'avait fait Raven pour mériter une punition pareille, elle aurait du avoir un enfant, le voir naitre, enquiquiner Elosia et les autres, voir son enfant grandir. L'humaine repensa aux avertissements des cartes et se dit que c'était sa faute, elle aurait du faire plus attention à ces signes.

- Raven je t'en supplie dit rien qu'un seul mot.


Elosia pensa pour al première fois à consoler et non à chercher des crosses, même Ares était relégué au second pan, l'important maintenant c'était de s'occuper d'elle, quitte à s'attirer les foudres des dieux, elle considérait Raven comme sa grande sœur, même si elle ne le montrait pas.
Qu'est-ce que le vrai amour ?

Raven Miller

Invité

  • Messages:

Re : Quand la vérité frappe à la porte. (PV Raven)

Réponse 1 samedi 10 octobre 2009, 18:09:10

Cinq jours... depuis la mort de mon bébé... cinq horribles jours. Les mutilations au niveau de mon ventre et les marques sur tout mon corps saignaient encore. Mais je marchais, dans cette étendue d'herbe qui se gorgeait de mon sang. Je ne pleurais plus, je n'avais plus de larmes pour le faire. Après quelques jours sans manger, j'ai fait ce que toutes personnes normales aurait fait à ma place. Je suis tombée et j'ai heurté le sol. Je savais que des fauves me suivaient, je n'étais pas sourde, aveugle et j'avais un bon nez. Je les sentais approcher. Mais un bruit de décochage fut suivit d'un sifflement. Une personne venait de chasser les bêtes. Je savais qui elle était, je ne voulais pas la voir, je ne voulais plus voir personne. Élosia, la Bien Aimée. Elle me prit contre elle. Je n'arrivais pas à parler. Puis, je bougeai lorsqu'elle me demanda de dire un mot. D'une puissante onde de choc, je la repoussai à un bon deux mètres de moi. Je me relevai, tremblante.

-Ne me touche pas, Élosia... Retourne dans le lit d'Arès et laisse-moi mourir en paix. Je ne veux plus rien avoir à faire avec l'homme qui m'a abandonnée après que je lui ai offert mon amour, ma virginité et ma vie. Soit fière, tu avais raison à mon compte. Rappelle-toi de tes insultes et soit heureuse de ta nouvelle victoire, puisque tu ne peux jamais perdre.

Je la regardais avec un regard rempli de haine, mais pas à son encontre... enfin, partiellement. Elle était aimée d'Arès, elle avait tout ce que j'aurais voulu avoir et Arès avait encore de l'intérêt pour elle. Elle qui m'a traitée de trainée, de mangeuse d'hommes, de femme bonne à engrosser, de vide foutre, de voleuse et encore, ce sont les mots gentils. Comment osait-elle seulement apparaître devant moi et espérer que je l'accepte? Ces douloureuses pensées m'assaillaient alors que je me pliais soudainement en vomissant mon sang sur le sol. Il semble que j'avais encore d'autres larmes en réserve parce que je me remettais à pleurer, encore une fois. Elle qui aimait et était aimé en retour, comment osait-elle prononcer mon nom et faire semblant de se préoccuper de mon sort? Elle qui aurait, il y a une semaine, donné son âme pour me faire ce que Mozaria m'a fait.

Je retombais à genoux, incapable de tenir. Je regardais mes mains, ces mêmes mains qui aurait du tenir autre chose que le foetus ensanglanté qui y reposait, ce tout petit corps que je conservais avec ma magie, que je serrais contre moi, comme si j'espérais le ramener à la vie. À cause d'Arès et de Mozaria, je ne peux plus avoir d'enfants, je le savais. Mon utérus avait littéralement défoncé lors de mon supplice. Je serrai mon tout petit garçon sans vie contre moi, comme s'il était vivant. Je caressais son visage, ce visage qui aurait du être endormi, les yeux bien clos, et pas écarquillé avec une pupille dilatée par la mort.

- Pourquoi ne m'a-t-il pas sauvée... onee-chan?... Pourquoi m'a-t-il laissé souffrir...? pourquoi n'a-t-il pas sauvé son propre enfant...?
[/color]

Elosia Darwell

Re : Quand la vérité frappe à la porte. (PV Raven)

Réponse 2 samedi 10 octobre 2009, 20:31:26

Elosia fut surprit par la réaction de Raven, mais elle ne s'énerva pas, cela aurait été une mauvaise idée. L'humaine encaissa tous les dires de Raven, qui n'était pas au courant de la situation, la prêtresse avait elle aussi l'impression que Ares la délaissait, mais par fierté et amour elle avait toujours gardé le sourire, Elosia se mordit les lèvres en entendant les insultes qu'elle avait proférée, pestant conter elle même de les avoir dit. L'humaine ne pouvait rien faire d'autre que de sentir une douleur labourer son coeur.

