SHIZUKA SHUNYA
Shunya portait un bébé. C’était indéniable. Et, au-delà du plaisir immédiat, et immense, que le fait d’être enceinte lui procurait, ça signifiait surtout qu’elle allait, désormais, devoir enfanter Hinata à son tour. Shunya savait en effet combien leur responsabilité était immense. Les Kaguya avaient été quasiment tous décimés, et il fallait donc, tout simplement, créer une nouvelle lignée. Pour cela, il fallait donc
beaucoup de bébés ! Une famille royale méritait plus qu’un ou même deux enfants, et, de plus, c’était là la volonté, tant de Shunya, que d’Hinata. Régulièrement, Hinata lui avait confié combien elle avait hâte d’entendre le Temple de la Lune crouler sous les hurlements, les ricanements, et les bruits de pas précipités d’une ribambelle d’enfants. Ce rêve était désormais très palpable, en train de devenir réalité. Shunya en était enchantée, mais elle savait que, compte tenu de son passé, Hinata l’était encore bien plus qu’elle. Elle allait enfin avoir des enfants, des bébés sur qui elle prendrait grand soin ! Que ce soit des garçons ou des filles, quelle différence ça pouvait bien faire ? Shunya, en tout cas, savait qu’elle les aimerait tous, peu importe leur sexe, leur intelligence, ou n’importe quel élément !
Les deux femmes se mirent donc à déambuler, s’éloignant peu à peu, jusqu’à rejoindre une petite crique isolée, entre deux grandes dunes. L’eau continuait à venir, avec un magnifique ciel étoilé, ce qui donnait à cette scène une ambiance très particulière, et non moins agréable. Shunya se retrouva en compagnie d’Hinata, seule, Nora restant à l’écart, pour fermer la marche... Et Hinata lui parla alors du fait que, désormais, ce serait à
elle d’enfanter sa femme. Shunya en sourit délicatement, tout en rougissant aussi.
«
Oui... Oui, ma chérie... »
Shunya hocha la tête, avant de sourire délicatement, et de se pincer les lèvres. Pour le faire, pour mettre sa femme enceinte, il allait falloir qu’elle... Elle rougit encore à l’idée de porter un tel
appendice entre ses cuisses. Après tout, la jeune guérisseuse n’y était clairement pas habituée, ce qui expliquait sa nervosité ambiante. Elle n’avait jamais porté un sexe, mais, surtout, elle avait un profil plus soumis...
*
Mais je ne peux pas être la femme de la Reine si je ne prends pas plus d’initiatives !*
Hinata se pressa contre elle, en lui demandant de passer aux choses sérieuses. L’intéressée se pinça les lèvres, et inspira ensuite fort, avant de poser ses mains sur les épaules de sa femme.
«
N-Non... Hi-Hinata, cette fois, c’est moi qui... C’est moi qui prends les devants ! »
Elle la regarda fièrement, comme pour montrer qu’elle était sérieuse. Évidemment, ce n’était pas contre Hinata, mais, si Shunya voulait l’enfanter, il fallait bien qu’elle prenne des initiatives. Néanmoins... Shunya se mit à rougir, en cherchant une idée. Elle hésita un peu, puis regarda derrière elle.
«
Hum... Dis... Je... Euh... J’ai... Euh... »
Shunya se pinça encore les lèvres, visiblement très gênée devant la proposition indécente qu’elle avait en tête. Reprenant son courage à deux mains, elle inspira l’air, et enchaîna :
«
Je... En fait, je sais ce que je dois faire p-pour... Pour que tu aies un bébé et tout, mais... Je... Je ne sais pas trop co-comment faire... A-Alors, je... Je me disais que... Euh... Enfin, on... Hmmm... No-Nora pou-pourrait me... Nous faire une démonstration... A-Avec... Avec toi... »
Elle respira lourdement, mortellement gênée. Que venait-elle de dire, concrètement ? Qu’elle voulait voir Nora pénétrer Hinata, qu’elle voulait voir, sous ses yeux, comment ça se passait en face ! Certes, Hinata l’avait déjà pénétré, mais Shunya n’avait encore jamais vu sa femme se recevoir un
chibre dans le corps, et elle voulait tout simplement s’assurer que ça ne ferait pas mal à Hinata...
Tout simplement !
SUPERGIRL
Difficile à croire que Kara avait enfin réussi ! Convaincre Tessou d’aller à ce restaurant, ça avait véritablement été une épreuve herculéenne ! Mais elle commençait à bien connaître le fonctionnement de sa policière, une spécialiste des actes manqués, qui inventait toujours n’importe quelle excuse pour éviter de se mettre en avant. Que ce soit dans sa vie privée ou au travail, elle était d’une discrétion à toute épreuve. Mais il fallait bien la ténacité d’une super-héroïne pour la convaincre de venir au restaurant ! Et puis, elle avait enfilé une superbe robe. Il était évident que Kara lui avait dit de la laisser, car ça lui allait très bien.
Après avoir déposé Kyoko à la garderie, Tessou se rapprocha de Kara, qui l’attendait impatiemment.
«
Allez, t’en fais pas, Kyoko ira très bien ! »
Certes, elle n’avait qu’un an, mais, si Tessou restait aussi protectrice, d’ici quelques années, sa fille pourrait se montrer bien rebelle... Mais bon, il n’appartenait pas à Kara de critiquer les choix de Tessou. Et puis, vu ce que la policière avait enduré, face à la Duchesse, Supergirl pouvait comprendre sa nervosité. Le duo rentra en tout cas dans le restaurant, une grande et agréable pièce avec une série de vitres donnant sur la mer, avec une série d’îles et îlots.
*
Très impressionnant...*
Une jeune femme ne tarda pas à s’avancer vers elles, en leur souriant. Elle portait un élégant blazer, et était plutôt belle :
«
Bonsoir, Mesdames. Vous avez réservé ? »
Kara secoua la tête, mais, fort heureusement, il y avait une place pour elles. La serveuse invita les deux femmes à la suivre, et les amena à un angle, dans un petit coin, avec une table ronde, et deux fauteuils. Kara remercia poliment la femme, et s’assit face à Tessou, en lui souriant encore.
«
Tu vois ? Personne ne te hurle au visage, Tessou... Cette robe te va donc très bien ! Tu n’as rien à craindre ici, c’est l’occasion de se détendre, et... De profiter un peu. »
Tournant la tête, Supergirl montra du visage le décor.
