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Le Champion et la Reine [Pv: La Reine Ivory]

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Elena Ivory

Humain(e)

Re : Le Champion et la Reine [Pv: La Reine Ivory]

Réponse 15 jeudi 02 août 2018, 10:40:02

« Mais… Une centaine de gardes pour m’escorter, n’est-ce pas un peu trop…
 -  Cesse de remuer, petite Reine rebelle ! »

Adamante la sermonnait en tirant sur la ceinture, et Elena sursauta en sentant l’air se couper brusquement.

« Hey ! Pas si fort !
 -  Hmmm… Auriez-vous pris quelques kilos, Majesté ?
 -  Adamante ! la rabroua-t-elle. Je ne te permets pas de… Haaa !! »

La magicienne tira encore un coup sec sur la ceinture, faisant taire Elena, avant de cesser ses plaisanteries. Elle attacha la ceinture de son pantalon en cuir, et observa le jeune Reine dans le miroir. Si Adamante portait toujours sa robe de magicienne pour la sortie à cheval, elle avait habillé Elena pour l’occasion, en la dotant d’un pantalon en cuir, d’une veste et d’un gilet. Ainsi habillée, la Reine s’observa dans le miroir. Elle était peu habituée à porter des pantalons, et remua doucement sur place, espérant que ce vêtement ne moulait pas trop ses fesses… Car Adamante était tout à fait capable de lui faire ce genre de choses !

Plus sérieusement, Elena avait été surprise d’apprendre qu’une escorte de plus d’une centaine d’hommes l’accompagnerait. Cette journée allait les amener à se promener à divers endroits symboliques de la région d’Alserac, en commençant par les Collines aux Monarques, des collines connues pour les envolées de papillons. Elena espérait aussi bien voir les furolucioles du lac d’Alserac. Mine de rien, cette région reculée était assez riche, et, dans les carnets de voyage de sa mère, Elena avait consciencieusement lu les éléments concernant Alserac. Et Jamiël lui avait confirmé que sa mère avait adoré les furolucioles d’Alserac. Ces lucioles lumineuses sortaient à partir du crépuscule, et on disait qu’elles pouvaient exaucer les vœux.

« Ta sécurité est plus importante que tout. Le Commandant Maxime ne veut pas que le moindre incident arrive.
 -  Oui, enfin, avec autant de gens, je ne suis pas sûre de pouvoir vraiment profiter de ce moment, moi. Mes parents n’avaient qu’une dizaine de chevaliers près d’eux, et ils restaient à distance !
 -  Oui, mais Elena Ivory n’est pas encore la Lionne de Nexus, et tu es plus précieuse que ne le furent tes parents. »

Elena Ivory était la dernière Ivory en vie. Sa place était donc fondamentale, car sa mort signifierait la fin de la légendaire dynastie des Ivory, une famille qui dirigeait Nexus depuis la fin du Triumvirat. Nexus n’avait connu qu’une seule famille royale, et le royaume n’était pas encore prêt à devoir changer de famille. Elena acquiesça donc, et sortit. Elle avait plutôt bien dormi, et déjeuna tranquillement, mangeant de la nourriture locale. Elle avait tenu à manger local, et goûta donc à du fromage avec du pain. Un repas frugal, mais qui illustrait la nature de la jeune Reine, qui avait été éduquée dans un monastère.

Elle se rendit ensuite aux écuries, et haussa les épaules en voyant qu’un escabeau lui avait été préparé pour qu’elle grimpe sur Blanche.

« Je ne suis pas totalement incompétente ! » rappela-t-elle.

Elle grimpa sur le cheval sans l’aide de l’escabeau, et sursauta en sentant le coussin. Ses joues s’illuminèrent de colère, et elle attrapa le coussin, puis le jeta à un écuyer.

« Donnez-le à un orphelinat, pour qu’un jeune garçon puisse s’y asseoir, je n’en ai pas besoin ! »

Adamante chevaucha également un cheval. Sa robe étant ample, elle ne l’empêcha nullement de se positionner, puis le duo sortit. Elena leva la main devant la foule vivace qui s’était accumulée, un grand sourire ravi sur les lèvres. Oh, il y avait du monde ! Beaucoup de gens s’étaient regroupés ici, témoignant encore de l’affection que Nexus ressentait pour sa Reine au-delà de la capitale. Heureuse, Elena serait bien restée plus longtemps, mais elle était au cœur d’un véritable défilé militaire, qui les amena ensuite dans le bois.

La forêt d’Alserac était très sauvage, avec de multiples arbres, et des montagnes visibles tout autour, formant un impressionnant mur de rocailles et de rochers.

*C’est vraiment une région très particulière…*

Un dépaysement total par rapport au Palais d’Ivoire ! Elle suivait donc la troupe le long de la forêt, profitant de la paix ambiante pour humer l’air frais, ses fins doigts gantés caressant parfois quelques feuilles...
DC d’Alice Korvander.

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Jhorne

Humain(e)

Re : Le Champion et la Reine [Pv: La Reine Ivory]

Réponse 16 mardi 09 octobre 2018, 19:45:09

   On pouvais taxer de Maxime de paranoïaque, mais pour lui c'était justifier. La dernière descendante des Ivory était présente sur la première ligne de défense, sujette à de multiples sièges, embuscade et espionnage, soit l'un des endroits les plus dangereux de tout le territoire de Nexus, sans parler des monstres. D'ailleurs la purge faite par Maxime pour éliminer toute menace sur les terres d'Alserac lui avait coûté près d'une centaine d'hommes. L'escorte était imposante, mais la formation permettait à la Reine d'apprécier le paysage au mieux, les hommes assez espacer pour lui dégager la vue. Suivant un sentier de terre, la troupe traversa une forêt de pin espacer, permettant de voir loin, si bien qu'on put apercevoir un couple de sanglier et de marcassins et des daims. Maxime reçu encore deux-trois pigeons voyageurs, des messages de ses capitaines, toujours aucune trace de danger.

   La troupe se dirigeait vers un regroupement de colline, formant une sorte de cuvette assez vaste, abritant une petite forêt assez pauvre et bien espacer, le tout entourer par une forêt. Ce fut après plusieurs minutes de marche, attirant des écureuils ou les fessant fuir, de même que pour des oiseaux, qu'on ne tarda pas à voir des papillons monarques, d'abord des apparitions rare et discrète, tandis que l'on montait une pente douce, suivant toujours une route de terre battue, puis de plus en plus, tandis que l'on arrivait en haut d'une petite colline. Devant la Reine, se dévoila un paysage atypique : les arbres recouverts de monarques, des racines aux feuilles formant parfois des grappes entière de papillon, cachant entièrement l'arbre, même jusqu'au sol, tandis que des centaines de papillons volèrent ici et là. Des papillons se posèrent sur les chevaux, les armures ou les cheveux, si bien que Jhorne se retrouva avec une trentaine de papillon sur ses cheveux, s'attirant quelque rire étouffer de Loria et d'autre.

   Descendant la colline, le troupe provoqua plusieurs vaque de papillon, les fessant fuir, écrasant plusieurs d'entre eux malheureusement, dévoilant parfois des buissons, le sol, des arbres ou encore des racines et des pierres. La troupe fendit la marée de papillon, comme un navire fendant les eaux, provoquant l'envol de centaine de papillons, les battements des ailes se fessant entendre dans un doux bourdonnement. Une vision magnifique pour ceux qui si attarde, ce qui n'était pas le cas de Maxime, qui ne fessait que regarder droit devant lui, parfois à droite, parfois à gauche. Son comportement était normale, il n'avait en tête que la protection de la Reine, épiant le moindre mouvement étrange. Mais ce n'était pas pour ces raisons qu'il regardais dans tout les sens. La troupe avança donc d'une trentaine de mètre depuis le bas de la colline, jusqu'à un étrange monticule, couvert de papillons, avec plusieurs excroissance de forme et taille diverse.

-STOP ! Hurla Maxime, en levant le poing.

   La troupe se stoppa, les soldats dégainant à moitié leur armes, l'ambiance devenant plus lourdes. Une étrange odeur flotter dans l'air. Maxime désigna deux soldats proche de lui et intima l'ordre de fouiller cette étrange chose. Les hommes dégainèrent leur armes et s'en approchèrent. L'un d'eux enfonça violemment son épée dans le tas, alors que l'autre se contentait d'en faire le tour. Plusieurs papillons s'envolèrent et l'homme retira son épée, surprit de la matière qu'il venait de percer et du bruits mou qui en découler. Son épée était rouge, rouge de sang. D'un coup, les papillons s'envolèrent, dévoilant l'odeur de la mort et du sang et dévoilant un amas de cadavre, des soldats portant les amoiries d'Alserac.

-PROTÉGER LA REINE !
Hurla Maxime, en dégainant son épée.
-MORT A LA REINE ! Retentit une voix qui couvrit celle de Maxime.

   Jaillissant de toute part, comme par magie, du paysage ou des amas de papillons, et même en plein dans la formation, des soldats Ashnardiens se dévoilèrent, prenant de cours les soldats d'Alserac. Personne n'avait sentie leur présence, aucun des mages n'avaient sentit la magie camouflant l'ennemie. Le premier choc envoya plusieurs soldats de vie à trépas, mais les hommes d'Alserac reprirent leur sang froid et livrèrent bataille, se regroupant formant des murs de bouclier, repoussant les soldats ennemies. Le sang coula, alors que les papillons volèrent par centaine, fuyant la zone de combat, aveuglant les soldats, formant un raz-de-marée de monarque, couvrant la zone dans un brouillard orange, provoquant un vrombissement assourdissant avec leur ailes.

   Les chevaliers fessaient cercle autour de la Reine, repoussant plusieurs ennemie qui avait passer les soldats, profitant du nuage de papillon, tandis que les mages commencèrent à préparer des sorts. L'un d'eux ce prit une flèche dans la gorge alors que le reste lancèrent plusieurs sors de protection autour de la Reine. Jhorne entreprit de balayer un groupe de soldat, alors que Maxime usa de son pouvoir une fois que les papillons furent partie, aveuglant la majorité des soldats présent.

-Loria évacue la Reine ! Hurla Maxime. Même si vous devez en mourir !

   À peine qu'il finit ses mots, plusieurs rugissements inhumain se firent entendre, alors que plusieurs créatures assez lourde se déplacèrent, sortant des arbres et papillons restant : des Berserker. Créature issus d'expérimentation magique et alchimique, aussi sauvage qu'un troll, plus forte qu'un minotaure et plus coriace qu'un ogre et bien plus grande qu'un homme. Ils étaient une trentaines, entourant la troupe et en quelque seconde ils commencèrent un massacre. Chaque coups broyant les armures et les os, dans une sauvagerie peu commune, se dirigeant vers la Reine. Les soldats tentèrent de les stopper, mettant en avant leur expérience et leur coordination, limitant les pertes, parvenant même à tuer quelque monstres, au prix de plusieurs morts. Les monstres avaient une force inhumaine et leur mouvement étaient dans la pure barbarie, empêchant toute attaque de front, mais ils n'étaient pas rapide d'esprit, facilitant les feintes et les attaques par derrière.

-CHARGEZ !

   Enhardie par Arnauld, la moitié des chevaliers foncèrent vers la nouvelle menace. La charge surprit les monstres et deux d'entre eux furent écraser par la charge. Jouant de leur rapidité et de leur talent, les chevaliers blessèrent les créatures, l'une d'elle fut rendue aveugle, permettant d'être tuer, mais les monstres broyèrent de leur marteaux plusieurs chevaliers, monture avec. La monture de Sir Arnauld fut soulever d'un coup de marteau, déchirant son ventre, avant de retomber sur la jambe de ce dernier, brisant ses os. Tous ce qu'il put faire fut de crier, alors que le monstre abattit son épée sur sa tête. En même temps, un cercle de magie apparue à quelque mètre devant la Reine, en hauteur, avant qu'une image ne ce forme, dévoilant une sorte de prairie et une créature qui lui fonçait dessus.

   Une Berserker sortie du portail, sautant du portail vers la Reine, son épée brandit loin derrière lui, l'autre main tendue vers elle. Des chevaliers levèrent bêtement leur armes, voulant l'intercepter et un mage commença à faire une boule de feu

-OOOORRRYYYAAAA !!!!!

   D'un magistrale revers de son épée, Jhorne balaya la créature en plein vol, l'envoyant contre un arbre qu'il brisa, lui même réduit en charpie, avant de s’écraser par terre. Le portail se ferma rapidement, laissant juste le temps à quiconque regardant encore le portail, un étrange mage. Les monstres hurlèrent avant de se diriger vers Jhorne. Ce dernier fonça vers une des créatures et lui donna un coup de pied qui lui brisa entièrement ses os avant de valser dans les airs. Il abattit son épée sur un autre, l'explosant dans une gerbe de sang noir, le déchiquetant violemment en deux. Une créature lui sauta sur le dos, s'agrippant à ses cheveux, et une autre brisa son épée sur la tassette de Jhorne, laissant une longue entaille qui commença à disparaître, tandis qu'un troisième abattit son marteau sur sa cuisse gauche perçant l'armure. Jhorne enfonça son épée dans le corps de celui au marteau, chopa celui dans son dos, broyant sa tête dans sa main avant l'envoyer sur un de ses compère, puis il éclata d'un simple coup de poing le troisième monstre qui chercher à boxer sa jambes

-Kukuku ! A qui le tour ! Lança Jhorne, sourire au lèvre, en récupérant son épée.

   À ses mots, d'autre monstre et soldats firent leur apparitions, alors que des archers le prenaient en joue. Les mages lancèrent des entraves de terres, bloquant plusieurs monstre et lancèrent des boules de feu et des flèches d'acide à tout vas, abattant un monstre, alors que Jhorne usa de son épée comme d'un club de golf contre un monstre.

