Hard session [PV]

Anouvanh la jeune succube avait un emploi du temps des plus chargé depuis que sa mère était partie pour lui laisser vivre sa vie. Elle avait maintenant un bon répertoire de contact, des personnes jeunes et plusieurs qui étaient éternelles (oui, oui des démons, des créatures bizarres) ! La jeune femme pouvait maintenant se nourrir le restant de ses jours.

En parlant de nourriture, Anouvah venait de se faire un festin du feu de Dieu ! Elle n'en pouvait plus, elle était revenue chez elle après une très longue soirée de folie de son corps. Elle n'en pouvait plus ! Quand Anouvanh voulait se reposer elle allait tout simplement dans son manoir que lui avait laissé sa mère dans un coin des enfers. Quelle gentille maman, qu'elle avait eu.

Son manoir se trouvait sur une haute colline, les terres autours étaient brûlées, des longues coulées de lave en descendait en continue pour former un cercle en bas de cette colline comme pour montrer la limitation de son modeste territoire. Personne ne venait jamais chez elle, c'était toujours Anouvanh qui se déplaçait quand on l'appelait ou quand elle sentait une personne qui avait un fort appétit sexuel. Et personne ne venait lui chercher des problèmes, aller savoir pourquoi, mais elle n'allait surtout pas s'en plaindre quand même. Tellement elle n'avait pas de soucis, elle ne fermait jamais son manoir, les portes n'avaient pas de verrous et les fenêtres restaient ouvertes en permanences.

La jeune succube se glissa dans son lit et tira les toiles noires de son lit à baldaquin comme pour former un petit cocon. Nue elle se glissa sous un drap noir. Elle avait son apparence normale, car Anouvanh pouvait changer de forme pour satisfaire les désirs des partenaires avec qui elle prenait du plaisir. La on retrouvait juste la vraie succube. Un petit minois qui aurait pu avoir l'air innocent si on ne voyait pas ses yeux rouges ressortir et son piercing au labret. Ses cheveux mi- longs glissaient sur son oreiller. Alors que son corps ainsi que ses piercings qu'elle avait aux tétons se collaient au draps. On pouvait également entendre les nombreux bijoux qu'elle portait s'entrechoquer pour résonner dans sa chambre silencieuse.

Anouvanh essayait de chercher le sommeil, quand elle sentie une forte demande de sexe venant des Enfers. Ce n'était pas la première fois qu'elle avait sentie cella, c'était même souvent. La jeune femme c'était renseigné quand même... C'était un homme qui était très proche du Maître des Enfers, qui dirigeait de nombreux territoires et qui avait un fort appétit sexuel. Sauf qu'Anouvanh essayait surtout de chercher des personnes qui avait des difficultés à trouver des personnes pour les satisfaire, des personnes frustrées. C'était bizarre, mais elle savait très bien que ces personnes allaient toujours la rappeler quoi qu'il arrive et n'allait pas la jeter comme une vieille chaussette et la laisser mourir de faim.

Alors Anouvanh, avait aucune envie d'aller avec cet homme, elle n'avait aucune envie de le rencontrer, elle n'avait aucune envie de satisfaire ces désirs. Surtout qu'il pouvait avoir toutes les femmes des Enfers qu'il voulait, elle avait entendu également que c'était un belle homme, tombeur des cours, qui faisait chavirer les dames. Alors, il avait encore moins besoin d'une succube qui essayait tout juste de se faire une place.

La succube, sentait encore cette forte demande de sexe, d'habitude elle passait plus vite. Mais cette fois elle persistait un peu, Anouvanh se disait qu'il allait bien trouver comme d'habitude, elle ne se faisait pas de soucis pour ça. Il avait juste à claquer des doigts pour voir des femmes arriver

Anouvanh ferma alors ses yeux pour essayer de trouver le sommeil et arrêter de sentir les pulsions de cet homme qui la dérangeait.

Même en enfer, il n’était pas aisé de trouver l’objet de tous les fantasmes. Le Grand-Duc avait connu tellement d’amantes, qu’il en avait perdu le goût des choses simples. Lui qui aimait le sadisme et la brutalité, il lui semblait que ses esclaves ne satisfaisaient plus ses besoins. Il voulait quelque chose d’autre, une expérience qu’il pourrait renouveler à l’infini, et qui jamais ne le lasserait.

Il avait entendu parler d’une succube capable de changer sa forme. Mais plus encore, capable de véritablement prendre n’importe quelle apparence. C’était un pouvoir intéressant, qui offrait des jeux amusants. Helel s’y était intéressé de plus près, allant même jusqu’à glaner des informations sur cette femme, auprès des plus bavardes femmes de la cour. Tous et toutes s’accordaient à dire que la diablesse était une expérience inoubliable.

On comparait la langue d’Anouvanh au plus doux des velours, son cul au plus moelleux des coussins, et ses entrailles au plus parfait écrin. A en écouter les habitués, le beau diable s’en était presque retrouvé à bander comme un fou. Mais plutôt que de laisser son imagination l’emporter, il comptait aller vérifier tout cela en personne.

Que la pute le veuille ou non, Helel allait la violer comme la dernière des chiennes, se planter en elle et l’écarteler de son pieu veineux. N’importe quelle créature rodée à l’odeur de la luxure pouvait sentir le musc puissant que dégageait le colosse, alors qu’il arrivait près du manoir où vivait sa cible. Il savait qu’elle attendait sa venue, assaillie par un parfum de désir. Tant mieux.

Helel se moquait bien de la clientèle habituelle d’Anouvanh. Au contraire, l’idée qu’elle ne veuille pas lui céder le confort de ses cuisses moelleuses, avait quelque chose de diablement excitant. Il allait lui serrer le cou entre ses énormes doigts, il allait cracher sur son beau visage, pendant qu’il s’enfoncerait comme une brute au plus profond de sa chatte, et lui raclerait les chairs, plus fort qu’on ne l’avait jamais fait.

Silencieux, le démon toqua à la porte de la chambre. Il n’avait eu besoin d’aucune permission pour pénétrer dans la demeure elle-même, mais comptait bien offrir une surprise de taille à son hôtesse. Une surprise qui croissait entre ses cuisses, et déformait visiblement son pantalon. Il s’impatientait, fou de désir, presque prêt à sortir sa queue immédiatement pour s’assurer de frapper Anouvanh avec, dès qu’il verrait son beau visage.

« Bonjour, jouet. » Grogna le démon en se léchant doucement les lèvres, avant de venir gifler la jeune femme au visage, alors même qu’elle venait de lui ouvrir. « Mhhh, déjà nue ? » Questionna-t-il, haussant un sourcil amusé, glissant sa lourde main sur son sexe, encore prisonnier de ses vêtements. S’il avait su, il ne se serait pas embarrassé d’habits, lui non plus.

C’était une entrée en matière pour le moins étrange, mais c’était absolument ce à quoi aurait dû s’attendre la diablesse, si elle était bel et bien au courant que l’intrus était le fameux Helel. Anouvanh avait un corps de trainée, et le beau diable trouvait qu’il était normal de la traiter ainsi. Il avait envie de lui poser le pied sur le visage, de la mettre au sol et de se vider sur elle, pour commencer. Mais cela attendrait la fin des présentations.

« Je vais te prendre à l’essai. » Murmura le démon. « Tu vas commencer par te présenter. Je t’aurais bien demandé de m’offrir un petit spectacle, mais comme tu es déjà nue, j’imagine que ce sera compliqué. » Il gifla doucement le magnifique visage de sa victime, du revers de la main, avant de venir jouer avec un des piercings qui ornaient ses jolis mamelons. « Allons, sois un gentil petit jouet et fais-moi plaisir. » Il était brulant d’envie, peinant à contenir l’animal en lui, qui lui ordonnait de ruiner Anouvanh.

