Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Let's dance, all night long (Connor)

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Catalina Taylor

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    Riche veuve, par treize fois, qui s'est exilée à Seïkusu et qui investit dans différents secteurs d'économie de la ville.
    Peu farouche quand elle trouve quelqu'un à son goût, mais secrète quant à son passé.

Let's dance, all night long (Connor)

mercredi 11 mai 2016, 22:13:49

La soirée était bien avancée. Faisant abstraction des bavardages de ses amies autour d’elle, Catalina porta sur regard sur le barman. D’un geste, elle lui demanda s’il pouvait la resservir. Ce qu’il fit, avec un sourire charmeur. Répondant à son sourire, la brunette trempa ses lèvres dans la chope de bière qu’il avait posée devant elle, et son attention revint à ses amies.

Elles étaient dans un bar depuis dix-neuf heures, déjà, et l’établissement fermait dans une petite heure. Il était presque minuit. Bientôt, Jessie, la plus jeune de leur groupe, décida de se rentrer. Elle travaillait tôt, le lendemain, et ne souhaitait pas être trop fatiguée. Elle lança alors le signal du départ. Une à une, les amies de la veuve prirent congé, et elle finit par se retrouver seule. Mais elle n’avait pas vraiment envie de rentrer dormir, pour sa part.

Terminant son verre, elle laissa quelques billets sur le bar pour le barman, y ajoutant un généreux pourboire, et elle sortit du bar. Le talon aiguille de ses escarpins claquait contre le pavé alors qu’elle remontait la rue. Elle n’avait aucune destination particulière en tête, et se laissait guider par le hasard. Ajustant la bretelle de son sac à main sur son épaule, elle observa la rue dans laquelle elle venait d’entrer. Au bout, presque au tournant, elle y avisa une enseigne clignotante. Curieuse, elle s’en approcha, et constata que l’établissement était en fait un night-club.

Hésitant un instant, elle finit par jeter un coup d’œil à la vitrine de la boîte de nuit pour vérifier sa tenue. Elle avait fait plutôt sobre, ce soir, et portait un jean délavé, déchiré aux genoux, assorti à un petit chemisier blanc de style paysan dont le col glissait et dévoilait une épaule ronde et pâle. Elle avait un soutien-gorge de dentelle rouge, dont la bretelle ressortait sur son épaule peu hâlée, et le tanga assorti, même si ce dernier ne se voyait que lorsqu’elle s’accroupissait. Mettant un peu d’ordre dans sa crinière sombre, elle sortit le rouge-à-lèvre de son sac et l’appliqua sur ses lèvres, corrigeant le maquillage qui s’était peu à peu estompé au fil de la soirée.

Les nuages qui cachaient la lune se décalèrent, et l’astre l’éclaira alors d’un halo presque divin. Etouffant un rire, et secouant la tête pour chasser les brumes de l’alcool qui occupaient un peu son esprit, la brunette poussa la porte. Le vigile à l’intérieur l’observa d’un drôle d’air, mais il ne fit rien pour la repousser. Elle en déduisit que l’entrée était ouverte à tous. Elle se présenta au comptoir, et sortit quelques billets pour prendre son entrée. Déposant son perfecto de cuir noir, posé sur son bras, et son sac à main dans les vestiaires, récupérant le petit ticket pour les retrouver en sortant, elle fourra les billets qu’elle avait pris et son téléphone dans une poche arrière de son jean. Elle passa alors au second vigile, qui vérifia son ticket avant de s’écarter pour la laisser passer après avoir appliqué un tampon d’un rouge sombre sur le dos de sa main droite.

Elle poussa alors la seconde porte, et la musique qui était jouée l’entoura, submergeant le silence presque oppressant qui régnait dans le hall. Elle fit quelque pas à l’intérieur, et repéra le bar. Elle alla s’y installer, préférant observer la faune avant de se lancer. Catalina ne savait pas vraiment quoi faire de sa soirée, et ramener un flirt pouvait s’avérer intéressant. Avec un sourire charmeur, elle commanda une bière au bar, et posa ses fesses rebondi sur un tabouret haut. Quand le barman l’aurait servie, elle pourrait observer à loisir avant de se décider à rester ou à partir.
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Evangile selon Sainte Cata 28:11 : "Venez à moi, vous tous qui avez envie de RP, on va s'enjailler grave j'm'en bats les couilles j'vous prends tous"
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Catalina Taylor

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Re : Let's dance, all night long (Connor)

Réponse 1 jeudi 12 mai 2016, 17:30:05

Aussitôt qu’elle fut servie, la veuve trempa ses lèvres dans la bière pour en avaler une gorgée, rafraîchissant son corps que la chaleur de la boîte de nuit commençait à atteindre. Mais elle n’eut pas le temps de faire plus. Elle n’avait même pas encore tourné la tête pour observer la population présente dans le club qu’une grande main chaude glissa sur son épaule. Elle pivota alors le buste pour voir à qui appartenait cette main, et marqua un instant d’arrêt en levant les yeux vers son prétendant. Il était grand, et costaud. Diablement sexy aussi, avec ce tee-shirt moulant qui dévoilait tout de ses muscles saillants. Elle se prit à sourire, lorsque les doigts qui caressaient sa peau nue glissèrent, et hocha la tête. Il semblerait qu’elle n’ait même pas besoin de faire un geste pour attirer à elle un spécimen fort appréciable de l’espèce mâle.

« Avec plaisir, souffla-t-elle en posant sa main tamponnée sur la paume ouverte de l’homme. »

Glissant du tabouret avec élégance, délaissant sa pinte pour l’instant, la brunette sourit en accompagnant son cavalier sur la piste de danse. Si c’était tout le temps comme ça, elle songerait à revenir plus souvent. Le cadre était sympathique, la musique super, et les clients étaient séduisants. Ou du moins, elle était tombée sur l’un des plus beaux hommes qu’elle eut jamais vu.

Profitant de ce que la musique jouée impliquait des danses sensuelles, la brunette rapprocha son corps de celui du colosse, glissant sa main hors de la sienne pour mieux la poser contre son flanc. Elle déhancha doucement ses reins, suivant le rythme du son qui les enveloppaient, et sourit plus largement.

« Je m’appelle Catalina, au fait, glissa-t-elle à son compagnon en se hissant sur la pointe des pieds, collant sa poitrine arrogante contre son torse puissant. Vous venez souvent ici ? »

Elle était loin, très loin, d’imaginer ce qui l’attendait à cette soirée. Elle se pensait chanceuse, d’avoir attiré l’attention d’un aussi bel homme, et se félicitait de ne pas être rentrée directement. Quelle erreur ! Mais pour le moment, la brunette profitait. Elle se frottait parfois contre son prétendant, un sourire aguicheur étirant ses lèvres pleines, et se laissait porter par le rythme sensuel de la musique. Elle ne faisait pas attention à ce qui se passait autour d’eux. Elle n’avait pas encore eu le temps d’observer les autres personnes présentes, ni même de comparer le club à une boîte libertine. Tout ce qu’elle savait, c’est que la bière était bonne, et fraîche, que la musique était faite pour séduire et que Le Septième Cercle abritait un homme remarquablement séduisant.

Ondulant son corps au rythme imposé par la musique assourdissante, Catalina posa sa seconde main contre le torse musclé de l’homme, levant les yeux vers lui et soutenant tranquillement son regard. Dieu, qu’il était beau. Sans aucun doute l’un des plus beaux qu’elle ait vu et connu jusqu’à présent. L’un des plus costauds aussi. Sous ses doigts, elle sentait les muscles jouer quand il bougeait. Par rapport à lui, elle paraissait frêle et fragile. Mais elle appréciait ça. Contrairement à ce que sa silhouette supposait, la veuve aimait les hommes forts et imposants. Quand elle était en présence de l’un d’eux, elle se sentait charmée, et poussée à le séduire, comme si son instinct de reproduction primaire prenait le dessus.

N’ayant d’yeux que pour le colosse, la brunette s’aperçut que la musique changeait doucement, passant d’un rythme sensuel à quelque chose de plus brut, plus agressif, mais toujours dans la même veine, à savoir une musique suggestive, titillant les instincts qui poussait les hommes et les femmes à se rapprocher, à se chercher pour se séduire.
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Re : Let's dance, all night long (Connor)

Réponse 2 jeudi 12 mai 2016, 20:42:38

Même s’il n’en faisait pas usage dans l’immédiat, Catalina sentait la puissance latente d’Helel à la manière qu’il avait de guider son corps alors qu’ils dansaient. Helel, c’était un nom bien incongru ici. Catalina n’était pas non plus très courant, au Japon, mais le prénom de son partenaire évoquait plus des racines hébraïques. N’était-ce pas, d’ailleurs, l’équivalent en hébreux du nom de Lucifer ? En observant le colosse, la veuve se dit qu’il portait plutôt bien son nom. Si elle avait dû imaginer l’apparence du diable, elle n’aurait certainement pas choisi mieux. Il avait cet air prédateur et dangereux qui lui collait à la peau, comme une aura. Et il était tellement séduisant que c’en était indécent. Au même titre que sa façon de guider l’étreinte, que ses lèvres si près des siennes.

La brunette ne le lâchait pas du regard, esquissant même un petit rire quand il affirma ne pas venir souvent, uniquement pour les grandes occasions. Ainsi, c’était une grande occasion, ce soir. Une bonne chose à savoir. Quand le rythme de la musique changea progressivement, elle suivit elle aussi, laissant son corps répondre de lui-même à ce que sous-entendait la mélodie. Elle avait chaud, mais dans le bon sens du terme. Helel lui donnait chaud. Collée contre lui, suivant les ondulations de son corps puissant, elle se sentait bien, et n’attendait que de bonnes choses pour la suite de la soirée.

Ou au moins, elle les attendait jusqu’à ce qu’une autre voix vienne couvrir la musique et qu’un second corps brûlant se colle dans son dos. Surprise, elle ne lui tint pas rigueur de ses paroles dans l’instant, préférant tourner la tête, balayant le torse d’Helel de sa crinière sombre, pour apercevoir le propriétaire de cette voix mâle. Elle ne put que constater qu’il s’agissait d’un second colosse, blond, avant qu’il ne claque ses fesses en lui intimant de ne pas bouger. Elle voulut se dégager malgré tout, n’ayant décidément pas signé pour ça, mais le premier reprit la parole, attirant de nouveau l’attention de la veuve.

Elle ne se sentit plus aussi bien qu’avant. L’inquiétude courait dans ses veines, et elle retira ses mains du corps de l’homme avant de chercher à le repousser. Mais il fut plus rapide, et il agit en premier, déchirant largement le chemisier qu’elle portait, exposant la vue de sa lourde poitrine prisonnière de son carcan de dentelle. Catalina déglutit rapidement, cherchant à rabattre les pans du chemisier sur son buste, et son dos s’appuya contre le deuxième colosse derrière elle. Elle était coincée entre les deux, et ne faisait clairement pas le poids pour s’en sortir.