-Jhorne ! Hurla Maxime alors qu'il retira son épée de la gueule d'un des monstres, qu'il avait aveugler, allant à son niveau. Prend la Reine et évacuer là à Alserac ! Dit il, lançant un rayon de lumière, aveuglant des soldats et un monstre, permettant leur exécution.
-Quoi ? Répondit le colosse, parant l'attaque d'un des monstres, avant de le tuer.
-Nous ne tiendrons pas éternellement, la Reine est leur cible et ces monstres on massacré la moitié de la troupe ! Ajouta t-il, alors que son cheval donna un coup de sabot à un soldat, tandis qu'il para les assauts d'un autre. Nous ne pouvons pas la garder plus longtemps ici !
-D'accord ! Lança le champion écrasant sous son pied un soldat Ashnardien.

   Jhorne se dirigea vers la Reine, ignorant les flèches qui s’écrasèrent contre son armure, rengainant son arme, bousculant et écrasant plusieurs corps, tandis que l'escorte s'écarta pour le laisser venir au niveau de la Reine.

-Pardonnez moi ma Reine, mais je dois vous sortir d'ici au plus vite.
Lui dit Jhorne en s'inclinant.

   Comme demander, il prit la Reine délicatement, la soulevant de son cheval et partie au trot, la tenant comme un nourrisson, fessant en sorte de la tenir le plus confortable possible, sa tête sur son biceps, afin de ne pas la tenir sur son armure seulement, sous les regards médusés de l'escorte.

-JHORNE ! ESPECE D'ABRUTIE ! Hurla Maxime en créant un puissant flash lumineux. REVIENS ICI ! Cria t-il.

   Maxime réalisa que trop tard que Jhorne l'avait pris au pied de la lettre. Dans ce genre de situation, Jhorne avait tendance à faire au plus simple afin d'agir rapidement. La Reine était en danger, la prendre dans ses bras et foncer vers Alserac était le plan le plus judicieux à ses yeux. Et dans un sens c'était efficace, car il lui fallut que quelque enjambé pour sortir du combat, malgré ceux qui se mettez en travers de sa route, sans qu'ils puissent réaliser que la Reine était dans ses bras, s'éloignant rapidement du combat et gravissant la colline. L'escorte aurait plus eu de mal que cela, et la Reine saus doute pris pour cible par un archer. Mais au yeux de Maxime, c'était une faute d'honneur et un affront à sa majesté, même si il du reconnaître que cela marcha. Et puis c'était Jhorne, il n'était pas du genre à réfléchir à ce genre de considération.

   Une dizaine de monstre au moins, se mirent à sa poursuite, réalisant que leur cible était plus là, suivit de plusieurs soldats, qui furent percuté par les chevaliers, alors que les mages lancèrent plusieurs sort : boule de feu, trait de glace, flèche d'arcane et éclair, frappant les monstre, plus exactement un seul d'entre eux, l’abattant violemment et blessant un autre.

   Jhorne arriva rapidement en haut de la colline, et dévala la pente en quelques enjambés, avant de suivre le chemin en marchant, évitant de courir pour ne pas blesser la Reine via les chocs. Plusieurs rugissements ce firent entendre, nul besoin de se retourner pour savoir de qui il s'agissait. Jhorne ne ralentie pas, et se contenta d'accélérer un peu. Il retint la Reine d'une main la laissant presque assisse dans sa main, et attrapa un arbre, qu'il déracina d'un coup sec, et s'en servit comme projectile contre les Berserkers, il en faucha un et força les autre à éviter l'arbre, lui laissant assez de temps pour se mettre au trots et de distancer les monstre, qui se remirent à sa poursuite.

-Rassurez vous ma Reine.
Lui dit Jhorne, confiant avec un sourire charmeur. Vous serez en sécurité d'ici peu de temps.

   Les monstres gagnèrent du terrain et Jhorne du accélérer, tout en disant à la Reine de garder la bouche fermer pour ne pas ce mordre la langue, jusqu'à ce qu'il aperçoit un aigle dans le ciel, lui fessant esquisser un sourire. Une flèche se ficha dans l’œil d'un monstre, s'enfonçant jusqu'au cerveau, stoppant brutalement la course de la berserker, suivit d'une autre qui fit subir le même sort à un deuxième. Les 6 autres ne firent pas attention, même si l'un d'eux s'en prit une dans sa gorge et finit étouffer par son sang. L'aigle s'abattit sur un monstre, lui crevant les yeux, un autre reçu une flèche dans la bouche, tandis que l'aveugle, pris d'une rage profonde, massacra un de ses compères, avant qu'une flèche ne traverse de par en par sa tête par ce qui fessait office d'oreille. Les 2 survivants enragèrent inutilement et s'affrontèrent dans un corps à corps sauvages, où le survivant en ressortie la gueule en sang et partiellement déchiqueter, les tripes à l'air et un bras en moins, avant qu'une flèche ne l’achève.

   Jhorne passa près d'un arbre, et Orion en sauta, atterrissant sur l'épaule de Jhorne, tandis qu'un cheval noir ce mit à les suivre, sortant des fourré, la monture de Orion.

-Aha ! Toujours là au bon moment ! Scanda Jhorne, sans ralentir.
-Iklos m'a avertir alors que j'étais en train de sortir, je m'étais pas tromper. Répondit Orion. Eros envoie des renforts. Et pourquoi tu porte la Reine comme ça ! Scanda Orion, en la remarquant.
-Trop long et trop risquer. Répondit Jhorne en reprenant un rythme normale. J'ai fais ce qui était le plus simple, prendre la Reine et partir la mettre à l’abri, j'assumerais mes actes jusqu'au bout.
-Oh mon dieu.... T... tout va bien votre Altesse ? Demanda Orion, honteux et désoler pour son camarade.

   Un bruit de galop retentit. Orion, à califourchon sur l'épaule de Jhorne, engagea une flèche et se tourna vers l'arrière, pour apercevoir Loria et la suite de la Reine, avec sa monture. Jhorne ne ralentie par pour autant, gardant son rythme, obligeant les chevaux à garder le galops. Ils rejoignirent très vite la route principale et la patrouille du capitaine Elroc au même.

-Jhorne ? Loria ? VOTRE ALTESSE ! Scanda le capitaine surprit et pris au dépourvue.
-Nous avons été attaqué et Max... Commença Jhorne.
-EN AVANT ! Hurla Elroc, en allant vers les collines des monarques.
-ime à besoin d'aide. Finit Jhorne, alors que Elroc était déjà entrain de remonté la route.

   Fidèle à sa réputation, Elroc n'avait pas attendue la fin pour agir comme il fallait, ayant comprit la situation très rapidement, jugeant plus logique de foncer vers le combat pour faucher d'éventuelle poursuivant.

-Bien, maintenant Jhorne, repose la Reine sur son cheval ! Scanda Loria, affolé, son armure couverte de plusieurs trace de sang.
-D'accord. Répondit-il.

   Délicatement, il reposa la Reine sur son cheval, avant de vouloir rebrousser chemin.

-Maxime ordonne que tu reste auprès de sa majesté, la situation est bientôt sous contrôle, le plus gros des monstres est partie à ta poursuite et est mort. Lui dit Loria. Nous rentrons à Alserac. Et il à promit de trouver un châtiments.
-Cela va de soi. Répondit le champion.

   Orion rejoignit sa monture et alors que la troupe repris la route, Loria et Orion se confondirent en excuse pour Jhorne, qui concéda à s'excuser sous la pression et les regards de ses compagnons, n'y voyant pourtant aucun mal. Après quelque minute, ils croisèrent la route d'un contingent, mener par le capitaine Ekekios, qui scinda ses hommes en deux, les mettant sous les ordres de Loria, avant de partir porter assistance à Maxime. Alserac vérouilla ses portes une fois que la Reine fut à l’abri derrière ses murailles, et ont se prépara à un enventuelle siège, en attendant le retour de Maxime.

Elena Ivory

Humain(e)

Re : Le Champion et la Reine [Pv: La Reine Ivory]

Réponse 17 lundi 15 octobre 2018, 00:51:40

Cette région était très belle, très agréable, et apaisante. Souriant doucement, Elena se laissait bercer, appréciant le calme des lieux. C’était très reposant, et paisible, si paisible... On était ici bien loin des turpitudes de Nexus, de la ville agitée et furibonde, avec une activité frénétique. La Reine ne pouvait qu’apprécier tout cela, car ce calme lui rappelait ses années de jeunesse au monastère de Saint-Antoine. Fermant les yeux, elle sentait l’air du vent caresser son visage, le doux bruissement des feuilles, en oubliant même la présence du lourd convoi militaire autour d’elle.

La réalité se rappela à elle de la plus violente des façons. Des ennemis monstrueux jaillirent brusquement, créatures à la peau marron, chauves, le corps saillant et musculeux. Elena déglutit en les voyant. Les Berserkers attaquèrent ensuite les soldats. La jeune Reine vit alors deux cavaliers se mettre à droite et à gauche d’elle, lui intimant de rester en retrait.

« Pour votre protection, Majesté !
 -  Laissez-nous faire ! »

Elena acquiesça doucement. Pendant ce temps, les Berserkers continuaient à se battre, et l’un d’eux se rua vers Elena. Ses cavaliers agirent en retour, et la Reine s’écarta prudemment. Elle s’apprêtait à partir, tandis que le chaos dégénérait, et que son cheval s’agitait... Mais on décida finalement à sa place. Un massif guerrier, Jhorne, s’élança précipitamment vers elle, et la prit dans ses bras. Elena, surprise, s’attendait à ce qu’il la rejoigne en cheval, et l’homme se mit alors à courir à bride abattue dans la forêt, cherchant à fuir les Berserkers qui le pistaient. Poussant des grondements furieux, ceux-ci s’élancèrent à sa poursuite, faisant trembler le sol avec leurs lourdes boittes.

Surprise, la Reine se mit à taper des poings sur l’épaule de Jhorne.

« Mais... Arrêtez, bon sang, mon cheval !! »

L’homme n’en eut cure, et continua à courir précipitamment, les monstres les traquant avec acharnement et férocité. Finalement, au milieu de la forêt, le duo rejoignit d’autres soldats. La région paisible d’Alserac semblait être sans dessus dessous, mais Elena eut la chance de se retrouver sur un canasson. Fort heureusement, elle savait monter à cheval, et éperonna son destrier, filant vers le château, entouré de quelques gardes, dont Luria.

« Mais d’où est-ce qu’ils viennent ?!
 -  Je ne sais pas, Majesté ! répliqua Luria. Divers Portails s’ouvrent ici et là pour les relâcher, il y en a beaucoup trop pour que ce soit une simple attaque isolée. »

Elena ne pouvait que craindre le pire.  Le groupe remontait le long de sentiers bordés de sapins et de conifères, jusqu’à entendre les sonneries d’alarme d’Alserac. La Reine serra l’encolure de son cheval, baissant la tête pour éviter une branche d’arbre, et poursuivit sur sa lancée. Elle rejoignit un chemin entre deux buttées, menant droit vers l’entrée d’Alserac... Quand un terrible rugissement se fit entendre.

« MAJESTÉ !! »

Un chevalier se précipita devant elle, lui coupant la route... Et un dragon blanc apparut alors, ses serres venant attraper le corps du chevalier, épargnant ainsi à Elena un destin tragique. Son cheval se mit à hennir de peur, et se cambra sur place. Elena en fut déstabilisée, et tomba au sol, voyant le dragon blanc s’envoler dans les airs. Il relâcha la carcasse du chevalier, qui hurla en se fracassant au sol.

Le dragon décrivit ensuite une courbe dans le ciel, et se retourna vers le groupe, en hurlant encore.

*Un dragon ? Ici ?!*

La gueule du dragon s’illumina, et un jet de flammes jaillit vers Elena et le groupe. Adamante leva alors la main, et un bouclier magique se forma alors, un dôme contre lequel les flammes se mirent à rebondir.

Depuis les tours du château, les défenseurs visaient le dragon avec leurs balistes, mais celui-ci était rapide. Et, malheureusement, d’autres Berserkers hurlaient en jaillissant à travers la forêt, continuant à cibler la jeune Reine...
DC d’Alice Korvander.

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Jhorne

Humain(e)

Re : Le Champion et la Reine [Pv: La Reine Ivory]

Réponse 18 mercredi 31 octobre 2018, 11:38:14

   Pris au dépourvue, l'évacuation de la Reine avait été mouvementé, mais maintenant escorté par sa propre garde personnelle, Jhorne, Loria et ses chevaliers, Orion, puis une escorte de 76 hommes, soit une bonne défense. Deux-trois monstres firent encore leur apparition, mais Jhorne eu vite fait de les tuer. L'évacuation fut sans problème au début, mais rencontra rapidement un obstacle de taille. Ce dernier jaillit des cieux, un dragon blanc, lâchant un rugissement qui fit trembler l'air et les hommes, alors qu'il plongea sur le groupe, en même temps que des monstres les assaillirent, visant principalement Jhorne. Un chevalier l'aperçue et s'interposa entre la bête et la Reine, se fessant emporter, lui et sa monture, avant d'être jeter dans les airs, sauvant sa Reine d'un sombre destin.

   La bête fit demi-tour et plongea de nouveau, crachant un torrent de flamme. Mais Adamante, magicienne de la cour et de sa majesté, déploya un dôme protecteur magique, évitant une mort horrible à la Reine, bien que Jhorne, profita de sa taille et de sa carrure, pour faire office de bouclier humain. La bête les survola, enflammant les arbres et la route, et les soldats qui n'avaient pus bénéficier de la protection. Elle passa près d'Alserac, attirant les balistes tueuse de dragon, ainsi que des archers et des mages. Les flèches rebondirent et se brisèrent sur sa carapace, tandis qu'un harpon ricocha contre ses écailles. Elle se redirigea vers le groupe, mais cette fois Jhorne lui fit face, se mettant en tête de la troupe.

   Le dragon ne pouvait voir que lui, et fonça sur lui, dans l'idée de l'engloutirent dans sa gueule. Jhorne, tenant son épée à deux mains, se mettait en position attendant que le lézard fonce sur lui. Un rayon de lumière, immense et puissant, occultant la lumière du soleil, chassant les ombres et aveuglant tout le monde, frappa le dragon sans prévenir, l'aveuglant violemment. La bête hurla de douleur, et battit de l’aile pour rester stable, mais la bête ne pus que choir, tombant dans la forêt, non loin de la troupe, désorienté, aveuglé et rugissant. Jhorne, qui à ce moment là tourner dos à l'origine de la lumière, fut relativement épargner, assez pour distinguer son chemin.