«
Tu vois ? C’est joli ici... Et je suis sûre qu’on va très bien manger ! Ça va te faire du bien, je t’assure... »
Dire ce que Kara avait à lui dire n’était vraiment pas simple, et ce surtout que, au vu de ses pouvoirs, elle n’était pas la personne la mieux placée pour parler de ça, mais... Eh bien, il fallait bien que quelqu’un le fasse, et Kara était, en réalité, la personne la mieux indiquée, aux yeux de Tessou, pour lui dire de se détendre, et lui conseiller de profiter de la vie.
«
J’admire beaucoup ta dévotion pour Kyoko, Tessou, et c’est tout à fait normal, parce qu’une mère doit se sacrifier pour son enfant, mais... Enfin... Je ne veux pas que tu prennes ça comme une critique, mais... Il faut aussi que tu penses à toi ! Je veux dire... Si tu surprotèges Kyoko constamment, je ne pense pas qu’elle mènera une vie bien épanouie... Je ne dis pas qu’il faut l’ignorer complètement, bien sûr ! Mais... Il y a forcément un juste milieu quelque part... »
Est-ce qu’elle l’avait bien dit ? Tout d’un coup, elle avait peur... Mais, maintenant que c’était dit... Au moins, il fallait crever l’abcès !
LUNA EARTHWELL
Maîtresse Yuko enfila sous les yeux des femmes une magnifique robe rouge, qui dissimulait un sous-vêtement encore plus magnifique, un beau bikini rouge moulant, avec de longues bottes-collants rouges. Luna savait que Maîtresse Yuko n’enfilait pas souvent une telle tenue. Qu’elle la porte donc, en compagnie de Madame Alice, c’était donc la preuve que quelque chose d’important se passait. Madame Alice fit également beaucoup saliver Luna. Luna connaissait déjà cette belle blonde aux yeux bleus, qu’elle avait déjà vu plusieurs fois au manoir de ses Maîtresses. Étrangement, elles la désignaient comme leur «
sœur », alors qu’elles n’avaient pas le même nom de famille ! Mais, au lit, Madame Alice était aussi énergique que ses Maîtresses, et très douce et très gentille. Elle et Madame Alice avaient eu l’occasion de faire l’amour à plusieurs reprises, et Madame Alice aimait beaucoup la câliner, l’embrasser, la gratouiller, et lui offrir à manger. Les voir là, toutes les deux, dans leurs belles robes, ça ne manqua pas d’exciter Luna, mais Maîtresse Yuko indiqua qu’elle partait ailleurs avec Madame Alice.
La petite Luna, qui était occupée à sentir Esclave Yuka lui pomper le dard, avait du mal à répondre à Maîtresse Yuko, tant elle était excitée. Cette dernière enfila donc sa robe sous son nez, tout en lui disant que, jusqu’à son retour, elle resterait la Maîtresse. Toute flattée, Luna hocha la tête, et entrouvrit les lèvres, laissant Maîtresse Yuko l’embrasser tendrement.
«
Nyaaaa... Maîtresse Luna... Prendre soin de la chambre en l’ab-L’absence de... De... De Maîtresse Yu... Yuuuuko, nyaaaawwww... !! »
Madame Alice déposa à son tour un baiser sur les lèvres de Luna, et salua également Esclave Yuka, et Esclave Blanche et Esclave Noire, avant de partir. Luna ronronnait de plaisir, et la porte se referma derrière les deux femmes, laissant les quatre femmes dans un cocon de luxure et de perversion. Luna avait la lourde responsabilité de trouver quoi faire avec elles quatre, mais, fort heureusement, ce n’était pas les idées qui lui manquaient. On aurait même pu dire que son esprit carburait à toute allure en ce moment.
Luna gémit encore, couinant en sentant Esclave Yuka enfouir sa queue dans sa gorge, ses deux mains gantées se crispant sur ses cheveux, les serrant fort. Elle se tortilla sur place, la langue pendante, miaulant encore, pendant que son corps approchait du plaisir suprême.
«
Hmmmm... Nyyyaaawwwwnnn... Miiiiaaaaaaa... !! Hnnnnnnnnnnnnn... !! »
Vu tout le plaisir qu’elle ressentait, Luna ne put retenir pendant très longtemps son orgasme. Sa queue se mit à durcir encore, et, dans un ultime couinement, Luna se mit à jouir généreusement, balançant d’épais chapelets de foutre dans la bouche de la femme. Un long soupir, puis un hurlement de plaisir, tandis que tout son corps se relâcha d’un coup sec. Ses muscles se détendirent puis se relâchèrent, en expulsant des filaments de foutre en elle.
Luna jouit donc généreusement, remplissant l’estomac d’Esclave Yuka, puis se redressa ensuite... Et fit disparaître son sexe masculin.
«
Allez ! Il est temps de passer aux choses sérieuses ! Esclave Yuka ! À quatre pattes, tout de suite, à côté de Maîtresse Luna ! »
Prenant très à cœur son rôle de Maîtresse, Luna se posa sur le sol, à côté d’Esclave Yuka, et fit ensuite signe aux deux Usagis.
«
Blanche ! Noire ! Prenez Esclave Yuka et Maîtresse Luna avec vos queues ! Prenez-nous dans le trou que vous voulez, mais que ce soit bien fort ! »
Aucune gêne, aucune hésitation chez Luna... Indéniablement, elle n’était pas la «
nekoquine » des Maîtresses Karistal pour rien !
ALICE KORVANDER
Main dans la main, Alice et Yuko sortirent de la chambre. Voir cette débauche n’avait pas manqué d’émoustiller Alice, surtout avec la tenue qu’elle portait. Le délicieux harnais serrait son corps à chaque mouvement qu’elle faisait, provoquant en elle une série de frissons. Et, pour ne rien arranger, Yuko était également très belle, et visiblement très excitée aussi. Mais, après tout, l’heure du souper était passée, et la nuit promettait d’être longue. Alice, qui ne s’attendait vraiment pas à ce que Yuko et Yuka soient au même hôtel qu’elle, était en tout cas très ravie de les voir. Elles ne s’étaient pas encore revues depuis le mariage de Mélinda, et c’était un heureux hasard, car Alice avait été bien décidée à aller les voir. Le destin l’avait finalement devancé.
En chemin, Yuko lui demanda ce que Mélinda avait en tête, et Alice lui sourit.
«
À ton avis ? Avec toi et moi ? Je croyais pourtant que tu commençais à bien la connaître, surtout quand elle est avec sa femme... »
Mais peut-être que Yuko voulait juste l’entendre ? Alice sourit donc, et continua à marcher, avant de s’arrêter brusquement au moment où le couloir faisait un coude... Et embrassa alors Yuko. Son corps se colla au sien, sa main se posa sur sa nuque, et l’autre, sans aucune hésitation, se posa sur l’une de ses fesses, pressant doucement ses doigts dessus. Alice était aussi de moins en moins pudique, à force, et surtout dans le contexte actuel.
