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Dans la poussière, l'homme lança une première dague qui vola tel un oiseau mouche vers la gorge dénudé du géant d'ébène, son sang aussi noir que sa peau coulant à gros goulot et à gros bouillon.
Le
premier gladiateur était mort, son nom, Hassan.
Profitants de la surprise du geste des autres concurrents, l'homme jeta sa hache qui fendu le crane d'une femme voluptueuse qu'il avait baisé la veille, de la cervelle et du sang coulant sur ce visage autrefois beau comme l'avait fait sa semence la veille.
La
seconde gladiatrice était morte, son nom, Chiméra
Son regard de lion dans la tornade de poussière effraya cet enfant, il se souvenait, c'était lui qui avait appris au gamin à se servir d'une lame, et son épée s’abattait maintenant d'un coup sec sur ses abdominaux, le sang giclant, l'enfant se pliant en deux de douleur et d'incompréhension, il retira d'un coup tout aussi sec sa lame, les tripes et le sang du jeune gladiateur se rependant dans la terres et la poussières, tournant sur lui-même pour le décapiter et mettre fin à ses souffrances.
Le
troisième gladiateur était mort, son nom, David.
L'homme ramassa la tête de l'enfant qu'il jetta au visage de l'autre homme, ce qui lui permit de se jetter sur cet homme, son épée rencontrant bientôt le lourd marteau du guerrier du nord. Il para avec difficulté et sa lame parti se planter au sol. L'homme des steppes eu juste le temps de se jeter en arrière pour éviter de se faire éclater le crane. Il prit alors son
épée à deux mains, attendit l'erreur de son adversaire, un coup horizontale censé le fauché dans sa charge mais l'homme des steppes roula au sol pour finalement planté son épée dans le ventre de l'homme et la lâché, laissant le guerrier du nord avec qui il avait bu tant de boisson s'empaler de lui-même au sol sur l'épée.
le
dernier gladiateur était mort, son nom Meiron.
Et alors l'homme des steppes serra ses deux poingset les leva au dessus de sa tête en haletant, et poussa un cri de guerre qui fit s'exalté la foule dans l’arène.
l'homme des steppes était mort à l'interieur, son nom, ou devrais-je dire mon nom, Elias.
Qui-suis-je? Un gladiateur, un esclave, une arme.
Mon âge? Ça fait plus de 2000 ans que j’ai 27 ans, la barbe me vieillit vachement.
J’appartiens à la race des seigneurs, je suis un Immortel, né pour être roi, princes de (l’univers) l’arène.
Mon histoire?Je suis le bâtard d'un seigneur nomade de l'est, ma mère était une putain qu'il viola lors d'un pillage. J'aimerais que ça soit cela.
La vérité est que je viens d'un autre monde nommé Terre, et non Terra. Je suis un Thrace, du royaume de Dace. Dès mon plus jeune âge, j'ai combattu à l'aide d'une
faux daces et aujourd'hui encore, je préfère manier l'épée courbe à cette épée à deux mains à double tranchant. Je ne me souviens pas de quand je suis né, ça n’existait pas les dates à mon époques, je me souviens juste de la première fois que je suis mort, c’était la faute d’un Romain, la foudre balaya le champs de bataille, son glaive m’avait percé le foie, et alors que je pensais me retrouver dans le palais céleste du Dieu Père, c’est le ciel que je vis en ouvrant les yeux à nouveau, ma peau avec une cicatrice là où j’avais été transpercé.
La suite n’est pas intéressante et je ne la détaillerais pas, j’ai été retrouvé par des Romains qui m’ont fait prisonnier. J’ai été emmené dans leur cité de pierre. J’ai apprit leur langue, été vendu en esclave à un entraîneur de gladiateur, j’ai tué de nombreux types, et les années passant mais moi ne vieillissant pas, mes victoires s’accumulant, je fus vendu à un autre maître qui eu la bonne idée de faire courir la rumeur comme quoi j’étais un dieu de la guerre Dace déchu, je perdis ainsi mon nom de Dromichaetes pour être surnommé Martielas.