-Merde. Il y vas pas de main morte. Lacha Jhorne, en se frottant les yeux. Loria et Orion, guidez la Reine à l’abri, je me charge du dragon ! Scanda t-il, alors qu'il chargea dans la forêt, écartant et brisant les arbres le gênant sur sa route.
-Attend ! Lâcha Loria, alors qu'elle papillonnait des yeux pour chasser les éclairs dans ses yeux.

   Mais Jhrone était déjà loin. Loria jura, et après avoir retrouver une bonne partie de sa vision s'adressa à ses hommes.

-Soldats ! Ralentissez l'ennemie ! Les morts attendrons. Chevaliers ! Garde serrés autours de sa majesté, nous....

-QUE FAITE VOUS ENCORE LA !!!

   Revenant des collines au Monarques, Maxime, ses yeux illuminé, rendant impossible toute tentative de le regarder de face, les rejoignit au triple galop et s'arréta brusquement au niveau de Loria. Il désactiva son pouvoir, laissant voir sur son visage une balafre sur son front, et une flanche cassé dans la hanche et avait visiblement reçu un coup de perce-maille dans les côtes, son armure abîmé et enfoncer. Au loin, le reste de la troupe suivait,

-Aah... aah... il faut avancer ! Partez au galops ! L'ennemie es encore là ! Scanda Maxime. Nous les retiendrons !

   Sous les injonctions de Maxime, La Reine et sa suite, accompagner de Loria et Orion, partir au galop, alors que le l'incendie provoqué par le dragon se propager lentement, laissant derrière eux la piétaille et Maxime, alors qu'un grondement assez proche de fit entendre et que des éclats de flamme léchèrent la cime des arbres, Jhorne en duel avec le dragon. Il ne fallut qu'une poignet de minute, sans aucune attaque de la part des soldats ou des monstres, permettant à la Reine de rejoindre la protection des murs d'Alserac, où des soigneurs, des pages et des écuyers leur tombèrent dessus, les menant rapidement dans l’hôpital, ou soin et réconfort furent donner, cataplasme et verre de vin furent appliquer, soulageant les maux et les tourments. La Reine fut prise en charge par le maître soigneur Orlumb, qui malgré le poids des âges et son apparence fatigué, fit preuve d'une vivacité étonnante, auscultant le moindre problème que lui fessait par la Reine. Si la Reine avait le moindre maux, la moindre blessure, Orlumb les traiterais avec expertise et efficacité, étant un maître dans son domaine. Puis vint le reste des troupes, où on invita la Reine à rejoindre ses appartement où tout autre endroit afin de ne pas assister à l'ignoble spectacle qui allait suivre, car les premiers blesser arriver.

   Avec des brancards de fortune, sur de cheval ou porter par d'autre, on amena ceux qui avait put être transporter. Des forgerons vinrent pour défaire les armures enfoncé, libéré les chairs des entrave de métal, on fit chauffé des tisons, on prépara les tables et les instrument de chirurgie et on sortie les scie et une hache pour couper les membres en lambeaux. Des mages vinrent, afin de prodiguer la magie de soin pour les blessures les moins graves, désinfecter les plais et tenir encore en vie les soldats, ou user de charme et d'illusion pour atténuer les souffrances des soldats si on arriver pas à leur faire boire des anesthésiant ou de quoi supporter les désinfectant et l'opération. Rapidement, la laverie se remplit de draps rouges, alors qu'on apportait de nouveau draps, dans un ballet macabre de blanc et de rouge.

   Maxime fut prit en charge par Orlumb, afin de retirer la fléche et traiter sa blessure près de son pectoral droit. Bien qu'il eu une côte cassé, il avait éviter le pire et se contentant que des premiers soins, afin de renvoyer Orlumb sur d'autre cas, et assura ses soins seuls avec une des apprentie du maître soigneur, jusqu'à ce qu'il puisse tout finir lui même. Quand ce fut fait, il alla auprès de chaque soldat, les soutenant moralement et aidant quand il pouvait. Plus de la moitié en ressortirons vivant, mais tous ne pourrons pas reprendre une vie normale.

-Ah ! Capitaine Hidas ! Quelle est la situation de votre côté ?
-On as évité le pire, l'ennemie ne semblaient pas aussi important de mon côté. Sans doute des troupes de reconnaissance. Au moins j'ai pus porter assistance au capitaine Médros et de ses hommes. L'ennemie semble s'être concentré sur vous, il savait où frapper !
-Grâce à Elroc et Elkros, je pense que nous avons évité le pire, mais Ekekios... j'ai peur qu'il ne s'en sorte pas.
-Merde. Putain d'Ashnardiens ! Quelqu'un nous a trahit !
-Quoi ? Émit Maxime, en levant un sourcil.

   Venant de la part de Hidas cela était surprenant, lui qui pourtant débordé de confiance en ses hommes et en les autres, qu'il en vient à penser ça, ça devait être sérieux, même troublant.

-Soyez plus précis.
-Je... je ne suis pas du genre à dire cela à la légère. Bredouilla t-il. Mais voilà seulement un jour que la Reine est là et voilà qu'on l'attaque dé sa visite des terres. Des personnes doivent lui vouloir du mal.

   Pensif, Maxime s'excusa et sortie de l'hôpital. Au même moment, Eros vint à sa rencontre.

-J'ai préparer plusieurs troupes pour aller chercher des survivants. On ne détecte plus aucun mouvement ennemie depuis les nids d'aigles.
-Attend encore une heure. Et Jhorne ?
-Toujours en prise avec le dragon, on ne distingue pas assez bien le combat depuis les nids d'aigles, mais le dragon semble avoir du mal.
-Parfais, ça fera du cuir en plus.
-Tu devrais te reposer.
-Pas temps que l'ennemie est encore dans nos terres. Préviens toutes la ligne de défense, que tous les lords et les commandants ce tiennent prêt. Nous organiseront une évacuation de la Reine dans les jours qui viennent ou qu'ils préparent des renforts en cas de siège. On maintient les dates pour rassurer le peuple.
-Tu crains une attaques ?
-Ces créatures issus de magie noir, ce dragon et ce timing, l'ennemie est déterminer. Nous devons attendre, une autre sortie se solderait par une véritable bataille. Expliqua Maxime. Il nous test, il veux nous bloquer ici, sinon il aurait déployer plus de troupe. Il cherche plus que la Reine. Déploie tes hommes, Hidas craint un traître et pour que lui dise ça, je crains le pire.
-Bien. Répondit Eros, avant de prendre s'éloigner.

   De l'hôpital on sortait déjà ceux qui avait été soigner rapidement, les revoyant dans une autre salles pour leur repos ou chez eux pour les plus chanceux, tandis que le premier à succombé de ses blessures, sortie sous un draps noir. C'était la guerre est Maxime ne s'en formalisa pas, c'était le destin de tout soldats, mourir au combat ou de ses blessures. Il se mit en quête de la Reine, afin de lui faire part de ce qu'il prévoyait, à savoir plus aucune sortie et qu'il compte maintenir les dates autant pour le peuple qu'ils voient que leur Reine ne fuit pas le danger, que pour organiser la ligne de défense pour son départ, ainsi que des craintes sur un traître ou un espion, le lui cacher serait idiot. Mais surtout savoir comment elle allait et si elle avait besoin de quelque chose.

   Au loin, un faible rugissement mourant se fit entendre.
« Modifié: mercredi 31 octobre 2018, 12:12:43 par Jhorne »

Elena Ivory

Humain(e)

Re : Le Champion et la Reine [Pv: La Reine Ivory]

Réponse 19 lundi 05 novembre 2018, 00:39:05

Cette attaque imprévisible se compliquait encore avec l’arrivée de ce dragon. Fort heureusement, Adamante était vigilante, et les flammes du dragon les englobèrent pendant quelques instants, noircissant l’herbe alentour, avant que le dragon ne s’envole. Prudente, Adamante continuait à faire crépiter ses sorts, pendant que le dragon s’envolait dans les airs. Depuis les tours d’Alserac, des balistes s’armaient, et tiraient sur le dragon. Hélas, celui-ci était assez éloigné, et, la seule fois où une baliste le toucha, ce fut à un emplacement de son corps où ses écailles étaient particulièrement épaisses, de sorte que la carapace du dragon tint le coup.

« Il revient !
 -  Majesté, je… »

Adamante se préparait déjà à intervenir… Mais Jhorne se posta soudain devant elles, entre elles et le dragon, qui descendait à pic, fondant sur le groupe.

« Mais qu’est-ce que vous faites ?!
 -  Écartez-vous, sombre idiot ! »

Mais, loin de vouloir obtempérer, Jhorne leur intima au contraire de partir. Entre-temps, les Berserkers se rapprochaient dangereusement. La priorité restait de protéger la Reine, et, au même moment, Elena vit quelque chose émaner de la solide épée de Jhorne. Une sorte d’onde lumineuse, aussi éblouissante qu’un soleil, en jaillit, et frappa le dragon, l’aveuglant au passage. Déstabilisé, le dragon perdit son équilibre, et Jhorne s’élança ensuite à sa suite, laissant ainsi le champ libre pour ramener la Reine en sécurité… Ce que Luria s’empressa de faire, tandis qu’Adamante déployait ses sortilèges pour repousser les Berserkers, avant que les soldats d’Alserac ne le fassent eux-mêmes.

Elena, de son côté, se laissa transporter. Elle grimpa sur le cheval de Luria, un peu déphasée de cette situation, car elle avait encore en tête le curieux sort de Jhorne… Et l’impression tout aussi étrange qu’elle avait eu en ce moment, une sorte de vision, une sensation surprenante… Qu’elle n’avait, pour l’heure, ressenti qu’en présence d’Adamante.

« Sécurisez la Reine !
 -  La Reine est ici !
 -  Repoussez ces saloperies ! »

Une troupe de cavaliers avaient fait irruption depuis le pont-levis du fort, rejoignant Luria, Adamante, et les soldats les entourant. Mais Elena voyait tout cela de loin, repensant encore à cette image, à cette vision… Et, sans pouvoir se l’expliquer, elle revit le Judicateur Althuis, celui-là même qui lui avait expliqué que la mort de ses parents n’avait rien d’accidentelle, et qu’elle était l’héritière d’une prophétie millénaire visant à combattre un monstre dont l’origine remontait à l’aube des temps : le Roi Cramoisi. Et, pour l’aider à le vaincre, elle devait retrouver treize guerriers ancestraux, les Immortels. Sa quête progressait toutefois lentement, mais ce qu’elle avait ressenti en voyant Jhorne user de son pouvoir…

Elena sortit de ses réflexions en rejoignant la section médicale du château, où elle fut entre les mains de l’apothicaire Orlumb. Ce dernier, malgré l’âge, n’en restait pas moins un guérisseur expérimenté, mais il n’y avait pas grand-chose à soigner sur le corps d’Elena.

« Je vais bien, vous dis-je ! finit-elle par s’impatienter. Allez plutôt soigner les soldats qui affrontent les monstres ! »

La jeune Reine pouvait avoir du caractère, et elle refusait qu’on lui attribue le meilleur soigneur de la garnison alors qu’elle n’avait pas été blessée. Restant seule dans la chambre, elle réfléchit de nouveau à Jhorne.

*Se pourrait-il qu’il soit un Immortel ?*

Le Judicateur ne lui avait fourni aucune indication pour repérer les Immortels, si ce n’est de se fier à son instinct, car elle seule avait le pouvoir de sentir leur présence. Elena finit par sortir du temple médical, rejoignant l’une des cours du château. Les soldats revenaient nerveusement, emmenant avec eux les blessés. Les Berserkers avaient été neutralisés… Et, d’ores et déjà, on accusait les Ashnardiens d’avoir envoyés ces monstres, dans l’espoir de tuer la Reine. Se pouvait-il qu’il y ait un traître ayant informé les Ashnardiens que la Reine était là ? En réalité, beaucoup de gens étaient au courant des déplacements de la Reine, car celle-ci ne pouvait pas organiser de sa propre initiative une telle tournée.

*Les Ashnardiens… Je ne sais pas…*

Elena entendit alors un rugissement au loin, venant de la forêt.

*Jhorne !*

Elle ne l’avait pas vu revenir, et entendait les soldats en parler.

« Il est resté dans la forêt…
 -  Quoi ? Mais il y a des monstres partout !
 -  Le dragon a failli tuer Sa Majesté, Jhorne ne peut pas laisser passer cela. »



Le souffle du dragon fusa entre deux arbres, vaporisant les troncs. La bête se battait dans la forêt, un environnement qui n’était pas adapté à sa situation. Elle peinait à s’envoler et à se déployer, heurtant à chaque fois les troncs d’arbres. Son sang ruisselait le long de ses plaies, et cette ultime attaque fut sa dernière tentative, avant que Jhorne ne l’attaque avec son arme, bondissant sur elle pour planter l’épée dans son crâne. La puissante lame transperça la carapace du dragon, qui poussa un dernier grondement, avant de s’effondrer lourdement au sol.

Le puissant Jhorne avait réussi à abattre seul un dragon, une lutte éprouvante… Et, alors qu’il devait sans doute vouloir se reposer, panser ses plaies… Un étrange son de flûte se fit entendre. Une mélopée proche, émanant des arbres, ressemblant à un son elfique, mais qui avait aussi des consonances magiques. Et, alors que Jhorne aurait pu récupérer un élixir pour se soigner, une flèche jaillit brusquement, et transperça l’élixir.

Une flèche étrange, à pointe havekar… Un terme elfique tombant dans le droit commun, et qui désignait les humains commerçant avec les elfes, et notamment avec les organisations non-humaines comme la Scoia’tael, une faction militant pour la reconnaissance des droits elfiques, nains, terranides, et des autres espèces persécutées dans la société humaine. Les flèches à pointes havekar étaient aisément reconnaissables, car, après avoir atteint leur cible, la pointe en acier s’ouvrait en plusieurs endroits, déchiquetant et aggravant la plaie, tout en libérant parfois un redoutable poison.

