Deux pour le prix d'une [ Rachele]

Au sein d'un grand manoir en dehors de la ville, vit une famille aisé dans les petites campagnes de Seikusu. Cette fortune, la famille ne la doit à nul autre personne qu'un homme âgé de 47 ans, couramment appelé par ses associés monsieur Mickaël. Son nom n'est pourtant qu'un pseudonyme servant de couverture pour ses affaires douteuses, particulièrement celles avec la mafia depuis que la famille a quitté l'Angleterre pour le Japon. Mais lorsque l'ont flirt avec la pègre, avec ces individus dangereux et mystérieux qui tirent dans l'ombre les ficelles de la ville, aucun faux pas n'est permis... Surtout pas lorsqu'il s'agit d'argent.

L'épouse quant à elle n'as pas autant d'influence, le dos ancré contre le siège d'une chaise roulante, les jambes inertes dut à un dramatique accident de voiture. Un véritable gâchis lorsque l'ont aperçois la beauté de cette femme qui aurait surement été rayonnante, en d'autre circonstance. Ses filles, deux fausses jumelles, ont heureusement hérités de tous ses traits de beauté et d'intelligence, à tel point que personne ne pouvait nier l'évidence : La jeune femme en mettant ces deux joyaux au monde, avait fait tout ce qu'il fallait de sa vie.

L'une rousse, l'autre brune, les deux soeurs ont bien assez de différences physiques pour être reconnus au premier coups d'oeuil. Pourtant, bien des similitudes jonchent les corps de ces deux jeunes filles âgées de 18 ans. Elles font par exemple exactement la même taille, le même poids, le même tours de poitrine d'un bonnet d'ailleurs rond et plaisant. Malgré ces ressemblances de silhouettes frappante et des gouts en communs, quelques différences mentales séparent d'une barrière les deux soeurs.

Anastasia par exemple, de son visage affirmant une confiance en soit inégalé et encadré par une longue chevelure couleur bois de chêne est bien plus sportive que sa soeur. Course à pieds, natation, sport de combat... La belle accumule les prix sur les disciplines sportives extra-scolaire et ce depuis l'école élémentaire. Son endurance n'est pas à prouver et lorsqu'elle porte lors d'une compétition son regards noisette sur un adversaire, c'est nul autre que pour gagner. Ce parcours est surement ce qui a contribué à son esprit fort et à son caractère très combatif, aucun défis n'est trop grand, pas même celui de vouloir devenir une avocate de renom plus tard, dans cette ville ou il fallait montrer les crocs. Quant à sa soeur, Lola, il est évident au premier coups d'oeuil que le sport n'est pas son atout principal. Ses grands yeux bleu dépourvus de combativité devant l'adversité le prouvent bien, mais vont de paire avec cette longue chevelure rousse, lui offrant un charme incomparable. Si elle n'est pas aussi sportive pour autant, Lola à elle aussi ses atouts et capacités à faire valoir. Comme sa concentration exemplaire en situation de panique, son sens du discernement ou encore son intelligence nourrit par une curiosité sans bornes. C'est un duo remarquable et presque sans faille qui se complète lorsque les deux sont réunit.

Ces deux bijoux qui comme chaque vendredi soir faisaient les boutiques auraient pu passés un week-end tout à fait banal, au détour d'une soirée chic, collectionnant les conquêtes d'un soir auprès de quelques riches courtisant. Mais pas cette fois-ci...

Devant le manoir familiale, Lola et Anastasia sac de vêtements en mains découvre le portail grand ouvert et une longue limousine flambant neuf. Le noir brillant de la carrosserie reflète outrageusement les rayons du soleil alors qu'un chauffeur semble attendre patiemment à l'intérieur, derrières des vitres à demis teintés. L'escorte cumulé autours comporte quelques hommes de main peu accueillant et qui ne ressemble pas vraiment à des hommes d'affaires. Observation confirmé parle visage déconfit du père qui semble être interrompu en pleine supplication face à une élégante femme, à la poitrine plus généreuses encore que celles des jumelles. Habituellement la règle de bonne conduite était la suivante : Ne pas se mêler des affaires touchant à la vie professionnel, ne pas demander d'ou venait l'argent. Anastasia brisa pourtant ce silencieux tabou après avoir jugé que quelque chose ne tournait pas rond.