«
Tu m’as manqué, Yuko... Je sais que j’aurais dû passer te voir plus tôt, toi et Yuka... »
Surtout après l’incroyable orgie qu’avait été le mariage de Mélinda ! Elles avaient fait l’amour pendant plusieurs jours, et Alice avait bien dû mettre une semaine avant de pouvoir s’y remettre. Elle retourna embrasser Yuko, se retrouvant ensuite plaquée contre le mur du couloir. Plusieurs femmes passèrent à côté d’elles, les regardant en haussant les sourcils sous la surprise, puis sourirent brièvement. Alice, de son côté, prolongea ce baiser pendant plusieurs secondes, puis rompit ensuite finalement le baiser, un sourire sur le coin des lèvres. Une lueur de malice brûlait dans ses yeux.
Alice sourit encore, puis se décolla du mur.
«
Allons-y ! »
Ses doigts se serrèrent davantage sur ceux de Yuko, et Alice rejoignit une porte. Elle était fermée, mais elle attrapa son passe magnétique, et l’ouvrit. La porte la conduisit alors dans un vestibule. La chambre de Mélinda était plus grande que celle des Karistal, car Mélinda avait plus de monde à héberger. Elle s’avança un peu, et rejoignit le salon principal, pour l’heure calme, et partit sur la droite, dans un petit couloir avec une chambre au fond... Celle de Mélinda. Alice toqua alors à la porte, et entra...
MÉLINDA WARREN
Depuis le début, Harmony avait dû s’attendre à ça. Quand Mélinda avait choisi de l’inviter pour qu’elle fasse partie de leur délégation au
Paradisio Hotel, en sachant que Vanillia et Ai seraient aussi de la partie, elle devait bien s’attendre à se retrouver dans l’un des jeux pervers de sa Maîtresse et de sa femme. Entre Mélinda et Vanillia, il n’y avait aucune différence de ce point de vue. Les deux femmes étaient toutes les deux de redoutables perverses, sans une seule pour rattraper l’autre. Vanillia était une redoutable coquine, et elles étaient donc impatientes, en étant assises sur le lit, qu’Ai et Harmony reviennent.
«
Tu crois qu’elle va l’enfiler ? -
Je ne sais pas... Elle est vraiment très timide, tu sais... Mais elle me suit depuis des semaines, maintenant, et, comme je l’ai aidé à se libérer de son maléfice, elle m’est fortement redevable. »
Tous les efforts du monde n’avaient pas permis à Mélinda de rendre Harmony perverse. Elle restait toujours extrêmement timide, et se débrouillait toujours pour se cacher au bon moment, surtout quand Vanillia choisissait des femmes pour partager sa couche le soir. Au bout d’un moment, il fallait bien que son abstinence se fasse remarquer. Les deux femmes attendaient donc, et Vanillia en profita pour embrasser sa femme, tout en caressant sa délicieuse robe en cuir. Cette dernière lui allait à la perfection, et Mélinda soupira lentement, appréciant doucement ce tendre et suave contact. Les lèvres de Vanillia étaient très douces, tendres et agréables.
Mélinda ferma les yeux, y répondant avec envie, et décolla sa main du lit, venant caresser à son tour la joue de sa femme, prolongeant le baiser pendant plusieurs secondes... Jusqu’à ce que la porte ne se rouvre. Les deux femmes tournèrent alors la tête, et sourirent malicieusement. Vampires, elles sentaient le trouble émotionnel d’Harmony. Dissimulée derrière Ai, recroquevillée sur place, elle s’était transformée en une véritable écrevisse, et la manière dont son cœur tambourinait dans sa poitrine formai tune délicieuse symphonie, qui ne manquait pas d’exciter les deux vampires.
Harmony se mit à bégayer follement, peinant visiblement à rester calme, et les deux vampires sourirent, avant de glousser légèrement.
«
Eh bien... Écarte-toi, Ai, ma chérie... »
Ai obtempéra, et se mit contre le mur. Impossible pour Harmony de se cacher, et Vanillia, qui avait récupéré la laisse, tira dessus, déstabilisant Harmony, qui tomba à genoux devant le lit, près des jambes de la vampire. Vanillia se pencha alors, et lui fit signe de se redresser, de se tenir bien debout.
«
Tourne lentement sur toi-même, ma chérie, laisse-nous t’observer... »
Ne pouvant rien faire de plus, Harmony obtempéra donc, et, quand elle leur tourna le dos, Vanillia lui ordonna de s’arrêter, et posa ses mains sur ses fesses, tirant sur le fin trait en cuir noir qui se trouvait là, avant de sourire, et de caresser ses belles fesses, ses doigts glissant amoureusement dessus.
«
Tu as vraiment de très belles fesses, Harmony... »
Mélinda s’écarta alors, et, de la main, fit signe à Ai de les rejoindre. La jeune femme s’assit à côté de Mélinda, qui l’embrassa, pendant que Vanillia tira sur Harmony, l’amenant tout contre elle. Ses bras s’enroulèrent autour du corps de la femme, et elle l’embrassa sur les lèvres, sa main se déplaçant ensuite le long des lanières en cuir de la femme, appréciant son corps, griffant tendrement sa peau, remuant dessus, à hauteur des lanières situées sur ses seins.
«
Tu veux que je te confesse quelque chose, Harmony ? Depuis que je suis mariée à ta Maîtresse, je me suis efforcée de coucher avec tout le personnel du harem. Esclaves, majordomes, domestiques, gardes du corps... J’ai utilisé le registre du personnel de ma femme, en en faisant une copie, et en rayant le nom de la personne qui a eu l’honneur de coucher avec moi. Et il ne reste plus qu’un nom, dans ma liste, qui n’a pas été rayée... Le tien, petit bout. »
Vanillia lui sourit alors, tendrement, remontant sa main pour caresser les lèvres de la femme.
«
Alors, il est temps que je règle ça, Harmony... Mets-toi bien à quatre pattes sur le lit, je vais lécher ton fondement bien comme il faut avant de t’enculer bien fort... ! »
La passion de Vanillia pour la sodomie était bien connue, et le petit cul d’Harmony allait sûrement y passer ! La belle jeune servante n’avait toutefois pas d’autres options... Et puis, Mélinda l’avait déjà sodomisé. Elle savait qu’Harmony était très timide, mais aussi plus perverse que ce qu’on pouvait croire. C’était, comme soute, inévitable quand on vivait avec les Warren. Et, tandis qu’Harmony se déplaçait, et que Vanillia commençait à la lécher, la porte s’ouvrit brusquement.