« Tu es impressionnant, géant humain ! »

Une voix nasillarde, moqueuse, jaillit des profondeurs de la forêt. Impossible de l’identifier, tandis que les sons de flûte reprirent ensuite.

« Jadis, cette terre nous appartenait, dh’oine. Et, tandis que ton nom et ta forteresse disparaîtront dans l’oubli et dans la poussière, les Aen Seidhe se relèveront ! »

Quelques accords de flûte… Puis les Berserkers hurlèrent alors. La flûte avait attiré les monstres ici, et ils s’approchèrent de Jhorne, déferlant sur lui !
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


Jhorne

Humain(e)

Re : Le Champion et la Reine [Pv: La Reine Ivory]

Réponse 20 mercredi 07 novembre 2018, 19:22:48

   La dragon s’écrasa dans la forêt, pulvérisant une dizaine d'arbre, se blessant les ailes et le reste du corps. Il hurla, alors que sa vue était encore brouiller, crachant un jet de flamme sur ce qu'il pensait être des ennemies, en fait des arbres qu'ils avaient arracher. Jhorne n'eu aucun mal à l'atteindre, arrivant sur le côté, alors que la bête cherchait à se redresser et à déployer ses ailes. D'un violent coup, il abattit son épée sur l'aile de la bête, tranchant le deuxième et troisième doigts de l'aile gauche. La bête beugla et fit violant volt de face, déchirant sa membrane (la patagium), lui arrachant un crie d'agonie et de rage. Jhorne fonça vers la bête, qui voulue l'attraper entre ses machoires, mais Jhorne dévia sa course et abattit son épée dans la gueule du monstre, tranchant la chair, les muscles et tendons sur son chemin. Mais la bête retira sa tête, évitant de perdre l'usage sa mâchoire, bien qu'il eu du mal à la mouvoir.

   Jhorne continua à avancer, visant le cœur de la bête, mais la bête recula rapidement et se retourna, donnant un coup de queue à Jhorne, qui usa de son épée comme bouclier et encaissa l'attaque, bien qu'il fut jeter à terre à une poignet de mètre de sa position. Il se releva à temps pour voir la bête pointer sa tête vers lui, une lueur dans la gueule. Le dragon vomit un torrent de flamme,  mettant sa tête presque au niveau du sol pour être sur que Jhorne ne s'avance vers son cou pour éviter les flammes. Et alors que le dragon cessa de souffler son souffle mortel, Jhorne apparue, entouré d'un halo de lumière blanche, toute les pierres brillants d'une puissante lueur bleu, déployant un bouclier pour le protéger. Il courrait et une fois au bon moment, il sauta, sa lame au dessus de lui, pointant le crane du monstre qui tarda à la relever. Jhorne perfora son crane, traversa l'os dans un horrible craquement qui put se faire entendre de loin, la lame crissant contre les écailles. Jhorne plaqua violemment la tête du monstre contre le sol avec son poids et son coup, suivit du corps qui s’affaissa, parcourue de petit spams.

-Ahaha. Un autre sur ma légende. Lâcha Jhorne, en retirant son épée dans un crissement désagréable. Ce fut...

   Le sang sous pression gicla quelque seconde recouvrant le torse et le visage de Jhorne, tandis que ses cheveux s'imbibèrent de sang. Il recracha un filet de sang et rengaina son épée, et sauta de la tête, tentant d'enlever le surplus de sang.

-Un combat glorieux. Conclue t-il.

   Il s'assit contre la tête, et fouilla dans sa besace, retira un petit flacon. Une étrange mélodie emplit les airs, surprenant Jhorne, qui se releva, cherchant l'origine, une main sur la poignet de son épée. Un fléche fusa de nul dans l'angle mort de Jhorne, emportant sa fiole.

-Qui va là ? Tonna Jhorne, d'une voix puissante et sûr, nullement impressionné.
« Tu es impressionnant, géant humain ! »
-Demi-géant sombre inconnue. Répondit Jhorne.
« Jadis, cette terre nous appartenait, dh’oine.
-Dh'...quoi ?
Et, tandis que ton nom et ta forteresse disparaîtront dans l’oubli et dans la poussière, les Aen Seidhe se relèveront ! »
-Kukuku... AHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAH !! MOI ? DISPARAITRE DANS L'OUBLIE ?

   Des berserkers arrivèrent de tout part, encerclant Jhorne, qui ne fut même inquiet. Alors que les monstres se regroupèrent, Jhorne saisit son épée de deux par le cercle de métal englobant la garde et la poignet, la lame vers le sol. Une aura blanche, comme du brouillard se mit à apparaître, recouvrant la lame, les pierres s'illuminant d'un bleu intense. Et alors que des monstres sautèrent, dans les airs, leur armes grossières loin en arrière, encerclant Jhorne, près à frapper. Ce dernier leva haut son épée. Et hurla d'une voix puissante, il hurla.

-JE SUIS...

   Avant d'abattre son épée, l'enfonçant profondément dans le sol.

-JHORNE LE COLOSSE DE NEXUS !

   Une onde choc balaya les berserkers, brisant les armes, les armures et les os pour les plus proche, envoyant valser ces monstres comme des fétus de paille. Le sol fut ravager, des morceaux de terres soulevées sur plusieurs mètre et des pierres fragilisées, autant de projectile qui s’écrasèrent sur les berserkers. Jhorne arracha son épée du sol et se releva.

-JE SUIS LE CHAMPION DES ARMÉES DE NEXUS, LE DESTRUCTEUR DES ARMÉES D'ASHNARD, LE FLÉAU DES ORCKS, LE DOMINATEUR DES OGRES, LE POURFENDEUR DE DRAGON ET DE GÉANT ! COMMENT JE POURRAIS TOMBER DANS L'OUBLIE !? AHAHAHAHAHAH !!!

   Jhorne rigolait à gorge déployer alors que les berserkers encore valide lui foncèrent dessus. Et t-elle un bélier, il enfonça les rangs des monstres, les écrasants sous sa force et son poids, fessant pleuvoir les coups avec une aisance et une rapidité qu'on n'aurait pas put lui deviner au vue de sa carrure et du poids de son épée et de son armure. Les berserkers, malgré leur rage et leur hargne, ne purent stopper l’ouragan de violence qu'était Jhorne, malgré les coups que certains porter, écrasant leur poings et leur armes sur son armures, qui se réparer à chaque coups, devenant plus résistante. Il avança vers l'arbres intacte, vers ce qu'il supposait être la direction du mystérieux inconnue. Son épée s'enveloppa à nouveau du aura blanche brumeuse et les pierres brillèrent de nouveaux, mais moins intensément.

-OOORRRRRYYYYAAAAAAAAAAA !!!!!!

   D'un puissant coup d'arrière gauche, Jhorne envoya comme une lame de vent découpant en deux les berserkers, les arbres et laissant un sillon dans la terre, sur plusieurs mètre. À genoux, massacrés et malmenés, les berserkers, animés par la haine et la rage, contemplèrent Jhorne, le visage impassible, le regard noir. Il ne dégageait aucune peur ni aucune crainte, son pas était sur alors qu'il continuait à chercher l'inconnue. Les berserkers ne pouvaaient ressentir l'étrange aura que dégageait Jhorne, n'ayant pas de conscience propre. Mais l'étrange individue, put ressentir une chose : la peur. La simple vue de Jhorne, implacable, n'exprimant plus que colère, massacrant les berserkers et le cherchant, provoqua en lui la peur de mourir, la peur de se retrouver seul face à lui. Quelque chose le poussa à le fuir, à en avoir peur.

   On dit que la simple vue de Jhorne, à suffit à démoraliser un siège ennemie, que le voir se jeter dans la mêler à 4000 contre 2000 à pousser l'ennemie à fuir, tandis que ses alliés n’exprimaient aucune peur, seulement du courage et une confiance absolue en la victoire, suivant Jhorne sans se poser de question. Et qu'un seul crie de victoire, après avoir battue le général Érios, un générale d'Ahsnard et démon de surcroit, à repousser l'ennemie qui envahissaient Alserac.

-Tu prétend que je tomberais dans l'oublie. Lâcha Jhorne, alors qu'il broya de sa main la dernière berserker, en s'adressant à la forêt. Mais toi et les tiens feraient mieux d'y rester, avant que je décide de m'honorer du titre d'exterminateur de peuple et que là, je serais sur de rester dans l'Histoire. Continua-t-il d'une voix sombre.
----------------------------------------------------------------------------------------------------

-Alors. Comment se déroule mon plan ?
Demanda le commandant, son armure couverte d’éclaboussure de sang, assit sur une chaise devant sa tente, une pipe en main. Oh mais pourquoi je pose la question. Tout vas comme je le prévois, vue que c'est mon plan.
-Alors pourquoi me demander mon seigneur ? Se risqua son valet, alors que l'odeur du sang émaner de la tente, suivit de râle et de gémissement d'agoni et de douleur, ainsi que des pleures et parfois un crie.
-Pour me vanter. Répliqua le seigneur. Fais quérir Durius et Zurk, j'aimerais entendre leur rapport.
-Bien mon seigneur. Et pour les prisonnières ?
-Elles chantent une merveilleuse mélodie, ne les dérangeons pas. Répondit l'homme, d'un air amuser.
-B... bien mon seigneur. Lui dit son valet, avant de partir, un peu trop vite malgré lui.
-Pffff... aucun goût.

   Il attrapa un couteau dans un fourreau secret dans son armure, se retourna et le lança dans la tente. On entendit le couteau se planter dans du bois, suivit d'un crie puis d'un craquement horrible et d'un bruit mouiller, enchaînant sur un crie de douleur extrême. L'homme sourit, commençant à bander fort. Quand le valet revint avec Darius et Zork, le commandant était en compagnie d'une femme, du moins ce qu'il en restait : couverte d'écorchure, un croc de boucher dans l'abdomen et un autre dans son mollet droit et visiblement, son bras droit dans des angles improbable, ses cheveux partiellement arrachés, couverte d'hématome, de bleu et d'écorchure, un tige de métal dans l’œil gauche, et l'homme qui usa de sa tête comme d'un vulgaire objet pour se branler, frappant et cassant ses dents contre son armure, comme quand il lui était passer dessus.

-Mon... mon seigneur ? Demanda timidement le valet, luttant pour ne pas vomir.
-Dégage. Lâcha Darius en l'attrapant par l'épaule, pour l'envoyer derrière lui. Maître, tout ce passe comme vous l'avez dit.
-Je le savais déjà. Bien m...
-Sauf qu'il y a un problème.

   L'homme enfonça une ultime fois la femme contre sa verge, beaucoup trop fort, brissant la mâchoire de la pauvre femme. Il la retira, contemplant le visage fracasser et la mâchoire pendante, ses tendons déchirer. Il se leva lentement, tenant par les cheveux la femme qu'il traina en se dirigeant vers Darius, la verge couverte de sang.

-Un quoi ?
-Le dragon est mort. Et beaucoup de nos Berserkers on disparue, des hommes prétendes après avoir entendue un musique avant qu'ils ne partent.
-Mais qu'es que...

   Il se figea et se tourna vers Zork. Avant qu'il ne puise faire quoi que ce soit, l'homme l'attrapa par la gorge, et le souleva avec facilité.

-VOUS ESSEYEZ DE ME DOUBLER ?? Hurla l'homme, alors qu'il lâcha la femme.
-Je.... argh... il... il ya erreur... . Souffla le mage, à moitié étouffer par la poigne qui se resserrait.
-Vous me croyez dupe ? Je sais très bien que ce n'est pas de votre initiative de m'avoir fais revenir dans ce monde. Ton maître t'as ordonné de le faire ! Je suis conscient que je ne suis qu'un outil qu'il espère utiliser pour accomplir ses désirs ! C'est ma vengeance ! Jhorne, Alserac, la Reine, Nexus SONT A MOI !!! Hurla t'il en jetant le magicien. Il me croit pas assez fort ? Pas assez rusée ? IL ME SOUS ESTIME ?!?!?

   Il dégaina sa lame, et s’apprêta à frapper le mage, quand Darius, stoppa son bras.

-Maître ! Nous avons besoin de lui ! Calmez vous !

   L'homme lui lança un regard noir, hurla de rage et se dirigea vers sa tente.

-Pitiez non.. non ! NON !

   Des craquements, des cries, la chair qu'on arrache, les os qu'on brise, les organes qu'on explose. Puis le silence, et les pas provoquant des succions. L'homme ressortit, couvert de sang et de morceau. Il semblait calmé et n'avait plus son épée. Zork se risqua à parler en premier alors qu'il se relevait.

-Soyez assurer que mon maître vous tiens en haute estime ! En aucun cas nous vous sous-estimons. Nous voulions seulement vous apportez un peu plus d'assistance. Expliqua Zork. Vous êtes le plus à même accomplir cette tache, là où d'autre ont échouer. Nous voulons mettre toute les chances de nos côtés, car cela fait longtemps que nous cherchons la tête de la Reine. Sinon, jamais nous vous aurions ramené. Votre plan des plus brillant sera sans doute le plus aboutit.
-Vous maniez bien les mots. Vous ferriez un bon diplomate. Mon plan repose sur vos talents, je me suis trop emporter. Dit-il en tapotant l'épaule de mage, laissant une trace de sang. Mais ça ne me ravie pas pour autant. Vous suivrez mes directives et mon plan ! Continua t-il d'une voix sombre. Prévenez vos alliées que je ne tolérerais pas une autre intervention sans MON consentement. Il se retourna et dirigea vers sa tente. Il ne reste plus que le moment crucial. D'ici là, nous avons d'autre préparatif. Darius, prépare les prisonniers et les cadavres.
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-Ma Reine !

   Maxime parvint à retrouver la Reine. Il alla à son niveau et s'agenouilla, tirant sur ses blessures.

-Comment vous portez vous ? S'enquit Maxime. Avez vous besoin de quelque chose ? Je vous prie de pardonnez mon incompétence. J'aurais du être plus vigilant pour votre sortie. Enchaîna t-il.

   Il resta ainsi quelque seconde, avant de devoir se relever, ses blessures menaçant de se rouvrir. Bien qu'il resta impassible concernant son état, le tremblement de ses lèvres ne purent cacher la douleur qu'il ressentait avec ce mouvement.