- R …


Elle ne put rien dire et cacha son horreur en voyant Raven tenir dans ces bras un corps mort, un corps qui n'était pas mort naturellement et l'aura magique autour de cet enfant désignait à qui il appartenait, puis elle entendit les sanglot de sa sœur et ces questions, qui n'avaient pas de réponse qui consolerait. L'humaine ne savait pas quoi faire, une gifle aurait put tout aussi bien arrangé que aggravée le tempérament explosif de Raven, sans compté que même sans ces drogues, elle pouvait se révéler très dangereuse. Elosia ne savait rien de se que perdre un enfant signifiait ni la douleur occasionnée, aussi choisit-elle pour la première fois de se montrer douce et aimante, chose qu'elle n'avait jamais fait, essayant tant bien que mal à se faire passer pour un mère envers l'elfe.

Elosia prit la demoiselle dans ces bras et passa sa main dans les cheveux de Raven, en faisant balancer son corps doucement en avant et en arrière;

- Calme ces sanglot veus-tu ? Si tu as besoin de quoi que se soit je suis là, si tu es en colère crie donc, si tu veux me frapper fais le.

L'humaine se mit à fredonner la première chanson que Raven lui avait apprit, Elosia avait au fil du temps à perfectionné ce chant, faisant ressortir le son comme un flot de sentiment bienfaiteur et apaisant. L'humaine c'était déjà préparé à toute agression et ne se protègerait pas, après tous le cauchemar de l'elfe était en partie du à ces mots et elle n'allait pas fuir une punition bien mérité.

Elosia fouilla dans sa mémoire et se rappela d'un petit sceau mineur, elle l'appliqua discrètement sur le front du cadavre, Raven n'aurait plus à s'épuiser pour maintenir le sort, c'était maintenant l'humaine qui se faisait pomper son énergie. Elle n'allait en aucun cas laisser l'elfe dépérir quitte à en subir les conséquence, même si elle devait se voir retirer le titre de prêtresse ou de commandant de la garde rapproché d'Ares, d'ailleurs ce dernier risquait de se faire sermonner par Elosia sur sa façon de surveiller et protéger ces prêtresses.

L'humaine attendit la réaction de l'elfe, totu en continuant à lui procurer un douceur qui la mettait mal à l'aise, depuis quand savait-elle faire du bien aux autres ?
Qu'est-ce que le vrai amour ?

Raven Miller

Invité

  • Messages:

Re : Quand la vérité frappe à la porte. (PV Raven)

Réponse 3 samedi 10 octobre 2009, 21:57:41

Elle revenait à nouveau et elle m'a reprise contre elle, me laissant me défouler si j'en avais envie. Mon cœur se serra et je regardai mon enfant un moment... avant de relâcher mes sortilèges. Doucement, son corps se dématérialisa dans mes bras ensanglantés. Lorsqu'il eut totalement disparu, je me tournai vers ma sœur, passant mes bras autour de son torse et je cachai mon visage dans son cou et je hurlai de toutes mes forces pour vider toute ma tristesse, ma haine et mon désespoir, les laisser quitter mon corps pour ne plus qu'ils reviennent. Je hurlai ainsi quelques minutes, évacuant les mauvaises choses que j'avais sur le cœur. Je finis par me calmer à force de crier à m'en fendre les poumons. Les plaies à mon ventre s'en réveillèrent, mais j'en avais tellement besoin. Je reculai puis je frottai mes yeux de mes poings, retournant à mes simples pleurs.

-Je croyais que... je croyais que... qu'il serait heureux si... si je lui donnais ma virginité... et si... je lui donnais un beau petit garçon... et qu'il m'aimerait... mais... j'ai oublié... les sentiments d'onee-chan... lorsqu'il m'a fait l'amour... et j'en... j'en paye le prix, maintenant...

Je regardai ma sœur dans les yeux. Je me retirais de moi-même de la compétition. Arès ne m'aimera jamais. D'un sortilège, je replaçai mon hymen entre mes jambes, récupérant ce que j'avais donné à Arès, me relevant doucement, aidant ma sœur à en faire de même. Je l'attirai à nouveau dans mes bras et je la serrai avec amour fraternel. Nous n'avons pas été élevée ensemble, mais on était souvent là l'une pour l'autre. Quand je suis allé aider Lana, quand j'étais seule et que les membres de l'ordre ont voulu me tuer, elles ont débarqué en cavalerie. J'affichai un grand sourire, le visage toujours inondé de larmes.