« Arrêtez ça, gronda-t-elle d’une voix basse, camouflant du mieux qu’elle le pouvait sa panique grandissante. »

Mais elle ne pouvait rien faire d’autre que subir alors que les deux hommes s’amusaient avec elle. Ses mains, posées contre le torse d’Helel, tentaient de le repousser. Cette situation lui plaisait de moins en moins. Elle avait déjà vécu une situation pareille. La seule différence, c’est que cette fois ses agresseurs étaient sexy à se damner, semant ainsi la confusion dans l’esprit de la brune.

« Non, je préférerais retourner au bar et finir ma pinte, ironisa-t-elle malgré elle, maigre protection contre l’angoisse qui lui serrait le cœur. »

Elle s’était raidie entre les deux, appréciant moyennement les libertés qu’ils prenaient. Ses prunelles affolées s’étaient portées au-delà de leur petit trio, cherchant un vigile pour lui venir en aide. Mais autour d’elle, il n’y avait que des couples qui dansaient de façon indécente, qui leur jetaient des coups d’yeux malicieux. Pas la moindre trace d’un agent de sécurité auquel elle aurait pu faire appel.

« Arrêtez ça, répéta-t-elle d’une voix plus forte, en ayant du mal à cacher la panique qui grimpait en flèche. Arrêtez, et je jures de n’en parler à personne. »

Même si elle brûlait d’envie de les dénoncer aux autorités. Les souvenirs de sa précédente agression n’aidaient pas non plus à la faire rester sereine. Elle cherchait à s’échapper de leur étreinte, mais ils la maintenaient trop bien, en jouant avec son corps comme s’il s’agissait d’une peluche. Non, d’un sex-toy plutôt. Elle n’aimait pas du tout, du tout, ça. Et plus elle essayait de se dégager, plus les mains du colosse -derrière elle- se faisaient empressées. Elle le sentait chercher à s’approprier sa croupe comme s’il s’agissait d’un jouet. Elle le sentait se presser contre elle pour lui faire ressentir la forme de son sexe au travers des étoffes.

Etait-il en érection, d’ailleurs ? Parce qu’il était sacrément impressionnant, comme ça. Non, ce n’était pas le moment de songer à cela. Ses doigts se recourbèrent sur le tee-shirt moulant d’Helel, cherchant à le griffer pour l’écarter, alors que les mains de l’autre homme venaient déboutonner son jean afin de passer ses mains entre sa ceinture et sa peau nue.
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Re : Let's dance, all night long (Connor)

Réponse 3 vendredi 13 mai 2016, 20:26:38

Résister ne menait à rien, dans l’immédiat. Tout ce que pouvait faire la brune était contrecarré par la puissance des deux hommes qui l’encadraient. Elle se sentait plus vulnérable que jamais, et n’aimait pas du tout cette sensation. Elle hoqueta en le sentant détruire son soutien-gorge comme si c’était du papier, consciente de la force qu’il avait et dont il se retenait pourtant de faire usage sur elle. Malgré les baleines d’acier brisées, il ne l’avait même pas éraflée. Elle s’en serait presque sentie flattée, qu’il fasse attention à elle comme à une petite chose fragile, si la situation s’était avérée différente.

Mais bien vite, la panique revint en force et elle grimaça quand le colosse face à elle maltraita sa poitrine. Elle aurait voulu rester roide entre les deux hommes, mais les libertés qu’ils prenaient avec elle l’en empêchait. Elle pouvait toujours chercher à ruer, elle n’arriverait pas à se dégager. Humiliée par les termes crus qui étaient employés à son encontre, Catalina n’avait cependant pas cinquante solutions. Elle serra les dents en s’empêchant de répliquer, ses prunelles essayant de chercher de l’aide autour d’elle. Mais elle était seule, comprit-elle, en voyant les regards qui se posaient sur elle. Elle déglutit, essayant de camoufler cette peur qui suintait par tous les pores de sa peau.

« Tous », avait-il dit ? « Tous », comme dans « tous les deux » ? Ou comme dans « toutes les personnes présentes » ? Sa gorge se serra en pensant à ces diverses possibilités, et elle ne put esquisser un geste. Tétanisée, elle serrait les poings contre le torse de l’homme, restant raidie comme si elle espérait ainsi échapper à leurs attentions malvenues. Mais sa technique n’était pas très au point, et elle finit rapidement presque nue, les pieds empêtrés dans le jean qui avait été descendue sur ses chevilles.

Une bouffée de rage l’envahit, tempérée néanmoins par la peur qui lui serrait le cœur. Au lieu d’exploser et de se débattre, la veuve prit sur elle et commença à onduler de nouveau, maladroitement tant elle était tendue.

« J’en ai tué pour moins que ça, grommela-t-elle malgré tout, incapable de retenir cette petite pique aigre. »

Elle avait l’impression d’être tombée bien bas. Elle, l’ancienne tueuse à gage, la veuve noire qui avait plus de maris décédés que d’amants (bien que cette affirmation ne soit peut-être pas tout à fait exacte, compte tenu de ce qu’il s’était passé dans sa vie ces derniers temps), voilà qu’elle était réduite à l’état de petite poupée de chair entre deux colosses qui pourraient la briser rien qu’en claquant des doigts un peu trop près d’elle.

Les attentions du second, d’ailleurs, provoquèrent des frissons à la brune. Il passait ses grandes mains contre ses fesses, les giflant sans douceur, et déchira le dernier sous-vêtement comme s’il écartait une toile d’araignée. En voulant se retourner et le repousser au loin, la brunette trébucha non seulement contre le jean qui était tombé à ses chevilles, mais également contre le premier qui la serrait de très près, étranglant sa gorge sans l’empêcher de respirer malgré tout.

« Qui êtes-vous, bon sang ? Lâcha-t-elle, incapable de se plier sans broncher aux ordres lancés. »

Ce n’était pas pour rien qu’elle s’était fait maltraitée, la dernière fois qu’une situation de la sorte s’était produite. Elle n’était pas la docile petite fille que l’on s’attendait à avoir en face de soi, malgré son apparence. Comme ses nerfs lâchaient, la veuve tambourina comme elle pouvait contre le torse du brun, sans espoir de lui faire beaucoup de mal. Elle ne parvenait pas à danser comme si de rien n’était, à séduire, ainsi menacée. Elle avait plus peur qu’autre chose, et sa nudité ne faisait qu’empirer les choses. Elle se sentait vulnérable face aux deux hommes, mais également face aux autres clients qui dardaient sur elle des regards loin d’être chastes.

« Je baise quand je l’ai décidé, ajouta-t-elle d’un ton féroce, et non quand on me l’ordonne. Je ne suis pas venue là pour ça. Je voulais juste… »

Je voulais juste boire un coup, et draguer un peu, allait-t-elle lâcher avant de se raviser. Ce qui rejoignait légèrement les propos des mâles. Mais ce n’est pas comme ça qu’elle avait imaginé les choses. Elle était loin de la scène présente. Il n’y avait pas deux armoires à glace qui la serraient, qui la collaient à lui en faire ressentir leurs érection (et quelles érections !), qui l’humiliaient et la traitaient comme la dernière des putes. Bien que cette scène aurait pu être tiré de l’un de ses fantasmes, elle l’admettait volontiers. Mais le but des fantasmes, justement, n’était-il pas de rester dans le domaine de l’imaginaire ? De servir à évacuer certaines tensions ?

La brunette serra les dents en repoussant au loin ces pensées qui affaiblissaient sa volonté de résister. Elle aurait voulu faire de même avec la sensation des doigts du colosse brun qui restait imprimés dans sa chair, ou de celle de leurs impressionnantes virilités qui lui donnait des frissons pas forcément désagréables, au fond.
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Re : Let's dance, all night long (Connor)

Réponse 4 lundi 16 mai 2016, 19:49:08

Elle grimaçait à mesure qu’Helel et son complice la malmenait. Serrant les dents, essayant de garder une expression neutre. Si, en elles-mêmes, les claques dont ils affligeaient ses courbes n’étaient pas douloureuses, la répétition devenait lancinante. Et la panique ne l’empêchait certes pas de le ressentir.

Des larmes de frustrations firent briller son regard alors qu’elle constatait l’impossibilité pour elle de se libérer de leurs masses de muscles, mais elle les chassa en battant furieusement des paupières. Ses prunelles brûlaient d’une juste colère qui essayait de couvrir l’effroi. Elle tressaillit et poussa involontairement un petit cri lorsque les doigts du blond s’insinuèrent en elle, entre ses lèvres intimes. Elle avait craint, un instant, qu’il n’aille forcer l’autre entrée, et tout son corps s’était raidi. Elle ne se détendit pas pour autant, cependant, alors qu’il frappait ses fesses rebondies sans douceur.

S’efforçant de soutenir le regard du brun face à elle, de le fusiller du regard en fait, elle se crispa à nouveau quand les doigts se déplacèrent brusquement en elle. Elle se sentait tellement impuissante. Comme dans ce cauchemar qu’elle avait fait, plus tôt -ou bien était-ce réellement arrivé- où elle se faisait malmenée par des démons tentaculaires. Enfin, un, surtout, mais qui donnait l’impression d’être plusieurs tant il était affamé.

A cette pensée, elle frissonna violemment. Et l’humiliation revint l’envahir alors qu’elle était forcée de subir leurs ardeurs et leurs gestes déplacés sur elle. Ses joues s’étaient teintées de rouge, autant de colère que de honte. Elle se sentait si minuscule, entre les deux, si fragile.

Elle poussa un autre petit cri, n’ayant pas pu le retenir, alors qu’une énième claque faisait trembler sa lourde poitrine. Elle cherchait encore à se dégager, mais sans succès. Son souffle s’était accéléré, et ses prunelles s’étaient écarquillées sous la panique, mais elle voulait garder la tête haute, malgré les sévices qu’elle subissait.

« Quel genre d’homme s’amuse à frapper une femme, répliqua-t-elle sans pouvoir contrôler ses mots. »

Derrière elle, le colosse éclata de rire, bougeant plus férocement encore ses gros doigts dans sa fente. Il pencha sa tête vers elle, feignant la douceur alors qu’il mordillait son épaule, avant de lui souffler à l’oreille :

« Pas des hommes, chérie, des démons, s’amusa-t-il à lui susurrer avant d’intensifier le rythme de ses doigts en elle. »

Elle écarquilla encore plus les yeux en entendant sa réplique. Paniquant plus franchement, sans se soucier de le montrer, Catalina chercha de nouveau à s’évader de la prison de leurs corps. Mais le blond ne l’entendait pas de cette oreille et, retirant sèchement sa main d’entre ses cuisses, il mit fin à ses gesticulations en lui appuyant sans douceur sur les épaules, la forçant à s’agenouiller.

« Allons, allons, tu devrais plutôt t’occuper de nous, si tu ne veux pas que ce soit ton sang qui serve de lubrifiant, menaça-t-il sous une apparente innocence. Personnellement, tant que ça rentre, je m’en fiche un peu. »

La veuve ne pouvait faire autrement que de loucher sur le mastodonte qui se dressait sous son nez. Elle sentit tout courage la déserter, convaincue qu’elle allait mourir sous les coups de boutoir des deux monstres. Des deux démons virilement suréquipés. Buar donna un coup de hanche, son sexe cognant contre son épaule et venant frapper sa joue d’un coup sec.