Anouvanh avait fermé les yeux, essayant d'échapper aux pulsions du démon. Normalement, celle-ci disparaissait assez vite, car il devait se trouver une esclave à fourré et à retourner dans tous les sens. Mais ce soir, ce n'était pas comme d'habitude, les pulsions ne passaient pas et devenait de plus en plus forte. C'était bizarre, vraiment trop étrange. Normalement, les femmes se jetaient à ses pieds simplement pour lui lécher la queue. Enfin c'est ce qu'elle avait entendu dire, car elle ne l'avait jamais vue et elle n'avait pas envie de le voir. Qu'il reste où il vivait...

Alors que la succube remuait entre les draps de son lit à se demander quand elle pourrait bien trouver le sommeil. Elle entendit du bruit, sa venait de toquer à la porte de sa chambre... De sa chambre. Cela voulait dire que quelqu'un venait de rentrer dans sa maison sans sa permission. Anouvanh se redressa d'un bond, totalement nue à côté de son lit, doucement elle s'avança vers la porte, elle n'arrive pas à détecter la présence de la personne qui se trouvait derrière la porte. Et ce qui lui semblait le plus bizarre encore était que la présence du puissant démon avait disparu depuis maintenant quelques minutes. Une simple coïncidence, elle n'y croyait pas. Ce qui se trouvait derrière cette porte ne lui plaisait pas du tout. Mais, elle se décida quand même à l'ouvrir.

Et ce qu'elle redoutait arriva, c'était ce démon qui se trouvait justement dans sa maison.

"Qu'est-c..."

Elle n'eut rien le temps de dire qu'Anouvanh se prit une gifle directement sur le visage. Ne s'y attendant pas, la succube recula de quelques pas manquant de trébucher dans sa chambre. Mais Helel n'en n'avait pas fini avec elle, lui remettant des petites gifles et s'amusant avec les piercings qu'elle avait aux tétons tout en lui sortant un baratin. Quelque chose du genre, elle devait le sentir, que c'était son jouet. La succube n'avait rien à faire de ce démon, ce n'était pas le genre de personne qui l'intéressait, elle n'allait donc en rien le servir, ni lui ouvrir ses cuisses !

"Va te faire foutre !"

Anouvanh redressa la tête regardant le démon droit dans les yeux. Ses yeux rouges étaient remplis de colère. Directement, elle tapa dans les mains de Helel pour lui enlever les mains de sa poitrine.

"Tu vas dégages de chez moi ! Je n'ai rien à faire de toi, je suis ne pas ton jouet..."

C'est à ce moment que la succube leva la main, pour à son tour gifler le démon. Chacun son tour ! Mais Anouvanh devait faire beaucoup moins mal...

"Tu vas retourner chez toi et te taper t'es petites esclaves, tu n'auras pas mon corps !"

Anouvanh tendit le bras vers son lit et son drap arriva jusqu'à elle part le pouvoir de la lévitation. La succube le place devant elle pour cacher un minimum son corps à la vue du démon, lui faisant de nouveau comprendre qu'il n'aura rien d'elle.

"Dégage salope !"

A dire vrai, le beau diable était heureux que sa proie lui résiste un minimum. Il n’y avait pas beaucoup de sensations aussi plaisantes pour lui, qu’un corps délicat et fragile se débattant avec fureur sous ses muscles ciselés. Il aimait lire la peur et la douleur dans le regard de ses amantes. Pour l’instant, il lisait l’agacement, la colère, peut-être une pointe de crainte. A lui de changer cela.

« Tu es bien vulgaire, dire que je vais t’engrosser comme une chienne. » Elle pourrait, après tout, se montrer plus polie envers le père de ses futures enfants. Il sourit, encaissant la gifle sans broncher, souriant même en réponse à cette attaque. Etait-ce là tout ce qu’elle comptait faire pour se défendre ? « Ferme ta gueule. » Il frappa ses seins lourds du plat de la main.

La peau de la succube rougissait admirablement sous les coups de paume, secoués par la violence du choc puis malmené par les gros doigts du monstre, qui tiraient sur les piercings indécents. Elle se défendait sans vraiment le faire. Il fallait aussi dire qu’elle n’avait pas énormément d’options, et qu’elle devait avoir la tête en vrac, si elle était vraiment aussi sensible à l’odeur d’un autre démon.

« Moi aussi, j’ai terriblement faim. » Il lui gifla la gueule une nouvelle fois, et fit passer son bras dans le dos d’Anouvanh tout en lui faisant un croche-pied, l’accompagnant dans une chute sèche au sol. Elle s’accrochait aux draps qui couvraient son corps, donnant au Grand-Duc quelque chose à déchirer. Après tout, ce n’était pas un vrai viol sans arracher du tissu. « Mhhh ! Bon appétit. »

Le bruit du linge de maison cédant sous les énormes paluches du fauve fou, c’était comme une mélodie, le son qui précédait un plaisir sauvage, un plaisir puissant. Il avait déjà vu le corps de la succube, mais le redécouvrait alors qu’il la maintenait allongée, son bassin soudé à l’entrejambe de sa victime. Il l’écrasait de tout son poids pour qu’elle ne puisse pas bouger, et sa main vint lui serrer le cou bien fort.

Il allait la buter sur place si elle continuait de résister. A chaque fois qu’il la sentait se rebiffer, ses doigts exerçaient un peu plus de pression, encore un peu plus. Il espérait qu’elle souffre, il en bandait à mort, ce que pouvait sentir la diablesse, car la bosse inhumaine lui appuyait sur l’entrejambe, au travers du pantalon que portait son bourreau.

« Je vais vraiment te tuer ma jolie. » Dit-il, utilisant son autre main pour l’obliger à ouvrir la bouche, bavant au-dessus de ses lèvres et laissant tomber son crachat contre sa petite langue, qu’elle savoure son goût puissant de mâle en rut. Cette saveur de démon supérieur qui faisait craquer les petites pétasses comme elle, plus encore que le manque d’air. « Fais-moi rouler ces beaux yeux jusque derrière ton crâne. Je veux te voir souffrir. » Il souriait, dévoilant ses crocs blancs de carnivore.

Sa main quitta sa mâchoire, et il se mit à la gifler doucement, lui caressant les lèvres entre chaque tape. Son autre main serrait tellement fort qu’il était difficile pour elle de faire quoique ce soit en réponse. Mais si Helel adorait soumettre ses amantes, il aimait également les voir, les sentir lutter. Aussi longtemps qu’elles le pouvaient. Il se redressa, et plaqua son entrejambe encore couvert de vêtements contre le visage d’Anouvanh.

« Allez, sens-moi bien cette odeur petite pute, ça te fait mouiller ? » Il éclata de rire, s’écartant pour laisser la pauvre trainée lui répondre. Il puait le chibre, le sexe et le mâle excité. Ce parfum était autant une torture qu’un délice pour ses victimes, mais pour une succube comme Anouvanh, cela devait être bien plus l’un que l’autre… « Tu vas bouffer mon foutre, et je vais te laver la gueule à la pisse, qu’est-ce que tu en dis ? » Un programme douloureux.

Anouvanh repoussait à chaque fois les mains indécentes du démon qui venait conquérir sa poitrine, elle n'en voulait pas, elle ne voulait que ce monstre la touche.

"Va engrosser t'es pauvres petites esclaves qui disent amen à tout ! Tu n'as pas besoin de moi pour te faire plaisir !"

Et bien sûr que non elle ne fermera pas sa gueule, surtout pas fasse à lui. A ce démon qui puait la luxure. Il pouvait avoir toutes les catins des Enfers et bien plus encore et ce batard osait ramener son cul ici, dans la demeure de la succube. Le regard d'Anouvanh était noir de colère envers cet intru. Elle répondait à chacun de ces provocations à chaque gifle qu'il lui mettait, elle y répondait avec beaucoup moins de force, mais elle ne se laissait pas faire.