Alice Korvander entra, et resta silencieuse pendant quelques secondes, clignant des yeux en voyant Mélinda embrasser Ai à pleine bouche, tout en masturbant son sexe d’une main. Et, dès qu’elle entra, ce fut au même moment où Vanillia enfonça sa verge dans le fessier d’Harmony...
«
Oh... On dirait qu’on arrive au bon moment... »
SHA
Sha était plus espiègle que ce qu’on pensait. Certes, elle était une dominatrice, une Déesse, mais, parfois, il fallait bien admettre que voir sa Kiriko dominer les autres était... Très excitant. Pour ça, la stratégie de Sha était plutôt bien rodée. Elle prenait parfois la forme d’une belle servante, et, tout en venant nettoyer la chambre de Kiriko, se débrouillait pour mentionner sa rivale de toujours, Açoka. Succès garanti à chaque fois, elle finissait sur le lit, et Kiriko la prenait, en ne s’arrêtant que quand la servante reconnaissait en elle la
première femme de Sha. Ça, Kiriko y tenait vraiment beaucoup ! La Celkhane pouvait se montrer très autoritaire quand il le fallait, et, là, en apprenant les manœuvres de Sha, Kiriko se décida à lui révéler son meilleur visage.
«
Oh... Tu t’en sens capable ? »
Le ton de Sha était légèrement moqueur, car elle connaissait suffisamment Kiriko pour savoir combien cette dernière, non seulement l’aimait, mais aussi la
vénérait. Dès lors, il lui était trop difficile de franchir le pas. Sha la sentit essayer, en la plaquant contre le mur, et en la sodomisant. La Déesse soupira de plaisir, mais sentit rapidement que quelque chose clochait. Kiriko l’appela bien «
ma petite pute », mais sans cette conviction qu’elle avait habituellement en dominant d’autres femmes.
«
A... Attends, Kiriko... Je... Ce n’est pas comme ça qu’il faut s’y prendre ! »
D’une part, la tenue de Kiriko n’était vraiment pas indiquée pour ce qu’elles avaient à l’esprit. Sha claqua donc des doigts, et la belel tenue edorassienne de Kiriko disparut, remplacée par
une belle combinaison en latex bien plus moulante, ouverte à hauteur des cuisses pour libérer son imposante verge, et lui donnant une allure bien plus prononcée.
«
Voilà... Quand on veut dominer, les tenues sont très importantes, Kiriko. Quant à moi... Je vais te montrer la forme que je prends habituellement... »
D’autre part, en effet, Sha avait encore une petite surprise à montrer à sa femme, et se transforma à son tour, prenant la forme d’une jeune servante qui était une amante régulière de Kiriko... La belle
Rem. Une jeune servante un peu nerveuse, qui était une ancienne esclave, libérée par les sorcières de Sha, mais qui aimait toujours autant la soumission. Officiellement, Rem était au service de Kiriko, s’occupant de sa literie, de ses affaires, la peignant, la coiffant... Et subissant aussi ses assauts sexuels.
«
Voilà, Madame... Ou Maîtresse. Vous aimez quand la belle Rem vous appelle comme ça, n’est-ce pas ? »
Elle avait une petite voix fluette, très douce, et très timide. Le contraste avec Sha était saisissant, mais c’était pourtant bien
elle qui s’exprimait à travers ce corps. De la main, Rem fit battre ses cheveux derrière elle, les joues rouges.
«
Vous pouvez baiser la petite Rem autant que vous le voulez, vous savez combien elle aime ça, combien elle admire les femmes fortes comme vous, Maîtresse... »
Rem se mordilla doucement les lèvres, en l’observant encore. Peut-être que Kiriko préférerait cependant le véritable corps de Sha, mais Sha sentait bien que Kiriko n’était pas encore prête pour ça. En prenant la forme et la personnalité de Rem, elle espérait bien pouvoir la convaincre de céder le pas.
Le choix appartenait donc à sa Kiriko d’amour...
CRYSTAL
Neferia et ses jambes... Il fallait admettre que ces dernières étaient plutôt belles, mais la fascination que Neferia leur portait était, somme toute, plutôt amusante. Elle alla même jusqu’à refuser que Crystal ne lèche autre chose, afin qu’elle se concentre exclusivement sur ses jambes. Crystal opta donc pour une série de caresses. La Dovahkiin avait beau être belle, elle n’était pas spécialement habituée à la douceur qu’induisait des caresses, et elle faisait donc de son mieux, en ce moment, pour ne pas froisser Neferia. Les deux filles avaient eu une journée plutôt mouvementée, difficile, et il était bon de voir que les choses allaient maintenant mieux.
Crystal caressait donc ses jambes, glissant parfois ses griffes sur sa peau, la grattant sans la couper. Neferia était assise sur ses genoux, ressemblant presque à sa fille. Et, à vrai dire, si on avait bien compris ce qui traversait Crystal, c’était bien ce qui se passait. La Dovahkiin voyait en Neferia ses filles perdues, son amour maternel bafoué se refondant en elle. Alors, bien sûr, Neferia ne remplacerait jamais sa défunte famille, mais elle pouvait être à l’origine d’une nouvelle. Sans doute était-ce pour cela que Crystal avait accepté de la suivre dans son projet démentiel.
«
C’est vrai que tu as de magnifiques jambes... »
Mais Crystal, pas plus que Neferia, n’allaient pouvoir éternellement se contenter des doucereuses jambes de Neferia. C’est ce qui amena la jeune dragonne à venir chercher les lèvres de Crystal. Crystal y répondit, bien entendu, en conservant sur ses lèvres un léger sourire, et poursuivit ensuite le baiser, sa mains e serrant sur les cheveux de la jeune Neferia.
«
Mais il n’y a pas que ça qui est merveilleux chez toi, tu sais... Tes lèvres aussi ! »
Crystal l’embrassa à nouveau, tout en continuant à gratter ses délicieuses jambes, et déplaça ensuite son visage, venant embrasser Neferia dans le creux du cou, léchant sa délicieuse peau.
«
Tu es vraiment très belle, Neferia... Quand tu grandiras, tu seras vraiment une magnifique femme, au port altier... Digne d’une Princesse ! »
C’est fou comme Crystal, habituellement si froide, pouvait se montrer chaleureuse et affectueuse quand elle le voulait...
