Identité : Quentin Beaurebec
Âge : 16 ans
Sexe : Homme
Race : humain
Sexualité : Hétérosexuelle
Physique :
Je suis de taille normale pour un garçon environ 1m75 et je suis un peu mince, légèrement musclé. J’ai les cheveux bruns clair et mi long qui retombent en mèches qui encadrent mes yeux légèrement en amende de couleur vert foncé. J’ai le nez fin tout comme mes lèvres ce qui donne l’impression que je suis fait pour sourire. Je porte en bas du dos un petit tatouage étrange, quatre pointes en cercle et au centre une forme étrange. Je ne sais pas d’où il vient, j’ignore totalement comment il est apparu. Je porte une tenue de voyage brune en général, des vieux vêtements, avec à la ceinture une dague, sauf quand je me présente à des nobles ou à une cour. A ce moment-là, je porte la tenue traditionnelle du ménestrel qui est pour moi de couleur verte, me rappelant la couleur dominante de mon fief d’origine. Le haut de ma tenue porte une broderie en or représentant mon instrument favori, une sorte de violon scelle. Je porte un grand sac qui contient différent instrument comme des tambourins, une flute, mon violon, des livres de compte et légende comme de poésie et de chanson. Mais ce qu’il y a la plus grande valeur dedans c’est un énorme grimoire dont la couverture est ornée d’un pentacle avec au centre un énorme rubis qui émet par palpitations une lumière rougeoyante.
Caractère :
Je suis poli, respectant l’étiquette à tout point, surtout dans une cours de noble. J’ai le sens de l’honneur et une grande conscience. Si je triche ou désobéis aux règles, je me sentirais obligé d’expier cette transgression même si les circonstances m’y obligeaient. Je suis aussi intelligent. On m’apprit à lire, à écrire, à compter, à parler correctement et à jouer de plusieurs instruments de musiques. Je possède une grande reconnaissance, un donné pour un rendu. Si quelqu’un me vient en aide, je l’aiderai en retour. Je suis sensible et je m’inquiète facilement pour mes amis car j’en ai très peu à cause de mes voyages. Je n’aime pas les personnes trop familière et brute, cela m’agace quand je ne connais pas particulièrement la personne et je ne supporte pas qu’on me tapote l’épaule ou qu’on me bouscule. J’aime les pâtisseries et la poésie ce qui s’arrange très bien avec mon métier. Je rêve de devenir le musicien attitré d’un noble car cela paye bien. Je n’ai pas eu de relation amoureuse donc je ne sais pas dire quel sorte d’amoureux je suis.
Histoire :
Je suis né des un petit fief, Tournissand. Mon père était bûcheron jusqu’à mes quatre ans ou il mourut écraser par un arbre. Ma mère fut recueillie au château du fief, pour devenir lingère, par la Dame qui gérait donc ce comté, Hermelinde de Tournissand qui a hérité du fief a la mort de son mari. A mes 6 ans, elle tomba dans un grand bac et se noya. J’étais donc orphelin. Mais au lieu de finir par mourir de froid ou de faim, la Dame me recueilli me logea et me mit sous la tutelle de ménestrel attitré, Jacquemain-Loriaux. Il m’apprit d’abord à lire, écrire et compter. Mais surtout après ces bases, j’appris par cœur des poèmes, des histoires, drôles et d’amour, des exploits guerrier, … En suite viens ce que j’avais préféré, l’apprentissage de la musique. J’appris à les composer et les écrire et aussi à jouer les morceaux les plus connus. Parmi tous les instruments, je suis tombé amoureux d’un instrument inspiré du rebec, le violon. Mon apprentissage dura jusqu’à mes 15 ans, où mon vieux maître mourut. Je pris donc sa place de ménestrel attitré. Mais je ne restais pas longtemps à cette place car l’année d’après, ce fut Dame Hermelinde qui décéda. Elle me fit appeler à son chevet. Elle regretta que ça ne faisais pas longtemps que j’étais son ménestrel. Je la remerciais de tous les services qu’elle m’avait rendus. Elle devenait de plus en plus faible à vue d’œil. Ce qu’elle m’expliqua par la suite me surprit beaucoup. Elle avait volé un grimoire de recette magique à un mage, Magnus Carvahaal. Elle, volé ! Elle qui était si bonne et gentil avec les pauvres gens ! Et je ne pouvais pas croire que c’était aussi une sorcière. Mais elle me rassura, en me disant qu’elle avait utilisé pour le bien de tous. Elle avait aimé ce mage toute sa vie. Quand ils étaient jeunes, elle partit se marier avec son mari en volant le grimoire. C’était un mariage arrangé. Elle m’expliqua qu’elle avait caché dans un vieux chêne creux aux abords du fief. Je devais le récupérer et le porté jusqu’à Sirapé, la capitale du pays, où vivait le mage. Dès qu’elle était morte, son beau-fils jeta tous les pauvres gens dehors. Je partis donc sur la route avec mes instruments et mes livres, avec un peu de vivre. Je récupérerai le grimoire dans un chêne où étaient posé des dizaines d’hiboux. Ils ne me firent aucun mal et j’ai pu récupérer sans difficulté le livre, qui avait un énorme rubis incrusté dans la couverture qui palpitait d’une lumière étrange. Je le rangeais dans ma besace et je me mis en route vers la capitale, en passant par différent fief pour gagner un peu d’argent.
Autre :
Je suis un musicien extraordinairement doué et je connais que quelques musiciens ambulants rencontrés pendant mon voyage.