-Suite à ces événements, je ne peux vous permettre de ressortir, tant qu'il y aura un risque d'embuscade. Nous devons maintenir le calendrier, mais repousser votre départ, le temps que nous organisons votre évacuation avec le reste de la ligne de défense. Exposa Maxime. L'ennemie était visiblement au courant de notre emploie du temps, un espion doit être parmi nous. Nous ne pouvons pas prendre le risque de sortir. L’ennemie regroupe sans doute ses forces pour s'en prendre à votre convoie, dans l'optique que vous partez dans la journée ou dans les jours à venir ou ils attendent des renforts pour un siège si ils savent que vous ne sortirais pas. Expliqua Maxime. La deuxième options est la plus avantageuse pour nous, aucun siège n'a réussit à atteindre la forteresse ou à faire tomber les murs d'Alserac et nos renforts arriveront en peu de temps. Si ils attendent que vous sortiez, nos alliées arriveront en masse, j'ai fais passer le message afin de regrouper une force armée pour vous escorter en terre sur.

   Maxime finit sa tirade, laissant la Reine assimiler de ce qu'il venait de dire et attendit ses réactions.
« Modifié: lundi 12 novembre 2018, 18:43:37 par Jhorne »

Elena Ivory

Humain(e)

Re : Le Champion et la Reine [Pv: La Reine Ivory]

Réponse 21 mardi 13 novembre 2018, 01:13:27

L’elfe avait vu ce qu’il avait à voir. Le Colosse de Nexus était fidèle à sa réputation, et avait achevé les berserkers du mage noir. Une bête furieuse, sans doute le fruit de mutagènes humains, ou de quelques sinistres expériences. Mais le but de l’elfe n’était pas de le tuer. Cet homme leur serait utile dans le conflit qui se préparait à Alserac. Iorveth fit donc prudemment demi-tour, laissant ce sauvage dh’oine s’acharner vainement contre les arbres. Lui-même rejoignit les profondeurs de la forêt d’Alserac, jusqu’à retrouver le campement de la Scoia’tael qu’il commandait.

En le voyant approcher, les elfes surveillant l’entrée depuis les arbres le saluèrent. Les Terranides travaillant au camp en firent de même. Pour un elfe, Iorveth avait une carrure très impressionnante. Il fallait bien admettre qu’avec son bandeau rouge dissimulant une partie de son visage, l’elfe était très reconnaissable. Les autorités nexusiennes disaient d’Iorveth qu’il était un terroriste, un activiste elfique extrêmement dangereuse, et dont la tête était mise à prix. C’était un membre influent au sein de la Scoia’tael, une organisation non-humaine militant pour la reconnaissance des droits des races non-humaines, et considérée par les autorités des royaumes humains comme une organisation terroriste et pro-impériale, recevant le soutien de l’Empire pour déstabiliser Nexus et ses alliés dans le cadre du conflit opposant les deux royaumes.

Iorveth avait jadis collaboré avec les Ashnardiens, justement. Il s’était battu contre les Nexusiens en menant des opérations derrière la ligne de front, mais son unité avait été capturée, et enfermée à Drakenborg, un redoutable fort. Là, il avait perdu ses hommes, dont Echel Traighlethan, qui avait été pendu sous ses yeux, et lui-même avait subi des tortures horribles. Ses bourreaux avaient brûlé une partie de son visage, arraché l’une de ses oreilles, et l’avaient énuclée, lui arrachant l’un de ses yeux. Iorveth avait réussi à survivre, et, grièvement blessé, avait repris la lutte. C’était un guerrier impitoyable, redoutable dans sa manière d’être, mais dont les motivations restaient obscures. Si les Nexusiens avaient pu capturer son unité à Drakenborg, c’est parce que les Ashnardiens avaient trahi les elfes. Iorveth attendait des renforts qui n’étaient jamais venus, et avait depuis lors compris que le salut du peuple elfique ne viendrait pas de la part des Impériaux.

« Comment cela s’est passé ? s’enquit Malik, l’un de ses lieutenants.
 -  Alserac est toujours aussi bien défendue, et le Colosse de Nexus est fidèle à sa réputation. »

Malik était, comme Iorveth, un Bas-Elfe, c’est-à-dire un elfe né dans les royaumes humains. Ceci expliquait l’origine de son nom. Il avait grandi dans les faubourgs de Wyzima, la capitale de la Témérie, un royaume humain allié à Nexus. Il avait connu l’humiliation des humains, les régimes discriminatoires, des soldats cruels qui avaient saccagé sa boutique, l’avaient battu, et l’avaient accusé d’obstruction. Il avait été en prison à cause de ce racisme ambiant, et avait rejoint la Scoia’tael.

Iorveth remonta leur camp, observant les tentes, les aires d’entraînement, jusqu’à traverser le sentier menant à la partie supérieure du camp. Ny’Lan, une dryade venant tout droit de la forêt de Brokilone, montait la garde, et laissa Iorveth passer. L’elfe rejoignit ainsi une grande tente, et, alors qu’il s’approchait, entendit des gazouillements joyeux.

« Iorveth ! Tu es rentré ! »

Un léger sourire traversa le visage dur de l’elfe, qui salua la jeune Princesse héritière, Nizira. Elle se promenait dehors, et, très rapidement, Iorveth s’inclina en voyant deux femmes sortir de la tête.

« N’importune pas Iorveth, Nizira, il revient de la bataille. »

La femme qui parlait était la Reine de Dol Blathanna, un royaume elfique reconnu par Ashnard, mais actuellement en crise, Enid an Glaenna. Elle était accompagnée de sa redoutable et puissante seconde, la magicienne Francesca Findabair.

« Comment cela s’est passé ?
 -  Le dragon a été tué, répondit la magnifique Francesca. Je serais surprise que ce vermisseau de Zork ait pu survivre, mais on ne peut négliger aucune piste. »

Iorveth hocha doucement la tête.

« Le Colosse de Nexus est à la hauteur de sa réputation, il a tué le dragon, et a repoussé les Berserkers restants. »

Enid hocha la tête à son tour.

« C’était prévu. Vilgefortz va en tenir compte. Tout se déroule comme nous l’avions prévu, et il faut faire en sorte que cela dure. Nous retournerons à Dol Blathanna, Nizi’, je t’en fais la promesse.
 -  On retournera à la Vallée des Fleurs ?
 -  Évidemment, c’est notre maison ! »

Une perspective qui semblait enjouer Nizira, ce qu’Iorveth pouvait tout à fait comprendre.

Mais la route serait encore longue d’ici là…



À Alserac, Elena, elle, écoutait le Commandant Maxime lui présenter ses excuses, et lui indiquer qu’il était impensable qu’elle sorte de l’enceinte du château en ce moment. Elena ne put qu’acquiescer, tant cette attaque avait été soudaine et imprévisible.

« Je ne crois pas que cette attaque ait eu lieu également pour moi, Commandant. Je crains qu’Alserac ne fasse l’objet d’un siège. Il faudra s’assurer de prévenir les forteresses proches.
 -  Ce qui m’intrigue là-dedans, c’est qu’il n’y a aucune armée impériale à proximité, et que nos éclaireurs n’ont rien repéré. »

Elena acquiesça silencieusement. Elle le savait, elle aussi.

« Si ce n’est pas les Ashnardiens… Alors, il faut trouver qui a envoyé ce dragon et ces berserkers.
 -  Tout à fait, Majesté… Mais ceci implique aussi que vous restiez ici, en sécurité. Indépendamment de tout le reste, il est évident que notre présence ici a précipité les plans de nos ennemis, quels qu’ils soient. »

Là-dessus, Elena ne pouvait qu’être d’accord…
DC d’Alice Korvander.

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Jhorne

Humain(e)

Re : Le Champion et la Reine [Pv: La Reine Ivory]

Réponse 22 dimanche 18 novembre 2018, 01:34:59

   Alors que la journée était déjà bien entamé, le calme était revenue. Alserac campait sur ses positions, en alerte, commençant déjà à se préparer à un siège, plusieurs pigeons s'envolèrent des nids d'aigles, tandis qu'on sortit des balistes portatifs pour chasser quelque dragon nain. On avait envoyer des troupes pour récupérer les corps et éventuelle survivant, mais que des morts et la plupart des corps avaient disparue, sûrement emporter par des berserkers ou des créatures sauvages.

   La plupart des soldats avaient été soigner, bien qu'on déplora la perte de plusieurs hommes et du capitaine Ekekios, une bonne nouvelle vint enfin, ravivant les soldats moroses. On l'aperçue du haut des ramparts, sortant de la forêt, couvert de sang mais victorieux, une tête de dragon blanc sur l'épaule.

-OUVREZ LES PORTES ! JHORNE EST DE RETOUR !!!


   Il était même pas encore arriver, que tout Alserac était déjà au déjà courant du retour du champion. Et alors que Jhorne passa les portes, il fut accueillit par une foule de citoyens et de soldats, l'acclamant, lui demandant de raconter son combat, admirant son nouveau trophée ou demandant ce qui lui était arriver. Et comme à son habitude, Jhorne ria de bon cœur, promettant de tout raconté, une fois qu'il aura pris une douche et autour d'une bonne boisson. Il remonta l'allée principale, suivit par des enfants et des soldats, comme garde d'honneur. On lui offrit en même temps de quoi boire en profita pour laver un peu sa figure dans le puits, enleva le sang de son visage et d'une partie de ses cheveux. En entrant dans l'enceinte de la forteresse Anldor, une ovation accueillit Jhorne, alors qu'il leva la tête du dragon en signe de victoire.

-JHORNE ! JHORNE ! JHORNE ! JHORNE !


   Tuer un dragon était un toujours un exploit, peu de gens en étant capable et cela suffisait pour . Pourtant Jhorne restait assez humble, car il avait plus de facilité qu'un simple humain. Mais cela suffisait pour faire oublier cette attaque qui avait coûtée la vie de plusieurs soldat et menacé celle de sa majesté, la colère et la tristesse laissant place à l'admiration et à l'exultation. Jhorne dressa son plus beau sourire, malgré les élancement de ses blessures. On amena une charrette pour que Jhorne y dépose la tête, qui allait être conserver dans une pièce spécialement réserver à Jhorne, contenant ses trophées, dont on pouvait admirer des répliques dans un musée à Nexus, pour le petit peuple.

   Jhorne, qui été toujours couvert de sang, raconta son combat, mais ne fit mention à personne de l'étrange individue qui avait rameuté les Berserkers, dont il ne priva pas de raconter comment il avait vaincue, en usant de pierre magique incrusté dans son armure, qui avait bien besoin de se faire recharger d'ailleurs. Il coupa court au acclamation, en demandant où se trouve Maxime, car il devait faire son rapport rapidement. Il partie donc sous les indications d'Eros, et alla rejoindre Maxime et la Reine, dans une chambre isolé de l'hôpital, obligeant tout le monde à s'écarter de son chemin. Il parvint à atteindre la chambre en question et intima à ce qu'on les laisse seuls, avant de se présenter à la porte. Maxime ouvrit cette dernière et eu un air réprobateur.

-Tu aurais pus être mieux présentable !
-Mon brushing attendra, y a plus urgent. Les Ashnardiens n'étaient pas les seuls présents pour la Reine.
-Quoi ? Fit Maxime, en s'écartant pour laisser entrer Jhorne.

   Jhorne entra en se pliant en deux et s'assit en tailleur et s'inclina devant la Reine. Même assit il dominait tout le monde de taille.

-Votre majesté. Je bien peur des gens vous ont suivit durant votre voyage jusqu'à Alserac. Ils ont tentés de m'abattre, en évoquant que ces terres étaient à.... An Seydhe, quelque chose comme ça. Je crains que ce ne soit un groupuscule qui cherche à vous abattre. Dit il en sortant de sa sacoche une flèche étrange.
-Une flèche à pointe havekar. Lança Maxime en analysant rapidement la flèche. Très prisé par les assassins. Les elfes en sont les principaux utilisateurs, j'ai eu déplaisir de m'en prendre une il y a quelque années.
-Ils se sont annoncer avec un étrange son de flûte je crois. Et avec le même instrument ils ont dirigées des berserkers vers moi.
-Un son de flûte ?
-Oui. J'ai essayer de les poursuivre, mais impossible de trouver une trace. Ils ont profité de l'attaque d'Ashnard et ils pourraient bien agir si il y a un siège ou quand vous partirez.
-Je ferais passer le mots au autre commandant, peut être qu'ils auront des informations. Votre majesté.

   Maxime s'inclina et pris congé, laissant seul la Reine, Adamante et Jhorne. Ce dernier hésita un moment avant de reprendre parole.

-Vous vous portez bien ma Reine ? Si je peux me rendre utile de n'importe qu'elle manière, je suis à votre entière disposition.

Elena Ivory

Humain(e)

Re : Le Champion et la Reine [Pv: La Reine Ivory]

Réponse 23 lundi 26 novembre 2018, 00:41:37

Elena ne s’était pas attendue à tomber en plein siège lors de son séjour à Alserac. S’agissait-il d’une coïncidence ? C’était tout de même assez difficile à croire. Mais quelle preuve avait-elle que les Ashnardiens étaient bien derrière ça ? D’aucuns auraient pu accuser la Reine d’aveuglement, mais elle faisait, au contraire, preuve de lucidité. Le naufrage du yacht royal lors de sa naissance avait toujours été attribué à l’Empire, mais Elena avait des raisons de remettre en cause cette version prisée par la population. Pour elle, il y avait des éléments qui leur échappaient, et, à défaut de preuve, elle n’aimait pas accuser qui que ce soit. Restant donc isolée dans la chambre avec Maxime, elle sortit de ses songes quand Jhorne, ce colosse redoutable, apparut. Il avait des traces de sang sur le corps, signe des batailles intenses qu’il avait mené, et exposa avoir été attaqué par un elfe. Elena fronça doucement les sourcils en voyant la flèche, une preuve plus que suffisante.