POISON IVY
Sa Harley était vraiment douée. Qui aurait cru qu’elle puisse se faire si facilement au fait d’être
membrée ? Maintenant que son petit clown y avait pris goût, Ivy était sûre qu’elle allait en redemander. Il avait fallu que Pamela se rende sur Terra, et ne fasse des expériences à partir des plantes de cette planète, pour pouvoir développer des substances hermaphrodites. Terra présentait une flore vraiment très particulière, que Pamela avait su utiliser au mieux pour améliorer ses toxines et ses potions. Harley en avait fait les frais, et elle continuerait encore sûrement à être son cobaye. Il fallait bien dire que, à l’époque de Gotham, Pamela s’était beaucoup servie d’Harley pour tester ses aphrodisiaques, ses stimulants, ses drogues... Elle se rappelait encore des fois où les injections qu’elle lui faisait plongeaient Harley dans un autre monde, et où elle se mettait littéralement à planer. Ivy n’avait jamais vraiment eu besoin de faire des braquages pour obtenir des fonds. Il lui suffisait de commercialiser certaines plantes et substances, tout simplement, car elles se vendaient comme du petit pain.
Sur ce point, Harley avait toujours été très efficace. C’est comme ça que Pamela avait pu améliorer les capacités d’Harley, sa résistance, sa souplesse, son agilité... Les résultats finaux étaient admirables, et la voir avec une verge, ça ne manquait pas de stimuler l’appétit d’Ivy. Dès qu’Harley glissa sa membrane chaude en elle, Pamela soupira, et engloutit ce membre, ses mains venant rapidement se poser sur le cul musclé d’Harley, en appui.
«
Mmmhmmm... »
Ah ! Que c’était bon ! Yeux clos, adorait sentir cette belle saucisse de chair glisser dans sa bouche, et elle y allait généreusement... Sans doute même un peu trop pour Harley, qui, en gloussant, lui demanda de se calmer. Autant dire que Pamela ne comptait pas lui obéir, et continuait à pomper sur son dard, gémissant encore. Elle filait donc d’avant en arrière, sans relâche, sa langue remuant sur sa queue, et serra encore ses doigts.
Harley annonça qu’elle allait la remplir, ce qui ne manqua pas d’exciter Pamela. Son intimité se réchauffait doucement, et elle soupira une nouvelle fois.
«
Hmmmm-mhhhhmmmm... !! »
Impossible de lui répondre autrement, car, pour rien au monde, elle ne voulait rompre ça. Elle sentait le souffle d’Harley, sa respiration s’alourdir... La femme approchait du point de rupture, et, pour mieux la motiver, Pamela n’hésita pas, et glissa un doigt dans son fondement. Elle soupira encore, et remua donc son doigt, en continuant à agir. La queue d’Harley était maintenant bien dure, et le résultat final ne tarda pas à se faire sentir...
Un magnifique orgasme traversa le corps d’Harley, et elle eut bientôt la réponse à la question qu’elle se posait. Pamela choisit en effet d’avaler son délicieux sperme, et elle soupira longuement, laissant filer les secondes, titillant encore son phallus avec sa langue. Elle finit ensuite par se relever, et sourit à Harley, glissant ses mains dans les siennes, l’embrassant tendrement.
«
Tu as vraiment un très bon sperme, ma Harley-chérie... Ça t’a fait plaisir, de te relâcher en moi, hein ? »
Le contraire serait très étonnant !
FÉLICIA HARDY
Aoki était vraiment une femme incroyable ! En la rencontrant initialement, Félicia n’aurait jamais cru que leur relation pourrait atteindre un tel niveau. Et pourtant... Voilà où elles en étaient ! Félicia avait connu un véritable pic de perversion avec elle, bien plus fort qu’avec tous ses anciens amants. Elle n’avait jamais été aussi sexuellement insatiable avec Peter, ou même avec Flash. Avec Aoki, c’était une nouvelle jeunesse qui s’emparait d’elle, un pan totalement inédit de sa personnalité, et qui s’affirmait en ce moment dans les coups de butoir qu’elle infligeait à la belle chatte. Aoki se dandinait contre elle, couinant et gémissant longuement, pendant que Félicia continuait à la bourrer, sa queue claquant contre sa combinaison en latex. Que ce soit en
bunny girl, ou dans sa délicieuse combinaison, Aoki était toujours magnifique, c’était aussi simple que ça ! La prendre, encore et encore, c’était un bonheur sans fin !
«
A-Aaoki, haaaa... Ohh, Aoki... »
Là, debout au-dessus d’elle, Félicia multipliait les coups de reins, prenant la femme sans ménagement, savourant sa magnifique combinaison moulante. Elle lui allait si bien ! Ha, que c’était agréable ! Félicia gémissait encore, ronronnant sur place, sans s’arrêter, accélérant le rythme. Si Aoki songeait à une relation sérieuse, c’était aussi le cas pour Félicia. Elles s’étaient déclarées leur flamme mutuelle, non ? C’était donc bien la preuve qu’elles ne se voyaient pas juste comme des
sex friends, mais qu’il y avait quelque chose de bien plus profond là-dessous, un amour souterrain qui était en train de faire surface, d’éclater au fur et à mesure que les jours passaient.
Félicia la prenait donc, avec cette énergie incroyable, cette fougue qui les amenait à baiser comme des folles comme des heures. Et, tandis que ses coups de reins se multipliaient, Aoki prit soudain une heureuse initiative, et bondit en arrière, se redressant, courbant son dos, usant de son agilité. Félicia s’empressa de la soutenir, et laissa Aoki orienter ses mains, en posant une sur ses seins, et l’autre sur son ventre, grattant et caressant son estomac.
Pour la Chatte Noire, ce fut le signal de changer de trou. Sa queue sortit de la chatte trempée de la femme, mais ne resta pas longtemps à l’air libre, puisqu’elle s’enfonça dans le
second trou, bien plus étroit, amenant Félicia à pousser un léger grognement, et à mordiller le cou d’Aoki, tout en enfonçant sa main dans les cuisses de la belle blonde, remuant ses doigts en elle, sentant rapidement son nectar intime dégouliner de ses doigts.
«
Hmmmm... Haaaaa... Ton... Hmmmm... Ton cul est vraiment magique, Aoki, hmmmm... Si serré, si étroit, mmmmhmmm... »
C’était presque un prodige, vu le nombre de fois que Félicia prenait sa belle Aoki par là ! En tout cas, vu leur position, les mouvements de Félicia étaient plutôt profonds et longs, permettant de savourer l’intensité de cette sodomie, chaque coup faisant crisser la combinaison de la femme. En sueur, Félicia continuait à se blottir contre elle, pinçant le téton à travers la combinaison, et continuant à la masturber.
«
Je vais te baiser toute la nuit, Aoki... Oh ça oui ! Encore et encore, hrmmmm... »
Pour Aoki, il n’y avait tout simplement aucune autre échappatoire que du sexe...
