Nom: IvanovPrénom: SergeïSurnom: Le tigre de SibérieÂge: 36 ansProfession: Ex-mercenaireRace: Humain (Amélioré)Sexe: MasculinSituation: ExpérimentéOrientation sexuelle: HétéroPhysique:Sergeï est un homme plutôt impressionnant, une armoire à glace d'un mètre quatre-vingt-sept pour septante-cinq kilos, le genre de personne que les gens n'aiment pas rencontrer seul le soir, mais l'homme n'est plus autant sportif qu'à l’époque ou il voyageait à travers le monde, malgré tout il a su garder la forme en faisant un peu de musculation et de course histoire de garder son corps d'origine qu'il avait taillé au fil de ses années d’entraînements intenses.
Des traits grossiers, un nez aquilin saillant, des lèvres tombantes et les quelques plis du visage dû à l'âge, tout ça donne à l'ancien mercenaire un air froid et sévère, mais même s'il n'a pas la beauté d'un jeune mannequin, Sergeï a toujours su garder un certain charme envers la gente féminine, son vieil air de baroudeur, son côté costaud et bad boy a toujours réussi à séduire les femmes et même les petites demoiselles. La couleur grise de ses yeux colle parfaitement au regard qu'il peut afficher la plus part du temps, un regard sans émotions, comme s'il n'avait jamais éprouvé, la joie, la haine, la tristesse ou la peur, mais le vieux russe sait user de ses talents d'éloquence, il peut avoir un regard aussi charmeur qu'attrayant, lors d'une discussion avec une femme, par exemple.
Côté vestimentaire, Sergeï a toujours su garder la classe, même dans ses tenues décontractées, c'est : chemise, veste et pantalon en toile. Il garde toujours dans le coffre de son véhicule un gilet par-balle, juste au cas où, une vieille manie d'agent.Mental:Sergeï possède une psychologie très spécial, il fait des conneries, il en est conscient, mais il n'est pas mauvais pour autant, il ne fera pas de mal à un enfant innocent, mais il est capable de faire exploser un bâtiment entièrement remplis de criminel, sans se soucier des conséquences, ni du fait qu'il commet lui aussi des crimes, pour lui "Qui vit par le revolver, périra par le revolver" bien qu'en occurrence ici ce ne serait pas une arme à combustion, mais bien un engin explosif. L'homme est très intelligent, il est capable de cacher sa vraie nature ainsi que ses véritables sentiments par des faux, sans que les gens ne s'en aperçoivent, un de ses talents d'ancien agent, même s'il est capable d'afficher de faux sentiments, il semble incapable de les expliquer, comme s'il n'avait jamais su les exprimer réellement, comme s'ils étaient inconnus pour lui. Pour l'ancien mercenaire, la vie ne faut pas grand chose, du moins, la vie de certaine personne, depuis quelques années, il s'est remis en question et s'est rendu compte que certaine personne méritaient vraiment leurs places sur terre et que d'autres leurs places étaient plutôt, sous terre...Histoire:Viens par là mon ami !
Prend un verre et écoute mon histoire, tu n'aura pas une deuxième occasion d'entendre quelque-chose comme ça, je peux te l'assurer. Tu vois, j'ai fais beaucoup de conneries dans ma vie, j'ai fais quelques bonnes choses aussi, mais plus souvent des conneries, au fond.. je regrette rien, je suis pas un putain d'hypocrite, je sais que j'ai été un trou du cul et maintenant encore, il m'arrive parfois de l'être encore, mais c'est dans ma nature, on m'a fait comme ça, attend attend... je vais mieux t'expliquer tout ça. Alors déjà, vous pouvez m’appeler Sergeï, Sergeï Ivanov, ça impressionne hein ? Pour les étrangers, un nom russe comme celui-là avec une gueule comme la mienne, ça impressionne toujours, c'est pour ça que j'aime mon prénom, mais revenons à mon histoire, alors, je suis né en hiver 1980 en plein centre de Sibérie, dans un complexe de recherche secret soviétique, t'as compris le rapprochement avec mes origines j'espère, j'ai donc été conçu par mon chère "Papa" dans un seul but, devenir un archétype même du russe soviétique parfait, afin de devenir le glaive de la justice contre la menace capitaliste des américains et de leurs misérables chiens d'alliés, ouais, ça en fait des choses à faire en une vie. En pleine guerre froide, l'URSS ne cessait d’expérimenter de nouvelles choses pour les aider dans une future guerre contre l'Amérique, je faisais parti de ces "nouvelles choses", sujet d’expérimentation 223 pour le projet "YZ-14" ou projet "Super Soldier" comme l’appelait les types du centre.