Mon maître me traitait bien, trop bien, aussi avais-je du mal avec les limites, si bien que je fini par baiser sa mère, sa sœur, sa femme, ses filles et ses petites filles avant de le tuer lui et de rejoindre une révolte d’esclave menée par un gars du pays, un certains Spartacus, ça a avorté, on a tous été massacré, puis crucifié.
Le pire avec la crucifixion, n’est pas tant bien fait que ça fait mal sur le moment, mais que ça fait mal même après que vous êtes censé être mort, je reprenais vie encore et encore, et c’était le même supplice. Puis l’on me descendit, les gardes se demandant pourquoi je ne pourrissais pas, on voulait m’ouvrir pour savoir si j’avais un cœur, il parlait de démons qui buvait le sang et se demandait si j’en étais un. Il me fallut attendre un peu de temps avant que je ne retrouve mon énergie, j’étais transporté dans une charrette, il faisait nuit et les soldats avaient fait halte, j’en profitais pour les égorger avec mes ongles, volant par la suite le cheval de trait et je gagnais la nature sauvage.
Le temps passa, je connu nombre de personnes, de femmes, je vis des nations se créer et d’autre mourir, j’ai rencontré des personnes formidable aussi éphémère à mes yeux que des insectes aux leurs, on me donna bien des noms, et au final celui d’Elyass revint suffisamment souvent pour que je le transforme en Elias et le garde. Et puis, je me suis endormi, après des siècles de vies, j’ai dormi d’autres siècles. Quand je me suis réveillé, je n’étais plus à Londre en 1886, à cuver ma boisson dans un bordel des bas quartiers, j’étais dans une cage, la créature qui gardait ma cage était un marchand d’esclave qui ressemblait à un lion se tenant sur ses pattes arrières, la spécialisation de ce lion, qui s’appelait Asrad.. c’était les gladiateurs.. Et bien, moi qui pensais ne plus jamais avoir à retourner dans une arène après la chute de Rome, m’y voilà de nouveau.
Ah.. une description physique… Je suis grand, je frôle les 2 mètres, mon corps est musclé, fort de ses deux millénaires d’existence. Mes muscles travaillés et finement sculptés. Je suis une force de la nature, non pas que je sois une montagne de muscle boursoufflé, mais j’impose une impression de puissance de par ma stature et mon regard de lion. Mes yeux ont la couleur de l’ambre, et mes cheveux du bronze. Je porte une barbe couvrant une mâchoire carré et robuste. Mes dents sont droites, mes canines pointues, mes molaires épaisses. Se tenir face à moi, c’est se tenir à la force d’un lion et la vivacité d’un aigle, ce qui m’a valu le surnom de Griffon des Steppes.
Griffon d’ailleurs tatoué sur mon dos. Que dire de plus, j’ai des cicatrices à peu près partout.
Une description psychologique ? Vous vous foutez de ma gueule ? Lisez l’intro vous la verrez ma psychologie. En une phrase simple, Dans l’arène, vous êtes juste quelqu’un qui doit mourir. L’amitié n’a pas sa place dans une arène, j’aurais beau avoir couché avec vous, j’aurais beau vous avoir entraîné depuis que vous êtes gamin à tenir une épée, m’être saoulé, avoir vécu des aventures tout ce que vous voulez… Dans une arène, vous êtes un tas de chair et j’ai une épée. Point. Je ne m'attache pas aux mortels, je n'ai pas besoin de souffrir des morts en plus. Je n'envisage rien de concret avec des mortels, je te baise comme je peux te tuer, tu es un moments de plaisir et d'égarement, pas l'amour de ma vie.
expériences? Sexuelles? Nombreux, j'ai plus de 2000 ans, j'ai tapé de la femme depuis l'antiquité jusqu'à la renaissance et je m'en suis tapé de tout genre sur Terra
Autre : Je suis un immortel, le seul moyen de me tuer est de me trancher la tête.
Je suis rôdé à la plus part des types d’armes. Epée, dague, hache, hache à deux mains, hache de jet, masses d’armes, lances, marteau, bouclier, arc, fusil, mousquet, canon à main. Ça fait 2000 ans que je me bas, je commence à savoir me battre.