Encore et encore ! Un programme simple, mais ô combien
jouissif...
MIRANDA FORGE
Rouge avait gagné le défi, en effet. Mais avait-elle vaincu Miranda pour autant ? La PDG avait envie de s’amuser, ce soir, d’innover en essayant des postures originales. Et force est d’admettre que de se laisser aller à la soumission, de s’incliner devant son partenaire, c’était une grande forme d’originalité pour elle. Une sorte de parenthèse dans sa vie, dont il ne resterait nulle trace que dans son plaisir personnel. La Terranide chauve-souris avait-elle seulement conscience de l’immense honneur que Miranda lui faisait en ce moment ? Probablement...
Le fait est que Rouge se retrouvait manifestement aussi dans une position inattendue, puisqu’elle hésitait sur plusieurs approches. Bras croisés, silencieuse, Miranda attendait ses instructions, plus amusée que réellement intimidée. Rouge allait-elle pouvoir dépasser son état naturel, pour s’imposer sur l’humaine ? Visiblement, la créature n’était pas dénuée d’idées, puisqu’elle demanda à Miranda l’utilisation de petites pilules pour devenir hermaphrodite. Miranda sourit légèrement. Elle, elle pouvait se transformer naturellement, après avoir subi des opérations chirurgicales et des modifications génétiques en ce sens, mais il existait aussi des solutions intermédiaires.
Miranda alla récupérer une petite boîte, et la posa sur un meuble, près de Rouge.
«
Voilà... Les pilules. »
Elle laisserait le soin à Rouge de chercher comment les utiliser au mieux. En attendant, la Terranide avait l’air de se décider pour battre un minimum Miranda, et lui ordonna de se mettre à quatre pattes, tout en déboutonnant sa ceinture.
*
Elle a fait son choix...*
Battre le cul de Miranda Forge... Même si Miranda l’avait autorisé, il fallait quand même un sacré culot ! Mais les règles étaient les règles, et Miranda savait s’y plier. Elle se retourna donc, et fléchit les genoux, avant de se mettre en position, jambes écartées, serrant ses mains sur le sol.
«
Tu... Tu veux la jouer comme ça, R-Rouge... ? »
Le ceinturon claqua alors sur ses fesses, arrachant un soupir à Miranda, qui crispa ses poings sur le tapis, et gémit légèrement.
«
Mes... Mes meilleurs coups, hein ? Hmmm... Honnêtement... Dur à dire, haaaa... !! »
Nouveau coup, de quoi faire rougir ses fesses. Fort heureusement, Miranda était plutôt du genre endurante. Il en faudrait plus que ça pour la faire céder ! Mais, n’ayant pas oublié ce que sa partenaire lui demandait, Miranda reprit sa respiration, et poursuivit :
«
Il y a bien cette fois avec une policière... Qui m’avait mise en garde-à-vue pour atteinte aux bonnes mœurs... Je l’ai sodomisé pendant l’interrogatoire. D’excellents souvenirs, haaaa... »
Rien ne valait, cependant, la fois où Miranda avait couché avec sa fille, Kara, mais ça, elle le gardait pour elle. Au lieu de ça, elle se montra toujours aussi provocante et piquante, puisqu’elle se retourna vers Rouge, et la nargua encore :
«
Pour l’heure, en tout cas, toi et moi, on est bien loin d’être dans mon Top 5... »
Un peu de provocation pour la motiver, ça marchait toujours, non ?
SAMARA
S’il fallait attribuer des péchés capitaux à Sya, il y aurait, non seulement la
Luxure, mais aussi la
Gourmandise. Gourmande, Samara l’était beaucoup, en effet, et même
énormément. Elle se dandinait sur place, en véritable petite démone. La transformation était saisissante, confirmant les pouvoirs magiques de sa fille. Samara sentait une terrible pointe d’excitation la traverser en voyant ainsi Sya se changer en une si belle démone. Elle avait pensé au moindre détail, en se recouvrant de la peau rouge, de la tunique en cuir, mais aussi des arabesques noires sur son corps. Même ses yeux avaient pris une teinte jaunâtre. D’aucuns auraient pu croire que cette transformation aurait pu amener Samara à prendre sa fille avec davantage de retenue, mais c’était bien tout l’inverse qui se produisait.
«
Hmmmm... Haaaaa... S-Sya, haaaa... !! »
La démone bourrait sa fille avec énergie. Ce soir, c’était un moment partagé entre elles, si intime que Kazuha n’était pas là. C’est ce que Sya avait demandé à Samara, et, maintenant, l’Archimage comprenait pourquoi. Prendre cette forme démoniaque devait sûrement être très important pour la petite Ange. Et ça, Samara pouvait le comprendre, elle était très sexy comme ça !
Sya finit par changer de position, en soulevant ses genoux, les maintenant avec ses bras. Une position assez particulière, qui amena rapidement Samara à agir encore. Les mains de l’Archimage se posèrent sur les fesses de sa fille, se crispant dessus, et elle retourna la bourrer...
Doublement. Maîtrisant aussi la magie, Samara fit grossir sa verge, la faisant enfler, jusqu’à ce qu’elle se dédouble. Deux belles verges se dressèrent ainsi, et s’enfoncèrent mutuellement dans le corps de Sya, un dans son vagin, et un autre dans son fondement, Samara retenant Sya contre elle par les bras, en la baisant sèchement et furieusement, se régalant des hurlements et des couinements de Sya.
Elle la baisait debout, sans relâche, les minutes défilant à toute allure. Dans le sexe, Samara n’avait clairement pas à rougir de ses performances. Elle était monstrueusement douée, et ne cessait de le rappeler à qui en doutait, permettant à faire l’amour intensivement sur la durée. Face à elle, on ne pouvait guère que s’incliner, et suivre le rythme, en hurlant et en piaillant. C’était tout ce que Sya faisait, les queues de Samara grossissant en elle, sur le point de rupture.
Samara finit même par repousser Sya, car, à terme, ses genoux la dérangeaient plus qu’autre chose. Elle la coucha sur le dos, et la souleva par les hanches. Très souple, le corps de Sya suivit le mouvement. Samara redressa les jambes de la femme, souleva son corps, et fit partir ses jambes vers le devant. Entre elles, elle voyait donc la tête de Sya, qui était en position figée de « semie-galipette ». Autrement dit, c’était comme si Sya, en étant couchée sur le dos, avait relevé les jambes, pour les envoyer rejoindre sa tête. Son bassin était donc relevé, et Samara, qui avait ainsi accès à ses trous, retourna s’enfoncer en elle, tout en griffant ses cuisses.