Père ?

A cela, Lola, ajustant une mèche rousse derrière son oreille, ajouta :

Vous ne semblez pas dans votre assiette.

Les yeux étaient pour le moment rivés sur le père et non sur la femme, qui semblait malgré sa carrure et sa prestance invisible aux yeux des deux filles, inquiètes de l'état pâle de l'homme.

Perdu, il répéta une dernière fois à voix basse en n'osant regarder autre chose que le sol carrelé " l'argent arrivera bientôt, cette fois c'est sur..." plusieurs gouttes de transpirations ruisselaient sur ce visage figé et sans espoir. Que se passait-il réellement dans le manoir ?

Le poing de Marco s'abat une nouvelle fois sur le crâne de Monsieur Mikael qui se prend le visage entre les mains, grognant de douleur.

- Tiens... tiens... tiens...

Dit la femme mystérieuse dans sa grande robe crême à cuissardes en se tournant vers les nouvelles arrivantes.

- Bonjours mes ravissantes petites resquilleuses... nous ne vous attendions pas pour la fête...

Elle se tourne vers l'homme au visage tuméfié.

- Tu m'avais caché que tes filles étaient si belles Mik... je suis vexée... et dire que tu me bassine depuis des mois sur un argent que tu n'auras jamais... alors que tu possède des choses tellements plus interessantes.

Un pas lourd résonne derrière les deux jeunes femmes. Sans même avoir besoin de se retourner, elles remarque q'un gigantesque homme de main se tiens désormais juste derrière elles et les empèche de tourner les talons.

- Non les filles, allez vous en. Max... je vous en prie... laissez mes enfants tranquille, c'est moi qui doit payer pas elles...

Dit il en crachant sur le sol un amas de salive sanguignolante. Mais seul lui répond le craquement des phalanges de Marco sur son visage.

- Comme votre père vient de le dire, je suis Max, et il se trouve que votre géniteur me doit une forte somme d'argent. Et contrairement à ce qu'il crois... tout ce qui lui appartient, m'appartient temps qu'il ne m'a pas rêglé sa dette.

Mikael essai de se débattre, ses filles remarquent alors qu'il est attaché à son siège et que la brute qui le martyrise est armée d'un révolver...

- Ne te fait pas du mal pour rien Mik... Laisse plutôt tes filles se présenter, je meurs d'envi de les connaitre. Alors mes damoiselles... comment vous nomez vous ?

Rachele écoute avec un sourire sournoi les paroles des deux jeunes femmes en tachant de noter si elles sont fortes ou faibles, si elles ont du répondant, ou si elles ne valent pas le coup de jouer. Elles ne le savent pas encore, mais Lola et Anastasia sont sur le point de voir le vie changer en fonction des mots et des actes qu'elles vont tenter de dire et d'accomplir.

L'étendue de la situation n'est plus la même, l'atmosphère gagne une intensité sombre et angoissante presque palpable lorsque les coups s'écrase, que le sang gicle. Anastasia serre autant les dent que les poings, tandis que Lola, choquée, ne trouve pas la force de se mettre en colère ni de dire quoi que ce soit. C'est une véritable vision d'horreur, un cauchemar dont n'importe qui aimerait se réveiller mais dont la véracité se mesure vite. D'un geste de bras affirmé, Anastasia recule sa soeur comme pour lui dire qu'elle prends le relais, que tout ira bien, prêt à en découdre. La brune comprends très vite que cette femme au charisme impressionnant est le cerveau, et qu'elle n'as rien d'un associé , ni même d'une vieille amie.

C'est facile de parler avec une arme pointée sur quelqu'un, ça rends tout de suite plus fort... Je vous plain si vous avez besoin de ça pour étendre votre autorité.