"Je ne coucherais pas avec toi sale chienne, va fourrer ta queue ailleurs ! Tu peux aller..."

Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase, qu'Anouvanh se retrouva au sol. Son dos suivit de sa tête tapèrent son magnifique parquet... Elle lâcha un petit cri alors que pendant un instant le souffle coupé, mais elle s'agrippait fortement à son drap la seule protection qu'elle possédait. Une protection bien nulle... A chier même ! Car en deux secondes, le démon venait de l'anéantir. Ces énormes mains venaient de déchirer le tissu sans la moindre difficulté.

Et à peine en avait-il fini avec le drap qu'une de ses mains lui attrapa la gorge, fortement. Anouvanh se mit à se débattre, ses poings frappaient les bras du démon pour essayer de lui faire lâcher prise. A chaque coup qu'elle mettait l'emprise sur sa gorge se resserrait, la démone poussait des petits bruits de douleur, d'agonies... La force dans les coups qu'elle mettait devenait de moins en moins fort, si bien qu'elle arrêtait pour se contenter de le griffer. Ses ongles aiguisés glissaient sur les avants bras de son bourreau.

Sa mâchoire s'ouvrit alors sous la pression du démon, dévoilant ses petites dents pointues et sa langue percée. Mais, ce n'est pas pour cette raison que de l'air arrivait... Qu'il la tue ! Elle préférait nettement cette option à ce qu'il pourrait bien lui faire si elle restait en vie, car vue comme c'était partie il n'était pas là pour rigoler et pour faire des manières. Il était ici pour la souiller, comme il venait de le faire en lui crachant dans la gueule...  Et même si elle ne pouvait pas résister à sa force, elle n'allait pas lui faire plaisir pour autant. Et pour ça c'était tout simple, Anouvanh ferma les yeux. Il voulait la voir souffrir, il voulait voir dans son regard la terreur, la pitié... Il n'aura rien du tout !  La démone était encore un minimum lucide pour fermer les yeux, une certaine manière de l'envoyer se faire foutre et de se rebeller.

Et c'est à peu près tout ce qu'elle pouvait faire, Anouvanh avait arrêté de le griffer, ses mains étaient juste posées sur les siennes. Les bruits d'étouffements se faisait de plus en plus intense, de la salive coulait le long de sa bouche ne pouvant plus avaler. A chaque coup qu'elle recevait sur son visage, on pouvait la voir se crisper un coup.

Et enfin la libération... Le démon la relâcha s'écartant d'elle. Anouvanh se retourna pour se mettre à quatre pattes, crachant sur son pauvre parquet...

"AHHHHHHHHH... HENNNNNNNNNNNN..."

Anouvanh n'en pouvait plus, elle prenait des grandes bouffées d'air ! Une de ses mains se posa juste au-dessus de sa poitrine par pur reflexe, juste pour pouvoir sentir son coeur battre au fond d'elle. La démone toussa, cracha encore plus fois, et se laissa tomber sur le côté.

"Tu peux toujours aller te faire foutre... C'est moi qui vais te pisser dessus ! Tu pues la mort, le dégoût ! Je ne suis pas comme toutes les esclaves et les salopes que tu as baisé ! "

Cet odeur persistance dans la pièce était une torture pour la démone, déjà quand elle le sentait dans son Palais c'était une horreur, alors à ce moment l'avoir juste à côté de lui bandant à mort c'était immonde ! Son crâne la faisait tellement souffrir, elle avait bien du mal à se concentrer. Oui... Anouvanh aurait bien pu changer de forme pour pouvoir s'enfuir rapidement ou encore se transformer en une vieille grand-mère de 100 ans avec les seins qui tombent, la peau dans le même genre et plein de poils sur la chatte. Mais cela lui demandait quand même pas mal de concentration, c'était impossible en ce moment à cause de cette forte odeur dans l'air.

Elle utilisa par contre un pouvoir un peu plus simple à maîtriser, il fallait juste qu'elle bouge la main... Encore une fois la lévitation et cette fois c'était pour envoyer voler son armoire en bois massif directement sur le démon. Cela ne lui ferait s'en doute pas grand-chose, c'était juste pour faire diversion...

"Tchao petite pute !"

Elle se redressa rapidement, pour franchir la porte de sa chambre nue comme un vers, elle se mit à courir dans sa demeure, essayant de prendre la fuite. Pour aller où ? Aucune idée... Elle voulait pour le moment juste mettre de la distance.

Helel savait à quel point il était difficile, pour une succube, de lui résister. Aussi se faisait-il plaisir, offrant à la putain des opportunités de se noyer dans son parfum mâle. Il lui enfouissait le visage dans ses pectoraux musclés et saillants de sueur, frottait ses abdominaux ciselés contre la bouche d’Anouvanh. Il puait le mâle excité, une odeur nauséabonde qui avait pourtant quelque chose de bestial, quelque chose qui les faisait toutes mouiller comme des chiennes.

Crever lui allait si bien, elle bavait comme une pauvre conne en se faisant étrangler à mort. Helel avait presque envie de la buter de ses gros doigts, tant la vue était plaisante. Mais s’il tuait la chienne, ce ne serait pas avant de l’avoir baisée jusqu’au sang. Il s’apprêtait à extirper sa bonne grosse queue puante et veineuse pour l’enfoncer dans la gorge de sa victime, lorsqu’elle réussit à lui échapper.

Il ne craignait pas de recevoir une armoire dans le dos, mais il dut tout de même s’écarter, les éclats manquant de lui filer dans les yeux, qu’il ferma rapidement. La démone en profita alors, courant aussi vite qu’elle ne pouvait à travers les couloirs de sa maison. Helel grogna. Mais ce n’était pas de la rage, pas de la colère ou de la frustration. Il adorait traquer ses proies. Le pas rapide, il se mit à la suivre, à travers les dédales.

« Hahaha, pauvre conne ! » Hurla le fauve en agrippant la jambe de sa victime, la faisant s’écraser lourdement au sol. Il la tira pour la ramener dans le salon, la laissant griffer le sol si elle y tenait. Il n’y avait pas d’échappatoire. Sèchement, il s’assit sur elle, posant son bassin sur les cuisses de la démone, son entrejambe lui appuyant sur les fesses alors qu’il se penchait sur elle. « Bave, grosse pute, bave bien. » Ordonna-t-il en lui coinçant la gorge au creux de son coude, serrant pour l’étouffer et la crever à petit feu.

Sa grosse queue trouva son chemin entre les fesses moelleuses de sa victime, et il se mit à donner de puissants coups de bassin pour se branler allègrement avec ce cul bien rond. Ses grognements d’aise étaient la preuve qu’il y prenait son pied, sentant le corps délicat de sa victime s’agiter alors qu’il semblait proche de la tuer. Il en avait tellement envie, après tout. Il sentait la bave de cette pute lui couler sur l’avant-bras, et se mit à en rire, gorge déployée.

« Du mal à respirer ? » Demanda-t-il en resserrant son étreinte, faisant probablement se demander à la démone s’il comptait bel et bien la tuer. Et honnêtement ? L’idée lui plaisait diablement. Une prochaine fois, ou plus tard, peut-être. Lui laissant enfin le loisir de récupérer son souffle, il se releva, lui appuyant sur le visage de son pied encore vêtu d’une lourde botte. « Hmf. J’avais envie de me vider les couilles sur ta sale gueule avant de faire ça, mais j’ai tellement envie de pisser. »

Son regard était effrayant, il avait l’air fou, même pour un démon. Souriant un peu, aussi charmeur que pervers jusqu’à l’os, il saisit son sexe d’une main. Les doigts serrant sa hampe et le pouce sur la couronne de son gland, il se mit à pisser allègrement sur la gueule de sa victime, dégageant sa botte juste un petit peu, pour ne pas la souiller et bien arroser la gueule d’Anouvanh de ce liquide brulant. 