« Aen Seidhe, rectifia-t-elle quand Jhorne tenta de répéter ce qu’il avait entendu. Le Sang Ancien... »

C’était un terme assez ancien, utilisé pour désigner les elfes nobles, ceux qui avaient quitté leur terre natale, et qui avaient su conserver leur pureté, avant de se mélanger aux humains. Dans la civilisation humaine, on utilisait plutôt le terme de « Hauts-Elfes » pour désigner les elfes ayant vécu en autarcie, dans leurs royaumes, et celui de « Bas-Elfes » pour désigner les elfes vivant avec les humains. Le terme « Aen Seidhe » était surtout une expression choisie par la Scoia’tael, une organisation non-humaine terroriste se composant majoritairement d’elfes et de nains.

*Un élément de plus à tenir compte, mais on dit que la Scoia’tael est secrètement financée et entraînée par l’Empire d’Ashnard.*

Était-ce bien la preuve que les Ashnardiens étaient présents ? Elena n’allait pas se voiler la face, mais il lui fallait comprendre ce qui se passait ici. Le Commandant Maxime, assez surpris, les laissa alors, indiquant qu’il avait besoin de se renseigner là-dessus. Jhorne, restant seul avec Elena, et ne sachant visiblement pas trop quoi dire, bredouilla alors être à son service, qui la fit sourire.

« La principale chose que je vous demande, Jhorne, est de ne pas répéter l’erreur de votre commandant en me cajolant comme il le fait. Je n’ai absolument rien, et je pense que cette pièce devrait être utilisée pour les soldats vraiment blessés... Comme vous, par exemple. »

Il ne fallait jamais oublier qu’Elena avait passé dix ans de son existence dans un monastère religieux, ce qui lui avait permis d’apprendre l’humilité et le dévouement pour les autres. Elle n’aimait pas l’idée de recevoir des privilèges du fait de son rang, même si le fait qu’elle était la Reine amenait à une situation particulière. En tout cas, elle observa encore Jhorne, avant de lui poser une question :

« Vous... Vous disposez de capacités surhumaines, non ? Vous avez terrassé ce dragon à vous tout seul, sans parler des Berserkers ensuite... Quel est votre secret ? »
« Modifié: mercredi 12 décembre 2018, 00:25:45 par Princesse Alice Korvander »
DC d’Alice Korvander.

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Jhorne

Humain(e)

Re : Le Champion et la Reine [Pv: La Reine Ivory]

Réponse 24 vendredi 07 décembre 2018, 18:41:11

« La principale chose que je vous demande, Jhorne, est de ne pas répéter l’erreur de votre commandant en me cajolant comme il le fait. Je n’ai absolument rien, et je pense que cette pièce devrait être utilisée pour les soldats vraiment blessés... Comme vous, par exemple. »
-Kukuku. Je suivrais votre volonté votre Altesse, et je vous remercie de votre inquiétude à mon égard, mais ce ne sont que des égratignures pour moi et ce sang n'est pas le mien.
« Vous... Vous disposez de capacités surhumaines, non ? Vous avez terrassé ce dragon à vous tout seul, sans parler des Berserkers ensuite... Quel est votre secret ? »

   Jhorne resta pensif quelque instant, en se caressant le menton.

-Je dirais qu'il s'agit de ma volonté et de ma détermination inébranlable et intrépide. Répondit Jhorne. Bien des gens disent que je dois mes exploits, mes victoires et mes combats, que grâce à ma nature de demi-géant, ce qui rend mes combats plus facile. Mais à mes yeux, ce n'est pas ma plus grande force, car si je n'avais pas cette volonté, je n'aurai jamais quitté mon village adoptif. Je n'ai jamais ressentit la peur ou le découragement, je ne sais même pas comment me les représenter. Enchaîna t-il. À chacun de mes exploits, si j'ai vaincue, c'est parce que j'avais confiance en ma victoire, que rien n'a put faire flancher ma volonté, et que rien n'a sut m’impressionner et me pousser à reculer. Mes exploits n'aurait pas été différent si j'étais un humain à part entière. Expliqua-t-il. Même au plus prêt de la mort que j'ai côtoyer de nombreuse fois ou face à des créatures et monstres aussi fort que moi, si ce n'est plus, ma volonté et ma détermination n'ont jamais faiblit, ce qui m'a toujours permit de me relever et de gagner.

   Personne dans l'armée ne pouvais remettre ses dires en causes. Personne ne l'a vue avoir peur une seule fois, personne ne l'a vue reculer face au danger. Il tenait plus de la témérité et de l’inconscience, guidé par une fois aveugle en sa victoire. Il se jetait à bras ouvert dans la mêlée, sans jamais faiblir. Cette volonté, là conduit plus d'une fois au porte de la mort, se battant sans jamais tenir compte de ses blessures, si bien qu'on le surnommait l'Amant de la Mort dans son dos, surnom non officiel car plutôt péjoratif, après les nombreuse fois où il a fallut le sauver des griffes de la mort, le plus impressionnant étant qu'il parvenait plus ou moins à rester conscient. Il affrontait le danger sans tenir compte de ses faiblesses et de ses limites. C'était sans doute cette vision que voyaient les soldats, qui les pousse à ne jamais faiblir en la présence de Jhorne, refoulant leur peur et leur doute, fessant en sorte d'avoir une volonté et un courage aussi fort que ceux de Jhorne.

   Si Jhorne prenait autant de risque et avait réussit autant, ce n'était pas par goût de la patrie et de l’héroïsme, ceci venant au fils du temps, à force d'être acceptés et acclamés par l'armée et les citoyens de Nexus. Seul demi-géant à sa connaissance, inapte dans une société pas adapté pour lui, il repoussait sans cesse ces limites, pour se tailler une place dans ce monde. Sa volonté et sa détermination venait de son désir de se faire une place dans ce monde, de se faire une raison d'être.
----------------------------------------------------------------------------------------------------

-Tch. Quand es que nous partirons d'ici ? Clama un des gardes extérieurs du camps de la Scoia'tael.
-Moins fort ! Souffla un de ses camarades. Ça ne serait tarder, cette ville-forteresse risque d'envoyer de nouveau éclaireurs et nous ne sommes pas de taille contre toute une armée, surtout avec ce demi-géant.
-Il n'y pas que eux à craindre. Murmura quelqu'un à l'oreille du garde.

   Avant qu'ils ne puissent faire quoi que ce soit, les gardes furent prit par surprise neutralisant leur adversaire en les étouffant. Sans bruit et rapide comme l'éclair, desindividues en armure noir et souple, fessant penser à des assassins, mire hors d'état de nuire une partie de la surveillance du camps. 6 de ces individues se regroupèrent avec les soldats inconscient, dans les buissons, et s'agenouillèrent devant un arbre.

-Maître.
Clama visiblement le chef, d'une voix déchirée par la douleur. Nous... nous avons accomplit votre désir.
-Bien. Allons au camps en toute discrétion.

   Les assassins et les gardes inconscients, s’effacèrent soudainement, disparaissant du paysage. L'entré du camps était sous la surveillance de plusieurs gardes, aussi quand ils s'écroulèrent sans réelle raison, provoqua la panique parmi les gens du camps, rameutant les soldats et qu'elles ne furent pas leur surprise, de voir un groupe apparaître subitement à l'entré, comme si la réalité s’effaçait. Six individues aux allures inquiétante, cacher derrière des gardes inconscient, menant de les égorgés, visiblement inconscients et ligotés, un homme en armure noir, grand et imposant, tenant par la tête un garde, qui lui était conscient et tentait de se soutraire à la poigne de fer du commandant Ashnardien. Derrière lui se tenait Zork, s'appuyant de manière non nonchalante sur son bâton.

-QUI DIRIGE CE CAMPS ?
Tonna la commandant Ashnardien. QU'IL VIENNE ICI OU J'EXPLOSE LA TÊTE DE CE GARDE !

   Sans prévenir il serra sa main sur la boite crânienne du garde, qui se mit à hurler sous la douleurs, surtout quand il entendit un sinistre craquement au niveau de son oreille droite. Le temps que les défenseurs ne se regarde prit par surprise, leur camarade hurla de douleur et de sang coula de ses oreilles, alors que sa tête devanit peu à peu rouge. En même temps des flèches fusèrent, mais traversèrent un portail qui apparue soudainement, avant de ressortie par un autre, touchant quelque soldats. Imperturbable, le commandant Ashnardiens vociféra une nouvelle fois.

-OU EST VOTRE CHEF ? IL VEUT LA MORT DE CELUI LÀ ?!

   Et alors qu'il s’apprêta à éclater la tête du malheureux, un nouveau groupe ce présenta, dont il reconnue rapidement l'une des personnes.

-Reine Enid an Glaenna. Clamat le commandant en s'inclinant et en lâchant le soldat, qui se tortillais de douleur et hurlant encore. Quel honneur que de vous voir ici, je suis le commandant Démérios, des armés d'Ashnard. Navré de savoir votre royaume en difficulté, mais si vous ne voulez pas que votre peuple apprenne que vous servez de descente de lit parce que vous avez été un grain de sable dans mon plan que je travaille depuis plusieurs jours, car j'ai une sainte horreur des éléments que je n'ai pas pus prendre en compte, dite moi quelles sont vos intentions et votre but ici ! En même temps, il appuya son pied sur la tête du garde à ses pieds. Sinon ces pauvres messieurs abreuverons la terre de leur sang et je vous massacre tous, ce que je ne veux pas, car Alserac serait bien capable de repérer cette confrontation et rendrait mon plan caduc. Je veux simplement connaître vos intentions.

   Devant eux se tenait un homme dangereux qui pourrait sans aucun mal tuer ces pauvres âmes, et qui pourrait facilement tous les tuer, sans que personne ne puisse faire quoi que ce soit. Surtout que Zork, avait sans mal dévier leurs flèches et pouvait sans aucun doute, ouvrirent des portails pour envahir le camps. D'ailleurs ce dernière disparue, usant de ses sorts d'illusion pour devenir invisible, devenant impossible à repérer ni même de relever sa position.

Elena Ivory

Humain(e)

Re : Le Champion et la Reine [Pv: La Reine Ivory]

Réponse 25 lundi 17 décembre 2018, 00:41:10

Jhorne lui expliqua qu’il devait avant tout sa force à son mental, à son absence de peur, expliquant n’avoir jamais ressenti la peur, et faire preuve d’un courage inébranlable. Elena sourit doucement en le regardant, et haussa les épaules, répondant rapidement à cela :

« L’absence de peur, ce n’est pas du courage, Sire Jhorne, c’est de la témérité. »

Et ce n’était pas du tout la même chose. Le véritable courage, c’était de surmonter ses peurs, non de feindre l’ignorer. Mais Elena n’allait pas se lancer dans une discussion philosophique avec Jhorne. Au demeurant, elle restait sceptique sur le fait que ses pouvoirs ne viennent que de son seul courage, elle allait devoir se renseigner sur lui. Mais, pour l’heure, Elena préféra sortir de la pièce isolée où le Commandant Maxime l’avait placé, et préféra aller voir les blessés. Évidemment, la présence de la Reine de Nexus dans le hall des blessés attira bon nombre de murmures et d’élans de surprise.

Devant elle, les guérisseurs la regardèrent, surpris, et Elena les empressa de continuer.

« Je ne veux pas vous déranger, je viens juste vous soutenir ! »

De fait, Elena avait appris les soins de premiers secours au monastère, et rejoignit même plusieurs infirmières, aidant à éponger des plaies, ce qui ne manqua pas de surprendre le personnel présent.

« Majesté, voyons...
 -  C’est mon devoir, j’ai appris à panser les plaies, je vous rassure ! »

Très clairement, Elena dérogeait à cette image qu’on lui donnait, celle d’être une femme fragile réfugiée derrière sa tour d’ivoire. On pouvait encore mieux comprendre pourquoi le comportement du Commandant Maxime l’avait irrité, lui qui n’avait pas hésité à la mettre en repli, à la protéger... De manière bien trop excessive selon elle. Alors, elle faisait acte de présence, elle aidait ces soldats...

...Parce que c’était son rôle, tout simplement !



« Tu te crois en position de supériorité, Ashnardien ? »

Enid se tenait face à lui, nullement inquiète par le ton péremptoire de Démérios. Fransesca se tenait à côté d’Enid, et elle était réputée pour être une magicienne elfique aussi belle que puissante, l’une des plus puissantes magiciennes elfiques. Mais Enid disposait aussi de vifs pouvoirs magiques, sans parler des multiples elfes qui avaient pointé leurs flèches sur Démérios et sur sa troupe. Mais il fallait aussi rajouter à cela les Tréants qui remuaient lentement, les dryades et les druides commandant les animaux sauvages. Démérios était au cœur du campement, et, même si Enid ne s’expliquait pas comment il avait fait pour retrouver son camp, elle n’était pas inquiète outre mesure.

La Reine dirigeait Dol Blathanna, un royaume elfique réputé pour être une terre d’asile des espèces non-humaines à proximité de Nexus.

« Mes motivations ne te regardent pas, Ashnardien. Je t’offre cinq secondes pour relâcher ton pied du cou de Sig’nith, ou Iorveth te tranchera la gorge.
 -  Il y a une ouverture à hauteur de son cou, dans la trachée. De ma position, dh’oine, je t’atteindra l’œil fermé. »

La magie s’auréolait déjà autour de Fransesca, et le sol tremblait doucement sous Démérios et ses hommes.

« Croyez-vous pouvoir menacer la Reine de Dol Blathanna en ma présence ? L’arrogance des Ashnardiens n’a aucune limite... »

Très clairement, si Démérios était venu pour négocier, il était parti du très mauvais pied.

« Il a un mage avec lui... Il se dissimule derrière un voile d’Illusion.
 -  Ce qui implique qu’il va dévier ta flèche, Iorveth.
 -  Je hais les mages. »

Fransesca ne releva pas l’affront.

« Votre mage ne vous sauvera guère, Démérios. Vous sentez le sol trembler, n’est-ce pas ? Regardez ces arbres autour de vous, si vous les reconnaissez. Ce sont des saules centenaires, aux racines profondes et épaisses. Je n’ai qu’un geste à faire, et ces racines vous transperceront, peu importe les boucliers et les voiles de votre couard de mage. »

Le ton était donné, et il était très tendu...
DC d’Alice Korvander.