Là vie entant que sujet d’expérimentation, n'est pas très joyeuse, on vous loge dans une pièce de deux mètres sur trois, sombre et froide, avec pour seuls meubles, un lit moisi et une vieille table de nuit pourrie, ah.. et un seau pour ce qui est de... vous voyez... Enfin, ils peignent quand même les murs en vert, il parait que c'est reposant le vert.. connerie. Mais si votre logement ne vous convient pas, ce n'est pas grave, vous ne passez que six ou sept petites heures dedans, pour dormir, le reste du temps, vous le passer dans des salles plus éclairées et plus spacieuses, bon, en général vous êtes attachés nu à une table métallique aussi froide que le vent d'hiver soufflant dans les plaines de Sibérie et on vous bourre de produits, que ce soit en les avalants ou en se faisant piquer, d'ailleurs je préférais ceux à avaler personnellement, pas parce que les piqûres me faisaient peur, mais parce que j'imaginais que les médicaments étaient des petits caramels, comme ceux qu'un des gardiens m'avait fait goûter une fois. Ils avaient commencer leurs test sur moi lorsque j'eu mes cinq ans, les scientifiques commençaient vraiment tôt leurs expérimentations sur les enfants, ils devaient être presser, dans tous les cas, en général ça finissait pas la mort du cobaye, j'ai pu assister en direct à quelque-unes de ces morts, les plus chanceux meurt d'un coup, sans prévenir, sans doutes le cœur ou ce genre de chose, d'autres perdaient la tête et étaient impossible à maintenir en place, ils se faisaient exécuter d'une balle, les moins chanceux mourraient de façon plus théâtrale, hémorragie interne, explosion d'organes, crise de paranoïa aiguë, certains se suicidaient en se crevant les yeux, on les retrouvait mort, les deux doigts encore enfoncer dans les orbites, certains étaient tout aussi barbare et se fracassaient le crâne contre un mur, s'ils en avaient l'occasion. C'est pour cela que les scientifiques me gâtaient, enfin, me "gâtaient", j'avais droit à une heure de sommeille en plus et un repas chaud le soir, tout ça parce que j'étais "l'unique", le seul enfant qui était encore vivant après cinq années de test.
J'ai pas pour habitude de m’apitoyer sur mon sort, mais il faut avouer que j'ai pas eu une des enfances les plus amusante. Pendant dix années, de jour, comme de nuit, ils n'ont cesser de me droguer, m'injecter des produits, des tortures aussi bien physique que mental et le pire dans tout ça, c'est que je vivais, conscient de tout et je ne voyais rien de nouveau si ce n'est les cicatrices de cet enfer. C'est ce jour là, le quatorze octobre 1990, avant la chute de l'union soviétique, qu'un groupe d'élite des services secret américain sont venu démanteler le centre de recherche et détruire toutes ses recherches, enfin, je pense pas qu'ils aient détruits ces recherches mais ça c'est une autre histoire.