« Tu es une si grosse pute que tu dois quand même trouver le moyen d’en mouiller, je parie. » Dit-il en dévoilant son sourire carnassier. Malgré sa tentative de bouger son pied, sa botte avait reçu un peu de jet, et probablement la bave de la succube, un peu plus tôt, il posa la pointe de cuir contre les lèvres de la diablesse, espérant qu’elle avait enfin compris sa leçon. « Nettoie ma botte. Puis nettoie mon corps. » Il désigna ses abdos ciselés dans le béton, avant de passer sa lourde main le long de son sexe à moitié érigé.

Anouvanh courrait aussi vite qu'elle le pouvait, mais avec toute cette odeur immonde c'était impossible pour elle d'être au top de sa forme. Elle avait mis sa main devant son nez et sa bouche pour atténuer se qu'elle sentait, mais alors qu'elle avait manqué de se faire étouffer ça ne l'aidait pas vraiment dans sa démarche. Et surtout, elle ne faisait pas attention à ses arrières. Le démon était derrière elle, juste derrière elle... Si bien qu'il lui attrapa la jambe en pleine course.

La succube tomba dans la tête la première sur le sol qui rebondit à deux reprises, sur le magnifique parquet en bois massif ! Pendant, quelques secondes elle perdit la notion du temps, le choc avait été quelque peu violent. Anouvanh était une succube qui ne se battait jamais, elle endurait presque tout niveau sexe, mais niveau baston c'était zéro. Cette chute de sa hauteur venait parfaitement de le démontrer. Le temps d'inconscience qui ne dura que quelques secondes étaient déjà beaucoup trop. Le bourreau de la succube eut le temps de la trainer au salon pour ensuite se mettre confortablement assise sur elle.

Le temps qu'elle retrouve ses esprits c'était déjà trop tard. Le démon était en train de nouveau de l'étrangler, il avait passé son creux de coude sous son cou, il ne restait plus cas serrer.

Anouvanh planta ses ongles dans les bras de Helel, essayant de tirer dessus alors qu'elle voulait reculait sa tête. Mais impossible de s'échapper de son emprise, de sa poigne qui lui serait le cou. La bouche grande ouverte pour trouver de l'air, elle poussa des petits bruits ressemblant à des grognements. La démone se mit à se débattre, essayant de bouger le reste de son corps pour s'échapper, ce qui faisait que diminuer son oxygène, encore plus vite. Son visage changeait de couleur. De la bave coulait au coin de ses lèvres en abondance, alors que ses yeux commençaient à se retourner. Ses bras vinrent par lâcher prise tombant au sol lourdement. Elle n'était pas morte, non, elle était juste à deux doigts de perdre connaissance. Des bruits étranges continuaient de sortir de sa gorge. Pouvoir respirer, aspirer de l'air, voilà tout ce qu'elle voulait faire. Si bien qu'elle n'avait même pas sentie le démon se branler entre ses fesses.

Et d'un coup la libération ! L'air remplit brusquement ses poumons.

La tête d'Anouvanh était contre le sol, elle toussa plusieurs fois, se recroquevillant sur elle, posant ses mains sur sa poitrine, sentant son coeur taper à l'intérieur. Mais pas le temps de se reposer, ni même de reprendre totalement ses esprits, encore dans le flou Helel vint lui écraser le visage avec son pied l'immobilisant au sol. Vue son état ce n'était pas très dur. Elle avait du mal à comprendre ce qu'il lui racontait, son esprit encore dans un autre monde, les dents serrées elle réussit quand même à enchainer quelques mots.

"Sale fils de pute... Va crever..."

Les insultes que la succube balançait aurait pu continuer pendant encore un moment, quand elle reçut sur son visage du liquide chaud, brulant. C'est à cet instant qu'elle venait de comprendre ce qu'il lui avait dit juste avant... Anouvanh essaya de reculer sa tête, mais la pression du démon était trop importante et plus elle essayait de s'échapper plus il appuyait.

La succube ferma alors les yeux et se pinça les lèvres pour que rien ne coule dans sa bouche. L'odeur était horrible, le liquide filait sur son visage n'épargnant aucun recoin, surtout qu'une partie de sa tête celle contre le sol baignait dans l'urine. Pourquoi Anouvanh ? Pourquoi venir la faire chier ainsi ? Elle bouillonnait dans la tête dans la pisse, elle souffla un bon coup quand le démon eu finit envoyant des gouttes un peu partout.

Le jeu du démon n'était pas fini, il voulait à présent lui faire lécher sa botte... Il espérait qu'après tout cela Anouvanh était devenue une petite chienne bien gentille, qui dirait oui à tout. Il ne la connaissait pas et surtout il avait trop pris l'habitude de ces petites puputes de bas étage dans sa demeure qui écartaient les cuisses à toutes les heures.

Anouvanh redressa un peu la tête approchant son visage contre la botte du démon, comme-ci elle allait venir lui lécher. Puis s'en prévenir, elle passa sa main dans la flaque d'urine pour venir éclabousser Helel. Juste le bas de son corps reçu de l'urine, elle aurait aimé au moins viser son visage, mais vu la position qu'elle avait elle ne pouvait pas vraiment. Pis le principe était présent, elle n’allait rien nettoyer du tout.

"Va te faire foutre ! Je ne vais pas mouiller face à une tarlouze comme toi. Et tu peux lécher ta pisse tout seul..."

La succube se redressa un peu, restant assise, son buste était à peu près droit, sa tête partait un peu en avant. L'étranglement laissait encore quelques traces.

Helel sourit face au pathétique brin de résistance que put lui opposer Anouvanh, rendue presque immobile par la douleur et l’épuisement. Si seulement elle avait pu imaginer ce qu’il lui restait à subir. Dans les yeux du démon dansaient des flammes plus ardentes encore qu’à sa venue. Loin de le dissuader, sa victime l’avait excité, comme une souris se tortillant sous la griffe d’un chat.

Il lui agrippa la tignasse, ancrant ses gros doigts dans sa chevelure soyeuse. Sans l’ombre d’une once de douceur, il flanqua le visage de la succube contre sa bite. Elle avait la gueule enfouie contre la toison pubienne de son bourreau, qui s’amusait à lui presser sur les lèvres de sa grosse trique, parcourue d’une puissante veine, qui pulsait d’impatience.

Sa queue sentait la transpiration, le foutre et la pisse, un parfum qui s’étalait sur la bouche moelleuse de la jeune femme, qui violait son odorat. Helel poussait des soupirs rauques, giflant les joues de sa victime entre deux gémissements de satisfaction. Ses fesses musclées se contractaient au rythme de ses ondulations du bassin, tandis qu’il se branlait avec la gueule d’Anouvanh, bandant de plus en plus à mesure qu’il torturait sa victime.

« Je vais vraiment te tuer si tu n’ouvres pas la bouche… C’est ce que tu veux ? » Il la gifla de son gros sexe, qui devenait décidemment bien dur. Il n’avait pas l’air de bluffer, pinçant bien fort le petit nez de sa victime, attendant la moindre petite ouverture pour s’enfourner dans cette gorge bien serrée. Pas besoin de connaître la diablesse de longue date pour se douter qu’elle tenterait de mordre. Bon courage. « Ne vomis pas sur ma queue. »

Ce conseil, qui avait plus le ton d’un ordre, fut accompagné d’une violente poussée dans la gorge de la succube, lui ravageant les chairs alors que le beau diable trouvait sa place tout au fond de sa bouche. Il était confiant : sa paume s’écrasa sur le front de la diablesse, infusant un peu de magie dans son esprit. Elle était encore parfaitement consciente de ce qui lui arrivait, mais incapable de faire autre chose que résister mollement.

Ce n’était pas douloureux, tout du moins pas directement. Plutôt, c’était assez similaire au fait d’être complètement ligoté. Elle ressentait tout et pouvait tenter de repousser le démon, mais elle n’avait simplement aucune force, et sa mâchoire ne lui répondait plus. Puis, cette même main qui l’empêchait de mordre, la guida dans un brutal viol de sa gueule, Helel prenant visiblement un malin plaisir à défoncer la mâchoire de sa victime.

