Perdue dans une nouvelle jouissance Rogue entendait les trois créatures débattre sur son sort. Elle ne tenait que parce que Vera la maintenait contre son maître dont le sexe bien dur était pressé entre ses fesses, glissant entre elle attendant de se pouvoir les pénétrer, elle pouvait sentir son impatience pulser. « Regarde-moi ça, elle n’attend que d’autres chibres. » Rogue senti le sexe se presse contre son petit anus encore vierge, prise d’un sursaut de panique elle voulut se dégager mais la succube la maintenant, imprimant avec plus de force qu’elle ne l’imaginait une pression sur son bas ventre, guidant cet empalement douloureux. Rogue rejeta la tête en arrière, impuissante « Non ! pitié ! J’ai jamais… » parvint-elle à dire, ses paroles hachées, la fin de sa phrase se perdit dans ses plaintes et ses gesticulations vaines. La sueur collait ses méches contre son front et elle tenta de repousser la succube mais sa sœur captura ses poignets dans une seule de ses mains la suivante repartie à l’assaut de son intimité encore moite dont elle pinça le clitoris à répétition, Rogue geint et se tortilla, prise dans les fantasmes des sœurs, la douleur et le plaisir, son visage crispée et son regard vague. Elle réalisa avec horreur qu’elle adorait tout ça. Le sexe qui pulsait et la déchirait. Vera agrippa ses seins et pinça ses tétons si fort qu’elle lui arracha un cri. Des doigts s’enfoncèrent brutalement dans son intimité accompagnant les vas et vient du colosse. « Qu’est-ce que tu en dis ? » Des autres, encore d’autres, combiens ? Elle savait que sa réponse n’avait aucune importance, il avait déjà pris sa décision. « Ils… sont tous… membrés, ah ! comme vous ? » demanda t-elle difficilement. Vera se mordit la lèvre pour retenir un sourire. Elle lui plaisait. D’un signe de tête elle indiqua à sa sœur de bouger et elle tira sur ses bras pour la faire se pencher, offrant à son maître un meilleur angle.
Ses mains bloquées dans le dos, elle se retrouva à la merci total des démons et bien qu’elle se refuse encore à l’admettre elle adorait se faire traiter de cette façon. Ainsi quand le sexe ruisselant de Sera se présenta devant son visage elle tendit le coup pour venir le laper, elle la sentie se frotter contre son visage son clitoris butant contre ses lèvres qui ne demandait qu’à le sucer. Ses cris se répercutaient contre son sexe, sa bouche noyée de cyprine, elle-même ruisselait alors que son esprit continuait de lui hurler qu’elle devait s’offusquer de ce traitement, qu’elle était une héroïne et pas une trainée de bas étage. Mais ses seins ballotaient plus violemment à chaque poussée du maître. La main de Sera agrippa férocement ses cheveux tandis qu’elle ondulait le bassin relevé, sentant se répercuter contre elle les impulsions puissantes de son maître qu’elle fixait du regard suppliant de celle qui teste un jouet qu’elle ne veut pas abandonner. Elle mit peu de temps à jouir contre son visage et Rogue lapa sa jouissance ses mouvements désordonnés par le traitement qu’elle subissait. « Helel ! » cria t-elle « Maître ! » le mot lui échappa, douloureux et extatique. Elle senti alors se refermer autour de son cou une entrave métallique, c’était Vera qui venait de refermer sur son cou délicat une collier relié à une chaine qu’elle tenait. « Les chiennes encore sauvage doivent se tenir en laisse » railla t-elle en observant les larmes d’humiliation et de jouissance glisser sur le visage de l’héroïne. La succube la tendit à son maître, rogue n’avait même pas réalisé qu’elle avait lâché ses poignets, elle les laissa retomber sur les draps qu’elle tirait pour essayer de calmer les spasmes de son corps, sa poitrine douloureuse, son petit cul musclé ravagé par le sexe énorme du démon et son intimité brulante et dégoulinante d’être délaissée. « Maître…. » supplia t-elle sans savoir si c’était de qu’il s’arrête ou qu’il continue.