La provocation compte tenu de la situation n'était peut-être pas la meilleure idée et pourtant Anastasia ne peut s'en empêcher, comme un besoin viscérale de ne surtout pas se laisser faire. Elle ne flanche pas une seule seconde et soutient le regard de la femme plus âgée, en pensant qu'elle lui aurait déjà sauté à la gorge si ce gorille n'était pas derrière elles, surement prêt à rattraper le moindre mouvement excessive. Quant à Lola, elle décide de jouer la carte de la diplomatie en pensant qu'il n'était peut-être pas trop tard pour trouver un arrangement.

Anastasia et Lola, filles unique de...
Hé hé !! Combien de fois je te l'ai dis, on règle pas tout en parlant. Cette garce ne fera pas ce qu'elle veut de nous.

Ni même ses larbins. Un petit regards derrière l'épaule pour jauger de la taille exact de ce garde est envoyé par Anastasia, les yeux foudroyants et un soupir de mécontentement. Elle semble se résigner, les yeux de nouveau portés vers son père, puis vers cette femme. Mais ce n'est qu'une feinte pour agripper les noix de l'homme derrière elles, par surprise, broyant d'une poigne de fer les burne de cette silhouette imposante. On avait beau être une armoire à glace, le point faible ultime de l'homme lui restait le même.

Cours !

Mais Lola ne bouge pas, elle a déjà analysé la situation et sait que la fuite n'engendrerait que la frustration et la colère. Avec une arme pointée sur la tempe de leurs pères, il était préférable de son point de vue de ne pas bouger, et d'apaiser le jeu à sa manière si l'occasion s'en présenterait. Elle n'était peut-être pas aussi forte que sa soeur, mais elle savait au mois discerner ce qui l'entourait au mieux. Tout le contraire de sa soeur qui s'élance sans réfléchir vers la femme, presque prête à la tabasser. Elle retint ses pulsions, le regarde figé dans le sien.

Sans tes gardes du corps, tu n'aurais pas le même sourire avec ta tronche écrasée sous mon pied.
Si ce n'est qu'une histoire d'argent on... on doit pouvoir s'arranger. On peut travailler après les cours ma soeur et moi, ou organiser une vente aux enchères. On possède un tas d'objets de valeur qui pourraient intéressés les commissaires priseurs. La somme ne doit pas être si grande !

Le père, un filet de sang coulant hors des lèvres et divers hématomes marquant son visage, ne trouve même plus la force de parler tant la douleur sur sa mâchoire fait pression.

Je t'avais pas dis de courir ? t'es irrécupérable...

Anastasia sourit, elle le savait bien après tout, sa chère soeur n'en avait peut-être pas l'air mais elle était forte elle aussi, et loyale. Prendre la fuite, jamais Lola n'aurait pu s'y résoudre si facilement quel qu'en soit la raison. La seule peur qui raisonne cependant dans le crâne de la brune est que l'ont utilise sa soeur comme second otage. Elle avait beau savoir se défendre, Anastasia était capable de tout pour défendre sa soeur, même à ravaler sa fierté débordante. Elle étaient en quelque sorte chacune le point faible de l'autre.

T'aurais déjà tiré si tu voulais le faire, mais un mort ça rembourse pas... Alors détale de chez nous et je te jure que tu auras bientôt ton argent.

Le sourire de Rachele se fait plus cruel et ses yeux se plissent à mesure qu'elle écoute Anastasia lui cracher au visage. Quand finalement elle choisit l'option de l'attaque, la gangster hausse un sourcil de surprise et ricane de manière lugubre et séduisante.

Pendant que le premier gorille, à genou, se masse les testicules en souflant et en gégnant de douleur, l'autre dégaine son révolver et le pointe sur la brunette rebelle. Rachele écoute alors Lola s'exprimer et tenter d'aranger les choses, son étonnement laisse à nouveau la place à un sourire sournois et malicieux.

- C'est bien ma belle, tu es plus résonnable que ta soeur, et plus intelligeante aussi... on va bien s'entendre toi et moi. Tu as raison... nous alons trouver un terrain d'entente et tout va rentrer dans l'ordre.