-Merci d'être venu, onee-chan... merci d'être venue pour moi...
[/color]

(Désolé, c'est court ^^')

Elosia Darwell

Re : Quand la vérité frappe à la porte. (PV Raven)

Réponse 4 samedi 10 octobre 2009, 22:44:04

Elosia fut ravit de la voir annuler son sort, non sans  un certaine appréhension, cela devait avoir été dure à faire pour l'elfe et l'humaine en avait conscience, elle se laissa enlacé par la mère qui se mit à crier tellement fort, que en temps normal Elosia aurait réagit en lui mettant un bout de tissu devant sa bouche, mais Raven en avait besoin et l'humaine sacrifia la perte de quelque décibel de son oreille droite pour le salut et le bien de sa sœur. Elle écouta la phrase sanglotante de l'elfe et eut un pincement au cœur, rien ne disait que Ares ferait le même coup à Elosia et le doute de son amour envers le dieux de la guerre s'installa, puis la question intérieur.

"Pourquoi suis-je déjà amoureux de lui ?"


Cette longue réflexion fut interrompue par l'action de Raven qui remerciait sa sœur de bataille pour être venue jusqu'à elle et de l'avoir aidée, l'humaine posa sa mains droite sur les cheveux de la blonde et caressa sa tête en murmurant.

- Je vous est fait la promesse à tous de vous protéger et de vous aider du mieux que je pourrais, je n'ai pas put empêcher un malheur de t'arriver, mais je compte bien te soutenir le plus possible pour effacer se drame de ta tête, out en faisant payer à la personne qui t'as fais cette chose inhumaine, je le promet sur Apocalypse et sur mon sang.

Le son de sa voix était déterminée, nulle ne pourrait échapper à son jugement et elle avait promit sur son honneur, mettant son statut de guerrière et de sœur avant celui de prêtresse d'un dieu, une promesse qui ne pouvait se résoudre que de deux manière, la réussite ou la mort, en sachant pertinemment que la seconde n'arrivera jamais.

Elosia regarda dans les yeux de Raven et dit avec un sourire que Raven reconnaitrait, celui de leurs première rencontre, celui où les sœurs de batailles furent forgées et où leur liens furent créés pour la première fois.

- Tu n'aurais pas une chanson à me chanter, cela fait longtemps que je n'ai pas entendue ta voix me bercer.
Qu'est-ce que le vrai amour ?

Raven Miller

Invité

  • Messages:

Re : Quand la vérité frappe à la porte. (PV Raven)

Réponse 5 dimanche 11 octobre 2009, 06:00:11

Elle voulait m'entendre chanter... mais tout ce que je savais chanter, c'était des louanges pour Arès. Il était le centre de mon monde, la raison de mon univers et je me sentais trahi par lui... mais il n'avait rien fait... c'est justement ce qui me fait souffrir, il n'a rien fait pour que je sois amoureuse, il n'a rien fait pour que je lui tombe dans les bras, il n'a rien fait pour me sauver, il n'a jamais besoin de rien faire pour avoir ce qu'il veut... mais il était si différent de moi... il me complétait tellement... il a toujours été là, d'une manière ou d'une autre. Il est même allé jusqu'à me sauver de Poséidon. Je pris alors une grande inspiration, remplissant bien mes poumons d'air avant d'expirer lentement. Arès n'était pas quelqu'un de mauvais, je le savais bien. Peut-être même qu'il avait été retenu. Je me dis alors qu'il n'avait tout simplement pas pu m'aider et qu'il avait une bonne raison pour m'avoir laisser ainsi torturée. Et en plus, il n'avait pas la moindre méchanceté en lui quand nous n'étions que tous les deux, il était très gentil avec moi. Ma colère et ma peine disparue, je respirais mieux et je pensais plus clairement. Après quelques bonnes respirations, je pus enfin me remettre à chanter.

Je chantai les joies et les peines que j'ai vécu auprès d'Arès et de mes sœurs. Je relatai les crises de nerfs d'Élosia, mes voyages dans le monde des rêves éveillés pendant les briefings à songer à la manière de voler le cœur d'Arès à Heilayne et les moments que j'ai pu passer avec mon dieu, assise à ses cotés près du petit étang proche du temple. Je rajoutai que ce moment avait été interrompu par Élosia parce que je m'étais absenté à la réunion organisée par l'humaine. Arès était encore parti pour éviter d'y être mêler. J'ajoutai les détails sur le fait que je n'ai pas cesser de pleurer parce que j'avais cru que j'allais pouvoir me rapprocher de lui et le lendemain, pour me venger d'Élosia qui avait essayé, je lui ai fait croire qu'un homme était entré dans sa chambre pour lui piquer ses photos d'Arès. Elle avait accouru et moi, j'en avais profiter pour voler mon premier câlin à Arès... mais c'était avant que tant de femmes ne tombent amoureuses de lui, ce jour où j'ai commencé à l'éviter pour mes sœur.