« Si tu n’es pas foutue de survivre à ça, tu peux crever. » Ajouta le beau diable en étouffant sa proie, prenant un malin plaisir à la crever à petit feu, son gland lui déformant la gorge et la privant d’air. Il la trouvait encore plus belle avec les yeux révulsés, alors qu’il la marquait enfin de son odeur entêtante de mâle, alors qu’il lui baisait la gorge sans aucune pitié. Qu’elle en meure, la salope.

Ses coups de bassin étaient secs, rapides. Il sentait, entendait même ses couilles taper contre le menton de la jeune diablesse, et il sentait sa bave lui couler sur le bas-ventre. Il s’amusait plus que de raison à l’étouffer dans sa toison pubienne, tout en la faisant gargariser son gland intrusif et violent. Cette démonstration de force s’arrêta cependant, pour qu’Helel puisse entendre toute la haine de sa victime.

« Tu as sali mes grosses couilles, sale pute ! » S’énerva le beau diable en extirpant sa superbe queue d’entre les lèvres moelleuses et appétissantes d’Anouvanh. Il n’avait pas tort, la chienne avait bavé comme une répugnante truie sur les couilles du Noble, le faisant rougir de colère. Violemment, il la gifla, lui arrachant une pointe de sang à la commissure des lèvres. « Lave-les ! Lave-les, sale truie ! Avant que je te baise le visage jusqu’à t’en faire mourir ! »

Anouvanh avait les yeux fermés alors que le démon lui écrassait sa queue contre le visage. Elle poussait que des grognements, n'ouvrant pas la bouche ne voulant pas ouvrir une porte vers sa gorge. Mais son bourreau ne voulait pas de résistance, au point de la menacer de la tuer. Il ne pouvait pas la tuer, il avait trop envie de la violer vivante ! Et pas un cadavre. Ce n'était que des paroles en l'air pour Anouvanh alors autant résister le plus possible, ne pas céder. Elle sentie la main du démon, lui pincer le nez, l'empêchant de respirer. Plusieurs secondes s'écoulaient avant qu'elle décolle ses lèvres pour prendre sa respiration. Elle voulait faire vite, bien sûr ce n'était pas assez... Le démon était sur l'oeil qui vive, à peine ses lèvres venaient de s'ouvrir il força le passage.

Cette grosse queue, qui pulsait ouvrit la mâchoire de la succube pour se loger bien au fond directement. Anouvanh le frappa son bas-ventre avec ces mains tout en lâchant des bruits d'étranglement. Elle avait l'habitude de faire des gorges profondes, mais ce n'était pas aussi brutale, ce n'était pas aussi violent et elle était consciente c'était elle qui gérait le jeu. Là c'était un peu comme une surprise, ne pensant pas qu'il allait aller directement se fourrer aussi loin. Et pour combler le tout il posa sur Anouvanh un sort l'empêchant de se défendre, l'empêchant de lui bouffer la queue et non avec amour et tendresse. Lui arracher avec les dents et le faire souffrir. Pourtant, a cet instant son corps ne répondait plus, elle n'arrivait pas à serrer sa mâchoire.

Molle, Anouvanh était molle...

Les coups violent du démon lui défonçaient la mâchoire enchainant les gorges profondes. Il l'étouffait. Prenant un malin plaisir à le faire. Les mains de la succube étaient posé sur les cuisses du démon voulant le faire reculer, mais il en était pour elle juste impossible. Ce n'était qu'une poupée de chiffon, qu'un simple objet, qu'un trou à baiser. Et c'est ce que le démon était en train de lui faire, il lui baisait la gueule, la rabaissait au rang de chienne.

Aucune pitié, aucune compassion.

Il l'étouffait contre sa toison. Son gland bouchait la gorge de la succube la privant d'une arrivée d'air. Ses yeux se révulsait à chaque fois qu'il restait trop longtemps au fond d'elle, ses joues étaient rouge écarlate. De la bave coulait le long des commissures de ses douces lèvres pulpeuses. Dégoulinant sur le démon quand il venait se coller à elle et sur elle quand il reculait. Des longs bruits étouffés sortaient de la bouche d'Anouvanh. Ne pouvant les retenir, montrant sa souffrance.

Et d'un coup la libération ? Non.

Bien sûr que non. Le démon n'allait pas en avoir fini avec elle. Car ce n'était pas avec des gorges profondes de la sorte qu'Anouvanh allait crever... Il lui en fallait quand même bien sûr. Ce qui allait profiter au démon pour s'amuser encore avec.

Et justement son jeu allait continuer. Pour la succube ce n'était qu'un cauchemar. Il lui colla une droite alors qu'elle reprenait son souffle après ce qu'elle venait de subir. Crachant de la salive sur le sol, se tenant le dessus de la poitrine. Sentant son coeur battre à 100 à l'heure, comme s'il allait bientôt exploser. Et maintenant, il lui demandait de lui laver les couilles. L'insultant de truie au passage, mais ce n'était qu'un détail parmi tout ce qu'il venait de lui faire.

Anouvanh tourna de nouveau de sa tête en direction du démon, ou plutôt en face de cette verge tendue vers son visage. Son regard était un mélange remplit de haine et de vide car elle avait un peu de temps à reprendre ses esprits. La succube resta plusieurs secondes s'en rien faire... Avant de cracher un coup sur cette queue, un mélange de sang et de salive.

"Hen... Va te faire foutre... Hennn..."

La succube n'allait rien lâcher, ce n'est pas parce que le démon lui avait pisser dessus et lui avait violer la bouche dans la dernière salope qu'elle allait lui lécher les couilles s'en rien dire. S'il voulait quelque chose de sa part dans tous les cas faudra la forcer.

Elle avait encore du répondant. Helel commençait à comprendre qu’il ne suffirait pas de quelques violences pour que la succube abandonne. Qu’à cela ne tienne, cependant. Car le beau diable aimait tout autant les viols bien brutaux que de soumettre calmement ses victimes.

Loin d’être dégouté par le sang qui maculait sa queue, Helel se mit à se branler doucement, entretenant la furieuse érection que lui avait donné Anouvanh. Pas besoin pour elle d’être coopérative, au contraire. Helel commençait à devenir accro, frissonnant de plaisir à chaque gifle, à chaque violent coup de poing. Et en parlant de coups de poing…

« Debout. » Ordonna le démon, ancrant sa main dans la belle chevelure souillée de sa proie. Sans se soucier de lui faire horriblement mal, il la souleva, la remettant droite sur ses jambes. « Joli ventre, tu as même du muscle par ici. » Dit-il en souriant légèrement, alors qu’il fermait et serrait son poing. Comme elle pouvait s’y attendre, la succube reçut un puissant coup sur le ventre, Helel restant fiché contre ses abdominaux, tournant légèrement le poing. « Aaaah, c’est presque aussi bon que de te baiser la bouche. » Soupira-t-il. Il y prenait vraiment du plaisir.

Tellement de plaisir qu’il vint la frapper une deuxième fois, l’obligeant à courber l’échine sous la violence du choc. Puis, il la lâcha, la laissant s’écraser mollement au sol, une nouvelle fois. Elle pensait pouvoir lui résister, mais elle ne faisait qu’attiser sa méchanceté, ses instincts de prédateur. Helel, qui bandait toujours comme un animal en rut, la retourna brutalement, s’offrant une vue imprenable sur le cul de sa victime.

« Je vais te faire tellement mal, ma chérie. Tellement mal que tu me supplieras de t’achever. » Souffla-t-il, la voix teintée de son excitation. Il prit place derrière la démone, son sexe appuyant fort contre l’anneau de son petit cul, poussant avec insistance. « Ne résiste pas. Je vais rentrer. Quoique tu fasses. » Il avait légèrement atténué la force de son emprise magique, permettant à Anouvanh de se débattre légèrement, mais pas de fuir.