Comme tous les jours de la semaine à dix heures, c'était le moment de la journée où on m'injectait le YZ-14, le produit sois-disant miracle, capable de transformer un homme normal en un surhomme. Cette fois-ci, le scientifique m’annonça que le produit avait changer, ce n'étais plus le YZ-14 habituel, c'était le YZ-14X, censé être LE produit, espérant qu'il aurait plus de succès que son petit frère. Il me précisa que la dose serait inférieure à celle du YZ-14, car avec toutes ces années à prendre ce dernier, le YZ-14X serait un produit déclencheur, il devait être celui qui après toutes ces années me ferait passer le stade d'être humain inférieur à celui d'être humain supérieur, c'était sans doutes pour cette raison qu'ils m'avaient attacher à la table avec plus de ceintures cette fois. Le regard voyageant et hagard sous l'effet des calmants qu'ils avaient l'habitude de me donner, je pouvais voir ces hommes en blouse blanche autour de moi, le visage caché par des masques chirurgicaux, assistant les ceintures pour me retenir les jambes, les bras et la tête, alors que l'un d'entre eux approchait lentement, la fine aiguille d'une seringue en direction de mon cou. La pointe traversant sans difficulté la zone de mon cou qui avait été passablement frotter avec un produit antiseptique, après toutes ces années, je n'étais toujours pas habitué à cette impression de froid que donnait ce produit. Alors que le doigt du scientifique appuyait lentement sur le piston de la seringue, je sentais le YZ-14X se déverser en moi, lentement mais sûrement.
Le scientifique avait raison, en une seconde c'était fait, mais... je ne sentais rien, comme s'ils m'avaient simplement injecter de l'eau, rien comparé aux injections de YZ-14, ils avaient lamentablement échoués, du moins, c'est ce que j'ai pensé au début. Au fur et à mesure que les scientifiques se disputaient autour de moi, se rejetant la faute au sujet d'un mauvais dosage ou autre, je pouvais sentir mon cœur battre à vive allure, mes muscles me faisaient mal, mon sang bouillonnait et la colère montait en moi, j'avais une envie de faire mal, de détruire quelque chose ou quelqu'un, avec toutes ces années derrière moi, à endurer des tortures du matin au soir... j'essayais de contenir ma rage et cette douleur, ne pas en faire part aux scientifiques, je ne voulais pas que ces misérables sachent qu'ils avaient réussi et après quelques minutes, alors que les scientifiques étaient encore entrain de se chamailler, une explosion retenti dans le centre, secouant les scientifiques qui étaient passés d'un stade de "colère" à "panique", l'explosion fut suivi de l'alarme du centre, que je n'avais encore jamais entendu, les hommes en blouses blanches s'activaient dans tous les sens, ramassant des dossiers un peu partout dans la pièce et des fioles de produits éparpillées sur les tables. L'un des scientifiques prit la peine de me détacher, ils voulaient sans doutes m'emmener avec eux, mais cette fois-ci, je n'allais pas suivre leurs ordres.
Descendant lentement de la table, à moitié nu, l'un des hommes me saisit rapidement par le bras droit pour m'emmener avec lui, mais au moment où cet homme me saisi, il avait sans le savoir signé son arrêt de mort. Attrapant de ma main gauche ce bras qui m'avait agrippé, je serra de toutes mes forces jusqu'à entendre un craquement, dans un hurlement de douleur, le scientifique se dégagea et à ce moment je le saisis du bras droit par le col et l'attirant vers moi je plaça ma main derrière sa tête avant de la pousser violemment contre la table, éclatant le crâne de ce dernier contre le meuble métallique. La plus part des scientifiques avec déjà prit la tangente, mais l'un d'eux et encore là et avait assisté à la scène.