« Non, non, non, laissa échapper la brunette. S’il vous plaît, laissez-moi partir, tenta-t-elle encore alors qu’elle s’était promis de ne pas supplier de plus belle. »

Le démon léonin éclata de rire et agrippa sa crinière d’une main, l’autre se serrant autour de sa mâchoire, étalant les quelques fluides que les doigts avaient raclés en s’insinuant entre ses cuisses.

« J’ai du mal avec les bavardes, lâcha-t-il à l’intention d’Helel tandis que sa force poussait la veuve à desserrer les mâchoires. Tu veux bien la faire taire ? »

Il glissa deux doigts entre ses lèvres, comme pour lui ouvrir largement la bouche, alors que la brunette ne pouvait que subir, essayant vainement de repousser les deux démons. Elle sentait les doigts fouiller sa bouche, et elle ne pouvait empêcher son réflexe salivaire, pas plus qu’elle n’avait pu empêcher son intimité de s’humidifier naturellement sous l’intrusion. Elle gémit sans pouvoir se retenir, ses ongles griffant les hanches d’Helel contre lesquelles ils s’étaient appuyés pour chercher à le repousser.
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Re : Let's dance, all night long (Connor)

Réponse 5 mercredi 25 mai 2016, 18:36:23

N’était-elle pas en plein cauchemar ? Maltraitée par deux hommes… Non, par deux démons… Elle se sentait plus faible et fragile que jamais entre les inhumains. Deux colosses démoniaques qui en avaient après sa vertu. Si elle n’était pas farouche, en temps normal, elle appréciait malgré tout qu’on prenne en compte son consentement. Elle ne pouvait même pas se défendre, impuissante contre les mains qui violaient sa bouche. Elle avait connu similaire situation, mais c’était des humains alors, et elle avait pu attendre le bon moment pour se dégager et leur faire regretter de s’être attaqué à elle. Ici… Même si le bon moment arrivait, elle doutait d’arriver à leur faire regretter quoi que ce soit.

Ecarquillant les yeux quand Helel força sa bouche, s’insinuant entre ses lèvres avec la délicatesse d’un bœuf, elle retint de justesse le réflexe naturel qui la poussait à rejeter cette intrusion d’un haut-le-cœur, essayant de reprendre son souffle en inspirant par le nez. Plaçant ses mains plus haut sur les cuisses du mâle, elle fronça les sourcils en le sentant s’enfoncer plus loin encore, jusqu’à ce qu’elle se trouve si près de lui que son nez se trouvait collé à son aine. Elle était obligée d’écarter largement les mâchoires afin de ne pas se les faire déboîter par l’énorme virilité qui donnait l’assaut.

Elle ne put s’empêcher de tousser quand il commença à bouger, mais dû vite s’interrompre quand elle constata qu’il ne s’arrêtait pas. Pire, il usait de sa gorge comme il userait de son intimité, songeait-elle. Elle manqua de défaillir, s’étouffant sur l’épaisse arme de chair qu’il utilisait pour matraquer l’intérieur de sa bouche. Elle ne contrôlait rien, et ses efforts pour le tenir à distance grâce à ses mains restaient vains. Pleurant à moitié, autant à cause de l’impossibilité de respirer convenablement que de la frustration et de la rage de ne rien pouvoir faire contre cela, la brunette se promit d’agir quand elle le pourrait.

Malheureusement, quand elle le put, elle était à la lisière entre la conscience et l’inconscience. La gifle donnée par le sexe du démon réveilla un peu son esprit engourdi par le manque d’air, et elle prit une grande inspiration en toussant à moitié, salivant abondamment. Mais elle ne put rien faire, car le deuxième colosse en profita pour s’introduire entre ses lèvres rougies, répétant les manœuvres de son confrère. Pire -était-ce encore possible de faire pire ?-, il n’avait aucune considération pour le besoin de respirer qui était vital à la veuve. Elle sentait sa main qui enserrait sa gorge maltraitée, qui serrait comme pour se caresser alors qu’il s’enfonçait sans pitié entre ses lèvres.

A nouveau, le manque d’air se fit sentir. Son corps réagissait à cette brutale agression, mais pas tout à fait comme l’espérait la jeune femme. Etait-elle vraiment masochiste ? Elle ne comprenait pas, sinon, pourquoi est-ce que cette chaleur familière flambait entre ses cuisses. Elle ne pouvait pas se douter que tout n’était pas complètement fair-play. Elle connaissait très mal les démons. A vrai dire, pour elle, ils étaient semblables à ceux qu’elle avait vu lors de sa seule et unique expérience avec. Des tas gluants, pourvus de tentacules et d’yeux à foisons, ou bien gigantesques, d’un rouge presque flamboyant, avec des cornes et des griffes.

Savoir que d’autres démons pouvaient ressembler à des humains, en plus séduisants encore, et en plus costaud, lui ferait sûrement se poser des questions sur toutes les personnes qu’elle avait rencontré dans sa courte vie. Mais, pour l’instant, elle était occupée à lutter contre l’inconscience, contre ce désir qui brûlait au creux de ses reins, contre les mastodontes de chair qui lui dévastaient la gorge et contre les réflexes de son corps qui la poussait à chercher à vomir.

Ils se relayaient entre ses lèvres, comme si elle n’était qu’un outil à plaisir. Elle n’avait pas plus de cinq petites secondes afin de reprendre son souffle entre chaque. Et, à tour de rôle, ils maltraitaient ses lèvres contre leur corps, faisant monter ce désir grandissant qu’elle aurait voulu réprimer. Incapable de penser clairement, elle agissait presque comme un automate, respirant à grandes goulées quand ils lui en donnaient l’occasion, s’efforçant de ne pas tousser ou vomir. Elle n’entendait que d’une horaire les « charmantes » insultes qu’ils lui lançaient. En d’autres circonstances, elle aurait pu apprécier, et participer gaiement.

Quand, enfin, elle crut son calvaire terminé, ce fut pour subir une autre désillusion. Elle ne put pas réagir, occupée à haleter férocement pour reprendre son souffle, quand le brun la redressa. Elle gémit doucement alors qu’il la penchait en avant, et elle sut que rien n’était terminé. Ça ne faisait même que commencer. Un frisson la secoua violemment alors qu’il glissa ses doigts contre sa fleur. Elle savait qu’elle était trempée. Elle l’avait senti, entre ses cuisses, alors qu’elle était occupée à ne pas perdre conscience. Son corps, contre ce qu’elle désirait, réagissait positivement. Ou bien était-ce une sorte de fantasme ?

Elle ne put penser plus clairement à sa triste situation. Déjà, Helel prenait possession de ses lèvres intimes, les forçant, écartelant ses chairs pour s’y caler fermement et profondément. Si elle n’avait pas été expérimentée, elle aurait presque cru qu’il brisait sa virginité tant il était épais en elle. D’une main, elle s’essuya rageusement les yeux et le visage, et repoussait faiblement les autres démons qui s’approchaient. Car c’était bien des démons, elle en était presque certaine.

« Non, parvint-elle à articuler alors que son agresseur maintenait sa tête, agrippant ses mèches sombres pour offrir sa gorge au premier venu. »

Aux premiers venus, plutôt, car il n’y en avait pas qu’un qui se saisit de l’opportunité. Elle s’étrangla quand le démon se retira pour revenir avec force, voulant crier alors qu’un gémissement montait de sa gorge. Les autres profitèrent de ce qu’elle rouvrait les lèvres pour s’y engouffrer. Un premier vint s’immiscer dans l’écrin de sa gorge pour commencer à donner des coups de reins impitoyables, plus rapidement encore qu’Helel. Elle s’étouffait, ne sachant plus vraiment où se concentrer. Catalina était perdue. Devait-elle apprécier ce traitement, comme son corps le faisait ? Elle ne se serait jamais crue capable de ressentir ce brasier qui la dévorait de l’intérieur alors qu’elle était maltraitée de la sorte. Devait-elle plutôt lutter, encore et encore, griffant impitoyablement les mâles qui se pressaient devant elle, qui s’échangeait la place entre ses lèvres comme s’il s’agissait d’une attraction ? Elle n’avait pas la force de les repousser, alors qu’ils matraquaient sans pitié ses traits fins en les faisant cogner contre leur bas-ventre musclé.

Elle toussa quand on libéra temporairement ses lèvres. Elle ne put empêcher des gémissements sourds de lui échapper. Dieu, qu’elle appréciait qu’on se montre aussi impétueux à la pénétrer, cognant sans pitié contre cette zone érotique près du col de son utérus. Elle aurait bien plus apprécié encore si elle avait été consentante.

L’un des démons face à elle lui gifla la joue avec son membre raidi, étalant un peu plus encore la salive dont elle l’avait abondamment recouvert sans pouvoir lutter. Il pénétra à nouveau sa gorge maltraitée, et donna de puissants coups de reins, en rythme de ceux d’Helel. Fermant les yeux, voulant chasser les larmes qui encombraient sa vision, la brunette fut alors surprise tandis que le premier éjaculait finalement entre ses lèvres. Elle avait planté ses ongles dans la chair de ses hanches, cherchant à lui faire mal pour qu’il recule, mais au lieu de cela, il avait redoublé de vigueur jusqu’à inonder son palais de son sperme abondant. Quand il se retira, elle toussa, recrachant autant qu’elle pouvait, retenant l’envie de vomir qui agitait son estomac.

En représailles, il la gifla, et un autre prit sa place avant qu’elle ne puisse crier pour arrêter ce supplice. Et c’en était bien un, de supplice. Tiraillée entre le désir qui flambait dans ses reins, à peine apaisé par les brusques coups de reins d’Helel, et la rage qui qui se déversait dans son cœur, couplé à l’humiliation et à l’impuissance, la veuve ne savait plus quoi ressentir, quoi faire, quoi apprécier. Elle ne pouvait même plus supplier pour qu’on arrête toutes ces tortures, car le démon qui s’occupait de ses lèvres prenait un malin plaisir à rester ficher au fond de sa gorge. D’autres venaient maltraiter le reste de son corps, saisissant d’une main ferme sa lourde poitrine. Du coin de l’œil, quand elle ne fermait pas les yeux pourchasser les larmes, elle ne voyait que d’autres mâles nus qui caressaient leurs triques en attendant leur tour. Tous, avait dit Helel. Il n’avait pas tort. Et le désespoir qui la saisit fut englouti par une vague de plaisir inouïe alors qu’elle atteignait son premier orgasme sans même l’avoir vu venir.