Helel sentait à quel point son amante ne voulait pas qu’il la pénètre. Il faisait exprès de rater, de glisser contre son cul et sa petite raie, comme s’il ne parvenait pas à s’enfoncer en elle. Son sexe était encore luisant de salive et de sang, bien lubrifié pour pouvoir s’enfoncer dans le cul de la diablesse. Le démon vint même cracher avec dédain sur l’anus d’Anouvanh, faisant glisser son majeur contre pour bien étaler sa salive.

« Je vais te casser le dos, pétasse. » Dit-il, appuyant de ses grosses mains contre la colonne de celle qu’il convoitait, l’obligeant à se cambrer plus que n’importe quelle humaine l’aurait supporté. Puis, enfin, il enfonça les premiers centimètres de son sexe, non sans difficulté. « Mhhhh, bien serrée ! Je vais changer ça, ma beauté. » Il donna un puissant coup de reins, s’appuyant sur le dos et le crâne d’Anouvanh, lui écrasant contre le sol.

Helel poussa un rugissement de plaisir, alors que son aine venait toucher les fesses de la petite pouffiasse. Il avait réussi à s’enfoncer dans son cul d’une traite, et il espérait que sa victime en souffrait autant qu’il en tirait du plaisir. Le beau diable délaissa le dos de la diablesse, un instant, pour venir gifler son cul avec violence, tandis que son bassin heurtait répétitivement les fesses de la petite pute.

« Aaaah, tu pues le sexe, tu pues la chienne ! » Affirma le démon en se penchant sur Anouvanh pour humer son parfum. Ironique, car il puait le mâle et le sexe, une version plus odorante encore de ce parfum qui avait rendu la succube folle, qui l’avait empêché de dormir tout ce temps. « J’aime cette odeur… Et te faire mal. » Dit-il, serrant son petit cou avec ses gros doigts.

Anouvanh cracha ensuite sur le sol, sur son beau parquet en bois, étalant de la salive et son sang… Toujours aussi molle, elle essayait de se redresser, de prendre des appuies, mais elle avait du mal à se mouvoir, a bouger son corps qui semblait si lourd. D'un œil, elle faisait attention à ce démon, il se branlait entretenant sa trique… Ou c'était pour qu'elle puisse admirer cet atout puissant, qu'elle n'oublie jamais ce cauchemar !

Quelques instants après, il lui ordonna de se mettre debout, si elle pouvait Anouvanh l'aurait déjà fait pour partir d'ici le plus loin possible. Lui attrapa sa crinière souillée, il la redressa sur ses jambes… Elle tenait à peine debout, vacillante sur les côtés, d'avant en arrière.

"Sale chien !" Le regard noir, elle le fixait dans les yeux, serrant les dents, grognant comme une lionne, même si elle n'en n'avait pas la presentence à ce moment.

"HMMMMF…" Anouvanh retenue un cri, lorsque le poing d'Helel arriva dans son ventre. Sa mâchoire se contractant, laissant apparaître ses tendons le long de sa gorge. Elle prit de forte inspiration, ne décrochant pas un mot, ne sachant pas ce qui pouvait sortir de sa bouche à ce moment… Ce démon serait trop heureux de l'entendre crier comme une fille en pleure. Anouvanh se retenait aussi fort qu'elle le pouvait, elle réussit à serrer les poings alors que ses bras ballottaient le long de son corps.

Un deuxième coup arriva, son buste se brisa en avant, alors qu'elle se retenait toujours de crier… Le goût rude, du métal qui était dû au sang remplissait sa bouche, coulait le long de son menton avec sa salive faisant des petites bulles.

Et elle tomba sur le sol, le buste en avant, c'est son doux visage souillé qui percuta le parquet en premier. Suivit du reste, qui s'écrasa avec violence… À plat ventre, la succube souffrait le martyre, elle profita d'avoir la tête contre le parquet pour libérer des expressions de douleur sur son visage. La commissure de ses lèvres pointant vers le bas, ses yeux se fermant légèrement comme si elle cherchait à retenir des larmes.

Anouvanh sentie les grosses mains du démon la redresser, la mettre en place, les fesses bien en l'air tendues dans sa direction… La succube savait très bien ce qu'il allait arriver… Helel ne lui laissait aucun instant de repos, voulant la briser, enchaînant les marques de domination.

"Fait ton plaisir ! Je suis sûr que je sentirai rien de toute façon avec une queue aussi petite !!" La voix de la succube était vacillante, plus faible qu'au début.

Anouvanh sentis alors qu'elle pouvait bouger de nouveau, essayant de se redresser de prendre appui sur ses mains pour redresser son buste. Ses jambes, elles ne voulaient toujours pas avancer, ses genoux plantés dans le sol ! Impossible de fuir, même en rampant.

"Tu n'y arrives pas ou tu ne trouves pas ta queue ?" La succube continuait dans les provocations, au point ou elle en était ca n'allait rien changer de toute façon, son sort était scellé… Autant en profiter pour essayer de l'humilié. De le blesser dans son ego surdimensionné.

Anouvanh le sentait dans son dos, la percuter, essayer de rentrer, lui cracher dessus, la souiller encore un peu plus… Quand allait tomber le couperet ? Les secondes semblaient durer des minutes, les minutes des heures… Sa voix grave résonnait dans sa tête, lui retournait le cerveau.

Helel la força à se cambrer, appuyant sur sa colonne vertébrale, faisant durer encore un peu le suspense… Et d'un coup, accompagné d'un râle puissant, le démon s'empalla dans son anus, écartant les chaires, écrasant son visage contre le sol de toute sa force, la bloquant, l'empêchant de bouger.

Ne pas crier…

Serrer les dents…

Ne pas faiblir…

"AHHHHHHH !!! ARGGGGHHHHH !!"

IMPOSSIBLE !

La douleur était trop importante pour la contenir, Anouvanh avait l'impression qui venait de déchirer ses fesses sous son passage. Elle ne pouvait plus se contenir hurlant sa douleur, à la mort ! Des larmes coulèrent le long de ses joues, incapable de les retenir, ne les sentant même pas… La douleur remontant le long de sa colonne vertébrale était bien trop présente, pour penser à ces futilités.

Serrant les poings contre le parquet, Anouvanh ne bougea même pas quand le démon lui libéra le crâne, restant étaler de tout son long, les fesses en l'air, se faisant percuter et continuant de crier sa douleur quand il venait s'enfoncer au plus profond de son anus.

"Crève…" Entre un hurlement, elle venait quand même de lui dire le fond de sa pensée…

Simplement…

Un mot…

Avant que les hurlements de douleur, bercent de nouveau la pièce.

Helel avait rarement pris autant de plaisir à brutaliser une femme. Sans doute une humaine serait-elle déjà morte sous ce traitement, mais les succubes étaient bien plus solides que ça. Il allait pouvoir bien s’amuser avant qu’Anouvanh lui claque entre les doigts. Car il y comptait bien, si elle ne se soumettait pas.

En tous cas, elle avait bien un cul de succube. Salive et sang avaient suffis à ce que le démon s’enfonce d’un coup brutal entre les fesses rebondies de la diablesse, et Helel n’avait pas attendu un seul instant pour commencer à lui briser le bassin. C’était à se demander si le beau diable cherchait à se faire autant plaisir que possible, ou s’il cherchait à faire aussi mal que possible à Anouvanh.

« Meurs salope, meurs ! » Grondait-il en donnant de superbes coups de reins, projetant tout son corps musclé sur la fragile petite forme qu’il enculait avec haine. « Ah ouiii ! Serre bien ton petit cul pendant que je te bute ! »

Les énormes mains du colosse étranglaient cruellement la pétasse mal léchée. Heureusement qu’elle n’avait pas les mêmes besoins respiratoires qu’une humaine. Elle hériterait très certainement de beaux bleus, en tous cas. De quoi donner un beau ton à son cadavre inanimé lorsqu’Helel en aurait fini avec elle.