Dit elle d'un ton conscilient qui ne lui va pas du tout et qui sonne faux.

- Je suis sure que tu me sera d'une grande aide pour... comment dire... "canaliser" ta soeur le moment venu.

Monsieur Mickael essai de gromeler de réprobabtion entre ses dents brisées, mais l'homme de main, ayant parfaitement compris que leur victime à changé,  lui ascène simplement un coup de crosse derrière la nuque pour l'assomer.

Rachele continue de deviser comme si de rien n'était en ignorant les diatribes haineuses d'Anastia.

- Vous avez donc décidé de payer pour votre père, très bien, j'en suis ravie...

Mais alors que les jumelles pensent qu'un accord peut etre trouvé, trois hommes arrivent d'un pas feutré dans leur dos. Deux d'entre eux sont cagoulés, le dernier, à la chevelure blanche cendrée, porte une veste vieille et crasseuse et des lunettes glacées.

- La limousine est prête Max... on peut partir.

- Merci Ivan... Votre père me doit donc 57 millions de dollars.

Rachele admire la déconfiture sur le visage des jeunes femmes et se délècte de leur expression quand elles comprennent qu'elle ne pourront jamais honnorer cette dette.

- Rassurez vous petites salopes, à vous deux je finirais peut être par éponger l'ardoise de votre père. En revenche j'irai beaucoup plus vite en vous y aidant... personnellement...

Elle claque des doigts, les deux gorilles masqués empoignent les deux jeunes femmes et leur plaque un épais mouchoir de tissu sur la bouche et le nez. Instantannement, une odeur âcre et insupportable leur monte au nez et chaque inspiration leur fait un peu plus tourner la tête et perdre pied. Même si Anastasia décide de se débattre, elle ne parvient pas hélas à se libérer de l'étreinte du mastodonte. Si les jumelles retiennent leur respiration, le chorophorme fera peu à peu effet...

Rachele se rapproche de la rouquine, un long cutter à la main. Comme un rapace, elle s'attaque à la moins agressive des deux soeurs pour s'assurer de ne pas prendre de coup pendant qu'elle commence à jouer avec elles.

- Je crois que je vais m'occuper de la petite intello en premier... qu'en pense tu Anastasia ? Tu veux que je te montre ce que je peu faire avec ta soeur ?

Elle passe le cutter entre les seins de la robe de Lola et le fait glisser sur l'etoffe. Avant qu'elle ne perdent conscience, Lola assiste impuissante au spectacle de sa robe qui glisse le long de ses formes généreuses et révèle son corps de rêve à tout les hommes de la pièce.

Pour que la jeune femme craque et cesse de lutter, la gangster prend délicatement un de ses tétons dénudé entre les doigts, et commence à le lécher, l'excitation obligeant sa victime à respirer plus vite et plus fort...

Plus robuste que sa soeur, Anastia assiste avant de sombrer à son tour, au combat de sa soeur victimes du jeu pervers et sexuelle de cette femme horrible, qui s'affaisse petit à petit sous le poid du sommeil.

- Bonne nuit mes nouvelles petites putes...

--- LE RACHELE'S - DERNIER SOUS-SOL - L'ASYLUM ---

Le bruit strident d'un grincement de roulettes sort brusquement Anastasia de sa léthargie. Les yeux encores embrumés et le corps lourd, elle se sent flotter étrangement, voit défiler devant elle des couloirs de béton lissé et craquelé par endroit. L'odeur de transpiration, de sexe et de produit d'entretiens lui assaillent les narines et lui rappel étrangement l'odeur d'un vieille hopital.

Rapidement, elle réalise qu'elle ne peut pas bouger, elle est engoncée dans une camisole de force qui lui tient chaud et lui sangle fermement les bras sous les seins. Un gros objet spherique lui obstrue la bouche et l'empèche de parler, elle ne peut que gémir ou crier sous son baillon boule. 
La fraicheur sur ses fesses, ses jambes, et comble de l'horreur, sa vulve, lui fait réaliser qu'elle est entièrement nue à partir du bassin.