Elle hurla contre le pubis de celui qui possédait sa gorge, manquant de s’étouffer, alors que ses ongles se plantèrent plus fermement dans la chair à sa portée. Ses muscles intimes se resserraient encore autour du sexe tendu du démon qui la labourait, et son humidité redoubla, coulant même entre ses cuisses fuselées.
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Catalina Taylor

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Re : Let's dance, all night long (Connor)

Réponse 6 lundi 06 juin 2016, 18:18:09

Le corps complètement offert aux démons, Catalina avait du mal à penser clairement. Elle voulait rester offusquée, elle voulait garder cette rage et ce besoin de se libérer pour fuir ces verges intrusives. Elle le voulait vraiment ! Mais à mesure que l’aphrodisiaque démoniaque faisait effet, les réticences de la veuve fondaient comme neige au soleil. A vrai dire, des images de ses rêves torrides -de ses fantasmes inavoués- flottaient dans son esprit, anéantissant presque aussi sûrement sa résistance que le pouvoir de l’aphrodisiaque dont elle ignorait tout.

A mesure que les coups de reins s’enchaînaient, elle devenait un peu plus malléable, un peu plus perdue. Les insultes, l’humiliation qu’elle subissait… Elle ne pouvait s’empêcher d’aimer ça. Elle ne pouvait pas retenir les réactions plaisantes de son corps alors que l’imposante masse de chaire virile d’Helel ramonait son intimité. Sa jouissance physique n’aida pas non plus la brunette à garder sa rébellion intacte. D’un côté, elle était horrifiée de céder si facilement. Mais de l’autre… Ah, de l’autre !

Ses reins s’embrasaient, à peine remis de l’orgasme dévastateur qui avait fini d’anéantir ses velléités rebelles.  Elle voulut déglutir, et protester contre les insultes qui fusaient, mais elle ne réussit qu’à couiner pitoyablement contre le mandrin qui lui obstruait la gorge, manquant à nouveau de s’étouffer alors que le mâle qui s’appropriait sa gorge maltraitée restait fiché bien au fond, plaquant son bas-ventre contre ses lèvres rougies.

Dans son dos, en elle, Helel redoublait de violence pour la pénétrer, et elle manqua d’avoir un second orgasme tout aussi foudroyant que le premier. Quelle frustration, alors, de voir qu’il ralentissait pour l’en priver. Si elle n’avait déjà pas commencé à sombrer dans la folie avant, c’était chose faite à présent. Agrippant fermement les hanches de son tourmenteur face à elle, Catalina gémit de frustration au moment où le démon retirait sa virilité tendue et luisante de salive. Elle en voulait plus. Avoir été au bord de son second orgasme, si rapidement après le premier, avait brisé quelque chose en elle. Elle ne résistait plus. Ses hanches bougeaient presque d’elle-même, essayant de garder le rythme brutal que lui avait imposé le colosse brun malgré son ralentissement notable.

« Aaah, gémit-elle tandis que devant elle, le démon jouait aussi avec elle, lui refusant plus que les premiers centimètres de sa raideur. Pitié, ahanait-elle alors qu’elle creusait un peu plus le dos, et que ses ongles cherchaient à retenir l’homme face à elle. »

Finalement, un second vint rejoindre le premier, alors qu’Helel ralentissait à nouveau quand il la sentit sur le point d’exploser à nouveau. Elle ne pouvait pas envisager de se dérober à ces attentions viriles, malgré la frayeur qui la saisit en voyant le second chibre épais qui lui était présenté.

La tête tirée en arrière, elle ne put qu’ouvrir largement les lèvres pour essayer d’accueillir au mieux ces engins démoniaques sans se faire déboîter la mâchoire, littéralement. Elle s’étouffait sur ces deux verges, salivait avec abondance. Mais ses joues rougies, ses yeux brillants, son empressement à essayer de les satisfaire étaient autant d’indices de sa chute du côté obscur. Jamais elle ne se serait cru capable d’apprécier son viol. Jamais elle n’aurait pensé être en train d’en redemander par ses petits couinements désespérés.

Elle griffait, gémissait pitoyablement dans l’espoir de sentir à nouveau la vague de jouissance qui l’avait ravagée précédemment. Mais la seule chose qui la ravageait, c’était les trois sexes épais qui la démontaient proprement. Non, pas proprement. Salement ! Très, très salement. Et elle adorait ça. La pression sur ses seins, entre ses lèvres et au creux de ses jambes étaient délicieusement intolérable. Clairement masochiste à cet instant, elle eut du mal à ne pas hurler de frustration alors qu’un ralentissement du rythme stoppait l’avancée de sa jouissance.

Les deux démons quittèrent un instant sa bouche, la giflant à tour de rôle avec leur virilité exacerbée, tandis qu’elle s’étouffait en essayant de reprendre son souffle. Elle gémissait bruyamment, et ses tétons pointant de manière arrogante contre les mains qui les maltraitaient eurent raison de la résistance des deux qui avaient forcé sa gorge d’un même ensemble. Ils prirent plaisir à lui faire suspendre ses lèvres à l’extrémité de leur verge avant d’éjaculer une quantité phénoménale de sperme brûlant. Etait-ce typique des démons ? La veuve n’en savait rien, et à vrai dire, elle y réfléchirait plutôt à tête reposée. Sur l’instant, elle se contenta d’avaler avec difficulté ces giclées généreuses, bien que quelques-unes se retrouvèrent à couler au coin de ses lèvres maltraitées.

La voix d’Helel troubla tellement Catalina qu’elle manqua de s’étouffer avec la liqueur mâle qui lui arrosait copieusement le palais, et elle en recracha un peu sur ses généreux donateurs.

« Ah oui, je vous en prie, haleta-t-elle alors que ses tourmenteurs s’essuyaient contre ses joues. »

Elle tenta de les retenir, mais ils s’écartèrent ensuite, laissant la place à d’autres. Encore.

« Ma-Maltraitez moi, supplia-t-elle sans retenir ses paroles. Aaah, j’en veux…. J’en veux encore, s’il vous plaît…
Ahahah, elle aime être notre petite chienne on dirait. Hein ? Dis-le, salope, intervint un nouveau venu face à ses lèvres souillées, la giflant lui aussi de sa virilité tendue.
Oui, ou-oui. Faites-moi… Faites-moi mal, encore… J’ai-J’aim- »

Elle ne put finir sa phrase que le nouveau joueur dans la partie s’enfonça d’un traite dans sa gorge, étalant un peu plus le sperme qui maculait ses lèvres et manquant de la faire défaillir alors que ses chairs intimes se serraient à nouveau dangereusement autour de la présence imposante d’Helel. Couinant autant qu’elle pouvait, griffant comme pour qu’on soit plus violent avec elle, la brunette était méconnaissable. Une vrai chienne en chaleur, qui frottait ses fesses contre le bas-ventre d’Helel, et dont les mains agrippaient les verges tendues à sa hauteur pour les branler avec fermeté.

Protestant bruyamment quand celui qui occupait sa gorge se retira, Catalina cherchait à atteindre ce plaisir qui lui était refusé.

« Non, non, encore, plus fort, pitié, supplia-t-elle presque au bord de la crise de nerf alors que son corps réclamait la délivrance. »
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Re : Let's dance, all night long (Connor)

Réponse 7 mardi 25 juillet 2017, 19:55:54

Catalina ne s'offusquait plus du ton employé, ou des ordres donnés. Son esprit était ravagé par le plaisir et la frustration, par la douleur et l'épanouissement de ses bas-instincts. Elle essayait de complaire à ses bourreaux, ouvrant aussi grand sa bouche que possible, léchant, suçant avec application chaque membre virile qui se présentait. Ses mains se refermaient avec envie sur les autres, les faisant patienter pendant que sa bouche était occupée. Elle gémissait, perdue, noyée dans le plaisir de se sentir désirée et traitée de la sorte. Mais à chaque fois qu'elle s'approchait trop près de son orgasme, à chaque fois que ses muscles intimes se resserraient autour d'Helel, ce dernier ralentissait, la frustrant  toujours plus.

La veuve ferma les yeux pour essayer d'atteindre quand même son bonheur, ne regardant plus les démons qui s'emparaient et usaient de sa bouche sans vergogne, jusqu'à ce qu'une gifle lui fasse rouvrir les yeux, même si ce n'était sans doute pas l'intention première. Elle gémit de plus belle, alors que ses muscles fatigués, étirés au possible, redoublaient d'ardeur. Et puis, enfin, le Grand Duc reprit ses coups de reins brutaux, violents. Plus violents qu'avant, à tel point qu'elle cru qu'il allait lui casser le bassin, mais si délicieux !

Le brusque mouvement du démon face à elle lui fit se rendre compte qu'elle en avait oublié de le sucer avec application, quand bien même il utilisait sa bouche plus qu'il ne se laissait faire. Et il poussa sur sa tête, presque à l'étouffer, pour qu'elle l'avale dans son intégralité. La toison de son aine lui chatouilla le nez, mais la queue monstrueuse entre ses lèvres, dans sa gorge même, l'empêchait de respirer, d'éternuer. Elle planta ses ongles dans les hanches face à elle, cherchant à s'y retenir, griffant pour rester consciente, voulant crier, autant de douleur que de plaisir sous les coups de reins intenses du Grand Duc.

Et soudain, elle est à nouveau cambrée plus que de raison, presque à la limite de ce que sa colonne vertébrale peut supporter avant de rompre. Mais elle adore. Elle est masochiste, et prends son pied dans la douleur. Les paroles d'Helel la font frissonner, violemment. Souffrir, ne s'est jamais révélé aussi bon, pour elle. Incapable de raisonner, incapable d'articuler, elle ne peut manifester son approbation qu'en gobant plus vite la queue démoniaque qui remplit sa gorge. Et elle le sentit se répandre en elle. Elle eut l'impression d'oublier où elle était. Plus de parquet gras et dur de la piste de danse, plus de discothèque, plus d'escarpins à talons qui la faisait vaciller, juste une chaleur étonnante qui se coulait en elle, à mesure que le diable se répandait. Qui coulait sur ses cuisses et en elle. Qui débordait, tant la quantité était impressionnante, et qui créait une bosse en remplissant son utérus au maximum de sa capacité actuelle.

Catalina gémit, savourant cette sensation inédite. Le démon qui lui martyrisait la gorge la laissa s'écrouler lorsqu'elle ne fut plus retenue par la poigne du Grand Duc. Elle tomba à genoux, d'abord, incapable de se retenir, de se redresser. Et la semence démoniaque l'aspergea, encore, toujours. Elle leva un visage embrouillé par le plaisir et la douleur, essayant d'observer le diable qui l'arrosait, qui l'honorait de son jus, mais sa vision brouillée par les larmes ne lui permettait pas de bien le distinguer. Et bientôt, ce ne fut plus seulement les larmes qui gênaient sa vision, mais aussi du sperme. Plein. Trop. Les restes de son chemisier, sur son dos, furent rapidement imbibés. Car Helel n'était pas le seul à l'honorer de la sorte. Les autres aussi, s'en donnaient à cœur joie.

La main avec laquelle elle se retenait à genoux glissa, et elle s'écroula de plus belle, sur le dos, offerte à ses bourreaux, à ses amants ? Offerte aux démons. Elle ne sait pas trop quand l'inconscience vint soulager son corps brisé, mais elle vint. Et tout s'obscurcit autour d'elle alors qu'elle sombrait.

* * *

Combien de temps était-elle restée inconsciente ? Elle l'ignorait. Et ce rêve, ce cauchemar qu'elle avait fait, est-ce que cela révélait vraiment ses fantasmes profonds ? Possible, elle n'avait jamais fait d'introspection aussi poussée.