Je coupais alors mon chant, essoufflée. Je venais d'avouer tout ce que j'avais sur le cœur depuis tant de temps. Mais je me sentais vraiment mieux, maintenant. Ma voix magique faisait rire, pleurer et rager Élosia, qui pouvait ressentir ce que j'ai ressentit comme si c'était elle qui l'avait vécu. Je reculai légèrement et, magiquement, je revêtis une tenue plus convenable. Une belle robe bleu-ciel aux manches longues remplaça les loques de mon autre robe souillée de sang. J'étais redevenue la vielle Raven, avec le retour de ma virginité et mon cœur amoureux à nouveau, mais bien moins impatient qu'autrefois. Je regardai ma sœur puis je fis ce que je n'ai fait qu'à Lana, jusqu'à maintenant. Je l'embrassai tendrement sur les lèvres. C'était pour moi la manière la plus directe de lui faire savoir ma gratitude. Le baiser dura un moment avant que je ne recule et que je ne souris une nouvelle fois.

-Ne le prends pas mal, ma Sœur. Je ne le referai plus si cela t'a déplu
^^

Elosia Darwell

Re : Quand la vérité frappe à la porte. (PV Raven)

Réponse 6 dimanche 11 octobre 2009, 08:59:57

Emosia fut ravie d'entre la voix de Raven chanter de tous son coeur, bien sur les termes abordé furent pour certain assez douloureux, soit par de la compassion, soit par une colère contenus, que pouvait-elle faire ? La frapper ? Cela n'aurait fait que du mal à Raven et l'humaine ne voulait cela pour rien au monde, elle ne voulait que le bien de l'elfe qui méritait largement sa place à côté de Ares, Elosia cachait quelque chose, rien que de voir Raven se mettre à chanter, lui donnait un coup de chaud et embrumait son esprit, non ! Elle n'allait tous de même pas tombée amoureuse d'une de ces sœurs ? Non cela devais être du au fait qu'elle avait ressentit les sentiments de l'elfe, bien que …

Elosia vit sa sœur changer de vêtement et son visage aussi avait changée, elle était devenue plus radieuse, c'était le retour de Raven et l'humaine s'en trouva ravit, elle allait pouvoir entendre une nouvelle fois la voix de Raven berce l'Olympe par son chant mélodieux. La prêtresse ne fit rien se laissant faire et une surprise l'attendit quand elle voulut complimenter l'elfe. Un baiser sur les lèvres, un baiser long et d'une douceur infini, plus doux encore que les très rare baiser de Ares, ce qui fit bruler une flamme de rage en elle, pourquoi Ares avait délaissé une femme aussi douce et fragile subir autant de souffrance.

- …

Elosia ne savait pas quoi répondre à la question de Raven, ces joue rougissant un peu, tels une gamine qui reçoit un compliment. Elle balbutia.

- Je … Si cela te fait du bien je ne suis pas contre.

Quelque chose tomba du ciel, deux carte, des cartes de tarot de Elosia, l'un étant le sablier et l'autre étant vierge toute blanche, c'était un jeu de tarot qu'avait fait l'humaine en cachette et cela voulait dire une chose, Raven allait certes avoir une meilleur vie, mais quelque chose dans peu de temps séparera Elosia de ces sœur et ceux pendant longtemps, voir à jamais, ne laissant pas ces peurs transparaitre sur son visage, elle sourit et dit avec une certaine joie.

- En tous cas maintenant je vais pouvoir t'embêter un peu.


Raven ne serait pas dupe, car c'était toujours la réaction que Elosia avait quand elle cachait quelque chose d'important.
Qu'est-ce que le vrai amour ?

