Pepper comptait bien rendre Astrid accroc, et faire en sorte qu’elle revienne encore au Madame Xanadu, et, même, en faire une amante régulière. Avec elle, les clients, les bons clients, devenaient fréquemment des amis. Pour Astrid, c’était très certainement ce qui allait se passer. La jeune femme était très particulière, et, après cette première séance, Pepper était impatiente de continuer. Elle détacha sa culotte gode, et se retrouva allongée en compagnie d’Astrid. Les deux beautés s’embrassèrent longuement, et les doigts d’Astrid glissèrent contre ses cuisses, venant titiller son bourgeon, la faisant gémir de plaisir.
« Hmmm... A-Astrid, haaaa... »
En fait, elles n’étaient plus vraiment, maintenant, dans une relation de clientèle. Non, il s’agissait vraiment d’une union entre deux amantes, deux concubines désireuses de se faire joyeusement l’amour. Pepper avait d’ailleurs encore des idées en tête, mais laissa Astrid remuer ses doigts dans son sexe pendant quelques instants, avant de soupirer, et d’entendre Astrid avouer qu’une seule soirée sera bien insuffisante pour épancher sa soif de sexe.
Pepper en gloussa brièvement, et caressa d’une main le visage de la femme, glissant sur ses joues, et avança l’autre, usant des doigts de sa seconde main pour caresser délicatement les lèvres de la jeune femme.
« Mes cuisses te sont grandes ouvertes, ma chérie... Et pas pour ce soir uniquement. »
La femme lui sourit encore, et l’embrassa à nouveau... Puis donna des coups de bassin, et retourna Astrid, la couchant sous elle, avant de se redresser. Pepper se mit à califourchon, et, si jamais Astrid devait faire mine de la suivre, Pepper la repousserait avec ses mains sur ses épaules, maintenant ainsi la jeune femme contre le lit.
« Et si on passait à la suite du programme, hein, ma chérie ? » demanda alors Pepper en se mordillant les lèvres.
Elle se retourna alors, présentant son dos à la femme, puis se pencha en avant, creusant son dos, et se redressa lentement, adoptant, peu à peu, une position très connue... Son bassin s’approchait des lèvres d’Astrid, et ses propres lèvres s’approchaient également du bassin de la femme... C’était bel et bien la fameuse position du 69.
De quoi se faire mutuellement et joyeusement plaisir !