«
Haaaaaaaaa... !! »
L’avantage de cette position ? Il semblait évident à voir. Elle pouvait directement regarder sa fille, et la mouille de Sya glissait le long de son corps. C’est comme ça que Samara comptait inonder le corps de Sya de sa crème juteuse.
«
S-Syyyyaaaa... Haaaaaaaaaaaaaaa... !! Co-Couine, ma salope... Couine, et... JOUIS !! »
En définitive, c’est tout ce que Samara attendait d’elle...
RYOUKA
Après avoir été la victime des assauts des sœurs Spänje, Tsukasa était bien décidée à prendre sa revanche, et, surtout, à démontrer à Nika qui était la Boss ici. La femme ne put que sourire devant les arguments de Tsukasa, au demeurant assez peu convaincants. Certes, Ryouka aimait dominer, mais, pour autant que Nika s’en souvienne, c’était toujours elle qui avait géré sa sœur. Nika avait un naturel de fonceuse, une dominatrice qui allait toujours devant, une guerrière à la tête brûlée. Une fonceuse qui avait affronté son lot de gangsters, de monstres, de robots tueurs... Dans de telles conditions, on ne pouvait pas s’attendre à ce qu’elle se soumette comme un petit chaton, n’en déplaise à Tsukasa.
Mais, après tout, comme elle était l’invitée, elle accepta au moins la proposition de Tsukasa. Ryouka, elle, sourit malicieusement, et fléchit les genoux, approchant son visage du sexe de Nika, avant de le lécher.
«
Ça, je ne vais pas refuser l’offre de te sucer, Nika, surtout quand ta queue est couverte de sperme... »
Voir Tsukasa répandre son sperme sur ses seins n’avait pas manqué d’exciter Ryouka, mais aussi Nika, dont la verge avait conservé un peu de sa dureté. Ryouka se mit à genoux devant son membre, donc, et commença à le titiller, pendant que Tsukasa rejoignait le duo, et déposait un baiser sur les lèvres de Nika, frottant son corps enduit de sperme contre le sien, tout en lui demandant quelle voie Nika allait choisir. La voie douce si elle l’appelait «
Maîtresse »...
...Ce qui amena Nika à glousser. Elle posa une main sur les cheveux de Ryouka, l’amenant de force à sucer sa queue, sa sœur venant à gémir. Son autre main claqua alors le cul de Tsukasa, et Nika lui sourit rageusement, une lueur provocante dans les yeux.
«
Ma cocotte, il va falloir faire beaucoup plus que ça si tu veux que je te respecte. Pour moi, tu n’es qu’une femme aux ongles manucurés, une perverse nymphomane comme Ryouka. Hmmm... Alors, de mon point de vue, il n’y a qu’une seule Maîtresse ici, pour calmer les deux chaudasses que vous êtes, mes salopes... »
Elle rajouta ensuite :
«
Moi. »
Nika avait fait son choix !
JESSICA DREW
Naturellement, Jessica était à la fois curieuse et enchantée ! Enchantée, car elle avait du mal à croire à sa chance. Elle venait de tomber sur une fille qui, comme elle, disposait de pouvoirs particuliers, exceptionnels,
surnaturels ! Jessica avait beau avoir une petite-amie qui connaissait tout d’elle (Aemiliane), le fait est que Jessica était
seule, car elle ne connaissait personne disposant, comme d’elle, de pouvoirs surnaturels. Partant de là, elle était donc ravie de pouvoir partager avec quelqu’un d’autre ses pouvoirs surnaturels. Jessica se tenait donc au plafond, sans aucun mal de tête. Surprise, Konata finit par avouer que ce pouvoir était «
plutôt cool », ce qui fit naturellement sourire Jessica, qui se laissa ensuite tomber gracieusement au sol.
«
Ouais… Je trouve aussi ! »
Pour le coup, Jessica en avait complètement oublié leur partie ! Elle trouvait ça bien plus intéressant ! Mais Konata avait une explication sur l’origine de ses pouvoirs assez… Mystérieuse. Elle avait regardé une borne, et… Et voilà ! Jessica en fut assez surprise, et se convainquit surtout que la jeune fille ne devait pas lui dire toute la vérité.
*
Enfin, peu importe, après tout, je comprends qu’elle cherche à protéger un peu ses origines.*
En tout cas, Konata avait le pouvoir de se transformer en personnage iconique du jeu vidéo, et ses capacités étaient en perpétuelle amélioration. Même elle avait l’air de ne pas trop en savoir sur ses pouvoirs, mais elle avait l’air de le prendre plutôt bien.
*
Rien à voir avec moi, j’ai été terrorisée au début…*
Maîtriser ses nouvelles facultés avait été un effort de tous les diables. Maintenant, Jessica s’en sortait plutôt bien, mais il lui manquait encore de l’expérience. Au moins, elle pouvait générer de la toile sans difficulté, et se suspendre aux murs très intuitivement, sans jamais sentir de migraine la saisir.
«
Et… Tes mères, elles en pensent quoi, de tes pouvoirs, Konata ? Les miennes… Ça les ferait grave flipper si je leur disais ! »
C’était une bonne raison de ne rien leur dire ! Mais, sur ce point, un avis extérieur ne pourrait pas lui faire de mal…
MILWËN NOVAC
Milwën n’aurait jamais cru qu’une telle conversation puisse se produire. Cette scène était tout simplement surréaliste. La Reine de Nexus, en train de discuter avec une Celkhane ! Autrement dit, une
terroriste, car Nexus considérait Caelestis comme un État-voyou, et assimilait les commandos celkhans à des attentats terroristes. Au-delà des qualifications juridiques, c’était un débat complexe et moral. Que faire de l’esclavage ? Les Celkhanes étaient favorables à une abolition rapide, sans prendre conscience que l’esclavage n’était que l’expression juridique d’inégalités économiques et sociales. Pour Elena, supprimer l’esclavage ne reviendrait qu’à créer une nouvelle forme d’esclavage, plus insidieuse, plus sombre, mais non moins présente. On ne pouvait d’ailleurs pas nier que bien des esclaves n’étaient pas si malheureux que ça, car ils étaient logés, nourris, et soignés. Du point de vue de la Reine, le sujet était donc complexe. Ses parents s’étaient convaincus que l’esclavage était un mal, mais Elena se devait aussi de réfléchir en toute objectivité. Même si, pour l’heure, elle n’avait aucun pouvoir, à sa majorité, ce serait à elle de prendre cette importante décision.