Raven Miller

Invité

  • Messages:

Re : Quand la vérité frappe à la porte. (PV Raven)

Réponse 7 mardi 13 octobre 2009, 13:35:50

Je n'étais pas dupe, je voyais bien que ma Sœur avait changer de regard, l'espace d'un instant. Je savais qu'elle avait peur d'un truc, mais savoir quoi m'était actuellement impossible. Avec douceur, je pris les cartes de tarot des mains de la belle guerrière puis je les détruisis avec la magie. Le tarot pouvait nous prédire l'avenir, mais ce sont nos choix qui nous disent si l'avenir sera ce qu'il a prévu d'être. Je regarde ma sœur avec un air de reproche qui lui faisait clairement savoir que je n'appréciais pas du tout qu'elle essaye de visualiser le destin. Ce qui arrivera arrivera, le reste n'est que suppositions et calcule souvent fautifs des probabilités. Je caressai sa joue avec ma bonne vieille douceur dont je me croyais incapable de faire preuve une fois mon enfant partit. Je laissai ma main caressante glisser sur son épaule puis je pris sa main dans la mienne pour ensuite la poser à l'endroit de son cœur, la regardant droit dans les yeux. Je m'approchai et je lui fis un bisou sur la joue pour appuyer ma prochaine théorie.

-Le tarot ne démontre pas un avenir fixe, ce n'est qu'une possibilité parmi un millier d'autre. Aurais-tu pu prévoir que j'allais t'embrasser? Aurais-tu pu prévoir que tu arriverais à me sauver? Non. Tes choix sont les seuls facteurs de tes réussites et échecs. Tu es maîtresse dans ton avenir, si un destin ne te plaît pas, prend une autre voie. Et puis...

Je l'approchai de moi et je la serrai tendrement, entourant ses épaules d'un bras, l'autre lui enlaçant la hanche, plaquant un autre baiser sur les lèvres, sans qu'elle ne puisse s'en défaire. La vitesse d'exécution de mon corps comparé aux réflexes protecteurs d'Élosia était nettement supérieure alors, si elle le voulait, elle n'a pas pu m'empêcher d'agir. Prise dans cet élan, je plongeai ma langue dans sa bouche pour aller retrouver la sienne et engager une valse entre les deux membres buccaux. Le baiser dura un moment avant que je ne m'arrête enfin, un fil de salive unissant toujours nos langues lorsque j'eus reculé. Il se rompit assez vite, mais bon. Je regardais ma Sœur dans les yeux, prête à lui voler un autre baiser si nécessaire.

-... je ne veux pas que tu suives un destin qui t'éloignera, physiquement ou mentalement, de moi et de nos Sœurs. Je tiens beaucoup à toi, Élosia, même si on ne s'entend pas toujours très bien.

Elosia Darwell

Re : Quand la vérité frappe à la porte. (PV Raven)

Réponse 8 mercredi 14 octobre 2009, 07:01:37

Elosia ne fit aucun mouvement pour arrêter la destruction de ces deux cartes, chaque tirage amenait à leur destruction après leurs lecture, c'est pou cela que le jeu de tarot était toujours mouvant dans les images et les sens, ce que dit Raven ne l'ébranla pas, elle le savait, mais d'un autre côté n'est-ce pas l destin qui a amenée ces pas vers elle et qui  lui a dicté les mots à dire et les geste à faire pour ramener Raven à la raison, par contre on vit les joues de l'humaine se rougir quand l'elfe lui prit la main et le déposa sur son cœur. Cela faisait bien longtemps qu'elle n'avait pas eut de contact comme celui-ci avec une femme, en aimant Ares elle était devenue plus hétéro que bisexuel et à cet instant elle redécouvrait sa véritable nature, une femme qui peut aimer aussi bien un homme qu'une femme. Le baiser finissant de la déstabiliser. Il était vrais que les cartes n'avaient en rien prédit ces évènements, mais elle gardait en tête qu'un objet fait avec son âme et son cœur ne peut pas trahir.

L'humaine ne put rien faire devant la vitesse d'exécution de Raven qui était supérieur à celle de l'humaine, cette dernière était certes rapide et très instinctive, mais elle n'avait pas la vitesse ni la dextérité de l'elfe. Elosia fut surprit par cette réaction de sa compagne, ne s'attendant vraiment pas à ce genre de dérapage de sa part, elle ne tenta pas de se défaire de cette enlacement, déjà qu'elle était gênée et avait le visage tout rouge et ensuite, elle savait pertinemment que l'elfe la tenait bien et na lâcherait que quand elle le désirerait. L'humaine ne put retenir un cris étouffé quand elle sentit la langue de Raven passer le palier de ces dent pour aller rejoindre celui d'Elosia.

Au début elle voulut empêcher cette rencontre, puis devant l'insistance de l'elfe, elle céda sa langue à celui de Raven, s'en suivit un baiser long et plein d'émotion où se mêlait confusion, doute du cœur et une pensée.