Elle bougea, et se raidit. Non, elle n'était pas dans son lit. Ses poignets étaient entravés contre une surface dur, et froide. Enfin, moins que ça n'aurait dû l'être, étant donné que sa chaleur corporelle s'était propagée au métal. Et, non, ce n'était pas tout. En reprenant peu à peu conscience de son corps, la veuve ouvrit les yeux, choquée. Surprise. Vraiment ? Ce n'était donc pas un simple songe ?

Elle écarquilla les yeux,alors que la scène autour d'elle se dévoilait. Un cauchemar, un vrai cauchemar, car ce n'était pas possible que ce soit réel. Si ? Oui. Catalina déglutit difficilement, horrifiée. Excitée, aussi. Non pas par la scène qui s'offrait à elle, cette vision méphistophélique, mais par ce gonflement entre ses cuisses. Cette présence inconnue. Définitivement pas humaine. Animale ? Elle avait peur de le découvrir. Et en même temps, ça l'excitait. La brune lâcha un soupir étranglé, et voulut bouger, mais un souffle chaud contre sa nuque l'en dissuada. Elle ne savait pas ce qui était derrière elle. En elle. Mais si c'était aussi terrible que ce qu'il y avait autour d'elle, alors elle ne devrait pas être excitée.

« Où-Où suis-je, tenta-t-elle de dire, toussant la gorge un peu irritée (un peu seulement, malgré ce qu'il s'était passé plus tôt, ce qu'elle ne comprenait pas). »

Elle voulut bouger, de nouveau, mais le corps -qui s'était fiché en elle- bougea aussi, et elle se figea. Tétanisée. Bel et bien excitée.
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Vierna

Créature

Re : Let's dance, all night long (Connor)

Réponse 8 jeudi 27 juillet 2017, 08:59:37

Cela ne faisait pas très longtemps que Vierna avait commencé à découvrir la Terre depuis qu’elle était devenue la concubine du grand duc. Helel l’avait prise sous son aile depuis maintenant trois ans et la jeune succube s’amusait beaucoup en sa compagnie. Elle qui avait envie de devenir un peu indépendante de sa mère envahissante avait vite accepté de l’accompagner chaque fois qu’il se rendait dans des endroits comme celui-ci qui servaient de repaire aux démons venus passer des vacances sur terre.

Une des attractions favorite du lieu étant d’enlever et abuser de pauvres terriennes pour en faire des esclaves sexuelles qui seraient emmenée en enfers pour être revendus à de puissants et riches démons possédant des harems comme c’était le cas de son amant. Vierna n’avait donc pas été surprise quand une autre démone était venue la voir pour lui dire qu’une mortelle trop gironde était en train de subir une tournante dans la carré VIP de l’établissement.

Ayant envie de s’amuser elle aussi dans ce qui allait surement devenir une orgie, la jeune succube se rendit à la fête dans l’espoir de croiser Helel qui ne serait pas occupé à violer cette nouvelle petite chienne. Vierna aimait beaucoup que son duc la tripote et lui demande de forniquer avec lui devant un public de démons pour montrer à ses larbins qui était le patron en la matière. La belle démone métisse se sentait importante et valorisée chaque fois qu’elle recevait des félicitations d’autres infernaux pour leur avoir offert un bon spectacle érotique.

Pour des démons la pudeur était quelque chose de stupide et la plupart des succubes n’hésitaient pas à aller de donner en spectacle chaque fois qu’une orgie avait lieu, chose qui arrivait tous les soirs quand on avait affaire à des démons de la luxure. Une fois dans le carré VIP, Vierna se posa sur un canapé d’où elle pourrait admirer le spectacle du viol de la captive du jour tout en attendant le duc  qui n’était pas encore venu se joindre à la fête.

 Il n’était pas question pour elle de le laisser une autre femme aller chauffer Helel avant elle, c’était son privilège en tant que favorite et les démones d’un rang inférieur devaient souvent lui demander la permission si elles voulaient se taper l‘archidémon. Par chance Helel ne s’intéressait peu aux démones vulgaires qu’il considérait comme des catins sans saveur, il était plus du genre à violer des mortelles devant ses larbins pour le prestige que cela lui donnait.

La démone métisse avait prit l’apparence d’une succube rouge et cornue classique parce que Helel la trouvait plus excitante ainsi que sous sa forme d’elfe noire habituelle. Elle était vêtue d’une tunique au décolleté plongeant et d’une minijupe noire qui mettait bien ses formes généreuses en valeur et qui était très facile à relever pour son seigneur qui aimait pouvoir la trousser par surprise quand il le décidait.

Séductrice expérimentée, elle s’approcha du duc d’une démarche féline avant de venir se blottir contre son torse et déposer un baiser coquin sur sa joue. C’était vraiment agréable de pouvoir lui réclamer des caresses en se frottant contre lui comme une petite chatte en chaleur là ou la plupart des démones se seraient fait repoussée parce qu’elles étaient indignes de forniquer avec un archidiable.

«  Bonjour toi, on dirait que mon seigneur adoré nous a encore trouvé une petite humaine à croquer hummm, voila qui est excitant Helel ! Je présume que cette idiote a du te résister pour que tu la jette en pâture à tes larbins pervers qui risquent de l’abimer. En attendant j’ai très envie d’aller faire un strip sur la piste de danse avec toi bien sur ... »

Sur d’elle la plantureuse démone glissa sa main dans le pantalon du beau diable pour le tenir par le bout de la queue, elle savait que le duc adorait quand une femme entreprenante le chauffait de cette manière en lui proposant de forniquer devant tous le monde. Aguicheuse la belle succube entraina son seigneur sur la piste de danse en commença à s’effeuiller devant lui en enlevant le haut de sa tenue, exhibant sa généreuse poitrine. Cela attira l’attention de plusieurs démons qui commençait à la mater elle plutôt que la pauvre humaine qui se faisait humilier par ces pervers en manque.

Désireuse de se donner en spectacle et de montrer à son seigneur qu’elle était une bonne succube, Vierna se mit à genoux devant Helel pour prendre le noble et imposant chibre de son seigneur entre ses gros seins. Le duc appréciait souvent qu’elle lui offre une gâterie en public et l’encouragea à lui faire une belle branlette espagnole en la traitant de pute et de salope comme à son habitude. La jolie succube pouvait sentir qu’il avait déjà violé l’humaine car le membre ducal portait encore l’odeur de cette esclave.

« Oooh mon seigneur est déjà tout tendu et appréciera surement de passer au plat de résistance avec moi après avoir violé une terrienne en apéritif, haha ! »

Son amant était le genre de mâle dominant qui arrivait à insulter ses maitresses d’une manière si excitante que Vierna se sentait honorée qu’il la laisse se jeter sur son chibre devant tous le monde. C’était une belle marque d’affection qui lui donnait et l’entreprenante séductrice pouvait déjà entendre les commentaires flatteurs des autres démons qui auraient surement adoré se retrouver à la place du grand duc. Le fait que ce dernier ait forcé une esclave mortelle plus tôt dans la soirée, excitait assez la démone qui aimait montrer à son amant qu’elle était plus délicieuse que les garces humaines qu’il déshonorait souvent.
« Modifié: jeudi 27 juillet 2017, 10:41:01 par Vierna »

Catalina Taylor

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Re : Let's dance, all night long (Connor)

Réponse 9 vendredi 29 décembre 2017, 22:55:59

A peine éveillée, déjà martyrisée. Sans pitié, le Loup allait et venait en elle, forçant le passage à chaque coup de rein. Pas le temps de faire de l’introspection pour la jeune femme abusée. Même si elle ne le voulait pas, elle était excitée d’être ainsi livrée pieds et poings liés à ces démons. Elle ne se savait pas masochiste, avant ce soir. Perdue dans ses sentiments mitigés, perdue dans cette luxure qui la ravissait, Catalina ne parvenait plus à réfléchir. La douleur, le plaisir, l’humiliation et la sauvagerie se mêlaient. Manipulée comme une poupée, comme l’un de ces jouets gonflables vendus pour les amateurs, elle gémissait pourtant. Elle feulait. Elle hurlait. Si les créatures pouvaient l’effrayer de prime abord, ça ne faisait qu’augmenter son désir.

Sa petite robe moulante, trop petite même, différait bien de ses tenues habituelles. Mais alors que la matière comprimait son corps ferme, elle n’en avait cure. Sous la brusquerie du Loup -ou bien était-ce cette créature à tentacule ?- ses seins achevèrent de jaillir à l’air libre, bien vite arrosés d’alcool comme le reste de sa personne. Et pourtant, elle ne s’en offusquait pas. Elle aimait ça. Elle suppliait même pour qu’ils n’arrêtent pas. Et quand elle ne pouvait plus parler, ses yeux suppliaient à sa place. Ses gestes parlaient pour elle.

Elle ouvrit la bouche pour aspirer une grande goulée d’air alors que le tentacule desserrait légèrement son emprise, mais un hoquet s’étrangla dans sa gorge quand elle sentit ce nœud, à la base du sexe canin, gonfler, enfler, écartant encore plus ses chairs tendres et brûlantes. Ses doigts griffèrent sans effets le radiateur auquel elle était attachée. Etait-ce du plaisir, vraiment ? Il semblerait. Alors qu’elle aurait dû se sentir écartelée, déchirée par le Loup qui la besognait sans merci, la veuve ne ressentait qu’un plaisir intense, violent, électrisant.

Elle n’eut pas le temps de s’appesantir sur cette sensation étrange, incongrue, qu’elle n’aurait pas dû ressentir. Elle se fit soudain retourner, sans quitter le pieu massif qui l’empalait déjà. Ses épaules protestèrent sous ce traitement brutal. Elle se retrouva avec les bras tendus, toujours attachés au radiateur, et face à un sexe de calibre impressionnant. Comme tout ce qu’elle voyait  ce soir, d’ailleurs. Elle ne put protester, ses lèvres s’ouvrant à peine que déjà les bourses pleines du démon rouge et cornu s’écrasèrent dessus. Une main ferme la força à ouvrir la bouche avant que le sexe massif ne vienne s’y engouffrer. Loin. Trop loin. La brune avait une bonne expérience des gorges profondes, mais là ? Ce n’était pas humainement possible, si ?

Et le pire, dans tout ça ? Ou le meilleurs, selon les points de vue. C’est qu’elle aimait ça. Elle sentait les vagues de plaisirs ravager son corps torturé. Elle sentait ses terminaisons nerveuses noyée sous les petits chocs électriques orgasmiques. Et le sexe s’enfonçait, violant et déformant sa gorge qu’une main griffue serrait en alternance. Elle n’était qu’un exutoire, un vide-couille, pour ces créatures démoniaques. Et elle aimait ça. Elle en redemandait même, masochiste comme elle se découvrait.

Si sa bouche, ou sa gorge pour être plus précis, et sa chatte étaient occupées, malmenées, ravagées, sa poitrine n’était pas pour autant abandonnée. La brune sentait des doigts, des lèvres, des dents parfois, venir l’agacer. Tendrement, férocement, alternant entre la douceur et la sauvagerie.