À la vue du corps de son collègue au sol, encore convulsant, il était tétanisé et avait lâché les fiches qu'il tenait en main, profitant de ce moment je m'avança vers lui pour en finir, c'est à ce moment qu'il sortit un revolver, le pointant vers moi, tremblant, hésitant, apeuré, de quoi avait-il peur, je n'étais qu'un petit garçon de onze ans, torse nue, du sang s'écoulant le long de mon visage et de mon torse, le sang de son collègue que j'avais froidement tué de mes propre mains. Sa façon de me pointer d'une arme, cela m'énervait, à dire vrai tout m'énervait, j'étais dans une rage folle, mais ma colère laissa place à la surprise lorsqu'un coup de feu retentit, la balle siffla à côté de moi, ce n'était pas le scientifique, c'était quelqu'un d'autre, quelqu'un qui venait de descendre l'homme qui me menaçait d'une arme il y à peine quelques secondes. Combinaison noire, gilet balistique, cagoule, casque tactique et fusil d’assauts, je compris bien plus tard que c'était un homme de la CIA qui venait sans doutes de me sauver la vie, ce dernier se rapprocha de moi tout en inspectant la pièce l'arme à la main, il m'observa un instant avant de dire quelques mots que ne comprenais pas dans sa radio et de me traîner avec lui par l'épaule, sur le moment je n'ai rien dis, j'ai eu le bon sens de me dire qu'il était là pour me sauver de cet endroit abject, je me suis laisser entraîner. Sur le chemin, j'entendais quelques coups de feu en rafale au loin, les corps de gardiens et scientifiques jonchaient le sol criblés de balles, l'américain me tira dehors du centre, me faisant monter dans un hélicoptère et me couvrant d'une couverture avant de monter lui aussi à côté de moi. L'énorme explosion que j'entendis lorsque nous étions dans les airs signifiait la fin de cet enfer pour moi.
Les années passèrent et la CIA avait jugé bon de me garder avec eux, sans doutes pensaient-ils que ce serait trop dangereux de laisser quelqu'un comme moi dans une famille normale, ils étaient au fait de mon "pouvoir", ils ne pouvaient donc pas risquer de laisser les russes ou qui que ce soit tombé sur moi et user de mes capacités à mauvais escient. La CIA était devenu une sorte de famille pour moi, les agents de bureau étaient au soin avec moi, comme des grands-frères, ça me changeait du centre soviétique, malgré tout, je devais encore faire des test, rien de bien méchant ou difficile, mais ça me rappelait de mauvais souvenirs et je n'aimais pas le type qui s'occupait des test, un gros bonhomme chauve avec de vieille lunettes carrés teinté violet, le visage aigri, il ne faisait même pas d'effort pour paraître amical, mais j'étais bien plus heureux qu'avant, enfin je pense que je l'étais.
À vingt et un ans, j'étais l'un des meilleurs agents de la CIA, ils m'avaient tout appris, j'étais devenu leur joker et avec mon pouvoir, mes compétences dépassaient de loin celle d'un agent d'élite. Pour eux, j'étais devenu leur chien-chien, assassinat, surveillance, espionnage, sabotage, je faisais toutes les missions et jamais je n'ai faillis à ma tâche, ça ne me déplaisait pas en soi, j'avais le sentiment enfin d'être quelqu'un, de servir à quelque-chose. Après toutes ces années avec eux, mes "collègues" me voyaient encore comme un russe, je n'avais de russe que mes origines et mon nom, malgré tout ils avaient eut la brillante idée de me surnommer "Le tigre de Sibérie", ça ne me déplaisait pas, c'était assez classe je dois dire. Malgré tout ce que j'avais fais pour la CIA, lorsque vous ne leur être plus utile, ils vous jettent comme une vieille chaussette, vous vous souvenez du type que je vous disais plus tôt que je n'aimais pas, le gros chauve avec ses lunettes teinté et bah, il devenu chef de la CIA entre temps et il a gardé sa haine envers les communistes, plus précisément envers les russes, il ne m'a jamais aimé, c'est pour cela que je ne l'aimais pas non plus.
Umm Qasr - Irak, le dix-sept avril 2002, environs un an avant la seconde guerre du Golfe.