« J’ai vraiment… Envie que tu me supplies de te tuer. » Elle ne méritait que ça. Se refuser ainsi à un Grand-Duc des Enfers, pour une petite conne de démone insignifiante comme elle, c’était un affront irréparable ! « Tiens espèce de truie ! » Il lui donna gifle sur gifle, l’étranglant encore d’une main.

Et pendant ce temps, son bassin n’arrêtait pas d’écraser celui de sa victime, le bruit ressemblant à un craquement plus qu’un claquement. Le sol entier semblait vibrer tant le géant défonçait le corps svelte d’Anouvanh. Mais il n’allait pas se contenter de ça, non.

« Je pourrais jouir en toi pour te rendre folle d’extase, te rendre accro à mon odeur et ma violence. » C’était la vérité, et elle devait bien le savoir. Elle qui n’arrivait pas à dormir sans tremper ses draps de désir, alors que l’odeur du Grand-Duc lui chatouillait les narines. Mais elle devait bien se douter également d’autre chose. « Mais je veux que tu détestes ça aussi longtemps que possible. »

Pas d’orgasme. Le monstre se retira aussi sec du cul bien bourré qui lui était désespérément présenté. Helel fit mine de viser la petite gueule d’amour d’Anouvanh, mais son foutre crémeux et chaud n’atterrît que sur le sol, à quelques millimètres des lèvres pulpeuses de la diablesse.

« Envie de nettoyer le sol, torchon à foutre ? » Il posa son pied sur le crâne de la jolie succube, une humiliation qu’il semblait tout particulièrement apprécier infliger. « Je parie que tu aurais beaucoup moins mal, comme ça… » Pour accentuer ses dires, il donna une énorme gifle sur le beau cul de la salope, de sorte à la faire hurler.

Ce nectar démoniaque transformerait la pire douleur en intense plaisir, une échappatoire lâche et tentante. Mais Anouvanh pouvait se douter de ce qu’impliquerait de lécher le sol ainsi, alors même qu’elle voulait lutter. Lutter contre la douleur, contre le plaisir, et contre l’enfoiré qui la torturait avec dévotion.

« Je vais couper ta chair pour y inscrire ma marque. Marquer ta peau au fer blanc avec mes initiales. Percer ton corps et y poser mes chaines. Tu ne seras qu’un objet. » Il souriait, affectueux et le regard plein de douceur. Oui, lorsqu’enfin cette succube serait sa chose à lui, il pourrait lui accorder un peu de tendresse. « Alors, est-ce que tu vas lécher ? Je parie que oui, je sais reconnaître les petites pétasses pathétiques. »

Si elle refusait, la salope pouvait sentir le châtiment qui l’attendait : de son cul, Helel était passé sa petite chatte, l’observant calmement en lui tenant les hanches d’une poigne d’acier. Il guettait la désobéissance, prêt à faire goutter à la chatte d’Anouvanh un goût tout frais de douleur.

Le corps d'Anouvanh glissait contre son magnifique parquet en bois ciré, étalant sa sueur, elle n'arrive pas à trouver un appuie pour se retenir, pour essayer de contrôler la situation. Ses mains glissaient, ses genoux également, juste son gros cul restait en l'air tenu par cette queue qui le brutalisait. Les piercings à ses tétons restaient coincés dans les nœuds du bois, tirant sur sa poitrine, augmentant la douleur qu'elle essayait tant bien que mal à supporter. Chaque os de son corps semblait se briser sous le poids du colosse, comment sa colonne vertébrale arrivait à supporter cette pression ? Comment sont mental arrivait encore à tenir la route, ne pas sombrer dans la folie, se faire dévorer par la douleur, se concentrer pour rester un minimum lucide dans cet environnement.

Qui ne faisait que s'enfoncer de plus en plus dans les méandres des Enfers. Toujours plus profond.

Les mains du démon venaient serrer le cou de la succube, appuyant de tous ses forces dessus. Les cries avaient laisser la place à des gargouillis, une mélodie pleine de perversité ! Sa bouche restait ouverte malgré tout, sa salive s'échappant le long de la commissure de ses lèvres, ses yeux rouges se retournant petit à petit ne laissant la place cas une petite lueur brillante. Une des mains de la démone se posa sur les doigts du Diable, essayant de les attraper de les retirer, tapant dessus pour le faire lâcher prise, se griffant elle-même le visage au passage. Ce n'était rien comparé à ce qu'elle ressentait.

A ses oreilles un vrombissement important, mélangé avec les insultes du Duc et les craquements de son corps qui ne cédait toujours pas. Le corps d'Anouvanh lâchait petit à petit, préférant couper certains de ses sens pour se concentrer sur d'autres... L'ouïe, l'odorat, la vue... Étaient presque coupés, laissant la place au toucher ! À cette queue dans son fondement qui écartait toujours autant ses chairs, déformant son ventre, tirant sa peau. Les grosses couilles du démon martelaient en rythme sa petite chatte, se retrouvant couverte de mouille, éclaboussant les cuisses de la pauvre chose, qui n'était plus rien entre ses mains meurtrière, ce corps colossale, étouffant !

Et la libération tomba alors, le corps d'Anouvanh bascula sur le côté, s'étalant de tout son long, son cul encore bien ouvert, si sensible à cause de la douleur. La succube porta ses mains tremblantes à son cou, se recroquevillant légèrement, toussant plusieurs fois... Sa vue semblait revenir ainsi que son odorat. Cette odeur juste à côté de son visage. Le foutre chaud du démon qui se déversait.

"Sal.. Sal..." Sa gorge lui faisait si mal, comme écraser, sa voix enrouée n'arrivait pas à sortir pour finir cette simple insulte.

Le pied du Diable lui écrasa la tête, son visage se déforma contre le sol, ses lèvres pulpeuses formaient un ovale alors que sa mâchoire se mit à craquer sous la pression et quand elle se mit à hurler de douleur sous cette claque fulgurante sur son cul si douleur.

Helel, lui laissait à présent le choix... Faire disparaître toute cette douleur en nettoyant son sperme ou continuer sur le chemin de la destruction. Anouvanh, haletait comme une chienne, elle ne pouvait plus. Ses deux billes rouges fixaient cette crème juste devant elle. La libération, elle devait juste tirer la langue pour avoir le droit à un peu de repos. Pouvoir bouger, ne plus avoir mal et apprécier tout ce qui se passait. Le Colosse lui annonça le programme qui l'attendait... Des marquages, entailler sa peau, la brûler, lui imposer des chaînes... Tout cela n'était là que pour faire céder la succube, lui retourner le cerveau ! Lui montrer qu'aucune autre échappatoire n'allait s'offrir à elle et que c'était sa seule chance de ne plus souffrir.

Anouvanh fit glisser son bras sur le sol, en direction de la semence du Duc, elle laissa sa main tomber dedans et rapidement elle la releva en direction de son bourreau.

"Salaud !" Lui envoyer son propre sperme au visage, le souiller à sa façon avec les moyens qu'elle avait, si pitoyable... Et surtout, c'était le signe de son refus ! Ne pas céder à la facilité, ne pas lui appartenir même si elle devait subir les pires atrocités... Son corps était déjà à la limite du point de rupture, son mental n'était pas mieux.

La succube semblait forte, mais au fond d'elle, une petite voix lui avait dit de lécher cette crème odorante ! Elle avait dû combattre ses démons intérieurs pour ne pas céder, ne pas s'offrir à Helel !

Il allait devoir encore la travailler au corps, s'il voulait qu'elle devienne une bonne chienne…

C’était terriblement amusant. Helel se sentait comme un loup en train de traquer un petit lapin dans les détours d’une forêt. Il prenait un malin plaisir à lui faire ressentir de la peur, de la colère. Et bientôt, il mordrait sa petite nuque, l’achevant avant de se repaître de sa chair.