*Suis-je vraiment amoureux de Ares et pas plutôt de Raven ?*


Elle fermât les yeux pendant un laps de temps très court et chasser cette idée, non elle ne pouvait pas être tomée amoureuse d'une des sœur de batailles et encore moins celle qu'elle considérait comme sa grande sœur et elle n'avait jamais fait quoi que se soit avec une femme, l'humaine vit très bien que Raven était près à le refaire et elle déglutit. C'était la première fois que Raven pouvait voir que Elosia n'était pas à l'aise et qu'elle avait des doute, en plus de son visage tous rouge, elle dit avec une timidité qu'elle n'avait jamais eut avant.

- …  Tu me connais je ne ferait rien qui te blessera … Euh … vous blessera vous trois.

Elosia se retourna, la mains sur son cœur qui battait la chamade, son corps avait chaud, tout les symptôme qu'était l'amour, l'humaine tenta de calmer déjà son cœur, il aurait été mal vue sur l'Olympe et par les autres soeurs qui étaient déjà assez furax contre elle d'être, soi disant, plus près d'Ares que les autres, si seulement elle savait la vérité. Mais pour l'instant elle tenta de calmer les battement de son coeur qui allaient à 200 km/h.
Qu'est-ce que le vrai amour ?

Raven Miller

Invité

  • Messages:

Re : Quand la vérité frappe à la porte. (PV Raven)

Réponse 9 vendredi 23 octobre 2009, 01:27:00

Je ne pus m'empêcher de sourire, à la voir aussi embarrassée. Moi, mon cœur était maintenant bien plus grand et pouvait aimer tout le monde tout en gardant Arès en priorité. Élosia était une personne très précieuse pour moi, pour mon âme comme pour mon corps, puisque je me sentais bien quand elle était à mes côtés, avec son aura de réconfort, de sureté et d'assurance. Ses insultes à mon égard à cause de ma grossesse ne m'atteignaient plus, je me sentais enfin tranquille de toutes douleurs morales et autres. Je m'approchai alors doucement d'elle, qui s'était éloignée, puis je l'enlaçai doucement, passant mon bras droit autour de ses épaules, mon bras gauche serrant ses côtes juste sous les seins, les comprimant sans vraiment en avoir l'intention. J'exerçai un peu de force sur elle, la gardant contre moi. Mes seins se collèrent à son dos, mon visage prit place à coté du sien, sur son épaule, et je l'embrassai sur la joue, avec un amour non feint. On était sœurs d'esprit, mais nous n'avions aucun lien de sang, alors, ce que je faisais, j'en avait le droit. Arès restait présent dans mon cœur, mais rester accrochée à lui et devenir dépendante ne me fera aucun bien. Mes baisers descendirent dans son cou à la peau tellement tendre que j'avais peine à résister à la vampirique envie d'y plonger mes crocs. Lentement,  pleine de provocation et de sensualité, je me mis à lécher et mordiller son oreille, avec une toute nouvelle personnalité.

Je me sentais nouvelle, bien plus différente. Je n'ai jamais démontré une telle énergie sexuelle auparavant, je n'en ai jamais réellement éprouvé. Un jour, je porterai un autre enfant, mais cette fois, je serai prête à tout pour le protéger contre les dangers, je ne le perdrai pas à nouveau. Je glissai doucement ma main la plus basse, soit la droite, sur la ceinture de l'arme de ma Sœur chérie et, d'un mouvement agile, je la lui détachai. Le fourreau glissa sur le sol ainsi que la ceinture de la jeune femme avant que je ne glisses une main dans ses vêtements inférieurs pour caresser son bas-ventre. Élosia n'avait jamais approchée une femme auparavant, je le savais pour l'avoir souvent surveillée, mais je savais qu'elle avait très envie de le faire, parce qu'elle faisait partie des gens qui voulaient explorer toutes les possibilités avant de faire un choix, ce que je lui offrais maintenant en lui accordant une nuit à aimer mon corps. Ma main gauche se pose alors sur son sein du même coté et se met doucement à le malaxer, ma technique étant très douce, d'une qualité digne d'une experte, bien que je n'en sois pas vraiment une.

-Pour une nuit, Élosia, une seule nuit. Tu n'y perdras rien, je t'assure, tu as tout à gagner, alors, ne crains rien et laisse toi faire par les caresses de ta Sœur d'arme.