*
Et, vu l’influence que Nexus a, une telle décision est susceptible d’avoir d’importantes conséquences à l’échelle mondiale…*
Abolir ? Réformer ? Conserver le système actuel tel quel ? Voilà, en gros, les pistes qui s’offraient à Elena, celles sur lesquelles elle devait trancher, proposer des réponses et des solutions. Même en vacances, Elena ne cessait d’être la Reine. En cas de crise grave, elle disposait d’un miroir magique susceptible de la ramener au Palais d’Ivoire. Et, au-delà de ça, elle songeait toujours aux choix qui l’attendaient. Gouverner un royaume, surtout un royaume comme Nexus, ça n’avait vraiment rien de facile. C’était même une tâche harassante, tant il y avait à apprendre, tant il y avait à retenir, tant il y avait de problèmes, d’enjeux, et de possibilités… Aucune solution n’était simple, aucune réponse n’était évidente, car il y avait toujours des conséquences différentes, dépendant des opinions politiques de celui qui les prenait. Fallait-il favoriser l’emploi en rendant le marché du travail plus souple, par exemple ? Des questions qui se posaient…
Elena sortit de ses pensées quand Suki leur demanda s’il n’y avait qu’elle et Adamante.
«
Oh… Euh… Eh bien, oui… -
Elena est en vacances, elle n’a pas tenu à venir avec toute une cour. Mais je la suis partout où elle va. »
À l’entendre, on aurait vraiment pu croire que les deux formaient un couple. C’était à se demander si ce n’était pas le cas, d’ailleurs. Une telle idée n’aurait pas manqué de rendre blême bien des conseillers politiques nexusiens, qui voyaient d’un mauvais œil la mainmise d’Adamante sur la Reine, voyant en cette sorcière aux cheveux roux le cheval de Troie des Îles Mélisi.
«
Pourquoi cette question, Suki ? Vous trouvez que la Reine est seule ? Vous cherchez à lui tenir compagnie ? -
Adamante ! Ce ne sont pas des questions à… -
Bah, bah, nous sommes entre nous, Majesté ! Moi, je suis sûre que, derrière ses airs grognons, Suki vous apprécie déjà beaucoup. N’est-ce pas ? »
Sans trop pouvoir s’expliquer pourquoi, Elena se mit à légèrement rougir…
RAYNE
Rayne aurait honnêtement eu du mal à affronter ce groupe sans l’aide de ces deux femmes, dont le sang était très particulier. Sans aucun doute possible, il s’agissait de
mutantes. Rayne avait déjà entendu parler d’eux sur Terre, et, comme elle l’avait annoncé à Laura, elle avait croisé Wolverine. Les deux s’étaient affrontés à Tokyo, lorsque Rayne traquait un clan vampirique. Wolverine avait cru qu’elle faisait partie de ce clan, et elle-même avait cru qu’il faisait partie des exécuteurs envoyés par le clan pour la supprimer. Les deux s’étaient combattus ardemment avant de… Hum…
*
Inutile d’en dire trop à ces jeunes filles.*
Elle pouvait lire de l’ennui chez la magicienne, Magie, mais, chez l’autre… Il y avait davantage d’agressivité. Elle fronçait les sourcils, visiblement prête à en découdre avec Rayne, sans savoir jusqu’à quel point elle pouvait lui faire confiance. La Dhampir n’allait pas s’en familiariser. Elle avait vu le potentiel de ces beautés, et ça lui suffisait amplement comme démonstration. Sa première tentative d’attaque sur le yacht de Kagan s’était soldée par un échec retentissant, qu’elle ne tenait pas à réitérer. Avoir de l’aide, ce n’était donc pas de refus.
Rayne ne répondit pas à la remarque sur leurs «
vacances », et commença à marcher, suivant le sentier, qui longeait une sorte de gros volcan artificiel. Le volcan était au centre de
Wonderland, et elles laissaient derrière elles un joli carnage. Les corps et les traînées de sang n’allaient pas tarder à être découvertes par des touristes. Un peu de panique ne dérangerait pas Rayne, si cela permettait d’évacuer les civils, même si évacuer une île aussi grande que
Wonderland serait une tâche assez ardue. Magie lui posa ensuite une question plus intéressante, tandis que Rayne atteignait le sommet de la colline, et découvrait le reste de
Wonderland.
«
Je ne pense pas. Kagan est un seigneur vampirique sur le déclin. La plupart de ses troupes sont parties. Seule Ephemera lui est restée fidèle, et les ninjas que vous avez vu sont ses soldats. »
Quand Kagan était à l’apogée de sa puissance, il avait envoyé Ephemera en Asie, où elle avait pris le contrôle d’un
dojo, transformant les moines guerriers en ces affreux ninjas, à l’aide de rituels macabres. Il était néanmoins permis de supposer que Kagan dispose de seconds couteaux, bien moins dangereux que ces ninjas.
Wonderland s’étalait donc devant elles. Rayne pouvait voir une grande roue lumineuse, et quantité d’autres attractions. Elles approchaient en réalité du
Manoir Hanté, une attraction en libre service, avec de multiples animations holographiques. Compte tenu de la particularité de l’épreuve, il fallait réserver son tour en arrivant à
Wonderland, car le
Manoir Hanté fonctionnait sur un système d’investigations, en écoutant la voix lancinante d’un narrateur vous contant l’histoire macabre de ce lieu, le fil rouge de l’animation étant de retrouver votre enfant, qui s’était aventuré dans le
Manoir Hanté. Trop de participants d’un coup nuiraient forcément à la qualité du spectacle, ce qui expliquait pourquoi on limitait le nombre.
Et, alors que le trio s’en approchait, Rayne perçut soudain des groupes sanguins très spéciaux, et Laura grogna à son tour, écartant ses doigts, comme pour faire jaillir ses griffes. La Dhampir vit alors, sur le toit du
Manoir Hanté, plusieurs silhouettes, correspondant à des ninjas, et enjamba le portique.
«
Il y a un agent qui vérifie les tickets, normalement… »
Or, il n’y avait personne à l’entrée du grand jardin qui entourait le
Manoir Hanté. Rayne ne tarda pas à comprendre pourquoi en découvrant, dissimulé derrière les arbres, un cadavre. On lui avait bu son sang, évitant ainsi de laisser des traînées de sang, puis on avait fermé l’animation, en débranchant la machine qui permettait de valider les tickets.
«
Vous savez, il y a une question à laquelle je n’ai pas encore la réponse… Ce que Kagan vient faire ici, à Wonderland. Mais ses hommes ne viendraient pas dans ce manoir sans raison… »
Autrement dit, avant d’aller dans le yacht, Rayne comptait faire un détour par le
Manoir Hanté…