« Je le sens, tu sais. » Gronda la bête sauvage en inspirant un bon coup, avant d’expirer lentement, frissonnant de plaisir. « Je sens à quel point tu aimes ça. Ce nez ne ment jamais, petite pute. Tu es juste un sacrifice pour mon plaisir, et ça t’excite à mort. »

Malgré ses paroles, le beau diable pensait réellement que la petite putain allait céder, sous le coup de l’excitation ou de la peur. Mais il n’en fut rien. Plutôt, elle lui envoya sa semence au visage. Helel ne chercha pas à l’esquiver, grognant simplement en essuyant son propre foutre qui lui était arrivé sur la joue.

« Content de voir que tu choisis la voie de la douleur. » Dit-il en essuyant ses doigts dans les beaux cheveux déjà poisseux de la succube. « Je vais te donner un petit cadeau, pour te féliciter de ce choix. » Un instant de silence, un moment de répit alors que le Grand-Duc ôtait son pied du visage d’Anouvanh.

Si la diablesse tournait la tête, elle pouvait voir les doigts du monstre devenir des griffes acérées, semblables à des lames de faucille. Helel s’amusa à faire tinter ses nouveaux doigts métalliques les uns contre les autres, souriant d’une façon malsaine. Puis, il posa son étrange index juste au-dessus des fesses de la démone, commençant à la marquer.

« Dis-moi ce qui est le plus douloureux. » Minauda le monstre, alors que sa queue démesurée s’enfonçait dans la petite chatte d’Anouvanh. « Ahahaha, tu mouilles ! Tu mouilles espèce de pauvre conne ! Putain de masochiste ! » La main gauche du démon, elle aussi devenue griffue, agrippa la taille de la pute, enfonçant légèrement les pointes acérées de ses griffes dans sa chair. Mais aucune cyprine n’aurait pu rendre l’insertion de ce sexe inhumain moins douloureuse.

D’autant plus que le Grand-Duc n’avait pas à l’idée d’y aller doucement. Les claquements humides de son bassin contre le cul d’Anouvanh retentissaient déjà dans la maison, couplés aux râles du beau mâle, qui faisait bien savoir à la succube et à tous ses voisins qu’il prenait son pied. Et des compliments ne cessaient de quitter sa bouche, allant de « salope » à « vide-couilles » en passant par « ma petite masochiste ».

A un moment, le monstre s’enfonça au plus profond dans les entrailles de la diablesse, restant en elle en sentant qu’il forçait contre son col, cherchant à pénétrer même cette partie de son corps. Et peu lui importait qu’Anouvanh en souffre. Au contraire.

« H-E-L-E-L » Souffla le noble en inscrivant ce nom dans un langage runique, juste au-dessus des fesses de la jeune femme, comme on lui aurait dessiné un tatouage provocateur. Le sang coulait avec abondance, alors qu’Helel prenait son temps pour graver son nom, recommençant de longs mouvements appuyés du bassin. « Tu résistes parce que… HMF ! Parce que tu aimes souffrir ! » Il commençait aussi à gémir et frémir de plaisir, son bassin tremblant d’extase en éprouvant l’étroitesse moite de la petite succube.

Il aurait pu jouir en elle, répandre sa haine, son foutre, mais surtout sa magie insupportable dans les entrailles d’Anouvanh. Mais elle se serait cassée encore plus vite. Il ne voulait pas user de stratagèmes ou de magie, plus maintenant. Il voulait qu’elle le supplie, qu’elle réclame encore plus de douleur.

Un cadeau empoisonné oui ! La succube ne savait pas ce qui allait lui arriver, mais ça n’allait pas être des plus délicats venant du Duc et de son esprit pervers… En tant normal, la Diablesse se serait moquée en jouant sur la taille de sa queue par exemple ou en trouvant une bonne réplique, mais en ce moment elle n’en avait pas la force. Lutter contre son être intérieur et contre cet ogre était déjà assez épuisant… Abominable. Même quand il retira son pied de sa figure. Elle pouvait encore sentir son poids peser sur elle, l’écraser encore et encore… Réunissant ses forces, elle tourna sa tête dans sa direction. Pour y voir des griffes acérées… C’était quoi déjà cette comptine que l’on chante dans le monde des humains…

Un, deux, Freddy te coupera en deux… Trois, quatre, remonte chez toi quatre à quatre… C’était assez approprié au moment présent, sauf que je ne pouvais pas aller me cacher sous mon lit. J’étais déjà prise au piège, ne pouvant que subir ce qui allait arriver. Une griffe froide se planta dans sa peau brûlante, le contraste poignant… Mais quand même moins que la douleur qui venait de remonter le long de ma colonne vertébrale jusqu’au milieu de mes omoplates. Suivi de cette queue si longue, si grosse. La chatte étroite de la succube détaille chaque millimètre. Le gland chaud gonflé écarte les chairs, montre le chemin au reste, elle peut sentir même les veines racler son intérieur.

“HENNNNNN…SALAUD……”

Serrant les dents, Anouvanh ne pouvait s’empêcher de crier, de respirer comme une chienne, inspirant par la bouche et soufflant par le nez… De la salive sortait de sa bouche pour couler sur son menton. Elle essayait de se redresser et tombait à chaque fois au sol, son visage claquant contre le parquet… Elle ne pouvait pas lutter, elle n’avait pas la force… Sa tête serpillière à pisse, à foutre, à bave… Sa si belle chevelure était poisseuse, dégoulinante de tous les fluides présents jusqu’à présent. Elle n’était qu’une épave.

Qu’une chienne…

Son gros cul tendu claquait contre le bassin du Duc, sa chatte contractée permettait à son bourreau de prendre encore plus de plaisir, alors que ses grosses bourses claquaient contre son clitoris avec force. S'imprégnant de sa mouille qui ne s’arrêtait plus de couler.

Tout comme son sang chaud, dégoulinant à présent sur ses hanches, les griffes d’Helel venait de se planter de nouveau en elle, traçant de longues lignes juste au-dessus de ses fesses. La marquant comme une bonne chienne doit l’être pour connaître son propriétaire et montrer aux autres que c’est une bonne soumise. Anouvanh frappe ses poings contre le sol, aussi fort qu’elle le peut, redressant sa tête vers le plafond, sa gueule grande ouverte pour crier. Son dos se creuse, alors que son buste se cambre en avant, faisant ressortir sa lourde poitrine. Comme si elle essayait de fuir en rampant, sauf qu’elle n’avançait pas d’un poil.

“Je te… AHHHHHH…….. Déteste… AHHHHHHHH !!!”

Anouvanh, le détestait le Colosse de tout son être, pour être venu chez elle, la souillée, la prendre comme une moins-que-rien, la marquer jusque dans sa chair. Et surtout, la pousser à bout, psychologiquement et physiquement. Son corps ne mentait pas comparé à elle, il aimait ça ! Il suffisait de voir ses tétons ressortant de sa poitrine, aussi dure que des perles. Son entrejambe devenait un torrent de plaisir. Ses yeux brillent non pas de larme, mais de cette étincelle de malice et de plaisir.

Et ni tout en bloc, elle ne veut pas prendre du plaisir à ce genre de pratique, son esprit faisant barrage à tout ça au point d’hurler de douleur pour faire barrage à ce genre de chose. Anouvanh, c’est tellement mit dans la tête qu’elle ne doit pas donner son corps aux êtres Supérieurs, qu’elle résiste du mieux qu’elle ne peut. Mais pendant combien de temps encore… Quand va telle réaliser qu’elle n’est qu’une petite salope masochiste comme lui répète si bien l’Alpha planter en elle ?

Il ne faudra plus longtemps pour qu’elle lâche totalement prise…