Après tout, que pourrait-elle bien perdre? Arès n'est pas un homme jaloux, avec nous... même qu'il n'est jaloux avec personne, ce qui est plutôt triste, si on considère que nous, les femmes, aimons que l'homme qui possède notre cœur nous considère comme leur joyau, sachant tout de même que nous ne sommes pas leur propriété. Je caressai doucement la joue de ma commandante, attirant ses lèvres contre les miennes, mes sortilèges l'empêchant pour les premiers contacts de se défiler à ces choses, juste lui laisser un avant-goût. Je m'arrêterai si elle démontre une réelle envie de se défaire de moi et j'effacerai sa mémoire, comme ça, elle ne m'en voudra pas de lui avoir fait des avances.

Elosia Darwelle

Re : Quand la vérité frappe à la porte. (PV Raven)

Réponse 10 vendredi 04 février 2011, 21:58:01

Elosia ne vit pas Raven arriver derrière elle, pour tout dire l'humaine était trop occupée à calmer son coeur qui battait la chamade, elle eut presque un sursaut de surprise en sentant l'étreinte de l'elfe, paralyser la moindre tentatives de fuite, faire un pas en avant serait sentir les bras de l'elfe se resserrer inexorablement contre son torse et comprimer davantage sa poitrine, qu'elle savait au combien sensible, d'où le port récurent d'armure pour palier à cette faiblesse, mais plus que sa propre poitrine, ce fut celle de l'elfe qui la fit réagir, devenant encore plus mal à l'aise de sentir les seins de Raven aussi bien à travers sa tenue de prêtresse.

L'humaine sentit son coeur reprendre une cadence rapide, son visage ne pouvant devenir plus rouge, elle eut comme un léger vertige, elle sentait que Raven n'était pas vraiment la même qu'autrefois, une sorte de perversion bénigne c'était rajouté à ses traits doux, les lèvres de l'elfe déroutèrent complètement la pauvre humaine, qui ne se doutait pas que de simple baiser pouvait la troubler autant. Elle ne put retenir un léger gémissement en sentant sa compagne mordiller son lobe, la rendant légèrement honteuse de se comporter ainsi, si une personne la voyait ainsi, s'en était finit de sa réputation, mais elle se disait que si cela permettait à sa soeur de bataille de retrouver la joie de vivre, une réputation cela peut rapidement se refaire, ce qui n'est pas le cas des amis.

C'est frémissant sous les caresses de Raven, cherchant à défaire son arme, qu'elle voulut dire quelque chose, mais le mal était déjà fait, Elosia se sentait nue sans arme, elle se mit légèrement sur la pointe de pieds pour tenter de fuir la main baladeuse, faisant pousser de léger gémissement, Elosia se faitasiat passer pour une dure, mais en vérité, elle était très sensibles.

Son supplice continua avec le massage de son sein gauche, l'humaine tenta de se courber en avant, mais la magie de Raven empêchait cela, elle se mit à avoir le souffle saccadé, signe que les stimulation de Raven faisaient leurs effets. L'esprit d'Elosia était un vrai brouillard, la demande de sa soeur fut accueillit par une phrase qu'Elosia n'aurait jamais pensez dire un jour.

- Arrête ... Raven ... si tu ... continues ... je vais devenir ... folle ...  Laisse moi ... un temps mord.

Si un jour on avait dit à Elosia qu'elle céderait sous les caresses de Raven, elle en serait morte de rire, mais actuellement elle éprouvait surtout une certaine gêne, Elosia n'étant pas habitué à être soumise, surtout envers ses soeurs, elle se sentait mal à l'aise d'éprouver une explosion de sensation et de ne pas vraiment désirer que cela s'arrête.

Raven Miller

Invité

  • Messages:

Re : Quand la vérité frappe à la porte. (PV Raven)

Réponse 11 samedi 05 février 2011, 01:01:51

Je la fis doucement tourner vers moi et je l'embrassai sur les lèvres une nouvelle fois, refermant mes bras sur elle pour la serrer fortement contre moi. Étant à peu près de la même taille, nos seins se frottaient involontairement les uns aux autres, mais cela n'avait pas d'importance. J'avais besoin d'elle. J'avais besoin de sa présence, de sa douceur, de sa tendresse, cette tendresse à laquelle je n'aurai plus jamais droit de toute façon. J'aurais bien aimé lui dire des mots d'amour, mais je savais que nous serions trop souvent séparées pour pouvoir un jour former un couple et je risquais de toucher une partie d'elle qu'elle voudrait garder intacte. Vous savez, ce sentiment étrange de priver quelqu'un de ce qu'il désire? C'est horrible. De plus, je ne voulais pas lui causer de peine. Nos sentiments respectifs étaient différents quoique similaires. Contrairement à elle, j'étais immortelle. Si je tombais réellement amoureuse d'elle, notre histoire serait malheureuse. Je lui ai caressé le visage, tout doucement, avant de l'embrasser à nouveau sur les lèvres, glissant doucement mes mains sur le dos de ma compagne.