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Jhorne

Humain(e)

Re : Le Champion et la Reine [Pv: La Reine Ivory]

Réponse 26 vendredi 04 janvier 2019, 10:54:19

« L’absence de peur, ce n’est pas du courage, Sire Jhorne, c’est de la témérité. »
-Kukuku. On me parle aussi de folie parfois. Mais je suis pas très porté sur les débats, vue que j'agis avant de penser parfois.

   Jhorne ponctua sa phrase par un rire franc. Il se retira, quand la Reine voulue sortir de la pièce, dégageant son passage et décidant de se rendre à la laverie pour déposer son armure. On allait lui passer un savon, en plus de le forcer à aller se faire soigner. Il avait plus envie d'un bon bain avec massage. Ah, et il devait faire part du message de la Reine à Maxime, comme quoi il en fessait trop. Le rejoindre fut rapide, ce dernier dehors en pleine discussion avec Eros et Orion.

-... inconcevable ! Fulmina Maxime.
-C'est une triste vérité. Répondit Orion.
-J'ai bien peur qu'ils s'en servent contre nous. Prédit Eros.
-De quoi vous parlez ? Demanda Jhorne, en projetant une ombre sur eux en allant à leur niveau.
-Les corps de nos camarades et ceux qu'on à due laisser, ont disparues. L'ennemie a profité de notre fuite.
-LES CHIENS !!!! Hurla Jhorne d'une voix tonitruante, avec assez de force pour être entendue depuis l'infirmerie, attirant tout les regards.
-Parle plus fort, le super fort voisin ne t'a pas entendue. Lui dit Eros, sa main sur son oreille.
-Idiot. Souffla Maxime.
-Quoi ? Demanda Orion.
-Pardon. S'excusa Jhorne.
-De toute façon on ne peut pas le cacher, il faudra l'annoncer. Conclue Maxime. Vaquez à vos occupations, je l'annoncerais lors de la veillé du soir, en l'honneur de nos morts.
-Bien. Répondirent les trois autres.
-Ah, Maxime. Interpella Jhorne. Sa majesté m'a fais part de son mécontentement quand à ta manière de la traiter.
-Je comprend, et je compte pas changer, même pour son confort personnel. J'ai jurée sur ma lame en devenant chevalier de servir et protéger la famille Royale et Nexus, tout comme ma famille depuis des générations, tout comme mon père qui a périt avec le Roi. Lui répondit Maxime. Elle est la dernière des Ivory, la dernière de sang royale ! Si je devais l'enfermer dans une prison dorée pour la protéger, je le ferais ! Je ne peux pas me permettre de relâcher ma vigilance et de me montrer conciliant, parce que sa majesté le vit mal.
-C'est vrai, on ne peut pas faire preuve de laxisme la concernant. Rajouta Eros. C'est dur, mais nécessaire. Le moindre malheur lui arrivant pourrait bien plonger Nexus dans le chaos.
-Eros place deux de nos meilleurs espions auprès de la Reine, qu'ils puissent intervenir aux moindres problème. Commanda Maxime. Préviens sa garde rapproché aussi, qu'ils ne soient pas surprit.
-Bien.
-Orion, envoie nos éclaireurs et nos rangers, qu'ils surveillent les routes et qu'ils évaluent l'état de nos avants poste.
-Bien.
-Et toi Jhorne... tu ferais mieux d'aller traiter tes blessures et prendre un bain.
-J'allais le faire ! Répondit Jhorne en s'éloignant.

   Les 4 hommes se séparèrent, chacun allant remplir sa mission. Maxime entreprit de rejoindre son bureau, afin de faire passer le mots au reste de la ligne de défense et faire ses demandes de renforts. Il estima à 1 semaine l'établissement d'une ligne d'évacuation. Il due reconnaître que pour la Reine ce serait dur, mais Alserac avec assez de chose pour l'occuper. Une visite des cavernes pourrait être une bonne activité, avec la rivière souterraine.

   Dans l'infirmerie, la Reine avait provoquaée de sacré stupeur, autant parmi les blessés que parmis les soigneurs. Une Reine qui s'abaisse à soigner de simples fils de paysans, d’artisan ou de petit bourgeois, c'était une première. Ce fut autant gênant qu'un un honneur de se faire soigner par sa majesté, qui n'avait rien à envier aux autres soigneurs, certain jouant les durs pour garder la face. Elle fut toutefois tenue éloignée des cas les plus graves, ceux dont les blessures laissaient entrevoir les os, les organes ou à qui un membre était broyer dans son armure. Ils étaient dans une aile réservée, atténuant peu les cries de souffrance et parfois deux hommes sortaient, portant une civière, des draps couvrant un mort dessus.
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-Bien ! Déclara Démérios à voix haute. Merci de prévenir de toute vos intentions et de vos attaques.

   Il dégaina son épée et l'enfonça à moitié dans le sol, assez rapidement pour prendre de court la magicienne, qui lança son attaque trop tard. Plutôt simple en apparence, l'épée n'avait rien de mirobolant, mais l'aura néfaste qu'elle dégageait était palpable. Sa simple vue emplissait de crainte les plus faible, et fessait douter les plus fort. Une aura rouge et noir l'enveloppa avant d'imploser, puis toute l'herbe avoisinante, les fleurs et autres, dépérirent, se desséchant à vue d’œil, devenant marron avant de partie lambeau sous la brise. Les racines que fit jaillirent la magicienne, étaient dessécher et marrons, se brissant contre les armurees. Le sol se craquela et se dessécha, jusqu'au fameuse racines des arbres centenaires, qui subir le même sort, mais par chance, les chênes furent épargnés.

   Un zone morte, hostile à la vie, entoura le groupe. Si les racines passaient à nouveau dans cette zones, elles mourraient. Démérios se releva, laissant sa lame dans le sol. En même temps, Iorveth tira, sa flèche fusa, mais un assassin surgit de nul part, dévia et trancha la flèche. Il se mit à côté de Démérios, lançant un regard méprisant à Iorveth.

-Garder ses atouts dans sa manche, ne pas dévoiler son plan, ne pas relever les défauts de l'adversaire... ça vous dit quelque chose ? Demanda Démérios avec dédain. Vous me qualifiez d'arrogant, mais dans votre cas je dirais stupidité, à défaut d'arrogance. Tout me dévoiler et penser que je me dévoile dans votre camp, au milieu de tous, par pure arrogance, sans précaution. Commenta  Démérios avec un ton méprisant. Par égalité, je vous dévoile un peu mon plan. Il y a un assassin juste derrière vous magicienne.

   À peine que Démérios commença sa dernière phrase, que la magicienne put sentir son épaule se faire transpercer, un lame noir déchirant sa chair, et au même moment, elle perdit toute magie, ne laissant aucun doute sur la nature de la lame, qui d'ailleurs se brisa, laissant plein de morceau dans la chair. Derrière, comme si la réalité se déchirait, un assassin se dévoila, lâchant la lame qui n'avait pas poignet. Il fit un croche patte à la magicienne, la fessant chuter, sortant une nouvelle lame, menaçant Iorveth qui décocha sa flèche dans l’œil de l'assassin. Un sang noir, épais et malodorant gicla. L'assassin poussa un hurlement de mort, alors qu'une chose blanche et transparente, ayant une forme humanoïde, semblait vouloir s'extirper de son dos, avant d'y revenir. L'assassin poussa à nouveau un hurlement inhumain, et arracha la flèche de son orbite, son œil restant dessus, retenue par les nerfs et des filaments de sang noir. L'oeil s'arracha de la flèche, retournant dans son orbite et reprenant son aspect normale, malgré le sang épais s'échappant.

   L'assassin tomba à genoux, hurlant d'une douleur insondable, sa capuche et son masque tombant sous ses tremblements, dévoilant un elfe noir. Il se releva, prêt à combattre, la haine et la terreur dans les yeux. Il fut percé de flèche, tandis que dryades firent jaillirent du sol des racines, transperçant ses genoux et attrapant ses bras, le mettant à genoux. Il hurla de plus belle, alors de nouveau l'étrange apparition humanoïde essaya de s’extirper du corps, avant de d'y retourner, son sang noir et épais coulant de manière obscène, et que ses blessures se refermèrent sur les flèches et les racines. Il parvint à contenir ses cries, jetant à Iorveth un regard de terreur, de folie et de haine. La simple vue de ses traits, montré qu'il était en souffrance depuis bien plus longtemps, son regard recherchant la pitié et la délivrance.

   En même temps, on voulue attaquer le Démérios, mais ce dernier usa de ses prisonniers comme bouclier, dissuadant les autres, alors que les assassins firent de légère entaille sur le cou de leur victimes, comme pour montrer que leur vies ne tenaient qu'a peu chose. Rapidement des portails s’ouvrirent, permettant à d'autre troupe d'entrer, formant un mur de boucliers et d'arbalètes autour de Démérios et des assassins, qui s’amusèrent à faire des petites entailles sur le cou des gardes. On échangea des tirs rapidement, avant que tous se calme, les uns par le risque de la mort de leur camarade, les autres pas ordres. Démérios ne put s’empêcher de rire à gorge déployer.

-Pathétique. Tu aurais du tirer quand tu en avais l’occasion plutôt que le dire à voix haute, je n'en n'étais même pas conscient. Lança Démérios à celui qui avait voulue le tuer par sa flèche. Et votre mage de pacotille aurait due lancer ses racines, plutôt que de jouer l'arrogante en croyant pouvoir m’intimider. Mes sbires non pas eu besoin de plus pour agir.

   La magicienne, privée de ses pouvoirs et l'épaule meurtrie, ne pouvait que se blâmer de sa faute, car non content d’avoir vue son attaque contrée, il lui avait été impossible de sentir la présence de l'assassin, qui semblait être apparue d'un coup d'un seul. Un nouveau portail, s'ouvrit, cette fois ce fut un assassin qui en sortie, portant dans ses bras, inconsciente, Nizira. Démérios la prit dans bras, le montrant à la Reine, avant de renifler ses cheveux.

-Ce que vous pensiez être de l'arrogance, n'était qu'une diversion.
Dit il avec un sourire narquois, caressant entre ses doigts les cheveux de la fille. Malgré les défenses, mes fidèles serviteur, et ce couard de mage comme vous dite, sont allés rendre visite à votre fille pendant notre échange. J'ai eu recours à beaucoup de magie pour pouvoir explorer tout votre camps et connaître ses meilleurs points faible, mais cela à payer

   A ce moment là, un portail s'ouvrit et la Reine Enid an Glaenna en sortie. En même temps, quelqu'un arriva en courant, signalant des gardes assassinés et la disparation de la princesse Nizira.

-Si frêle et naïve. Susurra la fausse Reine en avançant devant la troupe de Démérios, un regard de biais envers la vrai Reine. Un vrai ange. Dit elle avec un sourire mesquin.

   La doublure se métamorphosa pour devenir Zork, qui disparue avant que des flèches ne l'atteigne, se fracassant contre les robuste bouclier des soldats Ashnardiens. Démérios rendit la princesse à l'assassin qui retourna dans le portail avant de se fermer sur lui. Les soldats s'écartèrent, laissant passer les assassins, qui libérèrent les prisonniers, en les traînant à mi-chemin entre Démérios et la Reine Enid an Glaenna. On évita de leur tirer dessus, car ils gardèrent tout de même les lames sur les cous de leur victime, avant de se replier très rapidement. Leur camarade, transpercé par les racines et les fléches, était toujours entrain de geindre près de la magicienne.

-Maintenant que votre fille est entre mes mains et risque de finir comme jouer pour mes berserkers, si je n'obtiens pas satisfaction et si vous tentez quoi que ce soit. Cessez donc vos enfantillages et dites moi vos intentions concernant Alserac. Nous avons le même but sans doute ! Commença Démérios. Rien de tout cela ne serait arrivé, si vous n'aviez pas jouer les arrogantes. Dit il, avec un air supérieure et narquois. Ah et ne me mentez pas, je le saurais.

   Elle avait les cartes en mains, à elle de bien les poser.

Elena Ivory

Humain(e)

Re : Le Champion et la Reine [Pv: La Reine Ivory]

Réponse 27 lundi 07 janvier 2019, 00:46:47

ELENA IVORY

C’était une chance qu’Elena n’ait pas été à côté du Commandant Maxime lorsqu’il fit sa tirade. Toutefois, la jeune Reine se formalisa quand on lui refusa l’accès aux blessés graves, en indiquant que cette place ne convenait pas à une jeune Reine. Le tempérament du Lion de Nexus bouillonnait alors dans ses yeux.

« Mon père s’est battu sur la ligne de front ! Ma mère l’accompagnait dans les superforts quand les Ashnardiens chargeaient ! Vous croyez que je ne sais pas à quoi ressemble une rotule brisée ? Des corps déchiquetés et lacérés ? Je ne suis pas une poupée, je suis Elena Ivory, la Reine de Nexus ! »

Elle s’énervait, avant de secouer la tête. Ce n’était pas le lieu pour ça. Il y avait ici des blessés, et elle ne voulait pas perturber les soins. Adamante posa ainsi ses mains sur les épaules d’Elena, lui demandant à voix basse de se calmer, de laisser les médecins agir. La Reine avait alors les mains trempées de sang, et resta silencieuse. Personne ne l’avait dit, mais ils la traitaient comme une « Reine de porcelaine », un surnom méprisant auquel elle avait régulièrement le droit quand elle était au Palais d’Ivoire. Entre ceux qui la dédaignaient en voyant en elle une gamine incapable au cœur tendre, élevée par des moines et ayant appris à planter des betteraves, et ceux voulant la surprotéger parce qu’elle était la dernière des Ivory, Elena était toujours considérée comme faible, ce dont elle avait par-dessus tout horreur. La vérité, c’est qu’elle avait vu des corps dans des salles d’autopsie, qu’elle avait regardé les ravages de la guerre de très près.

Personne ne la comprenait, personne sauf Adamante. Même Jamiël, sa marraine, ne savait pas ce qu’Elena pensait vraiment. Il n’y avait qu’Adamante, sa fidèle Adamante, la seule à pouvoir la calmer, et qui la guida dans une réserve, où elle utilisa une bassine d’eau avec une serviette pour nettoyer ses mains.