La vue lui revient maintenant normalement et elle entend des sons étranges, des cris de douleur, de plaisir, de folie... tout ça à la fois, et qui semblent venir de toutes les portes devants lesquelles elle passent. Elle réalise qu'elle est sanglée à une sivière par le bassin, les cuisses, et les chevilles, impossible donc de se retourner mais elle devine deux silouettes féminines qui la pousse toujours plus loin dans cet endroit terrifiant. Les deux femmes rigolent et échangent des plaisanterie dégradante à son sujet et semble l'appeller "patiente" et non pas Anastasia.

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Le voyage prend fin quand l'une des deux infirmières prend les devants et toque à une porte. Anastia reconnait la voix de son ennemie jurée qui les autorise à entrer. L'infirmière ouvre la porte pendant que l'autre fait entrer la "patiente" dans la pièce. Celle-ci ressemble à un vieux bloc chirurgical désafecté et réaménagé en dongeon SM à ceci près que les lampes, les tables à ustencils et d'opération sont toujours là.

L'une des deux infirmière referme la porte, et enlève le baillon d'Anastasia pour qu'elle puisse parler, maintenant qu'elles sont dans un lieu plus calme que les couloirs. L'attention de la belle rebelle est atirée par des gémissements etouffés, comme criés au travers d'un baillon comme celui qu'elle portait quelques secondes plus tôt.

En relevant la tête, elle assiste à un spectacle horrible. Sa soeur, si calme, si intelligeante, la fierté intellectuelle de la famille, est intégralement vétue d'une combinaison moulante en vinil qui l'etouffe et lui tient horriblement chaud. Comme sa propre camisole, la tenue de Lola lui sangle les bras sous les seins et les réhausse. La rouquine est attachée de toute pare et ses jambes sont écartés et attachées à une crois montée sur des roulettes pour qu'on puisse, comme pour la sivière, la déplacer où on veux comme si elle n'était qu'un meuble.

Le visage de Lola, rouge et gonflé à cause de la chaleur et du manque d'air, est outrageusement couvert d'un bandeau aveuglant en cuir et d'un épais baillon boule. La pauvre jeune fille qui avait toujours compté sur ses talents d'auratrice pour les sortir du pétrin, était maintenant réduite à sa simple condition de jouet sexuel, un gachi monumental pour qui sait quel esprit extraordinaire se cache sous ce dispositif odieux.

Comble de l'horreur, Anastasia remarque qu'un triangle de vinil a été découpé entre les jambes de sa soeur pour offrir à tout les regards la vue de sa vulve intacte et délicate, encore saine des ravages d'une sexualité active et répétée. La rebelle remarque également que quelques goutes de ciprines glissent entre les cuisses de sa soeur, comme si on venait de la toucher, de l'ecxiter.

Rachele, se tenant devant Lola, accueil Anastasia avec un grand sourire, elle tient dans sa main un petit speculum en métal (outil gynécologique pour écarter les lèvres) luisant de ciprine fraiche.

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- Ma nouvelle petite pute rebelle ! Tu as bien dormie ? Tu vas être surprise mais j'ai reussie à reveiller ta soeur bien avant toi pour commencer à mieux la connaitre. On a beaucoup parlée toute les deux, elle à une discution passionnante. Elle m'a proposé des tas de solutions très intelligeantes pour vous sortir de là, des plans qui pourraient même éponger la dette de votre père ! N'est ce pas merveilleux ?

Elle caresse le visage de Lola qui tressaille.

- Mais au bout d'un moment ça m'a pris la tête, c'était trop compliqué, réalisable ein, mais trop compliqué. c'est un peu une mademoiselle "je sais tout" ta soeur tu sais ?. Alors je lui ai faite fermer sa gueule et maintenant je regarde combiens elle vaut.

Elle se retourne vers Lola et pose ses doigts de chaque coté de ses grandes lèvres. La rouquine s'étrange sous son baillon et supplie en tentant de se débattre. Mais Rachele à la main sure, elle écarte légèrement les lèvres de sa prisonnière et commence à insérer le petit speculum pour voir si la jeune femme est vierge ou pas.