La Déchéance des Purs [Alyson Tombstone]

Alyson poussa de cris de plaisir, alors qu'elle avait déjà jouis, mais Juro la prenait si fort et avec tant de désir qu'elle mouillait et en voulait encore... Elle se cambra en ouvrant les cuisses, faisant des regards et des gémissement encore plus sensuels, pour le rendre fou, elle le voyait devenir une bête sauvage, elle sentait qu'elle avait ce pouvoir sur lui, en se soumettant aux désirs des hommes, on pouvait faire ressortir ce qu'il y avait de plus brutale en eux... Elle sentait chaque centimètre de chaire en elle , brulante, jusqu'à ce qu'il se vide en lui agrippant les fesses, lui mettant quelques fessées par dessus !

Elle se sentit souillée, sa première fois, elle l'avait faite en publique, avec un inconnu qui la traitait de salope... Et pourtant, elle mouillait de désir... Elle qui avait connue les plaisir sauvage de l'enfer, il fallait plus qu'une romance a l'eau de rose pour l'exciter... Elle se délectait de sa propre déchéance, elle emporterait l'humanité avec elle... Elle c'était trouvé un but, une distraction, pour les temps a venir...

Elle retomba sur les fesses, alors qu'il la lâchait, comme un capote usagée et attrapa un filament de sperme avec sa langue, qui pendait de la queue toute proche de Juro... Elle avait fait ça sans trop savoir pourquoi, pour gouter... les gens qui filmait étaient chauffés a blanc, c'était la touche final !

La suite ? Elle n'avait pas tout compris, mais avait suivit le mouvement. Un van était arrivé, des amis de Juro ? Il l'avait invité sans trop lui laisser le choix a monter dedans, et elle y était aller, sans vraiment réfléchir a ce qu'il se passait, elle savait juste qu'elle n'allait pas rester seule au milieu de tout ces gens, qui la filmait, il fallait bien qu'il y ai une fin a cette petite expérience... Un troisième homme était monté.

Une fois au milieu des deux hommes, alors que le troisième conduisait, elle avait entrepris de remettre sa robe en place, cachant ses seins, ses fesses, et tentant de se recoiffer, en demandant :

-Euuuuh... Salut... Vous êtes qui ? Ils sont avec toi Juro ? On va ou là ? En tout cas merci de m'avoir pas laissée en plan au milieu de tous ces gens, je n'aurais pas su comment réagir si vous étiez tous partis sans moi !

Elle rit, elle avait l'impression d'avoir menée une opération commando sur les bonnes mœurs des gens , avant de disparaitre comme elle était arrivée, les laissant a leur stupeur, elle c'était amusée comme une folle !

« Tu as pris ton temps, hein ?
 -  Je ne sais pas ce qui m’a pris... Vraiment, elle est... Juste trop bandante. »

La justification de Jūrō pouvait paraître bien faible, mais Hans, lui, avait la sienne. L’Allemand avait déjà passé suffisamment de temps à Seikusu pour savoir que cette ville de taille moyenne n’était pas comme les autres. C’était comme ce que disait Phil Collins : il y avait quelque chose dans l’air qui les troublait, qui les perturbait. La ville ne comprenait pas que des humains, et, alors que le trio se trouvait dans l’habitacle du van, et que ce dernier roulait vers le gratte-ciel abritant les locaux de leur supérieur, Hans commençait, lui aussi, à ressentir l’excitation de Jūrō.

De fait, l’Asiatique avait toujours une belle trique, encore plus quand, faisant faussement sa pudique, Alyson entreprit de remettre sa très courte robe en place, la remettant devant ses seins, ainsi que devant ses fesses. Pour autant, ses cheveux étaient décoiffés, de la sueur coulait, et Hans vit même quelques gouttes de sueur perler le long de l’un de ses seins. Lui-même commença à déglutir, avant de sentir une certaine tension déformer son pantalon, une bosse qui se formait. Jūrō, lui, avait à peine eu le temps de remettre son pantalon, qui tomba tout aussi rapidement.

Intriguée, mais guère craintive, Alyson demanda qui ils étaient. Hans aurait pu lui dire la vérité, mais il choisit autre chose, de ne dire... Qu’une partie de la vérité.

« Jūrō et moi sommes amis, oui... Je m’appelle Hans, et... En fait, avant de te tomber dessus, Jūrō comptait se rendre à une soirée très exceptionnelle...
 -  Ouais ! Et, comme t’es super-sexy, ma chérie, tu es naturellement invitée. C’est dans l’un des gratte-ciel de Seikusu, un endroit très riche, avec plein de gens friqués ! »

En un sens, ce n’était pas totalement faux, car ils allaient effectivement se rendre dans un endroit très fortuné. Hans, tout en parlant, ne cessait d’observer cette insolente goutte qui glissait le long du décolleté. Du sperme, par ailleurs, glissait encore de la fente d’Alyson. Il fallait admettre que Jūrō s’était bien lâché en elle. Hans se rapprocha alors, faisant un pas en avant. Il avait l’impression d’humer l’odeur de cette femme partout. Ses yeux de biche, sa silhouette svelte, ses jambes interminables, ce petit air de malice et d’innocence... Ah, comment ne pas succomber ?!

Il sourit à son tour, en s’approchant encore. Jūrō, de son côté, poursuivit ses explications :

« Tu te souviens de ce que je t’ai dit sur les riches ? Eh bien... Là-bas, c’est pareil. On ne t’emmène pas à une sympathique soirée BCBG, ma chérie, mais à une putain d’orgie....
 -  Alors, on veut juste s’assurer que tu sois à la hauteur, tu comprends ? »

Et, tout en disant ça, Hans faisait des mouvements très suggestifs avec son bassin...