Pauvre petite chose, petit jouet pour les démons. Elle était tellement submergée par ces sensations délicieuses, douloureuses, qu’elle ne remarqua l’absence du Grand Duc que lorsqu’il rentra à son tour dans la pièce. Battant furieusement des paupières, pour chasser les larmes de ses yeux, la brunette ne put toutefois suivre l’instigateur de tout cela des yeux. Bien vite ramenée à son activité, elle manqua de s’étouffer en sentant le démons cornus aux deux paire de bras éjaculer en resserrant son emprise sur sa gorge. Le Loup continuait de la pilonner, malgré le  foutre crémeux qu’il avait relâché et qui suintait à présent malgré le nœud qui l’écartelait. Elle toussa, ou tenta de le faire, respirant avec de grandes difficultés par le nez.

Plaisir. Douleur. Honte. Jouissance. Catalina ne faisait plus la différence. Sa perception des choses, du bien et du mal particulièrement, était mise à mal par cette orgie, par ces violences qu’elle subissait, qu’elle suppliait de subir. Les épaules douloureuses, à force d’être tendues vers l’arrière, vers le radiateur, elle sentit toutefois ses muscles intimes se contracter de plus belle, resserrant son étreinte autour du sexe canin, quand une vague de plaisir plus forte que les autres la dévasta. Son cri, étouffé par l’énorme engin qui se plantait dans sa gorge, sembla d’ailleurs faire de l’effet au démon qui lui labourait la bouche, parce qu’elle crut le sentir encore en train d’éjaculer. Puis il libéra sa gorge, s’extirpant d’entre ses lèvres rougies, et une dernière giclée éclaboussa sa joue. Comme la dernière des traînées, la veuve sortit la langue pour lécher ce qu’elle pouvait atteindre, sous les rires gras des autres créatures.
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Catalina Taylor

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Re : Let's dance, all night long (Connor)

Réponse 10 lundi 01 janvier 2018, 11:20:50

Noyée dans ce plaisir, dans cette douleur que lui procuraient les démons, Catalina ne parvenait pas à réfléchir clairement. Non, en fait, elle ne parvenait pas à réfléchir du tout. Elle remarquait à peine que ses actuels amants, si l’on pouvait employer ce terme dans cette situation bien précise, s’éloignaient quand le Grand Maître se présenta. Les menottes disparurent, laissant les bras de la jeune femme retomber le long de son corps. Hagarde, elle avait fermé les yeux. Le plaisir pulsait dans chaque partie de son corps, se mêlant à cette douleur sourde et entêtante. L’apparition de cette sensation qui enserrait son cou, pourtant, parvint à la faire un peu redescendre sur terre. Elle releva doucement la tête, haletante, et leva une main pour tâter le cuir qui s’était matérialisé autour de sa gorge déjà malmenée. Le démon avait déjà attaché la laisse pour compléter la panoplie, et Catalina suivit des doigts, un instant, le cordon qui la reliait à présent à lui. Ses yeux s’écarquillèrent légèrement. A quatre pattes, comme elle l’était, elle se sentait vulnérable. Surtout attifée de la sorte. Sa robe minimaliste, qui avait cédé sous la pression de ses seins, ce collier, cette laisse. Un hoquet de stupeur lui échappa. Ses prunelles azurées observaient le Grand Duc avec un soupçon de terreur, marquant le réveil de son esprit engourdi.

Elle ne parvint pas à protester. Pas tout de suite. Obligée de creuser le dos sous la pression de la botte d’Helel, la brunette ne put qu’avancer, cambrée, indécente. Rabaissée à l’état d’un simple animal. Lentement, son indignation s’éveillait. Mais lorsque ses yeux effleuraient les spectateurs de son humiliation, lorsqu’elle constatait leur désir apparent face à sa situation, quelque chose étouffait la rébellion qui naissait en son sein. Très vite, elle baissa les yeux. Elle luttait, intérieurement. Elle repensait à son attitude passée, depuis le début de la soirée. A ce qu’elle avait pourtant l’habitude de faire et de ne pas faire. Entrer dans ce club avait bouleversé ses certitudes. Elle ne savait plus qui elle était. Aimait-elle vraiment ça, se faire humilier, rabaisser, cracher dessus ? Ou bien était-ce un effet secondaire de la présence démoniaque ? Est-ce qu’elle était vraiment masochiste, est-ce qu’il y avait une limite à ce qu’elle pouvait endurer ? Ou bien tout ceci n’était qu’une illusion engendrée par une sombre magie ?

La brunette secoua la tête, tentant de reprendre ses esprits. La dualité qui régnait dans son crâne ne l’aidait guère. Elle avait envie d’envoyer chier le Grand Duc à chaque pas qu’il la forçait à faire dans cette position, et en même temps, elle voulait goûter à nouveau à ce membre aux dimensions surhumaines. Elle voulait le mordre, le griffer, le battre, et elle voulait aussi qu’il la prenne encore, qu’il la saille comme une chienne.

Elle posa son regard sur lui quand il s’agenouilla face à elle. Déglutissant difficilement, encombrée par ces sensations qui naissaient dès qu’il la touchait, elle essayait de ne pas flancher. Ses paroles l’y aidèrent beaucoup. L’engrosser, sérieusement ? Elle ferma brusquement les yeux, une seconde, puis deux. Son indépendance se rebellait face à cette intention moyenâgeuse.  Elle n’était pas particulièrement enjouée à l’idée de devenir mère, dès le départ. Mais donner naissance à une engeance aussi démoniaque que lui ? Son cœur se serra. Elle ne voulait pas. N’est-ce pas ? Elle rouvrit les yeux en sentant la main du démon agripper sa crinière. Elle s’apprêtait à protester. A hurler, à tempêter, à se défendre. Mais elle se figea soudainement face à ce qui lui faisait face. Ce n’était pas le visage d’Helel. C’était son sexe. Massif. Impressionnant. Elle ne put se débattre lorsqu’il força sur sa tête pour la plaquer contre son bas-ventre. Le nez contre cette chair chaude, palpitante, contre ces poils sombres qui l’entouraient. Elle ne pouvait pas réfléchir, ainsi. Elle en était incapable. Elle était faible, face à la tentation. Elle l’avait toujours été, elle l’avait toujours soupçonné. Et face aux tentateurs de Satan, elle en avait la confirmation.

« N-Non, je… Tenta-t-elle de marmonner, ses mains venant appuyer sur les hanches du diable pour essayer de se reculer. »

Elle se raidit soudainement alors que quelque chose venait frotter sa croupe, ses chairs brûlantes et encore trempées. Ses doigts se crispèrent contre Helel alors qu’elle inspirait brusquement. Ce n’était pas du jeu. Elle ne pouvait pas réfléchir dans cette situations. Ce qui dardait contre son intimité, contre son antre opposée, c’était comme une langue. C’était bon. Trop, sans doute. Et la pauvre humaine qu’elle était ne pouvait pas subir ça encore. Pas maintenant. Elle gigota, tentant de fuir cette sensation trop bonne pour son bien, mais elle était quelque peu bloquée Elle ne pouvait pas se défaire de la prise du démon sur son crâne. Son odeur musquée, mâle et démoniaque, lui troublait les sens. Encore. Quelle était sa question, déjà ?

La veuve leva les yeux vers le Grand Duc. Il pouvait voir de la colère, dans ses prunelles. Mais aussi, surtout, le désir. Et une pointe de peur, accompagnée de cette lueur désespérée d’un esprit qui ne pouvait rien contre les vices de la jeune humaine.

« S’il vous plaît, plaida-t-elle en tentant de le repousser. »

S’il vous plaît… Quoi ? Elle voulait rentrer chez elle, d’un côté. Mais elle aimait aussi, sans conteste, ce qui était en train de lui arriver. Quoique la partie concernant l’enfantement de petits diables ne l’enchantait pas trop. Elle ne se voyait pas mère. Surtout pas de cette engeance. Mais, pourquoi ? Ses ongles griffèrent la peau du démon, même en sachant qu’elle ne lui faisait pas grand mal.

Elle se cambra brusquement, alors que son esprit renonçait à lutter. Pourquoi tenter d’aller contre l’inévitable, après tout ? Elle n’était qu’une frêle humaine, entourée de démons tous plus hétéroclites. Elle n’était pas de taille à lutter. Elle renonçait. Peut-être pas pour toujours, mais au moins pour le moment. Elle capitulait, dans un gémissement étouffé contre Helel.
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Re : Let's dance, all night long (Connor)

Réponse 11 lundi 01 janvier 2018, 18:28:22

La pauvre petite humaine qu’était Catalina se retrouvait prise dans une situation infernale. Hautement érotique, hautement plaisante, pourtant. Qu’elle se l’avoue, ou pas, elle trouvait un certain plaisir à se faire maltraiter de la sorte. Conduite comme un vulgaire animal. Une chienne. Elle lâcha cependant un petit glapissement quand un tentacule tira sa cheville. Son dos se creusa, offrant sa croupe comme si elle n’était qu’une petite chatte en chaleur. Son couinement ressemblait à une supplique qui s’étouffa contre le sexe épais du démon qui la maintenait. La tête renversée en arrière, les lèvres entrouvertes, la brunette ne savait plus que penser. L’odeur du mâle la perturbait. Plus encore, ces quelques gouttes de son jus qui coulèrent sur son visage semblèrent décupler cette sensation d’être marquée, de devenir sa propriété. Son esprit se rebellait pour réfléchir, pour s’extirper de là, alors que son corps se soumettait, étouffait sa raison pour mieux se faire maltraiter.

Sa voix l’enchantait toujours plus. Elle ne pouvait pas lutter, c’était injuste. Il gagnait, haut la main. Elle eut un petit hoquet quand il lui pinça le nez, mais elle ouvrit bien vite la bouche. En grand. Sa langue réclamant ce qu’il ne tarda pas à lui offrir. Elle étouffa un gémissement quand un tentacule s’enfonça entre ses lèvres intimes. Mais sa bouche était occupée. Ses mains aussi. Ses doigts étalaient sa salive contre le sexe veineux d’Helel. Sa bouche aspirait, encore et toujours, le gland gonflé qu’il lui présentait. Son corps se soumettait tandis que son esprit cherchait à revenir à la raison. Une partie d’elle lui soufflait de s’abandonner, de profiter de cette soirée pour se familiariser avec sa vraie nature. Une autre voulait tout arrêter, sans pouvoir prendre le dessus sur le besoin de stupre qui l’engourdissait.

Ses gémissements s’étouffaient contre le chibre qui occupait sa bouche. Un second tentacule se montra plus délicat en venant s’approprier le dernier orifice libre. Si le premier, malgré son introduction brutale, appuyait avec savoir-faire contre cette zone érogène qu’elle se connaissait, près du col de son utérus, le second ne s’embarrassait pas de point sensibles à martyriser. La veuve le sentit remonter avec incrédulité, toujours plus loin. Elle ouvrit la bouche pour protester, mais le Grand Duc se rappela à son souvenir, ponctuant ses ordres d’une gifle. Se plaisant à l’humilier encore. Elle déglutit, difficilement, et son enthousiasme latent se traduisait parfois par une envie de le sentir plus loin dans sa gorge.