Je n'aimais pas les missions en pays arabe, déjà parce qu'il faisait très chaud, mais surtout parce que les autochtones n'aimaient pas vraiment les étrangers, et blanc comme j'étais, pas difficile pour eux de savoir que je n'étais pas du coin, une raison pour être encore plus discret. Ma mission était cette fois-ci d'espionner un complexe militaire Irakien, d'après certaines sources, ils produiraient des armes toxiques et des engins nucléaires dans le but d'attaquer les États-unis. Dés le début j'avais un mauvais présentiment sur cette mission, déjà j'étais seul, pas un agent en soutien, bon cela arrive, mais en général on a au minimum un contact sur place, ici, rien..
Après deux jours de repérage, j'allais me mettre à l'action, mais mes cibles avaient déjà prit la peine de venir me saluer. Par chance j'avais quitter ma chambre d’hôtel au moment où un engin explosif détonna, provocant une explosion importante au niveau où ma chambre se trouvait, ce n'étais pas un hasard, il était impossible que quelqu'un est découvert qui j'étais, on avait vendu la mèche. Poursuivi dans les rues de la ville par des agents irakiens, je réussis à les semer dans la foule du bazar touristique du port, ni une ni deux, c'était à mon tour de devenir le chasseur. J'avais maintenant l'avantage de la surprise, ils pensaient que j'avais fuis, pris les jambes à mon cou, grossière erreur, j'allais leur montrer qu'on ne m’appelait pas le tigre de Sibérie pour rien. Les traquant comme une bête assoiffée de sang, je les tua, un par un, pour n'en garde qu'un en vie, mais il allait regretter de ne pas être mort comme ses petits camarades...
Après plusieurs heures de tortures dans un entrepôt désinfecter, l'agent irakien me révéla tout, entièrement tout, depuis le début il savait que j'allais venir, où j'allais descendre et quel était ma cible, il savait à quoi je ressemblais et quel était mon équipement, tout ça pour une seule et bonne raison, la CIA m'avait vendue. Ils ont raconté aux Irakien que j'étais un agent russe et leurs ont donnés tout ce qui avait à savoir... CES CHIENS ! Après toutes ces années à leur service, ils me jettent à la fosse ainsi, me condamne à mort. Sitôt après cela, je quitta clandestinement l'Irak, après ça la CIA n'a jamais essayait de me retrouver, les irakiens on sans doutes eux trop honte d'avouer qu'ils ne m'avaient pas eux et on du confirmer ma mort. Je n'ai jamais voulu me venger de la CIA, à dire vrai, c'était un poids en moins sur la conscience, je pouvais maintenant aller où je voulais et faire ce que je voulais.
Pendant plusieurs années, je fis quelques petits boulots en rapport avec mes compétences. J'ai un peu tout fait au fil du temps, garde du corps, mercenaire, gros bras, chasseur de prime, à un moment je voulais même monter ma propre boite de sécurité, mais ce n'étais pas ça que je voulais, je n'arrivais pas à... vivre, depuis tout ce temps, je ne vivais pas, je survivais, aujourd'hui encore je ne sais pas où j'en suis, j'aimerai trouver la paix intérieur, mais je ne sais pas comment.. me racheter de mes crimes peut-être, comment ? Je n'sais pas, jouer le bon samaritain ce n'est pas mon genre et "combattre le mal", venant d'une ordure comme moi, ça n'sonne pas très bien. Mais je n'sais pas, la fois où j'ai sauvée cette petite fille de la mort en Colombie, la joie de ses parents et le regard admiratif de cette petite pleine.. pleine d'innocences, de naïvetés, mais aussi d'espoirs, l'un des très rares souvenirs qui me donnent le sourire aux lèvres et me réchauffent le cœur... peut-être que... oui au final, pourquoi pas...[/i]
Autres:- Sergeï est un sur-homme, il possède une force physique, une rapidité et une agilité dépassant de loin n'importe quel être humain normal.
- Son ouïe est également très développé comme sa vue et son odorat.
- Il connait plusieurs styles de combat à mains nues et excelle aussi bien avec les armes blanches qu'avec les armes à feu.