« Ne leur en veux pas, Elena, ils ne sont pas habitués, tu sais… Nexus n’a pas eu de Roi et de Reine depuis plus de quinze ans, et les nobliaux au Palais sont connus pour leur dédain et pour leur mépris.
 -  Je ne leur en veux pas, Adamante… Mais je ne suis pas qu’une survivante ! Je… »

Adamante fronça alors brusquement les sourcils, et tourna la tête.

« Adamante ? »

Elle venait de sentir quelque chose d’impressionnant…

…Comme une explosion de magie émanant de la forêt.




Démérios avait plus d’un tour dans son sac, et réussit l’exploit de capturer la fille de la Reine, Nizira. Il l’emmena avec l’aide de son assassin, Zork, dans son repaire, par le biais d’un Portail, tandis que Fransesca se tenait l’épaule. La Reine de Dol Blathanna ne se laissa toutefois pas intimider, et resta de marbre, comme à son habitude :

« Je crois plutôt que c’est toi qui as mal jaugé nos forces. Crois-tu que ton assassin aurait pu contourner nos sphères de perception, ou les sens aguerris de nos elfes ?
 -  J’ai entendu ce porc siffler, il respire comme un bœuf…
 -  Tu vas avoir ta réponse, Démérios… D’ici… Maintenant. »

Un Portail se forma alors, et le corps de Zork apparut, s’effondrant sur le sol, roulant à plusieurs reprises, tandis que des éclairs en sortirent. Des éclairs étincelants, très forts, qui frappèrent tout autour du groupe. Enid avait effectivement dévoilé ses tours… Mais avait sagement conservé pour elle la raison de la présence de sa fille ici, dans un campement militaire. Elle aurait en effet pu l’envoyer dans les profondes forêts de Brokilone, où la Reine dryade, Eithén, vivant dans l’arbre-monde Duén Canell, se serait fait un plaisir de la recevoir et de la protéger.

Flottant dans les airs, Nizira était entourée d’une sphère énergétique lumineuse, qui crachait de multiples éclairs autour d’elle. Une véritable tempête magique tourbillonnait autour de la jeune femme, qui était l’épicentre de cette incroyable déferlante magique. Enid s’avança alors, et ses yeux s’illuminèrent à son tour. Elle parla alors dans une voix forte, elfique :

« <Paix, ma fille ! Paix !> »

Elle répéta cette mélopée, jusqu’à ce que Nizira ne finesse à terre, et ne se blottisse dans les bras de sa mere. Fransesca, de son côté, avait bu un élixir, qui soigna sa plaie.

« Vous ne pouvez me séparer de ma fille, Commandant ashnardien. Et, par votre arrogance, les mages de Nexus ont dû percevoir les fluctuations magiques de ma fille. Nous allons devoir évacuer ce camp avant que les forces nexusiennes n’arrivent. Je n’éprouve nul désir de faire affaire avec un homme qui a menacé ma fille. »

Nizira était une Source magique, soit une fille dotée d’immenses pouvoirs magiques dès la naissance. Du moins, c’est ainsi qu’on définissait communément les Sources. Le problème est que Nizira avait bien du mal à contrôler ses pouvoirs, et que c’était en grande partie pour cela qu’Enid avait fait le voyage jusqu’ici, et qu’elle s’était assistée de l’une des magiciennes les plus puissantes de Terra, Fransesca Findabair. Elle ne comptait néanmoins guère révéler à cet Ashnardien abject cette information. Le simple fait que Nizira ait pu générer un contre-Portail suffisait à démontrer la dangerosité de la gamine.
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


Jhorne

Humain(e)

Re : Le Champion et la Reine [Pv: La Reine Ivory]

Réponse 28 samedi 26 janvier 2019, 19:12:14

   Sous-sol d'Alserac, salle arcanique. La pièce maîtresse d'Alserac, regroupant 24h sur 24, la moitié des mages d'Alserac, assurant le maintient de la défense magique en concentrant leur magie par le biais d’artefact et entretenant les enchantements. Ainsi, aucune pénétration magique possible, bloquant les possibilités de téléportation, la création de portail et les sort d'invisibilité. Rien de magique ne pouvais entré, sorti ou apparaître. Le mage d'Alserac, Henri de la Veldiare, au centre de la pièce, vérifia l’artefact centrale, un noyau d’énergie contenue dans un globe de verre avec une armature en or, reposant sur un piédestal en granit, pièce maîtresse de la défense magique. Henri vérifiait que l’artefact était correctement activé et ne perdait pas son énergie.

   Il stoppa son travail en sentant une fluctuation magique importante. La protection n'ayant pas pour but de supprimer les traces magique, il put sentir clairement cette explosion magique.

-ES QUE LES BOUCLIERS ONT ÉTÉ TOUCHÉS ?

-Rien maître. Cela ne concerne pas Alserac !
-Anthony prenez ma place !

   Henry quitta rapidement la pièce et remonta dans le forteresse, jusqu'à rejoindre le bureau de Maxime en ouvrant sa porte brusquement.

-Quelque chose de grave se passe dans la forêt !
-Quoi ?
-Moi et les mages de la chambre arcanique, nous avons ressentit une puissante explosion magique à l'extérieur ! Et je dois avouer qu'elle est bien plus importante que ce que je peux faire !
-Mmmh. Fit Maxime. Ça pourrait être un piège pour nous faire sortir.
-Cela ressemblait plus à une attaque, un combat semble en cour, et pas des moindres.
-Je vais faire envoyer quelque bataillons pour parer à toute éventualité, on ne peux pas laisser cela de côté, qui sait ce qui' lse passe.
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   Si il à bien une chose que Démérios déteste, c'est les imprévue. Déjà que ces elfes prétentieux commençait à devenir agaçant, voilà qu'il fallait que cette greluche de Princesse soit une puissante magicienne. Restant de marbre, il la regarda déchaîner sa puissance, ce qui ne manquerait par d'attirer Alserac. Il regarda ensuite Zork se relever, ramassant son bâton et époussetant ses vêtements.

-La fille à causée beaucoup de dégâts ?

-Elle a mutilé l'assassin, quelque homme et une tente. Répondit Zork en allant vers lui. Mais je suis arrivé à temps pour contenir sa magie avec mes portails et en modifiant sa vision du camps.
« Vous ne pouvez me séparer de ma fille, Commandant ashnardien. Et, par votre arrogance, les mages de Nexus ont dû percevoir les fluctuations magiques de ma fille. Nous allons devoir évacuer ce camp avant que les forces nexusiennes n’arrivent. Je n’éprouve nul désir de faire affaire avec un homme qui a menacé ma fille. »
-Arrogance ?! Encore ça ?

   Ces maudits sous-races imbue de leur personne oser le traiter d'arrogant ? Par arrogance ils ne voulaient pas admettre que son assassin leur avait échapper, il aurait très bien pus faire en sorte que la magicienne meure d'une hémorragie, d'empoissonner ou d'un organe vital toucher, le tout pour une mort fulgurante en quelque seconde. Par arrogance ils le prenaient pour un idiot qui voulait marchander. Par arrogance ils pensaient qu'il n'était pas au courant de leur champs de perception que ses hommes avaient évités ? Qu'ils les avaient sous-estimé ? Il le prenait pour un débutant ? Ça, il ne le supportait pas. Il avait fais en sorte a ce qu'il y ait le moins de victime, uniquement les gardes de la princesse, pour que tout ce passe rapidement et savoir si oui ou non, ils allaient interférer avec ses plans.

   Peut être aurait t-il due agir avec plus de diplomatie. Avait t-il trop envisager un mauvais contact par la voie pacifique ? Non, c'était des races brimés par les humains, ne cherchant que la vengeance. Ils ne l'auraient pas écouté, ni même laisser approcher. C'était un commandant, un soldat, il n'avait que très peu agit pour discuter et parlementer, c'était sans doute pour ça. Il aurait due frapper plus fort aussi, pour qu'on le prenne bien au sérieux. Et il n'était pas trop tard pour ça. De plus la gamine avait anticipé, malgré elle, son plan si leur intention n'allait pas dans son sen.

-Bien bien bien. Il semblerait que vous ne comprenez pas ma question, car vous n'avez rien qui puisse être utile pour faire affaire et que je viens juste pour une question. Je vais devoir être plus clair.

   Il saisit son épée, et la retira du sol violemment, créant une lame de magie pourpre. L'attaque était rapide. Trop rapide. Ses hommes devant lui se rendirent compte qu'il avait été couper en deux, quand leur corps se séparèrent une fois la lame passer. Et si rapide, que la magicienne Fransesca, ne put rien faire, se fessant déchiqueter en deux. Si il y avait une quelconque défense magique, enchantement ou obstacle, ces derniers avaient été traversé, tout comme le corps de la magicienne, par cette lame impie.

   En réalisant cela, des druides, archers et dryadres voulurent attaquer, mais un vortex noir, s'ouvrir au-dessus d'eux, aspirant une partie d'eux dans le néant, des lambeaux de terre et des tentes les accompagnant avant de se refermer. Les soldats d'Ashnard tirèrent fauchant de leur carreau plusieurs archers, et Iorveth qui allait pour ce battre, put sentir et voir une dague sortir de son ventre, un curieux liquide vert suintant de cette dernière. Un anti coagulant.

-Et bien. Susurra une voix à son oreille. Je croyais que tu pouvais nous sentir ?

   Les assassins près de Démérios avait disparue et ce dernier disparue dans un portail. L'assassin derrière Iorveth retira sa lame et se mit hors de porter de ce dernier, dévia sa lame et entailla son avant bras en même temps, un regard hautain et narquois. Il disparue dans un portail, comme pour son comparse qui avait été maîtrisé, adressant un geste obscène à Iorveth.

   Devant la Reine, un portail s'ouvrit, et Démérios en sortie, une aura de désespoir et de mort émanant de lui, au point que la terre semblait mourir sous ses pieds. Plusieurs flèches percutèrent son armure sans le toucher et des sort se dispersèrent en frappant son armure. Aucun sort ne semblait l'attendre, et pour cause, son armure était faite d'obsidienne et enchanté. Il dégagea la Reine d'un revers de la main et attrapa par le front la princesse. De la fumé s'échappa de ses doigts, fessant hurler à la mort cette dernière. Il retira sa main, dévoilant sur le front de la princesse, un sceau mi-magique, mi-démoniaque, tracé comme au fer rouge. Un sceau qui scella les pouvoirs de la gamine, la coupant de sa puissance pour un temps. Il la jeta à terre et attrapa la Reine par le cou, beaucoup plus rapide qu'elle et la souleva à sa hauteur, tandis que ces hommes sortaient de toute part, des portails s’ouvrant à plusieurs endroit, prenant par surprise les soldats, mettant le camps à feu et à sang, engageant une véritable bataille.

   Un assassin apparue et fit respirer un produit à la princesse, qui s'endormit, et mit bien en vue à la Reine que sa lame caresser son cou, tandis que des soldats le couvrait, repoussant les gardes.

-Une situation que je voulais éviter. Ce n'est pas par arrogance, comme vous aimiez si bien le dire, que j'ai agit, mais par inquiétude sombre idiote ! Je suis sur le point de mettre Nexus à genoux, là où Ashnard en plusieurs siècles n'a pas réussit ! Croyez vous que c'est pour m'amuser ou pour marchander que je suis ici ? Que se passerait t-il si vous aviez des buts qui allaient contrecarrer mes plans ?! J'ai peut être manquer de tact, mais vous vous êtes enfermés dans votre suffisance et votre mépris sans rien chercher à savoir, membre de la Scoia’tael ! A votre place j'aurais cherché à comprendre pourquoi j'ai agit ainsi ! J'aurais très bien pu raser ce camps par mes hommes, au risque d'attirer Alserac, vous assassiner vous et votre fille et le mettre sur le compte d'Alserac, vous faire passer un portail jusqu'à moi ou révéler votre existence à Alserac ! Vous manquez cruellement de jugeote et d'anticipation pour une Reine.

   Il la jeta près de sa fille, que l'assassin laissa tranquille.

-ZORK ! Renvoie tout ce merdier loin d'ici, je vais me montrer magnanime.
-Bien mon seigneur.

   Les tentes, les soldats, la Reine, la princesse, tout le camps disparue dans des portails, réapparaissant à des kilomètres d'Alserac, perdu quelque part dans les contrés du chaos, non loin d'une rivière. Zork fit place net, ne laissant plus rien appartenant au campement de la Scoia’tael, ni ses membres, ni les corps. Il se tourna vers Démérios une fois fait.

-Pourquoi les épargner ?

-Je n'en aurais retiré aucune satisfaction. Même en ayant envahit leur camps et tuer la moitié de leur combattants, je suis plus énervé qu'autre chose. Le plus important c'est qu'il ne pourrons plus rien faire et c'est tout ce qui m'importe. J'aurais voulue ne pas me les mettre à dos, mais tant pis.
-Vous vous inquiétez d'eux ? Vous ?
-La Scoia’tael dispose d'un réseau plutôt bon de ce que j'ai pus apprendre. Je suis peut être un soldat et avant tout un monstre, je ne suis pas idiot au point de les sous-estimer.
-En tout cas vous avez brillamment détourné leur attention pour que je puisse préparer mes glyphes.
-Je pensais qu'il détecterait votre manège au bout d'un moment, mais de là à ce que vous effaciez complètement leur présence, bravo.
-Merci. D'ailleurs, il vaudrait mieux que je les détruise rapidement, je n'ai pas envie de créer une faille dans l'espace et la réalité.
-Bien. Renforce tes champs de camouflage une fois au camps.
-Vous craignez des représailles ? Même la gamine n'arrivera pas à percer mes champs. À moins d'en avoir 5 comme elle, et encore, faudra trouver l'endroit où nous sommes, ce qui ne risque pas d'arriver !
-Bien. Il ne reste plus qu'a attendre désormais.

   Les troupes repartir par les portails, Démérios en pris un, tandis que Zork fit disparaître ses glyphes, dissipa la magie et finis par prendre un portail qui se referma sur lui. Quelque minutes après, plusieurs bataillons d'Alserac arrivèrent, découvrant une zone vide, mais qui semblait avoir servit à un campement.


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