Elle ne savait plus que ressentir en fait. De l’horreur, face au tentacule étrange qui remontait toujours plus loin dans ses entrailles, qui rampait comme s’il voulait faire le chemin digestif à l’envers ? Du désir, alors que le second appuyaient sans discontinuer sur ce point hautement érogène dissimulé près de son utérus ? De la gêne, alors qu’elle se faisait maltraiter la gueule par Helel ?

Ses prunelles se levèrent vers ce dernier, justement, alors qu’il lui donnait un nouvel ordre. Elle ignora cette petite voix qui lui disait de lutter. La voix du démon annihilait cette volonté de rébellion. Son sexe énorme captivait soudain ses sens, sans qu’elle n’oublie les deux tentacules pour autant.

Elle se montra pourtant docile. Effrayée et excitée. Elle se força à se modérer. A ralentir le rythme fou de son cœur. Ses yeux revinrent loucher contre le chibre tendu, rougi par ses lèvres. Elle déglutit, et elle commença à l’enfoncer lentement. Sa langue l’humidifiait toujours, autant qu’elle pouvait. La salive était produite en abondance et coulaient aux commissures de ses lèvres. Ses doigts s’empressaient de l’étaler sur ce qu’il lui restait à avaler, espérant faciliter l’entreprise qu’elle avait à faire.

Elle gémissait sourdement. Elle voulait arrêter le tentacule qui remontait toujours plus loin, éveillant de drôles de sensations en elle. Désagréables surtout, au début. Mais contrebalancées par celui qui s’occupait de son intimité. Qui faisait monter le plaisir, au même titre que le fait de gober le mandrin démoniaque. Elle manqua de tousser, en voulant déglutir, et en perdit le souffle. Ses larmes coulaient, entraînant le mascara. Elle finit par se reprendre, par éviter de tousser, et se rendit compte que le gland franchissait la barrière de sa glotte. Elle sentait sa gorge oppressée, autant par le collier de cuir, et la laisse qui y était rattachée, que par le monstre qui s’y enfonçait encore. Ses mains quittèrent la longueur raidie pour venir prendre appui sur les hanches du démon alors que son nez se rapprochait de son aine. Elle se dégoûtait de se laisser ainsi faire, de lui obéir comme une gentille petite chienne. Mais quelque part, elle appréciait. Comme si elle n’attendait que ça. Ses cuisses luisaient d’ailleurs de son plaisir à se laisser maltraiter.

De toute façon, que ce soit des gémissements de plaisir ou de protestation, ils s'étouffèrent tous contre le sexe d'Helel qui transperçait sa gorge.
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Re : Let's dance, all night long (Connor)

Réponse 12 mercredi 10 janvier 2018, 18:42:18

L’opposition entre le corps et la raison, entre les fantasmes et la réalité, torturait la veuve autant que les démons. Ses désirs profonds -ça ne pouvait être que ça, n’est-ce pas ?- entraient en conflit avec les tabous de la société. Ce n’était pas acceptable de se faire violer, de se faire forcer de cette manière, et d’apprécier ce traitement. Ce n’était pas acceptable de prendre du plaisir à souffrir. N’est-ce pas ?

La jeune femme avait pourtant abandonné tout raisonnement. Son esprit déclarait forfait face aux sensations que faisaient naître ces humiliations répétées. Les yeux mouillés de larmes, Catalina suçait avec application le Grand-Duc, sa langue flattant la peau veinée alors qu’il l’étouffait de son épaisseur. Et quand il se retira, quand il l’humilia une fois de plus en la frappant de ce sexe érigé et lubrifié, elle apprécia encore. Haletante, elle ne comprenait pas tout de ce qu’il disait. Hagarde, elle fut pourtant soulagée quand le tentacule qui fouaillait ses entrailles se retira. Mais un petit gémissement salua le départ du second, alors qu’elle retombait à quatre pattes. Qu’elle le suivait, presque docilement. Bon, elle était bien obligée, il tenait toujours la laisse. Les regards des autres démons la perturbaient. Elle ne savait pas ce qui lui était réservé, mais eux semblaient le savoir. Elle déglutit en arrivant dans les toilettes, ses genoux râpant le sol carrelé.

Malgré tout, elle obéit. Elle obtempéra sans se faire prier. Son esprit avait abandonné la partie, et elle voulait jouir à nouveau. Elle voulait ressentir encore le plaisir ravager son corps autant que la souffrance. Et ses prunelles accrochèrent avec une sorte de gourmandise non dissimulée le sexe d’Helel. Il était encore luisant de sa salive alors qu’il se branlait face à elle. La brune serraient ses mains l’une contre l’autre, pas vraiment à l’aise dans la position ordonnée mais trop enfoncée dans ce qu’elle pensait être ses fantasmes profonds pour protester. Elle ouvrait la bouche presque machinalement, désireuse de goûter encore la semence démoniaque de son tortionnaire.

A sa grande surprise, ce ne fut pas des jets de sperme qui vinrent s’écraser contre son visage, contre sa langue avide. Les yeux écarquillés, la jeune femme se rendit compte qu’il... Qu’il lui pissait tout simplement dessus. Un hoquet lui échappa, alors qu’elle refermait la bouche, recrachant un peu. Elle toussa, cherchant en elle un peu de force pour s’opposer à cette pratique, avant de relever les yeux vers le démon. Elle n’avait jamais, mais vraiment jamais, été confrontée à cela. C’était dégoûtant. Humiliant. Pourtant, malgré ses poils qui se hérissaient face à ce traitement, dès qu’elle posa à nouveau les yeux sur le Grand-Duc, les quelques regains de combativité qui remontaient sous l’indignation s’évanouirent. Elle voulait vraiment protester. Elle voulait se lever d’un bond, et lui échapper. Mais elle resta là. Docile. De toute façon, elle n’aurait jamais pu quitter le club. Elle ne savait même pas si elle y était toujours, sa perte de conscience et le changement de lieu n’aidant pas.

« Que… Non… Non… »

Elle protestait faiblement. Si faiblement que c’était à se demander si elle protestait réellement. Ou si sa curiosité l’emportait. Fantasmait-elle vraiment de se faire pisser dessus pour rester ainsi sans vraiment broncher ? A obéir comme une chienne aux ordres du démon ? Après un autre hoquet, alors que ses mains se serraient tellement fort l’une contre l’autre que les jointures blanchissaient, la belle obtempéra malgré tout. Elle pleurait de nouveau, ses larmes se mêlant au liquide chaud qui l’aspergeait. Et malgré le caractère franchement humiliant de la situation, malgré le côté dégoûtant, elle resserra de plus belle les cuisses en sentant cette chaleur familière revenir envahir ses reins.

Devant son regard halluciné, perdu, le diable s’en fut, non sans la gratifier à nouveau de quelques insultes. Et les autres démons arrivèrent, en masse. Elle perdit le compte, ne voyant devant elle que des sexes érigés de toutes tailles et toutes formes. Elle ne sut à quel moment exactement son air halluciné disparut, mais elle se rendit compte, au final, que ce traitement odieux ne faisait que réveiller une nouvelle fois sa libido.

Entre ceux qui revenaient violer sa gorge, étouffant ses gémissements contre leur membre aux proportions variées, et ceux qui la noyaient sans pitié en lui pissant dessus et en ricanant, elle perdit à nouveau les rênes de son esprit. Elle s’enfonçait de plus en plus dans la folie, en venant même à apprécier ce traitement.

Elle était déjà dans cet état quand elle reconnut le démon qui arriva ensuite. Aussi costaud qu’Helel, aussi séduisant, avec cet air léonin. Buar, il lui semblait. Cruel, comme précédemment. Et pourtant, Catalina en était venu à aimer. Se sentir étouffée par le monstre qu’il enfonçait entre ses lèvres, qu’il utilisait pour lui déformer la gorge, était presque jouissif. Les larmes coulaient de plus belles, ruinant le mascara encore plus qu’il ne l’était déjà. Ses prunelles d’azur semblaient avalées par la pupille qui s’était élargie. Elle était comme droguée. Et ses gémissements s’étouffaient contre ce sexe aux proportions effrayantes, à l’instar de celui d’Helel.

Plusieurs fois, elle crut tourner de l’œil pendant qu’il s’occupait d’elle. Ses mains avaient fini par venir s’agripper à lui pour ne pas faiblir. Avant de revenir sur son propre corps, ne résistant pas à l’envie de venir se glisser entre ses cuisses serrées. Elle était maculée de sperme, de pisse, et pourtant, elle était excitée. Ses doigts massaient sa perle avec insistance, voulant retrouver la sensation de l’orgasme qui déferlait en son sein, alors que le démon léonin se branlait face à elle, discutant avec le Grand-Duc qui était revenu. Elle renversa presque la tête en arrière pour accueillir la semence entre ses lèvres ouvertes, sur sa langue tendue. Elle était vraiment pire qu’une salope, ce soir. Son regard s’était troublé longtemps avant, quand elle avait finalement accepté que ce traitement déshonorant l’excitait. Et elle ferma les yeux alors que le liquide doré remplaçait le foutre. Ses doigts s’agitaient de plus belle sur sa perle rougie, gonflée, et elle suça avec application le gland qu’on lui présenta, le nettoyant consciencieusement avant qu’il ne lui échappe.

En rouvrant les yeux, son regard se posa sur son tortionnaire. Elle était dans un piteux état, avec sa robe en lambeaux, irrécupérable d’autant plus qu’elle était maculée de sperme et d’urine. Mais ses yeux… Ses yeux brillaient. Son esprit avait définitivement capitulé, ne laissant aux commandes de ce corps que l’accroc au sexe, aux humiliations, aux orgasmes, à la douleur. Il l’avait brisée, cette nuit, et c’en était le résultat.

Elle n’osait pas bouger, tant qu’il ne le lui ordonnait pas, mais elle se mordait la lèvre à mesure que le plaisir grimpait de nouveau. Ses doigts agaçaient sans répit son clitoris, avant qu’elle ne vienne jusqu’à introduire son majeur en elle, cherchant ses points sensibles, ses zones érogènes. Elle haletait. Ses reins ondulaient. On était bien loin de la jeune veuve propre sur elle du début de soirée. Elle était brisée, elle s’était soumise. Elle ne rechignerait même pas s’il renouvelait sa suggestion de l’engrosser. Elle était perdue pour la bienséance.

« Maître, osa-t-elle susurrer en bombant la poitrine. »
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Re : Let's dance, all night long (Connor)

Réponse 13 lundi 22 janvier 2018, 22:07:18

C’est avec un petit gémissement qu’elle se réveille. Hagarde, elle reste un instant sans bouger, sans ouvrir les yeux. Des images de son rêve flottent dans sa tête. Des images torrides, mais terriblement sales. D’y repenser, la veuve sent ses reins s’échauffer. Plaisir coupable. Elle ne pensait pas pouvoir avoir des fantasmes de ce genre. Elle ne se croyait pas capable d’aimer l’uro, ou d’être masochiste. Oh, elle savait qu’elle se soumettait régulièrement dans le sexe. Elle savait qu’elle aimait qu’on la maltraite un peu, qu’on la rabaisse. Mais là, ça dépassait toutes ses expériences passées.