-... Si tu le veux, repousse-moi... mais pas de temps morts...

Je suis allée cacher mon visage dans son cou, par peur d'être repoussée. Je n'étais certainement pas la plus jolie des prêtresses ni la seule qui faisait les yeux doux à la Générale, mais si elle ne voulais pas de moi, je ne voulais pas le savoir. Je reculai doucement puis je relâchai la magie qui l'empêchait de bouger, le cœur douloureux. De toute façon, ce n'était pas si grave, si elle partait maintenant. Si je ne me faisais pas de fausses illusions, je n'aurai pas mal, et elle ne changera pas son comportement à mon égard. Arès, Pandora, grand-papa et maman, ils m'ont tous rejetée, alors, une de plus, cela ne me dérangera pas. Je sais bien que je ne suis pas toujours la bienvenue où que j'aille. J'attendis. Elle n'avait pas bien longtemps avant que je prenne la fuite à travers l'espace et le temps. En fait, elle avait une dizaine de secondes, car j'invoquais déjà la magie, la regardant dans les yeux avec assurance. Si elle ne se décidait pas bien vite, elle serait sauve, car je partirai et aucune souffrance ne l'atteindra. Cependant, si elle se décidait à m'accorder son coeur pour un moment, alors, nous serons heureuses et nous ne souffrirons pas tout de suite.

La magie s'activait. Je sentais mon corps qui me démangeait affreusement. Se déplacer dans un autre espace était une opération désagréable et difficile, mais au moins, je pourrai la fuir sans gêne. Je la défiais du regard, puis, je commençai le décompte. "Un". La magie s'intensifia. Mon corps au complet tremblait sous la douleur de la séparation des atomes, car il fallait être réduite à néant pour passer dans un petit trou d'espace-temps.

Elosia Darwelle

Re : Quand la vérité frappe à la porte. (PV Raven)

Réponse 12 samedi 05 février 2011, 10:16:37

Paradoxalement elle voulait ne pas en connaître davantage, mais être près de Raven, qu'elle considérait comme sa grande soeur, la faisait un bien fou, Elosia avait caché que l'absence de l'elfe l'avait comme poignardé le coeur, elle tenait à toutes celle qu'elle commandait, si plus d'un leader aurait hésité à mettre sa vie en jeu pour ses subordonné, Elosia n'aurait pas hésité, elle aurait même brandit son arme contre Zeux lui-même, l'amour d'autrui, une faiblesse humaine qui a engendré plus d'une histoire tragique et dont plus d'un joueur de théâtre s'en est inspiré.

Elle se savait mortelle, comparé à l'elfe, étant humaine elle voulait profiter de sa vie comme cela lui chantait, mais il était vrai que la peur de la mort était dans les gênes de l'humaine, qui ne pouvait à cause de ça se permettre d'avoir de relation avec une personne immortelle. Mais elle sentait une douleurs similaire naître dans l'esprit de Raven, on ne côtoie pas ses subordonnés sans acquérir des affinités.

Quand elle entendis sa compagne qu'elle pouvait la repousser, elle voulut se mettre à la crier dessus, mais un manque de force vint, sans doute Elosia ne voulait pas la blesser, après tout, Raven avait eut tellement de souffrance, l'égratigner d'une nouvelle marque serait prendre le risque de la faire retomber dans son état de dépressive suicidaire.

C'est alors que l'humaine sentit l'atmosphère se mettre à changer, un léger vent qui n'avait pas lieu d'être se fit sentir, Elosia sut immédiatement ce que tentait de faire Raven, son coeur fut de nouveau tyrannisé par la pensée que de nouveau drames pouvait survenir sur l'elfe.

*Ne part pas, reste.*


Son corps semblait se mouvoir au ralentit, comme si quelqu'un voulait l'empêcher de bouger, son corps ne semblait pas être fait de chair et dos, mais de plombs elle enlace Raven, le corps de l'humaine se mit à trembler, des larmes coulèrent le long de sa joue.

- Ne part pas ... Pitié, ne part pas. Vous m'êtes toutes précieuses, sans vous je ne serais pas là, sans vous je ne serais pas ce que je  suis. Vous êtes ma famille après tout, je ne veux pas te voir partir je ne sais où et prendre le risque de te revoir encore brisé.


Elosia serra un peu plus son étreinte.

- Si tu dois partir, je viendrais avec toi, nos soeurs aussi.

L'humaine montrait une facette qu'elle avait caché, celui de la femme se préoccupant des autres.


Répondre
Tags :