Mon coeur battait la chamade, que c'était il passé pour que tant de chose ne se produise. Pour le moment je n'étais pas vu ni repérer par le deuxième monstre, le premier était passé à quelques centimètres de moi en détalant, elle était fort agréable à regarder cela dit, mais m'avait laissé avec quelque chose de violent dans cet endroit.
Bon, j'avais quoi pour m'en occuper ? Une arbalète avec une légère quantité de carreaux, une lame qui pourrait éventuellement achever la bête si je réussissais à l'immobiliser et des torches, des torches. Qu'est-ce que je pouvais bien faire avec des...ooooh l'endroit était devenu extrêmement sombre depuis qu'elle avait fuit, cinq bonne minutes que je ne bougeais pas, respirais à peine et ne parlais encore moi. Je regardais à certain moment là bête qui passait devant l'entrée en faisant tremblait les paroies à force d'hurler dans les cavernes. Le plafond s'effritait presque à force de détruire les piliers...Et de la terre mélangée à de la roche venait se posait sur mes cheveux. Eurêka ! Et heureusement parce que cela devenait de plus en plus difficile de respirer. J'allumais mes torches huilés d'un coup sec et les jetta un peu partout dans la pièce, aveuglant la bête habituée à la pénombre. Puis je décocha un carreau sur le plafond au dessus de sa tête avant de glissait dans mon trou... l'éboulement eut lieu...enfin...répendant dans la pièce terre...Pierre lourde et autre. Le monstre bloqué sur un rocher de debatta sans grande peine pour se déterrer mais j'étais déjà au dessus de lui quand sa tête depassait. Son oeil s'ouvrit, j'y passais ma lame entièrement en me maintenant pour ne pas lâcher l'arme, la bestiole couina, grogna dans tous les sens mais fini par s'immobiliser, je sentais une deuxième partie de plafond s'écrouler suite aux cris stridents du bestiaux étant planté. Heureusement pas de pierre, en tout cas pas sur moi. Juste de la terre boueuse dont je m'extirpa, peu désireux que ce tombeau soit le mien. Je me redressais et m'epoussettais en toussant. Avec un peu de jugeote cela s'avèrait simple. Ils n'avaient pas arrêter de détruire les piliers porteurs. Heureusement ceci paraissait plutôt stable...aussi je traîna le plus d'or possible à l'extérieur de la pièce, à peine quelques minutes avant que cela ne s'effondre entièrement. J'en sortais en veux tu en voilà. Et je le trouvais. Un anneau, d'apparence simple, en bronze. Mais d'une petite valeur de survie. Cela permettait à un humanoïde de se régénérer plus aisément, je souriais en le caressant et me vautrant sur une pierre qui était tombait, l'anneau roula...dans le couloir...Puis dans le tunel et tomba dans une crevasse. Je soupirais, déçu mais il restait l'or. Je sortais deux bons gros coffres de plus et me laissa tomber, entendant le dernier écroulement. Je soupirais de déception. J'avais mon matériel, enfin, il me restait mon arbalète, je la chargeais, j'avais remarqué que la première créature avait quelque chose dans le dos, au début je pensais à une queue mais pourquoi prendre le temps de dissimuler une queue en fuyant, peut-être une habitude ou un point de faiblesse. Cela dit j'allais avoir besoin d'aide, aussi je restais assis sur mon lot de sac d'or et planqué derrière deux sac d'or je passais ma main sur ma barbe et ma nuque transpirante, le charbon empestait. J'entendais des bruits de pas où de pattes et je posais mon arme sur le côté.
"Deal, tu peux prendre ce que tu veux...à part ce coffre " dis je en posant mon pied sur le plus gros.
" Tout ce que tu veux pour me laisser en vie, cependant. J'ai cru comprendre que tu étais perdue et c'est vrai c'est un dédale. Mais je sais comment sortir. Alors on fait un truc. Tu me laisse vivre, et me donne la moitié de ce qu'il te reste. Je te montre la sortie. Évidement comment faire pour être sur que tu ne me tues pas ? Je l'ignore mais, c'est le meilleur deal que je puisse proposer, certes tu peux me tuer et... " je la vis enfin paraître à la lumière d'un faisceau, cela me coupa la parole...je sentais la peur montait. "Et prendre tout... mais " elle était rose, des courbes callipyges et une intéressante ossature car en effet, elle planquait un truc.
"Mais j'estime avoir droit à ma part du gâteau et pas mourir bêtement ? " Dis je en levant les mains, en signe de soumission et de pacifisme.
"N'est-ce pas ?"