Elle se retourna sur le lit, et marqua soudainement un temps d’arrêt. Elle n’était pas en nuisette, comme à son habitude. Son corps était légèrement engourdi, comme s’il avait trop servi. Et les draps, ils n’avaient pas le même parfum. Brusquement, la jeune femme se redressa, les yeux écarquillés. Ses prunelles firent le tour de la pièce, ne reconnaissant absolument pas cette chambre trop richement ornée. En baissant les yeux, elle remarqua les sous-vêtements. Très jolis, très confortables, mais qui ne couvraient absolument rien. L’éclat des joyaux lui attira l’œil un instant, avant que son cœur ne se serre d’inquiétude. Elle ne savait pas où elle était. Elle avait la désagréable impression de ne pas avoir rêvé cette nuit.

Elle descendit doucement du lit, posant ses pieds nus sur le tapis, et s’avança à petits pas vers la fenêtre. Elle ne parvenait pas encore à réaliser. Elle n’était pas chez elle. Elle n’était pas chez une connaissance. Le jardin qui s’étendait à perte de vue ne lui disait absolument rien. De plus en plus, la sensation, qu’elle n’avait pas fait un simple rêve salement érotique, se faisait oppressante.

Se détournant de la fenêtre -impossible de sauter pour s’échapper, c’était trop haut pour elle- Catalina revint vers le lit, tremblante. Elle cherchait quelque chose pour se couvrir, pour être décente à nouveau, et l’idée d’utiliser les draps effleuraient son esprit.

Elle sursauta quand, soudain, la voix mâle brisa le silence de la pièce. Elle se retourna d’un bond, prenant appui contre le lit pour ne pas tomber. Ses jambes flageolaient. Elle n’était pas sûre qu’elles la porte bien longtemps. Ses prunelles se fixèrent sur le démon qui se tenait dans l’encadrement de l’une des portes de la chambre. Sans qu’elle ne puisse contrôler ses yeux, ceux-ci caressèrent le corps nu d’Helel, s’arrêtant un peu plus longtemps sur son entrejambe, avant de remonter rapidement quand elle s’en rendit compte. Ses joues se colorèrent de rose, gênée, honteuse. Elle n’était pas particulièrement pudique, en temps normal, mais la situation la mettait mal à l’aise.

Quand il mentionna le collier qu’elle portait autour du coup, la veuve y passa les doigts. Elle ne l’avait pas remarqué en se réveillant. Elle rougit de plus belle et évita de poser ses yeux sur la laisse qu’il venait de faire apparaître. Et il ordonna. Comme dans son rêve. Non, comme dans ses souvenirs. Elle n’avait plus de doutes. Elle n’avait pas rêvé.

Elle ne pouvait pas bouger. Statufiée par ce constat, elle fut cependant vite ramenée à la réalité par le Grand-Duc. Elle tomba à genoux sur le sol, aidée par sa main ferme et sans pitié, et se retrouva bien vite la tête collée par terre, sous son pied. Comme si elle n’était pas son égale. Comme si elle était une chienne.

Non, elle était une chienne. Du moins, elle se sentait comme telle, hier soir. Les réminiscences de la veille se mêlaient à la situation présente, avant que son esprit ne se secoue. Avant qu’elle ne réagisse. Quand le pied s'ôta de sa joue, la brune se recula vivement. Elle avait peur de lui, et c’était compréhensible. Elle le désirait encore, malgré tout. Elle sentait ses reins se tordre au son de sa voix. Mais elle n’était pas prête à admettre qu’elle avait aimé se faire maltraiter, se faire humilier.

Reculée contre le lit, Cata ne pouvait pas aller plus loin. Elle serra les poings contre sa poitrine, maigre protection, et se raidit quand il approcha. Quand il accrocha la laisse à son coller. Elle était tétanisée, paralysée autant par les souvenirs qui se bousculaient dans sa tête, par le plaisir et la douleur qui s’en dégageaient, autant que par la crainte. C’était un démon, bordel. Avant la veille, elle ne savait même pas qu’ils existaient réellement. Et elle s’était fait prendre par une horde de ces créatures, passant des plus séduisants, comme Helel, aux monstres de cauchemars. Et elle avait aimé.

Elle ferma les yeux quand il frotta son sexe contre sa joue, contre son nez et ses lèvres, en essayant de rassembler son courage. Elle voulait dire non. Elle voulait s’affranchir de sa domination. Et elle n’y arrivait pas. Elle avait peur. Elle était perdue. Et surtout, elle avait toujours envie de lui. De son membre entre ses lèvres. De ses coups de reins brutaux. Et même de son urine, alors qu’elle n’avait jamais eu de penchants urophiles avant.

Toutes ses émotions se mélangeant en elle, ses pensées n’arrivant pas à se fixer, la brunette se laissa docilement faire quand il lui enjoignit d’un geste d’ouvrir la bouche. Elle frémit quand il y cracha à l’intérieur, avalant d’un geste mécanique. Déglutissant sans réagir.

Puis elle détourna la tête, alors que ses paroles éveillaient d’autres souvenirs, alors que cette sensation de désir remuait son estomac.

« Non, souffla-t-elle d’une voix hachée. Je vous en supplie, laissez-moi partir. Je ne dirais rien. J’oublierais tout ça. »

Comme elle oublierait la pointe de ses seins qui se dressaient au souvenir de ses humiliations la veille. Comme elle oublierait la ferveur avec laquelle elle s’était laissé pisser dessus dans les toilettes de la boîte de nuit. Comme l’entrain qu’elle avait mis à se laisser démonter comme une chienne.

« Je vous en prie, arrêtez, répéta-t-elle à nouveau. »

Elle ne voulait pas se laisser à nouveau aller. Elle ne se sentait pas capable de résister. Pas capable de masquer les réactions traîtresses de son corps nu.
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RPs & Idées.

Evangile selon Sainte Cata 28:11 : "Venez à moi, vous tous qui avez envie de RP, on va s'enjailler grave j'm'en bats les couilles j'vous prends tous"
Evangile selon Sainte Cata 28:12 : "Vous trouverez du repos pour vos âmes en mon sein, à condition que vous soyez un mâle bien membré et prêts à me casser le bassin"

"Elle attire les bites comme le miel attire les abeilles" - Destin.

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2eab41 - Paroles de Catalina.

Catalina Taylor

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    Riche veuve, par treize fois, qui s'est exilée à Seïkusu et qui investit dans différents secteurs d'économie de la ville.
    Peu farouche quand elle trouve quelqu'un à son goût, mais secrète quant à son passé.

Re : Let's dance, all night long (Connor)

Réponse 14 dimanche 11 février 2018, 18:17:56

Oh non, en effet. Malgré ses paroles, ses promesses pour fuir ce lieu, elle ne pourrait jamais oublier. Elle ne pourrait jamais chasser de son esprit les tortures charnelles qu’elle avait tant adoré. Elle ne pourrait jamais taire la faim qui la terrassait quand elle se souvenait du goût du sperme du démon qui la dominait. Et cette odeur qui la prenait aux tripes. Il était la luxure, son odeur réveillait ce nœud de désir au creux de ses reins.

Elle tressaillit sous les mains du Grand-Duc, mais elle ne répliqua pas. Elle s’affaira à le branler, entre terreur et appétence, essayant d’oublier ses paroles. Essayant d’oublier où elle se trouvait. Ce qu’elle faisait. Sans succès, évidemment.

Un glapissement lui échappa, entre surprise et crainte, quand il la souleva par les sous-vêtements aguichants qu’elle portait. Un hoquet de frayeur s’échappa de ses lèvres, puis de douleur alors que la dentelle martyrisait sa peau sensible. Elle ramena ses mains vers son buste, tentant de soulager ses seins de la pression, avant de lâcher un cri douloureux quand elle heurta le matelas qui s’affaissa sous la puissance employée pour l’y jeter. Des larmes perlaient dans ses grands yeux d’azur alors que le démon la retournait sur le dos, exposant sa vulnérabilité.

La douleur dominait après cet épisode. La douleur et la peur. Elle n’était qu’une marionnette entre ses doigts. A cet instant, elle plaignait les poupées gonflables si cela était leur quotidien. Même si ces sex-toys n’étaient pas vivants. Elle avait vraiment l’impression d’en être réduite à ce rang. Elle ne se trompait sûrement pas.

« Je vous en prie, pitié… Tenta-t-elle encore. »

Elle ne put continuer, ses narines inspirant profondément la fragrance virile qu’il dégageait en lui collant la tête contre son entrejambe. Elle ne pouvait pas se débattre. Elle ne pouvait pas lutter, de toute manière. Et même s’il l’effrayait, il l’attirait aussi, sans qu’elle ne puisse rien y faire. Elle avait envie de se soumettre, de se faire traiter de la sorte. Elle avait envie qu’il l’humilie, qu’il la maltraite. Qu’il l’honore de sa semence démoniaque.

Terrifiée -excitée aussi, par la prise sur sa nuque, par le membre imposant qui se pressait contre son visage- Catalina ouvrit grand la bouche, sortant la langue pour accueillir le démon. Incertaine, elle prit même l’initiative de l’aspirer, forçant pour qu’il passe la barrière de sa gorge, pour s’empale jusqu’à ce que ses lèvres effleurent les poils de son aine. La peur est aussi un excellent aphrodisiaque, surtout face à un démon de l’acabit d’Helel. La brune a bien conscience de ses actes, mais elle ne peut s’en empêcher. C’est comme si elle ne se rebellait que pour mieux être punie. Comme si elle avait pris goût à son masochisme la veille. Et même si sa raison lui hurlait de chercher à s’enfuir, de ne pas s’éterniser dans cette situation, son corps ne lui obéissait pas. Son corps se pliait à la volonté du Grand-Duc, se livrant sans retenue.

Ses lèvres aspiraient la chair tendre, massive, tentant de ne pas s’étouffer. Ses yeux larmoyaient. Ses joues rougissaient alors que son souffle se faisait erratique. Elle respirait par le nez, autant qu’elle pouvait, mais le sexe du démon était si épais que ce n’était pas suffisant. Presque comme un réflexe, ses mains s’agrippèrent aux fesses d’Helel. Pas pour le rapprocher plus encore, mais pour ne pas défaillir. Pour essayer de garder le contrôle de sa bouche avalant presque jusqu’à la garde ce monstre viril.

Elle commençait déjà à baver, faisant luire son menton qui frôlait les bourses pleines du Grand-Duc. Pourquoi se pliait-elle ainsi à ses ordres ? Pourquoi prenait-elle l’initiative de le sucer -non, de l’avaler- de cette manière ? Pas seulement à cause de la crainte. Loin de là. Même si elle refusait de se l’avouer, en pleine possession de ses moyens, Catalina aimait ça. Tout simplement.
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